AVEC ZÉNON JUSQUE DANS LES ÉTOILES

Zénon signe à nouveau un texte fort ;

Puissant et aussi profond que l’océan…

Avec des mots purs. Des mots durs. Des mots justes, tranchants…

Des mots qui fendillent les armures dans lesquelles on se claquemure…

Des mots qui font apparaître nos fêlures, nos blessures aussi parfois…

Non pour nous abaisser, jamais. Mais pour nous élever, toujours…

Pour nous inviter à lever les yeux et contempler le ciel, son azur, la course des nuages… Mais surtout pour se regarder, les uns, les autres, et pour se voir, se reconnaitre ou tout simplement apprendre à se connaitre et créer par et pour nous-mêmes la société des sociétés

Zénon apprivoise les mots et si ce devait être les derniers, pour moi, et de toute éternité, je les porterais dans mon cœur comme la promesse d’un ailleurs où tout sera possible parce que nous l’aurons décider ensemble.

Et parce que la petite flamme qu’il a fait jaillir par ce tout premier texte ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2016/11/nakba1.pdf si elle était déjà là, minuscule, embryonnaire ; Par ces mots soufflés, elle est devenue jour après jour, la flamme qui sera capable d’embraser tous les empires…

Tout comme la vôtre… C’est par cette lumière intérieure que Zénon, et tant d’autres, aura allumé que j’avance sur mon chemin, la tête haute, certaine que nous nous y rejoindrons et que nous saurons nous reconnaitre et que nous ne nous quitterons plus…

Illustration du billet ► https://pixabay.com/fr/incroyable-belle-beaut%C3%A9-bleu-736882/

JBL1960

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« Burn-Out »

Ou la fin annoncée de la lutte des classes

Une fois n’est pas coutume : je vais aborder le sujet par un constat positif… N’en déplaise aux farouches partisans de la dépopulation volontaire, les découvertes technologiques et scientifiques de l’humanité depuis la 1ère révolution industrielle, ainsi que les immenses étendues de terres arables non-cultivées sur le globe, pourraient permettre à plus de neuf milliards d’êtres humains de s’alimenter sans problème. Mieux : l’essor de la robotique et de l’intelligence artificielle devrait réduire la somme de travail nécessaire à la subsistance d’autant de gens à tout au plus trois, quatre heures par jour et par personne. Nous serions en mesure de consacrer tout ce temps au partage, à l’éducation de nos enfants, au voyage, à la recherche, d’apprendre continuellement tout au long de la vie et même, pourquoi pas, de nous interroger un peu davantage sur son sens.

Instruits de toutes les erreurs du passé, nous pourrions réfléchir aux moyens de rétablir une juste équité entre les devoirs et les droits. Nous pourrions redéfinir complètement la manière dont décider des questions publiques et du bien commun. Nous pourrions nous pencher sérieusement sur la réparation des dégâts du nucléaire et résoudre bien d’autres problèmes encore insolubles. Nous pourrions enfin viser l’épanouissement de tous au lieu du profit de quelques-uns. Mais en la situation actuelle, c’est impossible. Car comme nous le savons, le système prédateur de l’oligarchie mondialiste nous l’interdit.

Il semble même qu’au contraire, l’élite autoproclamée ait choisi l’élimination progressive de toutes ses petites mains devenues l’une après l’autre surnuméraires. Malgré les piètres tentatives des statisticiens chargés d’enfumer l’auditoire, le chômage de masse continue à se répandre et gagner de plus larges couches de la société. Dans quasiment tous les corps de métiers, le travail tel que nous le connaissions, devenu dans une large mesure inutile, est en passe de disparaître… Mais au lieu de libérer de son astreinte ceux qui jusqu’alors l’occupaient, l’emploi s’est petit à petit tourné vers un autre but. S’il se perpétue de nos jours, ce n’est plus seulement pour l’enrichissement d’une petite caste de privilégiés, mais aussi et surtout afin d’occuper tout un pan de l’espèce Humaine à l’éradication des autres. Cela peut sembler brutal énoncé de la sorte, mais grattons sans nous mentir le vernis de nos fonctions respectives : nous ne pouvons que reconnaître œuvrer en l’état actuel des choses à notre autodestruction.

Commençons par ordre alphabétique (c’est une manie) avec l’agroalimentaire. En vue de produire la nourriture au rabais qu’exige la grande distribution, l’agriculture industrielle, aujourd’hui principalement d’exportation, empoisonne durablement les sols et précarise tout l’écosystème planétaire. Parallèlement, toute une armada d’ingénieurs s’adonne à la chimie amusante en cherchant quelle combinaison d’additifs peut mieux camoufler leur toxicité, tandis que fonctionnaires de France et d’Europe veillent à l’application de règles encadrant l’appauvrissement des produits de la Terre en nutriments. Tout ce petit monde s’active à généraliser les carences pour le plus grand bonheur des labos pharmaceutiques. Quant au FMI et à ses relais gouvernementaux, ses programmes d’ajustements structurels affament les populations à l’échelle de pays entiers.

L’artisanat, jadis premier employeur de France, se trouve en phase terminale d’extinction. Ces micro-entreprises étranglées par le RSI ferment boutique par centaines chaque mois, laissant pour seuls souvenirs des rangées de rideaux fermés dans les rues. L’ébéniste avec encore des années à cotiser finira sa carrière salarié chez un des grands groupes qui l’ont coulé. Et déconseillera le plus souvent aux jeunes de s’aventurer dans la profession.

Si les instituteurs, professeurs des collèges et lycées n’en peuvent plus, ce n’est pas pour cause de salaires insuffisants, de manque d’effectifs ni de moyens matériels. S’ils craquent, c’est car leurs élèves les renvoient chaque jour à l’inutilité de cours et de leçons pour eux vides de sens. Parce qu’engagés le plus souvent dans le métier par vocation d’enseigner, ils se retrouvent plus ou moins consciemment à formater les jeunes et non les instruire.

Si autant de policiers se foutent en l’air chaque année, ce n’est sûrement pas par remord d’avoir malmené untel ou untel au cours d’une intervention, mais parce qu’au quotidien confronté à une violence endémique, délibérément permise et encouragée par l’autorité publique, ils réalisent fatalement que, loin de défendre la veuve et l’orphelin, leur boulot consiste essentiellement à compter les points.

La désindustrialisation et la disparition de la classe ouvrière dans les pays occidentaux ne sont pas nouvelles. En revanche, on observe désormais la mécanisation grandissante des services : robots ménagers, livraisons par drones, dématérialisation des démarches et fin des guichets administratifs, calculs de résultats prévisionnels et infographies réalisés par des algorithmes… Tout ce dont nous avions le savoir-faire se voit remplacé par des tâches de supervision, de communication, ou encore, plus confusément, de « prospective ». Dans le meilleur des cas, sans aucun intérêt pour soi ni utilité commune.

Cette déliquescence est la même partout… Aussi bien chez l’emblème du capitalisme que sont les chaînes de fast-food, où les ados employés ont pour consigne d’orienter le client vers les automates qui les supplantent, que dans les services publics, où les effectifs ne se maintiennent une raison d’être qu’à travers l’artificielle et permanente complexification des procédures. Cette inefficience programmée sert d’ailleurs à justifier la délégation des missions régaliennes au secteur privé : l’objectif étant que dans un avenir proche, il nous faille payer pour obtenir certificat de naissance ou livret de famille.

Toute la science que nous mettons à nous cacher la réalité n’y change rien : le travail est aussi condamné que ce modèle social finissant… Les cadres pressurisés par l’injonction à la performance ont autant la tête dans le guidon que le petit personnel enrôlé à l’abus des clients pour le profit à court terme, et ne peuvent s’apercevoir de l’absurdité suicidaire de continuer à faire tourner la roue du système… Combien suent sang et eau à quelque chose qu’ils ne comprennent pas ? Combien font semblant d’être utiles et s’occupent pour éviter de regarder tomber les autres ?

Beaucoup d’entre nous demeurent sincèrement convaincus de pouvoir, par leur présence et leur action, infléchir la tendance depuis l’intérieur du système… Mais le verrouillage des leviers de commande est tel que meilleure soit la volonté, et si grands ou nobles soient les efforts en ce sens, nous n’y récoltons au mieux qu’une volée de bois vert. Et que même par la contestation officielle, nous y participons malgré nous. Au point de dépendance où nous sommes rendus, il nous est devenu impossible de tirer nos marrons du feu sans concourir à ce grand sabotage.

Nous observons au quotidien toutes les conséquences, les ravages de notre suivisme et de nos réticences à nous remettre en cause… Mais nous continuons, continuons, à tourner en boucle comme des hamsters dans leur roue. Non tant par lâcheté que par inconscience, et par culpabilité judéo-chrétienne à l’idée de compter parmi les inactifs, « assistés » et autres poids morts de la société. En somme, par peur de se désolidariser de la norme et peut-être aussi de perdre nos petits niveaux de vie. Nous avons renoncé l’un après l’autre aux droits et protections durement acquis par un siècle de luttes, sous prétexte de ne pas perdre nos pitoyables indemnités journalières ou notre place dans la société. Nous avons, au prétexte d’avoir quand même des gosses à nourrir, toléré pour ce faire l’hypothèque de leur avenir. Comme des grenouilles dans la casserole, nous restons dans l’eau frémissante croyant que le printemps arrive… Nous sommes pourtant voués à mourir un jour. Jusqu’où irons-nous dans l’avilissement pour nous convaincre d’y échapper ?

In fine, l’intelligentzia globaliste entend à la fois nous faire accepter la mise au ban de tous les inadaptés à sa cause, et le contrôle total de ses derniers bons petits soldats. Tandis que nos métiers s’éteignent l’un après l’autre, faute d’être rentables au système en place, nous devenons de plus en plus nombreux à dépendre des aides sociales pour subsister. Croyez-vous qu’un tel gouffre financier puisse être le fait d’une quelconque philanthropie d’État ? Ou bien celui-ci cherche-t-il à tuer dans l’œuf toute insurrection en s’assurant que nous ne puissions plus vivre sans lui ?

Le fameux revenu universel que l’on essaye de nous vendre à différentes sauces relève du même procédé. Devant l’impossibilité d’essorer toujours davantage les contribuables, son financement supposerait soit de mettre fin à l’évasion fiscale, soit de taxer les transactions boursières ou les profits des multinationales. Ne soyons pas dupes. Si celles-ci consentent à lâcher ne seraient-ce que quelques milliards pour le projet, c’est que les tenanciers de la haute finance y ont intérêt. Et quel autre, sinon celui de réduire la main-d’œuvre obsolète à une soumission totale et définitive ? « Si c’est gratuit, c’est vous le produit ». Après deux, trois expériences dans quelques pays-laboratoires, ce revenu de base sera probablement la meilleure façon de faire accepter la disparition du cash déjà en cours, mais également la mise en circulation d’une monnaie mondiale numérique… D’abord « inconditionnel », il sera peu à peu soumis à l’acceptation de nouvelles contraintes. Puis fera l’objet d’un chantage à propos de la vaccination des enfants, de l’euthanasie forcée, du puçage, clonage, du don et marché d’organes… L’idée est de contenir à feu doux la grogne des peuples pour se donner le temps d’exterminer en douceur, sans trop que ça tâche, les marées humaines oisives et dangereuses que nous sommes… Notre nombre est trop grand pour qu’ils nous éliminent d’une traite, ou qu’ils nous contraignent de force à de telles mesures. C’est pourquoi nous maintenir individualistes, indifférents à l’autre et perpétuellement divisés est la condition sine qua non à leur réussite.

Le peuple supporte pour l’instant la situation sous prozac, mais le jour approche où il n’y aura plus assez de rustines pour que la roue tourne. Alors se multiplieront les pétages de plombs, violences et immolations sur les lieux de travail… Dans le paradigme actuel, nous n’y pouvons rien. La catastrophe restera inéluctable tant que nous continuerons de croire en un changement venu d’en-haut, ou bien que la situation s’arrangera d’elle-même. Nous avons en revanche tout le pouvoir et toutes les clefs en main pour nous affranchir du joug multiséculaire des maîtres du capital. Eux savent mutuellement s’entraider à nous spolier depuis la nuit des temps. Mais ils seraient incapables de se préparer une omelette si nous les laissions entre eux. Nous avons quant à nous les savoirs qui nous permettent, bien que chacun spécialisé dans sa branche, de nous organiser pour survivre par la solidarité et par la complémentarité de nos talents.

La grève du vote n’est que d’une portée symbolique, puisque les politiciens sont capables de s’auto-élire. Mais elle est une première étape nécessaire : celle de leur adresser, ainsi qu’au reste de la population, le message clair que nous refusons de cautionner les forfaits commis en notre nom.

La grève du travail n’a d’avenir et d’impact possible que tant que celui-ci conditionne la survie du système. Sur une chaîne de montage entièrement automatisée, l’ultime ouvrier promu superviseur n’a plus d’autre choix que de fermer sa gueule ou de dégager. La fin du travail telle que programmée met un terme à la lutte des classes, au sens où sa victoire est alors définitivement acquise aux possédants… Mais nous avons encore une étroite fenêtre par où sortir du piège où nous sommes pris. Celle de la désertion massive de tous les lieux d’exploitation publics ou privés, sans préavis, pour investir notre volonté et notre énergie à construire autre chose. Tant que nous sommes valides et que notre coopération leur est nécessaire, la grève est une des armes dont nous disposons pour les affaiblir. Nous devons mutualiser localement les produits de base pour pallier la perte de nos salaires. Ainsi s’est toujours organisée la résistance. Ainsi se sont vues couronnées de succès toutes nos luttes passées. La solidarité, l’amour et la reconnaissance possèdent une force incommensurable et inconnue dans leur équation. L’expérience humaine ne saurait se réduire à une variable statistique : en cela, les mécanistes aux abois ont perdu d’avance.

Il est en France pénalement répréhensible d’appeler à la grève de l’impôt, et nos élus ont de toute façon prévenu l’occurrence par le prélèvement à la source… Mais rien n’interdit d’assumer la conséquence de celle du travail en échappant légalement à toute taxation par absence de revenu. Cela représente le sacrifice d’un confort auquel beaucoup d’entre nous étions habitués. Toutefois, il faut bien comprendre que celui-ci est de toutes façons voué à disparaître. 2017 et les suivantes marqueront la fin douloureuse de l’illusion d’une société solvable à crédit. Plus personne parmi le peuple ne peut se croire intouchable… La zone de turbulences et de chaos qui s’annonce nous impose d’organiser d’ores et déjà des réseaux de solidarité pour nous abriter de l’orage. Qu’ils soient par la même occasion le moyen de ne plus financer notre suicide collectif.

Mais de toutes, la grève de la consommation, à commencer par le boycott généralisé de tout le superflu, de tout ce qui porte la marque d’une expropriation, d’une exploitation ou d’une pollution quelle qu’elle soit, est sans doute la plus efficace manière de faire plier les empires de l’industrie et de la finance. Qu’ils comprennent une bonne fois pour toutes que sans nous, ils ne sont rien. Et même s’ils ne plient pas, même si le système se défendra bec et ongles jusqu’au bout, la grève de la consommation suppose de recouvrir une autonomie alimentaire locale, ce qui serait en soi une victoire… Par tous nos choix, jusque dans notre absence ou notre passivité, notre attitude influe sur le cours des évènements. Choisissons d’investir un terrain où l’adversaire ne nous attend pas. Là encore, personne ne peut nous coller à tous un flingue sur la tempe pour nous obliger d’acheter… Le peu de libertés dont nous disposons encore doivent être assumées comme les responsabilités qu’elles sont. Et utilisées en toute conscience tant qu’elles existent.

L’idée de l’entraide comme remède aux maux actuels pourra sembler utopiste à ceux qui n’ont jamais connu que le climat compétitif et délétère du salariat. Qui pourtant n’a jamais frémi devant la beauté d’un travail réalisé par et avec amour ? Qui n’a jamais senti en lui la satisfaction d’œuvrer au bien commun ? Cette chaleur et cette énergie surpassent tous les combustibles fossiles : elles sont le moteur de la perpétuation de l’espèce humaine depuis des millions d’années, et la source-même de la Vie. Nulle intelligence artificielle ne saurait s’y substituer.

Énormément d’épreuves nous attendent. Nous ne pourrons revenir du jour au lendemain à l’équilibre des forces. Mais puisque nos décideurs procèdent par étapes, allons de même progressivement, chacun selon ses possibilités, vers une solidarité seule à-même de nous éviter le funeste sort qu’ils nous réservent… Nous disposons de l’opportunité d’inverser le cours des choses. Pour nous et pour le salut des générations futures, nous devons agir non plus idéologiquement, mais de façon concrète à réaliser le désir des 99% contre celui des 1%… Certes, nous sommes encore de grands enfants, et tout nous restera à apprendre une fois redevenus maîtres de nos destins. Mais qu’est donc notre peur de la liberté comparée à cette ineffable joie d’être en vie ?… Nous avons tous été portés durant neuf mois. Nourris et pour les plus chanceux aidés à devenir ce que nous sommes. Ne valons-nous pas mieux qu’un rouage de machine ou de la chair à canons ? La route n’existe que par notre marche. Elle n’attend plus que d’être empruntée.

Zénon

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Je suis bien certaine que Pierre Kropotkine aurait compris la magie des mots de Zénon l’enchanteur ► Le Prince de l’évolution…

JBL1960

Version PDF réalisée par mes soins du texte de Zénon « Burn-out » en lien ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2016/11/burnoutzenon21012017.pdf

 

 

 

 

NEZ ROUGE…

…Perruque orange…

Donald Mc Trump s’invite à la Maison Blanche, qui ne s’appelle pas pour rien ;

The White House ► Tous des Païens en Terre Promise…

Et en lien avec ce billet de la même source : Mohawk Nation News ► Dernier Potus de l’empire sans terre ?

Et le mien ici sur la préparation de la même Burger Party au Canada ► Justin “Waterhole” Trudeau : dernier sujet de sa Majesté ?

Mise en place du nouveau clown Donald à la tête de la plantation USA SARL

Voici ce que nous avons lu de plus intelligent et de loin, sur l’inauguration du clown Donald à la tête de la “nation indispensable”, de cette plantation USA Inc/SARL.

Lucide, aiguisée comme un bon couteau, une pensée vérité coup de poing comme on les aime et qui maintient le cap de sortie de la supercherie politique que représente la forme étatique d’agencement de la société humaine…

Nous l’avons et le répèterons sans cesse, à plus forte raison dans la perspective du grand cirque électoral obsolète franchouillard à venir de 2017: Il n’y a pas de solutions au sein du système, n’y en a jamais eu et n’y en aura jamais ! Il faut en sortir en créant pas à pas la société parallèle des sociétés, celle de la confédération des associations libres de producteurs et consommateurs, au sein d’une société égalitaire et non-coercitive, qui rendra de facto obsolète État et institution.

 ~ Résistance 71 ~

URL de l’article sur R71 ► https://resistance71.wordpress.com/2017/01/21/mise-en-place-du-nouveau-clown-donald-a-la-tete-de-la-plantation-usa-sarl/

 Un autre jour dans la même plantation

Mohawk Nation News |  20 janvier 2017 |  URL de l’article original : http://mohawknationnews.com/blog/2017/01/20/same-plantation-different-day/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Aujourd’hui, pour les néoconservateurs malfaisants, fut inauguré Donald Trump comme le nouveau CEO de l’occupation militaire “temporaire” que sont les “États-Unis d’Amérique Inc.” C’était le 45ème concours de beauté. Les esclaves de maison étaient assis derrière lui sur le podium et les esclaves des champs se tenaient devant lui, attendant leur pitance.

Cette plantation se tient de manière illégale sur notre terre-mère, sur Ono’ware:keh ou Île de la Grande Tortue. Celle-ci ne fut jamais reconnue par la colonie USA qui a été construite sur le génocide et le vol qui continuent à ce jour. Trump a rassuré les esclaves coloniaux sur le fait que nos ressources naturelles seront toujours volées et notre terre détruite.

Trump a fait un discours de “guerre perpétuelle”, basé sur une fausse histoire, une économie en échec, des marchés financiers frauduleux, une culture populaire ouvertement immorale pour dire que les Américains ne seront plus des couards. L’armée et la police vont s’assurer que tout le monde obéisse. L’État va essayer d’améliorer les valeurs familiales et religieuses. “Le carnage américain s’arrête ici” a t’il dit, ce qui veut dire pour nous qu’ils débarrassent le plancher de la Grande Tortue !…

Provocations et sanctions iront en augmentant contre ceux qui seront jugés être désagréables aux intérêts américains. Il a annoncé que la guerre allait continuer. Comme il l’a dit dans sa campagne électorale, il est un politicien menteur, et alors ?… Il admet être un tyran pour gagner et d’être sans pitié s’il perd. Il a choisi minutieusement des militaires va t’en guerre et des hommes d’affaire blancs pour gouverner.

Trump a prêté serment à la constitution/charte de l’entreprise coloniale que sont les États-Unis d’Amérique Inc.

En fait, les mots les plus emprunts de sens qu’ils pourraient nous dire seraient : “Good-bye !!”
Le grand activiste Lakota Russell Means nous rappelle que si tout le monde vivait en accord avec kaia’nere:kowa, la Grande Loi de la Paix iroquoise, nous aurions la paix sur terre.

Note de R71 : De fait les nations iroquoises confédérées par kaia’nere:kowa n’ont fait aucune expérience de guerre entre elles depuis le XIIème siècle. A un moment donné, avant l’invasion européenne du XVIème siècle, il y a eu jusqu’à 58 nations autochtones, libres et indépendantes, vivant en accord avec la Grande Loi de la Paix, ceci représentait déjà quelques millions de personnes…

Les smart-phones, iPads, médias sociaux (facebook, twitter etc), la pop culture et autres diversions ludiques sont l’opium des masses.

Puisqu’il est fait mention du grand activiste Lakota Russell Means, je rappelle qu’en collaboration avec Résistance71, qui a traduit de larges extraits de son livre testament : « Si vous avez oublié les noms des nuages, vous avez perdu votre chemin » j’ai réalisé un PDF réunifiant leurs traductions ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2017/01/pdfrusselmeans0120172.pdf  Et introduit par ce billet de blog ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2017/01/11/tout-protecteur-de-leau-connait-le-nom-des-nuages/

Et les toutes premières actions de Ronald furent celles-ci :

Le climat et Obamacare, premières victimes de Donald Trump

ÉTATS-UNIS Le président a signé son premier décret et affiché ses priorités…

Il n’a pas perdu de temps. Après avoir prêté serment vendredi à la mi-journée, Donald Trump a signé son premier décret dans la soirée. Sa première cible ? La réforme de la santé « Obamacare ». Et la refonte du site Internet de la Maison Blanche indique également son intention de s’attaquer à la loi Climat d’Obama.

Son premier décret a donc pour but « d’alléger le poids » de la Loi sur la Protection des Patients et les Soins Abordables, surnommée « Obamacare ». Les détails concrets restent plutôt flous, car les républicains n’ont pas encore vraiment proposé de plan global pour remplacer la loi actuelle. Donald Trump l’a signée dans un bureau ovale relooké : le buste de Martin Luther King a été retiré, celui de Winston Churchill revient, et le président a installé de nouveaux rideaux dorés.

La page changement climatique retirée du site de la Maison Blanche

Avec l’arrivée d’un nouveau président, le site de la Maison Blanche a été revu de fond en comble. Les internautes ont vite remarqué un changement majeur : la page sur le changement climatique a disparu, et elle a été remplacée par le projet énergétique « América First ». L’administration Trump compte notamment abandonner leur politique de réduction des énergies polluantes et reprendre le forage du pétrole et gaz de schiste pour créer des emplois et payer la rénovation des infrastructures publiques. Lire l’intégralité de l’article sur 20minutes : http://www.20minutes.fr/monde/1999827-20170121-climat-obamacare-premieres-victimes-donald-trump

◄►

Voilà pourquoi, qui vote pour un candidat avec les règles du Système vote pour que celui-ci continue. Et c’est valable partout… En France, la campagne présidentielle se faisant sous état-d’urgence, quiconque vote pour un candidat issu du Système, vote pour que celui-ci continue… Qui parle de lever l’état d’urgence ? Personne !

L’État d’urgence est pour nous, le peuple, par pour les « terroristes ».

Ni Fillon, ni Macron, ni Hamon, ni Peillon, ni même Mélenchon n’ont l’intention de lever l’état d’urgence, d’ailleurs en parle-t-il ? https://jbl1960blog.wordpress.com/2017/01/15/inedit-en-france-presidentielle-sous-etat-durgence/

NON ! C’est con, non ?

Jean-Luc Mélenchon : « Ma France est métissée, universaliste et laïque »

Propos recueillis par

« Sortir du vieux logiciel productiviste et eurobéat des sociaux-démocrates », « tourner la page de la résignation », fédérer bobos et prolos, telles sont les ambitions du candidat Mélenchon. Marianne : Vous êtes candidat à l’élection présidentielle depuis maintenant près d’un an. Espérez-vous rassembler la gauche à l’issue de la primaire socialiste ?

Lire la suite sur Marianne ► http://www.marianne.net/jean-luc-melenchon-ma-france-est-metissee-universaliste-laique-100249288.html

La France métissée, universaliste et laïque est surtout sous état d’urgence. Ni bobos, ni prolos, et entre-nous soit dit entre les deux, y’a du monde, quand même ! Alors, on aimerait juste savoir ce qu’il en pense de cette question dont personne ne parle et pour cause, hein ? Puisque rien ne doit changer ► Réveillez-vous les gens !

Je suis en parfait accord avec R71 sur ce point, comme avec Zénon ► Je dis STOP, j’arrête de cautionner le cirque et la Burger Party à ciel ouvert et donc le bouzin !

Le Prince de l’évolution…

Pour la société des sociétés !

JBL1960

Mise à jour le 13 septembre 2017

Avec la dernière création de GuillaumeTC de #croisonsLes en illustration de ce billet « Is Trump it »

Et mon dernier billet du jour ► Dans les temps de Trumperie universelle…

Et celui sur le Kaa Macron ► Macron c’est Kaa ! Ayez confiance… Croyez-en moi…

Parce qu’aussi bien en France qu’aux USA  « A une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. »  Georges Orwell, 1984

Je rajoute la dernière version du PDF {N°3} des publications du Dr. Ashraf Ezzat, qui témoigne que la falsification historique dure depuis plus de 2600 ans ► Traduction de la Bible & Falsification historique Dr. A. EZZAT, dernière version PDF de septembre 2017

Et la dernière version de Meurtre Par Décret, en version PDF {N°1} CONTRE RAPPORT DE LA CV&R – Meurtre Par Décret – Le crime du génocide dans les Pensionnats pour Indiens au Canada

Parce que c’est pas le moment de mollir… JBL1960