À l’aube d’une nouvelle vague et d’un nouveau confinement ?…

NON ! APPEL À RÉSISTER !

PARTOUT PAR TOUSTES !

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Le docteur Jean Stevens dénonce la violation du serment d’Hippocrate par toutes nos autorités politiques, scientifiques et sanitaires

URL de l’article source ► https://aulnaycap.com/2021/10/12/le-docteur-jean-stevens-denonce-la-violation-du-serment-dhippocrate-par-toutes-nos-autorites-politiques-scientifiques-et-sanitaires/ VIA Profession Gendarme du 15/10/2021

Complétée & Enrichie par JBL1960

Ce médecin à la retraite, n’étant plus en exercice se sent toute la liberté de donner son point de vue sur la gestion de cette pandémie qui repose sur un virus non naturel car fabriqué en laboratoire. Une liberté de parole qu’il s’accorde donc et qui est refusée à tous les soignants en activité  qui risquent leur carrière lorsqu’ils osent s’exprimer en s’écartant du narratif gouvernemental. Dans le pays dit des droits de l’homme, c’est assez incongru et surprenant…. et témoigne d’une censure inédite et inquiétante.

Il affirme  “qu’aucune institution n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent” et que “même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin.” C’est pourtant ce que se permettent de faire nos dirigeants avec leurs cohortes de médecins choisis par eux et dont ils se sont entourés pour être soutenus dans le narratif qu’ils veulent nous imposer de croire.

Les scandales sanitaires de passés encore récents qu’il évoque, ne plaident absolument pas selon lui, en faveur de  “l’absolue pureté des motivations” des décisionnaires en matière de santé, tant les enjeux financiers pour les laboratoires qui fabriquent les nouveaux médicaments et vaccins sont énormes. Il reproche à ce qu’il nomme la  “scientocratie” de souffrir d’une approche profondément et intrinsèquement  “inhumaine” !

Le docteur Jean Stevens cite à bon escient :

10TEXTESACHANGER

  • le code de Nuremberg (1946),
  • la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966),
  • la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964),
  • la convention sur les armes biologiques (1975) ( et – ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre – )
  • le code éthique de l’association des médecins américains.

NdJBL ► TRACT-PDF R/V N° 160721https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2021/07/tract-pdf-pour-refuser-lobligation-vaccinale-et-le-pass-sanitaire-juillet-2021.pdf

Il note avec effroi et colère qu’ “une entreprise d’envergure mondiale a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques”  pour respecter les droits des médecins et des patients. Il désapprouve les autorisations de mise sur le marché par la FDA et l’ANSM qui  “ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA)  (… ) qui leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois.”

Il pointe  “des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.”  Il accuse les firmes pharmaceutiques d’avoir grossièrement manipulé les statistiques et se demande pourquoi après 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères recensés en mai 2021 par VAERS et 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés  “graves” par la pharmacovigilance européenne, la vaccination n’est pas immédiatement suspendue ?  En 1975 la vaccination contre la grippe porcine avait été arrêtée après seulement 25 morts recensés. En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer !!! Il n’est pas excusable de poursuivre une vaccination et encore moins de la rendre obligatoire lorsqu’elle provoque autant de décès et de pathologies graves !

Comme d’autres médecins avant lui, le docteur Jean Stevens aboutit  à la conclusion que :  “L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ”. Et c’est là que le docteur Stevens décide  “d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités.”

Ci dessous, sa lettre en intégralité :

Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens

Marsac le 01/10/2021

Cher Confrère,

Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.

J’ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.

clicimage pour accéder au débriefing FranceSoir du Dr. R. Fleming

J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming. En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine). Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête – fouillée et compétente –, elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».

Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » – à savoir que ses propos sont fondés – et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne se soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.

Ce problème « moral » est en réalité extrêmement grave et repose, à mon sens, sur la question de la légitimité (et des limites) de cette « autorité » que s’attribuent aujourd’hui certaines institutions politiques, scientifiques et sanitaires au nom de l’idée qu’elles se font du bien public et de leur fonction dans la santé des citoyens. La fonction des politiciens est de gérer au mieux l’organisation de la société, celle de la Science de présenter des données objectives aux preneurs de décision et celle des institutions sanitaires d’organiser au mieux le réseau de la santé et l’information des médecins. Jusqu’ici, toutes ces institutions sont largement diffusées par la plupart des médias.

Aucune de ces institutions, toutefois, n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent, en âme et conscience, dans le dialogue singulier qui les lie (par la confiance) à leurs malades. C’est là une fonction spécifique à la profession médicale. Même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin. Il contreviendrait ainsi gravement aux principes mêmes qu’il est censé défendre : ceux du serment d’Hippocrate (qui sacralise la valeur de l’individu et du dialogue singulier) et celui, fondamental, du « primum non nocere ». Il est particulièrement regrettable de constater que, dans cette pandémie, les premiers concernés par le respect de ces principes – les médecins généralistes – ont été totalement écartés des lieux de décision au profit de spécialistes certes pointus, mais inévitablement moins concernés que ces derniers par la dimension humaine du problème.

Les contraintes qu’imposent aujourd’hui ces « autorités » à la liberté diagnostique et thérapeutique des médecins sont incompatibles avec les valeurs sacrées de leur métier, valeurs auxquelles ils ont tous juré fidélité au début de leur carrière. Au vu de la tournure que prennent les événements dans cette pandémie, j’en viens à penser que le serment d’Hippocrate qui lie tous les cliniciens – mais ne contraint aucune institution – constitue le dernier rempart de la défense des valeurs humaines fondamentales face à la puissance manipulatrice et médiatique des mondes politiques, économiques et même scientifiques. Après tous les scandales (sang contaminé, grippe H1N1, Mediator, Vioxx etc…) qui ont ébranlé ces honorables institutions, il faudrait être d’une grande naïveté pour croire encore en l’absolue pureté de leurs motivations.

Ces institutions, à l’image de toute notre société, ont quasiment sacralisé la Science. Cependant, quarante ans de réflexion profonde sur les rapports entre science et médecine m’ont fait clairement comprendre que ce mode de connaissance est, par principe (d’objectivité, de causalité et de réductionnisme) aveugle à la dimension subjective de la réalité. Cela signifie que la Science appliquée unilatéralement à la médecine est aveugle à la réalité du sujet. Elle ne peut voir dans l’organisme humain qu’un objet dénué de toute « profondeur ». C’est d’ailleurs cette « cécité sélective » de la Science qui explique son incapacité – avouée par tous les chercheurs honnêtes – à définir la vie et la conscience.

La « scientocratie »  est en réalité la philosophie qui, jusqu’ici, a inspiré la logique décisionnelle des « autorités » sanitaires et politiques, mais cette philosophie souffre d’une « inhumanité » intrinsèque. C’est donc le rôle, me semble-t-il, des vrais cliniciens de rendre au sujet et à l’individu une place centrale face aux arguments objectifs, mais exclusivement statistiques des autorités sanitaires et politiques.

La remarquable vidéo du Dr Fleming a le désavantage de durer quatre heures et d’entrer souvent dans des détails techniques qui ne sont vraiment pertinents que pour des initiés. Il me semble toutefois que son message devrait être connu de tous les cliniciens embarqués en confiance (par naturelle « soumission à l’autorité ») dans une entreprise d’envergure mondiale qui a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques : le code de Nuremberg (1946), la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966), la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964), la convention sur les armes biologiques (1975) et – ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre – le code éthique de l’association des médecins américains.

Aujourd’hui je suis vraiment en colère et je sais ma colère juste. Les « autorités » auxquelles je m’étais fié ont trompé ma confiance et continuent à tromper (par négligence ou compromission, je ne sais) celle de mes pairs à propos

  • (1) de la fiabilité du travail de contrôle des essais cliniques avant la mise sur le marché des vaccins,
  • (2) de l’efficacité des vaccins et, plus grave encore,
  • (3) de leur toxicité. Toutefois, personnellement, ce qui a le plus violemment heurté mon « âme » de chercheur et de médecin, c’est
  • (4) l’occultation délibérée par des « autorités » scientifiques et politiques de l’origine non pas « naturelle », mais « chimérique » (artificielle) du virus responsable de la pandémie.

1 – Fiabilité des études préliminaires

La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) – entièrement pilotées par ces industriels – n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiées. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts3 leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants.

2 – Efficacité du vaccin

Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90% selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre – le « risque relatif » – qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1%. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner.

Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve – quand on les cherche – des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.

3 – L’étude critique de la toxicité potentielle des vaccins est encore plus effrayante

Le « rapport bénéfice/risque » avancé par les firmes correspond à une grossière manipulation des statistiques. Des responsables compétents n’auraient jamais permis sa mise sur le marché en temps normal. Aujourd’hui que des millions de gens ont été vaccinés, la chose est évidente. Le site américain de recensement des « effets indésirables » des vaccins (VAERS) recense en mai 2021 plus de 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères. Une étude européenne de pharmacovigilance recense, elle près de 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés « graves ». En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer. Pour rappel, l’épidémie de grippe porcine en 1976 aux USA (célèbre scandale sanitaire) a été arrêtée quand on a recensé 25 morts après une campagne de publicité semblablement orchestrée par les « autorités » politiques et sanitaires qui avait amené 46 millions d’Américains à se faire vacciner.

Le statisticien en santé publique (l’autorité ultime de la « scientocratie ») va mettre ces chiffres en balance avec le nombre (supposé) de « vies sauvées » grâce au vaccin. Aux yeux de tout médecin vivant une relation de confiance avec son patient (la base du serment d’Hippocrate), ce calcul est inacceptable parce qu’en prescrivant ou administrant un médicament qui peut causer la mort ou un handicap grave à son patient il n’est en rien excusable puisque, s’il connaît le risque statistique du vaccin qu’il propose, il est déontologiquement obligé de donner cette information à son patient et d’obtenir son consentement « libre et éclairé ». En rendant le vaccin obligatoire, les « autorités » sanitaires et politiques bafouent ouvertement ces principes fondamentaux de la médecine au nom de statistiques portant sur l’incidence (potentielle) et la mortalité (inférieure à 0,1%) d’une maladie virale « naturelle » (cf. point 4).

Mourir de la Covid est certes un drame pour les proches, mais cette mort est « naturelle » (pour autant qu’on croie le virus de la Covid-19 naturel). Par contre, mourir à cause d’un vaccin qu’on a forcé le médecin à administrer ou le malade à accepter contre sa volonté, sa conscience dûment éclairée ou son intime conviction est tout simplement un sacrilège, une atteinte inacceptable aux valeurs fondamentales (sacrées) de l’homme. C’est là que moi personnellement je décide d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités. L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ».

4 – Du caractère « naturel » du virus de la Covid-19

Toutes ces « révélations » génèrent chez moi une profonde colère, mais celles qui, dans cette vidéo, m’ont personnellement le plus effrayé sont d’ordre scientifique et pas médical. Elles concernent la protéine spike, l’acteur majeur de cette pandémie et la cible visée par les vaccins. J’ignorais, avant la lecture de cette vidéo, que cette protéine (les « épines » du virus) commune à tous les coronavirus est, dans le cas du SARS-Cov-2, une pure « chimère » c’est-à-dire le résultat de manipulations génétiques menées patiemment depuis 20 ans dans des laboratoires de virologie largement financés par le ministère de la Défense (!!!) des USA (laboratoire de Ralph Baric) puis « améliorés » par des virologues chinois dans l’institut de Wuhan (laboratoire de Shi Zhengli). Ces études portant sur le « gain de fonction » des virus visent à « améliorer » la virulence du virus pour la race humaine et sa capacité à pénétrer dans le cerveau. C’est donc indubitablement une arme biologique. Ces bricoleurs de virus ont en effet « inséré » dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C ainsi qu’un court « insert » appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.

De plus, en déformant la protéine, ces trois inserts ont créé à son extrémité un domaine dit de type « prion », c’est-à-dire semblable à l’agent de la vache folle. Et, de fait, on peut induire expérimentalement ce type de maladie (encéphalopathie spongiforme) chez les souris génétiquement modifiées (dites « humanisée ») après infection par le SARS-Cov-2. Le SARS-Cov-2 est donc, incontestablement à mon sens, un virus artificiel – une « chimère » – dont la création a « bypassé » tous les processus de sélection naturelle. Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante – mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme – soit tue.

5 – De la vaccination obligatoire et généralisée

Nous devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes, témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque des différents vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et, personnellement, ils me glacent d’effroi.

Alors que le risque de mourir est quasiment nul pour un Covid “naturel” entre 0 à 14 ans, il est non nul pour l’administration du vaccin. Or, cette seule réalité n’empêche pas les autorités de prévoir une vaccination obligatoire de tous les enfants.

Dans la tranche d’âge entre 15 et 44 ans, le rapport bénéfice-risque est à peu près égal à 1 (seuil maximal admissible), mais si on évalue ce même rapport chez les sujets sans « comorbidité » (c’est-à-dire la majorité de cette population), il grimpe à 3 (1,5 à 4,4), ce qui signifie qu’il est trois fois plus toxique qu’efficace. Un parent ou un patient dûment éclairé de ces chiffres refuserait très certainement le vaccin. Comme personne n’est en droit de prétendre remplacer la responsabilité parentale ou personnelle dans une telle situation, les « autorités » ont balayé ce droit et manipulé l’information au nom d’une « immunité collective » dont nous savons aujourd’hui qu’elle ne sera jamais réalisée par les vaccins puisqu’ils ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité, ni des variants.

Il est plus que temps, me semble-t-il, messieurs les présidents des conseils de l’ordre et chers confrères cliniciens, d’ouvrir nos yeux à des réalités que les « autorités » impliquées jusqu’au cou dans une politique unilatérale ne peuvent pas regarder en face sans perdre la face. Nous avons maintenant un recul suffisant face à cette maladie nouvelle. Le corps médical – et en particulier les omnipraticiens, premiers acteurs responsables dans une pandémie, et les conseils de l’ordre, seuls remparts officiels de l’éthique médicale – peut-il continuer à se « soumettre à une autorité » qui nous a dépossédés de ce qui fait toute la valeur éthique de notre métier, sa « densité humaine ». Comme le rappelle à plusieurs reprises mon collègue Richard Fleming : « Qu’en est-il si ceux qui prétendent soigner le problème (les “autorités” politiques et scientifiques et l’industrie biotechnologique) sont aussi ceux qui l’ont créé ? »

Si, après avoir visionné en intégralité la vidéo du Dr Fleming et, si possible aussi, celle de Christine Cotton (ICI) ou du Dr de Lorgeril () (deux spécialistes français de la lecture critique des statistiques dans les études cliniques) vous continuez, chers confrères à accorder votre confiance au discours des « autorités », je crains fort que vous ne puissiez rétablir – quand la vérité sera enfin établie – la confiance de la population en une médecine qu’elle jugera, à juste titre, très sévèrement.

Tout le monde sait que la pandémie a créé en quelques mois une vague de décès (en rien comparable à celle la grippe espagnole ou de la peste), une secousse sans précédent de l’économie mondiale, mais aussi quelques heureux, les neuf nouveaux milliardaires de l’industrie du vaccin et des tests biologiques. À titre d’exemple, le patron de la firme Moderna – qui ne cache pas publiquement son rêve de créer une médecine préventive fondée sur la manipulation (le « piratage », dit-il même) du génome, le plus précieux trésor de chaque organisme vivant que la Nature a mis plusieurs milliards d’années à sélectionner. En apprenant que ses gains personnels en 2020 (4.3 milliards de $) ont été exemptés d’impôts (cadeau de l’État du Delaware), et placés dans des paradis fiscaux (cadeau de la Suisse qui abrite le siège social de sa société), j’ai peine à croire en la pureté des objectifs humanitaires de ce genre d’industrie. Il est très loin le temps où le Dr Sabin, inventeur du vaccin de la polio, avait fait don de son brevet aux enfants de l’humanité.

La seule façon, me semble-t-il, chers confrères – et mon exhorte s’adresse également à tous les soignants, parents et jeunes – de résister à la puissance de ces géants est, je pense, d’entrer massivement en « résistance » et d’unir les voix de plus en plus nombreuses de ceux qui devinent – sans souvent pouvoir le démontrer – que quelque chose de fondamental à l’homme est en train de pourrir dans notre société capitaliste et hyperlibérale. En tant qu’humain, médecin, père et grand-père soucieux du devenir des générations futures, il me semble que cette démarche relève du noble « devoir civique ».

Très confraternellement,

Jean Stevens, 82 140 Saint Antonin (France)

P.S. : Au moment d’envoyer cette lettre, j’apprends la courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier à qui ses « autorités sanitaires » avaient refusé qu’il publie des résultats (très inquiétants) concernant les effets secondaires graves dans 83 EPHAD4. Il souligne au passage l’inquiétante augmentation des effets secondaires du vaccin Pfizer (+160 % en deux mois). ICI

AUX PEUPLES RABAISSÉS AU RANG DE COBAYES ! MàJ à 16H10MN avec version TRACT-PDFPOUR SE LEVER ENSEMBLE & STOPPER LES COVIDélires ;

Je vous invite à (re)lire ces 4 études majeures d’un anonyme ;

4 ► Analyse critique et conclusive sur le risque de longévité appliqué au COVID-19, auteur anonyme, version PDF complétée et enrichie par JBL1960On ne planifie pas un cancer généralisé, 3 octobre 2021 ► Version PDF N° 141021 de 24 pages de JBL1960https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2021/10/anonyme-on-ne-planifie-pas-un-cancer-generalise-pagination-de-jbl1960-octobre-2021.pdf ;

3 ► ÉTUDE D’IMPACT DU CONFINEMENTVersion initiale intégrale et originale au format PDF N° 365 de 16 pageshttps://jbl1960blog.files.wordpress.com/2021/09/impactduconfinement-20210725.pdf ;

2 ► COVID-19 ; Des Statistiques au Scandale, 21 Mars 2021Version PDF N° 263 de 26 pageshttps://jbl1960blog.files.wordpress.com/2021/03/covid-19-des-statistiques-au-scandale-21-mars-2021-suite.pdf ;

1 ► COVID-19 – Du mythe aux statistiques, 9 février 2021Version PDF N° 243 de 24 pageshttps://jbl1960blog.files.wordpress.com/2021/02/stats-covid.pdf ;

CONTROLENCOURS

+ CHRONIQUES DU PRESQUE Dr. T’CHÉ-RIEN ;

+ DOSSIER SPÉCIAL CORONAVIRUS ;

+ BIBLIOTHÈQUE PDF ;

JBL1960

AILLEURS, AD HOC & CONNEXES ;

Totalitarisme-robot

La prison électronique ou rien ? Dominique Muselet – 14 octobre 2021 – URL de l’article original : https://www.mondialisation.ca/la-prison-electronique-ou-rien/5661359 ;

vaxpoison

« Kill Shot », l’injection tueuse… Ce que nous savons (transcription / traduction vidéo par Résistance 71 ) ► https://resistance71.wordpress.com/2021/10/15/kill-shot-linjection-tueuse-ce-que-nous-savons-transcription-traduction-video-par-resistance-71/ L’injection tueuse (transcription / traduction vidéo) – Greg Reese – 13 octobre 2021 – URL de l’article original :
https://banned.video/watch?id=6166ea821648ca3e25181fa3 ;

Le virus inexistant ; une interview explosive de Christine Massey – Par Jon Rappoport – 13 octobre 2021 ► https://cv19.fr/2021/10/13/le-virus-inexistant-une-interview-explosive-de-christine-massey/ ;

Au moins 46218 morts suite à la vaccination Covid-19 (MaJ au 22/09/21) ► https://cv19.fr/2021/09/22/au-moins-46218-morts-suite-a-la-vaccination-covid-19/

FAITES VOS PROPRES RECHERCHES, si vous ne nous croyez pas…

119 réflexions sur « À l’aube d’une nouvelle vague et d’un nouveau confinement ?… »

  1. Si t’as pas l’passe c’est l’impasse, sans la troisième dose il s’efface, car c’est ça la menace, en attendant que de froid tu trépasses, tu te joues la vie à pile ou face.

    Aimé par 1 personne

      1. C’est perdu pour les cinglés mondialistes…

        J’ai plusieurs messages sur Telegram depuis cet apm qui annoncent que c’est imminent !

        Roland Legrand annonçait des grands changements pour cette pleine lune du 20 octobre 2021…

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  2. Rien de neuf !

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  3. CHRONIQUES DU PRESQUE DR. T’CHÉ-RIEN

    Précision du Presque Dr. T’CHÉ-RIEN du 08/10/21 ► Dernière soi-disant trouvaille de MERCK ► Le MOLNUPIRAVIR ; Une vieille molécule de plus de 40 ans !!!

    https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04575597?term=molnupiravir&draw=2&rank=2 + les sources de financements ► https://theintercept.com/2021/10/05/covid-pill-drug-pricing-merck-ridgeback/ que vous pouvez traduire gratuitement avec DeepL.com.

    J’aime

  4. Tiens tu peux refaire les calculs, tu verras c’est très amusant les maths !

    Donc, face à cette maladie très très très…très dangereuse avec heureusement un « vaccin » très très très…très efficace
    Nos amis pour l’avis !

    à en croire Santé Publique France qui cumule tout décès Covid 19 depuis le 1/03/2020…

    Ne prenons que les décès hôpital…et soyons bons princes, passons sur le fait que tout a été étiqueté Covid !

    Au 31/12/2020, soit sur10 mois = 44826 décès
    Sans injections ARNm et SANS SOINS !!!

    Au 8/10/2021, tout cumulé, soit 18 mois = 90151 décès

    La différence nous donne donc pour 2021 45325 décès pour 9 mois.

    Compte tenu de l’option  “tout injection” il n’y a toujours pas de soins !!!!
    Donc avec 1 mois de moins qu’en 2020 ça fait 499 décès de plus en 2021.

    Ces injections d’ARNm ayant commencé en janvier 2021, qu’est-ce que cela a changé concernant les décès ?

    Les cas.
    Au 8/10/2021 il a été déclaré depuis Mai 2020, début des tests = 7 047 760 cas
    Au 31/12/2020, il est déclaré 2.339.431 cas pour 8 mois (Mai 2020 début des tests).
    Soit pour 2021 un total de 4.708.355 pour 9 mois.

    DONC EN QUOI CES INJECTIONS MASSIVES SONT-ELLES EFFICACES POUR FAIRE RECULER LES CAS ?

    Taux de décès.
    Au 8/10/2021 423.274 personnes qui sont sorties guéries de l’hôpital depuis mars 2020
    Pour 2020, il y a été déclaré 239.016 personnes sortie guéries .
    Donc ce qui nous donne par différence 229.084 personnes sorties guéries en 2021.

    2020 : 44.826 / 239.016 (%) = 18.75 %
    2021 : 45.325 / 274.409 (%) = 16.52 %
    En terme d’efficacité des soins à l’hôpital peu d’évolution.
    En revanche, À QUOI SERVENT CES INJECTIONS ?

    Rajoute à l’inefficacité, les décès et complications post-vaccinales !

    Quand à ces tests idiots pour les idiots qui continuent de se faire tester en ignorant leur inutilité hors contexte d’un laboratoire de recherche, et en plus sont capables de détecter des bouts de séquences de nucléotides de virus déjà morts, surtout à plus de 40 cycles, donc plus infectieux, ni contaminants ; Ce sont les résultats de ces tests qui permettent de calculer le taux de prévalence !

    Quand à l’explosion des cas en juillet/août sur Marseille et Nice ?
    Mais sang déconner ! Il n’est pas venu à l’idée de ?, que la population est multipliée par 3 en vacances d’été dans ces régions et que c’est ici que les gens se sont faits tester pour sortir au resto et pas chez eux dans leur ville d’origine !!!
    D’ici qu’ILS nous sortent que c’est bien sûr grâce au “vaccin” que nous sommes passés de 550 cas pour 100 000 à plus rien !

    J’ai encore répandu mon spray anti-tigre autour de la maison. Vachement efficace n’empêche car pas un tigre ne rôde ici !

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    1. Tu m’étonnes Elton !

      Toujours pas un tigre à l’horizon ?

      Faut le faire breveter ton spray !

      IN VIVO = dans des sociétés des trou-du-cul-du-monde les chefaillons poussent les employés à la vaxxination, paske c’est INÉVITABLE !

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    1. 1) Ce n’est pas un médecin, mais Jean Quatremer (sa tête me disait bien kèkechose…) ;

      2) C’est en réalité un raisonnement par l’absurde. Il explique ensuite que « si le gouvernement n’a pas décidé la vaccination obligatoire — et pris des mesures dictatoriales — , c’est parce que le vaccin n’est pas encore définitivement approuvé et que cela pose des problèmes de responsabilité juridique… »

      https://lemediaen442.fr/jean-quatremer-sur-larret-du-versement-des-retraites-aux-non-vaccines/

      Jean Quatremer lors de l’émission 24H Pujadas sur LCI du lundi 18 octobre, « Covid – La 5e vague a-t-elle commencé ? » L’extrait ci-dessous peut porter préjudice à Jean Quatremer, car, si l’on ne prend que le passage coupé, cela donne :

      « Imposer la vaccination obligatoire c’est facile. On appelle les 626 000 personnes, une par une… Et si jamais elle ne défèrent pas à la convocation, eh bien, on suspend le versement des retraites. Je peux vous dire que les 626 000 personnes, elles vont aller se faire vacciner extrêmement rapidement. » A ce niveau de la vidéo, on a tous envie de faire voltiger Quatremer.

      C’est en réalité un raisonnement par l’absurde. Il explique ensuite que « si le gouvernement n’a pas décidé la vaccination obligatoire — et pris des mesures dictatoriales — , c’est parce que le vaccin n’est pas encore définitivement approuvé et que cela pose des problèmes de responsabilité juridique… »

      Donc non ! Jean Quatremer ne veut pas affamer nos anciens pour les obliger à se vacciner. Mais cela peut être une mesure applicable d’ici quelque temps — avec le « Crédit social » par exemple — afin de soumettre la population à la vaccination dans un futur proche. Pour l’heure, la difficulté pour le gouvernement sera de faire accepter la troisième dose — dont personne ne veut — sans attaquer trop frontalement les français, de peur que cela produise l’inverse de l’effet escompté, un refus massif.

      Marcel D. pour Le Média en 4-4-2

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  6. Quelques infos à la volée (pas le temps de mettre les articles correspondants de suite).

    – vote de la prolongation jusqu’en juillet.

    – Lettonie reconfinee pour 1 mois,

    – Moscou – Toutes les personnes de 60 ans et plus, doivent à partir du 25 octobre, rester chez elle pendant 4 mois.

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    1. Et maintenant, que peuvent-ils nous faire faire d’autre ?

      S’ils nous ont fait faire ça, que pourraient-ils nous faire faire d’autre ? C’est la question que beaucoup se posent aujourd’hui face à un pouvoir qui, en moins de deux ans de gestion de la pandémie, a littéralement asservi la population. C’est la question de la nature diabolique du pouvoir posée par Carl Schmitt : « Dans quelle mesure, en général, est-il possible pour un dictateur politique de s’emparer de la productivité spirituelle de tout un peuple ».

      S’ils nous font faire ça, que peuvent-ils nous faire faire d’autre ? C’est la question alarmante et, disons-le, angoissante que beaucoup de gens se posent aujourd’hui. C’est aussi la question de la nature diabolique du pouvoir. Carl Schmitt, qui en savait long sur le pouvoir pour l’avoir étudié en profondeur, posait la question de la manière suivante : « Il faut se demander dans quelle mesure, en général, il est possible pour un dictateur politique de s’emparer de la productivité spirituelle de tout un peuple à tel point qu’aucune pensée libre ne survit et qu’aucune réserve ne subsiste chez lui. Quiconque connaît la pensée de Schmitt sait qu’il faisait également référence aux démocraties parlementaires.

      Dans le nôtre, les pouvoirs en place ont incité 90 % d’une population qui était à 90 % exempte de symptômes à se faire vacciner. Sur cette base, elle a arrêté la vie économique pendant une longue période et a ensuite préconisé la vaccination obligatoire pour relancer la vie économique. Il a introduit le laissez-passer vert sous la forme la plus dure et presque unique au monde, alors que cette disposition n’avait aucune signification sanitaire, mais uniquement pour forcer la vaccination. L’obligation s’est ainsi transformée en chantage. Si vous voulez faire ceci ou cela, vous devez avoir un laissez-passer vert.

      Non seulement le chantage mais aussi la tromperie : l’Union européenne dit qu’on ne peut pas forcer un citoyen à prendre un vaccin ? Mais le gouvernement italien n’oblige pas les gens à se faire vacciner, il les oblige « seulement » à avoir un laissez-passer vert, et l’obstacle est donc surmonté. Si le laissez-passer vert est nécessaire pour aller au théâtre, soit, mais quand il est nécessaire pour travailler, l’insulte devient grave. Les syndicats eux-mêmes participent au chantage de leurs représentants. Les Italiens qui tiennent bon et se procurent trois tampons par semaine sont comparés à des individualistes narcissiques et anarchiques qui affirment que le corps leur appartient et qu’ils en font ce qu’ils veulent. Les catholiques constitutionnels osent même dire cela des catholiques réfractaires.

      De plus, pour obtenir trois écouvillons par semaine, il faut dépenser beaucoup d’argent, faire des réservations, se lever tôt, être un héros et payer pour travailler. Si seulement il y avait une urgence », dit l’un d’eux, « mais il n’y a pas d’urgence, les infections sont peu nombreuses, les guérisons sont très nombreuses et les unités de soins intensifs sont vides. Il n’y a pas de moines errant dans les rues avec des charrettes pleines de cadavres. Carl Schmitt, s’il était encore en vie, appliquerait sans doute sa question à notre époque, à notre gouvernement, à notre pays.

      Le pouvoir est aujourd’hui plus systémique qu’il ne l’était auparavant. La convergence organique de toutes ses branches vers le même objectif de « prise en charge de la productivité spirituelle de tout un peuple » est évidente et palpable. Le service d’information du régime de la Rai ne dit rien des manifestations autour de l’Italie et ses journalistes – pour autant que l’on puisse vraiment se considérer comme tel dans le service public – minimisent et portent l’attention ailleurs, notamment sur les « fascistes ». Le préfet s’empresse de dire que les manifestations de chameaux à Trieste sont une manifestation illégitime et on peut se demander s’il aurait dit la même chose si la CGIL en avait fait la promotion et si les participants avaient chanté Bella Ciao.

      Les journaux nationaux sont complètement alignés et même Avvenire titre scandaleusement sur une pleine page « L’Italie est oui passe ». Les associations professionnelles expulsent les médecins dissidents, les lauréats du prix Nobel sont calomniés. Les intellectuels de premier plan restent silencieux, à l’exception des « habituels » Cacciari et Agamben. Les données, comme au début de la pandémie, continuent d’être déformées avec la complicité de beaucoup. Aujourd’hui encore, on donne des chiffres absolus sans les examiner, et on parle d’un certain nombre de décès sans dire de quoi ils sont morts.

      Les composantes du système qui donnent le plus à penser par rapport à la question de Schmitt sont les syndicats et l’Église catholique. Nous savions tous que les grands syndicats étaient, pour des raisons historiques, pour la pratique et pour l’idéologie, contigus au pouvoir, non seulement mais surtout lorsque celui-ci est de gauche. Nous l’avons constaté par leur absence totale lors des mesures anti-pandémie. Mais on n’attendait pas d’eux qu’ils abjurent dans leur propre domaine : le travail. On n’attendait pas d’eux qu’ils acceptent que, pour travailler et subvenir aux besoins d’une famille, un travailleur fasse quelque chose d’imposé d’en haut, contre son meilleur jugement, non motivé par une quelconque urgence, fonctionnel à d’autres intérêts. Aujourd’hui, les syndicats et la gauche encensent Draghi, qui « sait enfin dire non » aux travailleurs, et le comparent même à Thatcher.

      L’Église catholique ne s’est pas placée du côté de la vérité mais du côté du pouvoir, elle est devenue « constitutionnelle », acceptant tous les slogans de la propagande du système et les gonflant même de significations morales et religieuses de solidarité, alors qu’il s’agissait en fait d’abus, de tromperie et de chantage. Dans de nombreux cas, les dispositions ecclésiastiques sont devenues encore plus strictes que celles du gouvernement, et les fidèles ont été contraints de ne pas penser par eux-mêmes : la libre pensée et l’esprit de clocher sont répandus et encouragés dans l’Église d’aujourd’hui sur tous les sujets du Credo, mais pas sur le passe vert : là, le pape est Draghi.

      La question de Schmitt est donc profonde et sans réponse :  » dans quelle mesure, en général, est-il possible pour un dictateur politique de s’approprier la productivité spirituelle de tout un peuple « . S’ils nous ont fait faire ça, que pourraient-ils nous faire faire d’autre ?

      Traduit avec https://www.deepl.com/translator

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      1. Nous savons que l’Église, les papes ont toujours été aux côtés des rois, empereurs, dictateurs, présidents, toujours !

        Ce n’est donc nullement une surprise lorsque ce pape affirme que la vaxxination est un acte d’amour et que seuls les QRCodés Injectés iront au Paradis !…

        Ce qui est surprenant, c’est le plaisir satanique qu’y met ce pape là en particulier !

        Sur ce point, le Draghistan est bien le jumeau du Frankistan !

        Quand l’italie elle, est bien la sœur jumelle de la France…

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  8. Confessions d’un Évêque Jésuite – Dr Alberto Rivera – 2ème Partie (MàJ 08/07/19)

    Confessions du Dr. Alberto Rivera – Analyse Jimmy Dalleedoo, en version PDF N° 44 de 23 pages réalisée par mes soins ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2018/01/confessionsdalbertorivera.pdf

    Le plan

    Dans ce plan ont été classés deux groupes de personnes :

    1 – Les croyants : protestants, orthodoxes, musulmans, bouddhistes, mormons, églises occultes, religions orientales, méditation transcendantale, témoins de Jéhovah, juifs.
    2 – Les non croyants : communistes, loges maçonniques, société secrètes, socialistes, athées, anarchistes, etc.

    De là une question se pose :

    Le plan d’un nouvel ordre mondial se dessine-t-il, dans lequel l’église catholique romaine voudrait jouer un rôle essentiel ?

    D’ailleurs les différents plans belliqueux de l’église auraient été avoués au Dr Rivera (alors qu’il avait encore la confiance de toute l’église), par le Cardinal Augustin Béa (1881-1968) qui était aussi le confesseur du pape Pie XII : il fut aussi surnommé « le pape d’Hitler ». D’après le Dr Rivera et ses découvertes, l’église catholique aurait accouché d’un enfant : le parti nazi.

    Mais pourquoi les Juifs auraient-ils été ciblés sans cesse ?

    L’église a toujours voulu avoir son siège à Jérusalem, car c’est là-bas que fut érigée la première église chrétienne (apostolique) : mais les juifs orthodoxes auraient empêché cela. En 1096, les juifs d’Europe furent traqués et assassinés par l’église catholique : des centaines de femmes et d’enfants furent sacrifiés au nom du Christ. En réalité, l’église aurait voulu accéder à Jérusalem, en se débarrassant, dans le même temps, des musulmans qui étaient déjà présents dans la future zone européenne.

    Mais pourquoi Jérusalem?

    Tout a commencé dans les années 330, après J.-C., alors que l’empereur Constantin était au pouvoir. Les chrétiens étaient alors persécutés par les païens romains, mais le nombre de chrétiens augmentait sans cesse. En 313, Constantin promulguait donc les édits de Tolérances. L’objectif était d’unir les impies et les vrais croyants bibliques, mais Constantin aurait été un adorateur de Baal. Il s’ensuit que l’église catholique serait donc née de ce mélange entre la croyance païenne de Baal et la croyance chrétienne. [NdJBL : Lire le PDF N° 3 (dernière version d’octobre 2018) des publications du Dr. Ashraf Ezzat « L’Égypte Antique n’a connu ni Pharaons ni Israélites » incluant rien de Saint dans la Ville Sainte]

    Face à ce « monstre » qui avait été créé, les vrais croyants bibliques partaient se cacher dans les montagnes : l’empereur Constantin devint ensuite le premier pape. En 330, c’est Maximus qui devenait pape alors que Constantin partait pour Byzance. C’est alors qu’il baptisa Byzance d’un nouveau nom : Constantinople. Et c’est ainsi qu’avec le temps, l’église catholique romaine fut divisée : à l’est, Constantinople qui représentait l’église orthodoxe et, à l’ouest, Rome qui représentait l’église catholique.

    L’organisation catholique est très ancienne, car elle aurait commencé à se former après le déluge de Noé. D’après la légende, dans la vieille ville de Babylone, Nimrod et Sémiramis auraient créé une religion qui se serait étendue dans le monde entier. Nimrod et Sémiramis s’étaient mariés, alors qu’ils étaient fils et mère. Après la mort de Nimrod, Sémiramis disait que Nimrod était devenu le dieu du soleil « Baal ». Le dieu Baal est aussi connu sous les noms de Sol ou de Tammuz. Sémiramis aurait été connue sous le nom d’Isis, Vénus ou encore reine du ciel ! Le Concile du Vatican aurait été en réalité la consolidation d’un plan de l’église, afin d’affiner leur processus de domination mondial. Néron, Constantin, Dominique et Loyola auraient été des constructeurs de l’église catholique romaine, mais qui ne se seraient pas basés sur les véritables principes bibliques.

    Exemple avec les méthodes de Néron : il aurait construit des églises qui, en réalité, n’étaient pas des églises ; beaucoup de « prêtres » auraient organisé des réunions pour prendre au piège les véritables croyants bibliques.

    Mais avec le temps, les vrais croyants bibliques refusaient de se soumettre à l’empereur qui n’était qu’un usurpateur. La « véritable religion » refusait donc de reconnaître l’empereur comme dieu. Il s’ensuivit donc un risque pour ces empereurs : que ces véritables croyants prennent le contrôle de l’État. Sur ordre de Néron, Rome fut incendié et se sont les ennemis des dieux Romains qui auraient été accusés !

    Mais au VIIIème siècle, un évènement remettait en cause le plan de domination de l’église catholique et de la classe dominante : les armées islamiques attaquèrent et occupèrent le « pays du pape » au nom d’Allah : l’empire du Vatican perdit alors du terrain et se réduisit à l’Italie Centrale.

    Comment repousser ces armées Islamiques ?

    La seule possibilité fut le roi Franc : Pépin Le Bref. L’église catholique écrivit donc une lettre au roi Franc. Les dirigeants de l’église disaient alors que cette lettre provenait directement du paradis et qu’elle avait été écrite par St Pierre !! Et c’est ainsi que cette fausse lettre fut transportée par un important cortège religieux jusqu’au roi Pépin. Et c’est ainsi que le roi Pépin réunit ses armées pour lutter contre les armées islamiques. Quand la guerre fut terminée, le Roi Pépin donna au pape Stéphan II, la ville de Rome et une partie de ses terres.

    Nous voyons que même dans ces années lointaines de notre histoire et dans des conditions totalement différentes, l’église catholique avait créé et organisé une forme d’inquisition pour mater ses opposants. Nous pouvons aussi constater que dans chaque situation, il existe une corrélation absolue, c’est-à-dire un lien étroit entre l’église catholique et le pouvoir en place : un lien incompressible entre la classe dominante et l’église.

    Après la mort de Pépin, le pape falsifia une lettre, dans laquelle il disait que le roi Pépin avait donné aux papes la totalité de l’Italie. Charlemagne croyait le pape et c’est ainsi que, par des mensonges l’empire du Vatican s’étendit. D’après les « donations de Constantin », c’était la totalité de l’empire romain qui avait été donnée aux papes, alors qu’en réalité, tous les documents, dans lesquels nous retrouvons ces volontés furent falsifiés par les dirigeants de l’église catholique romaine : ce fut le point culminant du « Saint-Empire ».

    Plus tard, les contradictions s’accentuèrent et l’empire chancelait, car certains croyants avaient lu la bible et avaient constaté que les écrits n’étaient pas en conformité avec ce que confirmait l’église catholique. Il ne restait alors qu’une solution pour l’église : une nouvelle forme d’inquisition. L’église catholique déversa alors un flot de violence et de répression comme à son habitude et c’est ainsi qu’elle engendra sa négation.

    Cette négation de la violence toute puissante de l’église catholique se matérialisa dans les 95 thèses de Martin Luther. Et c’est ainsi que le mouvement luthérien prit forme, orientant les masses opprimées vers la révolution : c’est ainsi que le protestantisme s’étendit en France, en Belgique et aux Pays-Bas.

    Ignace De Loyola qui travaillait en qualité de militaire, proposa alors au pape de faire valider par l’empire du Vatican deux principes qui deviendront les deux piliers de la foi :

    1 – La succession apostolique : c’est-à-dire que tous les papes seraient les héritiers de St-Pierre
    2 – La suprématie du pouvoir : le Pape est doté d’une suprématie sur tous les chefs d’États du monde.

    Dans le caractère national, ces deux piliers de la foi seraient représentés symboliquement en levant deux doigts : l’index et le médius. Ces deux principes confirment que l’église catholique est un appui spirituel solide pour tous les états capitalistes du monde et qu’ils peuvent compter sur l’aide de l’État du Vatican. De 1204 à 1491, le monde fut marqué par l’époque des croisades dans lesquelles l’église catholique romaine fut la force dirigeante : période obscure de l’histoire du monde.

    L’église catholique était alors puissante, barbare et tyrannique. Le mode de production était encore féodal et elle pouvait compter sur un appui spirituel solide. Le monde était décrit par des mythes, attisant un peu plus la force de l’idéalisme et consolidant le pouvoir des seigneurs. Mais la tyrannie engendre toujours une réaction qui peut être une force bien plus forte que les causes l’ayant engendré. C’est à ce moment-là que les gens se rebellèrent et protestèrent contre cette tyrannie : donnant ainsi naissance à l’église protestante.

    Les jésuites seraient donc un ordre d’élite, qui aurait pour principal objectif de mettre le monde à genoux devant le pape, ce dernier étant le plus fidèle soutien spirituel aux différents gouvernements. Cet ordre est une élite dotée d’une capacité d’adaptation redoutable, car il s’adaptera aux différentes conditions objectives et subjectives se présentant à travers l’histoire du monde : le pape des seigneurs pour le féodalisme et le pape des capitaux pour le capitalisme.

    Le cardinal Augustin Béa aurait présenté au Dr Rivera des choses plus incroyables encore. En effet, d’après le Dr Rivera, le deuxième enfant de l’église catholique romaine aurait été le parti communiste : il aurait été formé pour abattre l’église orthodoxe. Le parti communiste aurait été créé pour s’attaquer au plus fidèle gardien de l’église orthodoxe : le tsar de Russie.

    Mais la Russie n’était pas le seul front sur lequel l’église catholique voulait attaquer. En effet, la France aussi était une cible, depuis qu’elle avait conclue, dans les années 1900, un accord avec le tsar de Russie : et donc avec l’église orthodoxe. En 1793 déjà, la France avait été écartée de la confiance de l’église catholique, depuis qu’elle avait guillotinée un roi et établit une République. De plus, l’église orthodoxe gagnait du terrain en Europe : Bulgarie, Roumanie, Yougoslavie, Grèce, Serbie, etc…la contradiction entre l’église catholique romaine et l’église orthodoxe était parvenue à un stade extrême.

    L’église catholique voulait alors en finir avec tous ses opposants. Les contradictions s’étaient aiguisées entres les différents pays capitalistes. En effet, les conflits concernant l’appropriation des matières premières et de la main d’œuvre et les contradictions sur les capitaux exportés devenaient alors intenables pour le monde: la Première Guerre Mondiale fut alors la réponse. Le pape Pie X soutenait alors l’Allemagne et quand le kaiser voulut étendre les frontières de l’Allemagne, il reçut la bénédiction de l’église catholique. En août 1914, le pape pie X mourait et laisser ainsi la place à Benoit XV.

    Et puis les contradictions se matérialisèrent entres les catholiques allemands et les catholiques français : L’Allemagne se battant contre la France, L’Angleterre et la Russie. L’église catholique avait gagné, car elle avait divisé et engendré une guerre. De plus elle était une aide précieuse pour les pays capitalistes qui devaient exporter leurs capitaux et se partager le monde dans le cadre de leur hégémonie de classe. Abraham Lincoln disait : « les jésuites ne pardonnent jamais, et ne renoncent jamais à leurs but ». Il s’ensuit donc cette question embarrassante :

    L’église catholique romaine aurait-elle joué un rôle essentiel dans la révolution Russe de 1917 ?

    En effet, le Cardinal Augustin Béa aurait affirmé au Dr Rivera que les jésuites auraient collaboré avec Lénine, Trotski et Staline. En 1917, Lénine et ses révolutionnaires auraient pris un train « spécialement assuré » vers la Russie : train envoyé par l’église catholique et le gouvernement allemand.

    Dans ce train aurait embarqué un certain Diego Bergen, un jésuite qui aurait été un élément organisateur. Ensuite, ce fut la chute du tsarisme et la chute du mode de production féodal en Russie. Les orthodoxes détenaient l’or du tsar qui aurait été volé auparavant. Quand les forces communistes se présentèrent au patriarche orthodoxe pour en finir, ce dernier aurait offert l’or aux communistes, faisant croire qu’ils étaient attendus par l’église.

    Selon les « aveux » du cardinal, c’est ainsi que le parti communiste aurait échappé à son créateur : l’église catholique romaine. Ce fut alors une trahison des communistes envers leurs créateurs et c’est ainsi que les communistes devinrent les pires ennemis de l’église catholique. L’église aurait accouché de deux enfants : le parti nazi et le parti communiste.

    Nous nous retrouvons ensuite en Allemagne, après la Première Guerre mondiale. Les terres ont été achetées par les juifs pro-catholiques, alors que la plupart des Allemands étaient affamés ! La haine contre les juifs atteignait donc un degré extrême : il suffisait alors à l’église catholique de canaliser et d’orienter cette haine vers l’église orthodoxe. C’est ainsi que dans les années 1922, en Italie, un homme inconnu se pavanait et se présentait tel un nouveau « César » qui aurait reçu pour mission de restaurer l’empire romain. Cet homme était à la tête d’un groupuscule très violent, armé et vêtu de chemises noires : Benito Mussolini.

    C’est ainsi que le pape noir ordonna de travailler avec Mussolini. D’ailleurs, concernant Mussolini et son parti fasciste, le pape Pie XI avait déclaré : « C’est un homme envoyé par la providence de dieu ». C’est ainsi que l’église catholique donna naissance à une autre bête afin de consolider son pouvoir en Italie. Mais sa première bête, c’est-à-dire le parti communiste s’était déjà échappé et elle était devenue une force sociale tellement puissante, qu’elle avait commencé à construire le socialisme en Russie et fait des émules en Allemagne avec les spartakistes.

    La seconde bête de l’église catholique matérialisée par le parti fasciste aurait reçu alors plusieurs missions :

    1) Briser l’église orthodoxe,
    2) Conserver les capitaux de la classe capitaliste,
    3) Briser le communisme,
    4) Consolider et étendre le pouvoir du Vatican.

    Mais Benito Mussolini devait ensuite s’acquitter de sa « dette » envers le Vatican. Il posa donc sa signature sur le Concordat qui faisait de l’église catholique la seule religion de la Nation et l’Italie qui était alors dirigée par un dictateur fasciste. C’est alors que l’Italie se dota d’une puissante armée et, pour tester la puissance de cette armée, attaqua l’Éthiopie. Suite à cette attaque bestiale et barbare, l’évêque de Milan, Alfred Il, un jésuite, bénit cette attaque, l’appelant la « croisade catholique en Éthiopie ».

    Du côté allemand, en 1923, c’était la misère, la ruine et les Allemands avaient faim. Les communistes organisaient des démonstrations révolutionnaires et le gouvernement prit peur. Et c’est sur ce terreau de misère fertile que prit forme l’idée d’une République : l’église catholique fut alors furieuse !

    Lors du passage au nouvel ordre social, quand se matérialisa la contradiction entre les forces progressistes et les forces réactionnaires, l’église catholique mit en pratique ses facultés d’adaptation comme le caméléon. Ce que l’église désirait dans ces instants particuliers de l’histoire, c’est la conservation de son pouvoir et des capitaux qui sont à la source de son existence. Dans ce but, elle mettra au monde ses « bêtes » qui exécuteront les ordres de l’église et de la classe capitaliste.

    Ces « démons » sociétal engendrés par l’église catholique et la classe capitaliste ont été possibles en Italie, en Russie, en Allemagne : alors pourquoi Daech ne se placerait-il pas dans ce même processus ?

    Continuons notre excursion de l’histoire pour comprendre si cela est possible. L’église catholique était donc furieuse que l’Allemagne se tourne vers l’idée d’une république. L’église organisait donc un nouveau plan pour empêcher la naissance de cette république. Elle envoya donc deux hommes pour cela : Franz Von Papen et le cardinal Pacceli. Ce dernier deviendra Pie XII : plus connu sous le nom de « pape d’Hitler ». Et c’est ainsi qu’advint la nouvelle star de l’église catholique et de la classe capitaliste : Adolf Hitler.

    C’est le prêtre jésuite Stimpfl qui fut chargé d’écrire un livre pour Adolf Hitler : Mein Kampf. C’est ainsi que la nouvelle forme d’inquisition prit la forme du parti nazi et eût pour objectif de briser les idées révolutionnaires en Allemagne. Précisons que les notions de « forme d’inquisition » et de « bête » ne sont pas deux choses distinctes, mais un seul processus lié aux conditions objectives et subjectives qui changent selon la période historique dans laquelle les forces sociales évoluent. Il s’ensuivit, inévitablement, des conflits entre les catholiques nazis et les catholiques communistes.

    Et puis arriva l’année 1933. Dès son arrivée au pouvoir et comme l’avait effectué le parti fasciste en Italie, le partie nazi signa un concordat avec l’église catholique romaine. Von Papen s’exclamait alors : « Le troisième Reich est la première puissance, qui non seulement reconnaît, mais aussi pratique les hauts principes de la papauté ». Et puis vint un autre front pour l’église catholique romaine qui ne voulait pas s’arrêter là, surtout que le chemin était tracé par les capitaux : ce fut l’Espagne.

    Après l’affaire des bébés morts, en 1932-1934, le gouvernement espagnol avait promulgué les lois suivantes :

    1 – Nationalisation des propriétés de l’Église romaine,
    2 – Les églises catholiques devaient payer des impôts,
    3 – Les écoles ne seraient plus administrées par l’église catholique,
    4 – Les écoles, couvents et monastères devaient être contrôlés par l’État espagnol,
    5 – Reconnaissance des religions non-catholiques.

    C’est alors que l’église envoya un de ses autres champions : Franco et son armée. L’armée de Franco fut envoyée pour briser les catholiques, les juifs et les protestants qui s’opposaient à la puissance de l’église. Un grand nombre de communistes soutenaient la république espagnole à l’époque. Les médias corrompus, qui étaient contrôlés par le Vatican et la classe capitaliste faisaient donc croire aux masses que l’Espagne était porteuse d’une révolution communiste.

    La guerre civile espagnole fut sanglante et c’est ainsi que le 3 août 1937, le Vatican reconnaissait le gouvernement fasciste de Franco. Encore une fois, nous pouvons constater que l’église catholique, appui spirituel solide de la classe capitaliste, s’adaptait aux différentes conditions, selon l’époque et les pays et lançait ses inquisiteurs afin de mater tous les opposants. L’église catholique avait nommé ces trois personnages les trois grands protecteurs de la foi :

    1 – Hitler
    2 – Mussolini
    3 – Franco.

    Et l’église catholique romaine continuait d’étendre son empire, les capitaux impérialistes défrichant le terrain. En Belgique, Picard, Arendt et Foukalt affirmaient qu’Hitler était pour l’église catholique un « renouvellement spirituel ». Ensuite, les chars allemands occupèrent la France en quelques semaines et c’est ainsi que se posa une autre question : quel fut le rôle de l’action catholique de France dans l’invasion de la France par les armées allemandes ?

    De même qu’aux États-Unis où le prêtre Coughlin proclamait à la radio : « la guerre menée par les Allemands est une lutte pour le christianisme ». Il est à noter que suite à cette déclaration, le prêtre fit de nombreux adeptes ! Le Vatican doit être une entité autonome, mais dans le même temps être un soutien spirituel actif pour l’impérialisme contemporain qui est caractérisé par un capital financier ultra belliqueux. Cette violence du capital financier et de son oligarchie doit être adoucie par les belles paroles du Vatican : « N’ayez pas peur ! »

    D’ailleurs, dans sa « neutralité bienveillante » envers la classe capitaliste, le Vatican lui apporte un soutien matériel de taille, via L’IOR (Institut des Œuvres Religieuses). En effet, l’IOR est la banque du Vatican. Toutes les organisations qui sont dirigées par l’église catholique romaine détiennent un compte dans cette banque : sachant que cette banque est intouchable et qu’elle ne pourra être révisée par aucune entité existante au monde !

    La banque du Vatican (l’IOR) est un outil de conservation contemporain des capitaux et du capital financier. Voici quelques-unes des organisations qui détiendraient un compte dans cette banque et qui donc seraient dirigées par l’église :

    1 – Franc-Maçon
    2 – Illuminati
    3 – Banquiers
    4 – Mafia
    5 – Club de Rome

    Actuellement l’église catholique Romaine réclamerait deux choses :

    1 – La suppression de la liberté de conscience
    2 – Le droit d’utiliser la force contre les hérétiques.

    En 1854, sous le pape Pie XI, ces deux dogmes exposés ci-dessus furent confirmés par lui et, en l’An 2000, le pape Pie XI fut béatifié par le pape Jean-Paul II pour sa loyauté à la doctrine !

    Nous avons constaté plus haut ce que l’église catholique et ses copains capitalistes étaient capables de mettre en œuvre pour consolider leur hégémonie. Hitler, Mussolini, Franco, le Ku Klux Klan et toutes ces organisations aurait été formés et organisés par l’église catholique et la classe capitaliste. Ils ont été des formes d’inquisitions qui se sont adaptées aux conditions de leurs époques.

    Toutes ces nouvelles formes d’inquisitions ont engendré des massacres atroces où le degré de violence était à peine imaginable (camps de la mort, assassinat lors de la ségrégation, etc, etc…). Nous ne pouvons pas créer d’échelle de mesure de la barbarie : la barbarie reste de la barbarie quelle que soit la forme qu’elle prend. La barbarie de Daech ne se détache en aucun cas de la barbarie de ces organisations ou personnages présentés plus haut dans une autre période.

    Mais toutes ces organisations (nazies, fascistes, Daech, etc.) ont été inévitablement financées, organisées et détenaient un soutien moral : mais par qui ? On sait que le parti nazi, par exemple, bénéficiait d’un soutien des monopoles sur le plan matériel, de par le constructeur automobile Ford ou encore le styliste Hugo Boss qui versaient tous les deux des sommes d’argent énormes au parti nazi. Sur le plan moral, ils étaient soutenus par toute une nation et par l’église catholique puisqu’elle était aussi à la source de leur existence.

    Pour répondre à cette question et savoir si Daech peut être une nouvelle forme d’inquisition de l’église catholique, il nous faut revenir sur les origines de l’État Islamique. Le nid dans lequel avait été formée cette entité se situe en Irak. Dans cette zone Al-Qaida était déjà formé. L’Irak était alors soumis aux actes belliqueux des différents impérialismes. En effet, sur le plan géopolitique l’Irak est une zone stratégique qui permet à l’impérialisme d’atteindre l’Iran.

    Mais face à cette violence et ces actes d’ingérence des impérialistes, un rapprochement fut effectué entre la branche d’Al-Qaida en Irak et cinq autres entités terroristes. C’est de ce rapprochement que prit forme le conseil consultatif des Moudjahidines en Irak. C’est ainsi que ce conseil proclama ensuite la naissance de l’État Islamique en Irak). Le chef serait alors Abou Bakr Al-Baghdadi, le Calife et successeur de Mahomet. Et c’est ainsi qu’en 2012, cette entité débarquait en Syrie sous la bannière de L’EI. [Voir le PDF N° 3 Page 10 & suivantes]

    La méthode de combat de Daech est particulièrement efficace et c’est la même méthode employée par les impérialismes, bizarrement. La méthode de combat de Daech a été rédigée entre 2002 et 2004 par un certains Abu Bakr Al-Nadji et fut intitulée « l’administration de la sauvagerie : l’étape la plus critique à franchir par la Oumma ». Cette théorie appliquée consiste à s’imposer idéologiquement et matériellement, par la force, dans des territoires arabes et musulmans ou face à certains pays impérialistes/capitalistes.

    Cette méthode comporte donc quatre étapes :

    1ère étape : Harcèlement de l’ennemi par les attentats et l’affaiblir moralement et matériellement. Ces attentats ne sont pas une finalité, mais le début d’un processus menant à la consolidation du pouvoir par les terroristes. La lutte ne se situe pas, uniquement, sur le plan matériel, car elle se situe aussi et surtout sur le plan moral. Daech est une idée, se nourrissant de la paupérisation, entre autres, engendré par le capital (Daech recrute par exemple dans les prisons) et c’est ainsi que Daech devient une idée armée et prête à se faire exploser.

    2ème étape : Application de « l’administration de la sauvagerie », c’est-à-dire stratégie du chaos, sauvagerie, ultra violence et surtout déstabilisation des structures étatiques. Partout où Daech s’impose, il crée une situation de chaos et d’épuisement. Il engendre un dépassement et un épuisement des structures étatiques jusqu’à ce que la population perde confiance dans son gouvernement. Face à cette ultra violence, les gouvernements répliqueront par une autre ultra violence. De là l’établissement d’un chaos total.

    3ème étape : Daech se présente comme une alternative. Quand le chaos a été provoqué et que l’espoir de la population a été dégradé, Daech se présentera donc comme une alternative. Daech rétablit la sécurité, ouvre les services sociaux, distribue de la nourriture et des médicaments, un enseignement, une justice: ils rétabliront l’ordre dans ce chaos qu’ils ont eux-mêmes déclenchés.

    4ème étape : Proclamation du Califat et apparition d’un « proto-état ».

    Le 9 avril 2013, Abou Bakr Al-Bagdadi déclarait que le Front-Al-Nosra était une branche de Daech en Syrie. Une fusion avait été déclenchée entre l’EII et une partie du Front-Al-Nosra qui donnait naissance à l’EIIL (État Islamique en Irak et au Levant). Mais, à l’origine, le Front-Al-Nosra était une branche d’Al-Qaida. Il s’ensuivait que les dirigeants d’une partie d’Al-Qaida étaient contre cette fusion et continuaient de faire allégeance à Al-Qaida : de là naissance d’un conflit entre l’EIIL et Al-Qaida.

    Ce conflit entre l’EI et Al-Qaida engendrait alors une autre question : la branche d’Al-Qaida, qui se situe contre l’EI, est-elle en liaison étroite ou intégrée dans la coalition dirigée des différends impérialismes contre l’EI ? Apparemment, la CIA aurait des liens étroits avec cette branche d’Al-Qaida.

    Car après la consolidation du pouvoir de Daech sur une partie de la Syrie, l’EIIL devenait l’EI (État Islamique). Et c’est ainsi que la destruction de la Syrie continuait. L’ASL (Armée Syrienne Libre) se rebella contre le gouvernement d’Assad et l’EI. Le conflit entre l’EI et une partie d’Al-Qaida étant très forts, l’ASL recevait donc un soutien moral et matériel d’Al-Qaida en Syrie. Quand l’impérialisme français, entre autres, avait armé l’ASL, il avait donc directement ou indirectement aidé et armé Al-Qaida qui était l’un des piliers de l’ASL. D’ailleurs, lors de l’offensive de Racca, en 2014, l’ASL comptait dans ses rangs une partie des combattants d’Al-Qaida.

    Ce qu’il est intéressant de constater, c’est que la méthode employée par Daech, dite « d’administration de la sauvagerie » est la même méthode employée par les différents impérialismes. L’impérialisme qui doit exporter ses capitaux et s’accaparer une main d’œuvre « bon marché », pour augmenter son taux de profit. Pour cela, il utilise aussi cette méthode qui consiste à engendrer un chaos total dans une région du monde. Une fois le chaos établi, l’impérialisme débarque et remet de l’ordre dans ce chaos sous couvert « d’un apport de la démocratie » : mais en réalité ils consolident leurs hégémonies coloniales et parasitaires dans ces mêmes zones.

    Il s’ensuit que les « Djihadistes » qui sont présentés par l’impérialisme et les forces du Vatican, comme étant des criminels (ce qu’ils sont réellement), mettent en pratique une stratégie déjà utilisée par l’impérialisme. Mais en faisant cela, les serviteurs du spirituel et politique du capital criminalisent le véritable sens du mot « Djihadiste ».

    Remettons les pendules à l’heure et expliquons ce que veut véritablement dire « Djihadiste ». Faire son Djihadisme ne veut surtout pas dire se faire exploser à l’aide d’une bombe ! La notion de Djihadisme est liée à la notion de l’homme qui combat, mais pas dans un sens aussi primitif évidemment. Un homme qui a une famille à nourrir par exemple : il galère dans un travail où il est exploité et dans lequel il gagne un salaire de misère.

    Mais, malgré toutes ces difficultés, ce même homme travaille difficilement en restant fier, car il doit nourrir sa petite famille quoi qu’il advienne. Ce combat qu’il mène tous les jours pour nourrir sa famille est son Djihadisme à lui et fera donc de lui un Djihadiste. Ou encore la personne qui passe du temps à apprendre à lire et à écrire à des personnes qui vivent de l’autre côté du monde et qui combat pour que tous les enfants soient scolarisés, mène lui aussi un combat : lui aussi devient un Djihadiste.

    Et c’est là le véritable sens du mot Djihadiste, car il dénommera un combat, mais dans un sens large du terme. Il dénommera un combat dans la vie de tous les jours que vivent des millions d’hommes et de femmes : dans ce sens on est tous des Djihadistes.

    Le problème provient des médias du capital qui ne veulent surtout pas expliquer la véritable signification du mot « Djihadisme » car, ce qu’ils veulent évidemment, c’est la confusion et l’amalgame. Ces Djihadistes usurpateurs de Daech détiennent donc un plan de domination mondial qui est proche d’un plan impérialiste. Il est donc probable que ce plan de domination mondial de Daech soit donc organisé et financé par des pays impérialistes. Si cela se révélait vrai, Daech serait inévitablement lié aux forces du Vatican qui sont totalement intégrées aux forces impérialistes et ont, elles aussi, dessiné leur plan de domination depuis longtemps.

    Daech est à l’image d’un tracteur. L’impérialisme envoie ce tracteur à travers le monde, le tracteur avance et plante derrière lui les graines des capitaux à travers les terres fertiles, afin qu’elles poussent et fassent les fleurs du profit : le tracteur avance, mais les capitalistes et les forces obscures de l’église catholique romaine suivent la cadence et sont cachées derrière.

    On a expliqué pourquoi nous ne pouvons pas faire confiance aux médias du capital. Daech pourrait donc compter dans ses rangs des combattants jésuites ou sionistes qui se feraient passer pour des musulmans intégristes, afin de semer la confusion et attiser les conflits et déclencher des guerres entre les peuples : comme vous l’aurez constaté plus haut l’église catholique en a une certaine expérience !

    On peut aussi constater que Daech ne s’attaque pas uniquement aux Occidentaux, même si les médias essaient de nous faire croire le contraire. En effet, Daech s’attaque aux pays musulmans (Syrie ou Irak par exemple) alors qu’ils sont eux-mêmes musulmans à la base ! L’impérialisme et ses médias corrompus nous feraient donc croire que Daech serait un groupe terroriste musulman (ils sont véritablement des terroristes et des faux musulmans) qui s’attaquerait aux vrais musulmans : et tous ces massacres seraient observés par l’œil neutre et bienfaiteur de l’église catholique.

    Mais pourquoi l’église s’attaquerait-elle aux musulmans ?

    Nous avons pu constater depuis le début de cet article que l’église catholique romaine est dotée d’une force de capacité énorme : elle est comme un caméléon qui s’adapte aux sociétés qui passent. Son objectif est de garder une certaine hégémonie matérielle et spirituelle à travers toutes les sociétés qui se succèdent devant elle. Dans toutes les sociétés, l’église catholique a été l’appui spirituel de la classe dominante (bourgeoisie, seigneurs, etc…) qui lui offrait une partie du pouvoir politique : un tout unique doté d’un appui spirituel.

    Mais la religion musulmane (on parle de la vraie religion musulmane et pas cette imposture présentée par Daech) est aussi une religion dotée d’une certaine expérience du monde et de l’humanité. Elle est aussi une religion ouverte, sans limite d’amour et d’espoir pour les hommes et elle se renforce toujours un peu plus et elle a de plus en plus d’adeptes : il s’ensuivrait nécessairement une émancipation politique de cette religion. Cette émancipation politique de la religion musulmane pourrait devenir un obstacle au plan de domination mondial de l’église catholique qui veut garder son hégémonie sur le globe.

    Daech détiendrait toutes les caractéristiques d’une nouvelle forme d’inquisition de l’église catholique. En effet, Daech permettrait à l’église catholique d’en finir avec son principal concurrent (la vraie religion musulmane), mais de plus, il permettrait de fluidifier l’exportation des capitaux et le joug de l’impérialisme qui est le corollaire de l’église catholique pour la période contemporaine.

    Actuellement, un des soutiens des impérialismes français ou Nord-américain est sans aucun doute le sionisme matérialisé par Israël. Ce n’est pas un secret de dire que le sionisme considère la vraie religion musulmane comme un ennemi à abattre. Si Daech était une nouvelle forme d’inquisition de l’église catholique, il serait aussi possible qu’il compte dans ses rangs des combattants sionistes pro-catholiques. En effet, tous les éléments seraient alors réunis pour empêcher l’émancipation politique de la religion musulmane.

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  9. Pourquoi Dieu n’a-t-il pas fait naître son fils à Rome ? Par le Dr. Ashraf Ezzat

    Dernière publication du Dr. Ashraf Ezzat dans le PDF N° 3 de 68 pages intitulé ► Traduction de la Bible & Falsification historique, dernière version d’octobre 2018 ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2018/10/dr-ashraf-ezzat-traduction-de-la-bible-et-falsification-historique-dernic3a8re-version-doctobre-2018.pdf

    Le Dr. Ezzat ne dit jamais que l’histoire de la bible est une invention. Il prouve juste que la location GÉOGRAPHIQUE de cette histoire n’est pas la bonne. Et qu’il ne faut pas chercher en Égypte ou en Palestine des traces de l’ Exode ou du Palais de Salomon mais dans le Sud de l’Arabie Saoudite et au Yémen ► Page 29 du PDF ;

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    Ezzat cite des archéologues et des travaux d’égyptologues qui réfutent la thèse biblique. Question essentielle à laquelle nous ne pouvons pas répondre faute de connaissance des langues anciennes : Ezzat dit que la bible septante est une fraude de traduction. Il cite des passages dans l’hébreu ancien qui ont été (volontairement) mal traduit en grec par les 70 rabbins sous Ptolémée II au IIIème siècle AEC.

    Y a-t-il une réfutation sans équivoque de ce qu’il avance ? Pas à notre connaissance.

    Ezzat cite de nombreux archéologues et historiens israéliens qui s’accordent à dire que les recherches de terrain n’ont jamais prouvé la véracité historique du récit biblique. Ezzat, de plus, ne va jamais dans son livre jusqu’à dire que l’histoire de la bible est une invention, il ne fait que dire qu’il est maintenant prouvé que la location GÉOGRAPHIQUE de cette histoire n’est pas la bonne, qu’il ne faut pas chercher en Égypte ni en Palestine pour des traces de « l’exode » ou du « palais de Salomon », mais dans le sud de l’Arabie Saoudite et au Yémen.

    Page 29 du PDF : L’endroit actuel d’à la fois le Mont du Temple et la totalité de l’état d’Israël est fondé sur une idéologie, foncièrement fausse et mensongère. Toute l’affaire de la soi-disant terre sainte est tellement fausse et impie que même la vision musulmane d’Al Aqsa et Qods/Qadas est également fondée sur des narratifs déformés et faux.

    Qades, comme mentionné dans la bible hébraïque est une montagne yéménite située à 80km au sud de la ville moderne de Taa’iz et elle n’a rien à voir avec Jérusalem. D’après le Hadith musulman (tradition), la première direction pour la prière (Qibla) se trouvait vers Bayt al-Muqaddas (de manière supposée le temple de Salomon), seulement pour réaliser que cela fut construit dans le Nord-Yémen et non pas la Jérusalem de Palestine comme tout le monde le croit (plus de détails là-dessus dans le livre).

    Au IIIème siècle AEC, la bible hébraïque fut traduite en grec à la bibliothèque légendaire d’Alexandrie. Soixante-dix scribes juifs furent assignés la tâche par le roi Ptolémée II (le monarque grec de l’Égypte à l’époque). Dans la traduction grecque, les scribes juifs changèrent de manière frauduleuse le théâtre des histoires bibliques du nord-Yémen et sud de l’Arabie en Égypte et en Palestine.

    Autre question intéressante à la lumière de ce que dit Ezzat : La guerre actuelle au Yémen, guerre qui implique Israël aux côtés de l’Arabie Saoudite, est-elle une coïncidence ?…

    Et à la lumière d’un nouveau jour, après lecture des publications du Dr. Ashraf Ezzat, nous sommes en mesure de répondre = Bien sûr que non !

    JBL1960

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  10. Incroyable ce que l’on découvre sur les Accords signés entre Pfizer les gouvernements ! Pfizer se réserve le droit de faire taire les gouvernements – Pfizer contrôle les dons – Les arbitres privés, et non les tribunaux publics, tranchent les différends en secret – Pfizer peut s’en prendre aux actifs de l’État – Etc INCROYABLE !

    https://www.citizen.org/article/pfizers-power/?

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  11. Toutes les preuves sont là. Les liens français avec les preuves s’évaporent…

    En lien, une autre déclaration -en anglais-de John Brennan sur la réalité des épandages chimiques.R
    Remarquez à l’arrière-plan le sigle 666 (les trois O reliés par la virgule) du FEM de Davos, le nid des “élites” satanistes.

    https://hu-hu.facebook.com/Origin4119/videos/cia-director-john-brennan-admits-to-chemtrails-stratospheric-aerosol-injection/244365139758178/

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    1. Analyse critique et conclusive sur le risque de longévité appliqué au COVID-19, auteur anonyme, version PDF complétée et enrichie par JBL1960

      Version PDF N° 141021 de 24 pages de JBL1960 ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2021/10/anonyme-on-ne-planifie-pas-un-cancer-generalise-pagination-de-jbl1960-octobre-2021.pdf

      Page 10 On ne peut planifier un cancer généralisé ; Le nouvel ordre mondial est connu de tous depuis des décennies. Au Forum Économique Mondial, tout cela est annoncé, débattu en détail au vu et au su de tous. Il n’y a rien de secret ; il s’agit juste de notions techniques connues des financiers, des assureurs, des banquiers et des actuaires. Les papiers blancs de cette organisation expriment une
      angoisse palpable qui confine à la panique tant les postures adoptées y sont contradictoires. Le grand âge est à la fois une bénédiction et une malédiction. Les personnes âgées ne sont plus capables de
      travailler mais doivent tout de même continuer. On se demande si on peut se permettre de vivre jusqu’à 100 ans.

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  12. Ça sent le sapin pour Noël…

    Appréciez au passage l’élégance du secrétaire d’Etat : vous êtes une « cible vaccinale »… OD ► https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/10/20/ca-sent-le-sapin-pour-noel-pass-ski/

    Le pass sanitaire pour les remontées mécaniques en montagne « à l’étude », selon Lemoyne

    C’est une réflexion qui est en cours, on se pose la question et on apportera la réponse prochainement », a déclaré mardi matin Jean-Baptiste Lemoyne sur Sud radio.

    Actuellement les stations déjà ouvertes comme Tignes dans les Alpes, « sont dans le droit commun, c’est à dire que si vous allez dans un restaurant dans une station, on vous demandera votre pass sanitaire, si vous allez en boîte de nuit on vous demandera le pass sanitaire », selon le secrétaire d’Etat.

    « Pour les remontées mécaniques, à ce stade c’est sans le pass sanitaire », a-t-il dit mais « il faut ne pas l’exclure parce que le pass, c’est ce qui permet de rester ouvert quoi qu’il arrive ».

    Le secrétaire d’Etat a notamment évoqué le marché britannique « très important pour le ski français ». Or, « on voit qu’en Grande-Bretagne le taux d’incidence et le nombre de cas est très élevé, entre 40.000 et 50.000 cas par jour et en France on voit une légère hausse du taux d’incidence », a-t-il précisé.

    Le secrétaire d’Etat chargé du tourisme a aussi minimisé l’impact que la décision d’imposer le pass sanitaire aux remontées mécaniques pourrait avoir en rappelant qu’« aujourd’hui 85% de la cible vaccinable est vaccinée et la plupart des gens qui viennent en station prennent un TGV, ceux qui viennent de l’étranger prennent un avion, donc ils sont soumis de fait au pass sanitaire ».

    AFP/ Nice Matin, le 19 octobre 2021 ► https://www.nicematin.com/faits-de-societe/le-pass-sanitaire-pour-les-remontees-mecaniques-en-montagne-a-letude-selon-lemoyne-721600

    Pour beaucoup, franchement, ce sera pas bien compliqué de boycotter les remontées mécaniques si cela doit nous débarrasser définitivement du COcoRONAcircus !!!

    SINON ?

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  13. Même si Howard Zinn nous avait prévenu (Page 42 du PDF ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2021/03/mars-1871-mars-2021-lesprit-communard-de-la-commune-en-marche-par-jbl1960-le-13-mars-2021.pdf ) : “Je ne pense pas que la désobéissance civile soit suffisante. C’est un moyen de protestation, mais elle ne construira pas en elle-même une nouvelle société. Il y a plusieurs choses que les citoyens peuvent faire pour commencer à bâtir une nouvelle société au sein de l’ancienne, pour vivre de la façon dont les êtres humains devraient vivre : en jouissant des fruits de la terre, de la chaleur de la nature et de la compagnie des autres, sans hostilité, sans division artificielle de religion, de race ou de classe sociale. De plus, il faut dire que toute forme de désobéissance civile n’est pas forcément morale. Toute désobéissance civile n’est pas forcément efficace. Les gens de la classe moyenne doivent commencer à accepter le fait que tout le monde n’est pas confortable avec le système et qu’il est temps de sortir de notre confort et d’embrasser l’autre, car malgré notre richesse, nous n’aurons pas de paix tant que d’autres souffriront, rejoignons les déshérités contre les gardiens d’un “faux ordre”, dans l’enthousiasme sain qui a toujours encouragé le développement de la justice.”

    Cliquer pour accéder à mars-1871-mars-2021-lesprit-communard-de-la-commune-en-marche-par-jbl1960-le-13-mars-2021.pdf

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  14. Source : Sott Media

    La Chine continue d’être confrontée à de pluies torrentielles et à des inondations sans précédent. Des millions de personnes en ont été affectées et les infrastructures agricoles se retrouvent en très mauvais état.

    Jusqu’à présent, la province chinoise du Henan a été la plus sévèrement touchée avec des quantités records de précipitations et d’inondations depuis juillet, qui ont entraîné la mort d’au moins 71 personnes et affecté 12 millions d’habitants.

    Les États des côtes est et ouest de l’Inde ont été soumis à des records de précipitations et de crues soudaines. Au Gujarat, 1,6 million d’habitants ont été concernés et 7 000 ont été évacués. À Odisha, les pluies diluviennes ont affecté 2,3 millions de personnes dans 4 964 villages, 7 500 maisons ont été endommagées et environ 130 000 hectares de terres agricoles ont été détruits.

    La tempête Ida a entraîné des pluies torrentielles, des crues soudaines, de la grêle et des tornades dans tout le nord-est des États-Unis, ce qui a provoqué la mort de dizaines de personnes et engendré des dégâts considérables. Les villes de New York et du New Jersey ont été impactées par des précipitations records, et des habitants se sont retrouvés piégés dans des sous-sols et des voitures inondés.

    Le Mexique a également eu sa part de conditions météorologiques extrêmes, avec des quantités de pluie et des inondations sans précédent dans le sud et le centre du pays. Le tout pendant qu’un tremblement de terre de magnitude 7.0 secouait les grandes villes de Guerrero à Mexico.

    Le sud-est de l’Australie a été frappé par un rare tremblement de terre de magnitude 5,9 qui a provoqué des dommages structurels à plusieurs bâtiments de Melbourne. Il s’agit du plus important séisme survenu en Australie ces dernières années. Dans le même temps, une série de fronts froids rigoureux a déclenché des chutes de neige tardives et nocturnes sur la côte est et les hauts plateaux de l’État de Victoria, tandis qu’Adélaïde a été soumise un peu plus tard à de violentes tempêtes de grêle… La nature semble réagir promptement aux mesures totalitaires et forcenées appliquées en Australie.

    Le volcan Cumbre Vieja de La Palma, l’une des îles espagnoles des Canaries, est entré en éruption le 19 septembre. Dans les deux semaines qui ont suivi, des nappes de lave ont brûlé des terres agricoles, des routes et des maisons dans la partie sud-ouest de l’île. Après plusieurs fortes explosions, quatre nouvelles fissures de lave se sont ouvertes. Environ 6 000 personnes ont été évacuées, et quelque 400 propriétés ont été détruites.

    Au fur et à mesure que l’atmosphère terrestre se charge en électricité, nous constatons également une augmentation du nombre de personnes, de bétail et de bâtiments frappés par la foudre, ainsi qu’un accroissement d’autres phénomènes électriques dans le ciel tels que des phénomènes lumineux transitoires comme les farfadets, les jets bleus et les nuages noctulescents.

    Quelque chose d’énorme est en train de se manifester, il existe des signes clairs d’une augmentation des phénomènes électriques et d’un refroidissement global. Sommes-nous déjà dans une ère glaciaire ?

    Encore une fois, observez attentivement cette réalité et préparez-vous en conséquence !

    Tout cela et bien d’autres choses encore dans notre résumé SOTT des changements climatiques pour septembre 2021.

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  15. Jeff Rense : Ceux qui n’ont pas besoin du vaccin vont vous étonner.

    Regardez qui est exempté d’obligation vaccinale aux USA !

    Tous les membres du Congrès et du Sénat ainsi que leurs équipes, les 6000 employés de la Maison Blanche, les 2500 employés de Pfizer, les 1500 de Moderna, les 120,000 de Johnson and Johnson, les 15,000 du CDC, les 14,000 de la FDA, 300,000 étudiants Chinois.

    Jeff Rense : « Ceux qui n’ont pas besoin du vaccin vont vous étonner ».

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    1. Mieux ou Pire, c’est selon ;

      https://echelledejacob.blogspot.com/2021/10/lucerne-sans-certificat-covid-renouvele.html

      Lucerne : sans certificat Covid renouvelé tous les deux jours, les nouvelles mamans n’ont plus le droit d’accéder à leurs bébés !

      Fin septembre, l’Hôpital cantonal de Lucerne a lancé discrètement un essai-pilote : désormais, sans certificat Covid renouvelé tous les deux jours, les nouvelles mamans n’ont plus le droit d’accéder à leurs bébés.

      La nouvelle a d’abord été reprise dans un très court article de la Luzerner Zeitung. Vacciné, guéri ou testé négatif : depuis quelques semaines, il faut montrer un sésame valable – donc renouvelable tous les deux jours – pour avoir accès aux nouveaux-nés à la maternité de Lucerne. La règle vaut pour tous les visiteurs, mais aussi… pour les mères.

      « Inhumain, insensé, digne des essais du Troisième Reich »

      Les réactions ont parfois été vives : rappelant l’importance capitale de l’allaitement et du contact corporel entre la mère et l’enfant dans les premiers jours de la vie, le site Report 24 évoque des méthodes « inhumaines », « insensées » et dignes de certains essais effectués durant le Troisième Reich. Au mépris total des conséquences pour tous les participants involontaires.

      De son côté, la Luzerner Zeitung souligne le véritable « défi logistique » induit par l’obligation de test renouvelé tous les deux jours, en particulier pour les parents d’enfants nécessitant des soins médicaux prolongés.

      Le problème, relève encore le quotidien régional, serait notamment que la vaccination n’a que récemment été recommandée aux femmes enceintes… donc beaucoup, hésitantes, sont non vaccinées, ou alors n’ont reçu « que » une dose.

      On remarquera que le quotidien n’a pas jugé bon d’évoquer une quelconque obligation vaccinale de facto pour tout futur nouveau parent.

      Tout cela n’a pas empêché l’Hôpital cantonal de Lucerne (Luks) de persister. Reconnaissant qu’il s’agissait d’un « essai-pilote », il a d’abord appliqué la mesure à la maternité de Lucerne, puis l’a élargie début octobre à celles de Sursee et Wohlusen.

      L’annonce de la mesure n’a apparemment été faite que sur le site internet du Luks. Plutôt discrètement donc.

      Les tests resteront gratuits

      À
      noter que dans les autres secteurs hospitaliers, le certificat Covid n’est pas (encore) exigé pour les visites.

      Justification de cette sévérité particulière : en maternité, les durées de visites ne sont pas limitées à une heure comme ailleurs, donc « les patients et les employés doivent être protégés au mieux malgré des visites plus longues », explique le porte-parole du Luks Markus von Rotz.

      Selon ce dernier, « la plupart des gens concernés comprennent que l’exigence du certificat sert leur propre protection, celle des nouveau-nés et celle des employés ». Les « quelques vives réactions négatives » proviendraient de « personnes affectées ou extérieures qui ont exercé une pression massive via les médias et les réseaux sociaux », en ignorant la dimension « protectrice » de la mesure. De plus, souligne encore von Rotz, les pères peuvent être présents à l’accouchement même s’il n’y avait plus assez de temps pour faire un test préalable, et les tests resteront gratuits après le 10 octobre, aux frais du gouvernement suisse.

      Tout est-il pour autant au mieux dans le meilleur des mondes ?

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  16. BLOG 48 de Tal SCHALLER ► https://www.santeglobale.world/article-1/blog-48-de-tal-schaller/

    Rions un peu ?

    > Bud : Vous ne pouvez pas entrer ici !
    > Lou : Pourquoi pas ?
    > Bud : Eh bien parce que vous n’êtes pas vacciné.
    > Lou : Mais je ne suis pas malade.
    > Bud : Ce n’est pas grave.
    > Lou : Eh bien, pourquoi ce type entre-t-il ?
    > Bud : Parce qu’il est vacciné.
    > Lou : Mais il est malade !
    > Bud : Ça ne compte pas puisqu’il est vacciné.
    > Lou : Attendez une minute. Êtes-vous en train de dire que tout le monde est vacciné ?
    > Bud : Oui.
    > Lou : Alors pourquoi je ne peux pas y aller si tout le monde est vacciné et donc protégé ?
    > Bud : Parce que vous allez les rendre malades.
    > Lou : Comment vais-je les rendre malades si je ne suis pas malade et qu’ils sont vaccinés ?
    > Bud : Parce que vous n’êtes pas vacciné.
    > Lou : Mais bon sang, ils sont vaccinés !
    > Bud : Mais ils peuvent toujours tomber malades.
    > Lou : Alors à quoi sert ce foutu vaccin s’il ne protège pas ?
    > Bud : Il vaccine.
    > Lou : Donc les personnes vaccinées ne peuvent pas propager le covid ?
    > Bud : Pas du tout. Ils peuvent propager le covid aussi facilement qu’une personne non vaccinée.
    > Lou : Et le gars que vous avez laissé entrer est malade. Donc tout le monde là-dedans peut encore tomber malade même s’il est vacciné.
    > Bud : Certainement.
    > Lou : Alors pourquoi je ne peux pas rentrer ?
    > Bud : Parce que vous n’êtes pas vacciné.
    > Lou : À supposer que je le sois, comment pourrais-je alors les protéger avec un vaccin qui ne protège pas ?
    > Bud : Pardon ?
    > Lou : Bon laissez tomber ; dans ce cas, je vais juste mettre mon masque. Je peux entrer ?
    > Bud : Absolument pas.
    > Lou : Mais j’ai un masque !
    > Bud : Peu importe.
    > Lou : Mais alors les masques ne marchent pas ?
    > Bud : Les masques fonctionnent très bien.
    > Lou : Alors comment diable puis-je rendre malades des personnes vaccinées si je ne suis pas malade et que les masques fonctionnent ?
    > Bud : Allo la police ? J’ai en face de moi un complotiste. Enfin, un gars qui pose bien trop de questions. Merci d’intervenir…

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  17. LEVONS NOUS EN MASSE SINON ILS NE S’ARRÊTERONT PAS !
    JAMAIS !

    Nathanael Spitzer, décédé d’un cancer de stade 4, classé mort du covid par les autorités : sa sœur crie au scandale !

    Les autorités sanitaires de l’Alberta (Canada) et les médias ont annoncé le décès d’un adolescent de 14 ans, Nathanael Spitzer, à cause du covid-19. En réalité il avait un cancer du cerveau de stade 4 en soins palliatifs et testé positif au covid-19 deux jours avant sa mort. Les autorités sanitaires, aidés par les médias —Edmonton City News en tête — , ont clairement exploité cette tragédie afin de susciter l’émoi au sein de la population et pousser à la vaccination.

    C’était sans compter sur la détermination de sa grande sœur, Simone Spitzer, qui lancera une bouteille à la mer sur Facebook en demandant aux internautes de l’aider à rétablir la vérité sur le décès de Nathanael : « Le jeune de quatorze ans sur l’article, c’est mon frère. Il est mort d’un cancer du cerveau de stade 4, pas du covid. C’est une fake news. Il a été diagnostiqué en janvier 2021, et hospitalisé en août. Deux jours avant sa mort, il a été testé pour le covid et il s’est avéré positif… veuillez partager et commenter que c’est faux. »

    Comme le rapporte le Western Standard, la famille Spitzer a non seulement été dévastée par la perte du jeune garçon, mais a déclaré qu’elle était choquée que la mort de Nathanael ait été utilisée pour s’ajouter aux chiffres covid-19 d’Alberta Health Services (AHS) en tant que plus jeune décès covid-19 à ce jour. Deena Hinshaw, médecin-hygiéniste en chef, est revenue sur l’affirmation précédente du gouvernement selon laquelle un adolescent de quatorze ans était décédé de covid-19, et a déclaré que la province n’annoncerait plus de décès de covid-19 pour les moins de 18 ans jusqu’à ce qu’un « processus d’examen » ait été achevé pour vérifier tous les faits.

    Simone Spitzer se félicitera sur Facebook de ne pas voir la mort de son petit frère Nathanael (Nati) être exploitée : « Au moins, ils ont admis qu’ils avaient tort, regardez la vidéo.
    Merci à tous pour tous vos mots d’encouragement et votre soutien. »

    Traduction Le Média en 4-4-2 ► https://lemediaen442.fr/nathanael-spitzer-decede-dun-cancer-de-stade-4-classe-mort-du-covid-par-les-autorites-sa-soeur-crie-au-scandale/

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  18. Des dizaines de scientifiques spécialisés dans le domaine nucléaire et dotés des « autorisations de sécurité les plus élevées » ont été licenciés du laboratoire de Los Alamos en raison de l’obligation vaccinale ► https://www.aubedigitale.com/des-dizaines-de-scientifiques-specialises-dans-le-domaine-nucleaire-et-dotes-des-autorisations-de-securite-les-plus-elevees-ont-ete-licencies-du-laboratoire-de-los-alamos-en-raison-de-lobligatio/

    La date limite de vendredi dernier pour que les employés du laboratoire national de Los Alamos se fassent vacciner est passée. Le même jour, un juge a rejeté la demande de 114 employés visant à empêcher l’entrée en vigueur de l’obligation de se faire vacciner par le laboratoire nucléaire.

    Ces derniers jours, les employés, dont des ingénieurs nucléaires et des scientifiques de haut niveau, sont littéralement descendus dans la rue devant le laboratoire, pour protester contre l’obligation de recevoir leur première dose de vaccin contre le Covid, sous peine d’être licenciés.

    Concernant le procès intenté par les employés, The Hill a écrit précédemment que « les travailleurs du laboratoire du Nouveau-Mexique, qui a créé la bombe atomique, ont intenté un procès affirmant que les exemptions au mandat ont été refusées sans justification appropriée. »

    Les travailleurs, parmi lesquels des dizaines de scientifiques, s’opposent à l’entrepreneur fédéral Triad National Security LLC, qui gère le laboratoire sous contrat avec le département américain de l’Énergie.

    On ne sait pas si certains ont été licenciés à ce stade, après l’expiration du délai, ni si des négociations ou des accords sont en passe d’être conclus. La réalité est que ces employés sont considérés comme extrêmement précieux pour le laboratoire nucléaire avancé et la sécurité nationale, étant donné leurs niveaux d’autorisation délivrés par le gouvernement.

    Les médias locaux ont décrit comme suit les manifestations de lundi le long de la route principale menant au laboratoire et devant l’entrée :

     » Quelque 55 manifestants, dont beaucoup portaient des drapeaux américains ou des pancartes, se sont rassemblés sur la State Route 4 à White Rock à 6 heures du matin pour attirer l’attention des navetteurs du Los Alamos National Laboratory et d’autres personnes. Ils protestaient contre la politique du LANL imposant la vaccination COVID-19 à tous les employés et le licenciement ou la mise en congé sans solde d’un nombre non divulgué d’employés par le LANL vendredi dernier.

    Vendredi, les responsables du LANL ont déclaré que 96 % des employés étaient complètement vaccinés et que 1 % supplémentaire avait reçu sa première dose. D’autres manifestations sont prévues dans d’autres lieux.

    Il est important de noter que la plupart des personnes qui risquent d’être licenciées ne sont pas des employés de bas niveau ou de nouvelles recrues, mais bien des scientifiques et des ingénieurs nucléaires qui travaillent depuis des décennies dans l’une des installations de défense les plus sensibles et les plus avancées des États-Unis.

    L’Associated Press avait détaillé que « Les plaignants comprennent des scientifiques, des ingénieurs nucléaires, des chefs de projet, des techniciens de recherche et d’autres personnes qui ont certaines des habilitations de sécurité les plus élevées du pays pour le travail qu’ils font ».

    Le rapport soulignait en outre qu’ils seraient « difficiles à remplacer » à court terme. « Certains des employés qui font partie du procès travaillent pour le laboratoire de Los Alamos depuis des décennies, tandis que d’autres sont des employés plus récents qui ont déménagé au Nouveau-Mexique depuis d’autres États et pays », ajoute le rapport. « Trente-quatre d’entre eux sont nommés dans le procès et 80 ont choisi de rester anonymes, invoquant la crainte de représailles. »
    =*=
    Alors ?

    Toujours prêts pour le Grand Reset ?

    Ou bien ?…

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      1. Vouiii, et je viens également de voir la tronche actuelle de Schwab…avant, c’était…comme dire, moins monstrueux !!!

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