On reparle d’Al Gore ?

Ou pas ?

Alors, d’un côté on à Jonas qui fait des siennes à New York ;

La tempête Jonas a paralysé samedi la ville de New York où la circulation a été interdite, alors que des aéroports, des ponts, des tunnels, des lignes ferroviaires et une partie du métro ont été fermés. Arrivée dans la région de New York dans la nuit de vendredi à samedi, la tempête de neige s’est révélée d’une intensité plus forte que prévue.

De l’autre, on a une vague de froid historique en Chine  ;

Un puissant anticyclone (1060 hPa) centré sur la Mongolie provoque la descente d’un air glacial de Sibérie orientale en direction du nord de la Chine. L’est du pays est particulièrement exposé et surtout la capitale Pékin où le thermomètre pourrait approcher les -20°C ce week-end. Cette descente d’air polaire continental concerne déjà la partie nord-est de la Chine. On relevait ainsi ce vendredi matin -10°C à Pékin mais jusqu’à -47,8°C à Genhe dans la région autonome de la Mongolie intérieure, une localité considérée comme la plus froide de Chine. Il s’agit d’un froid sec mais le vent de nord-est est soutenu et difficilement supportable. C’est au cours de ce week-end que le pic de froid sera atteint avec -17 à -19°C attendu dans la capitale, un niveau qui devrait rester inférieur au record de froid datant de 1951 avec -22,8°C. En revanche, les températures maximales pourraient plafonner à -15° ce samedi à Pékin, ce qui est 20°C inférieur aux moyennes.

Cette vague de froid est la plus intense de ces 30 dernières années.

Mais aussi, en Turquie et au Proche-Orient ;

Des intempéries de la Turquie au Proche-Orient

La vague de froid qui a touché une grande partie de l’Europe la semaine dernière s’est déplacée vers le sud et touche à présent l’est de la Méditerranée. L’air froid touche même l’ Égypte et la Jordanie. Cette situation très dépressionnaire engendre le développement d’orages de fortes pluies, de la grêle et parfois de neige jusqu’en plaine. Les régions les plus concernées par le risque de neige s’étirent de la Turquie jusqu’à la Syrie en traversant le Liban, Israël et la Jordanie

Des chutes de neige record au Japon ;

Au moins deux personnes sont mortes dimanche au Japon à cause des chutes de neige record qui touchent le pays. Plus de 100 personnes ont également été blessées. La vague de froid s’est même étendue jusqu’à l’archipel subtropical Amami, qui a vu ses premiers flocons de neige en 115 ans, selon des médias locaux.

Les températures ont plongé pour atteindre un record de 4,2° Celsius à Okinawa, considérée comme le «Hawaï du Japon», et 17 centimètres de neige ont été enregistrés à Nagasaki. De nombreux vols ont été annulés et le trafic ferroviaire est perturbé par la neige, surtout dans l’ouest du pays.

Et donc, à l’origine, il y a ; Lui ;

« Réchauffement climatique » : les prédictions d’Al Gore… et la réalité

Traduction E&R

Al Gore, prétendu gourou du réchauffement climatique, et un groupe de soi-disant « climatologues » sont dans le pétrin, et pas qu’un peu !

En 2007, 2008 et 2009, Gore prévenait [1] publiquement, très hystériquement, qu’ « il n’y aurait plus de glace » au pôle Nord d’ici 2013 environ en raison du présumé « réchauffement climatique d’origine humaine ». En se référant aux experts du « climat », la BBC, financée par le gouvernement, attisa l’hystérie collective avec un article aujourd’hui embarrassant, dont le titre était : « Des étés arctiques sans glace “avant 2013” [2]. » D’autres médias officiels relayèrent la même information.

Eh bien, 2013 est sur sa fin, et à l’inverse des « prédictions » [3] alarmantes d’Al Gore et de ce que les critiques ont appelé « la secte de la fin du monde », les dernières données satellite [4] montrent qu’en Arctique, la glace a en fait augmenté de 50 % par rapport aux niveaux de 2012. Et même, en octobre, les niveaux de glace se sont accrus à une vitesse telle [5] que c’est la plus rapide qu’on ait enregistré depuis les premiers relevés en 1979. Les experts prévoient que cette hausse va se poursuivre dans les années à venir, et laissent les catastrophistes du réchauffement mondial se débattre comme de beaux diables dans des explications pour se sauver la face – et pour ranimer une hystérie climatique qui fond à vue d’œil.

Pendant ce temps, en septembre, le niveau de glace de l’Antarctique a enregistré une hausse record pour la deuxième année de suite [6]. À l’heure actuelle, bien sûr, quasiment tous ceux qui ont suivi les informations au sujet du « réchauffement climatique » – aujourd’hui plus communément appelé « changement climatique » eu égard aux relations avec le public – savent aussi que les températures du globe n’ont pas augmenté depuis environ 17 ans [7]. L’impressionnante absence de réchauffement a démoli l’ensemble des 73 « modèles climatiques » dont l’ONU s’est servi pour mettre en avant ses théories controversées.

Cela dit, selon les prédictions et autres théories fumeuses d’Al Gore et du reste des catastrophistes, rien de tout cela n’aurait dû se produire. Il y a cinq ans, devant un public allemand, Al Gore, qu’on surnomme parfois avec ironie « Goracle », soutenait que « la calotte glacière du Nord polarisé (sic) disparaîtra en entier dans cinq ans ». Bien que la vidéo d’origine de cette prédiction, particulièrement ratée, semble avoir été supprimée d’internet, des bloggers du parti conservateur ont réussi à retrouver les mêmes images [8] provenant d’autres sources. « Cinq ans, Al Gore insiste encore, c’est le laps de temps que ça prendra, on pense, avant qu’elle ne disparaisse. »

L’année suivante, Al Gore fit les mêmes déclarations à un sommet de l’ONU sur le climat à Copenhague [9]. « Certains modèles suggèrent qu’il y a 50 % de chances qu’il n’y ait plus de glace, pendant certains mois d’été, sur l’ensemble de la calotte glacière du pôle Nord d’ici les cinq à sept années à venir », affirme Al Gore en 2009. « Nous verrons bien. » En effet, cette prédiction, fausse, semble être à côté de la plaque, et c’est un euphémisme ; mais ni la presse officielle ni Al Gore ne semblent vouloir que le reste du monde ne l’apprenne.

En toute franchise, Al Gore n’était pas, loin s’en faut, le seul militant hystérique catastrophiste à se couvrir de ridicule. En décembre 2007, la BBC signala de prétendues « études de modélisation » qui étaient censées indiquer qu’ « il pourrait ne plus y avoir de glace en été dans les eaux du pôle Nord d’ici cinq à six ans à peine ». De facon incroyable, certains des soi-disant « experts » ont même soutenu que ça pourrait arriver avant ; en se basant sur des calculs effectués par des « superordinateurs » qui, selon la BBC, « participent aux recherches standard en climatologie ces dernières années ».

« Notre prévision de 2013 de la disparition de la glace en été ne tient pas compte des relevés minimums de 2005 et 2007 », a déclaré le Professeur Wieslaw Maslowski, présenté comme chercheur de l’Ecole Navale, qui a travaillé avec des collègues de la NASA à l’invention des prévisions aujourd’hui sérieusement discréditées concernant la glace polaire. « À partir de là, on peut débattre du fait que peut-être (sic) nos prévisions de 2013 sont trop prudentes. » D’autres « experts » cités dans l’article de la BBC partagent le même délire.

Cependant, dans le monde réel, des preuves scientifiques qui anéantissent les théories du réchauffement climatique prônées par Al Gore, l’ONU et les climatologues payés par le gouvernement, continuent à grossir, en même temps que les calottes glacières des deux pôles. En Arctique, par exemple, les données obtenues par le satellite européen Cryosat indiquent environ 9 000 km³ de glace à la fin de la saison de la fonte 2013. En 2012, certes une année basse, le volume total s’élevait à environ 6 000 km³ – quelques 50 % de moins que le total de 2013. Les ours polaires ne se sont jamais aussi bien portés non plus.

Dans tout l’hémisphère Sud, les données se révèlent encore plus dévastatrices à l’encontre des prétendus « climatologues » et de ce qu’ils appellent leur « cause », dans les emails profondément embarrassants du ClimateGate [10]. D’abord, les chiffres de 2012 indiquent un niveau record de couverture de glace – plus important à chaque endroit depuis qu’on a commencé à tenir les statistiques en 1978. On a établi un nouveau record cette année : en septembre, la glace couvrait plus de 19,5 millions km² de l’océan Antarctique.

Et pendant ce temps, partout dans le monde, des records de basses températures continuent de ridiculiser les théories du « réchauffement climatique ». Bien que cela soit anecdotique, évidemment, Le Caire, en Égypte, a vu ses premiers flocons de neige depuis plus de 100 ans [11]. Aux États-Unis, il y a eu des centaines de nouveaux records [12] de basses températures et de chutes de neige. Étrange retournement de situation : certains climatologues ont alors commencé à affirmer que les températures glaciales étaient en fait autant de preuves du « réchauffement climatique ».

Pour expliquer l’absence de réchauffement des dix-sept dernières années, universellement reconnue, au mépris des théories climatiques de l’ONU, les « climatologues » subventionnés par le gouvernement et l’ONU ont de plus vendu l’idée de ce que leurs détracteurs nomment la théorie « L’Océan a mangé mon réchauffement climatique ». L’ONU, soumise à une forte pression politique exercée par l’administration Obama et celle d’autres gouvernements [13], a suivi cette théorie, malgré le manque de preuves observables pour signaler que les profondeurs marines absorberaient en fait le réchauffement climatique prédit par elle-même.

L’ONU apparaît de plus en plus déconnectée de la réalité [14] aux yeux des scientifiques indépendants, en affirmant dans son dernier rapport être certaine à 95 % [15] que les émissions de dioxyde de carbone générées par l’humain étaient responsables de la hausse des températures. Ces affirmations, aujourd’hui largement ridiculisées partout dans le monde, ont été lancées bien que l’absence de réchauffement climatique depuis les dix-sept dernières années ait discrédité absolument tous les modèles informatiques. Plusieurs experts prévoient même un refroidissement mondial [16].

Les meilleurs experts et scientifiques du monde – même ceux, nombreux, qui ont collaboré au Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU – ont raillé l’équipe mondiale et ont discrédité leur rapport sur le « climat » [17]. Plusieurs gouvernements et dictateurs, cependant, continuent à jouer le jeu, jeu que certains experts appellent la « comédie » ou le « canular » du climat, principalement à cause de primes qui en dépendent et des fonds publics qui aident à perpétuer ce catastrophisme injustifié.

Pour les dictateurs du tiers monde, le but semble de s’assurer des milliers de milliards de dollars qui viennent des contribuables occidentaux [18] sous le prétexte de réparations « climatiques » et de « justice ». Pour les gouvernements des pays plus riches, le but paraît être celui de la taxe carbone et celui d’une politique « climatique » mondiale avec des pouvoirs sans précédent sur l’humanité [19]. Réunis à Varsovie pour le dernier sommet du climat de l’ONU, alors que la « science » derrière les théories sur le réchauffement climatique implosait [20], les membres de ces régimes se mirent d’accord pour finaliser un traité avant 2015 sur le climat dans le monde [21].

Les sondages montrent que malgré les centaines de millions de dollars du contribuable gaspillés en faveur de l’alarmisme pro-réchauffement climatique, le public américain refuse toujours majoritairement ces théories de réchauffement à cause des activités humaines, théories mises en avant par l’ONU et ses alliés, de plus en plus discrédités. Un sondage Rasmussen fait en septembre sur un échantillon d’électeurs éventuels trouve [22], par exemple, que seuls 43 % des votants éventuels croient que le prétendu « réchauffement climatique » est dû aux activités humaines. À peu près le même nombre croit qu’il ne l’est pas.

Malgré des attaques malveillantes et des menaces – certaines furent dévoilées dans le scandale du ClimateGate [23] – les scientifiques quittent de plus en plus le navire du naufrage « climatique » [24]. Et même certains gouvernements, des plus importants, travaillent à contenir ce catastrophisme incontrôlable, comme par exemple les autorités australiennes qui connurent une victoire électorale écrasante un peu plus tôt cette année, en promettant de libérer la nation de la « taxe carbone » [25] tout en supprimant une grande partie de la force de la théorie du « réchauffement climatique » subventionné par le contribuable. Des demandes pour poursuivre en justice « les impostures » des « climatologues » se font aussi entendre.

Jusqu’ici, malgré la surmédiatisation des absurdités d’il y a cinq ans, la presse officielle n’a pas réussi à informer son lectorat en diminution que les affirmations d’Al Gore et de ses compagnons catastrophistes se sont révélées honteusement fausses. De plus, aucune excuse n’est venue de la part d’Al Gore, aucun des « scientifiques » qui ont émis ces prédictions ridicules ne s’est excusé ni n’a perdu son poste, payé par le contribuable. En fait, c’est presque incroyable, les médias officiels répètent comme des perroquets [26] de nouvelles affirmations provenant des mêmes experts déjà discrédités qui indiquent qu’ « il n’y aura plus de glace » en Arctique d’ici 2016.   Alex Newman

http://www.egaliteetreconciliation.fr/Rechauffement-climatique-les-predictions-d-Al-Gore-et-la-realite-22410.html

Et donc, en ce 25 janvier 2016 il est prouvé que Al Gore n’a raconté que des conneries.

On sait aujourd’hui que Goldman Sachs est derrière sa société GIM LPP ;

Mais y’a pas de soucis, non, non… Le gars y s’excuse pas.

Même pas Oups ! Non, rien du tout…

Et vu le fric qu’il continu à se faire, y risque pas de moufter le gars…

JBL1960

Est-ce que ce monde est sérieux ?

Non, je ne crois pas non !

Donc, un abruti, parce que l’on fait des conneries depuis 4 générations dans sa famille, continu à faire de la merde avec ses propres enfants.

Je m’explique ;

Espagne: La photo d’un torero dans l’arène, son bébé dans les bras, crée la polémique

INTERNET La photo a été prise lors d’une séance d’entraînement du torero…

Ah bah, si c’est lors d’un entrainement, c’est pas grave alors ?

La polémique ne cesse d’enfler en Espagne. Le torero Francisco Rivera Ordóñez est décrié sur les réseaux sociaux depuis la publication d’une photo sur son compte instagram le montrant lors d’une séance d’entraînement avec un taureau, sa fille de cinq mois dans les bras.

Pauvre môme…

Le cliché est accompagné d’un message précisant : « Début de Carmen, 5e génération à toréer dans notre famille. Mon grand-père a toréé ainsi avec mon père. Mon père l’a fait ainsi avec moi. Je le fais avec mes filles, Cayetana et aujourd’hui Carmen ».

Qualifié d’« irresponsable » et de « dangereux », le fils et petit-fils de torero a posté plusieurs messages sur son compte Twitter pour répondre aux critiques qui lui ont été adressées : « Penser que j’ai mis ma fille en danger est scandaleux. Elle ne sera jamais plus en sécurité que dans mes bras », a riposté le torero.

L’image a relancé le débat, de plus en plus présent dans la société espagnole, entre les pros et les anti-corrida. Pour faire taire les invectives les plus virulentes, Francisco Rivera Ordóñez a publié une nouvelle série de photographies le montrant enfant dans l’arène aux côtés de son père.      Info lue sur 20 minutes le 25/01/2016

Et c’est là qu’on se dit, que c’est pas gagné, hein ?

Donc, des gars estiment qu’il y a un « art de tuer un animal » qu’on appelle La Corrida…

Comme des gars, tuent des animaux, pour le plaisir, pour le coup de fusil…

Ouais, ça s’appelle la chasse…

Non c’est pas gagné, du tout…

Parfois, les mots nous manquent devant l’étendue de la connerie humaine…

JBL1960

Australia Day : Jour de l’invasion !

Le 26 janvier 2016 c’est l’Australia Day !

Le Jour de l’Invasion ou le Jour de Survie…

On commémore sa fierté d’être Australien et donc d’avoir tué l’aborigène.

« Les Australiens originels sont la plus vieille présence humaine. »

Je reproduis ci-dessous l’article de John Pilger que R71 a traduit et publié sur son blog ;

https://resistance71.wordpress.com/2016/01/25/resistance-au-colonialisme-26-janvier-australia-day-pour-le-grand-silence-de-la-honte-coloniale-john-pilger/

Le jour de l’Australie pour les secrets, les drapeaux et les lâches

John Pilger  21 janvier 2016

Le 26 janvier, un des jours les plus tristes de l’histoire de l’humanité va être célébré en Australie. Ce sera “un jour des familles”, disent les journaux de la presse de Ruppert Murdoch. Des drapeaux seront mis aux coins des rues et sur des chapeaux rigolos. Les gens répèteront sans cesse combien il sont fiers (d’être Australiens).

Pour beaucoup, ce sera soulagement et gratitude. Dans l’espace de mon temps de vie, l’Australie non-indigène a changé pour passer d’une société anglo-irlandaise à une des plus ethniquement diverses sur terre. Ceux que nous avions l’habitude d’appeler “les nouveaux Australiens”, souvent choisissaient le 26 Janvier, jour d’ Australia Day, pour prêter serment en tant que citoyens (NdT: j’ai personnellement assisté à une de ces cérémonies en plein-air dans les années 1990…). Ces cérémonies peuvent être émouvantes (NdT: je confirme..). Regardez les visages de ces gens du Moyen-Orient et comprenez pourquoi ils serrent leur nouveau drapeau.

C’était au lever du soleil, un de ces 26 janvier il y a bien des années, lorsque je me tenais avec des indigènes et des Australiens non-indigènes et que nous jetions des couronnes de fleurs dans le port de Sydney (Sydney Harbour). Nous étions descendus sur une de ces parfaites petites criques de sable où d’autres se tinrent comme des silhouettes, regardant les navires de la “première flotte” britannique jeter l’ancre le 26 Janvier 1788. Ce fut le moment où la seule île continent de la planète fut prise à ses habitants ; l’euphémisme utilisé fut “établie” (NdT: pour colonisée). Ce fut, écrivit Henry Reynolds, un des seuls honnêtes historiens australiens qui soit, un des plus grand vol de territoire de l’histoire du monde. Il décrivit le massacre qui s’en suivit comme “un murmure dans nos cœurs”.

Les Australiens originels sont la plus vieille présence humaine. Pour les envahisseurs européens (NdT: et chrétiens ne l’oublions pas, ceci est lié encore et toujours à la doctrine de la découverte…), ils n’existaient pas parce que leur continent avait été déclaré terra nullius: terre vide. Pour justifier de cette fiction, un meurtre de masse fut ordonné. En 1838, le journal du Sydney Monitor rapporta: “Il a été résolu d’exterminer toute la race noire dans ce quartier.” Ceci faisait référence au peuple Darug qui vivait le long de la grande Hawkesbury River, pas très loin de Sydney. Avec une toute remarquable ingéniosité et sans armes à feu, ils combattirent et résistèrent de manière épique, ce qui demeure toujours aujourd’hui un quasi secret national. Sur une terre où fleurissent de partout les cénotaphes à la gloire des colons australiens morts dans des guerres impérialistes, personne ne se lève pour ces valeureux guerriers qui se sont battus et sont tombés en défendant l’Australie.

Cette vérité n’a pas sa place dans la conscience australienne. Parmi les nations coloniales à populations indigènes, mise à part une “excuse” facile en 2008, seule l’Australie a refusé d’accepter sa honte passée coloniale (NdT: et toujours présente, car comme les Etats-Unis, le Canada et la Nouvelle-Zélande, l’Australie est toujours en 2016 un pays COLONIAL et à ce titre comme l’empire nord-américain, ne possède aucune terre et est un “pays” fondé sur le vol et le génocide…). Un film d’Hollywood, Soldier Blue, en 1970, a fameusement inversé les stéréotypes raciaux et donné aux Américains un regard éclair sur le génocide dans leur propre “établissement” (colonial) mythique. Près d’un demi-siècle plus tard, il est tput à fait juste de dire qu’un film équivalent ne serait jamais fait en Australie.

En 2014, lorsque mon propre film-documentaire “Utopia”, qui raconte l’histoire du génocide australien, a cherché un distributeur local, Je fus conseillé par une des lumières de ce business: “Jamais on ne pourra distribuer ceci. Les audiences ne l’accepteront jamais.”

Il a eu tort, jusqu’à un certain point. Lorsqu’Utopia fut présenté à Sydney quelques jours avant le 26 janvier, à la belle étoile, sur un terrain vague dans une zone aborigène de la ville connue sous le nom de The Block, plus de 4000 personnes vinrent, la vaste majorité non-indigène. Beaucoup voyagèrent depuis l’autre côté du continent. Les leaders indigènes qui apparaissent dans le film se tinrent devant l’éran et parlèrent dans la “langue”… la leur. Rien de semblable ne s’était jamais produit auparavant, et pourtant, il n’y avait aucun représentant de la presse. Pour la plus vaste communauté blanche du pays, ceci ne se passait pas. L’Australie est une Murdochratie, dominée par l’éthique d’un homme qui changea de nationalité pour le Fox News Network des Etats-Unis.

La vedette du football australien (AFL) indigène Adam Goodes écrivit émotivement au Sydney Morning Herald pour demander que “le silence soit brisé”. “Imaginez”, écivit-il. “regarder un film qui dit la vérité au sujet de terribles injustices commises envers votre peuple, un film qui révèle que les Européens et les gouvernements qui ont dirigé notre pays, ont violé, massacré et volé notre peuple pour leur seul profit. Imaginez maintenant ce qui peut être ressenti lorsque le peuple qui a bénéficié le plus de ces viols, de ces meurtres et de ce vol, le peuple au nom de qui ceci fut perpétré, se tourne avec dégoût lorsque quelqu’un expose les faits.

Goodes lui-même a déjà brisé ce silence lorsqu’il se dressa contre les abus racistes qui lui furent lancés ainsi qu’à d’autres athlètes aborigènes. Cet homme courageux et plein de talent, qui a pris sa retraite du football australien l’an dernier comme s’il était sous un lourd nuage avec, écrivit un commentateur sportif “la nation sportive divisée à son sujet”. En Australie, il est respectable d’être divisé en s’opposant au racisme.

En ce jour d’Australia Day le 26 janvier 2016, le peuple indigène préfère parler de Jour de l’Invasion ou le Jour de Survie, il n’y aura aucune reconnaissance que cette unicité de l’Australie réside en son peuple originel, le tout allant avec une mentalité coloniale infuse qui devrait être un embarras de longue date dans une nation indépendante. Cette mentalité s’exprime de bien des façons, de la prosternation politique sans relâche aux pieds d’Etats-Unis prédateurs en passant par un mépris presque normal pour les Aborigènes d’Australie, un écho de “kaffir”, des abuseurs sud-africains.

L’apartheid est pervasif dans la société australienne (NdT: expérimenté en première main sur place, surtout dans le Queensland et les Territoires du Nord…). Pas très loin de Sydney par avion, le peuple indigène a une espérance de vie des plus courtes. Les hommes meurent souvent avant 45 ans. Ils meurent de maladies remontant au temps de Dickens, comme les maladies cardiaques rhumatiques, les enfants deviennent aveugles de la trachoma et sourds à cause d’otites de l’oreille moyenne, des maladies typiques de la pauvreté. Un médecin m’a dit: “Je voulais donner à une patiente des anti-imflammatoires pour une infection qui aurait été inexistant si les conditions de vie étaient meilleures, mais je n’ai pas pu la traiter parce qu’elle n’avait pas assez de nourriture à manger et ne pouvait pas ingérer les tablettes (sans nourriture). J’ai le sentiment parfois de gérer des conditions similaires que celles de la classe ouvrière anglaise au début de la 1ère révolution industrielle.

Le racisme qui permet cela dans une des sociétés les plus privilégiées de la planète est très profond. Dans les années 1920, un “Protecteur des Aborigènes” supervisa le vol, le kidnapping, d’enfants métis avec pour justificatif de “laver la couleur par le brassage”. Aujourd’hui, un chiffre record d’enfants indigènes sont enlevés de leurs foyers et beaucoup ne revoient jamais leur famille d’origine. Le 11 Février, un groupe qui force le respect appelé “Grandmothers Against Removals” mènera une marche sur le parlement fédéral de Canberra, demandant le retour des enfants volés.

L’Australie est le modèle des gouvernements européens qui cloisonnent leurs frontières auparavant ouvertes tout en facilitant le fascisme, comme en Hongrie. Les réfugiés qui osent faire route par mer vers l’Australie dans des bateaux surchargés en passagers, ont été depuis longtemps traités en criminels, avec les “passeurs” dont la notoriété est pompée hors de proportion par les médias australiens afin de faire diversion sur l’immoralité et les crimes de leur propre gouvernement. Les réfugiés sont parqués derrière du fil de fer barbelé en moyenne pour bien plus d’une année, certains indéfiniment, dans des conditions barbares, qui ont mené certains au suicide, au meurtre, à la maladie mentale. Les enfants ne sont jamais épargnés. Un goulag australien géré par des firmes de sécurité privées sinistres et qui inclut des camps de concentration sur les îles isolées du Pacifique de Manus et Nauru. Les gens n’ont aucune idée de quand ils serot libérés et si même ils le seront un jour.

L’armée australienne, dont les faits d’armes sont le sujet de tomes dénués de toute critique remplissant les pleins rayons des librairies d’aéroports, a joué un rôle important à “refouler les bateaux” des réfugiés fuyant les guerres, comme en Irak, guerre commencée et prolongée par les Américains et leurs mercenaires australiens. Aucune ironie et encore moins de responsabilité, ne sont reconnues dans ce rôle si lâche.

Ce jour de fête nationale de l’Australia Day qui vient, la “fierté des services” sera au balcon. Cette fierté s’étend au département de l’immigration australien qui envoie les gens dans son goulag pour un “service de contrôle au large”, le plus souvent de manière tout à fait arbitraire, laissant ces gens se morfondre, se désespérer et pourrir. La semaine dernière on a annoncé que les hauts fonctionnaires de l’immigration ont dépensé 400 000 dollars pour des médailles qu’ils vont s’attribuer à eux-mêmes pour tant d’héroïsme. Allez, sortez encore plus de drapeaux !…

Je suis totalement d’accord avec le préambule de R71 qui précise ceci ;

On ne le répètera jamais assez : Le pays du goulag levant (ex-USA) et son satellite du Canada ne sont pas les seuls exemples passés et actuels de pays toujours ACTIVEMENT colonialistes. Nous avons déjà mentionné l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Ici, John Pilger nous (re)fait réfléchir sur l’ignominie coloniale toujours silencieuse de son pays: l’Australie. Les pays sus-mentionnés ainsi que tous les pays du Commonwealth (soi-disant ex-colonies britanniques toujours pour la plupart sous le joug de la « couronne »/city de Londres) sont toujours des pays colons qui sont LÉGALEMENT dépourvus de territoire puisque la terre qu’ils OCCUPENT a été volé aux nations originellement habitant ces contrées au prix d’un génocide de leurs populations.

Pour pouvoir combattre le plus grand fléau de l’histoire de l’humanité : le colonialisme occidental (au fondement religieux chrétien) et changer de paradigme politique pour tous, encore faut-il comprendre les tenants de l’affaire. Ceci n’est pas de « l’histoire ancienne », çà se passe toujours aujourd’hui en 2016. Vaincre le colonialisme, son idéologie, sa pratique, véhiculées, facilitées et protégée par son garde-chiourme: l’État, ces deux fléaux de l’humanité, brandis par l’oligarchie parasite, nous devons comprendre l’histoire, admettre nos erreurs, nos crimes contre l’humanité et nous émanciper de cette spirale mortifère qui nous fait tourner toujours plus vite autour du trou de vidange de la baignoire à infamie qui se vide inexorablement.

Nous devons nous tenir debout, émancipés, côte à côte avec nos frères des nations des cinq continents pour enfin lier les liens de solidarité, d’entr’aide mutuelle, de compassion et de coopération qui nous mèneront ensemble à la création d’une société des sociétés d’associations volontaires, juste, égalitaire, non-coercitive et universelle, fondée de la loi naturelle et l’essence même de la nature humaine : l’entr’aide. — Résistance 71 —

Tout comme on commémore aux États-Unis et son satellite le Canada « Thanksgiving »

Pourquoi la journée du “Thanksgiving” nord-américaine ou “journée d’action de grâce” est vue comme une journée de deuil par les nations amérindiennes :

“La plupart des (nord)-Américains croient aujourd’hui que la fête du Thanksgiving célèbre les bonnes récoltes, mais cela n’est pas du tout le cas. En 1970, la nation Wampanoag a montré une copie de la proclamation de Thanksgiving faite par le gouverneur de la colonie. Le texte révéla la vérité très moche: Après qu’une milice coloniale revint d’avoir massacré des hommes, femmes et enfants d’un village indien, le gouverneur proclama un jour férié de festivités pour remercier de ce massacre. Il encourageait également d’autres colonies à faire la même chose… En d’autres termes, à chaque automne, après avoir rentré les moissons, allez massacrer les Indiens et célébrez vos assassinats par une fête.”  ~ Russell Means, 1995 ~

https://resistance71.wordpress.com/2014/11/27/resistance-au-colonialisme-du-mythe-etats-unien-du-thanksgiving-a-la-realite-coloniale-dapartheid/

A chaque Thankskiving, à chaque Australia Day ont célèbre la suprématie de l’homme blanc et chrétien sur l’homme qui n’est pas blanc et donc inférieur.

Quand Jules Ferry déclarait en 1885 ;

« Les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures. »

 Et qu’aujourd’hui encore, par la Bush d’Hollandouille on célèbre Jules Ferry.

On assoit le dogme de la suprématie de l’homme blanc et de préférence chrétien sur tout autre homme, voire sous-homme…

C’est pourquoi, et avant tout chose, je préconise d’abolir l’empire imaginaire (l’Empire Anglo-Américain) fondé par la subjugation des peuples premiers et le vol de leur terre en répudiant la doctrine chrétienne de la découverte.

Et nous pouvons le faire aujourd’hui en se faisant débaptiser en masse sur ce motif, par exemple et ainsi Faire tomber l’Empire…

Qu’on ne vienne pas aujourd’hui prétendre qu’on ne savait pas…

D’autant que John Pilger vient de nous illuminer avec son Rayon de lumière d’Asie alors que Paul Craig Roberts n’a pas su, lui, aller jusqu’au bout de son analyse que j’ai intégré dans ce billet ; Meurtre Mort Détruire

JBL1960

Nous aussi !

Le père de Tarek Belgacem veut la « vérité ».

Et nous aussi…

Mais probablement qu’on l’aura pas.

Celui qu’on nomme toujours l’assaillant du commissariat du 18ème ; Tarek Belgacem…

Je vous mets le lien vers le dernier billet dans lequel je traite de cette incroyable bavure, dont tout le monde se fout, mais d’une force… (Bon, pas nous puisqu’on en parle).

Pendant ce temps-là on veille…

JBL1960

Bon alors qu’est-ce qu’on fait ?

C’est en substance ce que doit se demander Hollandouille, non ?

Quoique !

Lu sur Sputniknews de ce jour cette info ;

Le Conseil de l’Europe « préoccupé » par une prolongation de l’état d’urgence en France

Le secrétaire général du Conseil de l’Europe, Thorbjørn Jagland, a fait part lundi au président français François Hollande de sa « préoccupation » face à une prolongation de l’état d’urgence décrété après les attentats de Paris, rapporte l’AFP.

Dans un courrier, M. Jagland dit avoir appris « avec préoccupation qu’une prolongation de l’état d’urgence semblait être envisagée » en France, et pointe notamment les « risques pouvant résulter des prérogatives conférées à l’exécutif » durant l’état d’urgence.  « Je me réfère entre autres aux conditions dans lesquelles des perquisitions administratives ou assignations à résidence peuvent être effectuées », poursuit le secrétaire général de l’organisation de défense des droits de l’homme dans son courrier, dont l’AFP a obtenu copie. « Je songe notamment aux disposition concernant l’usage des armes à feu par les forces de l’ordre et aux restrictions à la liberté d’aller et venir », précise M. Jagland.

L’organisation paneuropéenne suit également avec attention « les discussions qui se tiennent au niveau national autour de l’élargissement des cas de déchéance de la nationalité française », précise son secrétaire général.

« Le Conseil de l’Europe est prêt à apporter son assistance, si vous le jugez utile, pour que les réformes que vous avez annoncées s’inscrivent dans le respect des normes européennes relatives aux droits de l’Homme », ajoute encore M. Jagland.

M. Jagland dit aussi espérer « vivement que les projets de réformes constitutionnelle et pénale en cours contiendront les garanties nécessaires du point de vue du respect des libertés fondamentales ».  Fin novembre, la France avait informé le Conseil de l’Europe qu’elle allait « déroger à la convention européenne des droits de l’homme » avec l’état d’urgence décidé après les attentats, une procédure qui la prémunit d’éventuelles condamnations devant la CEDH, sans la dispenser de respecter certains droits fondamentaux inaliénables.

Mais début janvier, le commissaire aux droits de l’Homme de l’organisation paneuropéenne, Nils Muiznieks, s’était inquiété des « dérives » de l’état d’urgence en France et du « risque » que présentait sa mise en œuvre pour la démocratie.

http://fr.sputniknews.com/international/20160125/1021200103/europe-france-etat-urgence.html

Alors, c’est pas faute de bramer sur ce blog, et à longueur d’articles qu’il nous faut impérativement retirer notre consentement à ces marioles.

Et ce n’est pas faute, de proposer des solutions, ici même, et sur d’autres blogs ; Résistance71, Grisebouille, entrefilets

J’ai même, dès le début, affirmé qu’il serait de plus en plus difficile d’initier un changement de paradigme sous dictature 2.0, avec ce billet ci ;

Je ne dis pas qu’il faut laisser tomber, ça sûrement pas. Je dis que nous avons des moyens pour arrêter ce cirque, et montrer que nous ne voulons plus être complices des actions de l’État vassal français.

J’ai déjà dit, et je le répète donc, que ce ne sera que lorsque nous les occidentaux, reconnaîtrons les criminels de guerre parmi les nôtres et que nous arrêterons de nier la vérité que le sang commencera à sécher.

Et c’est pourquoi, je pense qu’il est urgent de s’éveiller, en plus grand nombre, ça urge un peu quand même au regard des déclarations des zommes politics de tous bords !

L’éveil, c’est réaliser et abattre le plus grand fléau de l’humanité : Le colonialisme et ce par quoi il arrive : l’État !

Oui, c’est aussi simple que ça.

Concernant le colonialisme ; Vous pouvez relire ce billet ;

Et aller trainer sur le blog de R71 qui lui est le plus pointu sur le sujet !

Nous devons absolument stopper cette spirale mortifère dans laquelle veulent nous entraîner les larbins des larbins des psychopathes aux manettes.

Et c’est parce que Demain se plante Aujourd’hui que nous devons, d’où nous sommes, nous inter-relier, nous inter-connecter.

Ceux qui ont vu le VLOG#37 de Greg me comprendrons. Les gars, c’est des gonzesses du PS en l’occurrence, essaient par tous les moyens de limiter notre champ d’action par et sur Internet.

Chouard avait parfaitement raison en affirmant que tous, grâce à Internet nous pouvions devenir des passeurs d’idées, des lanceurs d’alerte. Et ils l’ont bien compris ! Et donc, comme en Chine, en Corée du Nord, y tentent de nous bâillonner les cons !

Plus nous attendons, plus nous laissons faire, plus nous laissons la voie libre à nos bourreaux pour nous installer de nouvelles chaines et cela par notre propre soumission…

J’ai rédigé plein de billets sur ce blog sur l’état d’urgence, ses perquises et les dérives attendues quoique souvent on s’est pincé tellement on avait l’impression d’être dans « 1984 » ou « Brazil ».

Je vous suggère de jeter un œil sur ce blog et notamment les billets suivants ;

Opération Chou-Blanc,

Da Vinci Code,

Perquisitions au Pays des Lumières…

Perquises à tout va…

Pour comprendre que, comme c’était à prévoir ; C’est la merde !

Mais, c’était couru d’avance dans ce Système là !

Donc, pour moi, je le redis ; C’est le moment !

Qui peut croire que ce changement de paradigme ne nécessite aucun effort de notre part à tous ?

Tout le monde peut y avoir sa part, même infime.

Tout le monde peut y tenir un rôle.

Et sans rien attendre en retour, bien sûr ! Seule compte la nouvelle page blanche à écrire et rien d’autre.

Et même si ce n’est qu’un seul mot, un seul geste, une seule idée.

Et dans un premier temps, nous n’avons pas besoin de convaincre 100% des gens.

Seul 10% de la population mondiale suffit !

Soyons-en ! Pacifiquement, c’est entendu !

Ce sera toujours mieux que l’avenir qu’ils veulent nous imposer, non ?

Parce que le changement de paradigme : C’est maintenant !

JBL1960