Quand Izambert dénonçait les Banksters du Crédit Agricole…

Et c’est bien ce qu’ils ont fait…

La City de Londres ; Au cœur de l’Empire, version PDF N° 54 de 34 pages

Dernier billet sur le sujet ► Les preuves que Trump est bien l’une des marionnettes de la City de Londres…

Car c’est la City de Londres qui pilote le gouvernement Zunien, pas l’inverse !

▼▼▼

Conférence de Jean-Loup IZAMBERT à Ille sur Têt le 19 décembre 2015 à propos de son ouvrage : «Les démons du Crédit Agricole : (5 7000 000 sociétaires floués) », comportant 398 pages.

4e de couverture : Le bon sens près de chez vous, signature publicitaire incontestablement ancrée dans l’inconscient collectif français, a du plomb dans l’aile… La formule n’a plus rien à voir avec le Crédit Agricole d’aujourd’hui. Pour la première fois dans l’histoire de la banque, les dirigeants du groupe Crédit Agricole Mutuel spolient, en effet, leurs  » actionnaires  » majoritaires à savoir les 5 700 000 sociétaires, véritables propriétaires du capital. Acquisitions successives, filialisations diverses, privatisation puis entrée en Bourse auraient installé le Crédit Agricole Mutuel aux premières places dans la rude compétition que se livrent les banques en France et dans le reste du monde. Loin des principes fondateurs de la Coopération et de la solidarité paysanne, aux antipodes des intérêts des sociétaires, quelques hauts dirigeants du groupe se sont servis de la puissance de la banque verte, sinon avec la complicité des pouvoirs publics et des juges, au moins en se servant de leur passivité pour les premiers et de leur méconnaissance en matière de coopération pour les seconds afin d’en faire un outil au service d’ambitions hors de propos. D’acquisitions fausses d’hôtels en Guadeloupe, en placements dans des paradis fiscaux, l’argent ne se trouve plus là où il devrait être. Ce brûlot va permettre de replacer la banque du Crédit Agricole au rang qu’elle n’aurait jamais dû quitter.

Vidéo YT mise en ligne par Factuelle 66 en décembre 2015

Alors à l’époque, beaucoup de gens ont attendu de voir si le jour dit, Cantona allait retirer tout son argent de ses comptes bancaires. Sauf que lui tout seul, il lui en aurait touché une sans faire bouger l’autre, au Système

Reste que si ; 6 à 8 millions de la population française, qui compte 66 millions de personnes, sortaient ensemble et de manière concertée du système bancaire pour se mutualiser et créer, hors État et ses institutions, une société des sociétés, celles des associations libres et volontaires, alors là oui ► Le système s’écroule et selon le principe qui m’est cher ► Sans armes, ni haine ni violence…

C’est cela la mise en œuvre de la solution à 10% d’une population mondiale convaincue, opiniâtre et motivée !

Et rappelez-vous que les grandes banques françaises, et certains gros assureurs, financent la colonisation ; Toute la colonisation ;

4 BANQUES FRANÇAISES FINANCENT LE DAPL !

Les 17 banques finançant le Dakota Access Pipeline dont 4 banques françaises

Il y a donc 4 banques françaises qui sont des investisseurs directs du projet : BNP Paribas, le Crédit Agricole, Natixis et la Société Générale. Les 13 autres banques sont américaines (4), japonaises (3), allemande (1), britannique (1), italienne (1), espagnole (1), canadienne (1), hollandaise (1)

J’ai révélé et traité cette info, pour la 1ère fois ICI et en analyse pour la dernière fois

◄►

Les quatre premières banques françaises et l’assureur AXA financent la colonisation des Territoires palestiniens par Israël via leurs participations dans des banques et des entreprises israéliennes actives dans les colonies, affirme un rapport de la FIDH publié mercredi.

BNP Paribas, Crédit agricole, Société générale, BPCE et AXA, par leur soutien « persistant » aux banques et entreprises israéliennes impliquées dans les colonies, « contribuent indirectement au maintien et au développement » des colonies, selon l’étude intitulée « Les liaisons dangereuses des banques françaises avec la colonisation israélienne ». Traité en dernier lieu ICI ; Alors que nous avons pu constater le très Tsahal temps sur le Sionistan, et comprendre que c’est cela que finance, entre autres, LE CRÉDIT AGRICOLE avec nos sous !

Le slogan publicitaire du Crédit Agricole en 1986 était : Le pouvoir de dire OUI !

Et bien, ICI & MAINTENANT et d’OÙ NOUS SOMMES, nous avons le pouvoir de leur dire NON… nein, no, niet, nee, na, não, pù shi, en Zoulou même ; cha ! Ou en Mohawk si vous préférez : Iáhten…

Arrêtons de consentir, et mieux = Retirons leur notre consentement…

Arrêtons de nourrir la Bête/Système, et elle mourra de faim…

BOYCOTT TOTAL !

JBL1960

 

Lectures ad hoc et connexes indispensables, en version PDF ;

Toutes les versions PDF politiques (58) dans cette page de mon blog ► TOUTES LES VERSIONS PDF RÉALISÉES PAR JBL1960

11 réflexions sur « Quand Izambert dénonçait les Banksters du Crédit Agricole… »

  1. Diplômé de l’École des Hautes Études Sociales, de l’École des Hautes Études Internationales et de l’École Supérieure de Journalisme de Paris, Jean-Loup IZAMBERT a pratiqué depuis 1972 plusieurs qualifications dans la presse régionale, spécialisée et nationale française. Il s’intéresse aux questions économiques, politiques et sociales et s’engage dans son métier en indépendant en 1987. De 1987 à 1995, il collabore régulièrement à l’hebdomadaire VSD, au mensuel économique et financier du groupe Les Échos, et à L’Humanité.

    Il est le premier journaliste à pénétrer au cœur de l’Institut Nami – l’un des centres de la recherche pure de la Fédération de Russie – dont il dévoile des projets futuristes (1990-1992). Il réalise dans la foulée le premier reportage sur Togliatti, le plus grand centre de production automobile européen (Fédération de Russie).

    Il sera également l’un des tous premiers journalistes à dénoncer l’implication de quarante banques européennes dans le plus grand krach boursier de la place de Genève en 1995. Son enquête le conduit à publier son premier ouvrage sur la crise financière qui s’annonce : « Le krach des 40 banques » (Ed. du Félin, 1998). Préfacé par Paul Webster, correspondant du bureau de Paris du Guardian, son travail met à jour l’un des plus grands scandales financiers contemporains : quarante banques européennes sont impliquées dans le plus grand krach boursier de la place de Genève – dix-neuf milliards de francs – sans qu’aucune d’entre elles ne porte plainte ! Remontant le travail des policiers de la haute finance et des magistrats suisses, l’auteur met en lumière les manœuvres du clan élitiste et arrogant des anciens des grandes écoles françaises, des magistrats et des politiciens, pour se protéger des enquêtes de la police et de la justice suisse.

    Enquêtant sur le fonctionnement du groupe bancaire Crédit Agricole Société Anonyme, il révèle un gigantesque détournement de fonds organisé par les dirigeants au détriment des 5,7 millions de sociétaires propriétaires de la banque. Son investigation le conduit à écrire « Le Crédit Agricole hors la loi ? » (Ed. Carnot, 2001). Interdit à la diffusion en France jusqu’à l’entrée en Bourse du groupe bancaire et à la demande de ce dernier suite à une action judiciaire, le livre est traduit en russe et fait l’objet d’un film réalisé en 2002 avec la RTR, première chaîne d’État de la Fédération de Russie.

    Au lendemain de la faillite du groupe Crédit Lyonnais, dans « Crédit Lyonnais, la mascarade » (Ed. Carnot, 2003), Jean-Loup Izambert décortique les liaisons entre dirigeants de banques, pouvoir politique et magistrature, qui permettent de classer rapidement et dans une opacité totale la plus grande faillite d’une banque française.

    Deux ans plus tard, il reprend son enquête sur le groupe Crédit Agricole Mutuel, et révèle des montages illégaux de la privatisation du groupe sous couvert des autorités. Il dénonce également un réseau de blanchiment au sein de la banque, apporte de nouveaux faits sur les questions de la gestion des sociétés coopératives de banque au niveau mondial, et écrit « Les Démons du Crédit Agricole » (Ed. L’Arganier, 2005).

    Jean-Loup Izambert est également l’auteur de la première enquête journalistique sur le fonctionnement des organisations internationales du système onusien qui sera publiée sous le titre « ONU, violations humaines » (Ed. Carnot, 2003).

    La guerre déclenchée contre la République fédérative de Yougoslavie, puis celle contre l’Irak par quelques États, le conduisent à compléter son enquête par de nouvelles investigations sur les dessous de la politique internationale au sein de l’ONU, et à écrire « Faut-il brûler l’ONU ? » (Ed. du Rocher, 2004).

    Parallèlement à cet engagement journalistique total, Jean-Loup Izambert mène une activité de conseil indépendant en Communication : développement de services Communication de collectivités territoriales, image de marque des hommes et des territoires, communication d’entreprise de grands comptes. Il intervient également dans la valorisation de métropoles régionales françaises et de PME avec le mensuel économique PME Affaires dont il sera rédacteur en chef. Il lance Top Alerte fin 2005, premier trimestriel de communication de crise.

    Mais, chevillé à son « journalisme de terrain », il part pour le Maroc fin 2006 et reprend ses enquêtes sur les réseaux financiers internationaux et les filières islamistes sunnites. Il écrit ainsi, pratiquement dans le même temps, la fin de deux investigations menées sur plusieurs années :

    – La première sur la crise économique et financière, à laquelle il tente d’apporter réponse à la question essentielle : « Pourquoi la crise ? » (Ed. Amalthée, 2009). Cet ouvrage se distingue des livres publiés sur la crise en donnant la parole à des intervenants de tous milieux : dirigeants de sociétés transnationales, de banques et de sociétés financières, de transactions internationales, de cabinet d’audit, syndicalistes, magistrats, spécialistes français et anglo-saxons de l’organisation d’entreprise.

    – La seconde, menée en plusieurs périodes de 1990 à 2011, sur les liaisons secrètes entre des réseaux criminels et des dirigeants et hauts fonctionnaires de l’État français. Il publiera ses premières investigations dans VSD, « L’Humanité et L’Humanité Dimanche » (1990 à 1993). Ce travail d’enquête le conduit à démonter les mécanismes de la préparation de la guerre contre la Libye et à écrire « Crimes sans châtiment » (Ed. 20Coeurs, 2013).

    Puis, la sauvagerie de l’agression contre la République arabe syrienne le pousse à poursuivre ce travail d’enquête en dénonçant la complicité de cinquante-six dirigeants politiques et hauts-fonctionnaires français au cœur de l’État qui, depuis les années 90, ont, pour les uns protégé, pour les autres soutenu des individus liés aux groupes criminels qui sèment la terreur en Syrie. Il publie alors des documents inédits à l’appui de ses accusations.

    Plusieurs des reportages de Jean-Loup Izambert ont été publiés dans différentes langues (anglais, allemand, finnois, italien) et deux de ses ouvrages ont été traduits en anglais et en russe.

    Membre de la Société Des Gens de Lettres de France, Jean-Loup Izambert est l’auteur de :

    « Le krach des 40 banques, chronique des années fric », Ed. du Félin, 1998.
    « Le Crédit Agricole hors la loi ? » Ed. Carnot, 2001 (Publié en russe en 2002)
    « Crédit Lyonnais la mascarade », Ed. Carnot, 2003
    « ONU, violations humaines », Ed. Carnot, 2003 (Publié en anglais en 2003)
    « Faut-il brûler l’ONU ? » Ed. du Rocher, 2004
    « Les Démons du Crédit Agricole », Ed. L’Arganier, 2005
    « Pourquoi la crise ? » Ed. Amalthée, 2009
    « Crimes sans châtiment », Ed. 20Coeurs, 2013
    « 56 – Tome 1 : L’État français complice de groupes criminels », Ed. IS Edition, 2015

    SOURCE IS ÉDITIONS ► http://www.is-ebooks.com/auteur/69/Jean-Loup%20IZAMBERT

    J’aime

  2. Pour renforcer ce que vous écriviez très récemment, les victimes du Crédit Agricole sont légions, mais j’accentuerais en précisant que ce sont essentiellement les porteurs de parts-sociales (sorte d’actions), donc majoritairement les agriculteurs furent escroqués dans la manipulation bancaire ordonnée par le traitre criminel Laurent Fabius.

    http://www.alterinfo.net/Les-Migrants-chances-pour-la-France-qu-ils-disaient-_a125327.html

    Pour diverses raisons, il y a quelques années, j’avais fait un parallèle sur cette misère agricole en oubliant de décrire le fondement de l’escroquerie perpétrée par Fabius que j’ai pourtant soigné dans un autre texte il y a belle lurette.

    https://lesmoutonsenrages.fr/2014/08/24/le-desastre-fabius/

    Or, pour en revenir à ce que nous évoquions sur les Rothschild, j’avais rédigé un texte en faisant un parallèle du cas des Templiers par rapport aux prétentions régaliennes du roi Philippe Le Bel, texte dont je laisse la conclusion du bucher ou non, au lecteur de décider.

    http://www.armee-media.com/2018/10/27/philippe-le-bel-sen-reviendrait-il-par-christian-sebene/

    En conclusion du sort du Crédit Agricole je terminerais en empruntant une phrase que j’ai déjà mise dans l’un de mes textes : « le sort du Crédit Agricole est lié aux SAFER qui ont pour rôle d’encadrer le marché du foncier et de favoriser l’installation de jeunes agriculteurs, ou, un jour, nos enfants se réveilleront
 sans maison et sans toit, sur la terre de nos ancêtres ».

    Bien cordialement

    Christian Sébenne

    J’aime

    1. Christian, Philippe Le Bel n’est jamais parti, car en remontant les racines de La City de Londres, on remonte jusqu’à l’Ordre de la Jarretière !

      Je retrouve le passage exact.
      A+ Jo

      J’aime

  3. « Gilets jaunes » : les banques appellent à la fin des violences contre leurs agences

    Les banques françaises appellent à ce que cessent les violences qui ont déjà visé plusieurs centaines de leurs agences en marge des journées de mobilisation des « gilets jaunes », dans une tribune publiée samedi dans Le Monde.

    « Il est temps, pour tous, de condamner les actes commis à l’encontre des banques », plaident les six membres du comité exécutif de la Fédération bancaire française, l’organisation professionnelle qui représente toutes les banques installées en France.

    Ces six membres sont les patrons des grands établissements français (BPCE, BNP Paribas, Crédit Mutuel, Banque Postale, Crédit Agricole, Société Générale).

    « Il est urgent de mettre un terme à ce déchaînement de violence injustifié. Nous demandons à ce que les conditions soient réunies pour que nos collègues comme les commerçants puissent exercer leur métier en toute sécurité et en toute sérénité au bénéfice de leurs clients », martèlent-ils.

    « Depuis un peu plus de quatre mois, des centaines d’agences de proximité, maillons essentiels de la vie locale, situées en bas d’immeubles, à des coins de rues, dans les centres villes ont été prises pour cibles, vandalisées, pillées, incendiées et nos conseillers bancaires physiquement menacés », dénoncent-ils.

    Selon eux, « s’attaquer à une agence bancaire, c’est s’attaquer à un service de proximité ». En outre, « la banque française est en tête des contributeurs à l’impôt en France. Pour 1.000 euros de résultats nets dans le monde, la banque française a d’abord payé 644 euros de prélèvements obligatoires en France (hors charges sociales) », ajoutent-ils.

    Au total, plus de 760 établissements bancaires ont subi des dégradations depuis le début du mouvement de contestations des « gilets jaunes ».

    Le 16 mars, l’incendie d’une agence de la banque Tarneaud, filiale du Crédit du Nord et de Société Générale, située près de l’avenue des Champs-Elysées à Paris, avait notamment fait 11 blessés.

    Cette dernière poussée de violence avait conduit la Fédération bancaire française (FBF), association représentant les banques françaises, et trois syndicats bancaires – CFDT, Force Ouvrière (FO) et le Syndicat national de la banque (SNB) – à condamner ces actes conjointement, une démarche rare.

    En France, quelque 37.000 agences sont réparties sur le territoire et les entreprises du secteur emploient plus de 360.000 collaborateurs.

    https://www.capital.fr/economie-politique/gilets-jaunes-les-banques-appellent-a-la-fin-des-violences-contre-leurs-agences-1333586

    =*=
    Et nous on appelle à ne surtout rien lâcher…

    La révolution se fait par les banques !
    Comme disait Canto, plus haut = À la Sppagiari…

    J’aime

Laisser un commentaire