Tiens ! Revoilà JFK !

Jean-François Kahn vient de signer un article dans Marianne.

JFK ! Mais si, le gars qui avait dit dans le poste, quand DSK s’est fait pincer la quéquette à New-York, que : Y avait pas mort d’homme après-tout et que ce n’était qu’un troussage de domestique…

Tenez, c’est là ;

Je reproduis cet article ci-dessous, il n’a absolument aucun intérêt en lui-même, sauf à démontrer qu’il y a une possibilité de mettre un terme à tout ce cirque et que ça commence à les titiller.

Nous pouvons agir, ici et maintenant, rien ne nous en empêche, il suffit de retirer notre consentement ; Dire NON ! Et NON c’est NON (c’est même l’objet de ce blog…) Et tout s’arrête. Enfin, le cirque, s’arrête, parce que la vie, elle, continuera, mais sans eux.

Rappelez-vous Saillans ; Et surtout, montrons du courage, il y a des exemples plein les blogs !

Il ne tient qu’à vous de farfouiller et de voir que d’autres chemins sont possibles…

Tournons la page pour 2017 : ni re-Sarkozy, ni re-Hollande !

L’APPEL DE MARIANNE – Être condamné à un choix entre Sarkozy et Hollande à la présidentielle 2017 est devenu insupportable pour l’immense majorité de nos concitoyens. Que les bouches s’ouvrent !

Ni re-Sarkozy, ni re-Hollande : rarement, sinon jamais, dès lors qu’on descend des hauteurs, une telle unanimité dans la récusation d’un choix inapproprié ne s’est dégagée dans notre pays.

Si, donc, les Français sont, en 2017, contraints de choisir entre deux remakes suscitant deux rejets, quel que soit le résultat du match, les conséquences en seront cauchemardesques.

N’épiloguons pas sur le pire, qui n’est pas totalement exclu : une élection de Marine Le Pen par refus de cautionner les deux alternatives impossibles proposées.

Mais alors que la France a besoin, pour rebondir, d’être mobilisée et entraînée, imaginons sur quoi déboucherait une élection par défaut d’un président rejeté d’emblée par plus de 70% du corps électoral et à qui on ferait ensuite payer rageusement, pendant cinq ans, ce suffrage contraint, arraché de force, qu’on lui aurait accordé la mort dans l’âme.

Tout président élu, depuis plus de vingt ans, et bénéficiant au départ d’un taux d’approbation majoritaire, s’est retrouvé un an plus tard en dessous de la ligne de flottaison. Qu’en serait-il si l’hostilité était originelle, intrinsèque et quasi viscérale ?

Sarkozy-Hollande : on est parfaitement en droit d’avoir de l’estime ou de la considération, et même — pourquoi pas ? — de l’admiration, pour l’un des deux protagonistes. Mais nul ne saurait, pour autant, nier cette aveuglante évidence que, pour l’immense majorité de nos concitoyens, être condamné à ce choix est devenu insupportable. Il n’est donc pas pensable que l’expression de tout un peuple soit comme prise en otage, enfermée dans un dilemme dont les deux termes sont à ce point et aussi violemment repoussés.

Il suffit de tendre l’oreille. D’un peu partout, de toutes les couches de notre société, monte cette exigence : tournons la page. Repartons de l’avant. Soldons les comptes de la démagogie clivante et sans principe comme de la trahison émolliente et sans frontières, des cynismes, qu’ils soient décomplexés ou manoeuvriés, qui ont fait tant de dégâts et dont un Front National à 30 % est la résultante : ni re-Sarkozy, ni re-Hollande !

Cette nécessité de renouveau, que le pays ressent dans ses profondeurs, presque tous les élus, responsables, décideurs, de droite comme de gauche, s’en font l’écho. En privé. Mais, dès qu’il s’agit d’une expression publique, la lourdeur des pesanteurs partisanes décourage encore les réactions de bon sens.

C’est avec cette omerta qu’il convient de rompre.

Que les bouches s’ouvrent !

Que, pour éviter le pire, le plus de voix possibles, représentantes de tous les milieux, de toutes les professions, de toutes les sensibilités, se fassent entendre.

L’intérêt du pays, de la République, de notre démocratie doit primer sur les prudences politiciennes et les calculs claniques.

Contre la catastrophe programmée, il est temps que les paroles se libèrent et relaient une demande générale en faisant passer le message : ni re-Sarkozy ni re-Hollande, que ces deux-là, avec tous les honneurs, passent la main…

http://www.marianne.net/tournons-page-2017-re-sarkozy-re-hollande-100239360.html

Bon, je n’ai pas corrigé les fautes, comme ça vous verrez que même JFK, ou Marianne, ou les deux, ne sont pas infaillibles…

JFK à raison sur un point « Il faut que les bouches s’ouvrent ».

Mais, on l’a pas attendu pour l’ouvrir et je suis pas sûre qu’il soit prêt à entendre

tout ce qu’il en sortira…

Et d’ailleurs il était où JFK depuis tout ce temps ?

Ici, je brame à longueur d’article qu’il faut se sortir les doigts… du nez,

et en même temps, si possible.

On a pas attendu l’injonction de JFK

JBL1960