Souvenir d’indigènes indestructibles… Mohawk Nation News complété par JBL1960

 

Le 11 novembre 2017 ;

Gordon Duff nous a livré une profonde analyse sur La décrépitude de l’empire vue de l’intérieur –  (Veterans Today le jour des anciens combattants) qui m’a permise de proposer à toutes les Polices & Armées du Monde de se tenir « Crosses en l’air » aux côtés des peuples du monde

La Nation Mohawk, grâce à Résistance71 qui traduit de l’anglais, nous livre ce qu’évoque pour eux ce jour du souvenirCelui de l’indestructible indigène

Souvenir de l’indestructible indigène

Mohawk Nation News | 11 novembre 2017 | URL de l’article original ► http://mohawknationnews.com/blog/2017/11/11/remembrance-of-indestructable-indigenous/

Traduit de l’anglais par Résistance 71 ► https://resistance71.wordpress.com/2017/11/14/jour-du-souvenir-celui-de-lindestructible-indigene-mohawk-nation-news/

La blancheur est un culte dangereux. Il veut dire la suprématie raciale auto-proclamée, le génocide, la colonisation, l’esclavage, la ségrégation, le ghettoïsme, les frontières militarisées et l’incarcération de masse. Ils essaient maintenant d’apporter toujours plus de chaos dans le monde. Les blancs ne peuvent pas indéfiniment se raccrocher à leur puissance militaire et à leur butin de guerre. Aujourd’hui [11 novembre], ils célèbrent le grand carnage qu’ils ont fabriqué en 1914, tandis que nous continuons à vivre parmi les morts-vivant en décomposition.

Ils cachent le plaisir qu’ils éprouvent à la vue de la souffrance des gens, de la douleur et du sang. C’est pour cela qu’ils créent et invoquent les horribles camps de prisonniers de guerre dans lesquels la plupart d’entre nous vivent. Ils ont besoin d’êtres vivants à torturer.

Nous avons perdu des millions tombés entre leurs mains, des gens qui n’ont jamais fait de mal à leurs enfants, leurs bébés ou quiconque d’autres. L’empire s’effondre. Les prédateurs s’échappent des filets de la justice accompagnés de leurs chiens loyaux alors qu’ils arrivent à la fin de leur héritage psychopathe.

Tout ce qu’ils possèdent est fondé sur notre sang qui a abondamment coulé. Ils refusent de nettoyer leur crasse.

Notre terre est-elle toujours un bon endroit pour vivre ? Toute vie naturelle sur l’île de la Grande Tortue ressent la douleur et le mal qu’ils infligent.

Leur idée d’ordre racial est fondé sur le contrôle des “barbares” qui sont à exterminer, terroriser, emprisonner, ostraciser et formater de force.

La blancheur est l’auto-appropriation de la terre pour l’éternité. Fondée sur la création d’animosités nationales, de guerres étrangères et de construction d’empire. Tout ceci est promu et encouragé par les médias et assisté par la bureaucratie et la technologie.

La morale publique et privée est quasi-inexistante. La “guerre contre le terrorisme” n’est qu’une licence, une autorisation pour torturer et exécuter. La société occidentale repose sur la violence, les guerres non déclarées et les nouvelles batailles à venir.

Pour avancer ils ont besoin de toujours plus tuer. Notre existence leur rappelle quelque chose dont ils ne veulent pas se souvenir.

Ils nous ont tabassé, mais ne peuvent pas nous tuer. Nous sommes indestructibles. Ils ont besoin de victimes. Ils vivent pour la guerre et non pas pour la paix. Ce sont des pleutres et des couards.

La société entrepreneuriale (coloniale) occidentale est bâtie sur une hiérarchie raciale, une force criminelle qui donne du pouvoir et de la puissance à des démagogues volages et inconsistants. La blancheur est la catastrophe qui arrive.

Le jour de l’armistice et du souvenir est une occasion pour eux de célébrer la guerre.

▼▼▼

« Les soldats ne sont pas les protecteurs
de la liberté, ils sont les marionnettes
des intérêts entrepreneuriaux et
d’État afin d’augmenter profit et pouvoir
aux dépends de la sécurité physique et 
financière du contribuable. »

CROSSES EN L’AIR 3.0…

Libérons-nous de la folie colonisatrice d’un occident génocidaire ;

Le temps de la décolonisation est venu

SANS ARMES, ni haine, ni violence ;

EFFONDRONS LE COLONIALISME ► Maître-pilier de l’Empire pour un changement de paradigme politique & social ► Déterminer l’E.R.R.E.U.R. et comment la corriger ► EFFONDRER LE COLONIALISME, version PDF N° 38 de 21 pages

Qui veut la paix ► Prépare la paix

KaianerekowaLa Grande Loi de la Paix

Devenons tous des lanceurs d’alertes, des chercheurs de vérité ► Crackons les codes, faisons péter les verrous, et déconstruisons la pyramide du pouvoir pierre par pierre !

Union ► Réflexion ► Action ► Associations libres confédérées

AUX CROYANTS DE TOUS POILS ;

NOUVEAU PARADIGME SANS DIEUX NI MAITRES SANS ARMES NI HAINE NI VIOLENCE

Remplaçons l’antagonisme à l’œuvre depuis des millénaires qui, appliqué à différents niveaux de la société empêche l’humanité d’embrasser sa tendance naturelle à la complémentarité, facteur d’unification de la diversité dans un grand Tout socio-politique organique : La société des sociétés.

◄|►

Une autre commémoration arrive bientôt, pire que le Columbus Day ou que le Jour de la Race, car tout l’empire anglo-américano-christo-sioniste s’apprête à célébrer Thanksgiving

Levons-nous et retirons-leur notre consentement afin que plus jamais un peuple, une nation ne puissent rendre grâce à un Dieu de leur avoir donné la force et le courage d’avoir tué l’indigène/aborigène pour sauver l’homme blanc

JBL1960

 

18 réflexions sur « Souvenir d’indigènes indestructibles… Mohawk Nation News complété par JBL1960 »

  1. Voilà ce que signifie THANKSGIVING très précisément ;
    Deutéronome 7: 1-2, 5-6 de l’ancien testament de la Bible : Lorsque l’Éternel, ton dieu, t’auras fait entrer dans le pays dont tu vas prendre possession et qu’il chassera devant toi beaucoup de nations et que tu les auras battues alors tu devras les détruire entièrement.

    Tu ne traiteras point d’alliance avec elles, et tu ne leur feras point grâce, tu ne laisseras la vie sauve à aucun d’entre eux.

    Voici au contraire comment tu agiras à leur égard : tu renverseras leurs autels, tu briseras leurs statues, tu abattras leurs idoles et leurs arbres et tu les brûleras au feu.

    Aimé par 1 personne

  2. En souvenir des ombres réduites en cendres juste parce qu’elles étaient Natives…

    “C’était terrifiant de trouver ces petits crânes là-dedans. Qu’étaient-ils ces petits crânes, d’où venaient-ils ? Ils étaient là dans cette chaudière. Ils étaient petits… Deux petits crânes. Je ressens encore cette terreur ruisselant de là.”
    ~ Lilian Shirt, survivante du pensionnat catholique de Bluequills, Edmonton, Alberta ~

    https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/12/13/en-souvenir-de-maisy-shaw/

    Aimé par 1 personne

  3. Je te cite :  » Le jour de l’armistice et du souvenir est une occasion pour eux de célébrer la guerre. »,

    …Une très grosse vérité. Mon arrière grand-père avait été enrôlé dans cette guerre comme beaucoup de français… La fleur au fusil… Leur disait-on ! Une boucherie…

    Je ne commémore aucune de ces boucheries et encore moins celle du 14 juillet.

    Excellent article.

    J’aime

    1. Cette phrase est de MNN cependant et j’ai intégré dans guerre et paix des articles provenant de la même source pour appuyer leur propos.
      Auquel je m’associe totalement bien sûr…

      J’aime

      1. Tiens, je suis en train de rédiger un billet sur le dernier article de D. Henderson que R71 a traduit et publié. Et comme ils ont utilisé l’illustration de cet ancien billet que j’ai remis récemment, j’en ai profité pour le mettre à jour avec mes dernières analyses ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2015/12/21/lamerique-a-la-croisee-des-chemins/
        Sachant que c’est un de mes tout premiers billets de blog qui m’avait inspirée cette illustration et mon questionnement en préambule.

        J’aime

  4. https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/jeudi-c-est-thanksgiving-day-aux-198901
    Aux Etats-Unis, le repas de « Thanksgiving » est traditionnellement composé d’une dinde, un gros volatile découvert par les premiers européens aux « Nouvelles Indes », les autres éléments du menu étant secondaires et adaptés aux pratiques culturelles habituelles des convives présents. Depuis l’époque des pères pèlerins, Thanksgiving est, pour les familles américaines croyantes ou non, pratiquantes ou non, une manière de remercier Dieu ou son substitut symbolique, d’avoir permis à leurs ancêtres de s’installer dans ce territoire hospitalier et généreux et des bonnes relations nouées avec les populations indigènes.

    Or, pour les peuples premiers en question, ce jour représente le point de départ de la destruction de leur territoire et de guerres génocidaires. Le tableau de Jean Léon Gérôme Ferris ci-dessus montre comment la plupart des américains se représentent le premier « Thanksgiving » : un repas d’amitié mutuelle partagé entre des pèlerins souriants et un groupe d ‘« indiens » indigènes. Cette interprétation de la réalité est le résultat d’une campagne de relations publiques conçue par Abraham Lincoln pour promouvoir l’unité du pays en proie à la guerre civile, une initiative remplie de bonnes intentions qui a donné à la population une occasion de faire la fête, mais qui donne une version pour le moins enjolivée d’un passé violent et constitue une injustice pour les millions de descendants actuels des peuples autochtones des États-Unis.

    La véritable histoire a commencé en 1614, alors que des marins anglais transportaient dans leur navire un groupe d’Indiens Patuxet. Quelques-uns se sont échappés, mais ils avaient contracté la variole qui les a presque tous éliminés. Plus tard, quand les « pères pèlerins » sont arrivés sur le Mayflower dans la baie du Massachusetts, ils ont trouvé le seul rescapé Patuxet, un homme nommé Squanto qui possédait des rudiments de langue anglaise et leur a appris à cultiver le maïs et à pêcher. Il a aussi négocié un traité de paix entre les pèlerins et la nation Wampanoag. Pour le premier anniversaire de leur « débarquement » qui coïncidait avec la fête du maïs célébrée par les autochtones, les pèlerins ont organisé une grande fête « œcuménique » en l’honneur de Squanto et des Wampanoags.

    Mais au fur et à mesure que la découverte d’un « paradis retrouvé » dans le nouveau monde se répandait en Angleterre, les puritains arrivaient pas bateaux entiers. Ne trouvant aucune clôture sur le territoire, ils ont considéré que tous les terrains étaient du domaine public. Rejoints par d’autres colons britanniques, ils se sont approprié les terres, ont capturé de jeunes autochtones forts pour les faire travailler et ils ont tué le reste. Or, la nation Pequot n’avait pas accepté le traité de paix que Squanto avait négocié et ils ont résisté. La guerre des Pequot a été l’un des épisodes les plus sanglants de la conquête.

    En 1637, près de Groton, dans le Connecticut, plus de 700 hommes, femmes et enfants de la tribu des Pequot s’étaient rassemblés pour leur fête annuelle du maïs. Dans les heures précédant l’aube, les Indiens endormis ont été cernés par des « mercenaires » anglais et hollandais qui leur ont ordonné de sortir. Ceux qui sont sortis ont été abattus ou tués à coups de matraques pendant que les femmes et les enfants terrifiés étaient brûlés vifs dans le bâtiment qui les abritait. Le lendemain, le gouverneur de la colonie de la baie du Massachusetts a instauré « A Day Of Thanksgiving » (actions de grâce) pour célébrer l’extermination de 700 hommes, femmes et enfants non armés.
    Encouragés par leur « victoire », les courageux colons accompagnés de leurs alliés indiens ont ravagé les villages les uns après les autres. Les femmes et les enfants de plus de 14 ans ont été vendus comme esclaves tandis que les autres ont été exécutés. Des bateaux chargés de 500 esclaves quittaient régulièrement les ports de la Nouvelle-Angleterre. Des primes récompensaient les trophées de cuirs chevelus indiens afin d’encourager l’hécatombe.

    Après à un raid particulièrement réussi contre les Pequot dans ce qui est aujourd’hui Stamford (Connecticut), les églises ont instauré un deuxième jour de « thanksgiving » pour célébrer la victoire sur les sauvages païens. Pendant le festin, dans les rues, les têtes coupées des autochtones servaient de ballons de football. Même les « amis » Wampanoag n’ont pas échappé à cette folie. Leur chef a été décapité, et sa tête a été empalée sur un poteau à Plymouth (Massachusetts) où elle est restée exposée pendant 24 ans.

    Puis les tueries sont devenues de plus en plus frénétiques, accompagnées de jours de fêtes d’action de grâce après chaque massacre. George Washington a finalement suggéré qu’un seul jour de Thanksgiving par an soit consacré à la célébration de tous les massacres. Plus tard, pendant la guerre de sécession, Abraham Lincoln a décidé que « Thanksgiving Day » était une fête nationale légale. Ce même jour, il ordonnait à ses soldats troupes de « combattre » les Sioux du Minnesota déjà décimés par une famine organisée.

    Cette histoire n’est pas celle qui est racontée par le tableau de Ferris, mais c’est l’histoire… Jeudi prochain, certaines familles américaines penseront peut-être à ceux qui voulaient seulement vivre leur vie et élever leurs propres familles. Ceux qui n’ont pas eu le temps de dire « merci » au Créateur pour tous ses bienfaits.
    Par Jeussey de Sourcesûre – Auteur Agoravox

    J’aime

Laisser un commentaire