Bon exceptionnellement ;

Tirez dans l’tas !

Bah ! Comme d’hab alors, Chef ?

Ouais…

Là ou USraël passe ;

L’humanité trépasse…

Il nous suffit de dire NON ! STOP ! ÇA SUFFIT ; Et tout s’arrêtera assurément…

~~~~

Je reproduis l’excellente analyse de Paul Craig Roberts que traduit et publie sur son blog Résistance 71

La montée des états policiers : Pourquoi la police assassine t’elle aux États-unis et ailleurs ? Parce qu’elle est militarisée et est formée pour… (Paul Craig Roberts)

url de l’article : https://resistance71.wordpress.com/2016/07/13/la-montee-des-etats-policiers-pourquoi-la-police-assassine-telle-aux-etats-unis-et-ailleurs-parce-quelle-est-militarisee-et-est-formee-pour-paul-craig-roberts/

PRÉAMBULE DE R71 :

Excellente analyse et hypothèse de PCR sur le sujet du pourquoi des bavures et assassinats par l’ensemble des polices aux USA. Comme nous l’avons dit pour d’autres choses, ne pensez pas que “ceci n’arrive qu’aux autres”… que ceci “n’arrive que chez les Ricains”. La France en prend le chemin et à grands pas. Bientôt les stages obligatoires de nos pandores franchouillards en Israêl seront routiniers. Les ordures du pouvoir de “gauche” comme de “droite”, à la botte de la haute finance ne rêvent que de cela: réduire l’ensemble de la population française à celle de Gaza, parquer les gens pour mieux pouvoir les brutaliser et les abuser. Nous l’avons dit depuis un bon moment et le répétons, si aujourd’hui le peuple américain n’a pas encore été parqué dans les camps de la FEMA et réduit à la survie dans un goulag généralisé, c’est parce que le peuple est en arme et qu’il y a plus de 200 millions de flingues dans la nature.
Un général japonais à la fin des années 1930 avait dit à ses collègues après avoir séjourné à une époque à Yankland: “si nous envahissons les États-Unis, il y aura un fusil derrière chaque brin d’herbe…”
C’est toujours le cas aujourd’hui et ce n’est pas un hasard si l’oligarchie fait tout ce qu’elle peut pour faire révoquer ou mettre au placard le second amendement de leur constitution, celui qui leur donne le droit de posséder et porter des armes et de s’organiser en milice populaire.

Voici ce fameux second amendement de la constitution américaine qui emmerde l’oligarchie moderne jusqu’à la gauche:

Amendment II

A well regulated militia, being necessary to the security of a free state, the right of the people to keep and bear arms, shall not be infringed.

Traduction :
Une milice bien réglementée étant nécessaire à la sécurité d’un état libre, le droit pour le peuple de garder et de porter les armes ne sera pas enfreint.

C’est cet amendement qui sauve le peuple américain aujourd’hui d’une “goulagisation” totale des colonisateurs en chef. Dans l’état actuel des choses, enfreindre ou transgresser le second amendement mènerait droit à la guerre civile, si cela devait se produire, les oligarques veulent sécuriser au maximum le ralliement à leur cause des forces de police et de répression. Les évènements récents de Dallas vont dans ce sens… Mais comme en France et ailleurs et comme aussi notifié par un policier américain en activité se confiant à PCR ci-dessous, la vaste majorité des fonctionnaires de police ne sont ni des sadiques, ni des psychopathes, ni des corrompus bouffant à tous les râteliers, mais ils sont, par soucis essentiellement alimentaire, des moutons… Jusqu’à quand ? Messieurs, dames, n’oubliez jamais que vous venez du peuple que vous en faites partie intégrante, que votre mission est de protéger le peuple, pas les institutions oligarchiques et ceux qui les font fonctionner, très mal du reste et de mal en pis…

Votre seule option face à l’histoire est de rallier les peuples ! Crosses en l’air, refusez les ordres de tirer dans la foule, parce qu’au train où vont les choses, cet ordre sera donné… sans doute plus tôt qu’on ne le pense ! La France état policier est déjà là (état d’urgence, lois liberticides, répression du mécontentement populaire etc… bientôt interdiction de se rassembler, camp et goulag…), ce n’est plus de la science-fiction, tout n’est qu’une question de degré

url de l’article original en anglais : http://www.paulcraigroberts.org/2016/07/11/police-murder-because-they-are-trained-to-murder-paul-craig-roberts/

La police assassine parce qu’elle est entraînée à assassiner

 Paul Craig Roberts |  11 juillet 2016

En réponse à ma requête d’information sur l’entraînement de la police, des lecteurs ont envoyé une variété d’informations qui semble corroborer certains faits. Je vais essayer d’assembler tout cela du mieux possible en tant qu’hypothèse de travail ou de compte provisionnel. Peut-être qu’un ancien ou actuel policier préoccupé par le changement d’attitude de la police des Etats-Unis, ou un expert en entraînement et pratiques policiers, pourront vérifier l’exactitude de cette hypothèse.

D’abord nous savons que les polices ont été ou sont en train d’être militarisées. Elles sont armées d’armes de guerre qui ont été testés sur les champs de bataille (NdT: ceci représente le slogan des firmes d’armement israéliennes qui vendent des armes en disant: “elles ont été testées sur le terrain”, c’est à dire sur les cobayes de labo que sont devenus les Palestiniens dans les rues de leurs villes et villages…). Nous ne savons pas pourquoi la police est armée de cette façon, car ce type d’armes n’est pas utile pour remplir les fonctions de maintien de l’ordre aux Etats-Unis et ne sont pas utilisées pour ce type de travail de police sauf en Palestine occupée par les Israéliens.

Il y a un agenda non déclaré derrière cet armement et ni le congrès, ni les medias pressetitués n’ont un quelconque intérêt apparent à dévoiler cet agenda caché.

Quoi qu’il en soit, la militarisation de la police est concordante avec ce que nous savons de son entraînement.

Il y a des rapports sourcés qui disent que les forces de police reçoivent un entrainement de la part d’Israël, à la fois en se rendant sur place et aux États-Unis de la part de firmes de sécurité et de formation israéliennes ou d’entreprises américaines utilisant des méthodes israéliennes.

L’entraînement de la police américaine par les forces d’occupation israéliennes n’est pas une rumeur émanant de l’internet ou une “théorie de la conspiration” ; c’est un fait reconnu par la presse israélienne elle-même (lien dans l’article original)

Les pratiques policières israéliennes émanent de décennies d’occupation et de contrôle d’une population palestinienne hostile tout en volant sa terre et en isolant la population dans des ghettos et des enclaves. Essentiellement, les méthodes de police israéliennes consistent en intimidation et violence illégitime.

Nous savons par d’innombrables rapports de presse sur bien des années que l’attitude de l’armée israélienne envers la population palestinienne est, pour le fire en deux mots lapidaires: extrêmement brutale.

Pour un soldat, spécifiquement une femme soldat, exécuter un enfant et sa mère dans les rues palestiniennes ou dans une maison familiale, demande que ce soldat ait été particulièrement désensibilisé au préalable pour toute vie humaine qui n’est pas israélienne. Ceci demande que les Palestiniens aient été déshumanisés, tout comme le furent auparavant les habitants de ce que sont aujourd’hui les États-Unis, et l’Australie, par les immigrants colons européens qui volèrent leurs terres. (NdT: PCR oublie ici les habitants indigènes du Canada, de la Nouvelle-Zélande, de toute l’Amérique du Sud, des îles du Pacifique…)

Sur la base de cette information, nous pouvons inférer que l’entrainement israélien de la police américaine enseigne la police à ne concevoir que les vies policières comme étant de valeur et les vies du public en général comme des menaces potentielles aux vies des policiers. C’est pourquoi les policiers aux États-Unis assassinent souvent des personnes suspectées à tort et presque toujours désarmées. Les exemples sont nombreux. Vous pouvez passer une bonne partie de votre vie éveillée à regarder sur YouTube les vidéos existantes des assassinats gratuits de citoyens américains par leur police.

Les policers américains sont entraînés aux frais du contribuable pour penser que leurs vies sont plus importantes, ont plus de valeur que les notres. Ainsi, à chaque interaction avec un citoyen, il est automatiquement supposé que le citoyen essaie de nuire à la police et doit être immédiatement et coercitivement maîtrisé, menotté ou alternativement abattu (NdT: parfois les deux… menottés et abattus ou abattus et menottés…). Les policiers sont entraînés à penser et à agir sur le mode que la meilleure sécurité pour des policiers est de terminer le suspect même s’il s’agit d’une mère de famille conduisant son fils au foot et qui a oublié de mettre son clignotant pour tourner.

En d’autres termes, la police américaine n’a pas plus d’obligations de respecter les vies et les droits des citoyens américains que les forces d’occupation israéliennes ne doivent respecter les vies et les droits des Palestiniens.

Ceci paraît être une description juste et précise de la situation. Même le New York Times a lancé l’alerte sur William J. Lewinski qui entraîne la police à tirer en premier et qui dit qu’il répondra aux questions pour ses fonctionnaires après devant les tribunaux, dans les rares occasions où un de ces assassinats gratuits que ses policiers ont commis se termine devant un tribunal.

Qu’en est-il du racisme ? Le racisme est la réponse mise en avant par les libéraux et progressistes, la gauche bobo et par les noirs eux-mêmes.

Il y a des problèmes avec l’explication raciste. Un de ces problèmes est que la police brutalise et assassine gratuitement des blancs aussi. Juste l’autre jour, la police a assassiné un jeune blanc de 19 ans alors qu’il était allongé au sol. La TSA (NdT: Transportation Security Authority, les gestapistes des aéroports yankees…) harcèle et abuse bien plus de blancs que de noirs. Voyez sur mon site internet pour des exemples récents des deux.

Un ex-policier noir nous donne une vision révélatrice de la véritable situation. Il dit qu’environ 15% d’un département de police consistent en des gens qui sont là pour les bonnes raisons et représentent véritablement une culture de service public. Un autre 15% sont de véritables psychopathes qui abusent de leurs pouvoirs de manière routinière. Les 70% restant suivent laquelle de ces deux culture prévaut. Malheureusement, “les brebis galeuses corrompent le département” et la police de Chicago (CPD) sous son ancien chef Jon Burge prouve cela parfaitement.

L’ex-policier noir blâme un “racisme institutionnel”. Mais, au vu de ce que nous avons appris au sujet de l’entrainement israélien de la police, le biais de la police contre les noirs américains n’est peut-être pas raciste ou totalement raciste. Les noirs aux États-Unis ont un historique d’avoir été déshumanisés. Aux yeux d’un formateur de la police, les noirs du public américain sont parfaitement dans le moule des Palestiniens. Il est plus facile de commencer l’entrainement en rendant la police américaine indifférente aux vies d’un élément qui a déjà été déshumanisé au sein de la population américaine (NdT: A ce titre les Amérindiens sont probablement logés à pire enseigne que les afro-américains…). Lorsque les policiers ont été endoctrinés à se percevoir non pas comme les serviteurs du public mais comme des “gens exceptionnels et indispensables” dont les vies ne doivent jamais être mises en danger, ce n’est plus qu’une simple tâche que de généraliser le sentiment de supériorité de la police sur la population blanche également.

J’ai toujours été très suspicieux de l’explication raciste. C’est une explication qu’on donne à ronger au public afin de diviser une fois de plus celui-ci en factions opposantes qui ne peuvent pas s’unifier contre de véritables oppresseurs ; endoctrinés que nous sommes à nous détester et à nous craindre les uns les autres, ainsi ceux qui nous dirigent, nous harcèlent et nous abusent, pouvant le faire à volonté.

Il est très clair que seul un tout petit pourcentage de la population blanche américaine fait partie des tristement célèbre 1%. Le reste d’entre nous n’est de pas plus de conséquence pour ceux qui dirigent que ne le sont les afro-américains. Et pourtant, nous sommes divisés, apeurés et opposés les uns aux autres. Quel triomphe pour le 1% !!

Que je sois bien clair. De la même manière que nous nous opposons à la violence qui est inculquée à nos forces de police qui vivent de nos rémunérations taxées, beaucoup de juifs et d’israéliens s’opposent à la mentalité coloniale d’occupation que le gouvernement israélien a fini par représenter ; les juifs sont parmi les plus ardents défenseurs des droits de l’Homme de notre époque. Pensez à des gens comme Norman Finkelstein, Noam Chomsky, Illan Pappe et l’ American Civil Liberties Union mieux connue sous son acronyme de l’ACLU. Pensez aux courageuses associations israéliennes qui s’opposent au vol des territoires et villages palestiniens. Nous ne pouvons pas condamner l’ensemble de ces gens pour les crimes de leurs maîtres politiques. Si c’est le cas, alors après Clinton, Bush et Obama, les Américains sont foutus.

Les deux plus grandes menaces pour le monde aujourd’hui sont les “exceptionnalismes” américain et israélien C’est le succès de l’endoctrination par cette doctrine nazie qu’est l’exceptionnalisme qui est la source de la violence dans le monde aujourd’hui.

Le problème avec la violence de la police américaine est que les forces de l’ordre sont maintenant définies comme étant exceptionnelles et au-delà de toute responsabilité. Ils peuvent tous nous tuer impunément, tout comme Washington massacre sans relâche un nombre incalculable de personnes en Afghanistan, en Irak, en Syrie, en Libye, en Somalie, au Yémen et au Pakistan. Les gens exceptionnels sont indispensables (croient-ils…) et par là-même, les gens non-exceptionnels ne le sont pas et donc jetables.

Il est tout à fait paradoxal que l’entrainement de la police américaine aux méthodes violentes des forces d’occupation israéliennes soit justifié par l’argument qu’il soit nécessaire pour sauver des vies américaines des terroristes, de procéder de la sorte alors que le résultat réel aboutit au fait que bien plus de citoyens américains sont tués par la police que par des terroristes.

Il est évident que cet entrainement policier est contre-productif…

Il semblerait également que les familles de ceux qui ont été assassinés et abusés par la police aient de très bonnes bases légales pour attaquer les maires des villes en justice, les mairies, les chefs de police locaux, les gouverneurs et les législateurs d’état pour cas grave de négligence dans le contrôle et la supervision de la police. Les preuves sont là. La police prend des vies, ne les sauve pas. L’entrainement est un échec total et pourtant il continue de plus belle. Ceci est un cas de haute négligence et d’échec de la part des autorités publiques.

=*=

Je suis tout à fait d’accord avec ce préambule car en France nous ne sommes pas loin d’avoir la même chose. Rappelez-vous que depuis Sarko l’Américain ; « Tuer un policier (ou un couple comme ce fut le cas récemment) c’est la République qui est visée et la Nation entière qui est prise pour cible ».

Entre les 2 tours de la présidentielle il avait même proposé un véritable permis de tuer ; Ici.

Alors que non, c’est nous la cible et on le comprend bien aujourd’hui.

Récemment Oblabla a déclaré sa nation Exceptionnelle et Indispensable sous-entendant que tout ce qui n’est pas Zunien de papier n’est rien d’autre que superflu, et donc quantité négligeable.

Avec ces tueries multiples on voit bien que c’est le cas ; Ici

Mais aussi ;

Et avec les 3 harpies à la tête de l’Exceptionnalistan qui planent au-dessus de nos têtes avons nous vraiment envie d’attendre, de ne rien faire et constater d’avoir vue juste ?

Franchement ça me fera une belle jambe d’avoir eu raison quand l’autre Killary aura appuyer sur le champignon qui n’est pas hallucinogène, hein ?

Parce que les inutiles, les superflus, les pas importants ; C’est nous TOUS !

JBL1960

La cabane au fond de l’Île de La Grande Tortue

J’ai peur d’avoir compris ;

Je reproduis ci dessous l’article de Djemila Benhabib paru le 7 mai dernier sur Marianne.net et qui depuis ne cesse de me hanter pour de très nombreuses raisons dont je me suis ouverte, sans succès à Marianne ;

Ayant peu de temps avant rédigé cet important billet = Le Navire “Colon” qui est une traduction faite par R71 de la Nation Mohawk sur « la supercherie coloniale ; Le cas du Traité de Canandaigua de G. Washington »

La ceinture wampum de George Washington en 1794

Nous pensions que le Conseil des Chefs d’Onondaga Inc. et le Conseil de Saint Regis d’Akwesasne Inc. allèrent récemment à Washington D.C afin de donner la fessée à George Washington pour ce qu’il nous a fait. Au lieu de cela, ils étaient tout sourire et commémoraient la ceinture wampum de George Washington de 1794, autrement nommée le traité de Canandaigua. Cette ceinture honore la doctrine de la découverte et la mise en place d’une relation génocidaire de maître à esclave connue aujourd’hui sous le nom de loi fédérale indienne. Ils ont le traité de papier et notre terre et nous avons cette ceinture qui pendouille dans leur capitale.

Et qui m’a valu de la part de la responsable Mohawk ; Kahentinetha un Niawen (Merci en Mohak) que j’ai intégré dans cet autre billet expliquant « d’une relation contre-nature au crime d’État ».

Puis le 2 mai ce billet traduisant Peter d’Errico source ICTMN sur « l’hypocrisie totale du Forum Permanent des affaires Indigènes de l’ONU quand les institutions protègent la Doctrine Chrétienne de la Découverte fondement du colonialisme occidental. »

Donc à la lecture de cet article je me suis grattée grave et tout du long ;

Québec, le faux paradis des communautarismes religieux

| Djemila Benhabib | Source Marianne

La France pensait en avoir fini avec le fait religieux. Le voilà qui lui donne à nouveau du fil à retordre… Pour les détracteurs de la laïcité à la française, l’avenir du vivre-ensemble serait à chercher du côté du modèle québécois. L’écrivain et essayiste d’origine algérienne Djemila Benhabib*, qui vit au Québec, décrypte ce pays, où l’État semble s’enliser dans la logique des « accommodements raisonnables ».

url de l’article orginal : http://www.marianne.net/quebec-faux-paradis-communautarismes-religieux-100242720.html

L’école maternelle du quartier Saint-Michel de Montréal ressemble à n’importe quelle école maternelle. Dans cet établissement public, les enfants dessinent, s’appliquent, chahutent leurs camarades, tournicotent sur les petits bancs de bois, apprennent la vie en collectivité, chantent, tapent des mains… Enfin… Tous, sauf exception. En décembre 2011, les parents d’une petite fille scolarisée dans l’établissement – deux musulmans ultrapratiquants – ont exigé de l’administration qu’elle cesse de «contraindre» leur bambine à écouter de la musique ou à chanter, au motif que l’un et l’autre étaient «haram» («impur») dans leur religion.

Exigence délirante ? Requête incongrue ? Vous n’y êtes pas : plutôt que de renvoyer ces «parents-talibans» au respect de la règle commune, la direction de l’école a considéré qu’elle ne voyait aucun problème à doter la jeune élève d’un casque antibruit à chaque fois que ses chastes oreilles pourraient être polluées par la mécréante mélopée d’une comptine pour enfants ou par l’impureté d’un morceau de flûte à bec. Égarement d’une directrice très coulante ? Acrobatie administrative en solo ? Vous n’y êtes – toujours ! – pas : interrogée sur cette décision, la ministre de l’Éducation de l’époque, Line Beauchamp, déclara qu’elle n’y trouvait rien à redire : «S’il ne brime pas les autres enfants, qu’il vise l’intégration [sic !] et qu’il n’impose pas de compromis sur le plan pédagogique, un accommodement raisonnable peut être toléré», a-t-elle décrété.

La novlangue locale a beau les qualifier de «raisonnables», ces accommodements du quotidien avec les exigences communautaristes les plus folles sont aujourd’hui au centre de vives polémiques au Québec. Cette province francophone d’Amérique, qui compte un peu plus de 8 millions d’habitants, se trouve aujourd’hui à un carrefour politique et culturel né de sa double tradition : républicaine et soucieuse du devenir de la nation, d’une part, et multiculturaliste et façonnée par l’équilibre entre les communautés, d’autre part. Assujetti au Canada – pour qui la reine d’Angleterre et la religion sont deux intouchables -, le Québec a néanmoins connu un processus de laïcisation sans précédent en Amérique du Nord sous l’impulsion de la révolution tranquille, dans les années 60. Bien entendu, à cette époque-là, la réflexion portait exclusivement sur la religion catholique, ô combien pesante et puissante.

C’est en 1985 que la notion d’accommodement raisonnable a vu le jour. La Cour suprême du Canada – le plus haut tribunal du pays – statuait sur le cas de la salariée d’un magasin de vente au détail qui, après quelques années de bons et loyaux services, avait adhéré à l’Église adventiste du septième jour, et demandé dans la foulée à son employeur qu’il l’exemptât désormais de travail le jour du shabbat, comme le prescrivait sa nouvelle religion. Son patron avait obtempéré, mais en requalifiant au passage son statut d’«employée à plein temps» en «employée occasionnelle». C’est alors que la récente convertie avait porté plainte, se disant victime d’une discrimination fondée sur ses croyances. Au terme d’une procédure juridique de sept ans, la Cour suprême lui donna raison. La notion d’accommodement raisonnable était née.

Mais c’est surtout au début des années 2000 que les dérogations au motif du religieux se sont multipliées, semant l’incompréhension, voire le ras-le-bol, dans une grande partie de la population. En 2002, un différend célèbre oppose par exemple un élève sikh, Gurbaj Singh Multani (voir photo ci-contre), âgé de 12 ans, à son école publique montréalaise. L’objet du litige : le port du kirpan – un poignard considéré comme un symbole religieux par les tenants de l’orthodoxie sikhe – à l’école. Le conseil d’établissement s’y oppose au motif que le port du kirpan contrevient au règlement de l’école – qui interdit le port d’armes. Multani et ses parents protestent. S’ouvre alors une saga judiciaire qui ne prendra fin qu’en 2006 avec une décision unanime du plus haut tribunal du pays… en faveur de l’élève.

Les juges ont estimé que l’interdiction absolue n’était ni logique ni raisonnable. «La prohibition totale de porter le kirpan à l’école dévalorise ce symbole religieux et envoie aux élèves le message que certaines pratiques religieuses ne méritent pas la même protection que d’autres. Prendre une mesure d’accommodement en faveur de G. et lui permettre de porter son kirpan sous réserve de certaines conditions démontre l’importance que notre société accorde à la protection de la liberté de religion et au respect des minorités qui la composent», lit-on dans la décision. Conclusion ? Il est désormais permis aux élèves de porter le kirpan ainsi que d’autres signes religieux – les autres sont généralement moins tranchants – dans les écoles publiques canadiennes et québécoises. Par ailleurs, ce même objet sikh est interdit pour des raisons de sécurité à l’Assemblée nationale du Québec, dans les aéroports, dans les avions ainsi que dans tous les édifices de l’ONU à New York comme à Genève. Mais dans les cours de récré, donc, c’est permis ! Drôle de morale de l’histoire…

La compromission, jusqu’où ? Face à la gronde grandissante de la population, le gouvernement du Québéc décide, en 2007, de confier un mandat à une commission – la commission Bouchard-Taylor, du nom de ses deux coprésidents – pour faire le point sur la question des accommodements, qui cristallisent déjà le désarroi de beaucoup de Québécois. Un an plus tard, le rapport préconise d’ouvrir tous azimuts les institutions au fait religieux des minorités visibles. L’État doit adopter sans plus tarder la «laïcité ouverte» et normaliser la pratique des «accommodements». Bien sûr, ces conclusions font beaucoup parler, d’autant plus que le philosophe Charles Taylor (coprésident) n’est pas un inconnu au Canada : en 2004, lorsqu’avait germé l’idée d’instaurer des tribunaux islamiques en Ontario (abandonnée un an plus tard), il en avait été un ardent défenseur. Était-il le personnage le mieux adapté pour une mission sur les accommodements raisonnables ?

À 73%, LES QUÉBÉCOIS PENSENT QUE LES ACCOMMODEMENTS RELIGIEUX NUISENT AU BON FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS PUBLIQUES.

Auprès de la population, en tout cas, la doctrine de l’ouverture à tous crins ne passe pas – selon un sondage (1), 73 % des Québécois pensent que les accommodements religieux nuisent au bon fonctionnement des institutions publiques. Les voilà méfiants, comptabilisant les reculs un à un et laissant éclater leur colère à l’occasion. Les plus lucides parmi eux ont compris l’enjeu. C’est l’héritage de la révolution tranquille qui se joue. Pour faire passer la pilule des accommodements, il faut mettre sur la touche, voire liquider, cinquante ans de combat pour la laïcité. Tariq Ramadan frétille, jubile et saute dans le débat, y allant d’une déclaration des plus arrogantes : «Le problème du Québec, c’est que vous êtes colonisés par la France et que vous ne résistez pas assez aux idées des salons parisiens» (2). Et paf, la France des Lumières est clouée au pilori ! La laïcité sortie du ventre de la Révolution devient un épouvantail de salon. En matière d’égalité entre les femmes et les hommes, les réflexes des institutions étatiques se sont émoussés, le système éducatif a été mis à mal, la neutralité des institutions publiques s’est considérablement érodée et la protection des enfants issus de communautés culturelles se trouve contrariée.

Dans une recommandation écrite datant de 2007, classée comme «fiche culturelle», le service de police de la Ville de Montréal conseille par exemple à ses policières de faire appel à leurs collègues de patrouille de sexe masculin lors d’interventions dans la communauté juive hassidique. «Votre rôle, en tant que professionnelle, est de faciliter l’échange avec votre interlocuteur. Dans certains cas, cela pourrait signifier de faire intervenir votre collègue masculin pour faciliter la discussion et la prestation de service», suggère le bulletin informatif mensuel des policiers. C’est à peine si on ne demande pas aux policières de retourner à leurs fourneaux ! Quelle insulte !

Bien sûr, ce qui est vrai dans le public l’est encore plus dans le privé : en 2009, des membres de la communauté juive hassidique formulent une demande de la même nature en direction de la Société de l’assurance automobile du Québec. L’évaluateur de l’examen pratique de conduite automobile doit être du même sexe que le candidat à l’examen. En d’autres mots, les femmes évaluatrices ne sont plus les bienvenues !

Mais l’accommodement qui a fait couler le plus d’encre récemment concerne Zunera Ishaq, une résidente de l’Ontario. Cette citoyenne pakistanaise, âgée de 29 ans, a remporté non pas une, mais trois victoires juridiques contre le gouvernement canadien… avant même d’être citoyenne. L’affaire est simple : arrivée au Canada en 2008, Zunera Ishaq contestait un décret ministériel qui imposait aux femmes de se présenter à visage découvert à la cérémonie d’assermentation pour l’obtention de la citoyenneté. Face à l’offensive de la jeune Pakistanaise, le décret ministériel a été invalidé. C’est finalement le 9 octobre 2015 qu’Ishaq est devenue canadienne… le visage couvert, son mari à ses côtés, vêtu d’un costume gris rayé et filmant la scène. Victoire symbolique typique du «djihad juridique» dans lequel se sont lancés les islamistes – «Nous vous dominerons au moyen de vos lois !» avait déclaré, en Allemagne, un sordide imam…

Au Québec, l’essor du voile intégral a lieu également dans les crèches privées. En novembre 2013, une photo prise dans la rue à Montréal de deux éducatrices en burqa, les mains entièrement recouvertes de gants noirs, accompagnant six gamins, a fait le tour de la Toile. Surtout, n’allez pas croire que cette crèche est destinée à un public exclusivement musulman ! Et alors, quoi ? «Les éducatrices sont formidables, pleines d’amour, intelligentes, bien éduquées, et c’est ce qui m’importe pour ma fille», a fait valoir une mère (3), avec ce mélange de naïveté et de bons sentiments qui tient lieu aujourd’hui de morale et de sens politique chez certains. Quant au symbole du voile intégral, sa revendication… passez votre chemin !

Lorsque arrive au pouvoir le Parti québécois, en 2012, avec son projet de charte des valeurs très en pointe sur la laïcité, le terrain est miné et les obstacles, nombreux. Pourtant, une majorité de Québécois y adhèrent. La disposition la plus populaire du projet de loi vise l’interdiction du port des signes religieux aux fonctionnaires. C’est également la plus controversée ! Sondage après sondage, les appuis à cette charte ne fléchissent pas, et ce malgré le matraquage d’une presse qui vise à faire passer cette charte pour foncièrement raciste. Ceux qui affichent le plus d’hostilité sont les anglophones et les allophones. Le Québec, qui n’a aucun passé colonial, rappelons-le, s’attire pourtant les mêmes rancunes à son endroit que la France du simple fait qu’il se revendique de la laïcité. Cette fois-ci, la ritournelle de l’islamophobie est bien rodée et le front antilaïque, bien qu’hétéroclite, avance tel un bulldozer. Une désastreuse campagne électorale a fini par évincer du pouvoir le Parti québécois, deux années plus tard. Le projet de la charte est vite abandonné. L’ambiguïté et les incertitudes s’installent aussitôt.

Pris entre deux feux, l’État reste prisonnier de son ambiguïté et sous la menace constante de puissants lobbies politico-religieux.

En l’absence de règles générales clairement établies, la société québécoise fonctionne au cas par cas. Comme les zones grises sont nombreuses, le Québec est toujours à la veille d’une «crise» provoquée tantôt par la décision d’un juge, tantôt par celle d’un directeur d’école. Faute d’une règle juridique incontestable, c’est-à-dire d’un énoncé de principe constitutionnel pour enchâsser la laïcité dans la charte québécoise des droits et libertés, l’Etat reste pris entre deux feux, prisonnier de son ambiguïté et sous la menace constante de puissants lobbies politico-religieux organisés.

Hélas, le nouveau Premier ministre canadien, Justin Trudeau, n’y voit que du feu. Ce dernier n’a, par exemple, que de bons mots pour le voile intégral. D’ailleurs, au Canada, il est également possible de glisser son bulletin de vote dans l’urne le visage couvert ! Prenant cette mesure à la lettre, lors des élections fédérales du 22 octobre dernier, nombre de Québécois sont allés voter déguisés, par provocation. Certains avaient même le visage camouflé par un sac de pommes de terre, par un masque de clown, de Batman, un casque de ski ou une cagoule. C’était presque Halloween !

Pris à son propre piège, l’État s’est enlisé dans la logique des particularismes religieux. Mais comment distinguer une religion de l’intégrisme religieux, d’une secte ou encore d’une croyance marginale ? C’est là le principal reproche à l’égard des accommodements qu’a formulé l’ancienne juge de la Cour suprême, Claire L’Heureux-Dubé. Une fois à la retraite, cette inconditionnelle de la laïcité et de l’égalité a estimé que «les raisonnements juridiques ont ouvert la porte à des accommodements déraisonnables» (4). Comme le seul critère subjectif de la «sincérité de la foi» atteste du bien-fondé de toute demande, les employeurs et institutions sont poussés fatalement à l’accommodement. Or, les demandes d’accomodements sont un puits sans fond. Chaque pouce de terrain que l’État cède sert de base à de nouvelles demandes. A ce jeu-là, les islamistes raflent la mise. Qu’à cela ne tienne, le Québec accouchera bientôt d’une loi contre «les discours haineux» et la radicalisation. Pas dans le sens que vous imaginez, cependant : le gouvernement libéral de Philipe Couillard veut mater les «islamophobes». Voilà le cadeau qu’il s’apprête à faire aux islamistes et à leurs idiots utiles en faisant adopter une loi liberticide pour restreindre drastiquement la liberté d’expression. A un moment où la société a le plus besoin de comprendre la nature de ce mal planétaire qui endeuille l’humanité, le gouvernement fait tout pour verrouiller le débat. Le Québec – mon Québec ! – n’est pas au bout de ses peines.

Quelle relation existe-t-il entre les crises d’asthme et le voile islamique ? A priori, les deux sujets n’ont pas grand-chose à voir l’un avec l’autre, sauf que le gouvernement canadien, par le biais de son ministère de la Santé, a décidé d’établir une corrélation directe entre les deux. Dans une campagne publicitaire destinée à nous sensibiliser contre l’infection chronique, le ministère de la Santé a choisi comme effigie une jeune femme emmitouflée dans une abaya noire, les yeux délicatement maquillés. Ce qui a déclenché, au Québec, moult réactions, dont certaines furent virulentes. Sans surprise sur la page Facebook du ministère de la Santé, les commentaires abondent. Ghislaine Brouillette, retraitée vivant à Montréal, écrit : «Je trouve honteux cette publicité affichant une personne soumise à une religion qui ne lui permet pas de s’intégrer à sa société d’accueil. Vous soulignez les causes des crises d’asthme, je vous en communique une autre : le stress de la dictature religieuse Hélène Fonseca, quant à elle, fait remarquer que la photo controversée se trouve sur le site de Canstock sous le titre «Saoudi Arabian Woman Using Inhaler». Le Canada, qui communie à l’autel du multiculturalisme, aurait-il délibérément choisi pour sa publicité la photo d’une femme voilée destinée à un public saoudien ? La question se pose. Mais personne au gouvernement n’est là pour clarifier la situation. L’attitude des grands médias, restés silencieux dans la plupart des cas, est de nous faire croire que la neutralité de l’État n’est qu’un petit drame d’opérette sans importance mettant en scène les plus surexcités d’entre nous.

* Dernier ouvrage paru : Après Charlie. Laïques de tous les pays, mobilisez-vous !, 2016, éd. H&O.
(1) Sondage réalisé pour le Secrétariat aux Institutions démocratiques et à la participation citoyenne de Québec, en avril 2013.
(2) Nathalie Petrowski, «Tariq le terrible», la Presse, 10 novembre 2009.
(3) Citée dans ICI Radio-Canada, 20 novembre 2013.
(4) Citée dans le Devoir, 9 novembre 2007.

=*=

Je mets en lien ici la controverse dont vous avez fait l’objet mais cela n’a rien à voir avec ce que je vous reproche, non, c’est la lecture de cette phrase ;

Le Québec, qui n’a aucun passé colonial, rappelons-le, s’attire pourtant les mêmes rancunes à son endroit que la France du simple fait qu’il se revendique de la laïcité.

J’ai cru à une erreur de votre part…

Et non !

Comment vous dire, outre que tout est clairement expliqué là = Octobre 1492 : Des crucifix et des échafauds…

Et même si l’histoire du Québec commence vraiment vers 1508, elle s’est bâtie sur le même présupposé à savoir que ;

Il fut simplement et implicitement compris qu’aucune personne indigène traditionnelle ou nation ne devaient être autorisées à survivre en dehors de la chrétienté et de sa nation « blanche ».

Et encore, si j’étais déjà très au fait de la Doctrine Chrétienne de la Découverte ayant demandé l’effacement de mon nom du registre des baptêmes en récusation de celle-ci. Ce qui n’est pas possible car la justice française malgré la loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905 n’admet que le reniement et donne donc force de loi à l’acte de baptême par arrêt de cour de cassation tout est y compris le lien vers l’Arrêt de la Cour de Cass. J’ai donc obtenu la radiation de mon nom du Registre des Baptêmes pour Apostasie…

Et de son injonction de départ et réitérée en toutes occasions comme ici :

“Tuer l’Indien pour sauver l’Homme”.
(Capitaine Richard Pratt, fondateur de l’école pensionnat pour Indiens Carlisle, 1892)

N’avais-je pas encore pris connaissance dans toute son horreur de la traduction française faite par R71, même partielle, du Contre-Rapport de la Commission Vérité & Réconciliation « Meurtre Par Décret : Le crime de génocide au Canada » publié par le Tribunal International pour les Disparus du Canada (TIDC) en conjonction avec des Commissions Citoyennes d’Enquête préalables.

Dont le dossier est tenu à jour sur ce blog sous cet intitulé = MEURTRE PAR DÉCRET

PDF du texte original ; http://murderbydecree.com/

PDF de la version de la traduction partielle mais substantielle en français faite par R71 et paginée par mes soins ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2016/10/tr71mbd0616.pdf

Donc nous seulement le Québec faisant partie intégrante de l’Île de la Grande Tortue a été colonisé, et a donc bien un passé colonial mais surtout il n’est pas question de laïcité, nulle part, jamais !

Et grâce à ce contre-rapport on est capable d’établir une chronologie du génocide au Canada par les églises et l’État de 1840 à 2015.

Il est question ici d’une solution finale du problème indien mise en place conjointement par l’Église et l’État canadiens et avec l’assassinat aujourd’hui encore des femmes autochtones et les disparations de familles entières orchestrées par les mêmes et réactivés, preuves à l’appui, grâce aux investisseurs chinois comme en Colombie Britannique, ici ;

Vous voyez qu’effectivement si  le Québec -votre Québec- n’est pas au bout de ses peines comme l’ensemble du territoire Canadien et Américain du Nord et du Sud ;

C’est bien parce qu’il n’a jamais été question d’y vivre libres et égaux puisque sa construction s’est faite sur la négation de la population originelle avec un objectif clair ;

Tuez l’indien pour sauver l’Homme !

C’est pourquoi nous travaillons à un nouveau paradigme en lien avec les Natifs et descendants des Peuples premiers expliqué ici et parce que je pense qu’aucune société n’aurait dû évoluer avec un présupposé aussi mortifère et nocif que celui qui prévaut depuis plus de 500 ans et pour des siècles et des siècles si nous ne nous levons pas tous ensemble, ici et maintenant et d’où nous sommes…

JBL1960

Mise à jour du 27/11/2016 | JBL1960

La résistance à Sioux Standing Rock n’était pas née ► ON SE LÈVE TOUS POUR :

Aujourd’hui c’est chose faite, et cela rend l’assertion ci-dessus parfaitement exacte et d’ailleurs je ne retire rien, pas même une virgule ► Solide comme un Rock

Mais aussi là ► Soyons l’étincelle… ou encore ici ► Et le souffle aussi…

Mais Djemila Benhabib n’est pas la seul à penser, écrire et publier des énormités ;

Dans le Marianne de ce jour de votation à droite toute ! Les propos d’un François Fillon sur la colonisation ▼

La France n’est pas coupable d’avoir voulu faire partager sa culture aux peuples d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Nord”.

Lire l’intégralité de l’article sur Marianne.net ► http://www.marianne.net/primaire-droite-ces-electeurs-qui-veulent-faire-barrage-fillon-100248211.html

Ici on le sait bien qu’un fion ça schlingue !!!