La conférence de Kevin Annett à L’Oxford Union qui n’a jamais eu lieu pour cause de censure…

Aura bien lieu dans nos blogs…

Si les assassins reviennent toujours sur les lieux du crime ; C’est parce qu’ils sont toujours là !

Grâce à Résistance71 qui traduit pour nous l’intervention qui n’a pas eu lieu et pour cause de censure.  Nous sommes en mesure de comprendre comme de démontrer que le bien ou le bon n’a jamais existé au sein de l’Église Catholique Romaine ni même dans aucune église que ce soit et voici pourquoi ;

Censure de la conférence de Kevin Annett à l’Oxford Union sur le thème : « Le bien existe t’il dans l’Église catholique ? »…

Censure: La conférence de Kevin Annett à L’Oxford Union qui n’a jamais eu lieu

Le sujet de la conférence : “Le bien existe t’il dans l’église catholique ?”

Kevin Annett |10 janvier 2018 | URL de l’article originalhttp://kevinannett.com/2018/01/10/censored-news-the-oxford-union-lecture-by-kevin-annett-that-didnt-happen-until-now/

Traduit de l’anglais par  R71 ► https://resistance71.wordpress.com/2018/01/17/censure-de-la-conference-de-kevin-annett-a-loxford-union-sur-le-theme-le-bien-existe-til-dans-leglise-catholique/

Bonjour et bienvenue. Je m’appelle Kevin Annett. Il y a peu de temps, j’ai reçu une invitation officielle de la plus vieille société colloquiale au monde, l’Oxford Union, pour y venir débattre d’une plutôt étrange question, à savoir s’il y avait “quelque chose de bien” dans l’Église catholique. Juste une semaine avant le débat programmé et de la même manière qu’en bien d’autres occasions, mon invitation pour donner ce discours fut annulée sans aucune explication. Voici donc ce que je prévoyais de présenter au débat de l’Oxford Union.

Bonsoir. Laissez-moi commencer par dire que c’est une agréable surprise pour moi d’être capable de me joindre à vous ce soir. La dernière fois que j’ai essayé de parler en public en Angleterre, dans une manifestation à Londres contre le trafic d’enfants mené par l’Église et l’État, votre police des frontières privées avait jugé bon de m’arrêter, de prendre mes empreintes digitales et de m’expulser de ce pays sans aucune raison tangible. Je vous remercie donc de m’avoir invité ici ce soir.

Le sujet du débat de ce soir est formulé de manière non équivoque : “Y a t’il quelque chose de bien/bon dans l’église catholique ?” et donc de manière présumée dans son entreprise mère, la holding du Vatican Inc. Le phrasé même de la question implique que non, il n’y a rien de bien, alors essayons d’en trouver. Bien entendu, essayer de localiser une quelconque intégrité dans une entreprise corporatiste revient à essayer de trouver l’amour dans un bordel. Donc peut-être que la question de ce soir a déjà reçu sa réponse, mon boulot est terminé, nous pouvons tous rentrer à la maison.

Quoi qu’il en soit, le libellé du débat de ce soir prête quelque peu à confusion et ce à commencer avec le mot “bien/bon”, qui est après tout un terme complètement subjectif, relatif et moralement ambigu.

Les conquistadores espagnols et leurs prêtres catholiques bénissant les massacres ont pensé qu’ils faisaient le bien en exterminant des millions de non-catholiques pour leur propre bien. L’inquisition vaticane qui a passé au barbecue et a torturé à mort des chrétiens qui n’étaient pas d’accord avec Rome portait le titre officiel d’Auto da Fe ou acte de foi. Même le pape actuel, soi-disant “libéral”, François 1er, Jorge Bergoglio, parle de “la bonté et du zèle” des missionnaires franciscains qui ont fait travailler à mort des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants aborigènes, comme esclaves dans leurs plantations de Californie. Bergoglio a récemment pardonné quelques 10 000 de ses propres ouailles prêtres violeurs d’enfants, sans aucun doute toujours dans le même esprit de “faire le bien” : du moins, le bien pour son institution. Les êtres humains, spécifiquement lorsque pressés et ayant la religion pour justification, emballent toujours leurs crimes d’un halo de bonté.

J’ai une expérience personnelle de ce dont je parle. Pendant plus de 20 ans au Canada, ai-je vécu et travaillé et documenté les histoires de bien des survivants des camps de la mort appelés les “pensionnats pour Indiens” et qui étaient essentiellement gérés par l’Église catholique (NdT : mais aussi par l’église anglicane, rattachée au Vatican et à l’église Unifiée du Canada). Plus de 60 000 enfants autochtones moururent dans ces camps. La moitié des enfants incarcérés ne revinrent jamais parce qu’ils étaient rituellement torturés aux mains des prêtres et des bonne-sœurs qui géraient ces centres ; ils étaient routinièrement affamés (NdT : afin de compromettre leur système immunitaire et de les rendre plus vulnérables aux maladies telles la tuberculose qui étaient rampante dans ces endroits…), trafiqués, ils servaient de cobayes humains pour des expériences médicales, ils étaient fouettés, violés en réunion et assassinés en masse avec l’aide de la variole et de la tuberculose. Pas un seul prêtre catholique n’a jamais été incarcéré au Canada pour ces crimes et ils ne le seront jamais. Ces assassins sont au-dessus des lois et ayant eu l’infortune de discuter avec bon nombre d’entre eux, je sais que ces membres du clergé complices sont toujours convaincus qu’ils essayaient de faire le bien [NdJBL : à l’instar de la sénatrice canadienne Lynn Beyak qui défend le système des pensionnats pour Indiens et affirme “qu’ils n’ont pas voulu faire de mal à quiconque”…]  pour ces pauvres sauvages bronzés, en tuant leurs corps pour sauver leurs âmes, pour citer le fondateur de la théologie catholique Thomas D’Aquin.

Alors peut-être devons nous redéfinir le terme de “faire le bien” de bien meilleure façon, en utilisant cette simple définition : faire le bien signifie ne pas nuire à autrui et le laisser tranquille. Bien sûr, sous cette définition, on condamne immédiatement l’Église catholique romaine, qui a tué plus de gens que n’importe quelle autre institution dans l’histoire de l’humanité. Le nombre de morts aux mains de l’Église de Rome, depuis qu’elle est devenue cette vaste entreprise légale par l’empereur Constantin en 317 de notre ère, dépasse les 50 millions. D’accord, c’est peut-être vrai, rétorqueront les souteneurs de Rome, personne n’est parfait ! Mais regardez toutes ces œuvres de charité que l’Église accomplit également ! N’est-ce pas bien ?…

Alors dans ce sens là, le sujet de ce soir aurait peut-être dû être libellé en : “Y a t’il eu quelque chose de bien avec Pablo Escobar, le patron du grand cartel de la drogue de Medelin en Colombie ? Car Pablo s’est engagé dans beaucoup d’œuvres charitables pour les pauvres de Colombie. Tout comme l’Église catholique romaine de laquelle il fut toujours un loyal serviteur payant son écot, Pablo utilisa une partie de son butin malfaisant pour faire construire des refuges pour les sans abris, des parcs de jeu pour les enfants des bidonvilles et des soupes populaires pour les affamés. Il est certain que cet argent charitable était couvert de sang et était une rétribution de biens des morts prématurées de ces mêmes pauvres gens par addiction à la drogue, mais Hé, cela faisait le bien non ?…

Mon analogie entre Pablo Escobar et le Vatican fait mieux qu’être pertinente, car la Banque du Vatican est elle-même lourdement investie dans les cartels de la drogue internationaux ainsi que dans les trafics d’armes, d’êtres humains, lesquelles vont toutes la main dans la main. Les entreprises de la transformation génétique (OGM), l’industrie pharmaceutique, la plus grosse entreprise de petites armes au monde, Beretta Limited, et même quelques douzaines d’entreprise pornographiques de l’internet… ont toutes pour point commun 100% d’investissements et paient pour les produits distribués à ces pauvres gens qui embrassent la pince que les nourrit.

Confrontons donc directement la suggestion que l’Église catholique romaine, en tant que corporation la plus riche et la plus irresponsable au monde, joue un rôle majeur dans la charité donnée aux plus nécessiteux du globe. Demandons-nous donc quel pourcentage des revenus annuels de l’église vont de fait dans ses œuvres caritatives ? C’est une question très importante, pas seulement pour le débat de ce soir, mais aussi parce que c’est la SEULE base légale exonérant l’Église d’impôts sous la loi des nations, qui veut qu’elle doit dévouer tous ses revenus, pas seulement une partie, mais tous ses revenus collectés soit pour l’avancement de la religion ou pour la pratique de la charité. Bon, rien que là, vous pouvez laisser tomber l’église catholique romaine, à moins que quelqu’un ne veuille expliquer ce que le blanchiment d’argent de la mafia, l’achat de missiles de croisière pour des dictateurs du tiers monde, ou payer des pot-de-vin routiniers à des politiciens et des gouvernements partout dans le monde, a quoi que ce soit à faire avec la religion ou la charité.

Quel pourcentage des revenus de l’église catholique est reversé à la charité ? Moins de 1%, du moins en Amérique. De fait, c’est le seul pays au monde où l’église publie de manière consistante ses déclarations financières. Après tout, le Vatican est un corps constitué fermé, qui s’autogère, s’autogouverne et qui ne rend de comptes à absolument personne, comme toute société secrète qui se respecte. Mais cette notion inconvéniente et persistante de la soi-disant “séparation de l’Église et de l’État” qui figure dans la constitution des États-Unis demande que même l’Église catholique se doit de créer ne serait-ce que l’apparence d’une certaine transparence. Et donc, d’après le gouvernement des États-Unis, en 2013, l’église catholique aux États-Unis a eu un revenu net de 13,4 milliards de dollars. Ceci juste dans un pays (NdT : où le catholicisme est minoritaire…) et où on ne trouve que 15% des catholiques du monde.

Par projection, le revenu annuel du Vatican doit-être de centaines de milliards de dollars, pas seulement des quêtes faites dans les églises et du denier du culte, mais de cet énorme porte-feuille d’investissement mondial et ses accords de concordat de financement secret avec plus de 100 nations dont les gouvernements dirigent un pourcentage régulier de leurs revenus fiscaux directement à la Banque du Vatican (NdT : sise à la City de Londres, dont les intérêts et investissements sont gérés par la famille Rothschild… Rappelons-nous du “banquier de dieu” très proche du Vatican. Roberto Calvi, retrouvé pendu sous un pont de Londres en 1982…).

Pour en revenir aux États-Unis, le seul pays où un semblant de lumière éclaire les eaux turbides de monde parallèle des finances du Vatican : d’après le même audit fait par l’Église elle-même, des 13,4 milliards de dollars engrangés en 2013, seulement 1,1% allèrent aux œuvres caritatives. Mais comme la moitié de cette somme provenait de donations gouvernementales aux sociétés d’aides catholiques, en réalité on peut dire que seulement 0,6% des revenus de l’église allèrent à ses œuvres caritatives. Mais comme ces charités sont pratiquement toutes propriétés de l’église, cela veut aussi dire en clair, qu’un tentacule de la grosse pieuvre vaticane en nourrit un autre.

La moitié d’un pourcent mes amis. La vérité est que l’Église catholique n’est en rien une force de travail charitable. Elle est en fait une gigantesque entreprise de racket, un entreprise financière qui pompe le fric et qui est maintenue à flot par chaque contribuable du monde.

Bon, voyons l’autre base sur laquelle l’église ne paie pas un sou d’impôts : l’avancement de la religion. Quel pourcentage de son temps et de ses revenus sert à faire avancer son sacerdoce qu’on peut qualifier d’extrêmement violent ? Moins de 10%. C’est le temps que chaque semaine un prêtre passe à dire des prières publiques, des messes ou à enseigner des classes de catéchisme, d’après les propres déclarations du Collège des Cardinaux du Vatican, qui en 2014, a émis un rapport interne concernant la formation et l’ordre de ses prêtres. Le travail principal du clergé, d’après les cardinaux eux-mêmes, est la maintenance matérielle et sociale de l’église, la sauvegarde de ses traditions et opérations et l’expansion de ses revenus et de ses membres. Quelqu’un peut-il me dire où dieu sans même parler de Jésus, a quoi que ce soit à faire avec tout cela ?…

Strike no2. Ah c’est un terme de baseball, désolé je ne joue pas au cricket. Le 3ème et dernier strike contre l’Église catholique réside dans sa nature réelle et non pas celle imaginée, une fois que ses énormes prétention et mensonges sont dévoilés et que nous l’observons pour ce qu’elle est véritablement, historiquement et aujourd’hui. Mais pour ce faire, et pour percer le brouillard mental entourant cette entreprise du Vatican Inc. nous devons comprendre que l’église catholique n’est pas du tout une église chrétienne. Bien au contraire, elle est en tous points un culte d’adoration d’un empereur dérivé du 3ème siècle de notre ère, pas de celui de Jésus ni de l’Église chrétienne primordiale. Ce fait est crucial à comprendre si nous voulons comprendre le niveau de confusion mentale de bien des gens, incluant les athées, qui se demandent toujours : “Mais comment un corps qui prêche l’amour de Jésus peut-il être responsable d’assassinats de masse, de génocide et du viols d’enfants institutionnalisés ?…

Bien sur, la réponse simple à cela est que c’est toujours le pire violeur d’enfants qui a la réputation la plus immaculée. Ce qui est utile comme couverture pour tout escroc : plus grand est le crime, plus douce et chatoyante sa couverture. La parole, mes amis, est des plus faciles, surtout depuis une chaire…

Mais n’oublions pas ce que Jésus avait dit pour nous avertir : Bien des faux prophètes viendront en mon nom et diront ‘je suis le christ’. Ne vous y trompez pas, vous les reconnaîtrez par leurs œuvres.

Nous pouvons aussi voir la papauté à l’œuvre : conquête, brutalité en tout genre, guerres, génocide, inquisition et l’écrasement de l’esprit humain. Tout cela commença lorsque les empereurs romains Aurélien et Constantin créèrent l’Église catholique romaine sur les os du premier mouvement chrétien. Cette église de Rome fut une extension et une continuation de cette autre machine à massacrer que fut l’empire romain. Pour preuve, vous ne devez pas aller plus loin que le titre même du pape qui est Pontifex Maximus ce qui veut dire en latin, “grand pont”, entre la terre et les cieux. C’était le titre latin des empereurs à Rome, à commencer avec Aurélien en l’an 275, qui assuma aussi le titre de “ Deus et Dominus”: Dieu et Maître. Un homme qui est devenu dieu. D’abord ce fut l’empereur et maintenant, pour un catholique, le pape. Le christ n’est plus le lien vers dieu, mais un homme l’est, élu et élevé de manière blasphématoire au dessus de l’humanité, même au dessus de dieu, par d’autres vieux bonshommes portant un drôle d’accoutrement.

De manière non surprenante, chaque pape nouvellement élu reçoit le titre de “vicaire du christ” ou vicarii christi, ce qui veut dire en latin : “le remplacement du christ”.

C’est là, noir sur blanc : le catholicisme est le remplacement du christianisme, un empire de conquête (hérité de l’empire romain) et de richesse se reposant sur les moyens terrestres et non pas la voie du christ. Regardez simplement cette entité et écoutez ces admissions de culpabilité, directement de la bouche des chevaux : des déclarations de multiples papes au cours des siècles qui n’ont jamais été contredites ni répudiées par quelques successeurs que ce soit :

Pape Boniface en 1302 : “Nous déclarons l’utilité pour chaque créature humaine d’être sujet du souverain pontife.”

Pape Léon en 1520 : “Le pape est le christ lui-même sur terre.”

Pape Pie en 1929 : “Le fascisme est simplement les doctrines de notre foi faites loi et gouvernement.”

Pape Jean en 1962 : “Personne ne peut entrer dans le christ à moins qu’il n’y soit mené par le souverain pontife.”

Pape Jean-Paul II en 1996 : “N”ayez crainte lorsque des hommes m’appellent le christ sur terre car je le suis.”

Pape Benoît en 2008 : “Vous n’avez pas besoin d’aller au christ pour la rédemption ; venez à moi.”

Pape François en 2016 : “Le christ a pêché, est devenu le diable pour notre rédemption. Seule l’Église et sa magisterium peuvent clamer la sainte infaillibilité.” [NdJBL cf Le Pape a dit]

Vous en avez assez ?…

Pas étonnant qu’une telle religion mégalomaniaque et obsédée par le pouvoir fasse qu’elle ne rende de compte à personne, ne voit rien de mal dans ses crimes et utilise les images et les mots du christ pour tromper et enfumer ses dizaines de millions de croyants dans cette illusion qu’une petite communion, une hostie ou une bénédiction pontificale, ou la bonne somme d’argent délivrée dans les coffres de l’église, achèteront leur passage au paradis, comme si on le pouvait ?…

Je l’ai vu par moi-même lorsque j’ai été pour la dernière fois à Rome en 2011 : là, au musée du Vatican, un panneau d’annonces pour l’achat d’indulgences, tout comme lors du jour de Martin Luther. (NdT : les Églises protestantes ne sont pas non plus en reste dans l’imposture, les massacres et les bûchers… mais ce n’est pas ici le sujet, Kevin Annett, ex-prêtre de l’église unifiée du Canada, protestante, n’en est pas non plus dupe comme il l’a souvent montré. Il lutte de la même manière contrer l’imposture et les crimes protestants contre l’humanité…) Une bénédiction pontificale pour seulement 150 euros !… Imaginez ! Plus vous dépensez et au plus près de toi mon dieu ! Mais attention : apparemment “dieu” préfère les cartes de crédit à l’argent liquide. [NdJBL : Comme l’avait parfaitement expliqué George Carlin dans ce sketch en VOSTFR en appui de ce billet sur les frères Ratzinger Benoît & Georg]

A quel point le pape Léon avait-il raison lorsqu’il a dit en 1520 : “Ce mythe du christ nous a bien servi.”

Le groupe le plus dangereux au monde est un culte super riche qui se voit lui-même comme étant dieu, comme étant supérieur à tout le monde et donc est justifié de faire quoi que ce soit d’utile pour se protéger et pour régner sur le monde. Un culte, en d’autres termes, comme l’église de Rome.

Quoi d’autre qu’un culte peut opérer en accord avec une politique criminelle telle que Crimen Sollicitationis, qui est une loi liant l’Église catholique depuis 1929 ? Cette politique dit qu’à chaque fois qu’un enfant est violé ou meurtri par un prêtre catholique, la police ne doit pas en être informée et la victime doit être réduite au silence et que quiconque parle des dommages faits devra faire face à l’excommunication. Clairement, le dieu de Rome, tout comme la mafia, ne peut pas tolérer une dénonciation. Mieux en fait de fonctionner sous une conspiration mondiale criminelle à aider et protéger les violeurs d’enfants et les assassins plutôt que de causer des poursuites judiciaires à l’Église ou sauver la vie d’un enfant. Malgré tous ces arrangements criminels, le monde continue à se demander pourquoi y a t’il autant de viols d’enfants au sein de l’Église de Rome. Sommes-nous si aveugles ? Pensons-nous qu’un lion ne dévorera pas les agneaux ?…

Le pouvoir absolu corrompt absolument a dit le politicien britannique John Acton. Il faisait allusion à l’Église de Rome lorsqu’il fit cette déclaration, quelque chose qui fut laissé en dehors des livres d’histoire de manière bien utile. L’Église catholique est absolument corrompue, mais elle corrompt également quiconque navigue dans son entourage, comme tous ceux qui y participent, qui la financent, qui s’associent avec elle, lui loue ses salles ou sourient et acquiescent à ses politiques ou à ses manœuvres de relation publique.: tous ceux qui suivent ce schéma participent eux-mêmes à la corruption et sous la loi de dieu et de l’humanité, ces accessoires humains sont aussi coupables de tous ces crimes. La seule bonne chose qui puisse être dite sortir de ce corps constitué le plus violent, corrompu et anti-christ dans l’histoire est comment sa malfaisance éveille les gens au besoin d’un retour aux mots simples, au témoignage et esprit de Jésus qui a toujours été un adversaire de Rome.

Jésus a fondé une communauté des justes, un résidu non pas de ce monde, une congrégation, pas une église. Nulle part Jésus n’a parlé de papes, d’évêques, de rites ni de cérémonies par lesquels quelqu’un pourra servir d’intermédiaire envers lui, dieu et autres. Il a dit que le royaume des cieux est en chacun de nous et non pas en dehors, pas dans une hostie de communion ni dans un rituel religieux. Ce royaume intérieur du christ seul est le guide de tous véritables chrétiens, qui doivent sortir et se séparer de toutes ces fausses et violentes églises qui nient dieu dans la pratique. Et ceci est la tâche de toute âme trompée toujours prise dans la poigne fatale de Rome et de ses illusions blasphématoires et dépravées.

Comme l’ont dit les pères fondateurs des États-Unis (NdT : tous de riches propriétaires d’esclaves œuvrant pour leurs intérêts personnels…), “nous tenons cette vérité pour évidence” ;  Et un de ces hommes, le second président John Adams a dit : “Un gouvernement libre et la religion catholique romaine ne peuvent jamais exister ensemble dans n’importe quel pays ou nation. Liberté et papauté sont opposées.” La nature d’un vieux mal corporatiste comme l’Église de Rome ne change pas avec le temps, elle altère simplement son apparence parce qu’elle provient des sombres dirigeants de ce monde, ceux dont Jésus disait “Il est un mensonge depuis le début car il est le père des mensonges.”

C’est une bonne chose de nous libérer d’un si gros mensonge que ce catholicisme romain. En tant qu’hommes et femmes libres de naissance* nous sommes faits pour embrasser la vérité et donc quand nous la reconnaissons, nos cœurs et nos esprits respirent librement et nous retournons à notre état naturel d’indépendance et de liberté. Depuis cet endroit de liberté nous avons le pouvoir d’agir pour arrêter les criminels en haut lieu, qu’ils soient papes, présidents ou premiers ministres. Car nous, les peuples, sommes la source de toute souveraineté, du gouvernement, de la loi et de la véritable religion. Nous devons et pouvons arrêter, et empêcher de nuire les prêtres violeurs d’enfants lorsque la police et les tribunaux refusent de le faire. Nous devons et pouvons fermer les églises qui trafiquent les enfants et qui ont caché leurs crimes pendant des siècles. Car la vie d’un enfant est bien plus sacrée que toutes les fanfares et rituels de quelque église que ce soit, n’importe où.

La prescription de Jésus pour les meurtriers d’enfants était simple : “Quiconque devrait faire du mal à un de ces innocents devra avoir une pierre à moudre le grain attachée autour du cou et devra être jeté dans la mer.” Je me demande donc ce que dirait Jésus au sujet d’une entière institution qui se moque de dieu, assassine en toute impunité, viole et tue des enfants et protège ceux qui l’ont fait. Y a t’il une pierre à moudre assez grosse pour punir une telle abomination ?

Il y en a une. C’est nous, le peuple.

Merci de votre attention.

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*En tant qu’hommes et femmes libres de naissance ; Sauf que l’Église Catholique Romaine refuse d’effacer nos noms des registres des baptêmes arguant que les registres attestent en chaque acte, qui porte la signature de plusieurs témoins, un évènement public et historique, indéniable. Un fait historique ne s’efface pas. L’acte ne peut de ce fait être rendu illisible ni être effacé.

Actuellement, en France, il n’est toujours pas possible de se faire « débaptiser » et il faut savoir que la Justice Française, par l’Arrêt N° 1441 du 19 novembre 2014 donne force de loi à cette position au mépris de la Loi de 1905 dite de séparation de l’Église et de l’État. L’Église Catholique Romaine se retranche derrière cette décision, comme elle le fait avec la lettre Crimen Sollicitationis, pour refuser cette possibilité, et n’autoriser que le reniement du baptême qui conduira à une déclaration d’Apostasie.

Et je parle d’expérience, que j’ai relatée d’ailleurs par le détail dans cette page de mon blog, puisque j’ai renié mon baptême en récusation de la doctrine chrétienne de la découverte. C’est pourquoi, j’affirme que nous pourrions faire tomber l’empire, sans arme, ni haine ni violence, par simple radiation en masse de nos noms des registres des baptêmes soit notre « débaptisation » car le baptême est le fondement du christianisme. Le remettre en cause en récusation de la doctrine chrétienne de la découverte, par exemple, c’est retirer notre consentement aux crimes commis en notre nom de tous temps en tous lieux et pour l’Éternité… Et ainsi faire exploser les dogmes et doctrines sur lesquels se sont construits notamment l’empire anglo-américano-christo-sioniste mais également toutes civilisations ces 2500 dernières années…

Nous n’exigeons pas, jamais, que les croyants abandonnent leur foi. Mais que tout un chacun exerce sa spiritualité en son cœur, en son for intérieur mais n’obligent personne à croire en leur Dieu et encore moins en leurs églises…

JBL1960

Lectures Connexes en version PDF ;

Contre-rapport de la Commission Vérité & Réconciliation ; Meurtre Par Décret – Le crime de génocide dans les pensionnats pour Indiens de 1840 à 1996 au Canada

Manifeste Politique de Résistance71MANIFESTE POUR LA SOCIÉTÉ DES SOCIÉTÉS

Léon TolstoïPOLITIQUE & RELIGION

Traduction de la Bible & Escroquerie historiqueDr. Ashraf Ezzat

Païens en Terre Promise, décoder la doctrine chrétienne de la découverteSteven Newcomb

Les confessions d’un Évêque Jésuite ; Alberto Rivera – Analyse de Jimmy Dalleedoo à partir du livre « Les crimes du Vatican » d’Alberto Rivera

 

7 réflexions sur « La conférence de Kevin Annett à L’Oxford Union qui n’a jamais eu lieu pour cause de censure… »

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