DONALD NE TRUMP PERSONNE…

KILLARY NON PLUS REMARQUES !

Pourtant il avait parfaitement raison sur ce coup là ;

« Oui, Obama et Clinton ont crée Daech »

Tout le monde connait la connexion Oblabla/Killary/Daesh ;

Mais chuuuttt !

Comment ça chut ? Ah non ! Ouvrons-la justement, tous !

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Mondialisation-ca | 27 août 2016 | url de l’article = http://www.mondialisation.ca/oui-obama-et-clinton-ont-cree-daech-dommage-que-trump-soit-incapable-dexpliquer-comment/5542857

Oui, Obama et Clinton ont crée Daech – dommage que Trump soit incapable d’expliquer comment.

Par Glen Ford | le 17 août 2016 | Source : Black Agenda Report

C’est un fait historique que le États-Unis et l’Arabie Saoudite ont créé, il y a près de quarante ans, le réseau djihadiste international duquel Al-Qaïda et Daech ont jailli. […] Soyons clairs sur un point : ce ne sont pas les États-Unis qui ont rejeté la secte macabre djihadiste qui est devenue Daech ; c’est Daech qui s’est dissocié des Etats-Unis et leurs alliés européens et royaux.

Donald Trump a fait marche arrière – en quelque sorte – sur son affirmation que le président Obama et Hillary Clinton étaient les « fondateurs » de Daech, ou les « joueurs les plus précieux » de l’équipe Daesh. « Évidemment, je suis sarcastique, » a dit le soi-disant avocat des  « USA avant tout » – en ajoutant aussitôt « mais pour être honnête, pas tant que ça ».

Trump ne peut pas formuler ou saisir toute la vérité horrible contenue dans sa déclaration initiale parce que cela exigerait de prononcer un acte d’accusation beaucoup plus fondamental de la politique américaine impériale dans le monde musulman depuis la fin de 1979, lorsque Zbigniew Brzezinski a convaincu le président Jimmy Carter de lâcher les chiens djihadistes en Afghanistan. Comme indiqué dans ses mémoires From the Shadow, Brzezinski a conseillé Carter d’aider la résistance musulmane de droite contre le gouvernement laïque de gauche en Afghanistan afin de « provoquer une intervention militaire soviétique » et entraîner l’URSS dans un bourbier de type Vietnamien. Brzezinski voyait les soi-disant Moudjahidin comme des fantassins potentiels de la politique globale des Etats-Unis. « Qu’est-ce qui est le plus important pour l’histoire du monde ? Les Talibans ou la chute de l’Empire soviétique ? Quelques musulmans agités ou la libération de l’Europe centrale et la fin de la Guerre Froide ? » demanda Brzezinski, de façon rhétorique, quelques décennies plus tard.

Zbigniew Brzezinski en discussion avec Oussama Ben Laden [NdJBL = Zbig c’est celui-là !]

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Ayant suivi les conseils de Brzezinski, le président Carter peut à raison être décrit comme un « père fondateur » d’Al-Qaïda, avec son camarade et autre « joueur le plus précieux », Ronald Reagan, dont la CIA en partenariat avec l’Arabie Saoudite dépensèrent des milliards pour attirer des musulmans du monde entier dans la guerre en Afghanistan. Ensemble, les États-Unis et les Saoudiens ont donné naissance au mouvement djihadiste islamique internationale – un phénomène qui n’avait jamais existé auparavant dans l’histoire du monde. Les djihadistes allaient devenir une arme essentielle dans l’arsenal impérial US, un outil horrible pour accomplir des changements de régime dans le monde musulman et qui sert également à justifier, depuis la disparition de l’épouvantail soviétique, la quête sans fin des États-Unis d’une domination mondiale,.

« En 2011, Obama a lancé la Mère de toutes les guerres par procuration. »

Brzezinski est devenu le gourou de la politique étrangère de Barack Obama, avec des conséquences qui auraient dû être prévisibles pour la politique US au Moyen-Orient, mais ont été largement ignorés par les libéraux et les soi-disant progressistes dans leur euphorie à virer George W. Bush.

De toute évidence, l’opinion publique états-unienne n’allait pas tolérer une nouvelle intervention massive directe de troupes dans la région. Ce n’était plus une option. Mais quelle force, alors, était disponible pour mettre en œuvre l’ordre du jour toujours inachevé de Washington de conquérir cette partie du monde ? En 2011, Obama lança la Mère de toutes les guerres par procuration, d’abord contre le gouvernement de Mouammar Kadhafi en Libye, pour ensuite mobiliser rapidement la totalité du réseau jihadiste international qui avait été créé de toutes pièces sous Carter et Reagan près de 30 ans auparavant. Washington et ses partenaires de l’OTAN dans l’agression contre la Libye, en étroit concert avec l’Arabie Saoudite, le Qatar et les Émirats arabes unis, ont transformé la Syrie en un chaudron de la mort, en canalisant des milliards de dollars d’armes à des centaines de salafistes et de milices ouvertement mercenaires avec, à leur centre, Al-Nosra, l’affiliée régionale d’Al-Qaida. C’est l’idée d’Obama d’une guerre « intelligente » : une offensive terroriste frénétique drapée dans le mensonge et la manipulation.

La politique étrangère criminelle menée par Obama et la secrétaire d’Etat US Hillary Clinton est enracinée dans la même vision arrogante du monde formulée par Brzezinski lorsqu’il raillait tous ceux qui s’inquiétaient d’éventuels retours de manivelle qui pourraient résulter d’un déploiement de « musulmans agités » comme autant de fantassins de l’impérialisme. Tandis que les États-Unis et leurs alliés se livraient littéralement concurrence pour inonder la Syrie avec des armes, des fonds, des ressources en renseignement et une couverture médiatique et diplomatique pour faire tomber le gouvernement de Damas, ils ont collectivement créé à la fois une base matérielle et un espace politique pour les djihadistes pour poursuivre leurs propres objectifs idéologiques. Daesh a émergé pour établir son propre califat en Syrie et en Irak. Personne ne devrait feindre la surprise.

C’est l’idée d’Obama d’une guerre « intelligente » : une offensive terroriste frénétique drapée dans le mensonge et la manipulation.

En Juillet 2014, nous avons décrit la montée de Daesh en signalant « l’effondrement final de la stratégie impérialiste des États-Unis dans le monde musulman – certainement, dans les régions arabes de l’Islam ». Nous avons écrit :

« Pensez-y comme une déclaration d’indépendance salafiste … des monarchies arabes et des agences de renseignement occidentales qui ont nourri le réseau djihadiste international depuis près de deux générations. Le Califat menace non seulement ses adversaires immédiats des gouvernements dominés par des Chiites en Syrie et en Irak, mais aussi les potentats des Emirats arabes, du Qatar, du Koweït ainsi que la Mère de Toute la Corruption Monarchiste du Monde Sunnite, la famille royale saoudienne. La menace est pas virtuelle, mais réelle, contre « tous les émirats, groupes, États et organisations » qui ne reconnaissent pas Daech comme la nouvelle incarnation de l’islam en guerre. »

Daech n’existait pas lorsque le président Obama a pris ses fonctions et nommé Hillary Clinton au Département d’État. Son changement de régime en Libye (qui est aussi celui de Hillary) et son pivot terroriste massif en Syrie ont « créé » Daech. Soyons clairs sur un point : ce ne sont pas les États-Unis qui ont rejeté la secte macabre djihadiste qui est devenue Daech ; c’est Daech qui s’est dissocié des États-Unis et leurs alliés européens et royaux. Il a fallu l’intervention russe en Syrie en septembre dernier pour pousser Washington à effectuer des raids aériens plus que symboliques contre Daesh. Avant, les Etats-Unis voulaient éviter de tuer trop de combattants de Daesh dans l’espoir qu’il en resterait suffisamment pour rejoindre les troupes jihadistes approuvés par les États-Unis lorsque cela commencerait à sentir le roussi pour Daech. (Al-Nosra a changé de nom et s’est dissocié d’Al-Qaïda – avec la bénédiction de la direction d’Al-Qaïda au Pakistan – afin de mieux se fondre dans les feuilles de paie des autres troupes djihadistes de l’Occident.)

« Le renseignement militaire US a clairement prévu la montée imminente de Daesh, »

Nul besoin de croire Donald Trump sur parole lorsqu’il dit qu’Obama et Clinton ont été « les joueurs les plus précieux » de Daech. Le service de renseignement de l’armée US (DIA) était arrivé à la même conclusion, dès 2012. Le rapport des barbouzes militaires, déclassifié l’année dernière, montre que le DIA avait averti que « les pays occidentaux, du Golfe et la Turquie [qui] soutiennent l’opposition [syrienne] » croient « à la possibilité d’établir une principauté salafiste déclarée ou non dans l’est de la Syrie (Hasaka et Der Zor), ce qui est exactement ce que les puissances qui soutiennent l’opposition veulent, afin d’isoler le régime syrien. »

Le DIA était alarmé que

« … La détérioration de la situation a des conséquences désastreuses en Irak et ce sont les suivantes :

« Une situation idéale est créée pour AQI [Al-Qaïda en Irak, devenu Daech] pour retourner à ses anciens bastions à Mossoul et Ramadi, et fournira un élan renouvelé en vertu de la présomption d’unification du djihad parmi les sunnites en Irak et Syrie, et le reste des Sunnites du monde arabe contre ce qu’ils considèrent comme leurs ennemis, les dissidents [c’est-à-dire les musulmans chiites]. AQI pourrait également déclarer un État islamique par son union avec d’autres organisations terroristes en Irak et en Syrie, ce qui poserait un grave à l’unification de l’Irak et la protection de son territoire ».

Ainsi, un an après qu’Obama et ses amis européens et arabes aient renversé Kadhafi et déplacé leur guerre par procuration de changement de régime vers la Syrie, le renseignement militaire US a clairement vu la montée imminente de Daech – et que « c’est exactement » ce que « l’Occident, les pays du Golfe et la Turquie … veulent, pour isoler le régime syrien »,

Oui, Obama a créé Daech, avec l’aide enthousiaste de Hillary Clinton, et il soutient encore al-Nosra, l’ex-filiale d’Al-Qaïda, qui a vu le jour grâce à Jimmy Carter et Zbigniew Brzezinski. Au fil du temps, les jihadistes sont devenus indispensables à la politique impérialiste des Etats-Unis, mais surtout depuis la défaite de George W. Bush en Irak, qui a rendue l’opinion publique états-unienne réticente aux guerres « stupides » – ce qui, dans le jargon d’Obama, signifie des guerres dans lesquelles un grand nombre de soldats US meurent. Les guerres par procuration sont idéales – « intelligentes », parce que seuls meurent les Arabes et les Africains et tous ceux dont les états-uniens n’ont jamais entendu parler. La Libye n’était même pas une guerre, selon Obama, car aucun soldat US n’y a péri.

« Les djihadistes sont devenus indispensables à la politique impérialiste des Etats-Unis.  »

La vérité sur Daech et l’administration Obama est tellement évidente que même Donald Trump a une vague idée de ce qui s’est passé en Syrie et en Libye. Mais l’enfant-gâté blanc nationaliste milliardaire de Queens est incapable de placer la connexion Obama / Clinton / Daech dans le contexte historique de la politique impérialiste des États-Unis. Malheureusement, la plupart des « libéraux » et beaucoup trop de « progressistes » (y compris les noirs) sont atteints de la même maladie que Trump : le chauvinisme impérial extrême – qui est pratiquement inséparable du suprématisme blanc. Le chauvinisme impérial extrême permet aux États-uniens d’envoyer à la Maison Blanche des personnes qui méritent d’être envoyés à la potence ou devant un peloton d’exécution (après un procès, bien sûr). Il permet aux États-uniens qui se disent « de gauche » de reculer d’horreur devant Donald Trump (qui, à notre connaissance, n’a tué personne, et qui dit qu’il ne se livrerait à aucun changement de régime s’il était Président), tout en votant pour une femme dont la carrière est couverte du sang de centaines de milliers de personnes au Moyen-Orient et dans la corne de l’Afrique, et dont le mari a mis en branle un génocide qui a coûté la vie à six millions de personnes en République Démocratique du Congo.

Un candidat, Trump, ressemble plus au feu gouverneur de l’Alabama, George Wallace, qui prônait la négociation en matière de politique étrangère. L’autre, Clinton, est une maniaque génocidaire, dont les crimes en tant que Présidente seront à l’échelle hitlérienne. [1 point Godwin – NdT]

Plus effrayant que Clinton ou Trump est l’absence d’aversion viscérale des États-uniens pour le génocide (des peuples non blancs). A moins d’être vert ou d’une nuance de rouge, le génocide n’est même pas un enjeu électoral.

Glen Ford

Traduction par VD pour le Grand Soir

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Donc, pour Oblabla il n’y a pas eu de guerre en Lybie en 2011 tout simplement parce qu’il n’y a eu aucun soldat mort US !

O soldat mort ; C’est pas une guerre, y’a pas de guerre…

=*=

Plus effrayant que Clinton ou Trump est l’absence d’aversion viscérale des États-uniens pour le génocide (des peuples non blancs). A moins d’être vert ou d’une nuance de rouge, le génocide n’est même pas un enjeu électoral.

C’est effrayant, certes, mais tout à fait logique car la « civilisation américaine » porte en elle la genèse d’un crime contre l’humanité par le génocide du monde non-chrétien

« …pour envahir, traquer, capturer, vaincre et subjuguer tous les Sarrasins, païens et autres ennemis du Christ où qu’ils soient et de réduire leur personnes en esclavage perpétuel… »

Extrait de la Bulle Pontificale Romanus Pontifex, autorisant la conquête et le génocide  du monde non-chétien (1455)

Texte des Bulles en question = https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/01/29/les-bulles-de-la-discorde/

Et ici comme nous savons pourquoi le « génocide » n’est surtout pas un enjeu électoral ;

Page 13 et 14 de la traduction partielle en français faite par Résistance71 de « Murder By Decree » le contre-rapport de la Commission Vérité & Réconciliation dont la version PDF est disponible ici sous l’intitulé MEURTRE PAR DÉCRET – Le crime du génocide au Canada

Le problème de l’intentionnalité et le cas exceptionnel de crime de groupe

 Le gouvernement canadien et les églises, comme toutes les parties prenantes prises au piège de leur propre crime, ont fait confiance au vide juridique inséré dans la section 2 de la convention sur le génocide de l’ONU qui stipule que le génocide est l’intention de commettre le crime, pas le crime lui-même. Ce vide a permis à des régimes coupables de génocide, d’échapper aux poursuites en justice, ceci inclut le Canada, car il est presque impossible de découvrir une intention spécifique derrière tout un barrage d’actions historiques commises par un état.

 […] Ainsi, la définition originale de Michael Lemkin du génocide ne faisait aucune mention de “l’intentionnalité” en regard du crime. Pour lui, l’intention n’était pas le facteur, le génocide était simplement une action, “la destruction d’un groupe” et cet acte de destruction en lui-même démontrait et impliquait l’intention de commettre un crime simplement parce que bien des personnes y participaient de manière consistance avec un résultat meurtrier évident.

[…] A la fois les gouvernements canadien et américain travaillèrent d’arrache-pied pour faire réviser la définition originale de Lemkin afin de se protéger eux-mêmes de toute inculpation quant à leurs propres crimes de guerre domestiques. Ils accomplirent cela principalement en insérant la phrase suivante dans la version écrite de la définition du génocide:

“Le génocide veut dire l’intention de détruire en totalité ou en partie, tout groupe national, ethnique, racial ou religieux…”

Bref, le génocide fut retranscrit comme étant non pas une action, mais une intention une position absurde tout autant que légalement insupportable, que d’affirmer que lorsqu’un homme tue quelqu’un puis le vole, le crime n’a pas été le meurtre en lui-même mais l’intention de l’homme de tuer. Cette redéfinition auto-gratifiante fut adoptée dans la mouture finale de la Convention sur le Crime de Génocide de l’ONU en 1948. Depuis ce temps, les gouvernements et les églises impliqués dans l’acte de génocide se sont lourdement reposés sur cette “pirouette légale intentionnelle” comme barrière de sécurité contre leur propre mise en accusation, spécifiquement en Amérique du Nord (Canada, États-Unis, Mexique).

[…] Faisant écho du précédent établi au procès de Nuremberg, il n’est pas aujourd’hui nécessaire de prouver l’intentionnalité derrière le génocide canadien, car de par sa nature même, un tel crime a pour intention d’éliminer un peuple indigène non-assimilable. Ce crime n’a pas émergé d’actes isolés perpétrés par des individus esseulés (NdT: des “moutons noirs” du système), mais bien plutôt de programmes bien planifiés et de leurs idéologies sous-jacentes qui sont basiques au Canada chrétien. De fait, quelque crime de groupes que ce soit prouve sa propre intentionnalité et peut, doit être poursuivi en justice sur cette base.

=*=

C’est la clef contre l’empire… Le retour à la terre. Priver l’empire de son territoire usurpé au gré de la loi canonique raciste et destructrice, c’est le rendre impuissant. Retirer le territoire à un empire, c’est l’effondrer sans espoir de retour.

Les Amérindiens ont ce pouvoir légal et nous devons les soutenir. Là est la clef du succès, nous l’avons dit et le répèterons sans cesse. A cet effet, la résurgence indigène est en train de prendre actuellement une autre dimension…

— Résistance 71 —

Nous pouvons ici et maintenant, interconnectés, main dans la main avec les Natifs du Monde, nous, les colons repentis de la Terre, les occidentaux affranchis de l’idéologie coloniale initier un nouveau paradigme et pour le moins impulser, de notre vivant, la poussée primordiale…

Après Steven Newcomb  ; La source biblique du colonialisme occidental… Par Steven Newcomb

Mohawk Nation News appelle tout le monde à se tenir « Debout comme une pierre » (traduction & publication R71)

Tout le monde se tient debout comme une pierre à Standing rock. La création nous rappelle de notre instruction originelle en tant qu’êtres humains lorsque nous fûmes placés ici. Nos instructions sont de survivre et de co-exister avec la Nature en tant que frères et sœurs sur notre terre-mère. Nous nous dressons ensemble où que ce soit dans le monde contre l’entreprise, qui n’est pas humaine et qui a plus de droits que les êtres humains et le monde naturel !

En 1917, lorsque le peuple de Russie en a eu assez et s’est dressé en protestation contre l’entreprise, le tsar Nicolas II envoya la police pour attaquer le peuple. Après quelques mois, la police a dit “Nous faisons partie du peuple” et elle le rejoignit, puis l’armée rejoignit également le peuple et ils tuèrent le tsar (entreprise corporatiste)

Le peuple se dresse fortement à Standing Rock, La police l’affame, stoppant les apports en ravitaillement de nourriture, d’eau, de nécessités de base et menace notre liberté. Le temps viendra où la police réalisera qu’elle fait partie du peuple, cela signalera la fin de l’entreprise coloniale corporatrice et nous retrouverons la paix ici sur l’Île de la Grande Tortue.

Thahoketoteh chante au sujet de la rébellion: “I speak to you now, proud and brave, remembering the lessons my ancestor gave. About acknowledgement and respect, and the four races as they intersect. … Power to the people, real people. Power to the people, all people. Power to the people, onkwe’hon:weh”.

Disons leur ce que nous pensons :

Energy East Pipeline Ltd. [EEPL] and Energy East Pipeline Ltd. [EEPL]; 517 Tenth Avenue SW, Calgary, Alberta, T2R 0A8;

National Energy Board, Marc-Andre Plouffe, Montreal Office, 505 De Maisonneuve Blvd., West, Suite 230, Montreal, Québec H3A 3C2;

Montreal Mayor Denis Coderre, City Hall, 275 Notre Dame St. E., Montreal QC H2Y 1C8, 514-872-3101 Fax 514-872-4059; Hon. Justin Trudeau,

Prime minister, Parliament of Canada
Ottawa, Ontario K1A 0A9 [email]; Carolyn Bennett,

Minister Aboriginal Affairs and Northern Development Canada,
10 Wellington, Ottawa, Ontario
K1A 0H4 [email]; Governor General, Rideau Hall, 1 Sussex Drive, Ottawa, Ontario K1A 0A1 [email]; Queen Elizabeth, Buckingham Palace +44 303 123 7300;

Band & Tribal Councils and sell-outs that are cooperating with pipeline companies;

ENERGY TRANSFER PARTNERS OF HOUSTON http://energytransfer.com/contact_us.aspx

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Dans les mots de Zénon, j’écris mon nom !

Nos vies ne doivent plus jamais entrer dans leurs urnes…

Tout simplement debout comme une pierre, fort comme un roc…

Une réflexion sur « DONALD NE TRUMP PERSONNE… »

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