Pour que tout s’ajoute…

…Et s’amplifie !

« La Force, même cachée, induit la résistance. »

Vieil adage Lakota

L’invitation à mordre le cul de l’Hydre n’est pas une allégorie comme celle du Bernard se préparant à changer de coquille.

Car nous pouvons agir, ici et maintenant, et d’où nous sommes, interconnectés, mieux inter-reliés pour déchirer une à une les pages de l’Agenda21 et nous tenir debout comme des pierres, solides comme des rocs, têtes levées et prêts à impulser la poussée primordiale et non-violente d’un nouveau paradigme côte côte avec tous les Natifs

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Résistance au colonialisme… Ici et maintenant au nom de l’eau contre le grand serpent noir…

https://resistance71.wordpress.com/2016/09/07/resistance-au-colonialisme-ici-et-maintenant-au-nom-de-leau-contre-le-grand-serpent-noir/

“Nous comprenons, comme tous les peuples indigènes, que nous sommes une partie intrinsèque d’un système qui n’est pas au-dessus ou en-dehors ou séparé du monde naturel et de la loi naturelle, nous faisons tous partie d’une mosaïque ou de la toile de la vie.”
~ Russell Means, activiste, philosophe Lakota, 2012 ~

“La Terre est la mêre de tout le monde et tout le monde devrait avoir les mêmes droits en son sein.”
~ Chef Joseph, Nez Percé, 1890 ~

 Confronter le serpent noir

 Terri Miles*  |   31 août 2016  |  url de l’article original en anglais [Traduit de l’anglais par R71] :

http://indiancountrytodaymedianetwork.com/2016/08/31/facing-black-snake

(*) Terri Miles est une femme de la nation Muscogee, Creek, de descendance Seminole (peuple qui a été évincé au XIXème siècle de ses terres ancestrales de Floride). Elle est docteur en justice criminelle (Ph.D in Criminal Justice)

Tout s’ajoute et s’amplifie. A un moment ce printemps dernier, la camp des Pierres Sacrées consistaient en environ une centaine de personnes qui voulaient protéger les eaux. Le camp a reçu son nom des pierres sacrées qui provenaient de ces eaux, mais qui ne sont plus créées parce que le corps du génie de l’armée n’a pas observé et respecté les valeurs indigènes.

Lewis et Clark (NdT: fameux explorateurs qui furent les premiers à atteindre la côte Pacifique au début du XIXème siècle) sont passés par ici le 18 octobre 1804 et Clark écrivit dans son journal de bord “au-dessus de l’embouchure de la rivière, un grand nombre de pierres parfaitement rondes au grain fin se trouvent sur les berges escarpées et le long des rivages.” C’est à cause de ces pierres que les trappeurs français (qui étaient alors les seuls blancs aux alentours) ont appelé la rivière “Le Boulet”, que Clark traduisit par Cannonball (qui est le nom colonial de l’endroit aujourd’hui).

Les concrétions de grès qui ont donné leur nom à la rivière font en général moins de 60cm de diamètre, mais certaines ont été rapportés mesurer plus de 3m. Leur perfection géométrique a une signification spirituelle pour les peuples autochtones de la région, mais cette signification fut perdue avec les machines outils de drainage du corps du génie militaire qui ont perturbé les courants uniques nécessaires pour produire ces pierres sacrées.

Piétiner les croyances autochtones, menacer l’eau potable, tout ceci s’ajoute et s’amplifie, bien plus que ce que les gens ne peuvent tolérer. Tout comme la rivière avait pour habitude de produire les pierres sacrées, les menaces répétées envers la rivière ont produit les protecteurs de l’Eau.

Le nombre réel de protecteurs de l’eau dépend maintenant de quel rapport vous lisez. Ils sont entre 2000 et 4000, mais là encore, les chiffres sont utilisés de façon à mitiger ou du moins à masquer. 65 millions de morts en 500 ans d’invasion coloniale et de génocide ou ne sont-ce qu’1 million ? Toujours là après avoir vécu plus de 45 000 ans sur la terre ou ne seraient-ce que “seulement” 12 000 ans ?

Le calcul moral ne s’améliore pas en se disputant sur les chiffres exacts. Ici et maintenant, à Standing Rock, nous avons des milliardaires du pétrole coincés dans un combat politique avec les gens les plus pauvres de tous les États-Unis. Ce qui est important est ce qui s’est passé et comment cela façonne ce qui se passe maintenant. Il est difficile de savoir ce qu’il va se passer, mais je suis ici pour vous dire que les gens au front ne se soucient guère de calculer les chances. Ils n’ont choisi ni le temps ni l’endroit, mais le temps est maintenant et l’endroit est ici.

Le peuple autochtone est en train de s’unir. Les nations natives sont solidaires des gens de la réserve sioux de Sanding Rock, les Muscogee (Creek), la nation sac et renard et la nation Meskwaki, ainsi que 90 autres nations jusqu’ici. Alliés de tous les horizons. Des camions, des caravanes et des voitures particulières de nourriture, d’équipement de camping et d’eau arrivent chaque jour plus nombreux.

Des autocars entiers d’anciens, d’anciens combattants, d’hommes, de femmes et d’enfants arrivent ainsi que des chevaux et leurs cavaliers, des chanteurs et des tambours. Les enfants ont couru jusqu’à Washington DC avec des messages au président qui a promis son aide.

Ceux qui ne peuvent pas voyager lèvent des fonds et manifestent localement. Des gens qui ont inspiré les peuples autochtones, se sont battus et ont écrit au sujet des problèmes rencontrés par les indigènes dans leurs communautés sont au camp: Billy Mills, Winona LaDuke, Dennis Banks. Des messages sur Facebook, sur les blogs, les médias autochtones et Twitter remplissent le vide du silence laissé par un public qui ne sait pas ce qui se passe.

Le géant de l’énergie canadien Enbridge Inc et le gouverneur de l’état du Dakota du Nord, Jack Dalrymple, sont gravement compromis.

Ils ont réussi à ce que le corps du génie militaire coupe les angles et ignore les recommandations de l’Environmental Protection Agency (EPA) et le Conseil de Préservation Historique. Le nom fut changé en celui de Dakota Access Pipeline. Cela n’aurait-il pas dû troubler également ?

Ce n’est plus appelé le Keystone XL Pipeline. Il ne traverse plus la frontière internationale (entre le Canada et les USA) et il est construit par segments séparés (NdT: mais si facilement connectables…) Que peut-on faire de plus pour forcer le passage de ce serpent noir ? Ils ont essayé d’utiliser la police. Ils l’ont envoyé arrêter des hommes et des femmes se dressant contre l’entreprise privée.

Ceci n’a fait que déclencher la colère et commencé la vague de soutien pour les protecteurs de l’eau. Comment cela ne se pourrait-il pas ? Comment peut-on regarder les vidéos des arrestations et ne pas sentir qu’on doit faire quelque chose ?

Pour moi, ce fut de voir une personne s’écarter en marchant et être jetée à terre par la police. J’ai regardé cette scène encore et encore. Regardé cette personne tomber à plat sur le sol avec le flic sur elle.

Çà fait mal, çà fait mal à la personne, çà fait mal à ceux qui ont regardé… et peut-être aussi cela a fait mal au policier à qui on a ordonné de le faire. Il y a eu des rapports de policiers quittant les lieux, refusant d’entrer et montrant des signes de respect envers les protecteurs des eaux.

Les gens continuent d’être ce qu’ils sont. Ils offrent de l’eau aux policiers. Les ouvriers et les policiers se sont retranchés vers un barrage plus au nord. Peut-être que les autorités ont compris que leurs tactiques ne vont faire qu’attirer toujours plus de soutien aux protecteurs des eaux et attirer toujours plus les feux de la rampe sur cette affaire.

Ils ont empêché quiconque d’aller vers le sud le long de la route 1806. Ils n’ont pas sourcillé lorsque je suis passée au travers me dirigeant vers le nord, partant dans une voiture vide, les filmant.

Ma vidéo favorite est celle qui montre les cavaliers de la Grande Nation Sioux allant à la rencontre de la police à cheval. Cette photo a fait la une du New York Times, J’espère que quelqu’un en fera un poster, quelque chose que les gens pourront accrocher à leur mur pour le regarder quotidiennement et qui leur apportera du bonheur une fois tout cela fini, alors que nous attendrons la prochaine fois.

Une entreprise transnationale ici, un gouvernement d’état là-bas, tout cela s’ajoute et s’amplifie. Nous aurons besoin de toujours plus de personnes pour mettre leurs corps sur la route du serpent noir jusqu’à se qu’il rampe là où il vient: des bureaux feutrés des entreprises où il est né et pour qu’il rapporte à ses maîtres que nous sommes toujours là et que nous sommes toujours puissants.

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Et pour que tout s’ajoute et s’amplifie, ici et maintenant, et d’où-nous sommes ;

Devenons, tous, des passeurs d’idées et des lanceurs d’alertes ;

Ouvrons-là et refusons la « Guerre perpétuelle » qu’on nous impose comme seul et unique mode de vie civilisationnel alors que c’est le 0.00001% qui a créé ce monde eugéniste, raciste, mercantile, obscène et mortifère, grâce aux larbins des larbins que sont les pouvoirs politiques et leurs représentants tel Caramel 1er dit François le Mou…

Nous sommes de plus en plus nombreux à nous « Réveiller » ;

Grâce à Thierry92 commentateur sur le site Les Moutons Enragés nous avons pu le constater en lisant ce texte, traduit en français par Nicolas Casaux pour le site partage-le.com ;

Url de l’article en française = http://partage-le.com/2016/07/loptimisme-et-lapocalypse-par-sebastien-carew-reid/

Url de l’article original en anglais = http://dgrnewsservice.org/civilization/alienation/optimism-and-the-apocalypse/

Comment nos mécanismes de défenses cognitives nous condamnent

La plupart des personnes rationnelles ayant un minimum de connaissance scientifiques admettent que la situation est dramatique. Du changement climatique à l’extinction de masse des espèces, de l’élevage industriel aux violations des droits humains, les symptômes devraient être manifestes aux yeux de ceux qui sont assez courageux pour les garder ouverts. La plupart reconnaissent aussi que quelques décennies de plus de « business-as-usual » nous condamneraient à un futur apocalyptique.

Étant donné notre répulsion commune pour la peine, la misère et la mort – et à juste titre – ces réalisations devraient nous fournir suffisamment de motivation pour que nous mettions un terme immédiat et permanent à cette course au chaos. Malheureusement, ce n’est manifestement pas le cas. Et non seulement nos mouvements écologistes actuels échouent-ils à empêcher l’accélération de la vitesse de la destruction, mais en examinant les choses de plus près, il est clair que le business-as-usual continue tranquillement. Que se passe-t-il donc ? Nous avons les faits, des montagnes de preuves scientifiques avérées et de puissants outils de raison à notre disposition – mettre en place une stratégie efficace et permanente de sauvetage de la planète devrait être la partie facile.

Notre premier problème est que la majorité de nos solutions et stratégies actuelles ne s’attaquent pas ni ne reconnaissent la cause radicale de nos problèmes – la civilisation industrielle. N’ayant pas pour cible la cause profonde du problème, tous ces efforts sont manifestement voués à l’échec, ou, au mieux, du palliatif (des solutions de fortunes, temporaires).

Notre second problème c’est que notre incapacité perpétuelle à reconnaitre et à mettre en place la seule solution réaliste que nous ayons ne relève ni de la raison ni de la logique, et est profondément ancrée dans la partie animale de nos cerveaux. Nous sommes, après tout, des créatures biologiques faillibles, esclaves des processus de sélection naturelle à l’origine de nos comportements de survie au fur et à mesure de millions d’années. Ainsi, les mécanismes intriqués de protection ou d’auto-illusionnement sont à blâmer. Le fait que notre mode de vie requiert des morts et une destruction systématique – et pour cette raison, qu’il doive être démantelé – est simplement trop lourd à gérer, et les hormones de stress déclenchent alors une réponse biologique fondamentale visant à restaurer la tranquillité mentale à tout prix. Conséquence ? Nous nous accrochons aux faux espoirs rassurants selon lesquels les technologies « vertes », les changements dans nos habitudes de consommateurs, ou le bon parti politique nous sauveront un jour, d’une façon ou d’une autre.

L’écrivain et activiste écologique Derrick Jensen compare cette aversion profonde envers la vie sans la civilisation industrielle aux symptômes de l’addiction. « Nous sommes devenus si dépendants de ce système qui nous tue et nous exploite qu’il nous est presque impossible d’imaginer vivre sans lui… une des principales raisons pour lesquelles tant d’entre nous ne veulent pas gagner cette guerre – ou même reconnaitre qu’elle est en cours – est que nous tirons matériellement profits de ses pillages. Je ne sais vraiment pas combien d’entre nous seraient prêts à abandonner les automobiles, les téléphones portables, les douches chaudes, les lumières électriques, les supermarchés et les magasins de vêtements. Mais la réalité c’est que le système qui permet ces choses, qui nous offre ces avancées technologiques et notre identité de civilisés, nous tue, et plus important, tue la planète ».

Affronter ces réalités est profondément traumatisant et déstabilisant. Des études fMRI (IRM fonctionnelle) ont montré que ce genre de détresse cognitive active les mêmes aires du cerveau que les violences physiques : le cortex insulaire et le cortex cingulaire antérieur. Dans une étude, ces zones étaient activées lorsque les gens faisaient l’expérience d’un rejet social de leurs pairs. Dans une autre étude, ces mêmes zones étaient activées chez les gens qui observaient une photographie de leur ex-partenaire amoureux, dont ils étaient récemment séparés. Des chercheurs, en Italie, ont remarqué qu’observer la détresse sociale d’un autre individu activait des réponses douloureuses similaires à travers l’empathie.

Il va sans dire que notre aversion innée pour la douleur sous toutes ses formes alimentera des efforts héroïques pour la minimiser. Mais afin d’éviter l’angoisse psychologique dans un monde où les réalités déplaisantes sont omniprésentes, nous passerons inévitablement une grande partie de notre temps à censurer énergiquement et à altérer les informations que nous rencontrerons. Dès que nous avons l’impression que notre perception du monde et nos croyances sont menacées, notre « système immunitaire » mental se met en route et tente de restaurer un certain confort cognitif en changeant les faits et en biaisant la logique, nous garantissant ainsi une certaine tranquillité mentale, mais à un coût immense.

Robert Trivers, théoricien de l’évolution et professeur à Harvard, s’intéresse à la science de ces mécanismes de défense profondément ancrés, dans son livre Deceit and Self-Deception (Tromperie et Auto-Illusionnement, en français), et souligne « qu’il s’agit de bien plus que d’une simple erreur de calcul, d’une erreur de sous-échantillonnage, ou de systèmes valides de logique qui tournent mal de temps à autre. Il s’agit d’auto-illusionnement, c’est-à-dire d’une série de procédures de biais qui affectent tous les aspects de l’acquisition d’information et de l’analyse. Il s’agit d’une déformation systématique de la vérité à chaque étape du processus psychologique ». En d’autres termes : nous manipulons la vérité afin de réduire notre responsabilité personnelle et de rationaliser l’inaction, condamnant ainsi nos réponses pour qu’elles demeurent inappropriées et ineffectives. Trivers souligne que « le système immunitaire psychologique ne cherche pas à réparer ce qui nous rend malheureux mais à le contextualiser, à le rationaliser, à le minimiser, et à mentir à ce sujet… L’auto-illusionnement nous piège dans le système, nous offrant au mieux des gains temporaires tandis que nous échouons à régler les vrais problèmes. »

Lorsque nous sommes confrontés au problème bien réel de l’effondrement écologique que notre culture entraîne, une grande quantité d’auto-illusionnement et de déni est nécessaire afin de justifier l’inaction et simultanément de préserver une image de soi qui soit éthiquement bonne. Dans ces situations, nous sommes victimes de ce processus trompeur amplement documenté qu’est le biais de confirmation : notre tendance à interpréter toute information nouvelle comme validant nos croyances et théories préexistantes. Des chercheurs de l’université d’état du Michigan et de Géorgie ont par exemple remarqué que lorsque des gens qui croient des choses en raison d’informations erronées sont confrontés aux faits corrigés, ils changent non seulement rarement d’avis, mais ont en plus tendance à être encore plus certains de leurs opinions erronées.

Nous n’avons pas à beaucoup chercher pour apercevoir des exemples de cela. A chaque fois que vous rencontrez quelqu’un qui fume une cigarette, vous observez en temps réel des mécanismes actifs d’auto-illusionnement. Il est simplement impossible d’apprécier une activité tout en étant conscient des dommages graves qu’elle cause à votre corps, la décision de continuer à fumer doit être rationalisée à l’aide des justifications délirantes que nous connaissons tous : « je suis juste un fumeur social », « j’arrêterai avant qu’il soit trop tard », « ces choses ne m’arriveront pas ». Les mêmes justifications délirantes sont observées chez les négationnistes du changement climatique, chez les défenseurs des technologies « vertes », et chez tous ceux qui s’accrochent à l’espoir que la civilisation industrielle soit en quelque sorte bonifiable afin d’éviter d’avoir à abandonner leurs modes de vie sanglants mais confortables.

Si nous voulons avoir la moindre chance de sauver le peu qu’il reste du monde naturel, nous devrons mettre nos égos et notre optimisme aveuglant de côté, prendre nos responsabilités, et agir en basant nos actions sur la réalité. Comme l’écrit Derrick Jensen : « lorsque nous cessons d’espérer une assistance extérieure, lorsque nous cessons d’espérer que l’horrible situation dans laquelle nous sommes se résolve d’elle-même, lorsque nous cessons d’espérer que d’une façon ou d’une autre la situation n’empire pas, alors nous sommes enfin libres — vraiment libres — de commencer à réellement la résoudre. Je dirais que lorsque l’espoir meurt, l’action commence. »

Nous devons réaliser que la peine et la colère sont des émotions normales lorsqu’une chose que nous aimons est menacée ou détruite. Ces émotions tentent de nous parler. Nous devons cesser de les enfouir sous le déni et commencer à les écouter, parce qu’elles nous crient qu’une limite a été franchie. Elles nous montrent les limites de ce qui est éthiquement acceptable en ce qui concerne les actions d’une seule espèce sur la planète entière. Elles exposent les chemins que nos cœurs souhaitent arpenter, et là où des actions sont nécessaires pour acquérir une véritable sérénité mentale. Nous avons besoin de ces émotions, elles alimentent nos motivations, notre volonté de ne jamais abandonner la lutte pour ce que nous aimons, de ne jamais cesser de combattre pour ce qui est juste.

Nous avons la solution, nous devons simplement nous mettre à l’œuvre.

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Additionnons nos forces pour qu’elles s’amplifient ;

Et en « dépossession volontaire » pour un futur simple et bien plus proche de nous alors que les Zélites s’efforcent de nous faire croire le contraire…

Affinons notre réflexion aussi loin que possible grâce aux actions réussies passées et corrigeons les erreurs pour amplifier l’avenir ;

Ici et , encore et ici

Additionnons-nous pour nous multiplier et amplifier le mouvement et rompre le cycle mortifère et prendre la tangente

N’attendons rien d’eux ; Ni « Wait » ; Ni See » !

Juste nous debout comme des pierres, ici et maintenant…

JBL1960

Source de l’image = babelio.com

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