TRACT – PDF de JBL 1960 À DIFFUSER SANS PITIÉ : À CONNERIE UNIVERSELLE, BOYCOTT UNIVERSEL de R71 du 24/01/24

Syndrome de Stockholm par RIEN 230124

TRACT-PDF N° 240124 RECTO/VERSO de JBL1960 de RÉSISTANCE71 du 24 janvier 2024  ►  https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2024/01/tract-pdf-jbl1960-a-connerie-universelle-boycott-universel-r71-240124.pdf

À RETROUVER DANS MA BIBLIOTHÈQUE PDF

À connerie universelle, boycott universel !

Article 33. – La résistance à l’oppression est la conséquence des autres Droits de l’Homme.

Article 34. – Il y a oppression contre le corps social lorsqu’un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé.

Article 35. – Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

~ Constitution française du 24 juin 1793 ~

Silence de mes semblables RIEN 130124

Depuis 2019 et surtout la fin 2023 et en cette année 2024, le monde a subi et subira une poussée toujours plus forte vers la dictature mondiale et l’asservissement plus avant des peuples, attaques tout azimut 24/24 sous forme de crises multiples fabriquées de toutes pièces, poussées à leur paroxysme, destinées à maintenir les peuples KO debout dans les cordes, incapables de réfléchir et d’agir. Crise énergétique, crise financière, crise inflationniste, crise “wokiste’, crise “climatique” via les supercheries usuelles de la pseudoscience, crise politique, crise sanitaire via le nouveau “traité sur les pandémies” de l’OMS (vous savez, cette Organisation Mortelle de la Santé…), qui va donner essentiellement les pleins pouvoirs à cette entité mercenaire vendus à Big Pharma et la Fondation Bill & Melinda Gates, pour exercer une dictature sanitaire technotronique mondiale, l’horreur de l’attaque biologique COVID / injections ARNm ayant servi de poisson pilote à cette prise de pouvoir en marche ; crise culturelle, crise immigrationniste générée par les guerres impérialistes incessantes de l’occident. Le grand cirque mondialiste de Davos / FEM vient de décréter qu’aujourd’hui et dans les années à venir, le problème #1 du monde est et sera  LA DÉSINFORMATION  et les FAKENEWS, ben voyons, sentez-vous  le  vent  des boulets de la censure de plus en plus forts sur votre joue ?…

BAND OF BRANLEURS dégotté par RIEN 200124

La pourriture criminelle oligarchique donc, pour sauvegarder le système moribond qui l’entretient et se métamorphose pas à pas en dictature technotronique planétaire, va, dans un futur proche, pousser pour :

  1. Une guerre mondiale (si possible non thermo-nucléaire) fabriquée une fois de plus sur des mensonges et la manipulation médiatique (propagande)
  2. Une dictature climato-sanitaire fabriquée sur des mensonges et la manipulation médiatique (propagande)
  3. Une censure tout azimut de la vérité, qui fait irrémédiablement surface de partout et qu’ils ne peuvent plus contenir, censure nécessaire basée sur des mensonges et la manipulation médiatique (propagande)

Bref, les conneries habituelles de préservation oligarchique mais à la puissance10 puisqu’aujourd’hui et dans le futur, la technologie qui faisait défaut est disponible : armes à énergie dirigée, armes nucléaires de 4ème, 5ème générations, missiles hypersoniques, IA, télécommunication 5G-6G, nanotechnologies appliquées aux armes biologiques comme les “Nanoparticules Lipidiques “ NPL / PEG hydrogels, que la crise PLANdémique fabriquée COVID / injections ARNm a officiellement lâchées sur le monde et plus à venir… si nous les laissons faire… Là est en effet toute la problématique : les laisserons-nous faire ? Qu’est-ce que NOUS, les peuples du monde, avons à perdre à mettre à bas cette pourriture systémique contre-nature ? Plus rien, puisque cette vermine parasitaire nous emmène à l’abattoir d’une manière ou d’une autre, voire des deux combinées.  

En conséquence, à connerie (systémique) universelle, nous préconisons le BOYCOTT UNIVERSEL, la désobéissance civile et à terme la rébellion généralisées.

Toutes et tous avons et aurons toujours un immense pouvoir le plus souvent ignoré, qui par sa puissance collective peut non seulement être entendu, mais aussi mettre à bas tout système oppresseur en très peu de temps : le POUVOIR DE DIRE NON !… et de changer nos relations et interactions internes.

Au vu de notre réalité actuelle et des fumisteries qui se profilent à l’horizon, poussées par la propagande idoine, levons-nous et ensemble disons, crions, hurlons : NON !

JE N'OBÉIRAI PAS 1

AUSSI, METTONS EN PLACE LE :

  • BOYCOTT de la conscription de la chair à canon à venir
  • BOYCOTT du SNU et tout autre merdier de “service national” formant de faux tueurs patriotes et de la vraie chair à canon pour demain
  • BOYCOTT des lois, règlementations issues de structures et institutions corrompues, factices et néfastes à l’humanité
  • BOYCOTT des obligations sanitaires, “vaccinales” et autres injections mortifères de transformation génétique ARNm et nanotechnologiques
  • BOYCOTT de toutes les inepties climato-“durables” fondées sur une pseudo-science, véritable agenda politique de contrôle des populations
  • BOYCOTT des diktats d’une science usurpée et kidnappée par la grosse industrie et la haute finance, par les complexes militaro-industriels et chimico-pharmaceutiques mortifères n’ayant en aucun cas le bien de l’humanité ou la santé publique pour objectifs
  • BOYCOTT de la technologie, matrice dégénérée du dogme transhumaniste jusqu’à son rétablissement pour le bien commun par la révolution sociale
  • BOYCOTT du vote et des institutions, armes de destruction massive de nos sociétés et du mode opératoire organique de la société humaine
  • BOYCOTT du mode de communication imposé
  • BOYCOTT des diktats banquiers et financiers, de toute forme de monnaie et d’échange fondé sur une valeur fictive et spéculative, une fabrication qui n’a aucun lieu d’être si ce n’est de nourrir les parasites en place
  • BOYCOTT du travail et du salariat, de la relation sociétale à la valeur d’échange
  • BOYCOTT des diktats et invasions culturels
  • BOYCOTT du monde politique étatico-marchand obsolète, parasite et de sa machine médiatique de propagande
  • BOYCOTT de la culture délétère et décadente imposée, cette machine de la médiocrité et de l’insanité institutionnalisées
  • BOYCOTT de la société du spectacle marchand et de ses dogmes individualistes et matérialistes

Œuvrons ensemble, unis, pour l’avènement de la société des sociétés, celle des associations libres confédérées, pour la mise en place de communes libres solidaires dans l’entraide et inter-reliées de manière non coercitive, sans les obstacles que sont le rapport marchand et les frontières. Cessons de jouer le jeu truqué de la différence, de ne noter que ce qui nous sépare, pour nous concentrer sur ce qui nous rapproche et nous unit. Peur, zizanie haine, racisme, nationalisme, ostracisme, dirigisme, hiérarchie, État, argent, salariat, gouvernement, religion, conflit, guerre, économie, marché, valeur marchande, valeur d’échange, taux de profit, famille, mariage, classes sociales, tout cela n’est que construction sociale ; une construction faite par l’humain et qui peut donc se défaire comme on tricote un pull et qu’on peut le détricoter. C’est certes un peu plus compliqué, mais il n’y a aucune raison que cela ne puisse se faire. En disant cela, bien comprendre qu’il ne s’agit pas de “retourner en arrière”, mais de continuer ce qui fut commencé il y a bien longtemps, avant que l’Humanité ne prenne le mauvais tournant. On a loupé des mailles dans le tricotage de notre pull, détricotons jusqu’aux mailles défaillantes et reconstruisons la fabrique organique et naturelle de la société humaine, qui est en nous de manière permanente, enfouie sous un fatras de concepts et pratiques inutiles et incohérentes, et qui ne demande qu’à ressurgir, joyau resplendissant de notre humanité vraie et totale, celle de l’organisation de nos vies pour l’Amour du Bien Commun, tout simplement.

La croisée des chemins est là… Cessons d’avoir peur de notre ombre et avançons ensemble vers notre humanité enfin réalisée en la Commune Universelle, hors État, hors marchandise, hors argent et hors salariat.

Nous n’avons aujourd’hui absolument plus rien à perdre, il est plus qu’évident que le système et son oligarchie nous emmènent à notre perte, il suffit donc de LÂCHER PRISE de toutes ces imbécilités notoires et d’embrasser notre destin commun…

STOP WAR RIEN 090124

Nous avons le sentiment profond que la cause palestinienne qui éclabousse le monde de sa puissance unificatrice par-delà toutes les frontières fictives, depuis octobre dernier, devient une sorte de phare balisant le chemin, celui qui, comme dit le poète, ne se fait qu’en marchant… Ainsi donc marchons, marchons, qu’une âme pure abreuve nos sillons.

Fraternellement à toutes et tous

Vive la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée !

Résistance 71, 24 janvier 2024 – Version PDF de JBL1960

NOUS SOMMES LES 99% par RIEN 200124

+ dans CHRONIQUES DU PRESQUE Dr. T’CHÉ-RIEN & mon DOSSIER SPÉCIAL CORONAVIRUS

+ dans LES CHRONIQUES DE ZÉNON

+ dans ANTHROPOLOGIE POLITIQUE : Origine & Critique de l’État, avec… 

+ TOUT LE RESTE avec TOUT notre

Liberté Chérie par RIEN 010124

À CONNERIE UNIVERSELLE ► BOYCOTT UNIVERSEL

221 réflexions sur « TRACT – PDF de JBL 1960 À DIFFUSER SANS PITIÉ : À CONNERIE UNIVERSELLE, BOYCOTT UNIVERSEL de R71 du 24/01/24 »

  1. Snuff movies : aussi mauvais que vous pensiez qu’israël est, vous pouvez toujours être sûr que c’est encore pire !

    https://www.lelibrepenseur.org/snuff-movies-aussi-mauvais-que-vous-pensiez-quisrael-est-vous-pouvez-toujours-etre-sur-que-cest-encore-pire/

    C’est officiel, une unité psychologique de l’armée sioniste a créé un compte Telegram qui diffuse des vidéos extrêmement violentes d’assassinat de Palestiniens, des snuff movies ! C’est assez ahurissant de voir à quel point ces gens sont complètement fous, de véritables monstres et il n’est pas exclu, il est même certain que l’usage de drogues en tout genre est banalisé afin de multiplier des crimes aussi monstrueux. Ces vidéos sont également des preuves des crimes de guerre qui vont peser très lourd dans la balance dans un futur proche ; l’Occident, la France en particulier, aura du mal à expliquer son silence et sa complicité face à tant d’horreur.

    Il s’avère que les forces de défense israéliennes ont mis en place une chaîne Telegram qui diffuse des snuff movies faits maison dans lesquels des habitants de Gaza sont sauvagement assassinés par les forces israéliennes, avec des légendes célébrant le sang et la douleur, comme “Brûler leur mère… Vous ne croirez pas la vidéo que nous avons reçue ! Vous pouvez entendre leurs os craquer“. Les FDI avaient précédemment nié toute association avec la chaîne, mais Haaretz rapporte aujourd’hui qu’elle était directement gérée par une unité de guerre psychologique des FDI.

    C’est l’une de ces très nombreuses fois où israël est si horrible que l’on n’est d’abord pas sûr de ce que l’on voit. On se dit qu’on a mal lu le rapport. Puis on le relit et on se dit “Oh wow, c’est tellement pire que ce que j’aurais imaginé”.

    Aussi mauvais que vous pensiez qu’israël est, vous pouvez toujours être sûr que des informations sortiront plus tard qui prouveront que c’est encore pire.

    Source:  CJ

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    1. Christian Abbot, prêtre, se fait cracher dessus par des extrémistes israéliens !

      https://www.lelibrepenseur.org/christian-abbot-pretre-se-fait-cracher-dessus-par-des-extremistes-israeliens/

      Voici encore une fois la démonstration de la supercherie de la civilisation judéo-chrétienne tant vantée par les agents sionistes, les sayanim de Tel-Aviv. C’est tellement ridicule que nous n’avons pas besoin de le démontrer, la christianophobie israélienne est un fait avéré, il suffit de voir les nombreuses vidéos de chrétiens se faire cracher dessus et violenter par des extrémistes juifs sionistes. Reste à savoir comment est-il possible que les États-Unis puissent donner autant de milliards de dollars à l’entité sioniste, comment est-il possible que les chrétiens évangélistes puissent soutenir leurs pires ennemis ? Décidément, le monde va mal.

      « Barbares » et « civilisations »

      URL de l’article source ► https://resistance71.wordpress.com/2016/12/03/petit-retour-historique-sur-les-barbares-et-la-civilisation/

       Jean-Paul Demoule* |  22 janvier 2016 |  url de l’article original : http://www.jeanpauldemoule.com/barbares-et-civilisations/

      (*) Jean-Paul Demoule est professeur émérite de protohistoire à la Sorbonne, membre de l’Institut Universitaire de France, ancien directeur de l’Institut National de Recherche en Archéologie Préventive (INRAP) et a collaboré au CNRS. Spécialiste de l’âge de fer, de l’histoire de l’archéologie, il est considéré comme le père de l’archéologie préventive en France. Le professeur Demoule est l’auteur ou co-auteur de 17 ouvrages publiés depuis la fin des années 1990, notamment de l’excellent « On a retrouvé l’histoire de France », paru en 2012.

      En ces temps pessimistes, l’Histoire ne cesse d’être requise dans les médias et dans les discours politiques. On se souvient comment la « Fin de l’histoire » avait été annoncée à grand fracas au moment de la Chute du Mur de Berlin par l’idéologue conservateur américain Francis Fukuyama, usant du détournement d’un concept à l’origine hégélien : après la disparition du communisme d’État, le libéralisme économique et la démocratie (dans sa version occidentale) étaient voués à régner indéfiniment sur le monde. Mais la première guerre d’Irak intervint juste après, et un autre idéologue, américain lui aussi, Samuel Huntington, annonça au contraire en 1996 un « Choc des civilisations » (« The Clash of Civilizations and the Remaking of World Order »), théorie à laquelle la seconde guerre d’Irak et l’invasion de l’Afghanistan après le 11 septembre 2001 auraient donné a posteriori un sens, mais pas forcément celui qui était prévu. Le développement depuis lors de mouvements islamistes terroristes et l’actuelle crise des réfugiés venus d’Afrique et du Proche-Orient ont rendu plus paroxystiques encore ces références historiques et leurs manipulations, opposant « civilisation » (sous-entendue occidentale) et « barbares » – et si « barbares » il y a, les plus mécaniquement connus d’entre eux sont bien sûr ceux des « Invasions barbares » qui mirent fin au monde antique.

      Les barbares sont dans nos murs

      Ainsi la présidente du Front national français déclarait-elle dans une réunion publique à Arcachon le 14 septembre 2015 : « Sans nulle action de la part du peuple français, l’invasion migratoire que nous subissons n’aura rien à envier à celle du IVe siècle et aura peut-être les mêmes conséquences ». Elle précisait cette référence historique (peut-être après consultation de son service de communication) dès le lendemain matin sur la radio France Inter : « J’ai dit – je n’ai pas d’ailleurs comparé [sic] – que nous pourrions assister dans les années qui viennent à l’équivalent des invasions vécues au IVe siècle, c’est-à-dire ces gigantesques mouvements migratoires, qui n’étaient pas en réalité des invasions au départ, mais qui étaient des installations. Voilà. Et je pense que gouverner c’est prévoir ».

      Sa nièce, la députée Marion Maréchal-Le Pen, avait invoqué une actuelle « guerre de civilisation » dans un entretien au journal Présent (du 15 janvier 2015) ; et affirmé le 5 juillet dernier, dans une réunion publique au Pontet (Vaucluse), dont le nouveau maire appartient à son parti : « La Provence est une terre d’identité et de résistance. Résistance des princes provençaux face à l’invasion sarrasine, résistance face à la terreur révolutionnaire, face à la réforme protestante, face à l’occupant allemand, face au funeste projet de l’Union européenne en 2005. ». Elle devait d’ailleurs s’en excuser peu après auprès des autorités protestantes, arguant de ses propres origines partiellement protestantes.

      Ces comparaisons avec les barbares d’antan n’étaient pas nouvelles. On la trouvait déjà quelques mois auparavant – comme je l’ai évoqué dans un texte précédent – dans la bouche de l’essayiste et nouvel académicien Alain Finkielkraut : entre ces fameuses « invasions barbares » du Haut Moyen Âge et les immigrations des dernières décennies, l’identité française serait restée intacte et inchangée. Les « quarante rois » ou les « quinze siècles » qui auraient « fait la France » maintes fois invoqués par nos dirigeants, du général de Gaulle à Nicolas Sarkozy, seraient un fait historique.

      Qu’est-ce que la France ?

      On le sait, l’histoire réelle est toute autre. À la fois parce que la « France » du Haut Moyen Âge n’existait pas en tant que telle, que le royaume franc de Clovis avait peu à voir avec les frontières françaises actuelles (la Bretagne et tout le quart sud-est en moins ; la Belgique et l’Allemagne du sud-ouest en plus), et qu’il faut attendre la fin du Moyen Âge pour que les frontières de « la France » commencent à ressembler un peu aux actuelles, encore qu’il y manquait, entre autres, toute la partie orientale – Lorraine, Alsace, Savoie, comté de Nice, Corse. Une large partie de cet actuel territoire n’est en outre que le résultat de conquêtes sur des populations parlant des langues bien différentes du « français », et donc d’une « identité » et d’une culture différentes – Occitanie, Catalogne, Pays basque, Bretagne, Alsace et Moselle, Flandres, Corse.

      Symétriquement, des migrants n’ont cessé d’arriver de l’extérieur et de se mélanger dans ledit territoire depuis les fameuses « invasions barbares » du 4ème siècle : Bretons, Arabes et Vikings au cours du premier millénaire, Anglais à partir du 14ème siècle, tout comme Tziganes ou Roms, Juifs réfugiés d’Espagne puis Morisques aux 15ème et 16ème siècles, sans compter toutes les cours qui accompagnèrent les reines de France étrangères (d’Italie, d’Espagne, d’Autriche, de Pologne …) et surtout les mercenaires qui aux 17ème et 18ème siècles composaient au moins un quart des armées royales. Puis vinrent aux 19ème et 20ème siècles les travailleurs de l’industrie, italiens, belges, espagnols, portugais, polonais ; tout comme les réfugiés politiques fuyant les persécutions, au 19ème siècle d’abord, puis au 20ème siècle : Arméniens rescapés du génocide de Turquie, Russes Blancs, Juifs d’Europe orientale fuyant les pogroms, Républicains espagnols, allemands, italiens – la frontière entre réfugiés « politiques » et « économiques » restant bien souvent ténue.

      À cela se sont ajoutés les mouvements dans l’autre sens : les protestants réfugiés en Angleterre et en Allemagne après la révocation de l’Édit de Nantes, et tous les colons partis de métropole vers l’Amérique du Nord et l’Inde dans le premier empire colonial français, en attendant évidemment le second empire colonial, commencé avec la conquête de l’Algérie de 1830 et parachevé par la Troisième République.

      On le voit, il faut beaucoup ignorer l’histoire, ou beaucoup tenter de la manipuler, pour prétendre que les immigrations nord-africaines du dernier demi-siècle, « politiques » ou économiques », représenteraient un événement sans précédent, prélude à un « grand remplacement » dans une « France » inchangée depuis quinze siècles. Ces comparaisons hasardeuses sont d’autant plus surprenantes que, par exemple, le dernier recueil d’Alain Finkielkraut invoquait par son titre, emprunté à Charles Péguy, « La seule exactitude ». Et que précisément il s’y oppose, au nom de l’ « exactitude » historique et du « réel », aux comparaisons entre l’actuelle montée des mouvements d’extrême droite partout en Europe et le même phénomène pendant les années trente ; et, plus insupportable encore pour lui, la comparaison entre le rôle de boucs émissaires que jouaient les Juifs dans la phraséologie (avant passage à l’acte) des mouvements fascistes européens d’avant-guerre, et le rôle de boucs émissaires que jouent les immigrés dans la phraséologie actuelle des héritiers de ces mouvements.

      C’est ce même souci d’ « exactitude » historique qui aura permis au nouvel académicien de faire, comme le veut la coutume sous la Coupole, l’éloge de son prédécesseur, Félicien Marceau, pseudonyme de Louis Carette, condamné en Belgique pour collaboration avec le nazisme et écrits antisémites, et dont l’élection en 1975 provoqua la démission de l’académie du poète résistant Pierre Emmanuel.

      Quant aux comparaisons, on trouvera sans peine, par exemple, des invectives adressées dès la fin du 19ème siècle à l’encontre des travailleurs immigrés italiens (il y eut des massacres, comme à Aigues-Mortes en 1893), parfaitement superposables à celles qui fleurissent quotidiennement sur les immigrés d’Afrique du nord.

      Lumpenproletariat

      Les assassins manipulés qui ont commis les crimes de masse du 13 novembre 2015 à Paris sont-ils pour autant des « barbares », au sens historique du terme ? Et leurs crimes seraient-ils sans équivalent dans l’histoire ? Faut-il rappeler que les pires massacres et viols commis en Europe depuis la fin de la dernière guerre mondiale, relevant tant du crime contre l’humanité que du crime de guerre, et du crime tout court, l’ont été par des « chrétiens » « blancs », serbes et dans une moindre mesure croates, contre d’autres « chrétiens », mais surtout contre des « musulmans » ? – les guillemets n’ayant ici pour fonction que de disjoindre tradition culturelle et pratique religieuse.

      À ce moment là, tout comme aujourd’hui, les victimes n’avaient et n’ont pas le même poids, ni ne reçoivent les mêmes témoignages de solidarité selon le pays où elles sont assassinées. Et, dans la Yougoslavie des années 1990 comme dans la France de 2015, les religions monothéistes sont aussi l’habillage idéologique visible des luttes de pouvoir et des luttes sociales. Les criminels de 2015 semblent bien relever d’une étrange alliance, sous couvert d’une déviation religieuse aberrante – mais toute religion n’est-elle pas d’abord, pour reprendre Freud, une névrose, encore que l’on ait ici plutôt affaire à des comportements psychotiques – alliance pathologique, donc, entre les luttes de pouvoir au Moyen-Orient et le ressentiment social de populations défavorisées, ex-colonisées, de l’Europe occidentale.

      Une alliance monstrueuse où ce qui ressemble beaucoup à une insurrection sociale embryonnaire est passée, en dix ans, de l’incendie massif de voitures dans les quartiers pauvres, comme on l’a vu en 2005, à l’assassinat à bout portant de jeunes gens du même âge, appartenant aux classes sociales intermédiaires. Une insurrection sociale qui se trompe de cible, à la fois manipulée et réactionnaire, loin de toute revendication politique organisée et cohérente, bref typique à toutes époques des mouvements de ce que l’on peut continuer à appeler avec pertinence le « Lumpenproletariat ».

      S’y ajoute sans doute l’effet de déréalité que confère la « société du spectacle », où les écrans – informations du monde ou jeux vidéos – ont remplacé la participation directe au monde réel, qu’aucune frontière nette ne sépare plus du monde virtuel, pas plus que le mal ne l’est du bien. Et s’y ajoute enfin, de la part de ceux qui manipulent les assassins, un sens certain de la communication moderne, sinon postmoderne, parfaitement contradictoire avec leur prétendu retour au sources d’un Islam médiéval fantasmé.

      Les « invasions barbares » ont-elles existé ?

      Mais revenons à l’histoire, à nos barbares historiques et à la « civilisation ». Ce dernier terme, qui émerge à l’époque les Lumières, est utilisé sous un sens laudatif dans toutes les classifications évolutionnistes, qui distinguent, comme Lewis Morgan repris par Friedrich Engels, les trois stades successifs de la « sauvagerie » (les chasseurs-cueilleurs du paléolithique), de la « barbarie » (les agriculteurs néolithiques et les sociétés à chefferie) et enfin de la « civilisation » (successivement antique, médiévale et moderne). Au 19ème siècle, la préférence allemande pour le mot « Kultur » influencera en retour la langue française, qui hésitera dorénavant entre « culture » et « civilisation » pour désigner aussi bien des sociétés précises que LA civilisation tout court (c’est à dire plus ou moins la nôtre). D’où les fluctuations, comme pour le titre du célèbre ouvrage de Freud de 1930, Das Unbehagen in der Kultur, traduit tantôt par « Malaise dans la culture » – tantôt par « … dans la civilisation ».

      Si bien qu’il y a désormais une constante confusion, plus ou moins implicite, entre LA civilisation, comprise comme le plus haut degré d’achèvement de l’histoire humaine, et LES civilisations, dans le sens large d’un type de société. On se souvient des déclarations remarquées du ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, affirmant quelques semaines avant l’élection présidentielle de 2012 que « toutes les civilisations ne se valent pas ». Il fut soutenu, dans la polémique, par le président de la République qui n’y vit que « du bon sens ». Dans les médias occidentaux des débuts de l’année 2016, le « choc des civilisations » est devenu un terme d’emploi banal.

      Mais l’ambigüité existe aussi chez les historiens. Bryan Ward-Perkins, un historien anglais, intitula son livre de 2005 The Fall of Rome and the End of Civilization, néanmoins traduit en 2014 en français sous le titre moins péremptoire de : La chute de Rome : Fin d’une civilisation. De même, le livre très médiatisé (et abondamment primé aux États-Unis) d’Eric Cline proclamait 1177B.C. : The Year civilization collapsed – ce qui fut traduit l’année suivante en 2015 par : 1177avant J.-C., le jour où la civilisation s’est effondrée. D’un point de vue historique, certes les archéologues ne trouvent plus après cette date de palais, de fresques, de masques en or ou de tablettes inscrites et parlent, déçus, d’Âges Sombres (Dark Ages). Mais, comme après l’effondrement de la civilisation de l’Indus ou des Mayas, ce sont toujours les mêmes communautés villageoises qui subsistent sur place, simplement sans la couche dirigeante qui vivait de leur exploitation. C’est pourquoi un autre livre très populaire, celui de Jared Diamond, Effondrements, comment les sociétés décident de leur disparition ou de leur survie (2005), fut contesté dès l’année suivant sa parution lors d’un colloque d’archéologues : Questionning Collapse. Human Resilience, Ecological Vulnerability, and the Aftermath of Empire (publié en 2010 sous la direction de Patricia McAnany et Norman Yoffee).

      De fait les « barbares » n’ont pas toujours été regardés de la même façon. Tacite avait fait des Germains de « bons sauvages », qu’il opposait aux mœurs dissolues de sa Rome antique. Le Moyen Âge a été sévère à leur égard et créa la légende de ces « fléaux de Dieu » ; mais cette époque fut à son tour « barbarisée » à l’âge classique, qui traita son art de « gothique », c’est-à-dire « digne des Goths », cependant que la noblesse d’Ancien Régime se réclamait d’une ascendance franque, et donc barbare. La Révolution, avec l’abbé Siéyès lui rendit la politesse en invitant ces « sauvages sortis des bois et des étangs de l’ancienne Germanie » à retourner là d’où ils venaient – ce que beaucoup firent, avant de revenir dans les fourgons de la Restauration. Le romantisme allemand au contraire, prenant Tacite au mot, réhabilita les barbares dont le sang neuf et viril aurait eu raison de la décadence romaine. Eric Michaud vient de montrer, dans un livre passionnant, « Les invasions barbares – une généalogie de l’histoire de l’art », comment l’histoire de l’art se construisit au 19ème siècle sur une telle réhabilitation.

      Mais vient la Troisième République, née d’une défaite contre l’Allemagne, dont la victoire permit l’unification presque complète. Dans la construction du roman national français que va diffuser la toute nouvelle école publique, les barbares redeviennent barbares, et vont le rester durablement. Les pages des manuels scolaires illustrent en images éloquentes les hordes sauvages déferlant sur notre pays. Il faut aussi se tirer d’un douloureux paradoxe : les Francs, qui ont donné son nom à la France, à sa langue et à sa monnaie, sont des Germains. On tâche de gommer cette germanité des débuts de l’histoire officielle, tantôt en barbarisant les « rois fainéants » mérovingiens, tantôt en francisant ce qui pouvait être sauvé : Karl des Grosse devient Charlemagne, et Aachen Aix la Chapelle. Et l’on voit dans l’art roman une résurrection de l’art celtique, après une regrettable parenthèse barbare.

      L’archéologie et les barbares

      On en était là depuis un siècle quand, avec le développement de l’archéologie préventive durant les trois dernières décennies, le tableau changea radicalement – grâce aussi à une relecture critique des sources historiques qu’illustrent les travaux de Bruno Dumézil en France, de Walter Pohl en Autriche ou encore de Florint Curta aux États-Unis. L’archéologie ne témoigne en effet d’aucun cataclysme généralisé, dans lequel aurait péri, sous les coups des barbares, tout le monde civilisé. Si le style des objets se transforme, comme il se transformait dans le passé, les campagnes, leurs fermes et leurs grands domaines continuent d’être occupés. Les villes tout autant, même si elles diminuent parfois en taille, construisent ou renforcent leurs fortifications, indices de temps moins calmes que sous l’empire, et si les archéologues y rencontrent d’épaisses couches de terres organiques, les fameuses « terres noires », laissées par des zones non construites, ou construites en matériaux légers, ou encore vouées au rejet de détritus.

      Les « barbares », on le sait, ne voulaient nullement détruire l’Empire, mais au contraire s’y intégrer, même s’il y eut parfois des mouvements violents, qu’il faut néanmoins relativiser. Les rois barbares se faisaient représenter en empereurs romains, Charlemagne compris, et tous les barbares se convertirent au christianisme, dans ses différentes variantes d’alors. La grande bataille des Champs Catalauniques où furent repoussées en 451 les armées d’Attila, officiellement emblématique du combat des forces du Bien contre le Fléau de Dieu, opposait en réalité deux coalitions de peuples germaniques, au gré de ralliements de circonstances. Un peu comme une autre bataille emblématique, celle du Champ des Merles à Kosovo Polje en 1389, qui vit les troupes du Sultan Bajazet prendre, face à l’armée serbe du prince Lazare, le contrôle des Balkans pour cinq siècles : elle opposait également deux coalitions, l’armée ottomane incluant des princes vassaux chrétiens, serbes et bulgares.

      Et si l’on invoque les « racines chrétiennes de l’Europe », c’est précisément dans l’Europe barbare que ces racines s’enracinent.

      Pourtant, la référence aux « invasions barbares » est omniprésente ces temps-ci. La dernière livraison du « Figaro Histoire » le confirme. Cette revue bimestrielle fondée en 2012 est dirigée par le journaliste Michel de Jaeghere, venu de la presse de l’extrême droite policée, successivement Valeurs Actuelles puis Spectacle du Monde, dont il a été directeur. On lui doit plusieurs livres, dont Le Livre blanc de l’armée française en Algérie (2002 : livre collectif destiné à réhabiliter le rôle civilisateur de notre armée pendant la guerre d’Algérie) ; Enquête sur la christianophobie (2005) ; La Repentance : Histoire d’une manipulation (2007). Et il vient justement de faire paraître aux Belles Lettres : Les derniers jours – La fin de l’empire romain d’Occident. C’est sur la base de ce livre que ce numéro du Figaro Histoire se consacre au thème : « Quand les Barbares envahissaient l’Empire romain », avec des sous-titres explicites en couverture : « Les barbares sont dans les murs » et « comment meurt une civilisation ». Toutes ces transparentes allusions à la présente situation géopolitique ne sont évidemment qu’au prix de singulières déformations de l’histoire. On pourra lire, en symétrique, le numéro spécial des Cahiers de Science et Vie qui, toujours sur les « invasions barbares », propose cette fois un dossier objectif et accessible. C’est possible.

      Et sur les migrations dans l’histoire, des origines à nos jours, le colloque de l’Inrap qui leur a été consacré en novembre 2015 en collaboration avec la Cité de l’Immigration peut être suivi sur internet.

      Les « races » dans l’histoire

      Une ultime remarque historiographique, cette fois à propos des « races », puisqu’une polémique sur la « race blanche » a occupé, faute de mieux, pendant quelques semaines l’actualité médiatique, à la suite des déclarations de la députée européenne Nadine Morano, ancienne secrétaire d’État chargée de la Famille et de la Solidarité. Rappelant que la nation française était « de race blanche », elle se fondait non sans raison sur une déclaration du général de Gaulle, icône nationale. Ce dernier aurait confié à Alain Peyrefitte, qui fut ministre de l’Information et académicien : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne » – ce qui prouve incidemment que la locution désabusée « quand même », qui rythme de nos jours presque toute déclaration publique ou privée, n’est pas si récente.

      Maints journalistes se sont contorsionnés, afin de sauver la mémoire du grand homme, en expliquant, soit que Peyrefitte aurait brodé, soit que le général aurait voulu dire autre chose. Il avait écrit pourtant bien avant, dans ses Mémoires d’espoir, à propos de l’Europe : « Pour moi j’ai, de tous temps, mais aujourd’hui plus que jamais, ressenti ce qu’ont en commun les nations qui la peuplent. Toutes étant de même race blanche, de même origine chrétienne, de même manière de vivre, liées entre elles depuis toujours par d’innombrables relations de pensée, d’art, de science, de politique, de commerce, il est conforme à leur nature qu’elles en viennent à former un tout, ayant au milieu du monde son caractère et son organisation ».

      La « race » au sens moderne ne date que de la fin du 18ème siècle, quand les savants naturalistes comme Linné ou Blumenbach entreprennent de classer plantes, animaux, minéraux – et humains. L’anthropologie physique à prétention scientifique ne date, elle, que du milieu du 19ème siècle. Paul Broca, le grand médecin progressiste à qui l’on doit notre « zone de Broca », partie de notre cerveau qui nous permet de parler, la définissait comme « l’étude scientifique des races humaines », races par nature inégale. Leur définition reposait sur la mesure des crânes. Or, plus on mesurait de crânes (et jusqu’à 5.000 mesures sur un même crâne), plus les frontières entre groupes humains s’effaçaient – évidemment. Si bien qu’à la fin du 19ème siècle, l’un des principaux disciples de Broca, Paul Topinard, pouvait affirmer : « La race n’existe pas dans l’espèce humaine, […] elle est un produit de notre imagination et non une réalité brute, palpable ». Dès lors, la notion de « race » sortit progressivement du champ scientifique, même si elle survécut en France, avec l’école d’Henri-Victor Vallois, plus longtemps qu’ailleurs.

      Mais en tant que terme idéologique, appuyé sur la fausse évidence du sens commun, elle continua, on le voit, une carrière prospère. Le président même de l’Académie des Sciences, Emmanuel Leclainche, pouvait ironiser en 1937 : « Il est entendu que pour les savants, il n’y a plus de races humaines. Mais, malheureusement ou heureusement, il n’est point que des savants sur terre. La masse des ignorants persiste à croire qu’il existe tout de même des Blancs, des Noirs et des Jaunes et qu’on les reconnaît sans trop de peine ». Les choses n’ont pas évolué depuis, malgré les manuels scolaires ou les expositions pédagogiques, comme celle du Musée de l’Homme, il y a quelques années : « Tous parents, tous différents ». L’ironie, si l’on peut dire, de l’histoire est que cette invocation de la « race blanche » a pour fonction actuelle de distinguer « Français de souche » et populations issues d’Afrique du Nord et du Proche-Orient, lesquelles sont pourtant, de par les classifications raciales, de … « race blanche ».

      Mais on aurait tort de ne voir là que des résidus idéologiques. Le racisme « scientifique », s’il a abandonné la craniométrie, continue d’utiliser le QI, et surtout la génétique. Le livre de 1994 The Bell Curve: Intelligence and Class Structure in American Life du psychologue Richard Herrstein et du politologue Charles Murray a été un best seller aux États-Unis. Il expliquait que les Afro-Américains ayant « scientifiquement » un QI inférieur à celui des « blancs », il était inutile de gaspiller de l’argent dans des programmes sociaux d’éducation. Best seller aussi A Troublesome Inheritance du journaliste américain Nicholas Wade, paru en 2014, qui prétend sans aucune preuve tangible que les différences génétiques entre les populations du globe expliquent aussi leurs comportements, agressifs ou pacifiques ou généreux, etc – tout comme on « détecte » régulièrement le gène du crime ou de l’homosexualité. Le Wall Street Journal, entre autres, en fit une recension enthousiasme, que ne suffit pas à doucher une lettre collective de protestation, signée par près de 150 généticiens de renom.

      Avec l’actuel prestige de la génétique et ses succès effectifs en médecine, dans les enquêtes policières ou encore dans la mise en évidence de migrations préhistoriques, on n’est pas prêt d’en finir avec le racisme biologique.

      […]

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      21 AVRIL 2019 ► J’ai réalisé une refonte complète de ce PDF, vu que pour Macron, et tout son orchestre ► Le temps des cathédrales est (re)venu ► On a retrouvé l’Histoire de France de Jean Paul Demoule, compilation R71, revu et corrigé ce 21 avril 2019 avec en page 24 pages tous les PDFs ad hoc et connexes réalisés depuis lors ►  https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2019/04/on-a-retrouvc3a9-lhistoire-de-france-de-jpdemoule-compilation-r71-revu-et-corrige-en-avril-2019-par-jbl1960.pdf

      https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2019/04/on-a-retrouvc3a9-lhistoire-de-france-de-jpdemoule-compilation-r71-revu-et-corrige-en-avril-2019-par-jbl1960.pdf

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  2. Allo ? Non mais allo, quoi ?

    Vous roupillez ou quoi ?

    Alors ? Keskidi le Gaby Détale et l’autre Nono de la FNSEA ?

    Et les kakous avé l’assent du Sud Ouest, hein ?

    Tu m’étonnes que vous n’êtes pas des Gilets Jaunes ! Surtout pas de vagues, hein ?

    Allez, à la niche ! Couchez ! Pas bougez !

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    1. Ce système n’est pas corrompu, il est LA CORRUPTION !

      Et ils s’en trouvent qui veulent le réformer !

      Faudrait voir d’ouvrir les yeux, nous avons à faire avec LA MAFIA !

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  3. Faites masquer l’accusé ! Pierre Chaillot de Décoder l’€co

    Sortie le 28 janv. 2024

    C’est l’hiver, les nez coulent, les yeux piquent, les gorges grattent. Voici venue la saison des enquêtes médicales pour retrouver le coupable : à cause de qui est-on devenu malade ? Qui se permet de venir contaminer les autres en propageant ses microbes ? Malheur à celui qui était malade avant nous, enfant, collègue ou conjoint. Le premier trouvé sera l’accusé. D’ailleurs, il est inutile de chercher une autre cause. Utiliser l’expression “j’ai attrapé froid” devant vos collègues déclenche systématiquement des yeux levés vers le ciel. En effet, comment peut-on répéter cette phrase poussiéreuse de grand-mère ? Nous sommes quand même au 21e siècle ! Rien de tel pour passer pour le pire obscurantiste du couloir. Si en plus vous osez prétendre qu’une tisane au thym et au miel font du bien, votre compte est bon. En même temps, tout le monde sait que vous doutez des vaccins, alors… Finalement, on se demande ce qui empêche nos amis férus de science de se balader en tee-shirt sous la pluie en hiver avec pour seule protection un masque FFP2. Selon la théorie du germe, il suffit d’éviter aux virus de rentrer pour ne pas être malade. Si on est malade, c’est à cause des autres. L’enfer, c’est toujours les autres.

    Source : Le Média en 4-4-2 VIA https://reseauinternational.net/pierre-chaillot-faites-masquer-laccuse/

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  4. Hamas provoque un électrochoc planétaire en dévoilant la nature génocidaire du sionisme ► https://reseauinternational.net/hamas-provoque-un-electrochoc-planetaire-en-devoilant-la-nature-genocidaire-du-sionisme/

    par Kamel Khelifa

    Les hommes politiques et les médias mainstream occidentaux ont longtemps dupé leur monde, en faisant croire à qui veut l’entendre que le parti politique palestinien Hamas, pivot ces dernières années de la résistance armée, contre l’occupant israélien, serait une organisation «terroriste» «fondamentaliste», « islamiste». Et de marteler : «tantôt proche des frères musulmans d’Égypte, tantôt apparenté à Daech (ISIS en anglais et EI en français) ; soit dit en passant, Daech fut créée par le Mossad-CIA-MI6, comme proxy, dans le sillage d’Al-Qaïda. L’EI, se bat toujours en Syrie contre Bachar et pour l’étoile de David et la bannière étoilée, tandis que le contribuable étasunien croit que son pays combat le terrorisme…

    Pour preuve que Daech est un monstre terroriste, créé à la solde de l’Occident, pour mettre à terre les pays arabes, son sigle en anglais (ISIS) ou (Islamic State In Irak and Syria) est un clin d’œil au Mossad et une pale copie du sigle sioniste : Israel’s Secret Intelligence Service.De la résistance palestinienne et des tentatives sionistes de l’étouffer

    Daech possède tous les matériels de guerre anglo-américains-sionistes et il est financé par certains pays arabes du Golfe, «pour le bien d’Israël», selon Hilary Clinton, propos confirmés par l’ex-1er ministre Qatari Jassem Al thani…, (vidéos). Les porte- paroles d’Israël furent invités en vain, par les chaines satellitaires arabes, à produire une preuve, la plus infime soit-elle, impliquant les mouvements de la résistance (Hezbollah, Hamas, etc.), contre un pays quelconque, autre que l’entité sioniste. Par contre, le sionisme, dont nul n’en évoque jamais l’existence, comme s’il s’agissait d’une maladie honteuse, est un régime de colonisation sanguinaire, raciste, capable de tous les coups tordus, y compris envers ses alliés ; à preuve l’espionnage, à grande échelle, même de Chefs d’État, y compris des pays amis (Meckel, Sarkozy, etc.), avec le logiciel espion Pegasus, destiné à attaquer les Smartphones.

    Hamas vient d’arracher le masque à Israël, laissant apparaitre le visage génocidaire de ce régime politique, pire à beaucoup d’égards que le régime nazi, auquel le sionisme talmudo-cabaliste a rajouté une dimension biblique, exacerbée par un espoir messianique nébuleux et dangereusement fanatique. Et c’est au nom de ces théogonies qu’un parano comme Netanyahou (ivre de versets talmudiques, à l’instar de centaines de milliers de sionistes comme lui) ne résiste pas à la tentation de faire couler gratuitement le sang, histoire de hâter la venue du Messie (et partant faire reculer son jugement personnel pour corruption), à certaines conditions, jamais remplies jusqu’ici : la quête d’une génisse rousse, exempte de défaut, pour pouvoir purifier l’autel des sacrifices, suivant un rituel bien défini par des Écrits où il est question : de cendres de la génisse, après sacrifice ; de bois de cèdre ; d’eau lustrale, recueillie par un enfant prédisposé à cet exercice de collecte du précieux liquide, etc. Dans l’univers sioniste clos, plutôt athée, ceux qui le composent ne croient pas généralement en Dieu. Toutefois ils prêtent foi au sacrifice d’une génisse, aux faux prophètes, aux faux messies, au cadastre biblique offrant sur un plateau d’argent une «terre promise», à un «peuple élu», etc. Des calembredaines débitées, pendant des siècles, à des goyim de plus en plus sidérés, à force de victimisation et de jérémiades sans larmes, devenues des sourires en coin, narquois, alors que les Judéens ne croient en rien ; ce qui fit dire au philosophe juif français Henri Atlan : dans le judaïsme point de trinité, ni de fils, ni de Saint Esprit, juste un Dieu, auquel personne ne croit…

    L’effet de la propagande mensongère sioniste à atteint de tels sommets, qu’il est permis aux «enfants d’Israël», de jouer comme toujours sur le registre victimaire, pour diaboliser leurs adversaires, en les traitant notamment de : «terroristes» ; d’«animaux», etc., comme enseigné par le Talmud, sans respect aucun à ces bêtes nourricières de l’homme ; prenant le cas truculent et bestial des cabalistes, pour des généralités applicables à tous… En fait de mensonges, notons que la création de Hamas en 1987 fut certes applaudie par l’entité sioniste, pensant de la sorte affaiblir la résistance globale, incarnée à l’époque par l’OLP (Organisation de Libération de la Palestine), avec pour chef de file le Fatah de Yasser Arafat. Voyant au bout du compte que le parti Hamas ne mordait pas à l’hameçon, en se lançant dans des guerres fratricides, fomentée machiavéliquement par l’occupant sioniste, celui-ci changea le fusil d’épaule, en jouant la carte de la négociation avec l’OLP, pendant que Hamas poursuivait sa radicalisation.

    Pourtant, Israël usa toutes les ficelles de la séduction en vain, pour convaincre les dirigeants de Hamas de composer avec l’occupant, sans parler du recours à la répression sauvage (politique de la carotte et du bâton). Des épreuves de force, toujours présentées par les médias aux ordres comme des «ripostes» (jamais des initiatives d’agression d’Israël), au «monstre islamiste», dont ses membres sont déclarées «cibles légitimes», comme dans un tir aux pigeons ; en témoignent les assassinats des principaux fondateurs de Hamas et un nombre incalculable de ses cadres et militants, au même moment où Israël faisait fuiter des infox, relatives à une prétendue création de Hamas, par ses services. C’est cette information colportée aujourd’hui par un certain Joseph Borrel, en service commandé aux ordres du sionisme, comme beaucoup de ses acolytes de l’UE, pour discréditer davantage la cause patriotique de feu le Cheikh Ahmed Yacine, tétraplégique assassiné sur son fauteuil roulant par le Mossad.

    Une juste cause d’un peuple qui vient, par son sens du sacrifice et sa détermination, de gagner la sympathie de la planète entière, après avoir dévoilé au grand jour la vraie nature génocidaire, sauvage et inhumaine du sionisme… En effet le fameux «Free, free Palestine» et le keffieh palestinien, déployés lors des manifestations planétaires, auxquelles y participent nombre de juifs orthodoxes, ne sont pas un simple slogan et un quelconque tissu, symbole de lutte. Ils évoquent désormais le mémento des morts, rappelant à l’humanité malade la fin prochaine du règne cauchemardesque de l’Occident collectif et son injustice criante, devant les plus faibles, en passe d’être heureusement neutralisée à temps, grâce au sursaut opportun des civilisations anciennes, déjà regroupées au sein des BRICS : Afrique du Sud, Chine, Russie, Inde, Iran, Égypte, Éthiopie, Arabie, Brésil, Argentine, etc., et encore deux bonnes douzaines de pays frappent au portillon.    

    Si cette infox de création du Hamas par l’occupant, présentait la moindre véracité, elle aurait certainement été frappée du sceau «ultra secret», sans que l’opinion publique ne puisse s’en saisir et en tous cas jamais rotée aussi bruyamment par Joseph Borrel, Chef de la diplomatie européenne, déclarant souvent une chose et son contraire. Est-il besoin de rappeler la polémique impolitique, suscitée par l’objectivité peu diplomatique, du premier ambassadeur de l’UE, au sujet du «jardin européen» et de «la jungle du reste du monde» ; suivi d’un précédent plaidoyer du «droit d’Israël à se défendre», contre un peuple palestinien colonisé et enfermé, dans une prison à ciel ouvert, durant 75 ans. Maintenant que les carottes sont cuites, le monde sortant de sa profonde léthargie, Borrel implore Israël de se conformer aux résolutions de la CIJ, de cessez le massacre et le feu, après que l’UE ait défendu en rang serré le bourreau sioniste enragé, dans ses actions génocidaires, sans cesse renouvelées à Gaza. Aujourd’hui, la planète attend avec impatience le lancement des plaintes contre les complices d’Israël (USA, UK, France, Allemagne, etc.,) sans quoi, le risque est grand de voir le Sud collectif procéder à un boycott général des produits, de tous les pays occidentaux, en vue de mettre à genoux les économies solidaires avec Israël !

    Ce blocus contre I‘entité sioniste s’impose, comme seul moyen de légitime défense solidaire, avec le peuple palestinien. Ce processus, initié par les Houthis au Yémen, porte déjà ses fruits, avec une augmentation de l’ordre de 40% des tarifs de fret et des assurances, avec des répercutions d’autant sur la valeur des produits, du fait du déroutement des navires par le cap de Bonne-espérance (Afrique du Sud). Quant à la résistance globale en lutte, pour la récupération des terres occupées au Levant dans la : plaine de la Bekaa (Liban) ; au Golan (Syrie) ; une grande partie kurde occupée du coté irakien et syrien, avec une présence insoutenable des USA et des bombardements intermittents d’Israël, quand ça lui plait, comme si les tueries des  Palestiniens ne lui suffisent pas. Faisons confiance au courage et à la résilience légendaire des peuples (et non à leurs dirigeants majoritairement corrompus), de ne pas laisser le champ libre à l’ennemi. La résistance continuera à faire parler la poudre avec des succès majuscules, comme hier elle livra des guerres à l’ennemi sioniste avec des pierres (Intifada), sans se lasser. C’était le seul moyen à l’époque de faire valoir son existence sur sa terre, menacée par des colons sionistes morveux et voleurs, justifiant l’occupation du territoire d’autrui, par un simple slogan : «une terre sans peuple, pour un peuple (élu) sans terre». C’est ainsi que le sionisme compte rééditer la Nakba de 49, avec le transfert ailleurs de deux millions de Gazaouis, vers d’autres pays arabes, voire d’Afrique, selon les derniers plans de Netanyahou, à faire exécuter par Joe Biden and Co., commandant en chef du vaisseau amiral de l’Empire occidental, complètement sionisé.Les pays les plus puissants se sont généralement forgés dans la résistance

    Quand on pense aux pays qui obtinrent leur indépendance de haute lutte (Vietnam, Cuba, Algérie, Afrique du Sud, etc.), on ne peut s’empêcher de les comparer à deux autres exemples de résistances historiques, entre cousins colonisateurs : le soulèvement de Georges Washington et ses milices, appelés alors «les Fils de la Liberté», livrèrent une guerre de 8 ans (1775-1783) à l’Angleterre, en vue de la libération de l’Amérique, «au nom du droit naturel à l’insurrection légitime, y compris dans la pensée politique commune aux Lumières britanniques…» Furent-ils des terroristes ? Du reste, lors de la signature du traité de paix, les résistants américains, ne se firent pas faute de rappeler aux colons britanniques, le droit légitime à se défendre. N’est-ce pas aussi le combat pour la Liberté des Palestiniens ? Lorsque Charles de Gaule lança son appel de juin 1940 aux Français, à prendre les armes, pour libérer la France de l’occupant allemand, fut-il traité de terroriste ? De tels exemples, multiples à travers l’histoire, montrent bien que la partialité est partie intégrante de la psyché de l’Occident politique. Celui-ci veut à tous les coups gagner, à pile et à face et voir son vis-à-vis perdre sans coup férir.

    Les USA, dont autrefois l’exemple a suscité tant d’espoirs chez les peuples en lutte, piétinent aujourd’hui les propres principes instaurés par les pères fondateurs de l’Amérique, qui affirmaient déjà en 1776, dans une déclaration gravée dans du marbre, que : «les Colonies-Unies d’Amériques (devenues ultérieurement les États-Unis, Ndl’A) ont le droit d’être des États libres et indépendants» ; propos réaffirmés au lendemain de la Seconde guerre mondiale, par le Potus Franklin D. Roosevelt, en direction des autres nations, en ces termes : «l’ère de la colonisation est close. Ces contradictions (les USA n’en sont plus à une près), entre les paroles et les actes, et autres traités sur le partage du Moyen-Orient (Cf., conférences de San Remo, de Sèvres, etc.), ne confortent-elles pas l’opinion de plus en plus répandue, dans le Sud global, qualifiant désormais l’Occident d’espace politique peuplé d’«États voyous», de «politiciens menteurs, vivant dans des «sociétés aux valeurs majoritairement décadentes». Le penchant récent des pays africains, latinos, etc., pour la Russie et la Chine n’est pas le fruit du hasard, tant l’Occident brule à petits feux ses vaisseaux, sans apparemment s’en rendre compte.

    Si les politiques et les médias occidentaux assimilent les résistants arabes, qui luttent pour la récupération de leur terre, pour des terroristes (Hezbollah libanais, Hamas palestinien etc.), Tsahal (qui massacre des enfants et des femmes, faute de pouvoir se mesurer aux combattants de la résistance, sur le champ d’honneur) serait sans doute une armée de bons Samaritains ; autant que peuvent l’être les recrues des organisations sionistes de : l’Aman, le Shin Bet, le Mossad… Des organisations de la terreur et une véritable armée civile, comptant quelque 150 000 Sayanim dans le monde, encartés dans des milliers d’organisations sionistes et incrustés dans tous les rouages des institutions occidentales et internationales : ONU, UE et même la Ligue arabe et l’Organisation de la Coopération islamique, n’y échappent pas, grâce «…aux charmes de nos femmes, la brillance de notre argent  et l’exercice de notre influence…» ; Cf., la déclaration solennelle du B’nai B’rith, organisation maçonnique ouverte uniquement aux sionistes. Exit tous les Goyim, même les plus proches du sionisme.

    Le slogan secret du Mossad «par le mensonge tu vaincras» reste inconnu pour le commun des mortels. Néanmoins, il est révélateur d’une seconde nature, inculquée par le Talmud, aux auxiliaires sionistes de cet instrument de la terreur et sa capacité d’infiltrer tous les cercles, puisque les Sayanim sont partout : omnipotents ; omniprésents et omniscients ; ils sont porteurs de diverses nationalités, de tous les pays d’accueil, tout en gardant leur identité propre et l’espoir messianique judéocratique intact. Cf. l’ouvrage du juif franco-marocain, Jacob Cohen, intitulé : «Le printemps des Sayanim». Aussi, c’est avec un art consommé de cacher les couleuvres que les sionistes dissimulent les vraies origines de cette «armée la plus morale du monde», se gardant toutefois de dire qu’elle est issue d’anciennes organisations terroristes sionistes, dont une partie active toujours dans le secret, depuis les débuts du siècle dernier : Lehi,  Irgoun, Haganah, Betar, etc.

    Ces organisations terroristes, sans uniformes ni insignes, ont repris du poil de la bête à l’étranger, après avoir semé la terreur, au sein des populations palestiniennes, suite à la création de l’entité sioniste en 1948, pour asséner tous les coups tordus à des contestataires européens du suprémacisme sioniste. Sous les proscriptions arbitraires de ces organisations secrètes, une partie des familles palestiniennes furent condamnées à l’errance, à travers le monde (non par un arrêt exilique de Dieu, comme ce fut le cas des juifs, mais…) par la volonté du sionisme !) À entendre certains sionistes, du genre Attali, prétendre que la mémoire serait juive (comme si les Goym en étaient dépourvus), par quel miracle le «Peuple élu» oublia-t-il les époques où il fut sans cesse persécuté (pour quelles raisons ?), par tous les goyim de la création, depuis les Babyloniens, jusqu’aux Allemands, en passant par les Égyptiens, les Romains, les Ibériques, etc. ? Seuls les Arabes ont épargné des Pogroms habituels aux juifs, sans doute, en raison des versets du Coran, appelant le croyant au devoir de soumission à Moussa (Moïse) et Aissa (Jésus), en tant que messagers d’un Dieu unique aux trois religions…

    L’énumération serait trop longue, si on devait rajouter les guerres fratricides, entre Judéens et Israéliens, Pharisiens et Sadducéens, Zélotes vs Esséniens (ceux-ci bien que pacifiques, se vouant à la théologie et la spiritualité, furent quand même anéantis par les conflits, comme le furent les deux frères ennemis, Jacob et Esaü, arrivant à croiser le fer, pour un plat de lentilles ; seuls des occasions de complots ensemble pouvaient rassembler deux camps juifs, comme ce fut le cas de l’entente entre sectes, lors de la mise à mort de Jésus. Il est à croire aussi que ce serait le complot, contre Dieu et les Goyim, qui aurait permis depuis des siècles cette soudure invisible entre juifs, porté par l’ambition de dominer le monde, pour le mener vers le chaos (ordo ad chaos), prédit par les Ecritures. Mais c’est certainement dans des pays arabes où l’ingratitude du «peuple élu» est la plus manifeste (Infra) ; de l’aveu même de congénères juifs orthodoxes abrégé en un discours du Grand rabbin orthodoxe, David Weiss, Président de Naturei Karta ; un phénomène d’ingratitude à l’égard des Arabes, en dépit de l’asile et la protection qu’ils reçurent, déjà au commencement de leur histoire, il y a environ 3000 ans lorsqu’ils furent chassés de Babylone, et ce jusqu’à la fin de leur errance en 1948, en Palestine ; lorsque l’Agence Juive Mondiale négocia avec Adolphe Jacob Hitler le contrat de transfert (havaara en hébreux), des juifs allemands vers la Palestine. Oui ! Avec Adolphe Jacob Hitler et la polémique provoquée en direction du ministre russe Serguei Lavrov, relative à l’origine juive du Führer, était un simple écran de fumée, pour étouffer une affaire aussi encombrante, de nature à faire remonter à la surface quelques souvenirs et beaucoup de mensonges. Il semble, selon l’écrivain juif canadien, Henry Makow (voir ses livres sur les Illuminati), seulement ceux qui refusèrent la havaara, connurent le sort funeste que l’on sait et rarement, en raison de leur «origine juive», ou cette pseudo «haine des juifs», comme elle est généralement serinée par les Goebbels contemporains…

    Sous d’autres cieux, le sinistre Betar (organisation terroriste) sévit encore en France, où le juif français antisioniste, feu Robert Faurisson, Professeur d’université de son état, catalogué de négationniste de la Shoah, gouta à toutes les persécutions et humiliations, infligées à cet intellectuel du troisième âge, jusqu’à sa mort. D’autres sommités avant lui, dont le penseur français Roger Garaudy, pour avoir formulé le même avis, le betar lui montra de quel bois il est fait, en lui fermant les portes au nez, de toutes les maisons d’édition de France, outre de lui avoir fait subir toutes sortes d’avanies. Beaucoup, comme eux payèrent le prix fort (le Père Régimbald et son compatriote canadien le journaliste Serge Monast, l’écrivain américain Douglas Reed,  le suédois Yuri Lina, l’écrivain Hervé Ryssen,  le député belge Laurent Louis ; le parlementaire britannique Galloway, l’humoriste français Dieudonné, l’écrivain Alain Soral) ; tous n’ont pas plus aux sionistes ou furent catalogués d’«antisémites» ; terme délétère, utilisé à tort et à travers, depuis que cette engeance s’est emparée des commandes de toutes les institutions des pays d’accueil occidentaux et en particulier les USA, la France, l’Allemagne, la GBR… Ce qui fit dire à juste titre, à Michèle Sibony, militante française pour la paix, juive elle-même : «l’antisémitisme cessera lorsque les juifs deviendront comme tout le monde, des sujets soumis à la loi».Du juif errant au sioniste conquérant, triomphant, jubilant…

    Le «juif errant», puni par Dieu pour ses transgressions de la morale divine et celle des hommes, selon les Écritures, fut trimballé pendant des siècles dans les caravanes arabes, depuis le Yémen, puis de l’Arabie heureuse, jusqu’aux confins de l’Andalousie, après les grandes épopées arabo-musulmanes, du  Maghreb à l’aller, et au retour lors de la reconquista… Ce peuple finira un jour, cédant aux chants des sirènes sionistes, en Palestine arabe, dans laquelle non seulement il occupera la place des Arabes autochtones, mais in fine forcera environ un quart d’entre eux à l’exil ; ajoutons qu’à peu près autant passera de vie à trépas, après le terrible génocide de 48 (Nakba non jugée à ce jour), avec la complicité des forces britanniques occupantes. Ces dernières fermèrent les yeux sur cette forfaiture.

    Après coup un nombre conséquent restera sur place en Palestine, lequel sera divisé en deux parties : l’une, constituée par des Palestiniens, appelés «Arabes de 48», accepta de servir l’occupant et d’avaler des couleuvres sionistes, à longueur de temps ; la seconde partie subira le joug et le sort de réfugiés, majoritairement dans des camps de l’ONU (UNRWA), créés à cet effet, il y a 75 ans, pour que les grandes puissances se donnent bonne conscience. Mais beaucoup d’entre eux rejoindront la résistance clandestine, telles : L’OLP et ses différentes branches ; Hamas et sa branche armée Azzedine El Qassam (du nom du martyr, fondateur du parti). Cette branche armée compte dans ses rangs nombre de chefs actuels de la résistance armée, dans le fameux «métro de Gaza», parmi lesquels les deux commandant en chefs : Yahia Senouar et Mohamed Daif, nés à Khan Younes, puis passèrent chacun une vingtaine d’années dans les geôles sionistes… Ce camp de réfugiés, connu pour avoir subi, comme tant d’autres camps, à chaque incursion de l’armée sioniste, le martyre, au prix de milliers de martyrs, massacrés à la moindre saute d’humeur des colons ultranationalistes Khazars, durant des décennies…

    Quel qualificatif donner à la terreur imposée par des colons armés, sur les Palestiniens désarmés et leurs biens déclarés vacants, après leur départ forcé de leur terre, sinon de terrorisme d’État, dans toute son horreur… Terrorisme : voilà un mot rendu obligatoire, dans la sémantique sioniste, et ânonnée comme une leçon de catéchisme de persévérance, par des hommes politiques occidentaux, initialisés à l’effet de nuire à la résistance palestinienne et au monde arabe et musulman, en général. Mais la revanche palestinienne s’exprime désormais sur le champ de bataille, au bout du viseur de la fusée El Yacine ; arme de fabrication locale, usinée dans les tunnels de Gaza. Ces armes, adaptées à la guérilla urbaines et les combats rapprochés, réduisirent en cendres, lors des trois mois d’opération «déluge d’Al Aqsa», plus de 1200 véhicules blindés ;  chaque frappe étant filmée, par un cameraman de Hamas, vidéos à l’appui, dont un bon nombre de markavas, autour desquelles  le silence est total, et pour cause : une estimation du bilan des morts, avancée par le général de division, jordanien à la retraite, Fayez El Douiri, en sa qualité de consultant de la chaine qatarie Al Jazeera, se situe entre 4800 à 5000 soldats israéliens, en considérant une moyenne de 6 soldats, par véhicule blindé touché (chars, transport de troupes, etc.). Le nombre est à multiplier, au moins par deux, quant aux blessés (10 000 dont certains portent des blessures graves.)

    Etant réduite à l’impuissance par la résistance (dont les éléments, un maximum de trois, n’apparaissent que pour tirer et se replier, dans leurs caches souterraines respectives, ou au milieu des décombres des immeubles), l’armée d’occupation se venge sans rougir sur les populations civiles, fuyant l’horreur des bombardements, auxquels nul quartier de Gaza n’y échappe : les militaires sionistes au sol, leur indiquant des couloirs labyrinthiques, menant à des impasses, de manière à les piéger en masse, dans des prétendus «zones de sécurité», augmentant ainsi le nombre de victimes civils sans défense, de 250 à 300 morts/jour ; nonobstant le droit et les conventions internationales de l’ONU, otage de l’empire de US-Sion.                                                      

    Notons que toutes les théories politiques et sociales, devenant de la philosophie pour gens riches, instruits et s’ennuyant à mort a fortiori, furent imposées suivant la vision de la doxa talmudo-cabaliste, voulant tailler en pièces toute forme de nationalisme des autres nations, devenu monopole (entre-soi) exclusif des «enfants d’Israël». Le nationalisme fut liquidé et remplacé d’abord par le cosmopolitisme proto-sioniste, comme ils réussirent à achever le christianisme, avant que le tour de l’Islam n’arrive, après le dépeçage de l’empire Ottoman en 1916, par deux ministres franco-britanniques Sykes et Picot. L’Islam est désormais dans le malaxeur de la réinitialisation talmudique, avec des «interdits», à n’en plus finir, et des ouvertures grotesques charriées bientôt par le fameux projet NEOM, du prince héritier Mohamed Ben Salmane, dit MBS. Un autre Las-Vegas en terre d’Islam où jeux de hasard, consommation d’alcool et autres mélanges des genres sont en perspective. Des vices non seulement blâmables par la religion, mais répréhensibles par la Loi, dans des lieux publics.

    Rappelons que le cosmopolitisme avorta dans l’antiquité, mais il sera remis au goût du jour au XVIIIe, pour finalement tomber entre les mains des mondialistes actuels, dont les représentants du «mal absolu de l’humanité» s’activent aujourd’hui au sein de milliers de think tanks et autres organisations cryptocratiques dont le public ignore tout, du genre : Bilderberg ; Cercle à Paris ; Club de Rome ; CFR ; Trilatérale ; Forum mondial de Davos, animé par un certain Klaus Schwab and Co., à l’œuvre pour le «bien des bipèdes», souvent victimes de pandémies incompréhensibles, dont le «covidisme» fut traité avec des vaccins suspectés de tous les travers, par l’opinion publique.

    L’humanité commence à s’étirer, voulant sans doute secouer sa longue torpeur et mettre le holà à ce manège en «isme», puisant ses racines davantage dans la mythologie biblique (plutôt talmudique), devenue  une nouvelle constitution (secrète) adoptée par l’Occident collectif, au profit d’une secte de falsificateurs détraqués, en quête de domination du monde. Par des tours de passe-passe, ces troqueurs de bible, en échange d’un talmud griffonné de mains de mortels rabbins, recrutent leurs ouailles  dans les synagogues de Satan, dénoncées en leur temps par les apôtres, et leurs adeptes méphistophéliques dans des cryptes (appelées pudiquement des camping), du genre Bohemian grove (Californie), où les invités par centaines parrainées, en voient de toutes les couleurs, dans les nouvelles Sodome et Gomorrhe des États-Unis.

    Notons que l’«Israël du Nouveau Monde, fut évoqué par certains pères fondateurs, au temps des Provinces Unies d’Amérique (1er nom de l’État américain). Ils étaient au nombre de 55, réunis à la Convention constituante de Philadelphie, parmi lesquels des juifs riches et influents : Benjamin Franklin, John Rutledge, Nataniel Gorham, David Breadley, Jacob Broom, Jonathan Dayton, Robert Sherman, Abraham Baldwin, etc. À cette catégorie, il y a lieu de rajouter pas moins de 22 chrétiens protestants, majoritairement proto-sionistes, avant la date et la lettre. Les chrétiens protestants seront remplacés ultérieurement par les «protestants évangélistes», à partir des années 60 ; sans compter un paquet de francs-maçons, à leur tête, le plus illustre d’entre eux : Georges Washington, premier président des USA.

    Ceci pour comprendre le syncrétisme fusionnel entre le sionisme et les classes politiques occidentales et plus particulièrement aux USA, où les élections sont une affaire de gros sous, ce qui explique le rôle déterminant du lobby juif dans toutes les élections. Chaque membre d’un parti politique (démocrate/républicain) ou chaque président, indépendamment de son camp politique (Bush père et fils, Clinton, Obama, Trump, Biden), se sent dans son for intérieur sioniste et il a besoin de le faire sentir et ressentir vivement au lobby sioniste… Et le phénomène est d’autant plus remarquable que des élections approchent et les enjeux importants, comme en ce moment critique. Dès lors, appartient-il à chacun d’afficher ouvertement son appartenance au sionisme, comme ce fut le cas de Joe Biden, au mois d’octobre 2023, à Tel-Aviv, lors de la déclaration de guerre totale à Hamas par Israël… Candidats à l’élection et leur parti respectif d’un côté, les contributeurs et les donateurs de l’autre, se livrent à un véritable show où les enjeux tournent moins autour de projets de politique, économique et de sociétés que de plaire à l’establishment sioniste.

    Ainsi, forts de cette aura auréolée, en tout lieu et circonstances, les sionistes juifs, croient avoir expulsé Moise du royaume des cieux, en prenant sa place, pour faire le plus mauvais usage des «dix commandements», les transformant en un cadastre hors-la loi. C’est du reste pour se venger de Dieu, qui prononça contre eux un Décret exilique, qu’ils jetèrent leur dévolu sur l’Occident global : USA, GB, France, Canada, Italie, Espagne, Australie, etc., pour faire avancer leur agenda athée et à tout le moins agnostique, au plus offrant…  Depuis la proclamation officielle du sionisme, à la fin du XIXe Siècle, ses adeptes sont devenus les maitres du jeu, du feu, des flammes et de l’enfer sur terre, dans l’Occident protestant et surtout athée ; un ensemble politico-économique rehaussé depuis 1949, par les forces de l’Otan, pour clouer le bec à tout pays contestataire de l’ordre Anglo-US-Sion, prévalant dans l’Empire… Avec la complicité de l’Occident perfide et son aide invariablement inconditionnelle, Israël se venge cyniquement de tout, de Dieu et même de l’UNRWA ; une petite agence de l’ONU pour les réfugiés, avec l’intention de lui faire couper aujourd’hui les contributions financières, alimentaires et vestimentaires, octroyées par les pays donateurs, au prétexte qu’elle aurait prêté main forte à Hamas. Cependant, fort de son impunité, Israël accuse des parties, mais sans daigner fournir des éléments de preuves, à l’appui de sa plainte, contre 12 des employés de l’agence onusienne qui seraient, selon les allégations de l’entité sioniste, impliqués dans les attaques du 7 octobre. L’autre tort de l’UNRWA est d’avoir osé dénoncer des tirs de chars de l’«armée la plus morale du monde», sur un centre de formation à Khan Younes (Gaza), où l’ONU a déploré, le 24/01/2024, la mort de 13 personnes et une cinquantaine de blessés (femmes, enfants et vieillards), parmi les familles sans abris ; utilisant les dépendances du centre onusien comme refuge, contre les bombardements sionistes… 

     (Fin de la 1ère partie)

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  5. Résumé SOTT des changements terrestres – Décembre 2023 – Conditions météorologiques extrêmes, révolte de la planète et boules de feu – MISE À JOUR du 17/01/24

    À l’heure où nous avions initialement publié ce Résumé (et après la suppression par YouTube de notre chaîne SOTT Media), les sous-titres en français n’étaient pas encore disponibles sur notre chaîne Odysee. C’est aujourd’hui chose faite. Nos lecteurs vont donc pouvoir visionner ci-dessous la vidéo du Résumé des changements terrestres de décembre 2023 sous-titré en français (nous avons supprimé l’originale en anglais seulement).

    Alors que le cycle solaire 25 est sur le point d’atteindre son maximum un an plus tôt qu’estimé, nous observons une augmentation des phénomènes électriques tels que les spirales aériennes, les tremblements de terre et les éruptions volcaniques.

    Nous ne pouvons omettre de mentionner que le tremblement de terre le plus meurtrier depuis plus d’une décennie a entraîné dans le nord-ouest de la Chine la mort d’au moins 127 personnes et environ 700 blessés. Le séisme a provoqué des glissements de terrain et détruit des routes et des infrastructures, qui ont à leur tour causé la coupure des communications, de l’électricité et des conduites d’eau dans la région.

    Par ailleurs, l’activité sismique sur la péninsule de Reykjanes, en Islande, a connu une éruption spectaculaire après des semaines d’instabilité sismique. Une fissure de 4 kilomètres de long est apparue à la surface et a craché un mur de lave de 30 mètres de haut. Les autorités ont évacué les quelque 4 000 habitants de la petite ville de pêcheurs de Grindavík, mais ont déclaré que l’éruption ne constituait pas une menace pour la vie ou les déplacements. Ce type d’éruption ne produit généralement pas beaucoup de cendres, mais les experts ont déclaré que le transport aérien pourrait en être affecté.

    Tout cela et bien d’autres choses encore dans notre résumé SOTT des changements terrestres pour décembre 2023.

    https://odysee.com/$/embed/@SOTTMedia:6/ECS1223_Fr:c?r=HzQc57tCw6vThnZd6AXU7ajyhDYj5r2RAutre source pour la vidéo.

    https://vk.com/video_ext.php?oid=-158818080&id=456239056&hd=1

    Musique : Escape from the Temple par Per Kiilstofte. Sous licence Creative Commons Attribution 4.0 International.

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  6. Une nouvelle étude révèle une croissance des plantes mondiale accélérée grâce à des niveaux plus élevés de dioxyde de carbone ► https://lesmoutonsenrages.fr/2024/02/06/une-nouvelle-etude-revele-une-croissance-des-plantes-mondiale-acceleree-grace-a-des-niveaux-plus-eleves-de-dioxyde-de-carbone/

    Par Chris Morrison pour Le sceptique quotidien via SOTT

    Le taux d’écologisation mondiale causée par les récentes augmentations du dioxyde de carbone dans l’atmosphère s’est accéléré au cours des deux dernières décennies, selon de nouveaux résultats importants récemment publiés par un groupe de scientifiques chinois. Environ 55 % de la masse terrestre mondiale a révélé un «taux accéléré» de croissance de la végétation, contre seulement 7,3 % avec une augmentation du déclin ou du «brunissement». L’écologisation mondiale due à des niveaux plus élevés de CO 2 est un fait gênant qui est souvent ignoré dans la science du climat. En fait, il y a même eu des tentatives de suggérer que l’écologisation s’est ralentie ou inversée. Des études montrant des niveaux plus élevés de sources d’utilisation globale du brunissement qui “devraient être utilisés avec prudence”, conseillent les auteurs de la nouvelle étude.

    On sait que la planète est en vert pour l’écologisation depuis au moins 1980, certaines estimations suggérant des niveaux plus élevés jusqu’à 14%. Dans un document détaillé publié en 2016 par 32 auteurs de huit pays, il a été noté qu’il y avait une «augmentation persistante et généralisée» de la saison croissante de plus de 25 à 50 % de la zone végétisée mondiale. Aujourd’hui, les scientifiques chinois, y compris l’éco-climatatologue Tiexi Chen, déclarent que « l’écologisation mondiale est un fait incontestable ».

    L’enquête mondialeLes satellites permettent aux scientifiques de calculer un indice de zone de la feuille (LAI) et les quatre principaux ensembles de données sont tracés ci-dessus. Il a été constaté que la fécondation par le CO 2 dominait les tendances de la LAI qui sont à la fois en hausse et en s’accélère. En surveillant différentes parties du globe, les auteurs ont constaté que la « tendance de la sécheresse » ne faisait que ralentir l’écologisation mondiale, « mais était loin de déclencher le brunissement ». Les alarmistes du climat, bien sûr, observent la sécheresse partout – c’est-à-dire quand ils ne pointent pas vers les niveaux d’inondations bibliques.

    Croissance à 10 ans/tendance par région (Bel/vert) (Blue/vert représente une croissance/tendance élevée)

    La carte ci-dessus indique que les informations des quatre ensembles de données ont été diffusées et que l’écologisation s’est accélérée à partir de 2000 dans 55,5 % du monde, dont l’accélération en Inde et dans les plaines européennes a été considérée comme la plus évidente (notez la coloration bleu foncé). Une croissance saine peut également être observée dans la région de l’Amazonie, l’Afrique de l’Est équatoriale, la côte sud de l’Australie et l’Irlande.

    Il sait depuis longtemps que des niveaux plus élevés de CO 2 sont bons pour les plantes avec de nombreuses preuves scientifiques montrant qu’elles poussent plus vite à la suite de l’augmentation. Dr. Roy Spencer, l’ancien scientifique senior de la NASA, note l’effet bénéfique sur les plantes, ajoutant: “Bien que le CO2soit nécessaire pour que la vie sur Terre existe, il y en a peu dans l’atmosphère terrestre.” Les niveaux de CO 2 ont été beaucoup plus élevés que le présent au cours des 600 millions d’années que la vie a existé sur Terre, et les plantes ont évolué lorsqu’il y avait plus de gaz dans l’atmosphère. Les augmentations atmosphériques récentes, qu’elles résultent de causes naturelles ou humaines, ont contribué à faire monter en flèche les rendements des cultures. L’amélioration des technologies, les engrais et l’utilisation des sols ont tous joué un rôle de premier plan, mais une augmentation plus élevée du CO 2 a contribué à une augmentation annuelle estimée de 2,4 à 3,8 % des émissions de mais, de riz, de soja et de blé – quatre denrées de base qui fournissent 64 % de l’apport calorique humain. Dans le cadre du projet collectiviste Net zéro, il y a des tentatives pour empêcher le CO 2 d’entrer dans l’atmosphère, d’interdire les engrais, de réduire la production de viande et de se déplacer vers des terres agricoles «reparlées». Bonne chance à nourrir le monde, pourrait être la seule réponse caritative à cette folie.

    L’écologisation du CO 2 est largement rejeté comme un sujet de conversation poli dans le climat général « réglé » parce qu’il aide à soutenir l’idée que la récente petite température rebondive à partir du petit âge glaciaire a été presque entièrement bénéfique. Il y a peu de preuves que les catastrophes naturelles s’aggravent, qu’il s’agisse d’ouragans, de sécheresses, d’inondations ou d’incendies de forêt. L’exploitation de l’énergie des hydrocarbures a permis aux humains de mieux protéger la nature de Mère et les décès dus à des catastrophes naturelles ont plongé de plus de 95 % au cours des 100 dernières années. Au cours des 25 dernières années, le seul réchauffement de la planète en dehors des ensembles de données politisées rétrospectivement ajustés s’est produit à la suite de petites flambées causées par de forts effets naturels d’El Nino. La croissance des récifs coralliens a grimpé en flèche ces derniers temps, et la banquise arctique semble avoir commencé sur la pente ascendante d’une tendance cyclique. Il semble souvent que la seule réponse des alarmistes à toutes ces bonnes nouvelles est de montrer la fenêtre et de suggérer que le mauvais temps du jour est un signe d’Armageddon imminent.

    Un scientifique italien a récemment estimé que la réduction du CO2aux niveaux préindustriels entraînerait une baisse de 18 % de la production de nombreuses denrées alimentaires mondiales de base. Le site de science climatique No Tricks zonea mis en évidence deux autres études scientifiques qui ont montré que les effets de fécondation du CO 2 supérieurs étaient le vert au niveau mondial et l’amélioration de la photosynthèse. Les niveaux actuels de CO 2 dans l’atmosphère sont d’environ 420 parties par million (ppm), et un groupe d’agro-scientifiques a suggéré qu’il y aurait une augmentation de 30 à 50 % de la photosynthèse avec CO 2 dans une fourchette de 451-720 ppm. Cela conduirait à une augmentation de 25 % des rendements des cultures. Les scientifiques se sont penchés en particulier sur l’orge et ont constaté une augmentation du rendement de 54 % si le CO 2 montait à 700 ppm.

    Un grand champion du gaz de vie est le Dr. Patrick Moore, qui a aidé à fonder Greenpeace dans les années 1970. Il a longtemps souligné la dénudation progressive du CO atmosphérique alors que diverses formes de vie ont entraîné des approvisionnements autrefois nombreux sur 500 millions d’années. Il attend avec impatience le jour où les gouvernements se réuniront pour signer des traités promettant d’accroître leurs émissions de carbone.
    Trajets jets privés tout autour.

    Sott.net

    Contre le grain – Une histoire profonde des premiers États, de James C. Scott, 2017 – Extraits du livre “Against the Grain, a Deep History of the Earliest States” dans une nouvelle version PDF N° 76 de 76 pages ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2018/09/james-c-scott-contre-le-grain-une-histoire-profonde-des-premiers-c3a9tats-2017.pdf ;

    Dans ce livre, James C. Scott y précise ceci :

    […] Ainsi vers 9600 AEC, il y eut un arrêt du refroidissement et s’ensuivit une période de réchauffement climatique, le climat devint plus chaud et plus humide, rapidement. Les températures globales ont peut-être augmentées de l’ordre de 7°C en une décennie. Arbres, mammifères et oiseaux émergèrent pour coloniser un paysage devenu soudain bien plus hospitalier et avec eux bien entendu, leur compagnon naturel, Homo sapiens.

    Les archéologues ont trouvé des preuves qu’environ à la même période, se développait une occupation des sols à l’année sur bien des sites. La période du Natufian dans le Sud du Levant et l’époque pré-poterie des villages néolithiques de Syrie et de la Turquie centrale et de l’Ouest de l’Iran. Ces zones sédentaires se situaient dans des zones riches en eau et les populations subsistaient essentiellement de la chasse, pêche et cueillette bien qu’il y ait eu déjà quelques preuves, certes controversives, d’une horticulture céréalière et de mise en place d’un cheptel de bétail domestique. Ce qui n’est pas disputé en revanche, est qu’entre 8000 et 6000 AEC, toutes les cultures dites “fondatrices” de céréales et de légumes telles que les lentilles, les pois, pois-chiche, et lin (pour les vêtements), sont plantées, bien qu’à petite échelle. Durant ces deux millénaires, même si le temps précis vis à vis des cultures n’est pas bien clair, la domestication des chèvres, des moutons, des cochons et des bovins, fait son apparition. Avec cette suite de “domestications”, le colis néolithique total propice à la révolution agricole, semble être en place pour mener à la civilisation, incluant les premières agglomérations urbaines.

    PREUVE surtout que la Théorie du Réchauffement Climatique Anthropique n’est qu’une fumisterie totale (une de plus !) issue de bidouillage de chiffres (ça vous rappelle rien ?) afin de les faire coïncider avec toutes les prises de décisions politiques de ces 50 dernières années.  Preuve, surtout, que, quand réchauffement il y a (cachez donc cette pause que nous ne saurions voir…), il est naturel, comme celui d’il y a 6 ou 7000 ans…

    Ouais, je sais, ça va pas plaire à tout le monde, mais de toutes les façons, on ne peut pas plaire à tout le monde…

    https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2018/09/james-c-scott-contre-le-grain-une-histoire-profonde-des-premiers-c3a9tats-2017.pdf

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  7. Même la tique Cohen tique ! Si si !

    Bruno Le Maire se FOUT DE NOUS au sujet de l’inflation (une fois de plus) Le Zapping du COVID – 06/02/24

    Donc, comprenez bien qu’on va se faire dilater le fion comme jamais !

    Les agris aussi, hein ? Ben pas de jaloux, hein, les castors ?

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