DE QUI TRUMP EST-IL LE N.O.M. ?

Surtout qui peut-il encore Trumper ?

ICI, sur ce blog dès l’année dernière on avait vu venir la tornade Trump au ralenti :

DONAL TRUMP : UNE ÉVALUATION

Paul Craig Roberts prétend que : Trump est populaire non pas tant pour ses prises de position sur des questions spécifiques mais par le fait qu’il ne soit pas un autre politicien de plus à Washington, et il est respecté pour ne pas reculer et ne pas présenter d’excuses quand il fait des déclarations fortes pour lesquelles il est critiqué. Ce que les gens voient en Trump, c’est la force et le leadership.Voilà qui est inhabituel pour un candidat politique, et c’est à cette force que les électeurs réagissent.

L’establishment politique américain corrompu a donné un ordre à sa presstitute [presse prostituée, NdT], «Payez-vous Trump». ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2015/12/27/aucune-raison-de-se-rejouir/

Pour ma part, dès fin août, Donald ne Trumpait plus personne ▼ https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/08/29/donald-ne-trump-personne/

Et franchement, vu l’atonie mondiale et les vies en jeux ; Cela ne fait nullement plaisir d’avoir raison, même si l’analyse est souvent hors cadre et à contre-courant, le résultat démontre que, nous, les affreux « Théoriciens de la coïncidence » avions raison ▼ https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/06/14/bas-les-masques/

Et le 10 novembre dernier on n’avait plus aucun doute : la classe laborieuse de PCR, la Famille LaRage de Michael Moore avaient fait entrer un ReLoup à la Maison Blanche* ; Parce qu’en nommant Mike Pence, la caution chrétienne du Gouvernement, on savait que l’Amérique messianique était dans la place et l’article de Steven Newcomb dans mon billet d’hier confirme cette assertion en tout point ► Pièce manquante = Partie truquée

*Oui, on est des Sans-Dents, mais pas dénués d’humour ni de cervelle ▼ https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/11/10/donald-a-trumpe-tout-le-monde/

Et depuis lors, les nominations en Trumpettes ne font rire personne sauf les adeptes du chapeau pointu ♫ Turlututu♫ On l’a dans le FionNominations en Trumpettes…

Alors qu’on en était resté à Puzder le M. Anti-Travailleurs au Travail, logique…

Et après Mnuchin au Trésor, Stephen Bannon, désigné « stratège en chef » et rattaché à la Maison Blanche ; Trump nomme Cohn au Conseil National Économique :

JAMAIS DEUX SANS TROIS !

Le numéro  deux de Goldman Sachs est sur le point de rejoindre l’administration Trump

Source ► Le Monde.fr | 09/12/2016 | Par Stéphane Lauer – Correspondant à New York

Le président élu américain nommerait Gary Cohn à la tête du Conseil national économique.

Et de trois ! Goldman Sachs est décidément un vivier inépuisable pour Donald Trump. Après n’avoir cessé de critiquer l’influence néfaste de la banque d’affaires sur la conduite du pays ces dernières années, le président élu est néanmoins sur le point de faire appel à un troisième dirigeant ayant exercé ses talents au sein de cet établissement. Après Steven Mnuchin, nommé secrétaire au Trésor, après Stephen Bannon, désigné « stratège en chef » et rattaché à la Maison Blanche, M. Trump aurait choisi, selon la presse américaine du 9 décembre, Gary Cohn, le numéro deux actuel de la banque, pour diriger le Conseil national économique (NEC).
Il s’agit d’un nouveau poste clé de la nouvelle administration qui échoit à un ancien de l’influente banque. Le directeur du NEC est en effet chargé de coordonner la politique économique gouvernementale. C’est également un poste qui aura un poids considérable dans les prochaines nominations au budget ou à la Réserve fédérale, la banque centrale américaine.
Donald Trump a longtemps critiqué les liens avec Goldman Sachs
Une fois de plus, M. Trump prend l’exact contre-pied du discours qu’il a tenu pendant ses dix-huit mois de campagne électorale. Ses accents anti-establishment l’avaient conduit à reprocher à Ted Cruz, son principal rival au cours de la primaire républicaine, que sa femme travaille pour Goldman Sachs. « Il va faire tout ce qu’ils demandent. Pas vraiment un réformateur », avait-il écrit dans un tweet en janvier, sous-entendant que M. Cruz serait sous l’influence de la banque à cause du poste occupé par son épouse.
Un peu plus tard, à la veille de l’élection présidentielle, il s’en était pris à Lloyd Blankfein, le PDG de la banque. Dans une vidéo de deux minutes, le candidat républicain se livrait à une violente charge contre la « structure du pouvoir mondial », illustrée par des images de Goldman Sachs et de son patron. Une finance de l’ombre qui « a rempli les poches d’une poignée de multinationales ». Cette rhétorique lui permettait, deux jours après, de remporter la plupart des États ouvriers du Midwest, qui ont fait basculer l’élection en sa faveur.
Enfin, tout au long de la campagne, il a fustigé la proximité de son adversaire démocrate, Hillary Clinton, avec la banque d’affaires. Il avait notamment utilisé à de nombreuses reprises le fait que Mme Clinton avait participé à des conférences organisées par Goldman Sachs et rémunérées, selon lui, de façon indécente.
Inscrit comme démocrate sur les listes électorales
M. Cohn est un rouage essentiel de la très influente banque, dont le rôle pendant la crise financière de 2008, puis pendant la crise de la dette souveraine en Europe, a été vivement critiqué. Dans un article de 2009 resté célèbre, le magazine Rolling Stone décrivait Goldman Sachs comme « la plus puissante banque d’investissement du monde, une grande pieuvre-vampire collée au visage de l’humanité, qui plonge sans relâche ses pompes à sang dans tout ce qui a l’odeur de l’argent ».
A 56 ans, Gary Cohn était présenté jusque-là, en tant que directeur général adjoint, comme le favori pour succéder à M. Blankfein. Cette étape aurait parachevé une carrière passée quasiment entièrement au service de Goldman Sachs. Il avait rejoint le groupe en 1990, avant d’être nommé associé quatre ans plus tard, la même année que Steven Mnuchin.
M. Trump pourra toujours raconter qu’avec M. Cohn, c’est un peu du Midwest industriel qui rentre à la Maison Blanche. Originaire de l’Ohio, il a en effet grandi dans une famille ouvrière, qui l’a conduit à commencer sa carrière dans une aciérie de Cleveland avant de rejoindre rapidement New York pour se lancer dans la finance.
Ces origines expliquent sans doute qu’il soit inscrit aujourd’hui comme démocrate sur les listes électorales. Mais que veulent dire les orientations politiques à de tels postes ? Gary Cohn a toujours été un généreux donateur des deux côtés de l’échiquier politique américain et pour la dernière campagne, contrairement à son patron, il s’était bien gardé d’exprimer un soutien à Hillary Clinton.
Donald Trump n’est pas le premier président à faire appel à des dirigeants de Goldman Sachs pour participer à son administration. Henry Paulson et Robert Rubin, deux anciens de la banque d’affaires, avaient aussi été nommés secrétaires au Trésor, respectivement par George W. Bush et Bill Clinton. C’est ce dernier qui avait créé le NEC en 1993, dont il avait d’ailleurs confié la direction à M. Rubin. M. Cohn serait ainsi le troisième dirigeant de Goldman Sachs (sur dix) à occuper ce poste. Contrairement au secrétariat au Trésor, cette nomination ne nécessite pas l’aval du Sénat.

URL de l’article sur LeMonde.fr ► http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2016/12/10/un-troisieme-dirigeant-passe-par-goldman-sachs-va-rejoindre-l-administration-trump_5046673_829254.html

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Mais ne vous moquez pas ! On a les mêmes à la maison !

Je m’explique : Le Macron de Rothschild vient de lancer son slogan de campagne ;
#RévolutionEnMarche et on ne rit pas s’il vous plait !
Tenez tout est là, j’ai rien inventé :

« Candidat du travail », Macron promet aussi de faire plus pour ceux qui ont moins

En meeting à Paris, le candidat à l’élection présidentielle Emmanuel Macron s’est posé en « candidat du travail », samedi, tout en se démarquant de François Fillon en affirmant vouloir renforcer le bouclier social français.

Lire l’intégralité de l’article ici ► http://www.france24.com/fr/20161210-france-election-presidentielle-2017-emmanuel-macron-candidat-travail-bouclier-social

Mais, y a mieux ! Si c’est possible…

Quoique…

Manuel Valls : « ma candidature est une révolte »

Tenez, si vous voulez vous poiler c’est là ► http://actu.orange.fr/politique/manuel-valls-ma-candidature-est-une-revolte-CNT000000yQDDW.html

Bah ! Nous c’est plutôt ça qui nous révolte ▼

Le Conseil des ministres adopte une prolongation de l’état d’urgence

Le Conseil des ministres a adopté samedi, avant son examen au parlement, le projet de loi prolongeant jusqu’au 15 juillet 2017 l’état d’urgence en vigueur depuis les attentats du 13 novembre, pour « englober l’ensemble des opérations électorales » de la présidentielle et des législatives.

Le gouvernement va « demander au parlement de reconduire l’état d’urgence pour sept mois supplémentaires, jusqu’au 15 juillet précisément », a déclaré le Premier ministre Bernard Cazeneuve, à l’issue du Conseil.

« Au cours des mois qui sont devant nous, notre pays a un rendez-vous démocratique important avec l’élection présidentielle et les élections législatives du printemps prochain », a-t-il rappelé dans la cour de l’Élysée, entouré des ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, et de la Justice, Jean-Jacques Urvoas. Lire l’intégralité de l’article ici ▼ http://www.lepoint.fr/societe/l-etat-d-urgence-devrait-etre-prolonge-jusqu-au-15-juillet-09-12-2016-2089269_23.php

Il y a tout juste un an, je vous invitais à vous « Réveiller » en vous rappelant les faits :

RAPPEL DE L’HISTOIRE :

Le 10/07/1940, 80 parlementaires sur 649 ont voté CONTRE les pleins pouvoirs à Pétain !
Le 05/05/2015, 86 députés sur 524 ont dit NON à la surveillance généralisée des français !
Le 19/11/2015, 6 députés, 1 abstention, sur 551 ont voté contre la prolongation de l’état d’urgence de 3 mois… 551 députés ont voté POUR…

Tout es là ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2015/12/12/reveillez-vous-les-gens/

Et beaucoup dorment à poing fermé encore…

Pourtant les bruits de bottes se font de plus en plus clairs et ce Noël 2016 et L’An Neuf 2017, comme celui de 2015  ; Se préparant encore sous la loi martiale et sous une dictature qui sort du bois.

Le 14 juillet 2017 sera-t-il au Goulag ?

Méditez-bien là-dessus avant de vous empiffrer durant les fêtes de fin d’année et commencez sérieusement à penser à ce que vous allez faire pour que ça change vraiment… Car continuer le bouzin en veautant n’est vraiment, mais vraiment pas la bonne solution, la preuve par Trump.

Révolution-nous d’abord !

Mais n’attendez-pas pour voir : y’a rien à voir !

N’attendez-plus

Rejoignez-nous sur le chemin tangent que notre flamme intérieure, capable d’embraser tous les empires, éclaire de jour, comme de nuit ;

Pour que nous nous reconnaissions et ne nous perdions pas en chemin…

« Le chercheur de vérité qui voyage suffisamment devient le chemin »

Proverbe Perse

Issu du livre de Kevin D. Annett « Le bouclier du lanceur d’alerte »  entièrement traduit par Résistance71 et dont j’ai réalisé la version PDF ici lebouclierdulanceurdalerte pour en permettre la lecture ou téléchargement gratuit en accord avec l’auteur ► TOUS DES LANCEURS D’ALERTE !

JBL1960

 

 

6 réflexions sur « DE QUI TRUMP EST-IL LE N.O.M. ? »

  1. http://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/donald-trump/etats-unis-donald-trump-se-separe-du-controverse-steve-bannon-5194290

    Le président américain Donald Trump a décidé de mettre fin aux fonctions de Steve Bannon à la Maison Blanche.

    Donald Trump a décidé de pousser vers la sortie son conseiller stratégique, Steve Bannon, proche de la droite radicale. « Le secrétaire général de la Maison blanche John Kelly et Steve Bannon sont tombés d’accord pour dire qu’aujourd’hui serait le dernier jour de Steve », a déclaré la porte-parole de la maison blanche Sarah Sanders dans un communiqué. « Nous le remercions pour ses services et lui souhaitons le meilleur. »

    De source proche de Bannon, on avait auparavant indiqué qu’il ne souhaitait pas démissionner de son propre chef. « Il ne va pas officiellement démissionner. Il travaille toujours. Il travaille sur des projets », indiquait-t-on.

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  2. http://www.20minutes.fr/monde/2118843-20170818-etats-unis-steve-bannon-conseiller-donald-trump-quitte-maison-blanche
    Le président en rage contre Bannon

    Steve Bannon a donc claqué la porte de la Maison Blanche, après y avoir largement été poussé. C’est pourtant lui qui a permis à Donald Trump d’accéder à la présidence américaine. Alors que selon le New York Times, Donald Trump était sur le point de limoger son éminence grise, nommé au poste de conseiller stratégique du président, Steve Bannon a tenté de sauver l’honneur et choisi de quitter ses fonctions plutôt que d’être viré.

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