À REJOINDRE LES PEUPLES !
Crosses en l’air et à lâcher ceux qui NOUS gouvernent !

Qui nous exterminent, nous génocident, nous colonisent au N.O.M. d’un Dieu hier, au N.O.M. de la République aujourd’hui alors que : Nous sommes TOUSTES des colonisés !
Ma réponse à la LETTRE OUVERTE À NOS GOUVERNANTS – Source Journal d’Aix-les-bains, 8 avril 2021 VIA Profession Gendarme du 20 avril 2021 : Quand les militaires prennent la parole, l’heure est grave.
LETTRE OUVERTE À NOS GOUVERNANTS
Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du Gouvernement, Mesdames, Messieurs les parlementaires,
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.
Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.
Et sur ce premier point précis :
– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais, à travers ces termes, c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.
En première conclusion : Aussi ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.
Pour lire l’intégralité de la lettre ► http://www.profession-gendarme.com/quand-les-militaires-prennent-la-parole-lheure-est-grave/

AUX GENS D’ARMES hier bras armé des colonisateurs/envahisseurs/exterminateurs ;
En France, obéissant aux ordres d’un Préfet, raflant hommes, femmes, enfants parce qu’ils portaient une étoile jaune. Depuis 2018, fer de lance d’un pouvoir aux abois, mutilant, tabassant, samedi après samedi, ceux qui portaient un Gilet Jaune et aujourd’hui ceux qui osent encore porter du jaune…
Alors que vous êtes censés nous protéger quand nos gouvernants nous ont déclarés la guerre VIA un virus invisible, un coronavirus ou virus à couronne en nous assignant à résidence par des confinements sans fin, nous interdisant de respirer, de nous déplacer, de nous étreindre, de nous claquer la bise, de rire, de danser, de boire des coups en exigeant votre concours toujours plus serviles à nous réprimer…
Ainsi, selon vous, c’est ceux qui appellent à une décolonisation concertée qui entraineraient une guerre raciale ?

Le plus grand génocide de l’histoire de l’humanité n’a pas eu lieu dans l’Allemagne nazie, mais sur le sol américain.
100 millions d’Amérindiens ont été massacrés et ont perdu leur Terre-Mère.
Fait historique : la plupart des personnes qui les ont massacrés étaient des chrétiens. Désolé si vous ne pouvez pas supporter la vérité.

La France n’est pas coupable d’avoir voulu faire partager sa culture aux peuples d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Nord ► François Fillon, discours sur la colonisation à Sablé-sur-Sarthe, en août 2016.
C’est pourquoi avec d’autres, je pense que l’avenir de l’Humanité, comme le salut de l’Occident, passent par les peuples occidentaux (vous, moi) et en aucun cas les gouvernements ou toutes représentations étatiques, émancipés de l’idéologie et de l’action coloniales, se tenant debout aux côtés (et non pas devant, ou encore moins au-dessus) des peuples autochtones de tous les continents et cela pour instaurer l’harmonie de la Société des sociétés sur Terre-Mère dans cet ICI et ce MAINTENANT et surtout ► D’OÙ NOUS SOMMES !
Et non pas dans une semi-position dominante qui prévaudrait, encore, qu’aucune personne indigène traditionnelle ou Nation de pourraient être autorisées à survivre en dehors de la chrétienté et de sa Nation “blanche” comme c’est toujours le cas au Canada, aux USA, en Amérique du Sud, en Australie, Nouvelle-Zélande, Nouvelle-Calédonie/Kanaky et donc en France, en Asie et en fait partout où « domine » la Doctrine chrétienne de la découverte, y compris sur le continent Africain, dans son entier !
Et dans le PDF N° 230 de 115 pages ► Aux origines de la PLANdémie PLANétaire PLANifiée – For Murder By Decree À Meurtre Par Décret, dossier constitué par JBL1960 vous avez là une analyse sur le colonialisme et l’importance de ce qui peut nous aider à formuler cette pensée cruciale à mon sens et pour quiconque travaille à l’émancipation définitive de nos sociétés de la sclérose criminelle étatico-capitaliste à l’ère du COVID-19 pour enfin parachever notre humanité vraie, profonde et organique dans une société des sociétés affirmant notre être en lâchant prise de la tyrannie de l’avoir et de ses antagonismes factices à l’œuvre depuis des millénaires.
SANS ARMES, NI HAINE, NI VIOLENCE !
Contrairement à vous, les Gens d’Armes ;

« Les soldats ne sont pas les protecteurs de la liberté, ils sont les marionnettes
des intérêts entrepreneuriaux et
d’État afin d’augmenter profit et pouvoir
aux dépends de la sécurité physique et
financière du contribuable. »
La doctrine de domination chrétienne et le peuple Apache (l’Affaire Oak Flat)
Steven Newcomb – Avril 2021 – URL de l’article source en anglais ► https://originalfreenations.com/the-doctrine-of-christian-domination-the-apache-people-and-oak-flat/
Traduit de l’anglais par Résistance71, dans : Colonialisme historique et récurrent : La doctrine de la domination chrétienne en terre apache, l’affaire d’Oak Flat remet tout le système politico-légal yankee une énième fois sur la sellette (Steven Newcomb) le 18 avril 2021
Extraits choisis, complétés et enrichis par JBL1960
L’Affaire de la résistance Apache sur leur site sacré de Chi’ Chil Bildagoteel, appelé en anglais “Oak Flat”, est maintenant devant la Cour d’Appel du 9ème circuit judiciaire. Cette affaire a créé une publicité mondiale et un bon nombre de groupes chrétiens ont enregistré des lettres de soutien amicus curiae (ami de la cour). Ces lettres soutiennent le droit et la liberté des Apaches de s’engager dans leurs traditions et cérémonies ancestrales sur un endroit de leur terre traditionnelle qui leur est particulièrement sacré et qui va être détruit par des compagnies minières. Le peuple et la nation apaches seront irrévocablement blessés si leur terre sacrée est détruite dans un effort entrepreneurial d’accumuler toujours plus de profits avec ce projet d’extraction de minerai de cuivre.
Oak Flat est maintenant menacé par un projet minier d’extraction de cuivre qui va oblitérer en le rayant de la surface de la planète, la totale existence de cette endroit sacré en défonçant sols et sous-sols. Si le projet minier est autorisé, celui-ci laissera à cet endroit un trou béant de quelques 300m de profondeur et de 4 km de diamètre, exactement là où le site sacré apache se situe.
Je trouve positif mais quelque peu ironique que des groupes d’églises chrétiennes se joignent aux Apaches sur le projet de défense de la zone sacrée. Ironique parce que la 9ème cour d’appel va utiliser un processus classique de raisonnement chrétien de domination qui est déshumanisant et raciste, fondé sur les catégories artificiellement et mentalement crées de “païens” et “d’infidèles”. Ce processus de raisonnement qui est vieux de plusieurs siècles, voient les non-chrétiens comme des ennemis du monde de la chrétienté (de l’empire chrétien).
Commençons par examiner le fondement de ce processus bigot de raisonnement que la Cour d’Appel du 9ème district va appliquer à l’Affaire d’Oak Flat. Cela commence avec la croyance que les pouvoirs politiques (alias “les souverains”) du monde chrétien et les successeurs de ces pouvoirs politiques (comme les États-Unis entre autres…), ont un droit fondamental de s’engager dans une relation de domination contre ces peuples que les chrétiens ont historiquement appelés “païens” ou “infidèles”. [NdJBL : Les bulles papales Romanus Pontifex et Inter Caetera]
[…] Après tout, c’est une longue tradition de la chrétienté que de regarder les “païens” et les “infidèles” et tous non-chrétiens comme des barbares et donc ne faisant pas partie de la “race humaine” ( forcément chrétienne) ► Païens en Terre promise, décoder la doctrine chrétienne de la découverte, Steven Newcomb, PDF N° 4 de 45 pages.
La vérité est que le système politique et légal des États-Unis est fondé sur le droit de la domination chrétienne contre les peuples et nations natifs, comme les Apaches. Ceci est basé en partie sur une assertion faite dans le rendu de la Cour Suprême des États-Unis (CSEU) dans l’Affaire Johnson vs M’Intosh, 1823, à savoir que le “peuple chrétien” (des mots mêmes du juge de la Cour Suprême John Marshall) possède “un génie supérieur” et que le “peuple chrétien” est en droit de s’imposer mentalement sur les peuples natifs “qui étaient païens”, ce des mots mêmes du juge Marshall.
Utilisant le “caractère et la religion” des habitants natifs du continent comme d’une justification, le “génie supérieur de l’Europe” put exercer et affirma un “droit d’ascendance”, c’est à dire un droit de domination sur les peuples autochtones. L’affirmation d’un droit de domination par “le peuple chrétien” sur des “païens” non-chrétiens est toujours regardé aujourd’hui comme “la loi suprême de la terre” aux États-Unis. Ceci parce que le raisonnement de domination qui est contenu dans le rendu du jugement de l’affaire Johnson vs McIntosh de 1823 est toujours activement utilisé par les tribunaux américains, ce incluant la CSEU.
Cette forme de raisonnement sera celle adoptée par la Cour d’Appel du 9ème District dans l’Affaire d’Oak Flat pour la simple et bonne raison que ces concepts fondamentaux de domination chrétienne sont à la base de tout le système légal américain et de son système de loi et de politique indien, système qui est aussi retracé jusqu’aux mots latins et aux idées de domination exprimés dans les bulles pontificales du Vatican du XVe siècle et des chartes royales émanant d’Angleterre ► Comprendre le système légal de l’oppression coloniale pour mieux le démonter avec Steven Newcomb, PDF N° 47 de 106 pages.
[…] Alors que la Cour d’Appel délibère sur l’affaire d’Oak Flat , elle continuera d’empêcher nos nations originales libres et indépendantes de vivre une existence libre en se reposant sur l’affirmation américaine d’un droit à la domination chrétienne au sein de la loi américaine. Quelque soit la façon dont ceci est caché et maintenu caché, ceci constitue le cadre psychologique au sein duquel l’affaire d’Oak Flat est prise en charge par le système judiciaire des États-Unis.
[…] Le gouvernement des États-Unis a décidé que les “Indiens” comme les Apaches, doivent être catégorisés comme des “tribus” qui n’ont, du point de vue mental des USA, aucun droit de propriété à la terre avec laquelle ils ont traditionnellement et ancestralement exercé une relation spirituelle et culturelle durant des milliers et des milliers d’années.
[…] Pour le dire différemment, le Gouvernement américain dominateur refuse de reconnaître les successeurs actuels des “païens et infidèles”, comme les Apaches, comme ayant un droit de domination sur leurs terres traditionnelles et ancestrales. Le Gouvernement américain ne veut en rien concéder aux “natifs qui étaient (et sont peut-être toujours) des païens”, le pouvoir immense contenu dans le simple concept de la propriété qui est définie comme “pas l’objet matériel en lui-même, mais le droit… de domination obtenu de droit sur un tel objet.” (dictionnaire du droit Ballentine, 1969).
[…] Qui et qu’est-ce qui est “souverain” ? La Cour du 9ème Circuit nous fournit une réponse à cette question avec sa référence à “la théorie légale disant que la découverte et la conquête ont donné aux conquérants, le droit de posséder la terre mais n’ont pas perturbé le droit des tribus à l’occuper. Voir Johnson v. M’Intosh, 21 U.S. 8 Wheat 543, 588–91 (1823).” “Le souverain” est un des “conquérants” (dominateurs) et “la conquête” est, une fois de plus, la domination.
[…] La théorie veut que les nations chrétiennes, en tant que “souveraines” chrétiennes auto-proclamées aient affirmé un droit de domination , une souveraineté sur les terres des nations natives. Pour mettre une belle touche finale sur le sujet, nous pouvons citer Jonathan Havercroft dans son “Captives of Sovereignty” (2014), où il définit la souveraineté comme voulant dire “une forme injuste de domination politique qui limite la liberté humaine.”
[…] La question demeure, où sont le sens et le ressenti de scandale au sujet de ce processus de raisonnement bigot, religieux et raciste au plus profond de lui-même de cette domination chrétienne, fondée sur la Bible et qui est la fondation même de tout le système légal et politique du dominateur que sont les États-Unis d’Amérique en regard de nos peuples et nations natifs ?
Pour lire l’article dans son intégralité ► https://resistance71.wordpress.com/2021/04/18/colonialisme-historique-et-recurrent-la-doctrine-de-la-domination-chretienne-en-terre-apache-laffaire-doak-flat-remet-tout-le-systeme-politico-legal-yankee-une-enieme-fois-sur-la-sellette-stev/

Steven Newcomb a étudié et écrit au sujet de la loi et de la politique Fédérale Indienne depuis le début des années 1980, en particulier l’application de la loi internationale aux nations et peuples indigènes. Une fois encore, il démontre que si nous ne sommes pas responsables des exactions des premiers colons espagnols, portugais, français, anglais, hollandais…
Nous le deviendrions, dès lors que sachant tout cela aujourd’hui, nous déciderions de ne rien faire et/ou de ne rien changer !
Je me retrouve, une fois de plus, de bout en bout, dans cette lecture, moi, la descendante de colons espagnols, dont l’un des ancêtres a même été Président de la République de Bolivie du 14 avril 1879 au 10 septembre 1879, et donc a pris part activement à la “mission” divine décidée par les hommes en jupe, en 1492, année cruciale de l’Espagne dite « moderne ». Et pour avoir renié mon baptême en récusation de la doctrine chrétienne de la découverte, puisque l’Église catholique romaine nous refuse l’effacement de nos noms des registres des baptêmes, pour effondrer le colonialisme, et ce par quoi il arrive toujours, l’État. Sans armes, ni haine, ni violence, preuve que nous pouvons rompre le cycle mortifère induit par une mini-élite oligarchique folle, eugéniste, raciste et suprématiste qui s’est construite sur le principe que l’homme qui n’est pas blanc est inférieur. Et avec les politiques français de tout poil qui pensent encore comme un Jules Ferry en 1885 que : Les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures.
Parce que les colons/envahisseurs/exterminateurs ont affirmé que ce droit leur avait été ordonné par Dieu lui-même et que de fait c’était devenue une obligation.
Nous ne pouvons changer le passé, mais l’Histoire s’écrivant au présent, nous pouvons changer le cours de l’Histoire humaine en modifiant notre attitude, en ouvrant les yeux et en regardant la vérité bien en face !

APPEL À TOUS LES GENS D’ARMES ;
Nous pouvons agir, ICI et MAINTENANT, en ne réitérant pas les erreurs du passé. Pour se faire, nous devons comprendre et transformer notre réalité, aussi ; REJOIGNEZ TOUS LES PEUPLES DE LA TERRE… CROSSES EN L’AIR !
Et cessez de servir nos gouvernants, nos exterminateurs, nos génocideurs, car lorsqu’ils en auront finis avec NOUS (les peuples, les RES NULLUS) et bien ce sera votre tour !
JBL1960