C’est non, nein, no, nee, na, não, pù shi…

En Zoulou même ; cha !

Ou en Mohawk si vous préférez : Iáhten…

C’est assez clair comme ça ou il faut que je développe ?

Bon alors, je développe de toutes façons ;

On est quelques uns à surveiller le Dragon Chinois et tant il souffle le chaud et le froid partout dans le monde depuis plusieurs décennies…

Avec stupeur nous avons constaté l’ombre chinoise en Colombie Britannique dans les disparitions de familles entières autochtones ici et

Mais également l’emprise du Levant jusque dans les OGM ici et

Thierry Meyssan vient de publier un article très intéressant sur Voltaire.net intitulé « La Chine et la Syrie » que Résistance71 préambule de façon fort judicieuse en posant la question ; « Guerre Impérialiste en Syrie ; La nouvelle donne chinoise ? Qu’en penser ? »

Et c’est une putain de bonne question que nous, les gens ordinaires, devons nous poser

Guerre impérialiste en Syrie : La nouvelle donne chinoise ?…

Qu’en penser ?…

Présentation et information très intéressantes de Thierry Meyssan sur la nouvelle donne moyen-orientale avec la Chine entrant potentiellement dans la danse en Syrie.

Le postulat de Meyssan est que la Chine entre du côté des “bons” contre les forces de l‘empire hégémonique et belliqueux anglo-américain et son armée mercenaire pseudo-djihadiste Gladio 2.0. On peut voir la logique si on se base sur le postulat que la Chine lutte contre l’empire anglo-américain…

Sous un autre angle, on peut se demander si c’est bien le cas. En effet, la création à Shanghaï de la Banque Asiatique pour l’Investissement en Infrastructure, la BAII représente plus une coopération avec la haute finance occidentale prédatrice et mortifère, les investissements de la Chine dans des terres étrangères, dans le rachat ar son entreprise d’état China Chem du géant des OGM suisse (et britannique) Syngenta, font que l’on pourrait au contraire penser que la Chine fasse de facto partie du projet de Nouvel Ordre Mondial…

Alors la question demeure: A quel jeu joue vraiment la Chine ? Tous les doutes sont permis et il convient de poser les bonnes questions, celles qui blessent parfois… Comme celles-ci par exemple: Comment Mao est-il arrivé au pouvoir ? Quel fut le rôle de la haute finance anglo-saxonne dans l’avènement du capitalisme d’état chinois passé et actuel ? Y a t’il convergence d’intérêts entre l’élite de la haute-finance occidentale et les pontes de la nomenklatura chinoise dont les familles contrôlent l’économie du pays ?

~ Résistance 71 ~

https://resistance71.wordpress.com/2016/08/31/guerre-imperialiste-en-syrie-la-nouvelle-donne-chinoise-quen-penser/

 La Chine et la Syrie

Thierry Meyssan  |   30 août 2016  |   url de l’article original :  http://www.voltairenet.org/article193078.html

 Bien que l’on ignore ce qui a été véritablement convenu entre les armées chinoise et syrienne, l’existence d’un accord entre elles modifie à la fois le champ de bataille et l’équilibre des relations internationales. Alors que les services secrets anglo-saxons ont diffusé l’année dernière des intoxications farfelues sur ce même sujet, Thierry Meyssan établit le point des enjeux.

Bien que la visite en Syrie de l’amiral Guan Youfei (le responsable du nouveau département de la coopération militaire internationale chinoise) se soit située dans le cadre d’une prise de contact avec l’ensemble des pays de la région, elle a suscité l’inquiétude en Occident. Pour le moment, selon l’accord signé, l’Armée chinoise s’est juste engagée à former en Chine des militaires syriens du service de santé. Cependant, chacun a bien compris que cet accord cache autre chose car cela fait déjà quatre ans qu’une moitié des médecins militaires est formée en Chine. Bien que l’on ignore ce qui a été véritablement décidé, l’existence de cet accord marque un changement stratégique.

En effet, au cours des cinq dernières années, la Chine populaire s’est interdit toute forme de coopération qui puisse être interprétée par Washington comme une aide militaire. Elle a donc non seulement refusé de livrer des armes, mais aussi des matériels civils indispensables durant cette guerre, comme des détecteurs de tunnels.

Indépendamment de la très importante assistance économique de Pékin, chacun se souvient que la Russie avait identiquement conclu un accord avec la Syrie début 2012, préfigurant son assistance militaire trois ans et demi plus tard. La Chine se prépare-t-elle donc à se déployer aussi ?

Il est probable que la réponse dépendra de la rapidité du déploiement états-unien en mer de Chine et des provocations des alliés de Washington dans cette région.

L’intérêt de la Chine pour la Syrie date de l’Antiquité et du Moyen-Âge. La route de la soie traversait l’Asie centrale pour passer par Palmyre et Damas avant de bifurquer vers Tyr et Antioche. Il reste peu de choses de cette lointaine coopération commerciale, sinon la Pagode visible sur les mosaïques de la Mosquée des Omeyyades. Le président Xi a fait de la restauration de cette voie de communication (et de la création d’une seconde à travers la Sibérie et l’Europe) l’objectif principal de son mandat.

L’autre grand intérêt de Pékin est la lutte contre le Parti islamique du Turkestan qui a rejoint al-Qaïda, puis Daesh. Il existe aujourd’hui un quartier ouïghour à Rakka et Daesh édite un journal spécialement pour ses membres.

Les membres de ce groupe se rattachent à l’Ordre des Naqchbandis, une congrégation soufie dont l’ancien Grand mufti de Syrie, Ahmad Kuftaru, fut maître. Des loges de cet ordre se sont rapprochées des Frères musulmans, en 1961, sous l’influence des services secrets anglo-saxons, CIA et MI6. Ils ont participé à la création de la Ligue islamique mondiale par l’Arabie saoudite, en 1962. En Irak, ils se sont organisés autour d’Izzat Ibrahim al-Douri et soutinrent la tentative de coup d’État des Frères musulmans syriens, en 1982. En 2014, ils ont fourni 80 000 combattants à Daesh. En Turquie, les Naqchbandis ont créé la Millî Görüş dont Recep Tayyip Erdoğan était un des responsables. Ce sont eux qui ont, dans les années 90, organisé aussi bien les mouvements islamistes dans le Caucase russe que dans le Xinjiang chinois.

Plus encore que les Russes, les Chinois ont besoin de renseignements sur cette filière et sur la manière dont Washington et Londres la contrôlent. Ils avaient cru à tort, en 2001, que les Anglo-Saxons avaient changé après les attentats du 11-Septembre et qu’ils collaboreraient avec l’Organisation de coopération de Shanghai pour lutter contre le terrorisme. Ils savent aujourd’hui que la Syrie est un authentique ami de la paix.

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Et plus que jamais nous devons nous remémorer le 11/09/2001 pour constater que 15 ans après ; La Vérité n’est toujours pas de mise mais avec l’Empire Zunien et les psychopathes aux manettes c’était prévisible, non ?

Sur Reopen 9/11 en complément de lecture au choix ; ici ou .

Sur Agoravox cet excellent dossier par Taïké Eilée = http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/29-pages-declassifiees-sur-le-11-183075

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Et puisqu’on se pose, à raison, la question sur le Dragon Chinois, ses objectifs avoués et surtout non avoués ou en sous-main, je vous propose de lire la dernière analyse de Pepe Escobar qui rêve tout éveillé de l’inévitable intégration eurasiatique et que traduit et publie Le Saker Francophone ;

Dites bonjour à la coalition ATM

(Ankara-Téhéran-Moscou)

Par Pepe Escobar – Le 26 août 2016 – Source Russia Today

Le président turc Recep Tayyip Erdogan, dit « le sultan », s’apprêterait donc à effectuer une visite de haut niveau à Téhéran (la date n’a pas encore été fixée), essentiellement pour donner le coup d’envoi à la coalition ATM (Ankara-Téhéran-Moscou) en Syrie.

Quiconque aurait osé prédire une secousse tectonique géopolitique d’une telle ampleur il y a à peine quelques semaines aurait été traité de fou furieux. Mais que s’est-il passé pour que l’impossible se produise ?

C’est qu’un revirement stratégique majeur s’est déjà produit quand la Russie s’est mise à bombarder les djihadistes en Syrie à partir d’un aérodrome en Iran, revirement dont les répercussions ont été magistralement mal interprétées par les suspects habituels dans les médias institutionnels étasuniens.

Le premier ministre de la Turquie, Binali Yildirim, a ensuite déclaré ce qui suit samedi dernier à Istanbul : « La priorité absolue pour nous, c’est de mettre fin au bain de sang [en Syrie] le plus tôt possible. Tout le reste ne constitue que des “détailssans importance. »

La Russie peut-elle faire confiance à la Turquie cette fois-ci ?

Yildirim a ajouté qu’Ankara convient désormais avec Moscou que Bachar al-Assad « peut » − c’est le mot important ici − rester au pouvoir pendant la transition politique (quoique ce soit encore très discutable). La volonté d’Ankara de normaliser ses relations avec Moscou a joué une part importante dans cette volte-face politique.

La volte-face politique découle directement du putsch militaire raté en Turquie. Les as de la cyber-surveillance russe − qui assurent une permanence depuis qu’un SU-24 a été abattu en novembre dernier − auraient apparemment informé les services du renseignement turc quelques heures avant le fait. L’OTAN, comme la documentation le démontre, est restée coite.

De toute évidence, le sultan Erdogan était extrêmement indigné de constater que le coup d’État n’était pas particulièrement mal vu à Washington. Il sait qu’ils sont nombreux à le détester à l’intérieur du périmètre, où on l’accuse d’être de mauvaise foi dans la lutte contre Daesh et de bombarder les Kurdes faisant partie des Unités de protection du peuple (YPG), alliés du Pentagone en Syrie. La documentation indique qu’Erdogan a le plus souvent ignoré Daesh, en laissant les brutes du groupe armé traverser la frontière à qui mieux mieux, tout en permettant à des intérêts commerciaux turcs (sinon à sa propre famille) de tirer profit de la vente de pétrole syrien volé par Daesh.

Au lieu d’adopter l’attitude de Washington, Moscou a pour sa part prévenu au bon moment Erdogan que des faits concrets graves se préparaient sur le terrain. Pour Erdogan, cela a pris une tournure toute personnelle, car les putschistes auraient apparemment envoyé un commando chargé de le tuer lorsqu’il était encore à Marmaris.

Faisons maintenant un saut jusqu’à la visite surprise du ministre des Affaires étrangères iranien Mohammad Zarif à Ankara il y a deux semaines. Zarif et son homologue Mevlut Cavusoglu ont discuté d’options sérieuses à envisager par la coalition ATM naissante pour parvenir à une stratégie de sortie viable en Syrie. Une semaine plus tard, Cavusoglu s’est rendu à Téhéran pour poursuivre les discussions avec Zarif pendant cinq heures.

C’est un parcours du combattant, mais il est faisable. Téhéran sait fort bien que des officiers du Corps des gardiens de la révolution islamique, de même que des membres du Hezbollah et des combattants irakiens et afghans ont perdu la vie sur le théâtre de guerre syrien, et que ces morts ne doivent pas être vaines. Ankara sait pour sa part qu’il ne peut se permettre de rester à jamais coincé dans un cul-de-sac idéologique.

Le Rojava, c’est où et pour qui ?

Venons-en maintenant à là où le bât blesse, à savoir l’insoluble question kurde. L’Iran, contrairement à la Turquie, n’est pas aux prises avec des séparatistes kurdes actifs. Mais toute cette série de rencontres en personne et réunions secrètes par l’entremise de médiateurs passe nécessairement par un dénominateur commun minimum entre Ankara et Téhéran, qui est le maintien d’une Syrie unifiée et centralisée.

Ce qui donne à penser qu’il n’y aura pas de Rojava, c’est-à-dire de mini-État kurde le long de la frontière turque, qui entre dans le plan de balkanisation à peine voilé de Washington et Tel-Aviv. En fait, ce qui fait dorénavant partie de la politique officielle du Pentagone contient un élément de vengeance de la part de Ash Carter, « le pleurnicheur » contre le sultan Erdogan, qui doit payer parce qu’il n’en fait pas assez pour écraser Daesh.

Ce qui nous amène à l’offensive turque en cours (somme toute une invasion) à Jarablus. Il s’agit du dernier fort, de la dernière ville qui permet à Daesh d’aller et venir du sud de la Turquie à Raqqa en y faisant transiter ses brutes et ses armes.

Ankara n’aurait jamais permis aux soi-disantes Forces démocratiques syriennes (FDS) de prendre Jarablus. Après tout, les FDS, qui sont entièrement soutenues par le Pentagone, sont dirigées par les Kurdes nationalistes des YPG, qu’Ankara considère comme une simple extension des séparatistes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).

Imaginez la terreur à Ankara si les YPG s’emparaient de Jerablus. C’est l’ultime ligne à ne pas franchir pour les Turcs. S’ils réussissaient à combler l’écart entre les deux cantons kurdes le long de la frontière, ils créeraient à toutes fins pratiques au nouveau mini-État kurde du Rojava.

Bien qu’un Rojava indépendant soit pour Ankara absolument hors de question, il y a quand même des déclinaisons. Le Rojava pourrait s’avérer pratique pour y larguer les combattants du PKK turc. Le PKK ne se plaindrait probablement pas ; après tout, il aurait son État.

Sauf que personne ne semble se soucier de savoir ce que Damas pense de tout cela.

Puis personne pour le moment n’a la moindre idée des limites géographiques précises d’un Rojava putatif. S’il comprend la ville récemment libérée de Manbij, nous avons là un énorme problème. C’est que Manbij est arabe et non kurde. Les Kurdes semblent une fois de plus se retrouver en plein désarroi, forcés qu’ils sont de choisir s’ils sont alliés de Washington ou de Moscou.

Pour sa part, Moscou est on ne peut plus claire en ce qui concerne Daesh. Son but est d’écraser pour de bon, par tous les moyens nécessaires, tous les militants qui considèrent la Russie comme leur ennemie.

Erdogan a sûrement pris en compte qu’en se rapprochant de la Russie, il devait être plus sérieux dans sa lutte contre Daesh. Le bombardement de dimanche dernier à Ganziatep, qui est très certainement l’œuvre de Daesh, lui fournit une incitation supplémentaire à aller de l’avant.

Le plan directeur d’Erdogan en Syrie revient donc (évidemment!) à un autre miroir aux alouettes. En traversant la frontière jusqu’à Jarablus, Ankara veut créer une enclave sous le contrôle de ce qui reste de l’Armée syrienne libre (ASL). Les Étasuniens ne peuvent s’y opposer, puisque cela se fait à l’encontre de Daesh, bien que ce soit principalement contre la création du Rojava. Les Russes n’en font pas un plat non plus, car Moscou est en faveur de l’unité de la Syrie.

C’est parti pour l’ATM !

L’ancien premier ministre turc Ahmet Davutoglu, celui-là même qui voulait avoir « zéro problème avec nos voisins » pour ensuite n’avoir « rien d’autre que des problèmes avec nos voisins » n’est plus qu’un souvenir. Yildirim est un pragmatique. L’ouverture à la Russie était donc inévitable.

Ce qui nous mène à la fin (prétendue) de l’obsession de l’équipe Obama à vouloir qu’Assad dégage. Il pourrait rester encore un bout de temps. Yildirim a confirmé que cela fait dorénavant partie de la politique officielle turque. Ce qui ne veut pas dire qu’Ankara – et Washington au demeurant –  n’aspirent plus à un changement de régime. Ils maintiendront la pression, mais en changeant de tactique.

Dans l’état actuel des choses, la principale réalité sur le terrain, c’est que le sultan Erdogan semble en avoir soupé des USA (et de l’OTAN aussi, évidemment) et s’est tourné vers la Russie.

D’où l’envoi du Keystone Cop certifié Joe Biden à Ankara, qui a plaidé non coupable pour le putsch militaire (sans succès, car la plupart des Turcs ne croient pas Washington), tout en implorant Erdogan de ne pas poursuivre sa purge massive (il se berçait d’illusions).

Si l’on tient compte du comportement notoirement erratique d’Erdogan, son affection pour la coalition ATM pourrait n’être qu’une gigantesque illusion, ou encore mener à l’ouverture non prévue d’une autre boîte de Pandore. Sauf qu’il y a des signes qui montrent que cette fois, ce pourrait être sérieux.

Cavusoglu a déjà laissé entendre qu’Ankara veut se mettre à jour technologiquement et militairement, ce qui est impossible sous l’égide de l’OTAN. Il s’est exprimé en ces termes : « Malheureusement, nous constatons que des pays membres de l’OTAN sont un peu hésitants en ce qui concerne l’échange de technologie et les investissements conjoints. »

Moscou a toutes les raisons d’agir avec une extrême prudence pour une foule d’aspects liés à la volte-face d’Erdogan. Après tout, les forces armées turques font partie de l’OTAN depuis des décennies. Dans l’état actuel des choses, rien n’indique que Moscou et Ankara ont une vision commune de la Syrie d’après-guerre. Mais en ce qui concerne l’avenir de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), les choses commencent à devenir pas mal intéressantes.

Les USA sont outrés de voir la Turquie se tourner vers l’Est.

La Turquie est déjà un partenaire de discussion de l’OCS, tandis que l’Iran pourrait devenir membre à part entière au début de l’an prochain. Moscou considère sûrement Ankara comme un allié précieux dans le monde sunnite, qui dépasse largement son rôle pour se débarrasser des salafo-djihadistes en Syrie. Comme Ankara et Téhéran discutent ferme aussi, cela pourrait contribuer à déboulonner sérieusement cette idée de clivage apocalyptique entre chiites et sunnites, cette stratégie consistant à diviser pour mieux régner que nous ressassent et déploient sans cesse les USA, Israël et la maison des Séouds.

Cette possibilité alléchante de renforcer l’OCS sème carrément la terreur à Washington. La Russie a amorcé son virage vers l’Est, la Turquie fait pareil, l’Iran l’a déjà fait, et la Chine est maintenant prête à participer à la reconstruction de la Syrie d’après-guerre. Cette reconfiguration géopolitique en Asie du Sud-Ouest mène une fois de plus à l’inévitable : l’intégration eurasiatique.

Traduit par Daniel, édité par Wayan et relu par Catherine pour le Saker francophone

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Dans ce Rojava là, il n’est bien sûr pas question des Kurdes syriens qui issus du PKK en question on pourtant répondu à l’appel au Confédéralisme Démocratique lancé par Abdullah Ocalan comme cela est parfaitement expliqué dans cet article de R71.

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D’ailleurs, toujours sur l’excellent LSF cet article de Phil Butler – Le 19 août 2016 – Source New Eastern Outloo qui se pose les bonnes questions sur l’American Way Of Life des Zuniens de papier, entendons-nous bien, dans cet Divine Amérique  qu’il nous est possible de faire tomber, nous les Ordinary People, les colons repentis, les occidentaux affranchis de l’idéologie coloniale et main dans la main avec les Natifs de la Terre ;

http://lesakerfrancophone.fr/lamerican-way-of-life-a-besoin-de-la-guerre-pour-perdurer

[…] Les pubards de l’époque nous rebattaient les oreilles sur l’infinie extensibilité des richesses de notre monde. Nos dirigeants ont mené d’innombrables guerres en se jouant de nos vies, répandant notre sang comme si c’était une ressource inépuisable qu’ils pouvaient gaspiller. Nous avons bâti des monuments à notre propre gloire, gaspillé la nourriture, le pétrole, et nos forêts dans des proportions qui nous auraient permis de survivre dix mille ans si nous les avions consommé raisonnablement.

Revenons maintenant à l’affirmation catégorique de Bush senior sur le caractère non-négociable du Rêve américain. Considérons ainsi que le rôle du 1% de nantis est de permettre la perpétuation de ce Rêve américain, tout en continuant à dégager des dividendes pour les investisseurs.

Nous dirigeons-nous vers une Nuit de Cristal progressiste, ou serons-nous piégés dans une guerre perpétuelle pour mettre fin aux guerres ? Cette question est la cause de l’inconfort que nous ressentons tous. C’est aussi la raison pour laquelle 100% des médias occidentaux nous abrutissent de propagande. C’est aussi la raison pour laquelle on ne nous donne comme choix pour président que deux pantins narcissiques. Nous avons atteint le paroxysme de la consommation ostentatoire et de la croissance, et nous n’avons plus aucune marge de manœuvre.  Le choix qui s’offre à nous est de traîner les responsables de cette situation devant le peuple, ou de continuer à leur remplir les poches dans une lutte vaine contre l’inévitable. Les milliardaires ont peur que nous les traînions dans la rue et vidions leurs coffres pour nourrir les pauvres de ce monde. J’ai, pour ma part, peur que nous ne le fassions pas, et que la Troisième Guerre mondiale qu’ils nous préparent n’épargne que quelques uns d’entre nous, une petite tribu condamnée à être dirigée par ce qu’elle croira être son élite salvatrice. En 1962, je pensais que mon oncle et ses camarades protégeaient un pays qui était le phare du monde. Nous y avons tous cru. Cinquante-quatre ans plus tard, je me demande qui va nous protéger de nous-mêmes. […]

=*=

Ben oui Phil, tu devrais lire plus souvent les blogs alternatifs et je vais pas tous les citer car je vais en oublier et j’ai envie de faire de la peine à personne…

Ce qui est sûr c’est que, perso, grâce à tous ces blogs, j’ai réussi à rédiger ce billet dans lequel j’explique ceci ;

Pourtant nous portons nos chaines de nous-mêmes, tant elles ont été implantées dans nos cortex depuis des générations. Et si cette Matrix de laquelle nous nous débranchons, un par un, lentement mais assurément devient folle paniquée à l’idée de notre volonté à nous émanciper. N’oubliez jamais que de ces cerveaux malades est née l’idée d’un 9/11 et grâce au laisser-faire des biens-zélés persuadés de faire ainsi partie du Club et de bénéficier éternellement d’une riche protection –In Gaz We Trust– et en remerciement de leurs bons et loyaux états de service…

Mais surtout celui-là = Le Futur est proche et dans lequel je précise bien pourquoi nos rêves valent mieux que le cauchemar que vous nous proposez et dont finalement vous vous « éveillez » tant les Zélites ont mis le paquet avec le Potus 2016 ;

Brisons ce dogme, extirpons-le à tout jamais de nos cortex.

Le fait que les puissances européennes aient délibérément exterminé des millions de personnes de peuples indigènes non chrétiens sur le Nouveau Monde est historiquement indéniable, constituant de fait le plus grand génocide de l’histoire de l’humanité.

Qu’attendons-nous pour tendre la main à tous les Natifs oppressés du Monde et en retour ils nous aideront à surmonter notre culpabilité d’avoir réduit ce Monde à ce triste paradigme mercantile et obscène.

Arrêtons de consentir, arrêtons d’être les complices de nos propres bourreaux qui nous assassinent les yeux dans les yeux et en exigeant notre permission en plus…

Phil, Donald ne Trump plus personne mais encore moins que la Killary.

Maintenant, le Dragon Chinois joue un drôle de jeu et figurez-vous que nous ne sommes pas dupes non plus = https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/08/27/changement-de-coquille-en-vue/

La Chine est en train de dévorer le Monde !

Et ce n’est pas Résistance71 qui va me contredire, je pense, car de la même manière il nous appelle à dire NON au Dragon Chinois dans leur toute dernière publication que je vous mets en lien ci-après ;

Technologie, compteurs « intelligents », USA, Chine et Nouvel Ordre Mondial… La dictature technotronique en marche !

Nous l’avons dit et le répétons ; il n’y a pas de solutions au sein du système. L’émancipation des peuples viendra par et pour eux-mêmes et personne d’autre. Inexorablement (si nous continuons à consentir..), la grille de contrôle planétaire des populations et le carcan technotronique se mettent en place… 

Arrêtons de consentir à notre mise en esclavage permanent. Il suffit de dire NON ! ensemble !

¡Ya Basta!   ~ Résistance 71 ~

« Un corps scientifique auquel on aurait confié le gouvernement de la société finirait bientôt par ne plus s’occuper du tout de science, mais d’une toute autre affaire… cette affaire serait celle de s’éterniser en rendant la société confiée à ses soins toujours plus stupide et par conséquent plus nécessiteuse de son gouvernement et de sa direction. […] La science a pour but unique d’éclairer la vie et non de la gouverner ! »
~ Michel Bakounine ~

La Chine veut faire perdre son droit de veto à la France par son projet de l’Union Europe-Russie pour lui imposer ses compteurs intelligents

Lire la suite de l’article = https://resistance71.wordpress.com/2016/08/31/technologie-compteurs-intelligents-usa-chine-et-nouvel-ordre-mondial-la-dictature-technotronique-en-marche/

=*=

L’heure de notre « Éveil » a sonné et ce malgré l’enfumage permanent pour nous égarer dans la brume d’un hiver nucléaire…

JBL1960