Mad Dog on the line…

Donald joue de la Trumpette de la mort !

Et c’est pas faute de vous avoir prévenu ici et !

On a vraiment l’impression de jouer à  Jumanji  ! c’est le jeu qui ordonne et déplace les pions. Les pions se déplaçant tout seul comme magnétisés de l’intérieur…

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Trump nomme le général James Mattis à la Défense

Jeudi 1er décembre 2016 | Source : lapresse.ca

Url de l’article ► http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201612/01/01-5047151-trump-nomme-james-mattis-a-la-defense.php

Au début de sa tournée de remerciements pour ses électeurs, le prochain président des États-Unis Donald Trump a annoncé jeudi qu’il entendait confier la tête du Pentagone au général à la retraite James Mattis, un militaire au franc-parler surnommé «l’enragé».

James Mattis était l’un des «finalistes» pour ce poste crucial de la prochaine administration, alors que Donald Trump a promis d’intensifier la guerre contre les jihadistes du groupe État islamique en Syrie et en Irak, deux théâtres d’opérations que le général connaît bien.

«L’enragé, il est excellent», a-t-il annoncé en surprenant les milliers de partisans venus le voir à Cincinnati, dans l’Ohio, l’un de ces États remportés par le républicain le 8 novembre dernier.

L’enragé («mad dog») est le surnom de James Mattis, 66 ans, qui serait le premier ex-général à devenir secrétaire à la Défense depuis 1950. Donald Trump l’avait récemment encensé, se disant notamment «impressionné» positivement par sa position anti-torture.

La future administration Trump comptera donc au moins deux anciens généraux, avec Michael Flynn, nommé conseiller à la sécurité nationale. Une situation inédite, qui risque de faire lever quelques sourcils dans un pays qui, depuis ses origines, a toujours exigé un strict contrôle des militaires par le pouvoir civil.

Le Congrès devra en outre accorder une dispense à l’ex-général Mattis, une loi interdisant en effet aux anciens militaires de devenir secrétaire à la Défense pendant sept ans: une condition qui visait à sanctuariser la direction civile du ministère. Or James Mattis a quitté l’armée en 2013 seulement.

La sénatrice démocrate Kirsten Gillibrand a d’ores et déjà annoncé qu’elle refuserait de faire une exception pour le général Mattis. Mais celui-ci reste populaire auprès des parlementaires américains. C’est «un leader extraordinaire qui suscite l’admiration rare et spéciale de ses troupes», a déclaré le sénateur républicain John McCain.

La méthode Trump

Le rassemblement de Cincinnati a ainsi pris un tournant inattendu, au grand plaisir de ses électeurs.

«C’est tout lui», sourit Mary Beth Desch, 59 ans, en s’étonnant d’avoir obtenu directement ce «scoop» sur le prochain chef du Pentagone. «Il va tout le temps nous faire des choses comme ça, et c’est pour cela que je l’aime».

«Nous aurons une dizaine d’étapes, c’est une tournée pour dire merci», a expliqué Donald Trump sur Fox News, dans sa deuxième interview télévisée depuis son élection, alors qu’il n’a toujours donné aucune conférence de presse.

La journée de jeudi était sa première sortie sur le terrain depuis son élection, avec pour objectif d’afficher ses priorités et sa méthode.

Le milliardaire s’est d’abord rendu dans l’Indiana, dans une usine du fabricant de climatisations et d’appareils de chauffage Carrier qu’il s’est targué d’avoir sauvée d’une délocalisation annoncée depuis des mois. Soit 1100 emplois préservés selon lui.

Au passage, Donald Trump a prévenu que les entreprises américaines qui délocaliseraient pour élaguer leurs coûts de production en subiraient «les conséquences».

C’est mardi que Carrier avait annoncé renoncer à son projet de délocalisation, une décision facilitée par des aides de sept millions de dollars de l’État de l’Indiana, gouverné par le vice-président de Donald Trump, Mike Pence.

Le milliardaire a raconté en détail comment, au cours d’une récente conversation téléphonique improvisée, il avait forcé la main de Gregory Hayes, le PDG de United Technologies, la maison mère de Carrier, présent dans la salle.

«Ils disent que ce n’est pas présidentiel d’appeler ainsi les dirigeants d’entreprises géantes. Je pense au contraire que c’est très présidentiel et si ça ne l’est pas, tant pis», a-t-il déclaré.

Mais les opposants démocrates du président élu n’ont pas manqué de s’inquiéter de l’éventuel chantage auquel les patrons américains pourraient se livrer auprès du nouveau pouvoir pour obtenir des aides publiques.

Comme en campagne

Le soir, retrouvant des accents de campagne, Donald Trump a annoncé que le sauvetage de Carrier n’était «que le début», promettant de ramener aux États-Unis les près de huit millions d’emplois industriels perdus depuis 2000.

Dans un discours de 52 minutes, le républicain a également réaffirmé ses promesses de construire un mur à la frontière mexicaine, d’abroger «Obamacare» et d’en finir avec l’immigration clandestine.

Mais il a aussi dit vouloir rassembler un «pays très divisé», tendant la main aux démocrates et dénonçant «l’intolérance et les préjugés».

«Désormais, ce sera l’Amérique d’abord», «Achetez américain, et embauchez américain, ce sera notre mantra», a-t-il déclaré, devant une assistance clairsemée, les fermetures de routes pour raison de sécurité ayant compliqué les accès à la salle de hockey de 17 000 places.

Mais malgré l’ambiance moins électrique, ses partisans ont retrouvé une facette du candidat Trump, qui s’est amusé à faire huer la presse et a raconté en longueur comment il avait déjoué tous les pronostics électoraux.

« On s’est bien amusé contre Hillary, n’est-ce pas ? », a-t-il lancé.

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Il est marrant Donald hein ?

Oui tout est relatif.

Il a bien Trumpé son monde quand même et pourtant tout de suite on avait compris qu’avec Pence, Mnuching, Bolton, Price, Ross et maintenant John Mattis waouaouhhh !

Les dés sont jetés mais ils étaient un peu pipés d’avance !

Bon rigolez pas parce qu’on a le même à la maison ► Fillon avec tambours et Trumpettes !

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Dès avril dernier, on avait compris, grâce à Résistance71 qui nous avait traduit ceci :

11 septembre nucléaire… 28 pages manquantes… Arabie Saoudite, Israël et la connexion allemande du terrorisme international…

Les États-Unis entrent en mode panique

Gordon Duff | 26 avril 2016 | Url de l’article original : http://www.veteranstoday.com/2016/04/26/neo-us-is-entering-the-panic-mode/

Les 28 pages manquantes du rapport sur le 11 septembre et l’implication de l’Arabie Saoudite nous donne une opportunité de ressortir du placard nos rapports sur l’implication israélo-saoudienne au moyen d’informations que VT a obtenu des enquêteurs mêmes qui placèrent les agents sous surveillance à Fort Lee dans le New Jersey.

Quand nous avons divulgué ce matériel informatif comme partie de notre série sur le 11 septembre, ce qui incluait le rapport du laboratoire Sandia au sujet des bâtiments du WTC qui furent démolis de manière contrôlée au moyen de mines nucléaires placées dans les sous-sols, on ne nous a jamais contredit, nous n’avons jamais non plus reçu de coup de téléphone de quelque officiel que ce soit désirant en savoir plus. Tout et tout le monde est passé en mode sourd-muet, instantanément.

Toute cette info est dans nos archives et a été copiée (traduite) dans le monde entier, ainsi on ne pourra jamais la faire disparaître.

Le public américain va t’il se réveiller et en faire une affaire électorale et par cela je veux dire mener une vie d’enfer au gouvernement Obama pour qu’il ne quitte pas l’administration en couvrant toujours ce qu’il s’est passé en ce 11 septembre 2001 et laisser une autre administration révéler cela laissant à Obama un héritage de maquillage de la vérité ? […]

“En Mai 2014, un informateur de haut niveau lié au ministère de la justice des États-Unis (NDT : le FBI dépend du ministère de la justice US…) nous a contacté avec cette histoire.

Il nous a dit que l’Allemagne a un long protocole secret avec Israël depuis des décennies, qui voit l’Allemagne financer la recherche et le production israélienne d’armement et lui fournit des sous-marins spécifiquement configurés pour le lancement de missile de croisière nucléaires, en retour Israël donne à l’Allemagne des armes nucléaires.

A ce moment là, le “pourquoi” de l’Allemagne, un membre de l’OTAN, voulait des armes nucléaires n’était pas clair. Il devait y avoir plus à cette histoire, bien plus.. et bien oui, c’est le cas.

Ce qui fut apporté fut cette bizarre histoire de la “démocratie libérale” la plus forte d’Europe, qui est en fait quelque chose de bien différent, une nation dirigée par un gouvernement de l’ombre (NdT: elle n’est pas la seule..), infiltré du “réchauffé” de l’Allemagne nazie, qui ont juré de mettre à bas “l’occident corrompu et de ses démocraties élimées.” […]

Le DVD et Christopher Story

En 2010, Christopher Story, connu par bon nombre sous le nom de Edward Harle, est mort mystérieusement. Des gens de l’intérieur des services de renseignement pensent qu’il a été assassiné par le DVD. […]

Christopher Story, un partenaire de longue date de mon excellent ami Leo Wanta, fut un agent des services de renseignement britanniques, bien que ceci ne soit pas inclus dans sa biographie, cela n’en est pas moins vrai.

Story, un conférencier respecté sur les questions de change international et de renseignement, a parlé d’une organisation formée à la fin des années 1920, d’une coalition entre le famille Bush aux États-Unis, alors partie intégrante (NdT : par le truchement du grand-père Prescott Bush) du cartel banquier Harriman/Rothschild de New York et de la City de Londres et du “Project Hitler”, dont l’historien Webster Tarpley a si bien parlé dans son livre : Unauthorized Biography of George H.W. Bush.

D’après Story, ce groupe, qui contrôlait la Réserve Fédérale aux États-Unis et la vaste majorité des banques centrales mondiales, a servi un agenda de conquête du monde, à la fois de manière ouverte et secrète. Story citait Hitler comme étant une “marionnette” de l’organisation qui prendrait plus tard le nom de DVD.

Le premier ministre britannique Edward Heath était un agent du DVD, tout comme le fut le premier ministre Tony Blair et un bon nombre de politiciens britanniques de haut rang.”

Bizarre nouvelle action

Ceci n’est peut-être rien ou pas grand chose, mais il y a juste quelques jours, un ancien général du corps des US Marines, James Mattis a été activé comme un “cheval noir” (un candidat ou concurrent au sujet duquel très peu est connu, mais qui gagne de manière inattendue, d’où l’expression un candidat “cheval noir”…) durant la convention de parti républicain qui s’annonce.

Le plus étrange à ce propos est que Mattis est soutenu par à la fois la gauche et la droite ou par des factions clef de chaque qui sont alignées sur et très proche du lobby israélien (AIPAC), dont on peut maintenant parfaitement assumer qu’il représente aussi la Turquie et l’Arabie Saoudite.

Est-ce que Mattis, un général inconnu de tout le monde, va être capable de mettre KO Donald Trump et de défaire Hillary Clinton ? Cela veut-il dire que malgré leurs déclarations publiques indiquant du contraire, Trump et Clinton ne sont pas des candidats acceptables pour Israël et susceptibles de suivre la politique d’Obama ?

Ce à quoi nous assistons est un mouvement vers un Nouvel Ordre Mondial où les États-Unis tels que nous les connaissons, n’auront plus de rôle actif dans les affaires mondiales. Que savent-ils que nous ne savons pas ?…

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Et donc, le John dont le petit nom est « Mad Dog on the line » (en référence au film Danny the Dog et le moins qu’on puisse dire c’est que c’est saignant) désigné comme un « cheval noir » est nommé à la Défense par Trump que ses amis appellent « Duffy »… Ou pas…

Sur l’organisation formée à la fin des années 1920, d’une coalition entre le famille Bush aux États-Unis, alors partie intégrante (NdT : par le truchement du grand-père Prescott Bush) du cartel banquier Harriman/Rothschild de New York et de la City de Londres et du “Project Hitler” ► Lire l’article de Dean Henderson paru en 2011 sur Global Research et traduit ici par Global SPACE ça peut aider à comprendre bien des choses.

John Mattis est également connu pour certains de ces commentaires polémiques notamment quand il affirme en 2005 trouver « sympa de tirer sur des gens« .

Son autre surnom à Johnny c’est le « Moine Soldat » ; Bigre !

On l’imagine bien affirmer que Le viol du Timor Oriental ; « ça a l’air marrant » ! Ici.

John « Mad Dog » Mattis : L’ancien général des marines est un dur, prêt à en découdre avec tous les ennemis, réels ou supposés, de l’Amérique : les islamistes, les Iraniens, les Russes.

Alors, on est toujours aussi content d’avoir voté Trump ?

Ou d’avoir voté tout court, d’ailleurs !

En fait, je suis tout à fait d’accord avec Résistance71 qui vient d’écrire ceci : il devient de plus en plus inutile de dire que voter en 2017 sera, plus que jamais, un acte de complicité aux crimes commis et à commettre de toutes ces ordures du pouvoir corrompu. Dans sa publication du jour.

Sachez que le François Fillon envisage de nommer un certain Henry De Castries à Bercy s’il est élu en 2017

Participants français au Bilderberg 2016, Dresde 10-12 juin 2016 :

  • Henri de Castries, Chairman Bilderberg Group, PDG groupe AXA
  • Patricia Barbizet, PDG Artémis
  • Nicolas Baverez, associé, Gibson, Dunn & Crutcher
  • Olivier Blanchard, du Peterson Institute
  • Emmanuelle Charpentier, Directrice Max Planck Institute for Infection Biology
  • Laurent Fabius, président du Conseil Constitutionnel
  • Etienne Gernell, directeur d’édition, Le Point
  • Edouard Philippe, Maire du Havre (LR)
  • Christine Lagarde, directrice du FMI

Liste intégrale des participants à la réunion du dernier Bilderberg ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/06/07/bilderberger-2016/

Alors, toujours envie de voter en 2017 ?

Bon, François le Petit vient de jeter l’éponge mais ne vous réjouissez pas trop vite.

Et réfléchissez bien, car nous n’avons pas besoin d’eux, nous ! Mais eux ; Si

JBL1960