CONTRE LA TYRANNIE TECHNOTRONIQUE : NON à la PUCE RFID, à la RECONNAISSANCE FACIALE, aux EMPREINTES BIOMÉTRIQUES

EN FRANCE !

Pour stopper net la DICTATURE TECHNOTRONIQUE mise en place par ceux qui sont derrière la réduction programmée de l’Humanité, grâce à la 5G, les compteurs communicants, les cryptomonnaies, le puçage RFID pour nous enfermer dans des Mégalopoles Connectées et après un “nettoyage” de 7 milliards d’humains, les 500 millions restant étant parqués dans les fameuses Smart-City/Villes connectées, véritables Gattaca/Ghettos technotroniques, tandis que l’élite toujours auto-proclamée vivra dans ses “zones vertes” de luxe, de jouvence et de délires transhumanistes…

PDF N° 111 de 65 pages ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2019/09/dossier-complet-par-jbl1960-pour-stopper-net-la-dictature-technotronique-septembre-2019.pdf

Le président de la république française, Emmanuel Macron, a prévenu, ou exigé, c’est selon à : « bâtir une société de vigilance » « voilà ce qu’il nous revient de bâtir ; la vigilance et non le soupçon qui corrode ; la vigilance, l’écoute attentive de l’autre, l’éveil raisonnable des consciences » et de prévenir : « Les institutions seules ne suffiront pas » à « venir à bout de l’hydre islamiste. (…) C’est la Nation tout entière qui doit s’unir, se mobiliser pour agir » et en rajoute une louche en appelant à « savoir repérer à l’école, au travail, dans les lieux de culte, près de chez soi, les relâchements, les déviations, ces petits gestes qui signalent un éloignement d’avec les lois et valeurs de la République » ► Chers Con-citoyens et Yennes ; Dénoncez-vous les uns et les autres…

Prédiction du Grand NostradAttali himself, et Mentor de Macron – Entretien de juin 2012 sur la RFID

Pour ceux qui ont encore des doutes sur la finalité du Plan, qui est la réduction de 95% de la population mondiale ► PDF N° 92 de 17 pages ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2019/04/agenda-oligarchique-de-depopulation-sarkozy-et-les-compteurs-intelligents-8-avril-2019.pdf

PDF sur 2 pages ► Preuve du puçage humain RFID en France et en Navarre ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2019/03/technologie-dans-tl7jours-pour-implant-puce-rfid-mars-2019.pdf

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RFID : la police numérique arrive et ses pouvoirs sont illimités par Nicolas Bourgoin – juin 2015

Vivre avec une puce électronique sous la peau, c’est désormais possible et même recommandé. Les Implant parties fleurissent un peu partout en Europe et l’une est d’ores et déjà prévue à Paris le 13 juin, organisée par le collectif de biohackers suédois Bionyfiken. Au menu : conférences (en anglais) et pose d’implants NFC (garantie indolore). Festives et hi-tech, ces soirées vantent les mérites de cette dernière folie technologique qui ouvre un peu plus la voie au transhumanisme : plus besoin de badge pour s’identifier, de carte bancaire pour payer ou de code pour déverrouiller son smartphone ou son ordinateur. La puce permet aussi le stockage de données personnelles directement lisibles sur un terminal de lecture. Selon ses promoteurs, il s’agit avant tout d’améliorer nos capacités d’êtres humains par la biotechnologie et d’optimiser notre rapport à l’environnement, en bref nous faciliter la vie et nous rendre plus efficaces. Il s’agit aussi de préparer l’opinion publique à ce qui sera demain la norme quand les pouvoirs publics rendront le puçage obligatoire.

Pratiqué aux États-Unis depuis une dizaine d’années, le puçage cutané s’étend rapidement en Europe. Certaines entreprises suédoises proposent déjà l’implant de puces à leurs employés afin de les rendre plus productifs et en Espagne elles servent de moyens de paiement dans certaines discothèques. Mais l’affichage promotionnel du procédé cache mal sa finalité réelle. Les volontaires de ce marquage électronique dernier cri sont en réalité les cobayes d’un projet d’envergure qui vise ni plus ni moins qu’à rendre l’individu totalement transparent et à le livrer pieds et poings liés aux dispositifs de surveillance et de contrôle.

Identifier et suivre les objets

La technologie RFID (Radio Frequency Identification) permet d’identifier un objet ou un être vivant, d’en connaître les caractéristiques et d’en suivre le cheminement, le tout à distance et sans contact, grâce à une étiquette émettant des ondes radio, attachée ou incorporée à l’objet. Les informations sont stockées sur le produit où l’étiquette est collée ou implantée, et transmises au lecteur RFID par ondes radio. La RFID est utilisée pour la traçabilité de certains produits ou objets, l’identification des animaux d’élevage (remplaçant le tatouage) ou des individus (par stockage des données biométriques dans les badges électroniques, passeports, cartes d’identité ou d’assurance maladie, titres de transport ou permis de conduire). De plus en plus présentes dans la vie quotidienne, leur usage est amené à s’étendre toujours plus car il est encouragé par les pouvoirs publics. Plusieurs pays européens imposent ainsi la pose de puces sous-cutanés pour l’identification des animaux domestiques et, en France, des maternités proposent des bracelets électroniques visant à prévenir l’enlèvement des nourrissons.

Une technologie à hauts risques

Certains dangers liés à l’usage de la RFID ont déjà été relevés. Si elle ne permet pas théoriquement la surveillance continue des individus, contrairement aux GPS dont sont pourvus les smartphones, l’ensemble des données à caractère personnel contenues dans les puces RFID que nous utilisons, souvent à notre insu, pourrait permettre par recoupement une identification à distance des personnes et de leur pratiques de consommation. De plus, le piratage est toujours possible : ces ondes étant rarement cryptées, il est très facile de les intercepter et même de les copier sur un autre support, et ainsi d’usurper l’identité d’autrui. Et rien n’interdit d’y placer des “cookies”, comme ceux qu’envoient les sites web, afin de suivre à la trace le trajet des objets ou des personnes ainsi identifiés. Le risque de traçabilité des individus et le faible niveau de protection de leurs données personnelles ont suscité l’inquiétude de la CNIL.

L’aspect sanitaire pose également problème, la dangerosité des ondes électromagnétiques émises par ce nouveau procédé s’ajoutant à celle des ondes déjà présentes dans la téléphonie mobile et les systèmes Wi-Fi. Ainsi, un rapport de l’AFSSET déconseille une exposition continue aux ondes de la RFID et préconise une distance minimale d’au moins 20 centimètres, deux recommandations bafouées par le procédé de l’implantation cutanée. De fait, de nombreuses études révèlent déjà un lien entre implant et survenue de cancers et au vu de leurs résultats on peut légitimement penser que cette nouvelle technique sera l’un des prochains scandales sanitaires.

La société sous l’œil des puces

Mais le danger principal est surtout d’offrir aux récents projets de surveillance généralisée des populations un outil parfaitement adapté et efficient. Implanté dans le corps de l’individu, la RFID devient l’instrument de contrôle social sans doute le plus redoutable jamais conçu. Le stockage quasi-illimité des données personnelles permet de l’identifier à distance, de savoir (presque) tout de lui et de le suivre dans tous ses déplacements. Le gouvernement anglais confronté à la surpopulation des prisons étudie la possibilité de remplacer le bracelet électronique, jugé encombrant, par un implant pour surveiller les personnes sous contrôle judiciaire. La Suède, le pays européen le plus avancé dans le projet d’implantation des puces sous-cutanées est aussi le premier à interdire le paiement en espèces : aucune transaction ne doit désormais échapper au regard intrusif de l’État, aucun individu ne doit s’affranchir de l’emprise du système bancaire. En France, la surveillance électronique par RFID viendra compléter les dispositifs de surveillance numérique prévus dans la loi sur le renseignement en facilitant le profilage électronique et la géolocalisation des personnes jugées à risque, ainsi que les dispositifs de surveillance de l’espace public, notamment l’usage de la vidéosurveillance intelligente permettant d’identifier les individus dans une foule par reconnaissance faciale et de repérer les comportements « suspects ».

La RFID, une arme de guerre

Utilisée pour la première fois en 1940 à des fins militaires (afin de reconnaître les avions amis ou ennemis), la RFID est aujourd’hui l’une des armes qui permet au pouvoir de gouverner par la guerre. Fusion progressive de la sécurité intérieure et de la défense nationale sous les auspices du Livre Blanc, explosion des moyens alloués au renseignement préventif dans la dernière loi sur le renseignement, militarisation permanente de l’espace public par les plans Vigipirate sous couvert de guerre sans fin contre le terrorisme (et par amalgames successifs contre toute forme de contestation radicale), traque de l’ennemi intérieur socio-ethnique et des déserteurs de la Grande mobilisation contre le terrorisme (ceux qui ne sont pas « Charlie »), fantasme d’une « cinquième  colonne islamiste » dans les banlieues françaises sur fond de guerre de civilisation… c’est toute la distinction entre temps de guerre et temps de paix qui vole en éclat et nous plonge dans un état de guerre permanente.

Guerre militarisée ou guerre de basse intensité, l’objectif est toujours identique : par l’usage de la force brute, contraindre l’adversaire à se soumettre à nos propres volontés, comme l’écrivait Carl v. Clausewitz. Et le moyen aussi : laisser à l’adversaire le moins de liberté possible, ce à quoi s’emploient activement les gouvernements successifs depuis une quinzaine d’années en promulguant une série ininterrompue de lois qui réduisent toujours plus les libertés publiques. La RFID, comme les autres outils technologiques de surveillance et de contrôle alimentant le renseignement préventif, sert le projet totalitaire d’une société d’individus dans laquelle toute notion de vie privée a été abolie et placée sous la domination totale et permanente de l’appareil d’État.

Source de l’article : Nicolas Bourgoin, 3 juin 2015. Nicolas Bourgoin, né à Paris, est démographe, docteur de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales et enseignant-chercheur. Il est l’auteur de quatre ouvrages scientifiques : « La révolution sécuritaire (1976-2012) » aux Éditions Champ Social (2013), « La République contre les libertés. Le virage autoritaire de la gauche libérale » (Paris, L’Harmattan, 2015), « Le suicide en prison » (Paris, L’Harmattan, 1994) et « Les chiffres du crime. Statistiques criminelles et contrôle social » (Paris, L’Harmattan, 2008). « Les Quatre cavaliers. 1. Apocalypse orange » (Gunten, 2016), premier volet d’une trilogie, est son premier roman.

Dictature technotronique : Stop au biométrique et sa dérive Big Brother !

Stop à tout ce qui est biométrique et électronique et ses antennes relais GSM

Publication Résistance 71 du Vendredi 11 octobre 2019

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Le gouvernement va-t-il rendre « obligatoire » l’identification numérique par reconnaissance faciale ?

D’après de nombreux messages publiés sur Facebook, le gouvernement s’apprête à rendre obligatoire l’idendification par reconnaissance faciale pour pouvoir accéder à certains services publics en ligne. Des inquiétudes liées au prochain lancement d’une application mobile lancée par le ministère de l’Intérieur.

C’est un message inquiétant partagé sur Facebook : « Alerte info : la reconnaissance faciale obligatoire pour s’authentifier sur les sites des services publics, le projet de C.Castaner. » Un message également relayé par plusieurs titres de presse. L’agence de presse américaine Bloomberg écrit par exemple le 3 octobre que « la France est en passe de devenir le premier pays européen à utiliser la technologie de la reconnaissance faciale pour donner une identité numérique sécurisée à ses citoyens, qu’ils le veuillent ou non« .

Vers une généralisation de la reconnaissance faciale ?

De son côté, la Quadrature du net a déposé un recours auprès du Conseil d’État contre le lancement de cette application. L’association de défense des libertés numériques reproche une « banalisation de cette technologie » et cite le rapport gouvernemental sur l’État de la menace liée au numérique en 2019, publié le 3 mai dernier. Résultat de recherche d'images pour

« Nous ne pouvons pas laisser les publications illicites se multiplier. Nous devons donc relever le défi de l’identité numérique pour que chaque Français, dès 2020, puisse prouver son identité et savoir avec qui il correspond vraiment », y écrivait le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. Le rapport précise notamment sur l’application AlticeM que « le succès et la généralisation de ces expérimentations constitueront ainsi les prémices d’une politique publique de l’identité numérique, fondée sur le triptyque neutralité-interopérabilité-sécurité. » Pour lire cet article dans son intégralité ► https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/le-gouvernement-va-t-il-rendre-obligatoire-lidentification-numerique-par-reconnaissance-faciale_3644083.html

Or, le problème des ondes (micro et radio) n’est pas un danger et un problème QUE pour la santé, il y va aussi du contrôle dictatorial de l’information sur TOUT et POUR TOUT. Et ces deux aspects sont absolument INDISSOCIABLES ! Pour preuve ce PDF de l’Institut de Recherche Médicale de la Marine Nationale des États-Unis – Collecte de littérature scientifique sur les effets de l’exposition aux micro-ondes (PDF en anglais de 106 pages ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2019/09/naval-medical-research-institute-1972-full-bibliography.pdf à la page 34 de mon tout dernier PDF que Résistance 71 m’a fait l’amitié de traduire partiellement et qui témoigne que les dangers réels de la 5G et toutes ses conséquences sont connus depuis au moins 1972 !

RETROUVER LES PDFs INDISPENSABLES pour STOPPER NET la DICTATURE TECHNOTRONIQUE qui se met en place, en FRANCE ► LES INDISPENSABLES PDFs POUR STOPPER NET LA DICTATURE TECHNOTRONIQUE EN MARCHE !

À lire, ailleurs ;

Los Cantos de Xochi. 2020 : Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 01

Première Partie

La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs : un Prétexte pour le Grand Remplacement ?

Publication du 11 octobre 2019 – URL source ► http://xochipelli.fr/2019/10/los-cantos-de-xochi-2020-grand-minimum-solaire-catastrophes-alimentaires-et-sanitaires-premiere-partie/

C’est le moment de choisir, pour mettre un coup d’arrêt définitif aux délires des transhumanistes et psychopathes aux manettes ;

Rejoindre les cyborgs et leurs délires et finir pucés dans une Smart-City ?

Ou rejoindre la résistance pour créer la société des sociétés, celle des associations libres, volontaires et autogérées ?

Pour vous aider à sauter le pas et faire se lever l’aurore de la société des sociétés, je vous laisse en lecture, téléchargement, impression, diffusion et partage libres et gratuits ma PAGE PDFs (136) à consommer sur place ou à emporter sans aucune modération ; C’est Jojo qui régale !

JBL1960

 

7 réflexions sur « CONTRE LA TYRANNIE TECHNOTRONIQUE : NON à la PUCE RFID, à la RECONNAISSANCE FACIALE, aux EMPREINTES BIOMÉTRIQUES »

  1. https://www.laquadrature.net/2019/10/11/20minutes-nice-camera-reconnaissance-faciale-detecteur-de-bruits-un-collectif-lance-pour-resister-a-la-surveillance/

    [20Minutes] Nice : Caméra, reconnaissance faciale, détecteur de bruits… Un collectif lancé pour « résister à la surveillance »
    Posted on11 octobre 2019

    Reconnaissance faciale : la ville de Nice n’a pas reçu « d’autorisation » de la CNIL

    Contrairement aux affirmations de Christian Estrosi, la ville de Nice n’a pas reçu de feu vert de la CNIL pour expérimenter un système de reconnaissance faciale à l’occasion du fameux carnaval, mais a plutôt bénéficié d’un accompagnement. La commission regrette surtout l’agenda serré dans lequel elle a été amenée à ausculter ce dispositif. Explications.

    https://www.nextinpact.com/news/107628-reconnaissance-faciale-ville-nice-na-pas-recu-dautorisationde-cnil.htm

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  2. Justice de classe !

    Justice de classe !

    Dans ► FORTS avec les FAIBLES ; FAIBLES avec les FORTS

    Quand je parle de retirer notre consentement à ces clowns et d’initier un changement de paradigme ; Et d’ailleurs, je vous invite à relire mon article du 13 décembre dernier Le changement de paradigme ; C’est maintenant !

    C’est parce qu’il nous faut, pour réussir, d’où nous sommes, développer et pratiquer 3 choses essentielles au niveau local, puis en associations libres et volontaires :

    1 – L’autosuffisance ; Contrôle des ressources pour défier les institutions.

    2 – La réorganisation ; Canaliser les énergies.

    3 – Le repositionnement ; Comprendre qu’il est vain et futile de coopérer avec toute autorité institutionnelle. L’État et les institutions font parties du problème et non pas de la solution.

    Tout le reste, je dis bien ; Tout le reste, c’est comme de pisser dans un violon…

    Personne, aucune personne ne viendra vous sauver, si ce n’est vous-même !

    Ce billet d’analyse en appui de l’article de Nicolas Bourgoin date du 15 janvier 2016, et je ne retire rien…

    Je remets, ici, la chanson de clôture de ce billet, Quilapayun = El pueblo unido, jamas sera vincido !

    Jo

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  3. Chine : Pour avoir internet ou un numéro de téléphone, un scan du visage est obligatoire

    Le gouvernement chinois impose aux opérateurs en télécommunication de scanner le visage de leurs clients pour associer une identité à chaque numéro ou connexion internet

    S’il y a bien un domaine où la Chine surpasse toutes les autres puissances, c’est bien dans sa capacité et sa volonté de surveiller ses citoyens. La dernière décision en date : à partir du 1er décembre, les Chinois qui voudront une nouvelle connexion internet ou un nouveau numéro de téléphone auront leurs visages scannés par l’opérateur.

    Lire l’intégralité de l’article, dans ► https://siecledigital.fr/2019/10/12/chine-pour-avoir-internet-ou-un-numero-de-telephone-un-scan-du-visage-est-obligatoire/

    Voilà…
    Viendrez pas chouiner après…
    TROP TARD !
    JBL

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    1. Finalement je vous mets l’article complet, vu l’importance du propos ;

      854 millions d’internautes potentiellement scannés en Chine

      Le Ministère chinois de l’Industrie et des Technologies de l’information (MIIT) a annoncé la nouvelle le 27 septembre. La Chine veut un visage derrière chaque numéro de téléphone et chacun des 854 millions d’utilisateurs d’internet dans l’Empire du Milieu.

      Cette mesure s’inscrit dans la continuité de la démarche du gouvernement, amorcée en 2010, visant à connaître l’identité de chaque personne possédant un numéro de téléphone. Depuis 2013, renseigner son identité avec photo est obligatoire pour les détenteurs d’une ligne téléphonique. Pour ouvrir une ligne ou s’abonner à une offre téléphonique ou internet, une courte vidéo est exigée pour confirmer l’identité du client. La reconnaissance faciale permettra désormais de s’assurer de cette validité.
      Interdiction de revendre une carte SIM

      Pour que le gouvernement soit sûr de disposer de la bonne personne avec le bon numéro, il sera interdit au 1er décembre de revendre sa carte SIM. Les entreprises de télécommunications devront également contrôler si les numéros et les identités correspondent. En 2016 on estimait qu’au moins 100 millions utilisateurs n’avaient pas encore lié leur SIM et leur identité.

      Selon les dires du gouvernement chinois cette mesure est censée « protéger sérieusement les droits et les intérêts des citoyens dans le cyberespace », toujours selon le communiqué du MIIT cette mesure doit permettre « de s’adapter efficacement à la nouvelle situation en matière de prévention et de contrôle de la fraude sur les réseaux de télécommunication ».
      Les citoyens sont observés et suivis en permanence

      Il faut savoir que la reconnaissance faciale est une technologie qui est répandue en Chine depuis plusieurs années. Il est par exemple possible de payer son titre de transport en scannant son visage dans la ville de Shenzhen, à côté de Hong-Kong. Des résidences universitaires utilisent ce système pour ouvrir l’accès à l’intérieur. Selon l’Association chinoise des paiements, 85% des consommateurs chinois sont à l’aise avec le paiement par méthodes biométriques.

      Par comparaison, la France pourrait devenir un pays précurseur en Europe en introduisant, sur Android, la reconnaissance faciale pour accéder à certains services publics en ligne. L’application Alicem (Authentification en ligne certifiée sur mobile) doit utiliser cette technologie pour sécuriser et authentifier l’utilisateur.

      La nouvelle a inquiété et suscité une levée de bouclier de la part d’association comme la Quadrature du net. La reconnaissance faciale est vue avec un regard suspicieux, l’attention se focalisant surtout sur les intérêts sécuritaire de cette technologie. En Chine la reconnaissance faciale est un des outils utilisés dans le système de notation sociale révélé en 2014.

      Ce projet dystopique doit être opérationnel sur tout le territoire dès l’année prochaine, en 2020. Pour rappel, grâce à un système de bonus-malus les citoyens gagnent ou perdent des crédits sociaux selon leur civisme. Traverser hors des clous, frauder dans les transports, fumer dans une zone non-fumeur, voilà autant de comportements pouvant aboutir à un malus. Des dons à des associations ou le respect des lois entraînent des bons points.
      23 millions d’habitants privés d’avion ou de train à cause de la notation sociale

      Gare à ceux qui manquent de civisme ! En 2018, 23 millions de personnes n’ont pas pu prendre l’avion ou le train à cause de leur mauvais comportement. L’accès à certains emplois ou à des crédits bancaires peuvent également être corrélé à cette notation sociale.

      Pour attribuer ces notes le gouvernement glane tout ce qu’il peut glaner, casier judiciaire bien sûr, mais aussi informations fiscales ou messages publiés sur les réseaux sociaux. À quoi il faut ajouter la reconnaissance faciale offerte par des caméras de vidéos surveillances de plus en plus perfectionnées.

      200 millions de caméras de surveillance recouvrent le territoire chinois, elle devrait être 450 millions d’ici à 2020. Récemment des scientifiques de l’Université de Fudan, basés à Shanghai et à l’Institut Changchun ont développé une caméra capable dotée de la reconnaissance faciale pour surveiller de grand rassemblement. Avec ses 500 mégapixels elle pourra facilement voir le visage de n’importe quel passant, en particulier des passants manquants de civisme. La base de données constituée par les visages scannés par les opérateurs téléphoniques pourra, peut-être, être un moyen de faciliter les identifications par reconnaissance faciale dans la rue, sur les réseaux sociaux, etc.

      =*=
      Pour tous ceux qui ne nous croient pas, et nous traitent de tarés et d’affreux konspis !

      1er décembre, en Chine, ça arrive.
      1er novembre en France : Reconnaissance faciale : les autorités françaises lanceront Alicem dès le mois de novembre

      Technologie : Le lancement de l’outil de reconnaissance faciale des autorités françaises Alicem était attendu pour la fin d’année, il sera finalement lancé dès le mois de novembre, malgré les critiques de la Cnil et des associations. Bon gré, mal gré, la France deviendra à compter du mois de novembre prochain le premier membre de l’UE à recourir à la reconnaissance faciale pour doter ses citoyens d’une identité numérique sécurisée. Alors que le lancement de son outil Alicem (pour « Authentification en ligne certifiée sur mobile »), créé par le ministère de l’Intérieur et l’Agence Nationale des Titres Sécurisés (ANTS), était prévu pour la fin d’année, celui-ci devrait être effectué dès le mois de novembre, comme l’a fait savoir ce mardi l’agence Bloomberg. Source ► https://www.zdnet.fr/actualites/reconnaissance-faciale-les-autorites-francaises-lanceront-alicem-des-le-mois-de-novembre-39891881.htm

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