L’esclavage n’était pas une pratique fréquente en Égypte – Dr. Ashraf Ezzat

Alors, on s’en doutait un peu ;

Grâce au Dr. Ashraf Ezzat et à Résistance71 qui a traduit par de larges extrait son livre « L’Égypte antique n’a jamais connu ni Pharaons, ni Israélites » ainsi que toute ses publications que j’ai réunifiés dans ce PDF {N°3} de 39 pages ► Traduction de la Bible et Escroquerie historique ; qui traite de ;

L’Égypte antique n’a jamais connu ni Pharaons, ni Israélites

Les racines juives de la culture takfirie

Le Messie Arabe

La résolution de l’UNESCO sur Jérusalem : La vérité cachée

Pourquoi ne trouve-t-on aucune mention des pyramides d’Égypte dans la bible ?

Jérusalem, rien de saint à propos de la ville sainte…

La fuite de la Sainte Famille en Égypte est elle un mythe ?

Il faut noter que le Dr. Ezzat dit que la bible septante est une fraude de traduction. Il cite des passages dans l’hébreu ancien qui ont été (volontairement) mal traduit en grec par les 70 rabbins sous Ptolémée II au IIIème siècle AEC.

Y a-t-il une réfutation sans équivoque de ce qu’il avance ? Pas à notre connaissance.

Ezzat cite de nombreux archéologues et historiens israéliens qui s’accordent à dire que les recherches de terrain n’ont jamais prouvé la véracité historique du récit biblique. Ezzat, de plus, ne va jamais dans son livre jusqu’à dire que l’histoire de la bible est une invention, il ne fait que dire qu’il est maintenant prouvé que la location GÉOGRAPHIQUE de cette histoire n’est pas la bonne, qu’il ne faut pas chercher en Égypte ni en Palestine pour des traces de « l’exode » ou du « palais de Salomon », mais dans le sud de l’Arabie Saoudite et au Yémen.

Autre question intéressante à la lumière de ce que dit Ezzat : La guerre actuelle au Yémen, guerre qui implique Israël aux côtés de l’Arabie Saoudite, est-elle une coïncidence ?…

 L’esclavage n’était pas une pratique fréquente en Égypte (vidéo)

Vidéo ► Ashraf Ezzat  ajoutée le 28 mai 2017

 

Traduction de la transcription anglaise de la vidéo du Dr Ezzat par Résistance 71

Juin 2017

Révéler que le commerce des esclaves n’était pas une tradition commune dans l’Égypte ancienne n’est pas la seule preuve sur laquelle s’appuie l’auteur et chercheur Ashraf Ezzat pour réfuter le fait que l’histoire de l’Exode biblique ait eu lieu en Égypte. Dans son livre “Egypt Knew no Pharaohs nor Israelites” vous trouverez encore plus de trouvailles fondées sur des preuves qui confirment sa thèse.

 

Pensez-vous que la Bible soit absolument infaillible ?

Pensez-vous que les histoires bibliques reflètent la réalité historique ?

Par histoires bibliques, je veux dire celles des Israélites

Et par dessus tout, l’histoire célèbre de Moïse et du Pharaon

Alors qu’elles furent révérées comme une longue lignée de prophéties s’étant réalisées, chacune des histoires des Israélites dépendait de la suivante; et donc si l’une d’elle n’est pas vraie, alors aucune ne l’est.

Depuis des siècles, nous avons été trompés et psychologiquement formatés

Car toutes les histoires des Israélites incluant celles d’Abraham, de Joseph et de Moïse ne se sont jamais passées sur le sol égyptien.

Les Israélites ne furent jamais esclaves en Égypte,

C’est nous plutôt qui avons été esclaves de cette fausse histoire.

Car l’Égypte n’a connu ni Pharaons ni Israélites.

Dans cette vidéo et au travers d’une série d’épisodes à venir, nous allons expliciter quelques points que nous apportons dans notre livre à succès (Egypt Knew No Pharaohs nor Israelites).

Si nous voulons creuser plus avant et aller à la vérité se cachant derrière ces histoires d’Israélites, nous devons d’abord regarder le milieu (socio-culturo-géographique) qui les entoure. Si nous analysons ces histoires bibliques d’Israélites comme des travaux de littérature dramatiques, nous y trouverons  bien des thèmes qui les caractérisent comme le tribalisme par exemple, fortement exhibé par les guerres tribales continuelles et le style de vie nomade qui est lourdement mis en scène, avec l’aspect pastoral et le commerce des esclaves, qui sont des thèmes ne se rapportant pas à l’Égypte antique.

De fait, un des thèmes les plus marquant et important que nous trouvons dans ces histoires d’Israélites est le thème de “l’esclavage”.

Les histoires des patriarches juifs Abraham, Joseph et Moïse, sont toutes des histoires d’esclaves ayant été achetés et vendus.

Le conte de l’Exode est un conte au sujet d’esclaves, beaucoup d’entre eux, qui auraient trimé en captivité pendant des siècles. La Bible parle de 400 ans d’esclavage continu et quelques 600 000 esclaves quittant l’Égypte avec Moïse.

Si nous y incluons les femmes et les enfants et d’autres personnes qui ne furent pas inclus dans les estimations faites du nombre d’esclaves quittant alors l’Égypte, alors le chiffre monte à entre 2 et 3 millions de personnes. Pensez un peu à cela. Si vous mettez quelques 3 millions de personnes en fille indienne serrée, on parle alors d’une file de quelques 900 km de long. Et oui… Cela est ridicule. Ceci constituerait environ la moitié de la population juive de l’Israël moderne.

Ironiquement, lorsqu’on regarde à la population totale de l’Égypte dans la période du Nouveau Royaume (la période où Moïse continuerait de flotter sur le Nil…), 3 millions de personnes est notre meilleure estimation de la population totale de l’Égypte, peut-être 4 millions maximum. Il y a quelque chose qui ne va vraiment pas ici non ? Les esclaves israélites auraient dit au Pharaon ce qu’il devait faire s’ils avaient vraiment été quelques 3 millions et au lieu de fuir cette terre, ils auraient tout aussi bien pu y rester et la conquérir, conquérir l’Égypte ancienne.

Dans notre recherche extensive au sujet de l’esclavage dans le proche-orient antique, nous avons découvert que l’esclavage, où des humains captifs étaient vus et compris comme des commodités pour transactions et pour être échangés, la propriété et l’héritage étaient une culture commune à Babylone, en Assyrie et au Levant mais le commerce des esclaves fut le plus notoire et le plus courant dans l’ancienne Arabie et au Yémen.

C’est pourquoi à la fois la Torah et le Coran sont remplis de tonnes d’histoires au sujet d’esclaves et de leur commerce… Ceci ne devrait pas être une surprise puisque l’esclavage, en tant que pratique courante, est profondément ancré dans la culture et les traditions anciennes arabe (qui ont produit et le judaïsme et l’islam). En fait, lorsqu’on en vient à évoquer l’esclavage et le commerce des esclaves, les Arabes (ceci inclut les tribus israélites), en sont les pionniers mondiaux. Ils commencèrent ce sale commerce bien longtemps avant les Portugais et les Espagnols.

Quant à l’Égypte ancienne, ceci viendra très certainement sous forme de surprise, l’esclavage n’était pas du tout une pratique, tradition courante.

Durant pratiquement tous les quelques 3000 ans de royauté, le commerce des esclaves ne fut pas pratiqué en Égypte antique. Bien sûr il y eut quelques références à un esclavage de maison dans les palaces royaux et princiers, mais je veux dire que cette culture invasive de commercer des captifs humains sur des marchés publics n’était définitivement pas une culture acceptée dans l’Égypte antique.

Je ne vais pas faire référence aux prisonniers de guerre et leur statut assimilé à esclave en captivité dans l’Égypte antique, car le patriarche Joseph n’en était pas un, ni Moïse du reste.

L’esclavage, en tant que culture publique et répandue, fut introduit en Égypte sur le tard, durant les 4ème et 3ème siècles avant notre ère et après la conquête grecque. Bien que ce furent les Grecs puis les Romains qui propagèrent cette culture de l’esclavage au travers de la terre de la vallée du Nil, ce furent en fait les juifs de l’Arabie antique qui amenèrent le commerce des esclaves en premier lieu dans l’Égypte ancienne.

Historiquement, le judaïsme et le commerce des esclaves sont fortement liés car ils apparurent tous deux sur la même terre, celle de l’Arabie et du Yémen antiques.

Mais pourquoi donc le commerce des esclaves ne prospéra t’il pas en Égypte ? J’ai posé cette question au professeur Moustapha El-Abbadi, l’Historien de grande renommée sur l’Égypte gréco-romaine.

L’esclavage, tel que mentionné dans la Bible était très répandu dans l’ancienne Arabie, jusque dans un passé assez récent, celui du XIXème siècle.

Jusqu’à aujourd’hui nous trouvons des traces persistantes de la culture de l’esclavage dans la péninsule arabe et spécifiquement au Yémen (la patrie des anciens Israélites comme clairement expliqué dans notre livre).

L’esclavage en Égypte antique est une des plus grosses déconvenues des archéologues bibliques. Il est devenu quasi notoire maintenant parmi les égyptologues que les pyramides, dont on a longtemps pensé qu’elles furent construites au son du fouet, furent en fait construites par des ouvriers dûment payés.

La culture du commerce des esclaves dans l’histoire de Joseph et de Moïse est si communément établie (comme le commerce du poulet), que cela en est comiquement inconsistant avec ce que l’on sait des anciennes traditions de l’Égypte.

L’Égypte antique connaissait les serviteurs et les ouvriers bon marché (comme nous le montrons avec nos recherches effectuées au musée du Caire), mais on trouve très peu de choses dans les archives concernant les esclaves dans l’Égypte ancienne, à part peut-être les prisonniers de guerre qui plus tard devinrent des serviteurs de maison de la classe supérieure et royale. Plus important encore, les Égyptiens n’avaient aucune familiarité avec les marchés aux esclaves publics, à l’encontre des cultures voisines d’Arabie ou d’Assyrie.

Et si l’Égypte antique n’avait pas de marchés publics aux esclaves, où ils étaient vendus et achetés, alors nous devons nous demander comment Joseph “le patriarche israélite” fut introduit et vendu dans l’Égypte antique comme nous le raconte l’histoire.

Si deux millions d’esclaves de la force laborieuse venaient à soudainement quitter l’Égypte antique, ceci aurait mené immédiatement à une chute brutale du puissant empire égyptien. De plus, une telle chose ne se voit pas dans toutes les archives. La chute de l’empire égyptien fut très graduelle et se produisit sur une période de plusieurs siècles et il fallut des invasions et conquêtes étrangères par les Perses puis plus tard par les Grecs et les Romains pour amener le royaume égyptien à son crépuscule.

Nous devrions mieux savoir de nos jours, que de continuer à croire que l’Égypte antique fut détruite par les soi-disant dix fléaux de dieu et que les anciens Israélites furent mis en esclavage en Égypte. Quoi qu’il en soit, écoutons ce qu’a à dire le professeur Abbadi sur l’histoire de l’Exode, un expert reconnu de l’histoire de l’Égypte antique.

Le roi et l’armée d’Égypte ne furent pas vaincus par Moïse et ses suiveurs esclaves.

En fait, l’Égypte antique n’a pratiquement pas pratiqué l’esclavage.

Plus encore et pour le dire franchement et sans fioriture : l’Exode ne s’est pas passé en Égypte,

Car simplement, l’Égypte n’a connu ni Pharaons ni Israélites.

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Dr. Ashraf Ezzat

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Par un hasard, assez curieux, sachez que ce jour, 7 juin 2017, France 5 a programmé à 20H50 un documentaire – Grande Bretagne (2017) de 50 min Réalisé par Andra Heritage et intitulé « Les Dix Plaies d’Égypte » et présenté ainsi : Dans le livre biblique de l’Exode, une série de fléaux terrifiants aurait frappé l’Égypte à la suite de l’affrontement entre Moïse et le pharaon qui avait réduit le peuple hébreux en esclavage. Dix catastrophes se sont abattues sur le pays : les eaux du Nil transformées en sang, l’invasion de grenouilles, de moustiques puis de mouches, la disparition des troupeaux, l’épidémie de pustules, l’orage de grêle, la prolifération de sauterelles, les ténèbres et enfin la mort des premiers-nés.

Outre la présentation d’un fait supposé et l’affirmation que 10 catastrophes s’en sont suivies. Gageons que cette personne n’a pas lu le livre du Dr. Ezzat, et imaginons pouvoir lui poser des questions, nous qui avons lu l’essentiel du livre et ses publications complètes. Imaginons que nous lui posons cette simple question : « Pourquoi ne trouve-t-on aucune mention des pyramides d’Égypte dans la Bible ? »

Sans doute n’étaient-elles pas assez grandes…

JBL1960

21 réflexions sur « L’esclavage n’était pas une pratique fréquente en Égypte – Dr. Ashraf Ezzat »

  1. pas en Egypte, mais les otomans ne se sont pas gênés – l’esclavage blanc existait – ils ravageaient tout le bassin méditerranéen – et des caravanes remontaient des épices, des métaux et des esclaves, plutôt mâles, que l’on castrait

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    1. Cependant ni dans les proportions « racontées » pour ne pas dire, inventées, ni même là où elles se seraient passées…

      Alors ça va un petit mieux ce soir…
      Mais je file au lit quand même…
      Je t’en dirais plu demain en mp !
      A+ Jo !

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      1. les deux articles que j’ai lu il y a longtemps étaient des reportages – vécus et non inventés – pourquoi inventés quand ça ne cadre pas avec ce que l’on voudrait – mais il faut tant et tant de temps pour tout vérifier – les bouquins ça coûte et entre la lecture et les recherches il faut bien faire la cuisine, le ménage et aller dans les bois –

        les noirs castrés, c’était pas le pape (même si je ne peux pas le voir en peinture)

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      2. Je faisais allusion aux récits bibliques et mythologiques par l’utilisation du mot « inventé ».

        Et oui, il faut bien aussi s’occuper des tâches ménagères et pour voir si le loup y est pas ; dans les bois…
        😉

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      3. Tu y étais, Jo ? En rêve…
        http://fr.timesofisrael.com/un-chercheur-etablit-lexistence-de-53-personnages-bibliques/

        Quant à la réalité de l’esclavage par les musulmans et autres douceurs :

        Falies
        5 janvier 2015 a 01:35

        petit rappel historique pour nos incultes de l’égalité et soumission :

        Un petit rappel d’histoire très intéressant, car jamais étudié à l’école dans sa continuité et sa totalité. C’est pourtant notre histoire !
Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714 dans ce qui était la France de l’époque. Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur base pour les 40 années suivantes, et ont pratiqué des razzias méthodiques. Ils ont ravagé le Languedoc de 714 à 725, détruit Nîmes en 725 et ravagé la rive droite du Rhône jusqu’à Sens. En 721, une armée musulmane de 100.000 soldats mit le siège devant Toulouse, défendue par Eudes, le duc d’Aquitaine. Charles Martel envoya des troupes pour aider Eudes. Après six mois de siège, ce dernier fit une sortie et écrasa l’armée musulmane, qui se replia en désordre sur l’Espagne et perdit 80.000 soldats dans la campagne. On parle peu de cette bataille de Toulouse parce qu’Eudes était mérovingien. Les Capétiens étaient en train de devenir rois de France et n’avaient pas envie de reconnaître une victoire mérovingienne. Les musulmans ont conclu alors qu’il était dangereux d’attaquer la France en contournant les Pyrénées par l’est, et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à l’ouest des Pyrénées.
15.000 cavaliers musulmans ont pris et détruit Bordeaux, puis les Pays de la Loire, et mis le siège devant Poitiers, pour être finalement arrêtés par Charles Martel et Eudes à vingt kilomètres au nord de Poitiers, en 732. Les musulmans survivants se sont dispersés en petites bandes et ont continué à ravager l’Aquitaine. De nouveaux soldats les rejoignaient de temps en temps pour participer aux pillages. Ces bandes n’ont finalement été éliminées qu’en 808, par Charlemagne. Les ravages à l’est ont continué jusqu’à ce qu’en 737 Charles Martel descende, au sud, avec une armée puissante, et reprenne successivement Avignon, Nîmes, Maguelone, Agde, Béziers et mette le siège devant Narbonne. Cependant, une attaque des Saxons sur le nord de la France obligea Charles Martel à quitter la région. En 759 enfin, Pépin le Bref reprit Narbonne et écrasa définitivement les envahisseurs musulmans.
Ces derniers se dispersèrent en petites bandes, comme à l’ouest, et continuèrent à ravager le pays, notamment en déportant les hommes pour en faire des esclaves castrés, et les femmes pour les introduire dans les harems d’Afrique du Nord, où elles étaient utilisées pour engendrer des musulmans. La place forte des bandes se situait à Fraxinetum, l’actuelle Garde-Freinet (le massif des maures).
Une zone d’environ 10.000 kilomètres-carrés, dans les Maures, fut totalement dépeuplée.
En 972, les bandes musulmanes capturèrent Mayeul, Abbé de Cluny, sur la route du Mont Genèvre.
Le retentissement fut immense. Guillaume II, comte de Provence, passa 9 ans à faire une sorte de campagne électorale pour motiver tous les Provençaux, puis, à partir de 983, chassa méthodiquement toutes les bandes musulmanes, petites ou grandes. En 990, les dernières furent détruites. Elles avaient ravagé la France pendant deux siècles.
La pression musulmane ne cessa pas pour autant.
Elle s’exerça pendant les 250 années suivantes par des razzias effectuées à partir de la mer.
Les hommes capturés étaient emmenés dans des camps de castration en Corse, puis déportés dans les bagnes du Dar al islam, et les femmes d’âge nubile dans les harems. Les repaires des pirates musulmans se trouvaient en Corse, Sardaigne, Sicile, sur les côtes d’Espagne et celles de l’Afrique du Nord. Toulon a été totalement détruite par les musulmans en 1178 et 1197, les populations massacrées ou déportées, la ville laissée déserte. Finalement, les musulmans ayant été expulsés de Corse, Sicile, Sardaigne, du sud de l’Italie et de la partie nord de l’Espagne, les attaques sur les terres françaises cessèrent mais elles continuèrent sur mer par des actions de pirateries. Ce n’est qu’en 1830 que la France, exaspérée par ces exactions, se décida à frapper le serpent à la tête , et à aller en Algérie détruire définitivement les dernières bases des pirates musulmans.
Vous savez ce qu’est devenue ensuite l’Algérie, et l’histoire ne s’est pas figée. Ce qu’il y a de frappant, c’est qu’entre 714, la première entrée, et 1830, l’écrasement définitif des pirates barbaresques, il s’est écoulé plus d’un millénaire, ce qui montre qu’ils ne renoncent jamais…. Et aujourd’hui, effectivement, ils reviennent en masse.

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      4. “La première est celle des Gaulois face aux Romains. Nos ‘ancêtres les Gaulois’ sont avant tout des vaincus, qui plus est, décrits par leur vainqueur comme des barbares. […] A ce titre, il est effarant de constater que ce qu’on nous répète à longueur de bouquin d’histoire scolaire insipide au sujet de “nos ancêtres les Gaulois”, ne couvre en fait que la toute fin d’une civilisation qui a essaimé en Europe du Danube à l’Irlande pendant plus de 800 ans !.. […] C’est sur la combinaison des deux doctrines qu’est fondée l’histoire officielle de la France, occultant à dessein la véritable originalité et efficacité tant politique qu’économique de “nos ancêtres les Gaulois”. Extraits de la 3ème partie de « On a retrouvé l’histoire de France » du Pr. Demoule.

        Lui aussi est un menteur je présume ?

        La France amnésique au passé règlementé par Jean-Paul Demoule Fin et version PDF

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  2. Merci à ratuma de me tirer l’œil vers cette vidéo (alors, il y est fait mention des anciens esclaves qui auraient aidés à la construction des Pyramides…) mais on y pose de bonnes questions et ça change ;

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      1. Ayant beaucoup de respect et d’intérêt pour Alexandre Astier, ça m’a tirée l’œil.
        Comme quoi, comme Harry Houdini : Mon cerveau est la clé qui me libère…
        Je précise que je suis une nullité en mathématiques.
        Pour autant, je réfléchis depuis toujours.
        Je suis une femme de Sans-dents, et les miennes sont pas mal éparpillées, mais je ne suis pas sans cerveau !
        Et le « on s’en fout » AA m’a titillée, itou !

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