Sur les traces de la fine équipe du 11…

Et il faudrait leur faire confiance ?

Et choisir entre la peste et le choléra ? NON, ÇA SUFFIT et ¡YA BASTA!

J’ai souvent dit que j’avais l’impression d’être dans la production Hollywoodienne :  » La Somme de toutes les peurs » aussi bien que dans « Un crime dans la tête » ou son remake, et tant les preuves que l’idée du 11/09/2001 n’a pu germer qu’à l’intérieur des cerveaux malades des psychopathes aux manettes. Et se réaliser grâce au « laisser-faire » des larbins des larbins des larbins… Et ça fait du monde !

Sur ce blog ce billet est à relier à celui-ci très complet = 11 septembre 2001

Et en lisant le dernier article de Gordon Duff Source : Veterans Today j’ai eu l’impression de me retrouver dans « Retour vers le Futur« , quand Doc vole du plutonium à des terroristes Libyens…

Voici l’historique de la Société de stockage Pantex près d’Amarillo au Texas, même si c’est Wikipédia, ça constitue un bon début de preuve et donc à nous de creuser = https://fr.wikipedia.org/wiki/Pantex

Et je me permets de vous rappeler que le Sénateur du Texas, un certain Ted Cruz, concurrent républicain malheureux au Potus 2016 a expliqué, dans une vidéo qui se trouve dans ce billet = Meurtre Mort Détruire (ouais, c’est dans Demolition Man, faut dire qu’ils nous donne du grain à moudre aussi, non ?) comment on fait cuire du bacon au Texas : Au canon d’une kalach’ « Machine Gun Bacon » et vous voudriez qu’on leur accorde toute notre confiance ?

Traduit de l’anglais par Résistance71 : Url de l’article = https://resistance71.wordpress.com/2016/10/07/nouvel-ordre-mondial-11-septembre-nucleaire-suite/

Attentats du 11 septembre 2001… Tracer la carte, suivre les engins nucléaires

 Gordon Duff |  5 octobre 2016 |  url de l’article original en anglais : http://www.veteranstoday.com/2016/10/05/911-filling-in-the-map-tracing-the-nukes/

Pour la première fois depuis environ un an, un enquêteur sur le 11 septembre a révélé une information hautement classifiée sur les véritables évènements s’étant déroulés le 11 septembre 2001, non pas une attaque terroriste, mais une attaque nucléaire sur les États-Unis, sans surprise aucune, une que les États-Unis avaient attendu, une attaque qui avait été prédite par un ancien président des États-Unis et une possibilité qui fut volontairement ignorée par le président Clinton et probablement facilitée par George W. Bush, qui a certainement habilité la protection et le maquillage.

Dès 1996, des gens de l’intérieur, comprenant l’ancien président George H.W. Bush (le père), savaient que les États-Unis étaient susceptibles d’être victime de terrorisme nucléaire. Ce fut la “somme de toute les peurs”, comme décrite dans le film, vol d’armes nucléaires, mise en place sous une cible icône, mais ceux impliqués ne furent certainement pas des terroristes au sens commun du terme.

Soyons ici parfaitement clairs, si on regarde les informations aujourd’hui sans suspecter que les États-Unis ont créé et ont géré depuis le départ al Qaïda, alors on peut dire qu’on fonctionne sans avoir toutes les cartes requises en main pour comprendre et jouer.

Ce qui change maintenant est qu’avec le veto d’Obama qui a été outrepassé par le Congrès la semaine dernière, l’Arabie Saoudite peut être trainée en justice pour complicité dans les attentats du 11 septembre. Il y a eu et il y a des preuves de l’implication de l’Arabie Saoudite, même dans le faux-narratif limité publié dans le rapport officiel du 11 septembre en 2005 ou dans les soi-disant 28 pages manquantes.”

De véritables rapports montrent aussi que Mohamed Atta, l’ancien officier de la sécurité égyptienne, alors travaillant avec le renseignement saoudien, a été un planificateur opérationnel depuis son appartement loué de Fort Lee. Là où le maquillage réussit est qu’Atta était sous la surveillance d’une équipe spéciale qui enquêtait sur le terrorisme nucléaire contre les États-Unis.

Cette équipe, originellement commandée par l’agent spécial du FBI John O’Neill puis plus tard par l’agent spécial Michael Dick, incluant le spécialiste nucléaire Jeff Smith, fut basée à Fort Lee dans l’état du New Jersey, pas seulement pour observer Atta, mais pour observer Atta et ses complices, qui incluaient des équipes israéliennes utilisant une planque à quelques pâtés de maisons de là.
C’est le véritable sujet de l’enquête réelle et les archives de tout ceci, saisies par le Department of Homeland Security (DHS) et retenues classifiées pour les prochaines 50 années ; ces documents racontent une toute autre histoire, une de celles qui implique Israël, profondément et à chaque tournant, ainsi que des traîtres au sein du Pentagone.

Ce que nous pouvons faire maintenant est d’ouvrir les portes pour les avocats et conseillers juridiques pour poursuivre l’Arabie Saoudite. Sans ce qui est contenu ici, aucun conseiller ne pourra même se voir refuser des documents détaillant les témoins et les preuves qui, d’après le narratif populaire fictionnel, n’existent pas.

Si le fric est la seule raison d’aller en justice, alors les gars, allez-y, traînez l’Arabie devant les tribunaux. Mais si c’est la justice qu’on désire, alors attaquez en justice Israël et ses amis. Nous avons tous leurs noms et tout ce qui est requis pour prouver leur complicité.
Voici ce qui est maintenant ajouté au narratif, pas le narratif officiel, mais celui fondé sur l’enquête de 2003. L’information qui suit provient du rapport préliminaire du Ministère de l’Énergie (DOE) des États-Unis sur les évènements ayant eu lieu le 11 septembre 2001:

  • Les bâtiments détruits sur le site du World Trade Center le furent par l’utilisation d’engins nucléaires amenés aux États-Unis via l’aéroport de Teterboro, d’après le rapport du DOE. Les déclarations des enquêteurs disent que “il n’y avait pas de formulaires douaniers à remplir par les équipages du vol. Il n’y a jamais eu aucune inspection ni des bagages ni de l’avion.”
  • Les enquêteurs de l’Opération “Able Danger” tracèrent les engins dans l’aéroport et maintinrent la surveillance de tous ceux impliqués jusqu’à ce que les archives d’enregistrements fussent saisies sur ordre de Michael Tchertoff (NdT: alors patron du DHS).
    Lorsque l’enquête nucléaire se déplaça à Fort Lee, il y avait en place là-bas une force spéciale multi-agence pour enquêter sur les paris clandestins de la mafia dans la zone. Ce fut cette enquête que Mike Dick et Jeff Smith prirent en compte, surveillance d’Atta, du proche aéroport et des équipes israéliennes.
  • La destruction du bâtiment 7 fut le résultat d’engins nucléaires placés dans des réservoirs de produit anti-incendie Halon de 25 litres placés dans le complexe sous le couvert d’un programme de mise à jour des équipements anti-incendie, d’après le rapport du DOE.
  • L’entreprise de sécurité de l’aéroport de Teterboro, depuis le 11 septembre 2001, a fait passer dans le pays tout un tas de cargos illicites. Donald Trump et les Clinton ont utilisé Teterboro extensivement et n’ont jamais eu leurs avions examiné, ni leurs passagers soumis à quelque inspection douanière que ce soit.

Ceci est la nouvelle information qui n’est d’utilité que pour ceux qui connaissent la vérité derrière les attentats du 11 septembre.

L’histoire commence:

En Mai 2014, VT a reçu des dossiers de la véritable enquête sur le 11 septembre faite par le ministère de l’énergie (DOE) des États-Unis. Pour ceux qui ne sont pas au courant, le DOE fabrique des armes nucléaires sous le déguisement innocent de noms à consonance d’utilité publique.

Dès le 12 septembre 2001, l’Agence Internationale pour l’Énergie Atomique (AIEA) affiliée à l’ONU, travaillait avec eux. Ses enquêteurs étaient à l’ONU de New York en ce jour funeste. Ils ont saisi leur compteurs Geiger, ont mis leurs casques de chantier jaunes et leurs badges “Con Ed” de la compagnie de l’électricité new-yorkaise, leurs cirés jaunes et ont commencé à enregistrer les signatures ionisées radioactives et à collecter des échantillons du sol.

Sous-titre d’une photo de l’article original:

Tandis que les artificiers au camion du Mossad le 11 septembre placèrent quelques tonnes d’explosifs sur le pont George Washington qui durent être désamorcés et retirés, furent autorisés à retourner en Israël, ces cinq “Israéliens dansant” furent détenus plusieurs mois avant de pouvoir retourner en Israël où ils passèrent à la télévision et y affirmaient qu’ils avaient été envoyés sur place pour documenter la destruction du WTC. Le plan du Mossad étant de faire porter le chapeau aux Palestiniens.

Les documents de l’opération Able Danger sur les citoyens israéliens arrêtés le 11 septembre. La Florida Connection est la Jeb Bush connection…

Origine profonde

L’histoire commença comme une histoire de prolifération nucléaire, soi-disant d’Israël, ignorée par le gouvernement Clinton. Voyez-vous, durant le réchauffement des relations entre les USA et la Russie, le traité START (Strategic Arms Limitations Treaties) força les USA de démanteler des milliers de têtes nucléaires.

Celles qui furent démantelées en premier lieu furent les plus vieilles contenant des noyaux de plutonium qui s’étaient transformés en des niveaux devenus dangereux de PU240. Ces armes furent retirées des stocks en rapport à la date de manufacture des noyaux fissiles. Il y avait des raisons multiples à cela:

  • Plus les fabrications sont anciennes, plus le plutonium dégénère.
  • Les noyaux fabriqués ensemble seraient retirés, numérotés et entreposés pour recyclage potentiel, le tout jugé sur des noyaux du même lot (par exemple: 2 mai 1984, HANFORD 7) représentant ainsi une réserve prête à être reconfigurée et à retourner en service.

Et alors voyez-vous que ces listes de noyaux indiquant de qui et de où, tombèrent entre les mains d’un allié des États-Unis: Israël. C’est alors que les noyaux de plutonium commencèrent à disparaître de l’usine de désassemblage et de stockage Pantex de la ville d’Amarillo au Texas ; pas de manière hasardeuse, mais par paires correspondantes, donnant la confirmation que ces listes secrètes avaient été compromises, ou avaient été gérées par notre source, ce Tom Countryman, qui avait accès aux listes et les avaient donné à Israël.
L’ancien président George H.W Bush, depuis ses bureaux sur Memorial Drive à Houston TX, paya une équipe d’enquêteurs pour regarder ce que William “Bill” Jefferson Clinton ne voulait pas, peut-être à cause de sa position compromettante avec Monica Levinski ou autre affaire.

Bush loua les services de l’agent de la CIA Roland Carnaby et du physicien et inspecteur de l’AIEA Jeff Smith. John Wheeler III, un consultant à la Maison Blanche et John O’Neill du FBI les aidèrent.

Carnaby est mort, abattu par la police durant un contrôle routier par la police de Houston. Smith, aujourd’hui avec nous à VT, est sous l’influence d’un baillon légal délivré par le grand jury secret de Houston sur le 11 septembre, Grand Jury qui est assis sur bien des preuves et qui fut créé par Michael Tchertoff et John Ashcroft, mandatés par Bush (fils) de mettre fin à une enquête potentiellement réussie et dangereuse sur les évènements du 11 septembre.

John Wheeler fut retrouvé mort dans une décharge publique du Delaware et John O’Neill fut tué durant les évènements du 11 septembre.

Lorsque leur rapport ne fut pas rendu public, l’équipe fuita les photos hautement classifiées (NdT: voir un exemple dans l’article original) montrant le gros cratère nucléaire avec ses volutes de granite vitrifié. La première explosion nucléaire dans le désert du Nevada transforma le sable en verre. Le carburant d’avion ne peut pas faire cela, ni du reste la nanothermite.

“Ajoutez à tous ces signes, le métal en fusion dans les fondations des tours 1, 2 et 7 qui ne put pas être refroidi/éteint pendant des mois après les évènements alors que les endroits étaient constamment arrosés d’eau et le sol changé quotidiennement alors qu’il consumait le béton, l’acier, le verre et les combustibles des bureaux ; l’incidence croissante de cancers induits seulement par radiations parmi les résidents, est un autre signe d’évènement nucléaire. Il y a aussi eu des photos aériennes de “poussées” de vapeurs qui s’échappaient des bouches d’aération publiques 2 ou 3 pâtés de maison au sud du WTC ou à Ground Zero.

“Et les températures très élevées de la surface du WTC après le 11 septembre. La très haute température fur enregistrée le 16 septembre 2001 par des caméras thermo-sensibles de la NASA dans des photos aériennes prises à 2000m d’altitude. Ces données furent mises en évidence dans la longue période prise, plus longue que d’accoutumée, à éteindre les nappes de métaux en fusion dans les niveaux des sous-sols des trois grattes-ciel. De fait, les endroits les plus chauds en surface enregistrés sur le “tas” le 16 septembre furent: WTC 1 (1,376º F), WTC 2 (1,1340º F), and WTC 7 (1160ºF).”

“Les extrémités des poutres d’acier se réchauffaient souvent au point de devenir intolérables. La chaleur préoccupait aussi les équipes de sauveteurs sur le site, surtout celles avec les chiens. Beaucoup n’avaient pas de protection pour leurs pattes. Plus d’un fut brûlé et au moins trois de ces chiens moururent sur le site en travaillant à Ground Zero.”

“Au lieu de ce que la chaleur ne diminue au bout d’une semaine, comme c’est généralement le cas après un gros incendie, les températures astronomiquement élevées demeurèrent ainsi pendant près de trois mois… La société de nettoyage sur le site la Bechtel Corporation, disposant de 40 employés en permanence sur les débris fit ce commentaire au sujet des conditions de travail:

“La pile de gravas à Ground Zero était toujours extrêmement chaude. Les mesures thermiques prises d’hélicoptère quotidiennement montraient des termpératures allant de 400 à plus de 2800oF. La surface était si chaude, que rester debout trop longtemps au même endroit provoquait la fonte de nos semelles de chaussures de sécurité.”

L’équipe de Houston payée par George H.W Bush commença à tracer les noyaux nucléaires manquants, environ 300. Elle trouva d’énormes erreurs dans la paperasserie de gestion entre les documents de décommission militaire et ceux de transferts du DOE. Aucun ne correspondait, pas même un petit peu. La plupart des documents archivés avaient disparu.

Plus de 1000 noyaux ont put disparaître, mais 350 fut le chiffre rapporté à l’ex-président Bush (père) par ses enquêteurs en 1998. Les noyaux furent tracés avoir quitté l’usine Pantex dans des camions frigorifiques d’où ils furent transférés dans une usine d’engrais à West, Texas. Pendant l’enquête sur les noyaux nucléaires manquants,  Jeff Smith les traça jusqu’au port de Houston en route vers les îles Canaries et aussi vers la nation africaine de la Mauritanie où ils furent stockés dans une mine de minerai de fer contrôlée par des extrémistes sud-africains travaillant étroitement avec Israël.

Ces mêmes Sud-Africains signèrent en 1975 un traité avec Israël pour développer des armes (nucléaires). Le 22 septembre 1979, ils firent exploser leur première bombe atomique au large de l’île de St Edward au sud de la ville du Cap. Ils développèrent également un programme d’armement biologique et bactériologique extensif sous la houlette d’un cardiologue, le Dr. Woulter Basson, qui développa quelques unes des armes biologiques les plus virulentes jamais développées par l’Homme
L’Afrique du Sud avaient 10 armes nucléaires de type Hiroshima jusqu’à ce que le programme soit démantelé à partir de 1991, démantèlement supervisé par le Dr. David Kelly et son jeune assistant David Cameron. Kelly fut plus tard retrouvé mort des suites d’un présumé suicide et Cameron lui, se retrouva encore plus mystérieusement, à la tête de la Grande-Bretagne comme Premier Ministre.

Cette “ratière” est celle utilisée pendant longtemps par le “Seigneur de la guerre” Victor Bout (NdT: photo dans l’article original)

C’est ainsi que des arsenaux nucléaires militaires sont apparus dans une bonne demie douzaine de pays comme l’Arabie Saoudite, Taïwan et la Corée du Sud.

Un des enquêteurs était à New-York depuis quelque temps. Il vivait à Fort Lee, New Jersey.

L’équipe originale fut dirigée par John O’Neill, qui reçut pour tâche de chasser et de traquer Oussama Bin Laden mais, ce faisant, il tomba sur quelque chose de bien différent, quelque chose qu’il apprit alors qu’il travaillait au Yémen. Nous pensons qu’il y apprit que Bin Laden avait voyagé vers et hors des États-Unis, ce que nous avons de confirmé et ce jusqu’au 11 septembre, bin Laden était activement employé par la CIA.

Il n’y a pas d’archives répertoriées d’O’Neill travaillant avec Able Danger à Fort Lee, autre que notre contact direct avec ses collègues sur cette affectation qui affirment qu’il fut forcé de partir, publiquement accusé d’avoir négligemment placé des informations classifiées secrètes, qui furent retrouvées plus tard.

Des questions demeurent, comme celle demandant pourquoi n’y eut-il aucune tentative de gérer cette menace nucléaire ? Il y a une histoire qui a circulé durant les années 1990 qu’Israël avait stocké du matériel nucléaire, peut-être même des armes, dans son consulat de New York. En 2007/2008, cette histoire commença à tourner sur internet mais jamais en relation avec le 11 septembre.

Ce qu’on sait

Nous savons que des engins nucléaires spécialisés utiles pour ce genre de scenario ont été créés par une équipe du Los Alamos National Laboratories (LANL), des armes qui laissent très peu voire pas de radiation résiduelle à moins que, comme ce fut le cas pour le 11 septembre, de l’eau ne soit déversée sur le sol pour refroidir le sous-sol de Ground Zero brûlant par l’acier fondu mélangé au granit liquéfié ayant pris une forme de magma, qui a persisté à New York jusqu’en 2002.

Nous n’avons pas été capables de confirmer que cette équipe a fait partie de la conspiration nucléaire, mais nous avons confirmé que le leader de l’équipe fut un des instigateurs de l’”absurde théorie de la détonation par nano-thermite”.

Nous savons également qu’un Grand Jury siégeant à Houston au Texas, réduit activement au silence tous ceux impliqués dans l’opération “Able Danger”, c’est à dire les derniers qui ont survécus à une série “d’accidents” et autre mésaventures. Tous sont sous la menace d’emprisonnement pour violation du Patriot Act si des informations révélant la complicité du gouvernement des États-Unis sont amenées sur la place publique.

Un aspect clef et tout à fait confirmé de cette histoire est l’arsenal nucléaire américain qui est complètement ravagé. Cette documentation est “quelque part” comme preuve de l’utilisation d’armes nucléaires par Israël, les Etats-Unis et d’autres nations en au moins une douzaine d’occasions depuis 1945, d’après des sources de haut niveau au sein de l’AIEA.

Plus d’info sur Fort Lee et ce voyage particulier de l’autre côté du miroir:

“Une fois de plus sur le chemin de briques dorées”

Fort Lee dans le New Jersey à joué un rôle clef dans les attentats du 11 septembre 2001. Nous mettons sur carte en utilisant Google Earth, quelques incidents impliqués avec la présentation d’une réponse logique au maquillage officiel, à la fois la version du gouvernement et de la version B amateur.

Le pont George Washington

Toutes les routes principales menant et sortant de New-York devaient être détruites en ce 11 septembre 2001. Ce fut ces équipes, amenées d’Israël et incluant le groupe de Mohamed Atta, ayant des liens directs confirmés avec à la fois la CIA et le renseignement égyptien, qui étaient mis sous surveillance par une force spéciale qui coordonnait son action avec les forces de police locales.

Ainsi, lorsque quelques tonnes d’explosif furent placées dans le système d’ancrage par câbles du pont, des équipes furent envoyées sur place pour désamorcer ces engins dès que les attaques sur le WTC commencèrent.

Simultanément avec la section des câbles, un énorme camion bombe, comme décrit par des rapports d’information de CBS et CNN News ainsi que par des interceptions de communication de police, devait exploser (comme entendu, la police a de fait rapporté que ce camion avait bien explosé), détruire les soutiens du pont et de l’autoroute et précipiter le pont entier dans la rivière Hudson “comme un caillou”.

Abattre le bâtiment 7 du WTC et planquer les engins nucléaires

Comment cacher des engins nucléaires dans un gratte-ciel : déguiser la charge en un réservoir Halon anti-incendie.

Les tunnels

Les deux tunnels de Holland et Lincoln devaient aussi être démolis en ce 11 septembre. Nous avons seulement une seule arrestation confirmée du côté de l’île de Manhattan. Les barrages de la police de New York (NYPD) au tunnel Lincoln ont pris en chasse un van qui avait rapidement fait demi-tour pour éviter une interpellation. Deux suspects furent arrêtés avec des armes et la fourgonnette remplie d’explosifs.

Le commissaire de police Bernie Kerik, récemment sorti de prison, était sur place avec son personnel de la brigade anti-terrorisme afin de prendre l’affaire en charge. On ne les a plus revu depuis.

Le rôle des cellules locales terroristes

Sur place, il y avait des personnels locaux, certains ayant des connexions directes avec la “mafia ukrainienne kosher” ou avec:

  1. Des véhicules pour transbahuter les explosifs
  2. Un accès aux facilités de la Transit Authority, véhicules et personnels pour y déposer les explosifs
  3. Une coopération avec la sécurité d’un condo/co-op assurant un accès sans obstacle aux toits alentours

L’enquête de l’opération Able Danger, des années plus tard, son personnel éviscéré par le chantage sur Clinton, traça une opération majeure depuis Fort Lee dans le New Jersey. Ils y trouvèrent la CIA, le Mossad et le renseignement saoudien montant de concert des équipes opérationnelles, circulant avec des fourgonnettes, des “étudiants en art” et même quelques “israéliens dansant”…
Les groupes de “danseurs/étudiants en art” avaient des tâches différentes le 11 septembre. A l’exception d’une équipe, tous retournèrent en Israël après une visite en Arabie Saoudite. Ceci était la soi-disant “famille bin Laden” pour laquelle Bush avait commandé et affrété un avion spécial.

Il n’y avait aucun membre de la famille bin Laden sur le sol des États-Unis alors qu’Oussama bin Laden avait été placé sur la liste officielle terroriste depuis plusieurs années au moment des attentas du 11 septembre 2001, une histoire en elle-même:

  • Décharger les armes nucléaires à l’aéroport de Teterboro
  • Transporter les engins sur place à Ground Zero
  • Préparer les camions bombes pour le pont George Washington, les tunnels Holland et Lincoln et l’ancrage des câbles
  • Mettre en place les brouilleurs électroniques sur les toits des bâtiments pour bloquer les transmissions des autorités de transport et des secours
  • Mettre les explosifs du côté New Jersey du pont Washington, là où sont ancrés les câbles de soutien afin de faire s’écrouler le pont
  • Coordonner avec Mohamed Atta et son groupe avec aussi le renseignement saoudien

Des trois brouilleurs mis en place dont l’endroit précis est montré sur la carte (cf article original), deux d’entre eux ont été récupérés par la FCC et sont détenus comme preuves à Houston au Texas, en attente de la Saint-Glinglin quand le Grand Jury se réunira de nouveau au sujet d’Able Danger et du 11 septembre.

Beaucoup se souviennent de cette histoire au sujet des radios des pompiers qui ne marchaient plus et du comment de nouvelles radios auraient pu solutionner le problème. Ceci est la véritable raison des problèmes de transmission et de communication des services de secours.
Les endroits sur cette carte furent fournis par Jeff Smith qui travailla à la planque “sous-marin” et au bureau du FBI indiqué sur la carte. La planque “sous-marin” de surveillance était utilement et stratégiquement placée sur Tom Hunter road pour surveiller les “étudiants en art” du Mossad un peu plus haut sur la rue et en face. Mohamed Atta vivait au 215 Main, 4 pâtés de maisons plus loin, à distance de marche facile des Israéliens, des cibles de brouillage et du pont. Il se situait en face du parking des autorités portuaires (220 Bruce Reynolds road) qui était à un saut de puce des bureaux d’enquête du FBI.

C’est l’autorité portuaire qui a choisi l’entreprise de sécurité qui s’occupait de l’aéroport de Teterboro, entreprise qui fit passer sans encombre les cargos contenant les armes nucléaires pour non seulement les camions sous les tours jumelles mais aussi ceux des extincteurs halon qui descendirent le bâtiment 7 également.

Le véritable objectif de l’attaque du 11 septembre 2001 était bien au-delà de mettre à bas le World Trade Center. Imaginez la ville de New York, le WTC “évaporé”, le pont George Washington au fond de la rivière Hudson, les tunnels Holland et Lincoln inondés, des centaines de personnes noyées et la ville entière coupée de toute communication en mode panique total avec les radios de police et des services de secours brouillées.

Y a t’il eu d’autres attaques avortées sur Washington ? La Maison Blanche et les bâtiments du capitole étaient-ils des cibles ? La loi martiale aurait-elle être pu déclarée ? pire ?

Au bout du compte, on nous a imposé le ministère de la sécurité de la patrie (DHS). Ceci me rappelle le livre de fiction le Len Deighton, SSGB, un roman sur Scotland yard travaillant pour les SS nazis après l’invasion réussie d’Hitler de la Grande-Bretagne. On nous a mis le DHS après notre guerre perdue contre l’AIPAC (American Israel Public Affairs Commitee). Impossible d’inventer un truc pareil !

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VT demande expressément que les policiers qui ont arrêté les “suspects” israéliens avec “quelques tonnes d’explosif” (CNN) ou qui furent capturés alors “que la fourgonnette explosait”, sortent de l’ombre.

Nous demandons également que tous les témoins du second avion qui fut autorisé à quitter les États-Unis ce jour-là sortent de l’ombre, afin de confirmer qu’il transportait bien l’équipe israélienne “sortante”, incluant ceux mentionnés ci-dessus et qui furent interpellés. Nous savons qui a autorisé cet avion à quitter le territoire des États-Unis, un aspect clef de l’opération, incluant les officiels de la police de New York qui nous gratifièrent de quelques tours de magie ce jour-là.

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Fort Lee

Fort Lee est le centre nerveux de toute l’opération de terrain de ce 11 septembre 2001. Cet endroit fut choisi pour une bonne raison. Des rapports d’information sur le 11 septembre ont été éliminés des archives, des listes de terroristes pris puis relâchés sur ordres de la ville (mairie) de New York et d’officiels de la Maison Blanche pour être ensuite exfiltrés hors du pays, ont disparu. Les policiers qui procédèrent à ces arrestations mentionnées ci-dessus, sont sous bâillon légal (gag order).

De plus, un vaste réseau de soutien impliqué dans la préparation, la planification et la logistique des attaques du 11 septembre, incluant les nombreuses attaques avortées, dont les membres non seulement sont toujours en liberté, mais se trouvent parmi les plus puissants des Américains.

Comme nous l’avons dit, le 11 septembre commence à Fort Lee dans le New Jersey.

La communauté “condo et co-op” qui s’y trouve est une des plus grandes et des plus politiquement puissantes communautés d’”Israël par dessus tout” aux États-Unis, incluant des membres clef de la célèbre organisation du Jewish Institute for National Security Affairs ou JINSA, réputé pour être de plus d’influence que le think-tank du Project for a New American Century (PNAC) et bien plus militant.

Un examen attentif du JINSA montre qu’il est organisé en cellules comme un groupe terroriste.

Est-ce vraiment une surprise que le pont George Washington, le lieu le plus marquant de Fort Lee et la “vue” recherchée par les résidents des hauteurs choisis pour positionner les brouilleurs électroniques, fut programmé pour une démolition spectaculaire en ce 11 septembre avec pour conséquence la précipitation de centaines d’usagers au fond de la rivière Hudson ?

La mafia de Fort Lee

Depuis les années 1930, Fort Lee a été une “ville mafieuse” avec les débuts de “Meurtre and Co” et le gang d’Albert Anastasia et Joe Adonis. Tout a commencé lorsque le maire de New York, LaGuardia, expulsa la mafia de New York. Le pont George Washington fournit alors un lieu refuge à la mafia dans Fort Lee pour établir des casinos clandestins le long des palissades des deux côtés du pont GW. La chute du communisme a vu le crime organisé russo-ukrainien venir dans le New Jersey, s’installant à Fort Lee (voir appendice 1). Le groupe Taiwanchik-Trincher est un amalgame de gangs israélo-ukraino-chypriotes gérant les opérations de paris clandestins au travers des États-Unis ayant des liens étroits avec le groupe financier Romney/Bain (NdT: le même Romney qui fut candidat à la présidentielle américaine pour les républicains contre Obama !…) Ceci est un extrait qui provient d’une mise en accusation d’un tribunal fédéral de Manhattan:

“L’organisation Taiwanchik-Trinche (ou “l’Organisation”) était une entreprise criminelle ayant des liens très étroits avec la Russie et l’Ukraine. L’entreprise gérait une affaire illégale de gros paris clandestins sportifs depuis la ville de New York, ce business s’adressait essentiellement à des oligarques vivant en Russie et en Ukraine. Entre 2006 et avril 2012, l’entreprise a lavé plus blanc quelques 100 millions de dollars des opérations de paris clandestins en Russie et en Ukraine au travers de sociétés et de comptes en banque paravents à Chypre et de ces 100 millions de $ blanchis, environ 50 millions furent envoyés aux États-Unis depuis Chypre. Une fois l’argent arrivé aux États-Unis, il était soit encore recyclé dans des sociétés paravents soit directement investi dans des affaires légitimes comme les hedge funds ou l’immobilier.

“L’organisation Taiwanchik-Trinche opérait sous la protection d’Alimzhan Tokhthakounov, connu sous le pseudo de “Vor”, un terme qu’on peut traduire par “voleur par la loi”, ce qui se réfère à un membre d’un groupe très select de criminels de haut niveau issus de l’URSS. Tokhtakhounov est aussi prévenu dans une procédure judiciaire du district sud de New York pour sa participation supposée dans la corruption de fonctionnaires et d’officiels durant les JO d’hiver de Salt Lake City en 2002. Tokhtakhounov est un fugitif toujours recherché.”

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Documents et sources dans l’article original

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Et donc ; Ouvrons-la parce que ça urge un peu quand même…

Aujourd’hui on peut lire sur Le Saker Francophone l’analyse de Moon Of Alabama du 04/10/16 sur le bordel Syrien et franchement, je ne partage pas leur optimisme exprimé en conclusion. Après la lecture de Gordun Duff miser sur lâcheté des psychopathes aux manettes, c’est tout de même un peu risqué, non ?

La Russie ne cédera pas aux exigences américaines sans se battre de toutes ses forces. Elle fait le pari qu’Obama, les membres de son administration et les généraux du Pentagone sont, finalement, des lâches habitués à leur petit confort. Elle a, à mon avis, une très grande chance de gagner son pari.

La Russie se prépare à une vraie guerre en Syrie…

… Pour faire face aux attaques par procuration des États-Unis. En effet, la Russie a interprété comme une menace directe les propos tenus par le porte-parole du Département d’État US lors du point de presse du 28 septembre dernier.

Bref échange entre un un journaliste et le porte-parole du Département d’État des États-Unis lors du briefing quotidien à la presse du 28 septembre 2016. Porte-parole : John Kirby

QUESTION : Mais je crois qu’on n’a pas parlé ici des conséquences pour la Russie, si cet accord tombe à l’eau, à part pour quelques échanges inter-institutions sur des options qui n’ont pas encore été choisies. Quelles sont les conséquences pour la Russie, à part le fait que le Secrétaire Kerry ne lui parlera plus de cette question à l’avenir ?

KIRBY : Les conséquences sont que la guerre civile se poursuivra en Syrie, que les extrémistes et les groupes extrémistes continueront à exploiter les vides en Syrie pour étendre leurs activités qui comprendront, sans aucun doute, des attaques contre les intérêts russes, peut-être même contre des villes russes, et la Russie continuera à renvoyer des soldats à la maison dans des sacs mortuaires, et ils vont continuer à perdre des ressources – et même, peut-être, d’autres avions.

La Fédération de Russie n’a pas interprété ces paroles comme une prédiction ou un avertissement, mais comme une menace directe.

L’accord de cessez-le feu est tombé à l’eau. Les États-Unis en sont essentiellement responsables parce qu’ils n’ont PAS poussé leurs forces par procuration en Syrie à le respecter. Ils ont blâmé, comme d’habitude, le camp russe qui a respecté le cessez-le-feu à la lettre.

Voilà ce qui est ensuite arrivé :

Le Front al-Nusra bombarde l’ambassade de Russie à Damas

L’ambassade de Russie à Damas a été bombardée depuis les zones contrôlées par les militants du Front al-Nusra et de Faylaq al-Rahman, a annoncé le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.

«La mission diplomatique russe a été bombardée au mortier le 3 octobre. Une des mines a explosé sur le domaine de l’ambassade, près du secteur résidentiel. Heureusement, personne n’a été blessé. La mission diplomatique a subi des dommages matériels. Deux autres mines ont explosé à côté de l’ambassade». Le ministère a déclaré que les tirs provenaient de la municipalité de Jobar qui est contrôlée par les terroristes du Front al-Nusra et de Faylaq al-Rahman. «Nous considérons ce bombardement de l’ambassade de Russie comme la conséquence des actions de ceux qui, à l’instar des États-Unis et de leurs alliés, provoquent le violent conflit en Syrie, en flirtant avec les militants et les extrémistes de toutes sortes.»

La Russie a déployé des bombardiers supplémentaires en Syrie. On ne sait pas encore combien. Mais, dès qu’ils seront opérationnels, les rebelles devront faire face à beaucoup plus d’attaques aériennes. Quelques semaines de bombardements intensifs vont détériorer leurs capacités logistiques , de commandement et de contrôle, au point qu’ils ne pourront plus mener une lutte organisée.

La Russie a aussi déployé une batterie de systèmes de défense aérienne S-300. Très précisément des S-300VM, qu’on appelle également Antey-2500. Ils sont spécialement conçus pour la défense contre les missiles de croisière et les missiles balistiques. Le système sera installé près du port de Tartous et protégera la côte est de la Syrie ainsi que la flotte russe qui se trouve en Méditerranée orientale. Elle a également de bonnes capacités de défense contre les avions d’attaque. Tout cela rendrait très difficile une attaque de missiles de croisière par les États-Unis contre les aéroports syriens et russes et les forces aériennes en Syrie, comme cela est en discussion dans divers journaux américains, dans le but de commencer une guerre de «zone d’exclusion aérienne».

Et il y a ceci:

Elijah J. Magnier @EjmAlrai

#Damas a accepté & #Russie est prête à envoyer plusieurs milliers de forces spéciales et des officiers de diverses unités ce mois-ci à #Syrie.

09:57 − 4 octobre 2016

La décision finale a été prise, je crois, après l’attaque étasunienne sur les positions de l’armée syrienne à Deir Ezzor qui a ouvert l’accès de la ville assiégée à État islamique. Cela, et le bombardement américain actuel des ponts de Deir Ezzor, offrira à État islamique un espace dans lequel il pourra survivre. La Russie ne peut, ni ne veut tolérer une chose pareille.

Les États-Unis veulent, par manque d’une meilleure idée, jouer aux durs avec la Russie. Mais ils ne veulent pas la guerre. La Russie aussi durcit ses muscles. Elle veut que les États-Unis comprennent qu’il leur faudra, en effet, déclarer une vraie guerre à la Russie et à ses alliés s’ils souhaitent faire ce qu’ils veulent en Syrie. Armer toujours plus leurs mercenaires d’al-Qaïda, comme Washington le fait actuellement, ne changera rien à l’affaire.

La Russie ne cédera pas aux exigences américaines sans se battre de toutes ses forces. Elle fait le pari qu’Obama, les membres de son administration et les généraux du Pentagone sont, finalement, des lâches habitués à leur petit confort. Elle a, à mon avis, une très grande chance de gagner son pari.

Traduction : Dominique Muselet

Url de l’article = http://lesakerfrancophone.fr/la-russie-se-prepare-a-une-vraie-guerre-en-syrie

Et d’ailleurs, vous pouvez lire l’article suivant de The Saker Is, himself ; Ici qui s’interroge et on le comprend…

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Alors plus que jamais, choisissons-nous, initions un nouveau paradigme en lien avec les Natifs  et basta !

Nous avons toutes les preuves nécessaires qui démontrent qu’il faut nous tenir le plus éloigné possible de tous ce bazar.

Ne leur faites plus confiance, jamais !

Ignorons-les ! Et commençons à vivre…

JBL1960

 

13 réflexions sur « Sur les traces de la fine équipe du 11… »

    1. C’est à dire qu’il s’est auto-auréolé plutôt, non ? Oblabla a repris les mots de Bush en déclarant que la vie des Zuniens n’étaient pas négociable ! L’aigle s’est transformé en faucon, puis en vrai con. D’ailleurs, à l’image de notre Moi Zident, qui a réussi à transformer l’emblème de la France, un coq gaulois, en chapon (soit un coq sans couille !) Voilà, voilà ; Fais rire maintenant et c’est à Hollandouille que je m’adresse hein ?

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    1. https://francais.rt.com/international/35602-11-septembre-800-familles-victimes-portent-plainte-contre-arabie-saoudite

      «La plainte détaille comment l’ambassade saoudienne a apporté son soutien aux terroristes Salem al-Hazmi et Khalid Al-Mindhar, 18 mois avant le 11 septembre 2001», précise notamment le média new-yorkais. «Les responsables saoudiens ont aidé les terroristes à trouver des appartements, apprendre l’anglais, obtenir des cartes de crédit et de l’argent liquide», poursuit-il, avant de résumer ainsi leur implication : «Ils les ont aidé à se fondre dans le paysage américain».

      Selon la plainte, des fonctionnaires de l’ambassade d’Arabie saoudite en Allemagne ont en outre directement soutenu l’un des principaux pirate de l’air, Mohamed Atta. L’avocat James Kreindler – qui précise que de nombreuses informations contenues dans la plainte émanent de l’enquête réalisée par le FBI – assure qu’un responsable saoudien a passé la nuit précédant l’attaque dans le même hôtel que plusieurs des terroristes.

      Bon ça se complique un peu, quand même…

      Heureusement que le vieux Rockefeller est mort hier !

      Nécrologie nécessaire: Une ordure de plus en moins…


      « Nous apprenons avec une joie non dissimulée la mort le 20 mars 2017, d’une des plus grandes ordures que la terre ait portée: le milliardaire David Rockefeller, que son fric a réussi à maintenir honteusement en vie jusqu’à l’âge de 101 ans. »

      Bon, je n’ai pas sauté de joie, perso, mais j’ai pas chialé non plus !

      R.I.S. Rocky
      {Rest In Shit}

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