Jour de Fête…

Ou pas !

C’est peu de dire que l’actu nationale en ce 14 juillet 2016 est beurk !

Très beurk même !

Le but étant de nous empêcher de réfléchir par nous-mêmes.

Je vous propose de réentendre Coluche nous parler des flics, des schmidts, des cognes, des Condé, des poulagas, de la maison Royco et j’en oublie surement et n’hésitez pas à me le rappeler ou à m’en apprendre…

Source Melaaz sur YT

 

« Les gens y zont peur de nous ! Plus y’a de flics autour d’eux et plus y zont peur ! »

« Faut faire gaffe aussi, y’a des appariteurs dans les manifs, y cassent des carreaux et après on dit que c’est les étudiants »

On fait gaffe aussi dans la Police, ah oui ! Au bout de 30 avertissements on a un blâme et au bout de 30 blâmes on passe devant un Tribunal on peut être dégradé… »

=*=

Alors c’est tout à fait raccord avec mon dernier billet de Paul Craig Roberts via R71 sur la montée en puissance de l’État Policier aux USA mais aussi en France et partout en Europe avec la création d’une armée européenne privée EuroGendFor

Mais également avec celui-ci ; Les Zéros Hics

N’ayez aucun doute sur le fait que nous sommes la cible de ce 0.01%.

Ne vous laissez pas abuser par la perruque poudrée de Mousident ; C’est de l’enfumage…

Comme le Stand-up du Macron de Rothschild à la Mutualité ; C’est de l’enfumage…

Qui peut croire que Macron est un candidat anti-système ? C’est une blague ???

Bernie Sanders se présentait comme de gauche et anti-système ! Sans déconner ???

Trump est présenté comme un candidat de droite et anti-système !!!

Killary attend son tour…

Pas nous !

D’ailleurs ce Mercredi 13 juillet Theresa May fut intronisée par la Reine d’Angleterre 13ème Premier Ministre suite au fameux Brexit !

Et encore le énième dérapage non contrôlé Zunien qui date du 25 juin mais qui vient d’être rendu public seulement aujourd’hui (source Sputniknews.com) https://fr.sputniknews.com/international/201607141026674790-policiers-californiens-tuent-adolescent/

Vous vous croyez à l’abri ? Vraiment ? Vous pensez que nous divaguons que nous sommes dans un État de droit, en Démocratie ?

Alors lisez ceci ; Source Résistance71 ;

En Espagne on torture… Plus de 4000 Basques peuvent le confirmer

5 juillet 2016 | Olivier Peter

url de l’article original ; http://www.les7duquebec.com/7-dailleurs/espagne-a-madrid-on-torture-quatre-mille-basques-peuvent-le-confirmer/

http://www.lecourrier.ch/140552/a_madrid_on_torture_quatre_mille_basques_peuvent_le_confirmer

Un récent rapport établi par le Gouvernement régional basque pointe l’ampleur de l’usage de la torture sur des détenus basques placés au secret. Parmi lesquels figure le nom de Nekane Txapartegi, réfugiée basque arrêtée à Zurich, et dont Madrid réclame l’extradition. Olivier Peter, son avocat, s’inquiète du sort que lui réservera la Suisse.

Aztnugal. C’est avec ce mot que l’indépendantiste basque Jon Patxi Arratibel a signé le procès verbal d’audition à la police dans lequel il s’auto-accusait de collaborer avec l’ETA. Une déclaration rendue en 2011 après avoir passé 120 heures de détention, dans le sous-sol d’un commissariat de Madrid, sans aucun contact avec ses avocats, avec ses proches ou avec des médecins de confiance. Lu de droite à gauche, Aztnugal signifie « à l’aide » en langue basque. Violenté, frappé, privé de sommeil, asphyxié avec des sacs en plastique, Arratibel avait confié à sa signature un appel au secours désespéré. Un appel ignoré par les juges espagnols, qui ont rapidement classé sa plainte, mais qui a été entendu par la Cour européenne des droits de l’homme, laquelle a condamné l’État espagnol pour ne pas avoir enquêté face aux indices crédibles des tortures subies par le requérant.

Entre 2010 et 2016, l’Espagne a été condamnée à neuf reprises par des juridictions internationales pour avoir torturé et/ou ne pas avoir enquêté sur des plaintes de torture formulées par des Basques détenus au secret dans le cadre d’opérations antiterroristes. Ce même problème a été évoqué dans des dizaines de rapports du Comité de prévention de la torture, du Rapporteur spécial sur la torture des Nations Unies ou de nombreuses organisations internationales. Des magistrats, comme le juge d’instruction Balthazar Garzon ou le juge Ricardo De Prada, ont reconnu dans les médias qu’il y avait eu des « excès » dans la politique antiterroriste au Pays basque et que la torture avait été « clairement pratiquée ».

Un récent rapport établi par le Gouvernement régional basque confirme ces constats et démontre l’ampleur de cette pratique honteuse. Une équipe d’experts (médecins légistes, juristes, psychologues, représentants d’ONG) a enquêté durant plusieurs années, étudiant des dizaines de milliers de documents et de témoignages, avant de rendre un rapport aux conclusions accablantes : plus de 4000 personnes ont été torturées entre 1960 et 2013, certaines à plusieurs à reprises. Les auteurs des tortures étaient des policiers ou des militaires intervenant dans le cadre d’opérations antiterroristes. Trois quarts des cas recensés se sont produits après la fin de la dictature franquiste.

Du côté du Gouvernement espagnol, la version officielle n’a pas varié : la torture serait un mensonge inventé par l’ETA pour « décrédibiliser la justice espagnole et ses forces armées ». Celles et ceux qui osent dénoncer cette pratique feraient le jeu des terroristes. L’écrasante majorité des victimes ont ainsi vu leurs plaintes classées par les juridictions espagnoles et n’ont obtenu aucune réparation. Plusieurs dizaines d’entre elles purgent encore des longues peines fondées sur des déclarations extorquées par la violence et l’humiliation.

Cette réalité tragique est venue récemment frapper à la porte des autorités fédérales. En avril dernier, la réfugiée basque Nekane Txapartegi a été arrêtée à Zurich, où elle vivait depuis plusieurs années. Mme Txapartegi s’est opposée à son extradition demandée par l’Espagne, en expliquant que les aveux à l’origine de sa condamnation ont été obtenus sous la torture. En 1999, à la suite de son arrestation, Mme Txapartegi avait dénoncé avoir été détenue au secret, violée et brutalisée par des agents de la Guardia civil jusqu’à ce qu’elle accepte de rendre une déclaration par laquelle elle déclarait avoir collaboré avec l’ETA. Sa plainte pour torture avait rapidement été classée, les journaux espagnols l’avaient traitée de menteuse et ses déclarations avaient été considérées comme étant exploitables par les tribunaux de Madrid. Aujourd’hui, pourtant, le nom de Mme Txapartegi figure dans la liste des cas de torture recensés par le Gouvernement basque. De nombreux rapports médicaux démontrent que, dix-sept ans après les faits, la refugiée porte encore les traces de son calvaire. Il appartient désormais au Département fédéral de Justice et Police de trancher sur son sort. Dans sa cellule de la prison de Dielsdorf (ZH), Nekane Txapartegi attend de savoir si les autorités fédérales choisiront de la livrer à ses tortionnaires, pour ne pas contrarier Madrid, ou de respecter le droit international, en lui permettant de soigner ses blessures en liberté.

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Ouvrez grands vos yeux et vos oreilles et lisez et entendez ceci et cela !

Et levons-nous tous ensembles contre ce Plan !

Nous ne serons pas de trop contre ce tout petit 0.01%

JBL1960

 

 

 

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