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NI PERSONNE…
COVIDISME ◄►UKRAINISME◄►COVIDISME…
À VOIR ► LA DERNIÈRE VIDÉO ODYSEE (39MN06) DE CHRIS DE VIVRE SAINEMENT
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Je précise que je ne suis toujours pas d’accord avec son message de fin, mais nous nous rejoignons sur l’essentiel preuve que RIEN n’est indépassable, l’heure étant à l’UNION DES PEUPLES !

En attendant le PDF complet du livre dynamite de Robert F. Kennedy Jr. ; Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique ; que Résistance 71 est en train de traduire, par de larges extraits et que je compile au fur et à mesure pour vous en permettre la lecture, le téléchargement, l’impression libres et gratuits dès que possible. Ne manquez pas la 1ère partie du dernier Chapitre 12 – Jeux de germes ; Que je vous propose ci-dessous en la complétant et l’enrichissant par mots-clés, tant elle est raccord avec l’actu des psychopathes aux manettes nous faisant glisser d’une réalité à une autre, du COVIDISME à l’UKRAINISME ad vitam æternam et pour nous faire perdre tous les Nords comme très bien expliquée par Lara Logan dans la vidéo de Chris !

Les États-Unis ont commencé leur recherche profonde et à grande échelle sur les armes biologiques offensives durant la seconde guerre mondiale, au printemps de 1943, sur ordre du président F.D. Roosevelt, ce en tant que coopération entre l’Armée, l’Industrie Pharmaceutique et leur associé principal, le titan de Big Pharma de l’époque George. W. Merck. Celui-ci dirigea le programme biologique offensif du Pentagone tout en dirigeant simultanément son géant pharmaceutique. Merck se vanta qu’il pouvait avec son équipe, fournir des agents biologiques sous forme d’arme sans grande dépense, ni même avoir à construire de grands espaces de production. Il fit aussi remarquer que l’avantage des armes biologiques était qu’elles pouvaient être développées sous couvert d’une recherche médicale tout à fait légitime.
Les agences de renseignement étaient aussi impliquées dans ce programme de recherche Top Secret dès le départ. L’homme à tout faire de George Merck, Frank Olson, était un bactériologiste américain, scientifique pour la guerre biologique et un agent de la CIA. Il travailla pour l’US Army Biological Warfare Laboratory (USBWL) de Fort Detrick avec Merck et l’Armée américaine pour développer l’arsenal biologique et de guerre psychologique américain. Le “Projet Artichaut” était un programme d’interrogation expérimental de la CIA qui utilisait des drogues psycho-actives comme le LSD (ICI) dans des méthodes d’interrogation “poussées”. Ce projet faisait partie d’un plus vaste programme de la CIA explorant des approches de moyens de contrôle à la fois des individus et des populations. Olson fut atteint de doutes moraux à partir de mai 1952 après qu’il eut regardé un documentaire sur la réforme de l’Église et Martin Luther. Un Olson conscient de sa responsabilité informa ses patrons de son intention de quitter le programme d’armement biologique.
À peu près dans le même temps, le collègue d’Olson à la CIA, Sidney Gottlieb, patron du programme MKUltra de la CIA (NdT : MK est l’acronyme stylisé pour “Mind Kontrol”, contrôle de l’esprit, “Ultra” pour son développement supérieur), lui administra secrètement du LSD. Une semaine plus tard, le 28 novembre 1953, Olson plongea vers sa mort d’une fenêtre de l’Hôtel Statler de New York.
Le gouvernement des États-Unis décrivit d’abord sa mort comme un suicide, puis un accident. En 1975, le gouvernement admit sa culpabilité dans le meurtre et offrit à la famille d’Olson un arrangement financier hors tribunal de 1,25 million de dollars, réduit plus tard à 750 000 US$, que la famille accepta avec les excuses du président Gerald Ford et du directeur de la CIA d’alors William Colby. (LÀ)
D’après David Franz, qui fut durant vingt-trois années, le commandant de l’US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (USAMRIID) : “la limite principale était la difficulté de gérer les armes biologiques de façon à éviter une fuite accidentelle..” Ironiquement, Franz allait jouer plus tard un rôle clef dans les programmes de “gain de fonction” du Pentagone / Fauci, menant à la pandémie COVID-19.
Cela a pris fin semble-t-il, à la fin de l’année 1969, lorsque le Président Nixon se rendit à Fort Detrick pour annoncer la fermeture du programme d’armes biologiques des États-Unis pour des raisons morales et stratégiques.
[…]
Les États-Unis signèrent le Convention sur les Armes Biologiques en 1972. […] Ce traité présentait de gros vides juridiques et permettait la production d’agents biologiques létaux comme l’anthrax (spore de la maladie du charbon) et autres dans le but de la production de vaccins…
Les barbouzes de la CIA et du Pentagone continuèrent de cultiver un stock d’armes biologiques. Entre 1983 et 1988, le CEO de Seattle Pharmaceuticals, Donald Rumsfeld, agissant comme l’envoyé spécial du président Reagan en Irak, arrangea une livraison top secrète de tonnes d’armements biologiques et chimiques, incluant l’anthrax et la peste bubonique, au Président irakien Saddam Hussein, espérant renverser la situation d’une défaite de l’Irak se profilant à l’horizon dans sa longue guerre déclenchée contre l’Iran et son armée d’un million d’hommes. Les forces iraniennes victorieuses de l’ayatollah Khomeini balayaient alors les forces de Saddam dans leur guerre pour le Golfe Persique. L’administration américaine ayant peur de l’impact sur les fournitures globales de pétrole si l’Iran prévalait dans ce conflit.
Suivant la chute de l’URSS entre 1988 et 1991, […] les mandarins du Pentagone et leur empire de sous-traitants auraient été bien déçus si quelqu’un d’autre devait bénéficier de tout cet argent à dépenser qu’ils pensaient leur revenir de droit.
[…] Comme le terrorisme est une tactique et non pas une nation, un “terrorisme” mal défini avait l’allure d’un ennemi qui ne pourrait jamais être vaincu. Nous pouvons donc imaginer le grand soulagement des sous-traitants de la défense à l’annonce par le Vice-Président Dick Cheney de la “longue guerre” contre le “terrorisme”, une guerre disait-il, qui durerait sur des générations, avec des champs de batailles “éparpillés dans plus de 50 nations”.
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L’expert en armement biologique Robert P. Kadlec est un Médecin et Colonel en retraite de l’Armée de l’air des États-Unis qui a servi comme Secrétaire-adjoint des services Health and Human Services (HHS) et leur Département de Préparation et Réponse à l’Urgence entre août 2017 et janvier 2021 et géra la crise COVID-19 dans l’administration Trump.
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À 2h47 en ce matin du 1er février 2020, quatre heures après que son loyal récipiendaire de fonds, le Virologiste Kristian Andersen, eut informé le Dr Fauci que lui et d’autres virologistes pensaient que la séquence génétique responsable du “clivage par la furine” sur la protéine “spike” du virus, cette structure particulière qui permet à l’organisme de s’accrocher fermement et d’infecter les cellules via le récepteur ACE-2, était de manière fort improbable, le produit d’une sélection et d’un résultat naturel, le Dr Fauci envoya un courriel très minutieusement phrasé à Kadlec. Ses autres courriels de cette soirée là suggèrent qu’il était intensément préoccupé du fait que les expériences chinoises qui auraient pu créer cette variété de nouveau coronavirus pourraient bien porter des empreintes menant à lui. Si la recherche sur le gain de fonction du Dr Fauci avait bien enfanté le COVID-19, alors Kadlec serait aussi impliqué. Celui-ci avait servi dans un petit comité nommé Comité P3CO en charge d’approuver les expériences de gain de fonction du NIH et il est clair d’après le courriel de Fauci, que ce sujet était aussi venu à l’esprit de Kadlec.
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Kadlec est une sorte de Dr Folamour ayant des liens profonds avec les Agences d’espionnage, Big Pharma, le Pentagone et les sous-traitants militaires qui profitent grassement de cet épandage d’alarmisme sur les armes biologiques.
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Comme l’a si bien dit le journaliste Alexis Baden-Meyer : “Kadlec a créé le Complexe Industriel de la bio-défense tel que nous le connaissons et il le dirige comme un tsar.”
En 1999, le Dr Kadlec organisa une simulation d’attaque terroriste à la variole sur le territoire américain dans un exercice qui impliquait aussi le tout nouvellement formé John Hopkin’s Center for Civilian Biodefense Strategies ainsi que les services des HHS.
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Cette même année, la FBMG donna 20 millions de dollars à l’Université John Hopkin’s pour y établir le Bill & Melinda Gates Institute for Population and Reproductive Health. Durant les deux décennies suivantes, Gates allait diriger un vaste flot de financement à l’entreprise afin d’élever la bio-sécurité en tant que priorité nationale.
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Les simulations de Kadlec et plus d’une douzaine qui leur succédèrent dans les plus de vingt années qui suivirent, bon nombre sous la direction de Bill Gates, ont toutes partagé des caractéristiques communes. Aucune d’elle ne mettait en avant la protection de la Santé Publique en montrant aux Américains comment améliorer leur système immunitaire, de manger mieux, de perdre du poids, de faire de l’exercice, de maintenir leur niveau de vitamine D et d’éviter les expositions aux produits chimiques. Aucune d’elle n’insistait sur la mise en place d’Infrastructures de communication vitales pour relier les médecins de terrain entre eux durant une pandémie et le raffinement de protocoles de traitement optimaux. Aucune n’adressait le véritable besoin d’identifier des médicaments hors étiquettes, reciblés pour réduire la mortalité et pour réduire la durée de la pandémie. Aucune d’elle ne considérait l’isolation des malades et leur traitement et celle des personnes les plus vulnérables ou comment protéger les personnes âgés placés en Institution, de l’infection. Aucune d’elle ne questionnait l’efficacité des masques, des confinements et de la distanciation sociale comme moyen de réduire les fatalités et les infections. Aucune d’elles ne s’engageait dans une profonde recherche du comment préserver les droits constitutionnels pendant une pandémie mondiale.
En lieu et place, les simulations ne furent qu’un jeu de guerre montrant comment utiliser les pouvoirs policiers pour placer en détention et en quarantaine les citoyens, comment imposer la loi martiale, comment contrôler la divulgation du message en utilisant la propagande idoine, comment utiliser la censure afin de réduire toute dissidence au silence, et comment obliger le port du masque, les confinements et les injections “vaccinales” coercitives et mettre en place un système de traçage et de surveillance parmi la population potentiellement réticente à ces mesures.
[…]
De manière contemporaine à cette simulation à la contagion de variole par John Hopkin’s, le Pentagone lança un projet Top-Secret depuis un ancien site d’armement nucléaire dans le désert du Nevada pour tester la possibilité de construire un petit labo de production de spores de la maladie du charbon (anthrax), utilisant un équipement disponible dans le commerce et les magasins classiques de quincaillerie et les catalogues de fournitures biologiques.
Sous le nom de code de “Projet Bacchus”, une petite cohorte de faux terroristes, tous experts en armement militaire, réussirent à produire quelques kilos d’anthrax. Deux ans après ce projet du Pentagone sur l’anthrax du Nevada, quelqu’un associé avec l’Armée américaine monta une opération de grande envergure et envoya des spores sous enveloppes à certains membres du Congrès des États-Unis et à des personnes-clés des médias, lançant de fait “l’ère de la biosécurité”.
À la lumière d’évènements subséquents, nous ne pouvons pas exclure que quelqu’un dans notre gouvernement ait perpétré une attaque faux-drapeau sur des Américains à des fins de provocation pour un Agenda bien plus vaste. Ceci n’est en rien une flamboyante théorie conspirationniste. Pendant la présidence de mon oncle (JKF), l’État-Major des Armées avait soumis un plan appelé “Opération Northwoods”, qui proposait des attaques Faux-Drapeau, incluant l’assassinat de citoyens américains, pour justifier d’une invasion de Cuba. Mon oncle réagit alors avec horreur au briefing du Chef d’État-major du moment Lyman Lemnitzer et quitta la salle de conférence de manière abrupte. “Et on nous appelle l’espèce humaine”, fit-il remarquer à son ministre des Affaires Étrangères Dean Rusk.
Les Agences de renseignement américaines et le Complexe Militaro-Industriel blâmèrent initialement et à tort, l’attaque à l’anthrax sur Saddam Hussein ou Al Qaïda et plus tard utilisèrent des prétextes similairement incorrects pour lancer une guerre dévastatrice sur l’Irak
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En 1998, le Financier de naissance libanaise Ibrahim El-Hibri et son fils, Fouad, avec l’ancien Chef d’État-Major américain, l’Amiral William Crowe Jr, établirent une entreprise appelée BioPort et payèrent 25 millions de dollars à l’État du Michigan pour sa vieille facilité de production de vaccin. Le but des El-Hibri était d’utiliser cette usine de production pour fabriquer un vaccin contre la maladie du charbon (anthrax) pour le vendre à l’armée américaine.
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Moins d’un mois après avoir pris possession de l’affaire du Michigan, BioPort signa un contrat exclusif de 29 millions de dollars avec le Pentagone pour “fabriquer, tester, mettre en bouteille et stocker le vaccin contre la maladie du charbon pour les troupes américaines stationnées à l’étranger.” […] Les El-Hibri ne testèrent jamais leur concoction. Ils n’avaient pas besoin, ils avaient été immunisés contre toute poursuite judiciaire.
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Presqu’en même temps, fut formé BioPort, l’entreprise commença à recevoir de grosses sommes d’argent de l’armée américaine pour réhabiliter le labo à anthrax. Mais le bâtiment continua à ne pas pouvoir être accrédité par la FDA. En 1999, ils rasèrent l’usine et la reconstruisirent de fond en comble aux frais du contribuable américain.
[…]
La convention de 1972 sur les armes biologiques voulait dire que ni les bidasses ni les barbouzes ne pouvaient légalement rechercher ou produire des armes biologiques. Mais la convention laissa grande ouverte une porte de sortie, à savoir que les signataires pourraient développer une “double utilisation” de technologies d’armes et de vaccins aussi loin que le projet avait une logique défensive. Après les attaques à l’anthrax, les “vaccins” devinrent soudainement un euphémisme pour armes biologiques et le ticket pour un retour en eau profonde et toute une industrie de guerre biologique “défensive”. Les planificateurs militaires du Pentagone, de la BARDA, DARPA et de la CIA (au travers de l’USAID) commencèrent à déverser des flots d’argent dans les expériences dites de “gain de fonction”. La recherche “double emploi” devint soudainement très en vogue…
Les 22 et 23 juin 2001 soit moins de trois mois avant les attaques du 11 septembre, le Pentagone lança un jeu de guerre au nom de code “Dark Winter” depuis la base aérienne Andrews, une opération qui mettait en valeur le plus fort engagement de l’armée dans les vaccins armes biologiques. Robert Kadlec, l’organisateur en chef de cette simulation de pandémie lui donna aussi son nom de code. […] Les participants à l’opération explorèrent les stratégies pour imposer une quarantaine coercitive, une censure, une obligation de se masquer, de confinement et de vaccination et étendirent les pouvoirs policiers comme n’étant que les seuls réponses rationnelles à une pandémie.
[…]
L’exercice Dark Winter [et son échec, la simulation de l’épidémie de variole gagna le jeu de guerre] avait prédit de manière étrange bien des aspects de ce qui allait suivre quelques mois plus tard avec les lettres contenant les spores de la maladie du charbon. De tels miracles et prédictions devinrent une caractéristique récurrente de chacun des jeux de germes qui s’ensuivirent.
[…]
L’ancien Directeur de la CIA James Woolsey, était un participant et organisateur, tout comme l’était une lobbyiste de Big Pharma et experte en armes biologiques, Tara O’Toole, un Directeur du hedge fund de la CIA In-Q-Tel, l’ancienne Directrice-adjointe de la CIA pour la Science et la Technologie, Ruth David, l’Expert en bio-terrorisme de l’Université John Hopkin’s Tom Inglesby et la journaliste du New York Times Judith Miller, tous y participèrent.
La présence de James Woolsey et du Colonel Larsen, de Ruth David et de Tara O’Toole signala l’ubiquité nébuleuse de la communauté du Renseignement dans la biosécurité et toute chose reliée aux vaccins..
[…]
Alliance Biosciences est une corporation, un groupe créé par Ibrahim El-Hibri et son associé, ex-Chef d’État-Major des Armées, l’Amiral William Crowe et financé par d’autres firmes de l’armement biologique.
[…]
D’autres financiers d’Alliance Biosciences incluent la laboratoire Pfizer, le Consortium Pharmaceutique Aérosol International et Sig Technologies, un sous-traitant militaire de la bio-défense.
[…]
Des membres du Think tank Project for a New American Century (PNAC) ont aussi joué un rôle-clé en sonnant l’alarme qu’une attaque terroriste biologique était certaine dans le futur du 11 septembre et amplifièrent simultanément la panique et le blâme sur l’Irak après les attaques aux lettres contaminées aux spores de la maladie du charbon. La doctrine principale du PNAC était que, en tant que vainqueur de la guerre froide, l’Amérique et les multinationales américaines, particulièrement les entreprises pétrolières et pharmaceutiques, avaient gagné le droit de diriger le monde pour un siècle ou plus. Les membres du PNAC étaient infiltrés pratiquement dans tous les postes-clés de la politique étrangère de la Maison blanche de Bush. Cette cabale de va-t-en guerre s’appelait eux-mêmes “Les Vulcains” en honneur de leur modèle d’impérialisme américain belliqueux. Leurs membres incluaient Dick Cheney (vice-président sous Bush), Scooter Libby, Donald Rumsfeld, Douglas Feith, Elliott Abrams, John Bolton et les conseillers de Rumsfeld, Richard Perle et Paul Wolfowitz. Leurs critiques les appelaient “les faucons-poulets”, parce qu’ironiquement, chacun d’entre eux avait fuit, échappé, à la conscription durant la guerre du Vietnam.
[…]
Les faucons poulets du PNAC étaient déterminés à utiliser les attentas du 11 septembre comme prétexte pour une guerre contre l’Irak, dans les sous-sols duquel, dieu avait emmagasiné tant du pétrole américain. L’affaire de l’anthrax fournit alors cette provocation. Le contrôle des ressources mondiales de pétrole était, pour le PNAC, une pierre angulaire de l’impérialisme américain du siècle à venir et une attaque biologique contre l’Amérique devenait une provocation idéale pour une invasion “préventive“ de l’Irak.
[…]
L’implication invasive de la CIA dans le putsch mondial des vaccins devrait nous faire réfléchir. Il n’y a rien dans l’histoire de la CIA, dans sa charte, dans sa composition ou sa culture institutionnelle qui montre un quelconque désir ou intérêt dans la promotion de la Santé Publique ou de la démocratie. Les préoccupations historiques de la CIA ont toujours été le pouvoir et le contrôle. La CIA a été impliquée dans au moins 72 tentatives de coups d’état, certains réussis entre 1947 et 1989, impliquant environ un tiers des gouvernements du monde. Beaucoup de ces coups furent perpétrés contre des démocraties fonctionnelles. La CIA ne fait pas dans la Santé Publique ni dans la démocratie ; la CIA fait dans le coup d’État.
L’exercice “Dark Winter” faisait partie d’une campagne persistante des agences de renseignement et du lobby des armes biologiques de maintenir la peur de la variole, active dans la conscience publique. […] Des fervents de la Santé Publique insistèrent pour que la Bureaucratie Fédérale et l’Armée détruisent leurs réserves de variole afin de prévenir des fuites éventuelles qui seraient désastreuses pour l’Humanité, voire la décimeraient. Ignorant ces avertissements, l’Administration de Bush en acheta encore plus.. Durant les préparatifs de la guerre contre l’Irak, l’Administration planifiait d’inoculer la population des États-Unis avec le vaccin anti-variolique.
[…]
Le Dr Meryl Nass, écrivant sur l’historique du vaccin anti-variolique rapporta plus tard : “Le vaccin contre la variole était connu pour être très largement réactogène… Lorsque le vaccin fut inoculé aux personnels soignants et aux premiers secouristes en 2003, il y eu des épisodes de fatalité cardiaques, d’infarctus, de myocardite et les morts se sont vite accumulés. Les médecins et les infirmières savaient qu’ils ne pouvaient pas engager de poursuites judiciaires s’ils subissaient des effets secondaires néfastes et dans un premier temps, il n’y eut aucune compensation Fédérale non plus. Les personnels soignants commencèrent à refuser la vaccination.”
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L’armée continua à vacciner les soldats avec un vaccin mortel, non testé et non approuvé médicalement, ce avec des résultats catastrophiques. Le vaccin causa des myocardites symptomatiques chez 1 soldat sur 216 et des myocardites sub-cliniques chez 1 sur 35, d’après une étude de l’US Army de 2005. Les Hauts-Fonctionnaires ont depuis reconnu les vaccins comme cause probable de cette épidémie du Syndrome de la Guerre du Golfe qui sévit alors et qui affecta les soldats inoculés, à la fois ceux déployés et ceux en attente de déploiement mais qui ne le furent jamais.
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Le second plus virulent des ces poulets faucons après le VP Cheney, de la petite coterie de George W. Bush, fut son Ministre de la Défense et ex-CEO de Seattle Pharmaceuticals et patron du PNAC, Donald Rumsfeld, le même Rumsfeld qui, 14 ans plus tôt, avait donné à Saddam Hussein un arsenal biologique dont l’anthrax. Bien que personne n’ait jamais prouvé l’origine de ces spores contenus dans les lettres, le FBI a conclu que ces poudres provenaient d’un laboratoire militaire américain.
[…]
Au lieu de montrer du doigt Sadam Hussein, le labo du FBI trouva que les spores de la maladies du charbon avaient pour origine le laboratoire militaire de Fort Detrick ; un labo de l’université de Scranton ; ou un labo de l’entreprise Battelle basé à West Jefferson, dont le propriétaire est un associé d’affaires des El-Hibri.
Le FBI mit fin à son enquête après qu’un des suspects principaux, un vaccinologue, le Dr Bruce Ivins, patron du labo militaire de Fort Detrick, se soit soi-disant suicidé.
[…]
Une publication italienne, Il Manifesto, rapporta en octobre 2001, que le FBI avait placé les El-Hibri sur sa liste de suspects pour avoir envoyé les spores d’anthrax par la poste.
À qui profite le crime ?
Depuis 1995, Kadlec a éructé au sujet du bioterrorisme devant les élèves de l’École de Guerre et a insisté sur la création d’un Strategic National Stockpile (SNS) pour y entreposer des vaccins et autres substances de contre-mesures. En 2004, Kadlec travaillait avec Rumsfeld à la Maison Blanche de Bush et le congrès passa la loi sur la Public Health Security and Bioterrorism Preparedness Act (PHSBPA), que Kadlec rédigea, dirigeant le secrétaire des HHS à maintenir le SNS qui devenait une cogestion entre le DHS et les HHS.
La même semaine, le congrès passa également la Loi du Project BioShield Act ou loi sur le bouclier biologique, que Kadlec aida aussi à rédiger, loi qui lança la Biomedical Advanced Research and Development Authority ou BARDA, une Banque d’Investissement gouvernementale qui allait faire germer de nouvelles technologies pour le stock de Kadlec. Sous les conseils de celui-ci, la BARDA allait devenir le distributeur automatique de billets fédéral pour Big Pharma, les sous-traitants de la bio-défense et les chercheurs sur le gain de fonction. Avec le NIAID du Dr Fauci et le DARPA du Pentagome, BARDA serait un autre géant du financement d’expériences pour créer des super-bestioles pandémiques à Wuhan et ailleurs.
[…]
Un autre bénéficiaire circonspect du stock fut le Ministre des Affaires Étrangères d’alors et patron de Kadlec, Donald Rumsfeld, qui s’était considérablement enrichi lors de la fausse “pandémie” de grippe aviaire de 2004, que Fauci avait favorisée avec son jeune et ambitieux acolyte britannique du Wellcome Trust, Jeremy Farrar. Seize ans plus tard, en tant que directeur du Wellcome Trust, Farrar jouera un rôle-clé dans le maquillage de l’affaire de Wuhan en 2020. En 2004 et 2005, en réponse à la contagion concoctée par Farrar, entreposa 80 millions de doses du remède de Gilead Science, Tamiflu. Rumsfeld avait servi au Comité Directeur de Gilead entre 1988 et 2001 en fut Président du Comité Directeur de 1997 à 2001, jusqu’à ce qu’il rejoigne le gouvernement Bush en tant que Ministre de la Défense. Il a gardé des actions dans l’entreprise, ce qui lui rapporta un profit net de 5 millions de dollars dans l’affaire du Tamiflu. George Schultz, autre faucon du PNAC, toucha aussi le jackpot, touchant 7 millions de dollars de ses actions de Gilead lors de la “crise de la grippe aviaire”.
Le plus gros vainqueur néanmoins furent les El-Hibri : les attaques à l’anthrax leur apporta exonération et d’énormes bénéfices.
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La patron de Kadlec, Donald Rumsfeld, a dit à ses aides que sa priorité à la biosécurité après les enveloppes d’anthrax envoyées par la poste, sauvait BioPort.
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Le Vice-Président américain Dick Cheney et ses acolytes du PNAC trouvèrent des vides juridiques bien utiles dans la Convention de Genève par lesquels ils multiplièrent par 40 les dépenses sur la recherche en armes biologiques.
[…]
Pratiquement chaque Fonctionnaire Fédéral expérimenté était un jockey dans la course à la guerre contre la terreur et pour arriver dans le cercle restreint des gagnants. Le corps médical militaire, manœuvrant pour sa part de gâteau dans le ruissellement du fric injecté dans le bioterrorisme, avait proposé que chaque soldat américain devrait recevoir 75 nouveaux vaccins dès leur enrôlement afin de couvrir toutes les armes biologiques possibles.
[…]
Le Dr Fauci était en concurrence ouverte avec l’armée dans une campagne qui allait crescendo de pompage de l’argent du contribuable américain en utilisant le risque posé par l’anthrax et la maladie du charbon comme prétexte. Le budget bio-défense du NIAID à lui seul a été multiplié par 6 entre 2002 et 2003, de 270 millions de dollars à 1,75 milliards.
[…]
Malgré le fait qu’ils n’ont tué collectivement que 800 personnes dans le monde, les coronavirus SRAS entre 2002 et 2004 étaient donc un don du ciel pour Fauci. Le directeur du NIAID ignora le plus évident des avertissements de ces incidents : que des fuites de coronavirus des laboratoires en Chine, à Taïwan et à Singapour avaient précipité plusieurs des contagions. Fauci déclara en 2011 : “Par la réponse à l’anthrax, nous avons construit à la fois une infrastructure physique et intellectuelle qui peut être utilisée pour répondre à une bonne variété de menaces sur la Santé.” À partir de là, la course à l’armement interne pour capturer les fonds de financement du Pentagone, de la CIA, BARDA, DARPA et HHS attirait l’armée, la CIA et le NIAID de plus en plus profond dans cette alchimie de la “recherche de gain de fonction”, qui finira par culminer avec cette affaire de la boîte de Pandore du laboratoire P4 de Wuhan.

JBL1960

Affaire CoV19 : Le SRAS-COV-2 Organisme Génétiquement Modifié avec séquences du génome VIH – Étude révélatrice d’un ex-conférencier de l’OTAN – Source Veterans Today ► https://www.veteranstoday.com/2020/05/14/wuhangate-8-sars-2-virus-gmo-built-with-hiv-breaking-study-by-bio-engineer-ex-nato-lecturer/ ► Un biologiste français détruit la thèse du virus naturel

Fabio Giuseppe Carlo Carisio – 14 mai 2020 ► VERSIONE ORIGINALE IN ITALIANO (VT Italy) – Traduit de l’anglais par Résistance 71 publié en 2 parties que j’ai réunifiées au format PDF N° 178 de 19 pages – Publication initiale du 20 mai 2020 ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/05/laffaire-cov19-ogm.pdf