Dans l’œil du cyclone…

Vlad aurait-il sauvé la mise à Herdogan ?

Serait-ce si étonnant ?

Herdogan lui, n’en est pas tout à fait encore remis !

Enfin, suffisamment quand même pour organiser les purges de l’enfer

Pourtant encore, ici même, où on vous l’aura assez répété que le Vlad ne serait pas contre un N.O.M. dont il serait le commandant en chef.

Et ici même on vous l’aura aussi assez répété qu’un Nouvel Ordre Mondial qu’il soit sino-russo-américain, ben c’est toujours un N.O.M. même si vous changez son N.O.M. l’objectif sera toujours le même !

C’est ce que j’esquisse dans mon dernier billet sur la soumission totale de Moi Zident au bon déroulement du Plan = Non mais dans quel État d’urgence tu nous as mis ?

Voici pourquoi Herdogan sera éternellement reconnaissant à Vladimirovich ;

Coup d’état en Turquie. Poutine a sauvé la vie à Erdogan !

Source ; Numidia-Liberium | Lundi 18 juillet 2016

Un rapport étonnant du Conseil de sécurité russe (SC) circulant dans le Kremlin aujourd’hui, dit que, juste après avoir terminé sa conversation téléphonique avec le président Poutine, Recep Tayyip Erdoğan, revigoré, a salué la Fédération de Russie pour lui avoir sauvé la vie et qu’il allait rencontrer le Président Poutine dans les 2 prochaines semaines. Il a aussi promis «vengeance» contre le président Obama pour avoir organisé le coup d’état manqué contre son régime.

Selon ce rapport, le complot du régime Obama en vue de tuer le Président Erdoğan a été découvert par le ministère russe de la Défense (MoD) il y a et sept mois que nous avons rapporté dans nos rapports du 2 décembre 2015 en écrivant :

« Le ministère de la Défense (MoD) rapporte aujourd’hui que le président Poutine a ordonné aux avions géants Ilyushin-80 de commandement et de contrôle de la Fédération conçus pour une utilisation pendant la guerre nucléaire (autrement connu comme les avions du jour du jugement dernier  » Doomsday « ) pour se préparer à des opérations de guerre à travers le monde dans un quinzaine jours, après que les analystes du renseignement militaire ont découvert une « figure de proue désigné » « au-delà de stupéfiant » complot ourdi par les États-Unis et des factions du gouvernement turc de faire tomber le président Recep Erdogan et le remplacer par Fethullah Gulen, homme de CIA -tout en utilisant terroristes l’État Islamique comme «levier». « [Note: ce rapport doit être lu dans son intégralité pour comprendre les plans complets du régime Obama et ses motivations pour la mise en scène de ce coup contre la Turquie]

Immédiatement avant la découverte par le MoD de l’intrigue du régime Obama en vue de tuer le Président Erdoğan, ce rapport continue, les relations entre la Fédération et la Turquie avaient été brisées lorsque le 24 Novembre 2015, un bombardier russe sans défense a été abattu sur la Syrie par l’aviation turque tuant son pilote– mais pour lequel, il y a quinze jours, le président Erdoğan a présenté ses excuses dans une lettre personnelle au président Poutine.

Dès la réception par le président Poutine des excuses du président Erdoğan, le 27 Juin, ce rapport note, le MoD a réactivé sa précédente opération «défense personnelle» pour le chef de la Turquie en activant une force d’élite du 25e Régiment Spetsnaz du Service de Renseignement de l’Administration (GRU).

Craignant que le président Erdoğan ne soit bientôt protégé par ces forces d’élite Spetsnaz, ce rapport continue, le régime Obama accéléra ses plans de coup d’État, mais n’a pas réussi à comprendre qu’ils avaient déjà formé une «barrière proactive » autour d’Erdogan , de ses principales liaisons de communication à son gouvernement, des forces de police et des médias fidèles.

Obama ignorant que des forces d’élite Spetsnaz étaient déjà en « opération de combat » pour protéger le président Erdoğan, ce rapport explique, les comploteurs dirigés par la CIA ont commencé leur attaque le 15 Juillet dans la ville portuaire de la Riviera Turque de Marmaris, sur la côte méditerranéenne en attaquant Grand Yazici Club Turban où le chef de la Turquie était en vacances.

L’attaque elle-même, ce rapport continue, se composait de «au moins» 8-10 militaires turques dirigés par la CIA, débarquent d’un hélicoptère sur le terrain du Grand Yazici Club Turban. Ils se sont précipité vers ce qu’ils croyaient le château privé du président Erdoğan, en lançant des grenades et tirs d’armes automatiques contre ce château.

Cependant, l’élite de « protecteurs » Spetsnaz du président Erdogan l’avait déjà retiré de la Casa De Maris car ils savaient ce qui était sur le point de se produire et que la «bataille furieuse » a coûté la vie de nombreuses forces de police turques. Devant cet échec, les comploteurs se sont enfuis dans leur hélicoptère vers la Grèce. Ils ont comparu, il y a heures, devant un procureur grec. Et le Premier ministre de la Grèce, Alexis Tsipras, a promis de les extrader vers la Turquie .

Dans la foulée de cet échec d’Obama dans sa tentative de coup contre Erdoğan, ce rapport détaille plus de 6000 arrestations comme suspects de complot en connivence avec la CIA, dont les chefs de file sont le conseiller spécial du président turc, le colonel Ali Yazici, le commandant de la base aérienne Balikesir en Turquie occidentale, le Brigadier général Ishak Dayioglu, et le général Akin Ozturk, qui sont tous maintenant en garde à vue aussi.

La préoccupation la plus grave pour le ministère de la Défense russe, concerne le contrôle des quelque 90  bombes nucléaires B61 stockées à la base aérienne d’Incirlik en Turquie, dont cinquante sont affectées aux pilotes américains, et quarante sont affectées à la Force aérienne turque.

Avec le commandant de la base aérienne d’Incirlik, le général Bekir Ercan Van, actuellement en détention aussi, les forces militaires américaines ont activé leur niveau d’alerte le plus élevé tandis que les autorités locales ont bloqué tous les accès à cette base. –Pour le moment, il n’y a aucune indication claire sur la manière dont le régime Obama va répondre à son «aventure échouée», ni comment il compte protéger ces armes nucléaires.

Source

Le principal suspect du Coup a servi comme attaché militaire à Israël

Le cerveau présumé derrière la tentative de coup d’État contre le gouvernement turc avait autrefois servi comme attaché militaire à Israël, selon les rapports.

Général Akin Öztürk, qui était aussi l’ancien commandant de la force aérienne de la Turquie, a été arrêté samedi avec au moins cinq autres généraux dans le cadre du coup d’Etat manqué le vendredi soir.

De 1998 à 2000, Öztürk a servi à Tel-Aviv au sein de l’ambassade de Turquie. Plus tard, il est devenu commandant de la force aérienne, jusqu’à ce qu’il  démissionne l’année dernière. Il a conservé son siège au Conseil militaire suprême de Turquie.

Avant le coup d’État, Öztürk était une figure militaire célèbre, honorée par de nombreuses médailles de son propre pays et de l’OTAN.

La réconciliation russo-turque vue du Moyen-Orient

L’amélioration récente des relations bilatérales entre la Russie et la Turquie ont provoqué d’intenses discussions parmi les analystes et les experts des médias à travers le Moyen-Orient. L’aide déterminante de la Russie à Erdogan va obliger ce dernier à revoir ses positions concernant la Syrie et va l’obliger à laisser la Russie liquider définitivement Daech/ISIS.

Ankara, de l’avis des commentateurs locaux, a payé un prix élevé pour la chute du SU-24 russe abattu en Syrie. Le président Tayyip Erdogan, pour les commentateurs arabes, « n’est pas habitué à reconnaître ses erreurs, mais il a du boire la coupe amère des excuses« , car il savait que la protection russe pour sa vie n’a pas de prix. La suite des évènements l’a prouvé.

Le journal émirati, Al Khaleej, est convaincu que Moscou a agi à bon escient dans cette situation, tout en évitant des étapes dangereuses et des revendications irréfléchies, choisissant la voie de l’application des pressions économiques sur Ankara (tourisme, gaz).

De nombreux analystes analysent les relations bilatérales entre Moscou et Ankara en fonction la situation en Syrie, qui est devenue le point d’intersection des différents intérêts géopolitiques des forces extérieures.

La responsabilité de la baisse dans le rôle de la Turquie dans la région, selon certains analystes politiques, repose sur les épaules des élites politiques turques. Ankara n’a pas attendu que les flammes qui dévorent ses voisins syriens et irakien se répandent et embrasent toute la région. La Turquie a du reconnaître qu’il était idiot de regarder ces flammes sans rien faire.

Le rédacteur en chef de l’influent journal Al-Hayat, George Samaan, estime qu’Erdogan a mis du temps pour enfin reconnaître la nécessité de pragmatisme dans la politique étrangère de son pays, tout en étant incapable de tourner le dos aux vieux rêves ottomans. Le nouveau pragmatisme en Turquie le renvoie désormais vers sa maison pour le bien-être économique turc, qui a été la base du poids et de l’influence de ce pays au Moyen-Orient.

En supprimant les blocages dans les relations entre Moscou et Ankara, selon le journaliste turc Hakan Aksay, Moscou veut accélérer les étapes, ce qui va accélérer du même coup le désengagement turc de Syrie, car Ankara devra cesser de soutenir les djihadistes et les groupes extrémistes si elle veut une réconciliation honnête et totale avec la Russie.

Mais ce qui, peut être, va finalement être obtenu, c’est la normalisation des relations entre les deux pays au point où ces relations bilatérales étaient avant la crise syrienne.

Un expert libanais en vue sur les affaires turques, Dr. Mohammed Noureddine, note aussi qu’il ne peut y avoir aucune discussion sérieuse sur les relations de la Russie avec la Turquie, sauf si cette dernière retire soutien aux groupes radicaux en Syrie et en Irak.

Les experts continuent de faire valoir que la normalisation n’est maintenant qu’une question de temps.

Une experte libano-américaine de premier plan, Raghida Dergham, estime que le président turc Erdogan s’est lui-même trouvé piégé en Syrie, et il est convaincu qu’il a besoin de la Russie pour en sortir. Vladimir Poutine a bénéficié de l’évolution de la position de la direction turque non seulement parce qu’il a reçu des excuses du chef d’Ankara, mais aussi parce qu’elle a attiré Erdogan sur la voie de la réconciliation en Syrie.

Le journal irakien Al-Zaman voit les actions communes que la Russie et la Turquie vont prendre pour lutter contre le terrorisme bénéficieront à ces deux états. Ce serait de loin une étape plus productive que la coopération de la Turquie avec Washington, dont les politiques ont été en proie à l’imprécision, à l’incertitude et à des délais déraisonnables, et quelquefois à des heurts sanglants [1].

[1]VOIR :

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En complément de lecture sur le sujet vous pouvez lire sur le toujours excellent Le Saker Francophone, ceci ; http://lesakerfrancophone.fr/les-gagnants-et-les-perdants-dans-la-tentative-de-coup-detat-en-turquie

Et par The Saker is, himself = http://lesakerfrancophone.fr/coup-detat-en-turquie

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Dans tous les cas, rappelez-vous que la violence, la guerre n’est pas inscrite dans nos gènes comme on veut vous le faire croire afin de nous mener plus facilement à mourir pour leurs idées dans la WW3 que nos zélites molles ou folles s’évertuent à déclencher et pour notre plus grand bien, bien sûr…

C’est toujours pour notre bien !

Non Merci ;

JBL1960

Source de l’image = photo.nationalgeographic.fr

4 réflexions sur « Dans l’œil du cyclone… »

  1. Erdogan, prisonnier de Poutine ?

    En Syrie, les batailles qui opposent les soldats de Bachar el-Assad aux djihadistes en Syrie touchent des intérêts étrangers importants.

    Le président turc pensait conserver en Syrie une zone d’influence qui lui aurait permis de négocier avec les Russes et les Iraniens. Il n’en sera rien.
    Avec une logique imperturbable, les troupes de Bachar el-Assad, appuyées par l’aviation russe, ont repris les hostilités dans la poche d’Idlib, le dernier des bastions djihadistes. Située au nord-ouest de la Syrie, le long de la province turque du Hatay, cette enclave fournit une ultime illustration de l’absurdité inextricable du conflit syrien, puisque le combat met aux prises des djihadistes qui n’ont plus rien à perdre et des troupes que rien n’arrête, le tout sous le regard des puissances occidentales qui sont sorties du jeu.

    Cette fois, l’enjeu vise à éliminer définitivement la résistance acharnée du groupe Hayat Tahrir Al-Cham (Organisation de libération du Levant), dernière dénomination adoptée par l’ex-Front al-Nosra, faction terroriste redoutable qui s’est fait connaître comme la branche syrienne d’Al Qaeda. Depuis le début de la guerre syrienne, ce sont sans doute ces combattants-là qui ont donné le plus de fil à retordre aux soldats de Damas, avant d’être regroupés dans le réduit d’Idlib, où Assad a choisi de les concentrer en échange de leurs redditions successives à Alep, dans la Gouta, à Deraa.

    Mais un engrenage infernal oppose les intérêts des puissances étrangères impliquées. Dès les origines du Front al-Nosra, la Turquie de Erdogan a vu dans cette mouvance le fer de lance de la lutte armée contre Assad et lui a apporté un soutien décisif ; le Qatar s’est également associé à Ankara. Avec l’extension fulgurante du groupe Etat islamique (EI), à partir de 2014, Al-Nosra a clairement marqué ses divergences avec ce califat qui poursuivait de tout autre buts que la chute de Assad. Après quoi, c’est d’Al Qaeda que le Front Al-Nosra a tenu à se différencier, en 2016, poussé par la Turquie qui s’est soudain sentie obligée, sous la pression des Etats-Unis, de donner des gages en matière de lutte antiterroriste pendant que les Occidentaux faisaient des Kurdes de Syrie leurs nouveaux alliés pour combattre l’EI.

    Et maintenant ? A Idlib, on compte près de 3 millions d’habitants pris en otages par les djihadistes, lesquels seraient entre 30 000 et 50 000 à exercer la terreur sur cette nasse. Reprendre ce nid de terroristes est crucial aux yeux du régime syrien, car c’est par cette région que passent deux autoroutes essentielles – l’axe nord-sud Damas-Alep et la voie ouest-est Lattaquié-Alep – et que le contrôle d’Idlib commande aussi l’accès au pays alaouite voisin, d’où est originaire le clan Assad. Liquider les djihadistes provoquera un exode humain massif qui, forcément, se dirigera vers la Turquie, où ont déjà trouvé refuge 3,5 millions de déracinés syriens. C’est inacceptable pour Erdogan ; mais son échec à Idlib est patent et fait piaffer d’impatience ses deux alliés de circonstance que sont la Russie et l’Iran, tous deux pressés de voir Assad en finir avec cet abcès.

    En mai 2017, à Astana, le président turc s’était en effet engagé à maîtriser les terroristes d’Idlib ; or il n’y est pas du tout parvenu, ces derniers n’ont cessé de harceler l’armée syrienne et de viser la base aérienne russe de Hmeimin. Sous la pression accrue de Vladimir Poutine et de Hassan Rohani, le président iranien, voici donc Erdogan désormais contraint de lâcher les djihadistes d’Idlib en marchandant en compensation une zone d’influence dans le nord-ouest de la Syrie afin de démanteler les positions des Kurdes.

    A court ou à moyen terme, les espoirs de Recep Tayip Erdogan en Syrie se trouvent anéantis. En échange de son rapprochement avec Vladimir Poutine et en contrepartie de son engagement à soutenir la levée des soutiens américains contre Téhéran, le président turc a beaucoup reçu : une amplification des échanges avec la Russie, le gazoduc russe Turk Stream, l’achat du système antimissile S-400 et sa fabrication en Turquie (livraison prévue en juillet prochain)… Mais il y a un prix à payer à la clef. Autant dire que Erdogan s’est mis entre les griffes de Poutine.
    Source ► http://decryptnewsonline.over-blog.com/2019/05/erdogan-prisonnier-de-poutine.html

    VIA ► https://reseauinternational.net/erdogan-prisonnier-de-poutine/

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