Résumé SOTT MEDIA 08/2018 & Dossiers ad hoc

Résumé SOTT MEDIA du mois d’août 2018

Vidéo mise en ligne ce 12 septembre 2018

Toutes les vidéos SOTT depuis décembre 2015 ICI

Toujours instructif, il donne une indication sur les évènements climatiques en temps réel survenus rien que pour le mois d’août sur la planète, pour autant, en déduire que c’est l’homme moderne qui est l’unique responsable de ces changements climatiques est vraiment sujet à caution.

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Vous, les hommes blancs, êtes extrêmement arrogant.

Vous pensez être responsable de l’extinction de différentes forme de vie sur Terre.

Avez-vous jamais considéré le fait que peut-être ces formes de vie ne voulaient simplement pas vivre avec vous ?…

Conseil d’un Membre du conseil des anciens de la Nation Déné, vers 1960

Je me permets juste de rappeler, par exemple, que la Théorie sur le Réchauffement Climatique Anthropique d’origine humaine, donc, n’est qu’une THÉORIE, rien d’autre…

Dossier sur le RCA sur ce blog ;

Ailleurs, on se demande, carrément, si finalement le GIEC ne sous-estimerait pas les risques liés au changement climatique ► https://lesmoutonsenrages.fr/2018/09/09/et-si-le-giec-sous-estimait-les-risques-lies-au-changement-climatique/  Bigre !!!

Il existe un organisme international indépendant et compétent en la matière : le NIPCC (par opposition au IPCC=GIEC) et je vous invite à lire le rapport PDF de 24 pages en français : Le NIPCC contre l’IPCC (le GIEC) – Analyse des désaccords entre les modèles du climats et les observations : test des hypothèses du réchauffement climatique anthropique (RCA) et pour permettre à chacun de se faire sa propre opinion. Source fp4earth en analyse dans ce billet ICI & .

C’est tout de même très curieux comme approche, compte tenu du battage merdiatique organisé dès 2007 par Al Gore pour NOUS culpabiliser de seulement respirer…

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Dans son livre « Against The Grain a Deep History of the Earliest States”, 2017 ou “Contre le grain, histoire profonde des États initiaux”, traduit de l’anglais par Résistance 71, dont j’ai réalisé un PDF en attente de publication ; » James C. Scott y précise ceci :

[…] Ainsi vers 9600 AEC, il y eut un arrêt du refroidissement et s’ensuivit une période de réchauffement climatique, le climat devint plus chaud et plus humide, rapidement. Les températures globales ont peut-être augmentées de l’ordre de 7°C en une décennie. Arbres, mammifères et oiseaux émergèrent pour coloniser un paysage devenu soudain bien plus hospitalier et avec eux bien entendu, leur compagnon naturel, Homo sapiens.

Les archéologues ont trouvé des preuves qu’environ à la même période, se développait une occupation des sols à l’année sur bien des sites. La période du Natufian dans le sud du Levant et l’époque pré-poterie des villages néolithiques de Syrie et de la Turquie centrale et de l’ouest de l’Iran. Ces zones sédentaires se situaient dans des zones riches en eau et les populations subsistaient essentiellement de la chasse, pêche et cueillette bien qu’il y ait eu déjà quelques preuves, certes controversives, d’une horticulture céréalière et de mise en place d’un cheptel de bétail domestique. Ce qui n’est pas disputé en revanche, est qu’entre 8000 et 6000 AEC, toutes les cultures dites “fondatrices” de céréales et de légumes telles que les lentilles, les pois, pois-chiche, et lin (pour les vêtements), sont plantées, bien qu’à petite échelle. Durant ces deux millénaires, même si le temps précis vis à vis des cultures n’est pas bien clair, la domestication des chèvres, des moutons, des cochons et des bovins, fait son apparition. Avec cette suite de “domestications”, le colis néolithique total propice à la révolution agricole, semble être en place pour mener à la civilisation, incluant les premières agglomérations urbaines.

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James C Scott est professeur de science politique et d’anthropologie à l’université de Yale aux États-Unis. Il y est le codirecteur du programme sur les études agraires et membre de l’Académie des Arts et des Sciences des États-Unis.

James C Scott est devenu par ses recherches profondes et pertinentes, un universitaire spécialiste incontournable pour ceux qui désirent analyser et comprendre l’histoire de la société humaine depuis ses lointaines origines en battant en brèches les poncifs et dogmes de ce que l’anthropologie politique “orthodoxe” a prêché au service du statu quo oligarchique depuis des décennies. Scott s’inscrit dans la lignée anthropologique des Pierre Clastres, Marshall Sahlins et du plus jeune David Graeber. Clastrien revendiqué, Scott commence souvent ses livres et conférences avec cette citation de Clastres tirée de “La société contre l’État” (1974) :

Il est dit que l’histoire des peuples qui ont une histoire est l’histoire de la lutte des classes. On pourrait dire avec au moins tout autant de véracité que l’histoire des peuples sans histoire est une histoire de leur lutte contre l’État.

Vous pouvez lire en français et au format PDF de James C. Scott et en étroite collaboration avec Résistance 71 ;

Origine & Critique de l’État avec James C. Scott

PREMIÈRE PARTIE

L’Art de ne pas être gouverné – Une histoire anarchiste des hauts-plateaux d’Asie du Sud-Est par James C. Scott, 2009

Nouvelle version PDF N° 72 de 60 pages du livre “The Art of Not Being Governed, an Anarchist History of Upland Southeast Asia” de James C Scott(*), 2009 et par larges extraits de traduction ► Résistance 71

L’Art de ne pas être gouverné – Une histoire anarchiste des Hauts-Plateaux d’Asie du Sud Est par James C. Scott, 2009 version PDF en français de 60 pages

Pour comprendre que NON l’homme n’est pas un loup pour l’homme, qu’il ne descend pas d’un singe tueur et qu’il n’a pas toujours fait la guerre et que cela n’est nullement inscrit dans nos gènes ► Non, l’homme ne descend pas d’un singe tueur par le Pr. Marylène Patou-Mathis ;

La « sauvagerie » des préhistoriques ne serait qu’un mythe forgé au cours de la seconde moitié du XIXe siècle pour renforcer le concept de « civilisation » et le discours sur les progrès accomplis depuis les origines. À la vision misérabiliste des « aubes cruelles » succède aujourd’hui — en particulier avec le développement du relativisme culturel — celle, tout aussi mythique, d’un « âge d’or ». La réalité de la vie de nos ancêtres se situe probablement quelque part entre les deux. Comme le montrent les données archéologiques, la compassion et l’entraide, ainsi que la coopération et la solidarité, plus que la compétition et l’agressivité, ont probablement été des facteurs-clés dans la réussite évolutive de notre espèce.” ► Marylène Patou-Mathis CNRS.

Patou-Mathis précise dans ses travaux de recherche que :

“Les Hommes doivent, selon Hobbes, fonder un État artificiel sur les bases de la raison : le contrat social qui mène à ‘l’État civil’. Pour certains chercheurs, la violence serait une sorte de cruauté naturelle, bestiale, due à des pulsions agressives et à un manque d’empathie. Inscrite dans les gènes, elle serait présente chez tous les êtres humains, mais aussi chez les animaux en particulier les prédateurs et les chimpanzés.

[…] Dans son livre ‘L’entraide, un facteur de l’évolution” publié en 1902, le prince russe anarchiste Pierre Kropotkine (1842-1921) suggère que parmi les facteurs de l’évolution, la socialisation et l’entraide sont plus importants que la compétition : si chaque individu reçoit une aide du groupe, tout le monde en tire un bénéfice et les chances individuelles de survie s’accroissent. [NdJBLLe Prince de l’Évolution – Petit ouvrage du professeur de biochimie Lee Alan Dugatkin de l’université de Louisville dans le Kentucky publié en 2011, sur la vie et l’œuvre du scientifique et grand penseur anarchiste Pierre Kropotkine. Version PDF N° 12 de 24 pages traduction Résistance71]

Même si nous sommes encore trop peu, nous n’en sommes pas moins déterminés à démontrer que L’ENTRAIDE est bien un facteur d’évolution, et que l’Homme ne descend pas d’un singe tueur ; qu’il n’a pas toujours fait la guerre et que cela n’est pas inscrit dans ses gênes…

Même, surtout, parce qu’on comprend bien aujourd’hui que La guerre est un business et ce business est très, très lucratif… car sur ce blog, nous avons pu définir par différentes lectures combinées que la guerre est la vraie et la seule nature de l’Empire.

Mais pas des Peuples ! Aussi démontrons que nous sommes capables de remplacer l’antagonisme à l’œuvre depuis des millénaires qui, appliqué à différents niveaux de la société empêche l’humanité d’embrasser sa tendance naturelle à la complémentarité, facteur d’unification de la diversité dans un grand Tout socio-politique organique : La société des sociétés.

JBL1960

Je conseille également, toujours dans l’idée de nous forger notre propre opinion, de prendre connaissance d’une autre théorie, celle sur l’origine abiotique profonde du pétrole, PDF N° 26 de 68 pages ► Théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique profonde du pétrole : Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le pétrole (abiotique)…

Biotique ou abiotique : La vraie-fausse crise pétrolière ou la pseudoscience au service du contrôle énergétique par scarcité induite

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Et on peut compléter ces lectures avec : Le manuel du sceptique de JoAnn Nova, journaliste scientifique australienne qui démonte le dogme pour nous dans ses deux versions complémentaires :

29 réflexions sur « Résumé SOTT MEDIA 08/2018 & Dossiers ad hoc »

      1. Oui, on est pas trop de 2 vu la relevance du niveau de la contestation par les artisants de la Théorie du RCA eux-mêmes pour limiter les effets grandissants des « climato-sceptiques » !

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      2. Exactement, un seul grain de sable, ne fera que ralentir la machine à nous broyer.
        Plusieurs grains de sable placés aux bons endroits, aux endroits stratégiques = Et c’est fin de partie pour les psychopathes aux manettes…

        Et ils le savent, sinon pourquoi cette lutte à mort et sans merci pour nous vaporiser aux 4 coins de l’Univers…

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      1. Earthquake Machine PAMIR : La machine à créer des tremblements de terre, des éruptions volcaniques et des tsunamis (Vidéos)

        La machine à créer des tremblements de terre, des éruptions volcaniques et des tsunamis

        C’est une machine imaginée par les scientifiques russes, au temps où la Guerre froide tenait le monde en haleine et que toutes les attentions étaient focalisées sur les armements classiques. La machine à séismes a été pensée puis conçue avec l’objectif de soulager les maux des populations soumises aux aléas des tremblements de terre et ainsi parer aux conséquences désastreuses qui peuvent résulter de ces catastrophes naturelles, par essence imprévisibles. Durant la Seconde Guerre mondiale des chercheurs néo-zélandais ont tenté d’élaborer une machine à provoquer des tsunamis qui puisse être utilisée contre le Japon. Les travaux furent dirigés par l’Australien Thomas Leech de l’université d’Auckland, sous le nom de code « PROJET SEAL ». Plusieurs expériences à petite échelle furent réalisées, en 1944-1945, à Whangaparaoa. Elles furent couronnées de succès.

        Les Etats-Unis considéraient ce programme comme aussi prometteur que le « Projet Manhattan » de fabrication d’une bombe atomique. Ils désignèrent le Docteur Karl T. Compton pour faire la liaison entre les deux unités de recherche. Compton était le président du MIT. Il avait déjà recruté de nombreux savants pour l’effort de guerre et il était l’une des huit personnes chargées de conseiller de président Truman sur l’usage de la bombe atomique. Il pensait que celle-ci pouvait fournir l’énergie nécessaire à l’équipe de Leech pour provoquer de plus vastes tsunamis.

        Source Aphadolie ► https://aphadolie.com/2018/09/11/earthquake-machine-pamir-la-machine-a-creer-des-tremblements-de-terre-des-eruptions-volcaniques-et-des-tsunamis-videos/

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  1. Merci à Passetec du site http://www.lesmoutonsenrages.fr qui nous refile cette info ► https://www.theweathernetwork.com/news/articles/temperatures-rise-above-seasonal-values-in-the-prairies-cooler-pattern-dominates-second-week-of-september-threat-for-snow-northern-alberta-grand-prairie-hinton-calgary-edmonton/111884/

    Edmonton, en Alberta, a déjà atteint 22 centimètres de neige en ce 19 septembre 2018, ce qui bat un record qui remonte à 1965 !

    Réchauffement Climatique de mes 2 tiques !!!

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  2. http://www.agate-france.com/actualites-meteo/previsions/mediterranee-chute-temperatures-10c-seulement-24h-924185187.html

    MÉDITERRANÉE : BAISSE SENSIBLE DU MERCURE

    Alors que les températures ont frôlés des records de chaleur ces derniers jours sur le bassin Méditerranéen, la baisse du mercure va être sensible ce lundi. En effet, nous avons relevé, ce dimanche, des températures comprises entre 33°C et 36°C entre Perpignan, Béziers, Montpellier et Nîmes. Ce lundi, il ne fera plus que 23°C à 26°C dans ces mêmes villes, soit une baisse de près ou plus de 10°C en seulement 24h. A noter également le retour du mistral et de la tramontane, soufflant fortement ce lundi dans leur domaine.

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  3. Le Japon doit-il se méfier du typhon TRAMI ?

    Le Japon potentiellement sous la menace du typhon TRAMI. Les dernières tendances sont de plus en plus défavorables pour le pays du soleil-levant.

    Le typhon TRAMI s’est affaibli ► http://www.cycloneoi.com/archives-blog/cyclone/le-japon-doit-il-se-mefier-du-typhon-trami.html

    Comme prévu le typhon TRAMI a ralenti et s’est affaibli. Malgré tout, le système garde une allure impressionnante avec un oeil large toujours aussi bien défini. Le typhon reste donc un puissant et dangereux phénomène. Selon le centre des cyclones de Tokyo, les rafales près de l’œil avoisinent les 220 km/h, ce qui est loin d’être anodin.

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  4. Emmanuel Macron en visite aux Antilles pour renouer avec le terrain ► http://www.lefigaro.fr/politique/2018/09/26/01002-20180926ARTFIG00372-emmanuel-macron-en-visite-aux-antilles-pour-renouer-avec-le-terrain.php

    Le président entame un déplacement dans les îles qui s’achèvera par une visite de chantier à Saint-Martin, un an après Irma.

    Retour à Saint-Martin et Saint-Barthélemy. Un an après le passage de l’ouragan Irma qui avait dévasté les deux îles, Emmanuel Macron entame une tournée antillaise qui le mènera en fin de semaine à effectuer une «visite de chantier» de reconstruction. «Ce sera une des parties difficiles de ce déplacement, reconnaît-on d’ailleurs dans l’entourage du chef de l’État. La période de l’urgence est passée, on est désormais dans la période de l’impatience et du découragement.»

    Il y a un an, juste après le passage d’Irma, le président de la République s’était déjà rendu sur place. Il s’agissait alors de parer au plus pressé: rétablir la sécurité, remettre en route les réseaux d’eau potable, d’électricité et de télécommunications, soutenir les collectivités territoriales pour éviter «un collapse total». Interpellé par une habitante de Saint-Martin qui lui reprochait de vivre «dans une tour d’ivoire», le chef de l’État s’était engagé à revenir sur l’île pour s’assurer que la reconstruction se poursuivait.

    «Sans doute faut-il ajuster le dispositif de l’État», glisse aujourd’hui l’un de ses conseillers. Car à Saint-Martin, le chantier avance lentement. Beaucoup de maisons et de toitures restent dans un état précaire. Par endroits, la nécessité a poussé les habitants à reconstruire sans tenir compte des normes. Les assurances ont pris parfois du retard. La séparation de l’île en deux parties, une française et une hollandaise, a complexifié les travaux. Emmanuel Macron en prendra la mesure samedi en se rendant à Quartier d’Orléans, l’un des secteurs les plus pauvres de l’île. Il rencontrera le lendemain à Baie Mahaut les professionnels du tourisme, secteur qui représente la principale source de revenu de l’île et qui ne s’est pas encore remis d’Irma. Saint-Martin espère pouvoir relancer en partie cette industrie à partir de décembre pour la saison haute. À Saint-Barthélemy, la reconstruction a été plus rapide. Plus riche, l’île disposait de bâtiments plus solides et a pu rouvrir la quasi-totalité de ses hôtels.

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  5. Alerte trop courte, vague sous-estimée… Pourquoi le tsunami a surpris les habitants de l’île de Célèbes en Indonésie

    La géographie de Palu, une ville située au fond d’une baie étroite, 2 km de large et 10 de large, a amplifié la puissance de la vague, causant de nombreux dégâts.

    Le bilan n’en finit plus de grimper. Dimanche 30 septembre, les autorités indonésiennes ont comptabilisé plus de 800 morts à la suite du séisme et du tsunami qui se sont abattus sur l’île de Célèbes, vendredi 28 septembre. Comment une telle hécatombe a-t-elle pu avoir lieu ? Des voix commencent à s’élever pour dénoncer des dysfonctionnements, alors que la force de la vague a surpris de nombreux habitants et observateurs. Franceinfo fait le point.
    Un séisme qui ne génère « habituellement » pas de tsunami

    Vendredi 28 septembre, un séisme de magnitude de 7,5 a frappé l’île de Célèbes, juste avant 13 heures. Une secousse plus puissante que la série de tremblements de terre qu’a connus l’Indonésie, en août. Le séisme situé près de Palu a ensuite entraîné un tsunami dévastateur, alors que ses caractéristiques ne le laissaient pas présager.

    « C’est un séisme qui est essentiellement en décrochement. Les deux parties de la croûte vont glisser horizontalement l’une par rapport à l’autre », explique Sophie Lambotte, sismologue à l’Ecole et observatoire des sciences de la Terre de Strasbourg, à franceinfo. « Habituellement, cela ne génère pas de tsunami. » Une particularité qui a pu induire en erreur l’analyse des signaux.
    Un possible dysfonctionnement de l’alerte

    Après le tremblement de terre, les habitants ont-ils été suffisamment prévenus du danger en provenance de la mer ? La polémique bat son plein sur place. En cause, l’institut météorologique et de géophysique indonésien, le BMKG, qui a lancé une alerte au tsunami… et l’a levée 34 minutes plus tard, comme l’atteste ce tweet (utilisez l’option de traduction).

    Ce message semble avoir semé la confusion, de nombreux médias et internautes le relayant. Beaucoup reprochent au BMKG d’avoir levé son avertissement avant que les vagues n’arrivent, mais les autorités indonésiennes démentent. Elles assurent que des vagues ont déferlé sur la côte, près de Palu, avant la levée de l’alerte.

    Une chronologie difficile à vérifier car l’agence BMKG a fait état du tsunami trois heures après la fin officielle de l’alerte. « Le tsunami s’est produit à 18h22 locale », a d’ailleurs précisé Dwikorita Karnawati, présidente de l’agence.
    Une vague sans doute sous-estimée par les géologues

    En quelques minutes, l’eau a dévasté la ville de Palu. La vague a atteint « une hauteur maximale de 1,5 m », décrit Dwikorita Karnawati, présidente de l’agence de géophysique indonésienne. Toutefois, des témoignages et vidéos évoquent des vagues bien plus hautes, certains évoquant des lames de 6 mètres de haut.

    Interrogé par l’agence Reuters (en anglais), Rahmat Triyono, le responsable des séismes et des tsunamis du BMKG, a reconnu ces imprécisions : il explique que l’instrument le plus proche sur laquelle l’agence s’est basée pour enregistrer les changements de niveau de la mer était situé à 200 km de Palu. Selon lui, l’agence a levé l’alerte car seule une oscillation de six centimètres avait été enregistrée. L’agence semble donc être passée à côté des vagues beaucoup plus impressionnantes qui ont déferlé sur la côte.
    Une lame amplifiée par la forme de la côte

    Quoiqu’il en soit, une vague d’1,5 mètre est suffisante pour causer des dégâts considérables. « C’est une lame de fond, on ne peut pas comparer ça aux vagues que l’on voit sur les plages. Il faut faire très attention. Là, c’est un mur de béton qui se déplace », explique le géologue Mustapha Meghraoui, sur franceinfo.

    D’autant plus que la forme de la côte a pu amplifier le phénomène. « Palu est au fond d’une baie, rappelle la géologue Sophie Lambotte. Dans ce genre de disposition, vous pouvez avoir des phénomènes de résonance et d’amplification des vagues. Cela peut expliquer qu’à certains endroits, il y a plus de dégâts qu’à d’autres. » Des raz-de-marée s’étaient déjà produits en 1927 et en 1968 à Palu, une ville située au fond d’une baie étroite, large de 2 km et longue de 10 km.

    https://www.francetvinfo.fr/monde/asie/seisme-et-tsunami-en-indonesie/alerte-trop-courte-vague-sous-estimee-pourquoi-le-tsunami-a-surpris-les-habitants-de-l-ile-de-celebes-en-indonesie_2963929.html

    La vidéo France Info de l’article du tsunami, en direct est monstrueuse…

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    1. Il y a des infos sur YT, je ne mets que celle-ci car franchement c’est anxiogène gratuitement et si l’info est importante je ne tiens nullement à tomber dans le voyeurisme.

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  6. Changement climatique… naturel : Prédiction d’un grand coup de froid dans le système solaire

    Notre dossier « Escroquerie du réchauffement climatique anthropique » [NdJBL : En complément du mien, proposé plus haut]

    ~ Résistance 71 ~

    Le soleil est maintenant entré dans un «minimum solaire profond»

    Conscience du peuple | 1er octobre 2018 | URL de l’article en français

    …Et la Terre pourrait être exposée à une très longue période de températures froides: c’est le « Space Weather » qui l’affirme!

    * Le cycle solaire est responsable des conditions météorologiques extrêmes et du changement climatique (anglais)

    Hunger Stones and Tree Ring evidence suggests solar cycle influence on climate

    Le soleil suit des cycles d’environ 11 ans où il atteint un maximum solaire puis un minimum solaire.

    Pendant un maximum solaire, le soleil dégage plus de chaleur et est couvert de taches solaires. Moins de chaleur dans un minimum solaire est due à une diminution des ondes magnétiques.

    Les scientifiques sont catégoriques: nous pénétrons maintenant dans un minimum solaire, ce qui cause une déformation de l’atmosphère terrestre.

    Cela se produit chaque fois que le soleil change de cycle – lorsqu’il atteint un minimum solaire, la thermosphère se contracte et, lors d’un maximum solaire, elle se dilate pour offrir une meilleure protection contre les rayons solaires.

    Space Weather, sur leur site: indique: « Le soleil entre dans un minimum solaire profond et la haute atmosphère de la Terre réagit ».

    « Les données du satellite TIMED de la NASA montrent que la thermosphère (la plus haute couche d’air entourant notre planète) se refroidit et se rétrécit, diminuant littéralement le rayon de l’atmosphère. »

    On ne s’attendait pas à ce que les taches solaires atteignent le minimum solaire avant 2020 et que cela entraînera une vague de froid prolongée.

    La dernière fois qu’il y a eu un minimum solaire prolongé, cela a conduit à un «mini âge de glace», connu scientifiquement comme le minimum de Maunder – qui a duré 70 ans.

    Le minimum de Maunder, qui a connu sept décennies de temps glacial, a débuté en 1645 et s’est prolongé jusqu’en 1715, à une époque où les taches solaires étaient extrêmement rares.

    Au cours de cette période, les températures ont globalement chuté de 1,3 degrés Celsius, ce qui a entraîné des saisons plus courtes et, finalement, des pénuries alimentaires.

    Vencore Weather, un site Web météorologique, a déclaré: « On sait que la faible activité solaire a des conséquences sur le temps et le climat de la Terre. Elle est également bien corrélée à une augmentation des rayons cosmiques atteignant la partie supérieure de l’atmosphère. Le soleil blanc est un signe que le prochain minimum solaire approche et qu’il y aura de plus en plus de jours sans tache au cours des prochaines années. »

    Sources :

    The Chill of Solar Minimum

    https://www.express.co.uk/news/science/1025359/cold-weather-forecast-warning-solar-minimum-maximum-space-weather-news

    L’Homme propose, la Nature dispose… Toujours !

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    1. THIS IS THE END…
      …OU PAS !

      Un groupe d’experts de l’Onu rend son verdict sur le climat ► https://fr.sputniknews.com/international/201810051038389953-onu-climat-experts-incheon/

      Réunis à Incheon, en Corée du Sud, les délégués des États de l’Onu se penchent depuis le 1er octobre sur le dernier rapport des scientifiques du GIEC qui constatent l’inévitable dérèglement climatique et le retard pris pour le contrer.

      Le dernier rapport du GIEC fait le point sur la situation climatique actuelle, ses impacts et des scénarios possibles pour y remédier. Le « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat » a été chargé, durant la COP21 organisée à Paris à la fin de l’année 2015, de produire un rapport sur l’objectif +1,5°C. À ce moment-là, les 195 Etats s’étaient engagés à limiter la hausse de la température moyenne globale à moins de 2 degrés d’ici à la fin de ce siècle, en poursuivant les efforts pour atteindre 1,5 degré.

      Mais plusieurs experts s’accordent à dire que malgré les efforts enregistrés dans la lutte contre des émissions de gaz à effet de serre, la planète s’achemine vers un réchauffement autour de… 3 °C.

      Le rapport de 400 pages, qui repose sur 6.000 études scientifiques, décrit aujourd’hui une nette différence d’impact entre + 1,5 et + 2 °C. C’est la première fois qu’une analyse aussi précise et scientifique est effectuée, avec « plusieurs scénarios d’action possibles selon la rapidité du recul des énergies fossiles, avec des projections chiffrées sur la sortie du charbon qui n’ont pas manqué de faire bondir le trio minier Pologne, Australie et Japon », d’après l’AFP qui a obtenu une copie du document.

      « Nous voyons arriver à +1,5°C de nombreux impacts que nous attendions à +2°C. En de nombreux points, 1,5°C c’est le nouveau 2°C », dit Christopher Weber, responsable énergie et climat au WWF, cité par l’AFP. « Bien sûr, il ne sera pas facile de rester sous 1,5. Cela demandera des transformations massives dans nos sociétés, mais qui seront plus coûteuses et difficiles si nous attendons. La différence entre le faisable et l’infaisable est d’abord une question de volonté politique », a-t-il ajouté.

      La version finale sera rendue publique le lundi 8 octobre.

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  7. Indonésie : encore plus de 1000 disparus présumés après le séisme et le tsunami

    ‘agence de gestion des secours indonésienne estime que plus de 1000 personnes sont encore présumées disparues après le séisme et le tsunami qui ont frappé l’ouest de île des Célèbes vendredi dernier faisant plus de 1500 morts.

    « Nous estimons que plus de 1000 maisons ont été essevelies, donc il y a probablement encore plus de 1000 disparus » dans le quartier de Balaroa, à Palu, a indiqué Yusuf Latif, porte-parole de l’agence à l’AFP. Même s' »il y a une possibilité que certains aient réussi à sortir », a-t-il ajouté.

    https://www.laprovence.com/actu/en-direct/5182921/indonesie-encore-plus-de-1000-disparus-presumes-apres-le-seisme-et-le-tsunami.html

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    1. https://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2018/10/07/indonesie-a-palu-5-000-personnes-presumees-disparues-apres-le-seisme-et-le-tsunami_5365880_3216.html

      Jusqu’à 5 000 personnes sont présumées disparues dans deux quartiers de la ville de Palu, localité de l’île indonésienne de Sulawesi – autrefois appelée l’île de Célèbes – durement frappée par un puissant séisme suivi d’un tsunami, a annoncé, dimanche 7 octobre, un porte-parole de l’agence de gestion des catastrophes.

      Sutopo Purwo Nugroho a expliqué aux journalistes que ce chiffre était fondé sur les estimations des chefs de village à Petobo et Balaroa, quartiers dévastés par la double catastrophe. Il a ajouté que les recherches de disparus se poursuivront jusqu’au 11 octobre. A cette date, ils seront présumés morts.

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  8. Le prix Nobel du réchauffement climatique enfin décerné !

    Publié le 8 octobre 2018 par Olivier Demeulenaere

    Ne riez pas, c’est très sérieux. D’autant que l’annonce de ce Nobel coïncide, par le plus grand des hasards, avec la sortie d’un nouveau rapport alarmiste du GIEC. Ils prônent la « monétisation et la marchandisation des ressources naturelles », la « tarification du carbone » et la « mondialisation des consciences » au sujet des dérèglements climatiques (lire ici) : Ces deux Américains ont bien mérité leur prix Nobel d’économie, non ? OD

    Pour lire l’article ► https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2018/10/08/prix-nobel-rechauffement-climatique-enfin-decerne/

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  9. Rapport du Giec : Emmanuel Macron appelle «tout le monde» à agir «maintenant» contre le réchauffement climatique

    CLIMAT Pour limiter le réchauffement à 1,5°C, les experts du Giec estiment que des transformations « rapides » et « sans précédent » doivent être engagées…

    https://www.20minutes.fr/politique/2350831-20181008-rapport-giec-emmanuel-macron-appelle-tout-monde-agir-maintenant-contre-rechauffement-climatique

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  10. [Climategate] Le GIEC pond ses rapports à partir de données bâclées inexploitables
    Publié le 9 octobre 2018 | Olivier Demeulenaere ► https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2018/10/09/climategate-le-giec-pond-ses-rapports-a-partir-de-donnees-baclees-inexploitables/

    « Le premier audit jamais réalisé sur la base de données de températures la plus importante au monde, révèle qu’elle est si criblée d’erreurs qu’elle est en réalité inexploitable.

    HadCRUT4 est la principale base de données dont se sert le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pour faire ses annonces catastrophiques à propos du ‘réchauffement climatique créé par l’homme’, justifier ses exigences de dépenser des milliards de dollars pour ‘lutter contre le changement climatique’, et légitimer l’Accord de Paris sur le climat.

    Or, selon une analyse novatrice du chercheur australien John McLean, les données de HadCRUT4 sont beaucoup trop bâclées pour être prises au sérieux, même par des climatologues [sic], et surtout pas par un organisme aussi influent que le GIEC ou par les gouvernements du monde.

    D’après John McLean, nous avons là des « données très négligées d’amateur, à peu près du niveau d’un étudiant en première année d’université. »

    Parmi les nombreux vices relevés par McLean, on trouve :

    Des moyennes établies à partir d’informations pratiquement inexistantes. Pendant deux ans, les températures au-dessus des terres de l’hémisphère sud ont été estimées à partir d’un seul site en Indonésie.
    Presque aucun contrôle de qualité, avec des noms de pays mal orthographiés (Venezuala, Hawaai, République de K (Corée du Sud) et des entrées de données bâclées, manifestement inexactes.
    Des ajustements – « Je ne serais pas surpris de voir que plus de 50% des ajustements sont incorrects, » dit McLean – qui abaissaient artificiellement les anciennes températures et élevaient les températures plus récentes, en donnant une impression exagérée de la vitesse du réchauffement planétaire.
    Une méthodologie si incohérente que les mesures n’obéissaient même pas à une règle fiable pour les variables telles que l’heure d’été.
    Des mesures en mer, supposées provenir de navires, mais relevées par erreur jusqu’à 80 kilomètres à l’intérieur des terres [c’est peut-être les tsunamis ? NdT].
    Une île des Caraïbes, Saint-Kitts, où la température a été enregistrée à 0°C pendant un mois entier à deux reprises (quelque peu invraisemblable pour les tropiques).
    Une ville de Roumanie qui, en septembre 1953, aurait connu une température moyenne mensuelle de –46°C (bien que la moyenne typique de ce mois-là soit de 10°C).

    C’est pourtant avec ces données de températures que le GIEC a estimé que, depuis le milieu du XIXe siècle, le ‘réchauffement climatique’ est suffisamment alarmant pour que les gouvernements du monde entier prennent des mesures urgentes, mesures qui coûtent actuellement environ 2000 milliards de dollars par an aux contribuables.

    La base de données HadCRUT4 est mise à jour en commun par le Centre Hadley du Met Office (Royaume-Uni) et l’unité de recherche sur le climat de l’université d’East Anglia (le mal famé CRU du ClimateGate).
    =*=

    Mais c’est nous les vilain-e-s conspis !
    JBL

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