RÉ-ÉLYSÉE-MOI ► C’EST TOUJOURS NON MERCI !

Suite logique de ;

RÉ-ÉLYSÉE-MOI ! Ré-Élysée-Moi !…

Puisqu’il insiste ce maCron !

Et qu’ils veulent continuer à nous les brizer encore 5 ans de plus ;

Qu’il parte en ouille tout seul https://jbl1960blog.wordpress.com/wp-content/uploads/2022/03/briz.pdfDe RIEN !

▼▼▼

TU NOUS LES BRIZENT MANU RIEN 06 03 22

Rappelez-vous toujours que ;

George Orwell peuple complice

NI VICTIMES – NI COMPLICES !

ICI – IMMÉDIATEMENT & D’OÙ-NOUS SOMMES POUR LEUR DIRE NON ! STOP ! ÇA SUFFIT !

 

+ VENDETTA vs PaSSe VaXXXinal RIEN 08 01 22dans CHRONIQUES DU PRESQUE Dr. T’CHÉ-RIEN

+ dans mon DOSSIER SPÉCIAL CORONAVIRUS

+ dans ma BIBLIOTHÈQUE PDF

+ dans LES CHRONIQUES DE ZÉNON

+ tout le reste avec tout mon

JBL1960

Compagnons,

Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n’est ni votant ni candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l’exercice du droit de suffrage.

Le délai que vous m’accordez est bien court, mais ayant, au sujet du vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j’ai à vous dire peut se formuler en quelques mots.

Voter, c’est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c’est renoncer à sa propre souveraineté. Qu’il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d’une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu’ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.

Voter, c’est être dupe ; c’est croire que des hommes comme vous acquerront soudain, au tintement d’une sonnette, la vertu de tout savoir et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l’échenillage des arbres à l’extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble que leur intelligence grandisse en raison même de l’immensité de la tâche. L’histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.

Voter c’est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à l’honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages — et peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès que le milieu change, l’homme change avec lui. Aujourd’hui, le candidat s’incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres. L’ouvrier, devenu contre-maître, peut-il rester ce qu’il était avant d’avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate n’apprend-il pas à courber l’échine quand le banquier daigne l’inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l’honneur de l’entretenir dans les antichambres ? L’atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s’ils en sortent corrompus.

N’abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos intérêts à d’autres, défendez-les vous-même ; au lieu de prendre des avocats pour proposer un mode d’action futur, agissez ! Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c’est manquer de vaillance.

Je vous salue de tout cœur, compagnons

Élisée Reclus

Compilation des Textes essentiels anarchistes et Préfaces d’Élisée Reclus (1830 – 1905)

Élisée Reclus (1830 – 1905) est un géographe et anarchiste français. Fils d’un pasteur protestant de Gironde, il nait quatrième d’une fratrie de 17 enfants. Élevé par ses grands-parents en Dordogne, il est ensuite envoyé à 13 ans dans un collège luthérien en Prusse pour devenir pasteur. Mais il n’y reste que peu de temps et termine ses études au collège protestant de Sainte Foy La Grande (33). Ce géographe prolifique est également considéré comme le précurseur de l’écologie.

Élisée Reclus (1830 – 1905) Compilation de textes majeurs et Préfaces par ordre chronologique de publication

Version PDF N° 180 de 66 pages – juin 2020 https://jbl1960blog.wordpress.com/wp-content/uploads/2020/06/elisee-reclus-compilation-de-textes-et-prefaces-juin-2020.pdf

AU SOMMAIRE ;

Page  4 ► Présentation de l’auteur : Élisée Reclus (1830/1905)

Page  5 ► Pourquoi sommes-nous des anarchistes ? 1889

Page  7 ► Évolution et Révolution, 1891 – Publication du 28 mai 2020

Page   8 ► En Australie comment la civilisation civilise, 1893

Page 22 ► La formation des religions, 1894

Page 30 ► L’anarchie, 1896

Page 41 ► L’anarchie et l’église, 1900

Page 49 ► Élisée Reclus – Préfaces ;

Page 49 ► Préface de « Paroles d’un révolté » de Pierre Kropotkine, 1885

Page 52 ► Préface de « La civilisation et les grands fleuves historique » de Léon Metchinkoff, 1889

Page 62 ► Préface de la Seconde Édition de « La conquête du pain » de Pierre Kropotkine, 1892 Publication d’une nouvelle version en juillet 2018

Page 66 ► LECTURES COMPLÉMENTAIRES AD HOC AU FORMAT PDF RÉALISATION JBL1960

85 réflexions sur « RÉ-ÉLYSÉE-MOI ► C’EST TOUJOURS NON MERCI ! »

  1. Voici un rappel toujours très d’actualité, d’un texte que j’avais adressé aux fans de Macron juste après son élection :

    « Toi qui nage dans de basses considérations,
    Un illusionné que les « éveillés » appellent mouton,
    Qui avait pourtant bien appris les pages de ses leçons,
    On t’avait bien dit de ne pas voter Macron !
    Cet homme, mi-téléguidé, mi-chiffon,
    A la fois chef des armées et roi des bouffons,
    Va te malmener jusqu’à t’en faire perdre la raison. »

    https://t.me/raphideschamps/1863

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  2. 🔴 🔥 A destination de toutes les personnes qui 2 ans plus tard, pensent encore que le covid a existé…

    👉 Voici un extrait d’une émission TV du 3 avril 2020 qui va vous rappeler comment ça s’est réellement passé…

    🔸 Dans cette vidéo le personnel soignant explique au patient parfaitement conscient, qu’ils soupçonnent que c’est le COVID qui l’empêche de respirer, tandis que celui-ci n’a aucun symptôme singulier qui pourrait le distinguer d’une grippe.

    🔸 Dirigé par l’appât du gain des primes monstrueuses accordées pour les patients « covid » intubés, les soignants vont suivre scrupuleusement et sans rechigner, le changement de protocole qui consiste à l’intuber (tandis qu’en temps normal il n’aurait jamais été intubé) sous prétexte qu’ils « savent » que son état pourrait très vite s’aggraver.

    Source : https://www.youtube.com/watch?v=g5mF__aXBQ4

    https://t.me/raphideschamps/1864

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  3. À propos de Vlad

    Interruption des pourparlers de paix après le triomphe de Poutine à Alep.

    L’ultime tentative d’arrêter l’offensive militaire dirigée par la Russie dans le nord de la Syrie, a tourné à l’échec mercredi, quand l’armée arabe syrienne soutenue par les Forces de défense nationale et la couverture aérienne russe, ont brisé le siège de 40 mois autour des bourgs de Nubl et Zahra, dans le nord-ouest de la province d’Alep. L’administration Obama espérait pouvoir devancer l’attaque en bricolant un accord de cessez-le-feu au dernier moment des pourparlers de paix de Genève. Mais quand les informations disant que des unités blindées syriennes avaient écrasé les défenses d’al Nusra et forcé les djihadistes à battre en retraite, l’envoyé de l’ONU Staffan de Mistura a suspendu tacitement les négociations en reconnaissant que la mission avait échoué.

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    1. Et il faudra RE-VEAUTER pour ÇA ?

      Mais vous êtes FOU ? Oh Oui !!!

      Bon perso j’ai pas voter et je ne suis même pas inscrite sur les listes électorales… Oui je sais, j’irai brûler en enfer, sauf que l’enfer est sur Terre !

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  4. ✳️ EXPANSION DE CONSCIENCE ✳️
    📺 MATRIX : FICTION VS RÉALITÉ 💊

    Et si Matrix était un documentaire ?

    Extraits de Matrix 1 (1999) :

    Morpheus: «J’imagine qu’à cet instant? tu te sens un peu comme Alice, descendant dans le terrier du lapin blanc…»

    Neo: «Tu peux dire ça…»

    Morpheus: «Je peux le voir dans tes yeux. Tu as le look d’un homme qui accepte tout ce qu’il voit, parce qu’il s’attend à se réveiller. Ironiquement, ce n’est pas loin de la vérité. Crois-tu dans la destinée Neo ?»

    Neo: «Non.»

    Morpheus: «Pourquoi pas ?»

    Neo: «Parce que je n’aime pas l’idée que je ne suis pas en contrôle de ma vie»

    Morpheus: «Je sais exactement ce que tu veux dire, laisses moi te dire pourquoi tu es là. Tu es là. Parce que tu sais quelque chose. Ce que tu sais, tu ne peux pas l’expliquer, mais tu le sens. Tu l’as senti toute ta vie. Que quelque chose n’allait pas avec ce monde. Tu ne sais pas ce que c’est, mais c’est là, comme un éclat dans ton esprit, te rendant fou. C’est ce sentiment qui t’as mener à moi. Sais-tu de quoi je parle ?»

    Neo: «La Matrice ?»

    Morpheus: «Veux tu savoir ce qu’elle est ? La Matrice est partout, tout autour de nous. Même à cet instant dans cette pièce. Tu peux la voir quand tu regardes par la fenêtre, ou quand tu allumes ta télévision. Tu peux la sentir quand tu vas au travail, quand tu vas à l’église, quand tu pais tes taxes. C’est le monde qui a été superposé devant tes yeux pour t’aveugler de la vérité.»

    Neo: «Quelle vérité ?»

    Morpheus: «Que tu es un esclave Néo, comme tout le monde, tu es né esclave. Né dans une prison que tu ne peux ressentir ou goûter ou toucher. Une prison pour ton esprit. Malheureusement personne ne peut te dire comment est la Matrice. Tu dois le voir par toi même.» «C’est ta dernière chance. Après ça, il n’y aura pas de retour en arrière possible. Tu prends la pilule bleu (placebo), l’histoire s’arrête, tu te réveilles dans ton lit et crois ce que tu as envie de croire.» «Tu prend la pilule rouge, tu restes dans le monde des rêves et nous descendons au fond du terrier du lapin blanc.»

    «Rappelle-toi, tout ce que j’ai à t’offrir n’est que la vérité, rien de plus.»

    https://t.me/Alliance_Evolutionnaire/239

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  5. 🔆 CHRONIQUE ÉVOLUTIONNAIRE 🔆
    🕊 LA 5e DIMENSION

    Que font les personnes qui ont atteint la 5ème dimension ?

    1. Elles ne peuvent plus regarder la télévision.

    2. Pour elles, la compétition n’a plus aucun sens.

    3. Elles savent que cette 5ème dimension n’est pas un lieu précis mais plutôt une fréquence. (vibratoire)

    4. Elles n’ont plus peur de l’inconnu. Elles savent que le monde physique fait partie de la Nature et que le paranormal l’est aussi.

    5. Elles savent que le diable n’existe pas. Mais que c’est un égrégore immense alimenté par l’orgueil, l’égoïsme, l’avidité, la peur et les illusions.

    6. Elles veulent être seules mais lorsqu’elles sont avec les autres, elles souhaitent l’être entièrement.

    7. Elles savent qu’elles ont un but dans la vie et font tout pour y arriver.

    8. Elles ont compris que gagner dans la vie ne signifie pas être riche, ni écraser les autres pour démontrer qu’elles sont les meilleures.

    9. Elles savent que gagner dans la vie s’est dépasser ses propres limites et ses peurs pour arriver en fin de vie avec un cœur qui bat dans la gratitude de ce qu’elles ont pu réaliser ou du moins tenter de réaliser.

    10. La nostalgie et la mélancolie ne les atteignent plus car elles savent qu’un jour, elles pourront à nouveau revoir les personnes qu’elles ont aimé dans la vie.

    11. Elles sont prêtes et veulent contribuer à aider l’Âme du Monde à avancer. Cela fait partie de leur mission lors de leur passage sur Terre.

    — Alejandro Jodorowsky —

    https://t.me/Alliance_Evolutionnaire/240

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  6. Covid 19 : où en est-on dans le monde – ZOLA – 07/03/22 ► https://www.covid-factuel.fr/2022/03/07/covid-19-ou-en-est-on-dans-le-monde/

    Il est difficile de comparer la situation d’un pays à l’autre, tous évoluant de manière différente. Même chose d’un continent à l’autre. L’observation globale de plus de deux ans d’épidémie et de traitements permet toutefois de dégager certaines tendances.

    OMICRON

    Nombre de cas :

    Dernier variant, omicron. Où en est-on ? C’est la fin d’une vague correspondant à ce variant né en Afrique du Sud, pays in fine peu touché comparé aux pays occidentaux. On peut constater que les pays les plus touchés, sont ceux que l’on regardait le plus, car à la pointe concernant la vaccination contre ce virus. Dans ces pays, la vague omicron a été, en matière de cas, 5 à 10 fois plus forte que celles des variants précédents.

    Hormis ces pays que l’on suit de près depuis des mois, qu’en est-il à l’échelle du globe ?

    On constate, que malgré les décalages dans le temps pour des raisons géographiques de chaque vague, on retrouve plusieurs vagues distinctes et non une fusion de ces vagues. Omicron aura très clairement engendré plus de 4,5 fois plus de contaminations que les autres variants à l’échelle de la planète.

    Décès :

    Concernant la létalité de ce variant ? Nous constatons un quart de décès en moins comparé aux autres vagues, pour 4,5 fois plus de cas. Cela confirme une chose : à l’échelle mondiale, omicron est 5 fois moins létal que tous les autres variants depuis deux ans, ce sur plusieurs centaines de millions de cas.

    Cette constatation à l’échelle de la planète, est une moyenne, qui cache des disparités, parfois importantes, certains pays ayant mieux réussi que d’autres. Les mortalités semblent concentrées dans les pays les plus riches, et surtout les plus médicalisés, avec de meilleurs accès aux soins.

    Pour omicron, cette baisse de mortalité de 4,5, se décline dans chaque pays avec un rapport de 1 à 10 si on les compare, en défaveur des pays occidentaux. (Je n’ai pas mis l’Amérique du Sud sur ces courbes pour ne pas surcharger, elle est intermédiaire, entre la moyenne Monde et Amérique du Nord/Europe.

    Ceci pour Omicron. En en ce qui concerne le cumul mortalité depuis plus de deux ans : les pays occidentaux ont 3 à 4 fois plus de décès que la moyenne mondiale, dix fois plus que l’Asie et l’Afrique. Il faut tempérer ces chiffres en fonction du nombre de personnes à risques, 6 fois moins en Afrique (plus de 65 ans), 3 fois moins en Inde, ce qui ramène à 2 à 3 fois plus de décès, et non 10 fois plus, à population à risques égale (mais aussi avec peu d’accès aux soins).

    VACCINATIONS

    Avec ce panel de 10 milliards d’individus, peut-on avoir des tendances concernant le rôle de la vaccination ?

    Sur la diffusion :

    Première constatation écrasante : au 31 décembre 2021, 9,3 Milliards de doses avaient été administrées, et 50% de la population mondiale avait reçu 2 doses ou plus. Cela n’a pas empêché, à partir de cette date, d’avoir une vague 4,5 fois plus intense que les précédentes !

    Et si on reprend les cas par pays, on constate que les pays les plus vaccinés sont ceux qui ont le plus de cas, et inversement.

    On ne pourrait mieux démontrer l’inefficacité de la vaccination, en ce qui concerne la diffusion de l’épidémie. Normal quand on vaccine avec un vaccin élaboré avec une souche qui n’existe plus depuis deux ans. C’est comme si pour la grippe saisonnière, on vaccinait avec un vaccin vieux de 2 ans, alors qu’on le fait avec la ou les souches à venir.

    Ceci pour la diffusion, mais qu’en est-il en ce qui concerne la protection des formes graves, mortelles ?

    Sur la mortalité :

    Année 2020, sans vaccins : 1,91 Millions de morts

    Année 2021 avec grande campagne vaccinale, jusqu’à 50% de double dose : 3,61 Millions de morts, soit presque le double.

    Année 2022, après 9,3 Mds de doses : 0,56 Millions de morts en 3 mois, soit retour aux chiffres de 2020, pour un variant, nous l’avons vu, 4,5 fois moins létal que ses prédécesseurs.

    L’effet sur les cas graves, à l’échelle mondiale, n’est pas retrouvée dans ces chiffres qui concernent 8 milliards d’individus. Pire : mieux protégés, les décès augmentent avec un variant moins létal ! Comme si les vaccins augmentaient la mortalité ! Paradoxal. Pourtant dans chaque pays, on nous explique, chiffres à l’appui, qu’il y a moins de formes graves. Le problème est qu’à l’échelle mondiale, une addition de chiffres négatifs ne peut donner un chiffre positif ! Nos statistiques sont biaisées, car les chiffres mondiaux, sont là, incontournables.

    Ces anomalies apparaissent de plus en plus dans les publications, comme le montrent les dernières. Ainsi au Royaume Uni, actuellement, les non-vaccinés représenteraient 28% de la population, 22,4% des positifs, 23,1% des hospitalisations, et 10,1% des décès.

    Source ► https://pgibertie.com/

    Mêmes constatations en Islande :

    Avec la disparition progressive des hospitalisés touchés par le variant delta, une réalité différente apparaît. Avec le delta, les chiffres publiés (fiables ?) semblaient donner un petit avantage aux vaccinés, maintenant que nous n’avons que de l’omicron, la donne change, surtout pour les plus de deux doses : deux fois plus d’hospitalisations, deux fois plus de décès que les non vaccinés.

    REVIREMENT BRUTAL

    Ces chiffres expliquent sans doute une chose que personne n’a remarqué : un revirement brutal de la politique de vaccination dans le monde entier, occulté par les autorités.

    Alors que nos pays ont commandé des milliards de doses, pour injecter 5 à 6 fois toute la population, alors que fin 2021, début 2022, on nous expliquait que s’il y avait des échecs, c’est parce qu’il fallait une troisième dose, qui protégerait à 95% en 48 heures. On nous a expliqué qu’il fallait aussi vacciner les enfants, quasiment jusqu’aux nourrissons. On a pris des mesures pour pousser à cette troisième dose en réduisant la durée de validité de la seconde dose de 6 à 4 mois, pour que 5 millions de personnes se vaccinent avant ou à partir du 15 février, etc,.. et d’un coup, plus rien ! Quand je ne dis plus rien, c’est plus rien : on a quasiment arrêté de vacciner, avec des doses journalières divisées par 10, correspondant à celles de mi-janvier 2021, au tout début de la mise en place des vaccinations.

    Il y a une discordance totale entre le discours des autorités il y a moins de 2 mois, et ce qui est appliqué sur le terrain. Pourtant, même si on le souhaite, nul ne peut dire que c’est la fin de l’épidémie. Nous avons connu 3-4 vagues par an, 2022 est à peine commencé et n’en a connu qu’une. On n’entend plus ce discours poussant à se faire vacciner pour empêcher ou se protéger de la prochaine vague, discours tenu tout au long de 2021. Etrange. Aveu d’inefficacité ? Il serait temps ! Trop d’effets secondaires qui apparaissent ?

    A ces résultats et avec les effets secondaires de plus en plus difficiles à cacher, il y a aussi une troisième cause pouvant expliquer ce revirement des deux derniers mois, que l’on cherche aussi à cacher pour ne pas perdre la face : les révélations du dossier Pfizer. En effet, la CDC livre petit à petit le dossier. Il refusait de le faire, la justice américaine l’y oblige, et le résultat n’est pas triste. On y apprend que les effets secondaires ont été cachés, que Pfizer faisait les contrôles à la place du CDC, reproche que je fais déjà ici depuis plusieurs mois à propos des agences sanitaires. Je les ai souvent comparées avec la FAA et l’affaire du Boeing 737 Max, où Boeing faisait lui-même les opérations de certification. On a vu le résultat, et ici cela s’est passé de la même manière, avec quelques millions de dollars passant d’un organisme à l’autre pour cela.

    Des têtes vont tomber. Vous verrez qu’ensuite, cela sera celles de ceux qui ont bloqué tout autre traitement.

    https://www.covid-factuel.fr/2022/03/07/covid-19-ou-en-est-on-dans-le-monde/

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    1. Commentaire de Joumard Ivan ► https://www.covid-factuel.fr/2022/03/07/covid-19-ou-en-est-on-dans-le-monde/#comment-115149

      Rions un peu !
      J’ai reçu ces jours-ci ce courriel :
      Le 03/03/2022 à 13:15, COVID-19 VACCINATION a écrit :
      > À votre attention,
      >
      > Vous recevez ce mail ce jour-ci afin de vous tenir informer qu’il existe un dernier vaccin dont vous n’êtes pas à jour. Veuillez nous répondre pour que nous puissions vous indiquer la date à laquelle vous devrez vous faire vacciner et les détails nécessaires.
      >
      > Cordialement,
      > Thierry Breton
      > Responsable de la Task Force Vaccination
      > général adjoint de la santé
      J’ai donc répondu :
      Monsieur

      Permettez moi de vous dire que d’une part je ne vous connais pas et d’autre part je ne pense pas vous avoir communiqué mon adresse.
      Je vous signale que c’est vous qui n’êtes pas à jour : je n’ai même pas la première dose … et m’en porte fort bien.

      Quand j’ai lu votre prose, j’ai cru à un canular ou à un envoi frauduleux, Parce que, excusez du peu, mais votre signature « Responsable de la Task Force Vaccination général adjoint de la santé », c’est peu dire qu’elle frôle le ridicule, même pour quelqu’un issu de l’élevage hors sol de l’Ue.

      Mon épouse et moi-même avons éclaté de rire ! Eussiez-vous été d’origine anglo-saxonne, alors j’aurais accepté en souriant votre franglais, Mais avec un nom et un prénom bien franchouillards, désolé, mais même les bobos ont abandonné ce langage fleurant bon la petite bourgeoisie qui espère péter plus haut que son cul !

      J’ai donc été faire un tour sur la toile et j’ai fait mon mea-culpa : vous n’êtes pas un petit délinquant !

      J’avais un temps envisagé de remplacer le « Monsieur » protocolaire par « Mon général ».
      Mais un général commandant à une armée de seringues, ça la fout vraiment mal, même s’il n’est qu’adjoint.

      Cher monsieur, je suis désolé de ne pas avoir pu vous prendre au sérieux. Vous n’êtes qu’un fonctionnaire de plus employé par l’Ue avec l’argent de nos impôts, ce que d’autres nommeraient parasite, mais que je me garderai bien de faire, par politesse.

      Alors, bon vent, et à la prochaine épidémie !

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    2. Jean-Marie GLANTZLEN ► https://www.covid-factuel.fr/2022/03/07/covid-19-ou-en-est-on-dans-le-monde/#comment-115127

      Une interview du Pr Montagnier datant de 12 ans il parle du VIH, des manières naturelles de s’en débarrasser en épaulant le système immunitaire : l’eau, la nourriture, les anti-oxydants, l’hygiène… Prémonitoire lorsqu’il parle de Fauci et des vaccins ? Non, la science et le bon sens

      Nobel Laureate Montagnier: HIV Can Be Cleared Naturally – House of Numbers – 1er décembre 2009

      LUX – Hommage d’un presque RIEN en version PDF N° 120222 de 3 pages – Complétée & Enrichie par JBL1960 & RIENNE de ♥ ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2022/02/lux-hommage-dun-rien-et-dune-rienne-a-une-etoile-12-02-2022.pdf

      Cliquer pour accéder à lux-hommage-dun-rien-et-dune-rienne-a-une-etoile-12-02-2022.pdf

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  7. De la vaccinolâtrie à la PSYOP ukrainiste occidentale VIA LME par Sébastien Renault.

    Après des années d’expérimentation dans les laboratoires pathogènes de classe 4, un tout nouveau coronavirus a finalement été mis au point et introduit intentionnellement fin 2019. Les criminels qui ont présidé à son introduction ont fait en sorte qu’il se répande sur toute la planète. Ils ont, pour ce faire, mis en œuvre les moyens coercitifs les plus aptes à contrecarrer le développement d’une immunité collective naturelle (autrement dit, d’une immunité stérilisante), pour finalement imposer aux populations des injections expérimentales qui les empêchent désormais de développer une immunité durable contre le SRAS-CoV-2.

    Les concepteurs de ce virus artificiel sont parvenus à flouer le monde entier par la promotion d’une grande peur mystificatrice pratiquement inédite, avant d’encourager tous les grands pays civilisés, si fiers de leur « haute conscience » et de leur primauté scientifique, à adopter des politiques de confinements… antiscientifiques ! Ces confinements unilatéraux n’ont fait que renforcer la virulence pathogénique et mutationnelle du SRAS-CoV-2, tout en assurant une destruction systématique des économies des nations dans la foulée. Nous en subissons amèrement les conséquences aujourd’hui, et nous n’avons encore rien vu.

    Les citoyens libres et conscients de la systématisation politico-médiatique de la contrevérité peuvent certes continuer de lutter contre ce mensonge métastasé en démontrant, preuves en main, que de nombreuses personnes « vaccinées » (y compris des enfants) sont aujourd’hui hospitalisées des suites d’une soudaine thrombose ou myocardite ; que d’autres sont atteintes du syndrome de Guillain Barré, entre autres émergences subites de troubles neurologiques « inexpliqués » ; que d’autres sont décédées des suites d’une crise cardiaque quelques jours, parfois même tout juste quelques heures après avoir été inoculées (raison inavouée pour laquelle l’injection Johnson & Johnson a désormais été suspendue) ; que ces thérapies géniques expérimentales ne protègent pas contre la transmission du SRAS-CoV-2 ; qu’elles ont déjà tué un nombre par trop élevé de personnes qui n’avaient pas le moindre besoin de se faire « vacciner », etc…

    Pour les psychopathes à la tête de nos gouvernements, cela n’a pas la moindre espèce d’importance. C’est la technocratie qui décide, non pas la réalité. Le scientisme, en lieu et place de la science et des faits. Le modèle collectiviste de gouvernement qui s’impose aujourd’hui au sein de nos États sécuritaristes ne tolèrera aucune résistance de la part de complotistes et autres camionneurs de la liberté, puisqu’il repose sur le « consensus » scientifique (comprendre, encore une fois, scientiste). Ce dernier a parlé. Fin du débat.

    Peu importe que les privations de liberté n’aient aucune justification sanitaire. Les besoins politiques de la technocratie en marche justifient à eux seul l’autoritarisme en usage, pour introduire les démocraties dans l’ère nouvelle du post-État de droit. La criminalisation des mouvements de protestation contre la ségrégation sociale et les restrictions « sanitaires » injustifiées s’impose donc d’elle-même, et les forces armées de ce nouvel ordre de la république totalitaire et vaccinolâtre ont bel et bien été au rendez-vous de la répression arbitraire contre les droits et les libertés inaliénables des peuples.

    Le déclenchement précipité des hostilités en Ukraine a fait disparaître presque toute allusion médiatique à la gravité de la crise sanitaire qui avait pourtant occupé sans relâche les devants de la scène évènementielle depuis mars 2020. En passant du matraquage covidiste à celui du conflit d’opérette atlantico-russe (mené en Ukraine au profit des intérêts du mondialisme), nous sommes soudainement passés de cet ordre de la vaccinolâtrie d’État à celui de la propagande occidentale de guerre, pour procurer une échappatoire « providentielle » aux principaux traîtres envers les nations, à commencer par les dirigeants d’États ayant présidé à la mise en place de toutes les mesures directement impliquées dans la mort de millions de personnes depuis mars 2020 – suppression des traitements précoces, confinements ayant décimé les petites entreprises et profité aux milliardaires du Forum économique mondial, injections expérimentales dangereuses et inefficaces, passes sanitaires et « vaccinaux », etc.

    De leur côté, ces mêmes dirigeants occidentaux se font aujourd’hui les messagers unanimes de la liberté du peuple ukrainien opprimé sous la pression impérieuse de la féroce Russie poutinienne. La veille encore, on les voyait porter atteinte aux libertés fondamentales de leurs propres compatriotes « non-vaccinés » à grands coups de promulgations exécutives de régimes de restrictions et de permissions d’essence dictatoriale… Quelle cabale d’hypocrites !

    Il fallait donc détourner l’attention des populations en voie de révolte plus que justifiée face à la répétition des initiatives étatiques liberticides et à l’aggravation corrélative de leur appauvrissement économique inéluctable. Il fallait donc laisser la vedette à la « guerre en Ukraine », que les forces de l’ingérence et de la suprématie économique étasunienne en Europe et en Eurasie n’ont eu aucune difficulté médiatique à présenter comme une invasion du territoire ukrainien par la Russie conquérante de Vladimir Poutine.
    Opération dénazification de l’Ukraine et logique interne de ce conflit

    Le coup d’envoi des opérations de l’armée russe le 24 février dernier en Ukraine a été présenté (à un monde occidental tristement accoutumé à l’acceptation des fabrications narratives de ses médias s’alignant systématiquement sur la logique de coopération militaire, politique et économique entre les États-Unis et l’Europe occidentale) comme une agression criminelle expansionniste de la part de la Russie dirigée par un chef d’État mégalomane et dictatorial en la personne de Vladimir Poutine. Lors de son intervention télévisée de ce même 24 février1, Poutine n’avait pourtant pas manqué d’afficher clairement les ambitions légitimes de la Russie justifiant son double objectif de démilitarisation des forces armées ukrainiennes néo-nazifiées et de protection des civils contre les manœuvres sous faux drapeau du régime pro-atlantiste basé à Kiev. Rappelons que ce dernier mène depuis huit ans une guerre contre la population d’origine russe installée dans l’est de l’Ukraine (avec des pertes qui se comptent aujourd’hui à plus de 10 000 morts), en toute impunité et sans soulever la moindre indignation de la part de l’Occident. Le seul « crime » commis par ces pauvres gens, oubliés par l’unanimisme pacifique à la sauce occidentale, réside dans leur refus d’accepter la légitimité du coup d’État atlantiste de février 2014.

    La Russie ne demande que le respect des limites qu’il est juste et nécessaire d’imposer à l’essor euroasiatique de l’OTAN. Ce respect n’implique rien d’autre qu’un retour de ce dernier à la configuration plus restreinte de sa zone d’influence, telle qu’elle existait en 1997. Les forces de monopole pro-occidental cherchent depuis des années à adjoindre l’Ukraine à leur zone de contrôle et de suprématie géo-économique. L’intégration en 25 ans de quatorze pays au sein des « frontières » toujours plus englobantes de l’OTAN atteste qu’elle n’a jamais cessé de poursuivre un expansionnisme autocratique visant à encercler progressivement la chasse gardée, à bon droit, de l’ours russe. La résistance de celui-ci est parfaitement légitime, au sens rationnel du terme (d’aucuns protestent haut et fort qu’elle contrevient violemment au droit international pénal, sans pour autant se soucier des infractions régulières de ce même droit international par l’empire occidental aux quatre coins de la planète), comme l’est sa revendication de voir l’OTAN renoncer à son assimilation de ces quatorze pays à proximité de ses frontières.

    Vladimir Poutine a par ailleurs clairement énuméré quatre mesures qu’il met en demeure l’oligarchie ukrainienne pro-occidentale dirigée par Volodymyr Zelensky d’adopter de toute urgence pour éviter les conséquences d’une action militaire beaucoup plus sévère et radicale de la Russie. Elle doit :

    reconnaître la Crimée et Sébastopol comme territoires russes ;
    renoncer officiellement à adhérer à l’OTAN (conformément au projet d’accord soumis par la Russie aux États-Unis et à l’OTAN en décembre 2021) ;
    négocier un accord avec les États sécessionnistes du Donbass, les républiques populaires de Donetsk (RPD) et de Lougansk (RPL) dont l’indépendance a été officiellement reconnue par Poutine le 21 février dernier ;
    consentir à sa propre démilitarisation (désarmement).

    Notons d’ailleurs, à l’encontre du désaveu ou simplement de la sourdine complice des grands médias occidentaux sur cette question simplement fondamentale pour l’intelligence du conflit actuel et de ses enjeux géostratégiques immédiats, que la présence de milices de combattants néonazis2 et de djihadistes tchétchènes aux côtés des forces armées nationalistes ukrainiennes, particulièrement actifs à l’intérieur du Donbass séparatiste (dont la population majoritaire est acquise aux actions menées par la Russie), est un fait amplement démontré.

    Ce qui se voit sur le terrain, loin des distorsions habituelles du narratif si cher aux amateurs occidentaux de fausses nouvelles atlantistes et de diabolisation hollywoodienne de la Russie, c’est que les forces gouvernementales ukrainiennes ne font pas preuve d’une résistance efficace depuis le commencement des hostilités ouvertes. Leurs diverses formations réparties dans plusieurs zones du Donbass, y compris les gardes-frontières, ont très vite déposé les armes face au déploiement des forces armées de la Fédération de Russie. Celles-ci ont montré leur résolution dès le début du conflit en menant une frappe étendue à travers l’entièreté du territoire ukrainien, neutralisant ses infrastructures militaires au moyen d’armes de haute précision. Dans le même élan d’actions ayant pour objectif le démantèlement des équipements de défense des forces nationalistes3, elles ont encore pris le contrôle de leurs installations nucléaires, dont la centrale de Tchernobyl.

    Dans la foulée des avancées de l’armée russe, les forces des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk ont amorcé leurs propres percées offensives et libéré plusieurs villes et agglomérations de l’oblast de Louhansk.

    L’administration de Zelensky se voit donc déjà acculée, sans recours stratégique réaliste face à la progression inéluctable de son ennemi beaucoup plus intelligent et efficace. Ne lui reste plus que la technique du bourrage persuasif de la désinformation en continu et le recours à des actions terroristes dirigées contre les infrastructures civiles, pour pouvoir en accuser les « envahisseurs » russes par l’entremise des médias occidentaux, toujours trop heureux de se prêter à la répercussion du narratif propagandiste en provenance de Kiev.

    Les puissances occidentales n’ont évidemment rien à gagner en Ukraine, si l’on considère ce pays et ses propres problèmes internes en tant que tels. Ils ne s’en servent qu’à des fins stratégiques de pression dirigée contre la Russie, exutoire diabolisé de l’Occident.

    Le passage d’une crise à une autre n’a certes rien d’étonnant. Et l’on peut parier, sans grand risque de tomber à côté de la plaque, que le réveil d’une guerre latente (menée pour des intérêts aussi bien russes qu’atlantistes), au moment précis où la propagande sanitaire commençait à s’enrayer, n’est pas du tout un accident.

    Les gens aujourd’hui si indignés en Occident seraient, encore une fois, bien inspirés de se pencher tant soit peu sur ce qu’a été la réalité des huit dernières années de bombardements réguliers des provinces de l’est de l’Ukraine (dans le Donbass). Ces crimes ne sont pas le fait des forces russes, mais bien des forces néo-nazies pro-atlantistes de l’Ukraine fanatiquement russophobe. Réalité systématiquement occultée par les grands médias propagandistes américano-européistes.

    Si l’on regarde une carte, les États-Unis ont maintenant amené leur crise des missiles de Cuba aux portes de la Russie, tout cela au nom de la « liberté » et de la « paix ». Malheureusement, c’est toujours la même formule et toujours les mêmes techniques de fabrication du consentement et du soutien unilatéral du monde occidental à une certaine conception de la guerre, de la justice, et de la paix. Parce qu’une grande partie des gens en Europe occidentale comme aux États-Unis sont parfaitement inconscients de la nazification de l’Ukraine d’obédience atlantiste, des crimes qu’ils ont commis avec le soutien des États-Unis, de la Grande-Bretagne et des pays de l’Union Européenne, ils tombent dans le panneau de la russophobie à la mode et d’une certaine hystérie dénonciatrice à son endroit. Sans parler d’un faux sens de supériorité morale, incarnée, comme toujours, par l’engeance politico-médiatique et le monde du divertissement (vedettes hollywoodiennes et sportives, entre autres donneurs de leçon patentés).

    On se demande ce que nombre d’occidentaux, au comble de l’indignation par rapport aux récents développements en Ukraine et rivalisant de « signaux vertueux » sur les réseaux sociaux, pensent (s’ils y pensent encore) des invasions étasuniennes de l’Irak et des curieux bombardements (anglo-étasuniens et français), surtout en Libye et en Syrie, pour ne parler que des dix ou onze dernières années… Évidemment, pas de tour Eiffel éclairée aux couleurs de ces nations à l’époque…

    Ce qui n’implique nullement qu’il faille verser dans un contre-soutien unilatéral envers Vladimir Poutine en tant que tel. Nous n’ignorons pas les accusations qui rôdent autour de Poutine, telles que ses amitiés douteuses avec plusieurs oligarques du monde de la finance russo-internationaliste, ou encore les rumeurs d’empoisonnement de certains de ses opposants politiques et critiques4. Mais elles n’invalident en rien la pertinence historique, géopolitique et même civilisationnelle de son raisonnement, qui va bien au-delà de ses intérêts personnels, dans les décisions qu’il vient de prendre, et qui attestent de son envergure comme chef d’État incarnant en ce moment le destin et la mission historique de son pays, voué à incarner la résistance salutaire pour tous les peuples du monde à l’hégémonie mondialiste incarnée par l’impérialisme des forces de l’OTAN.

    Quoi qu’il en soit réellement, Poutine est parfaitement dans son droit de chef d’un État souverain de réclamer expressément que soient respectées les limites de l’influence de l’OTAN (à défaut de pouvoir s’en débarrasser complètement) ; et qu’en conséquence, fin soit mise à son expansionnisme sauvage à l’est visant non seulement à s’annexer l’Ukraine, mais encore à poursuivre son implantation effrénée de bases militaires étasuniennes à proximité des frontières russes avec l’Ukraine à l’ouest, avec la Biélorussie, la Lettonie, l’Estonie et la Finlande à l’ouest-nord-ouest, et avec la Norvège au nord-ouest.

    Dans la mesure où beaucoup de nos contemporains d’Amérique et d’Europe occidentale restent cantonnés dans un manichéisme inexorable, le discours que nous tenons ici cours sans doute le risque de susciter certaines réactions virulentes qui n’ont pourtant pas lieu d’être.

    Ce que nous disons, en substance, c’est qu’il n’est nullement question, de la part de Poutine, quoi que l’on pense du personnage, d’entreprendre quelque restauration de l’empire russe.

    Les forces mondialistes à l’œuvre en Ukraine sont en train de nous vendre un conflit sous la forme d’une opération de manipulation psychologique et dés-informationnelle. N’est et ne sera autorisée qu’une seule façon de considérer la question (comme avec la crise sanitaire).

    Si la guerre froide est terminée, l’OTAN n’a pas besoin d’étendre son influence en Eurasie. Au contraire, sur la base des nouvelles réalités politiques, les institutions de la guerre froide (y compris la Banque mondiale et le FMI) doivent être supprimées pour s’adapter au nouveau système international… lequel est multipolaire (et inclut inévitablement la Russie) et non unipolaire, hégémonique, à l’américaine.

    Les guerres sont tragiquement inévitables dans le cadre du système capitaliste, et ce sont donc des guerres menées au nom de l’argent. C’est ce que font les Mammonistes : ils orchestrent les guerres et accroissent leur richesse sur le dos de la chair à canon. Et c’est bien sûr ce qui est cruellement réel et tragique dans ces guerres mises en scène par ceux qui vénèrent le plus ardemment le « dieu » qui s’érige devant leurs yeux insatiables par l’entremise de la planche à billets, à savoir : le sacrifice de vies humaines sur l’autel du Capital. Les « intérêts occidentaux » se basent strictement sur les principes de la logique du Capital. Ce pourquoi les élites représentatives de ces intérêts sont fatalement des adeptes et des adorateurs de Mammon. Et leurs guerres sont parties intégrantes du culte qu’il leur faut rendre à cette déité.

    Aux dernières nouvelles5, les pontes du département de la Défense des États-Unis se préparent à allouer une partie substantielle6 des fonds d’aide humanitaire et militaire promis par l’administration Biden à l’Ukraine atlantisée, en vue d’assurer une formation paramilitaire et à fournir des armes à quelques 500 000 réfugiés désormais installés dans les régions frontalières des pays limitrophes de l’Ukraine.

    Rien de nouveau de la part du complexe militaro-industriel occidental et des stratagèmes pas très réguliers de l’OTAN dans diverses régions du monde, surtout celles qui regorgent de ressources énergétiques naturelles comparativement peu abondantes du côté des terres atlantistes – outre qu’elles sont moins accessibles dans ces pays où, progressisme écologiste oblige, on proscrit l’exploitation du gaz de schiste.

    Les États-Unis se sont déjà tournés vers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, territoires également riches en matières premières énergétiques, comme sources potentielles de nouveaux approvisionnements en gaz naturel. Fin janvier, Biden a convoqué un « sommet bilatéral » avec Tamim ben Hamad Al Thani7, l’émir du Qatar, l’un des plus grands fournisseurs de gaz naturel au monde, en vue de déterminer si ce dernier pourrait être en mesure, le cas échéant, de compenser la perte d’approvisionnement en gaz russe de l’Europe, principalement en ce qui concerne les besoins de l’Allemagne. Les réponses du Qatar n’ont laissé aucun doute sur les difficultés d’une réorientation du marché mondial de l’énergie en réponse au conflit désormais entériné entre l’Ukraine et la Russie.

    Le déclenchement armé de ce conflit intensifie donc les spéculations occidentales visant à déterminer des sources territoriales d’énergie alternatives, notamment de gaz naturel, alors même que la Russie n’a pas, à ce jour, coupé ou réduit ses exportations énergétiques.
    Rumeurs d’armes biologiques…

    Alors que les États-Unis prévoient d’accroître leur présence militaire en Europe de l’Est pour assurer la protection de leurs alliés contre les « agressions de la Russie », celle-ci a récemment réitéré ses accusations portant sur la présence de laboratoires et de programmes de bio-ingénierie sécuritaire maintenus et financés par le département de la Défense des États-Unis sur le territoire ukrainien. Elle a diffusé un certain nombre de documents faisant état de la préparation d’une attaque aux armes biologiques dans le Donbass, préparation qui impliquerait donc Kiev et le Pentagone, lequel agit en Ukraine à travers le Defense Threat Reduction Agency (DTRA)8 dont les onze laboratoires ukrainiens sont maintenus dans le cadre de son « Programme de réduction des menaces biologiques » (le Biological Threat Reduction Program, ou BTRP9).

    Quoiqu’on pense de ces accusations et de l’attestation de leur véracité, imaginons, ne serait-ce qu’un instant, de renverser la situation – puisque l’existence de ces laboratoires étasuniens sur sol ukrainien n’est aucunement en doute – en plaçant une dizaine de laboratoires et de programmes de bio-ingénierie sécuritaire maintenus et financés par le ministère de la Défense de la Fédération de Russie sur les territoires mexicains et canadiens, à proximité des frontières étasuniennes.

    D’aucuns ont d’emblée crié à la pure et simple « cyberattaque de désinformation russe » répercutée sur les réseaux sociaux10, certes en soi tout-à-fait possible. D’autres11 vont simplement jusqu’à dénier l’existence de ces laboratoires américains biotechnologiques basés en Ukraine (à Kiev et à Odessa) et en Géorgie (à Tbilissi), alors même que leur existence, encore une fois, ne fait pas l’objet du moindre doute. La seule question qui fasse aujourd’hui litige interprétatif est de savoir ce qui s’y passe exactement. Le fait qu’ils soient implantés en terres ukrainiennes et géorgiennes nous semble y répondre au moins partiellement…

    Combien de projets le DTRA finance-t-il dans des régions du monde, à commencer par l’Ukraine, où les intérêts géostratégiques de l’OTAN entrent avant tout en ligne de compte ? La question vaudrait la peine d’être explorée en détails, ce que nous ne ferons pas ici.

    Ce qui est certain, c’est que l’ambassade des États-Unis en Ukraine a désormais retiré de son site Internet tout élément documentaire en rapport avec les laboratoires en question12.

    Les allégations de la Russie relatives au développement de programmes d’armes biologiques et chimiques à proximité des frontières russes ont donc certes été qualifiées d’accusations « complotistes » par les détenteurs occidentaux de toute vérité sur ce que sont ou ne sont pas les complots. En bref, nous sommes priés de croire que les seuls véritables complots sont ceux dont les méchants Russes sont les auteurs, à l’encontre des forces occidentales du bien.

    Pourtant, les façonneurs et les contrôleurs du narratif autorisé eux-mêmes ne peuvent plus aujourd’hui qu’admettre que les recherches menées dans les laboratoires de niveau de confinement 4 de l’Institut de virologie de Wuhan en Chine, recherches portant sur le gain de fonction de virus semblables au SRAS, ont été financées par les États-Unis13. Et qu’elles ont directement impliqué, entre autre figures de proue virologiques et membres de l’OMS telles que Anthony Fauci le Fausti (directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, de son acronyme NIAID), James Le Duc (directeur du Galveston National Laboratory, ou GNL), et Peter Daszak (Président d’EcoHealth Alliance et employé de la CIA14), dans le but désormais avoué15 de perfectionner (au sens de maximiser) leur pathogénicité.

    Serait-il donc si inconcevable de retrouver les États-Unis derrière le financement de projets secrets de développement d’armes bio-pathogéniques du même acabit dans d’autres régions du monde, dont l’Ukraine hostile à la Russie et bénéficiant du soutien de l’OTAN ? Soyons sérieux.

    À défaut pour l’heure de pouvoir vérifier les allégations russes, nous en resterons à ce que nous savons. À commencer par le simple fait que l’armée ukrainienne nationaliste bénéficie de drones de combat turcs de la gamme Bayraktar (de types TB2 et Akıncı) conçus et développés par le fabricant turc Baykar. Qu’elle les a déployés dans le Donbass16, en dépit des engagements de Kiev à mettre en œuvre et à respecter le cessez-le-feu conclu dans le cadre des accords de Minsk. Kiev a également négocié avec la Turquie la production de drones supplémentaires qui, selon le ministre ukrainien de la défense, Oleksiy Reznikov, auraient été livrés il y a quelques jours17.

    Les drones turco-ukrainiens Bayraktar TB2 ne sont pas les seuls à patrouiller au-dessus de la ligne de contact de l’est ukrainien séparatiste. À côté des avions de reconnaissance et de combat américains, des drones étasuniens survolent également la même région, avec les meilleures intentions du monde, n’en doutons pas un instant…

    Une offensive aux armes chimiques ou biologiques a-t-elle été planifiée par Kiev et ses partenaires américains par le biais de la DTRA ? En l’état actuel des choses, nous ne pouvons en être assurés. Ce que tiennent pour attesté les sources russes de ces accusations, c’est que l’armée ukrainienne aurait dernièrement procédé à la configuration ajustée de ses drones Bayraktar Akıncı pour les équiper de conteneurs destinés à la diffusion de produits aérosols. Pourquoi faire ?

    De leur côté, les médias occidentaux s’enthousiasment pour ces drones18, qu’ils saluent un peu comme la fronde de la vaillante petite armée ukrainienne face au Goliath russe, instrument qui leur permettrait de contenir les forces terrestres de l’envahisseur en faisant notamment reculer ses formations de chars blindés. Délire hollywoodien de pure désinformation pro-ukrainienne, s’il en est. Parfait pour les consommateurs occidentaux de films de guerre quelque peu infantiles.

    Pour autant, puisque l’on parle ici de « rumeurs d’armes biologiques », que la guerre des mondialistes menée aujourd’hui en terres ukrainiennes ne nous fasse pas oublier la guerre des mondialistes menée contre des milliards de cobayes « vaccinés ».

    Le SRAS-CoV-2 lui-même n’est pas un coronavirus ordinaire, d’origine naturelle. Il est une concoction de modifications génétiques ajoutées à un virus artificiel, dont l’intentionnalité sous-jacente est d’accroître sa transmissibilité et sa virulence. Il est donc bien, techniquement parlant, une arme biologique. Celle-ci reste active aujourd’hui, et le restera pour de bon. La spicule (ou protéine S) qui caractérise le SRAS-CoV-2 (et que font produire les injections à ARN messager), comporte des séquences génétiques extraites du VIH19. C’est ce qu’avait notamment remarqué le professeur Luc Montagnier (1932-2022), paix à son âme.

    Quelle que soit l’origine exacte du SRAS-CoV-2 (qui, quand, comment ?), les composants similaires au VIH sont bien là, et nous savons pertinemment qu’ils endommagent l’immunité, qu’ils tuent les lymphocytes T et causent des séquelles cardiovasculaires et neurologiques très étendues.

    Avec l’imposition politico-financière des injections à ARN messager comme « solution » universelle à l’encontre de la diffusion du SRAS-CoV-2 et du développement de ses « formes graves », les abonnés au « vaccin » sont constamment réinjectés avec la version originale de la spicule de ce même virus. Leurs lignes de défenses lymphatiques finissent par être constituées de cellules dont les anticorps n’ont plus d’autres points focaux que cette seule protéine virale de pointe qui finit par s’intégrer comme un constituant propre des cellules instruites par ARN messager.

    Le mécanisme de base des injections anti-covid consiste à utiliser des nanoparticules lipidiques pour introduire dans les cellules des personnes dites « vaccinées » un ARN messager comportant d’étranges nucléotides (signature indéniable de l’origine artificielle du SRAS-CoV-2). Les cellules des victimes de ces injections produisent ainsi la protéine S, conformément aux instructions spécifiées par l’ARN messager. Contrairement à ce que les mécanismes d’immunité naturelle des cellules sont censés accomplir moyennant une chaîne très sophistiquée de signaux cellulaires, ces mêmes cellules ne génèrent ici aucun signal d’alarme supplémentaire. De telle sorte que leurs globules blancs restent pour ainsi dire « insouciants » et, par conséquent, incapables de prendre le relai immunitaire approprié pour s’attaquer à la production de ces protéines toxiques de surface, en vue d’en assurer l’anéantissement définitif.

    Avec l’administration de chaque nouvelle dose de ces produits d’ingénierie pharmaceutique prétendument « vaccinaux », les populations sont donc rendues de plus en plus vulnérables et prédisposées à la réinfection. Leur capacité de résistance face à l’émergence rapide de nouveaux variants s’en trouve drastiquement réduite. La déferlante de nouvelles contaminations en atteste depuis des mois, ce que la rhétorique de manipulation gouvernementale s’efforce toujours d’attribuer aux « non-vaccinés ».

    Mener un programme de « vaccination » de masse au milieu d’une pandémie n’avait évidemment aucun sens sur le plan virologique. Au cours d’une pandémie naturelle face à laquelle aucun vaccin n’a encore été mis au point, la plupart des gens sont naturellement contaminés par une version légèrement différente du même virus. L’organisme de chacun développe en conséquence une réponse immunitaire naturelle distincte, ce qui rend de plus en plus difficile une mutation du virus qui rendrait l’ensemble de la population vulnérable à une réinfection (le contraire même de ce à quoi nous assistons ces derniers mois). De cette façon, la pandémie finit par devenir un phénomène endémique, les gens ayant acquis une immunité naturelle diversifiée.

    Ce qui est le plus significatif dans la situation actuelle où des milliards de personnes ont été plusieurs fois injectées en l’espace d’un peu plus d’un an (pour certaines, jusqu’à quatre fois), c’est qu’elles semblent souffrir d’une immunité affaiblie et désorganisée20, que le virus semble apprendre à utiliser à son propre avantage (ce que l’immunité naturelle ne permet pas à un virus naturel de faire). Ce sont ainsi les mécanismes de l’immunité tant innée qu’adaptative (au plan tant humoral que cellulaire) qui semblent être aujourd’hui compromis chez de nombreuses personnes ayant reçu plusieurs injections de ces armes biologiques produits géniques expérimentaux.

    Nous nous retrouvons à présent avec des milliards de cobayes humains exerçant, par homogénéisation immunitaire induite par ces « vaccins » mondialistes, une forte pression immunitaire sélective dont la tendance est de favoriser l’émergence de variants échappant aux anticorps. Avec une immunité ainsi homogénéisée à une certaine échelle planétaire, les mutations permettant d’échapper à l’action des anticorps peuvent désormais trouver un avantage sélectif au sein d’une population vastement « vaccinée » – alors qu’elles n’auraient eu aucun avantage sélectif au sein d’une population naturellement immunisée. CQFD.

    À ce stade de développement de la grande tromperie sanitaire axée sur la solution « vaccinale », il n’est plus possible de cacher que l’expérimentation massive à coups d’injections à ARN messager capables d’induire une augmentation des anticorps facilitants, est un échec conséquent sur le plan de la prévention et de l’efficience immunitaire – puisqu’elle s’avère, au contraire, un grand succès sur le plan de la réduction immunitaire des populations.

    La crise Ukrainienne est certes arrivée à point nommé pour faire oublier à de nombreux esprits facilement emportés et captés par les vents bruyants de l’information médiatique en continu les ravages programmatifs cauchemardesques du covidisme institutionnel du post-État de droit. Covidisme institutionnel plus que jamais focalisé sur l’universalité « vaccinale ». Les conséquences de cette bio-ingénierie mondialisée vont de toute façon refaire surface, quoiqu’il arrive sur le champ de bataille de la guerre territoriale faisant rage aujourd’hui en Europe de l’Est. Nous étions soudainement passés de la vaccinolâtrie à la PSYOP occidentale en Ukraine. Soyez certains que nous retournerons en son temps à la vaccinolâtrie d’État, laquelle reste à l’œuvre aujourd’hui, avec ou sans notre vigilance.
    Conclusion : guerres et rumeurs de guerres dans un monde multipolaire

    Le but premier et express de la Fédération de Russie à travers ses actions militaires en Ukraine initiées le 24 février 2022, consiste à en finir avec cette main basse du régime ukro-nazie s’exerçant sur un pays mis au service des intérêts géostratégiques de l’Occident, après huit ans de guerre civile orchestrée par Washington et ses vassaux européistes à Bruxelles. De son côté, la grande opération psychologique de propagande américano-européiste consiste à rendre aveugle et à hystériser autant que possible l’opinion publique des populations occidentales, alors que Poutine et la Russie n’ont aucunement l’intention d’occuper l’Ukraine. Parler aujourd’hui d’ « occupation ukrainienne en violation directe de la charte des Nations Unies », parler de « crimes d’agression », de « crimes de guerre » et de « crimes contre l’humanité » de la Russie guerroyeuse en raison de ses dernières opérations dans le Donbass, comme on en parlait déjà lors des opérations russes d’annexion pacifique de la Crimée en mars 2014, relève strictement de la propagande pro-occidentale. Quant à la « solidarité européenne » unanime face à l’invasion d’un Poutine hitlérisé à l’envi par les médias de la honte, il vaut certes mieux en rire qu’en pleurer.

    Les appuis néo-nazis au gouvernement de substitution pro-atlantiste à Kiev et l’entretien de sentiments occidentaux hostiles à l’égard de la Russie reposent sur une intention délibérée de la part des États-Unis, de la Grande-Bretagne et des États européens de provoquer une confrontation avec la Russie poutinienne. Ceux qui en doutent encore, par refus délibéré ou par impuissance à appliquer leur regard politique au-delà de la polarisation conditionnée par la logique du paradigme opposant les élucubrations de la « gauche » et celles de l’ « extrême droite », se leurrent tout simplement. Préconisation pratique : oubliez les Mélenchon, les Zemmour et les Le Pen.

    Il conviendra également de ne pas perdre de vue que le territoire litigieux du Donbass est naturellement riche en gaz naturel et en pétrole, et qu’il était l’une des principales visées de la société ukrainienne d’énergie Burisma. La particularité politiquement chargée de Burisma, en matière de corruption se cachant au grand jour (collusion, blanchiment d’argent, évasion fiscale), tient évidemment à l’installation du fils de Joe Biden, le très dissolu Hunter Biden21 (au demeurant parfaitement incompétent dans le domaine de l’énergie), au sein de son conseil d’administration22. No further comment.

    En somme, le triste état actuel de l’Ukraine, ravagée par la guerre civile et par les opérations d’ingérence internationaliste multipolaire, est avant tout la conséquence d’une longue série de provocations de la part des forces de l’impérialisme atlantiste, comme la très bien mis en lumière le chef d’État de la Russie à l’occasion de ses dernières allocutions télévisées à l’adresse de son peuple et du monde entier : expansion de l’OTAN (premier instrument géopolitique de consolidation du monopole étasunien), expansion de l’Union Européenne à l’est, bombardement de la Serbie par l’OTAN, reconnaissance du Kosovo mais pas de la Crimée… Vladimir Poutine n’est certainement ni un imbécile, ni un personnage de théâtralité politique (ce que l’on ne peut évidemment pas dire de tous les dirigeants actuels en Occident, à commencer par les États-Unis). Et, nonobstant la propagande outrancière des principales puissances de l’expansionnisme occidental sans foi ni loi, la Russie a elle aussi des droits.

    En fin de compte, la synagogue de la « grande réinitialisation » satanique manipule ce système en profondeur, en exploitant des doléances parfois légitimes, voire en les fabriquant sur des critères à la fois historiques et culturels. L’objectif, peu mystérieux, étant de faire advenir les circonstances géopolitiques qui lui permettront d’utiliser les actions militaires de l’État russe pour servir les intérêts vampiristes du mondialisme insatiable. Ce pourquoi un grand nombre d’Occidentaux aujourd’hui, par trop facilement aveuglés, ne peuvent s’empêcher de tomber dans le panneau…

    Macron et ses consorts à Bruxelles, comparses de Washington, ne se soucient pas le moins du monde du peuple ukrainien, malgré les signaux de vertu (illumination de la tour Eiffel aux couleurs de l’Ukraine), les rassemblements du Conseil de défense, les menaces de représailles, les déploiement aériens et militaires… Macron ne pense qu’à sa réélection, essentiellement assurée, puisque le peuple en tant que peuple ne pourra s’empêcher de répondre à une certaine programmation par désactivation de son immunité intellectuelle face au bilan sanitaire, économique et géopolitique pourtant abyssal de ce abject et trouble personnage.

    Si les forces de l’OTAN, conformément à la propagande de guerre occidentale, entraient en conflit armé officiel sous prétexte de libérer l’Ukraine de son « envahisseur russe », ce serait évidemment à des fins très différentes. L’atlantisme se fiche complètement du peuple ukrainien, comme il se fiche complètement des nations en tant que telles, sauf dans la mesure où elles s’avèrent utiles à ses intérêts de reconfiguration du monde. Et c’est à cet effet qu’elles constituent précisément la matière première de l’offrande sacrificielle qu’exige l’ultime (et fausse) déité mondaine derrière l’inspiration de toutes les crises et guerres contemporaines du mondialisme.

    Source ► https://reseauinternational.net/de-la-vaccinolatrie-a-la-psyop-ukrainiste-occidentale/

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  8. LOGIQUE !

    Le Mécanisme de paix européen achète des armes pour poursuivre la guerre en Ukraine !

    https://lemediaen442.fr/le-mecanisme-de-paix-europeen-achete-des-armes-pour-poursuivre-la-guerre-en-ukraine/

    Comme la vidéo des Inconnus qui ne date pas d’hier le laisse à penser, il ne faut pas laisser la guerre aux mains des militaires et des politiques. Eh bien, il ne faut pas non plus laisser la paix au « Mécanisme européen pour la paix ». Vous ne connaissiez pas ce « machin » ? On vous le présente.

    Ses objectifs (théoriques) sont d’améliorer la capacité de l’Union à prévenir les conflits, à consolider la paix et à renforcer la sécurité internationale. Il a donc décidé de lutter pour la paix en débloquant un budget de 450 millions d’euros pour acheter des armes destinées aux forces armées ukrainiennes.

    Les Inconnus – La guerre mondiale dans le monde : la planisfère

    Bon, faites gaffe quand même au gros Bourdon…

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  9. Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique, Robert F. Kennedy Jr (chapitre 10) ► https://resistance71.wordpress.com/2022/03/07/le-veritable-anthony-fauci-bill-gates-big-pharma-et-la-guerre-globale-contre-la-democratie-et-la-sante-publique-robert-f-kennedy-jr-chapitre-10/

    Chapitre 10 Plus de mal que de bien

    Dans le chapitre précédent, nous avons entendu les avocats de la santé publique globale accuser Bill Gates et le dr Fauci de détourner l’agenda de santé publique de l’OMS, de ses projets prouvés bons pour mettre fin aux maladies infectieuses (hygiène, eau potable, bonne nutrition et développement économique) et de détourner l’aide internationale pour forcer l’ouverture de marchés pour leurs associés multinationaux et servir leur fétichisme personnel sur les vaccins. Ce chapitre va examiner l’assertion sous-jacente de Gates que ses vaccins africains et asiatiques rapportent un bénéfice net de santé publique.

    La plupart des produits pharmaceutiques ne peuvent pas obtenir de licence d’exploitation commerciale sans avoir été au préalable soumis à des essais randomisés avec groupe de contrôle placebo comparant les résultats sur la santé des participants, incluant les mortalités toutes causes confondues, ce dans des groupes placés sous médicaments et sous placebo. Pour tout dire, en mars 2017, j’ai rencontré le dr Fauci, Francis Collins et un arbitre de la Maison Blanche (et j’ai rencontré séparément Peter Marks de CBER et de la FDA), pour faire valoir une plainte disant que les HHS obligeaient à l’époque, 69 doses de 16 vaccins différents pour les enfants américains, aucun de ces vaccins n’ayant été testés pour leur sécurité face à des groupes placebo avant leur mise sur le marché. Le Dr Fauci et Collins nièrent que ceci fut vrai et insistèrent sur le fait que ces vaccins avaient tous été testés comme il se devait. Mais ils furent néanmoins incapables au cours des semaines qui suivirent, de nous fournir une citation d’un seul essai clinique utilisant un groupe placebo contre un de ces vaccins.

    […]

    Dix mois après la réunion avec Fauci et Collins, sur les marches du palais de justice, les HHS admettaient que nous avions de fait raison : aucun des vaccins obligatoires pour les enfants n’avaient été testés contre des groupes témoins inertes à placebo. Les meilleurs des vaccins africains de Bill Gates étaient sur cette liste.

    […]

    Ceci veut dire que personne ne connait les risques qu’ont ces produits et personne ne peut dire avec spécificité et certitude, qu’aucun des vaccins porte-drapeau de Gates ne prévient plus de blessures ou de morts qu’il n’en cause. De plus, ceci veut de facto dire que tous les vaccins africains de Gates ne sont que des produits expérimentaux. Pour Gates et ses sbires, le continent africain n’est qu’un vaste laboratoire pour expérience humaine, n’ayant aucun groupe de contrôle placebo ni aucun système fonctionnel de gestion des données expérimentales de ces interventions médicales douteuses, non testées et à haut risque.

    ]…]

    La très parcimonieuse science publiée examinant cette question indique que virtuellement tous les vaccins africains et asiatiques à gros succès commercial de Gates , polio, DTP, hépatite B, paludisme, méningite, PVH et Hib, causent en fait bien plus d’effets néfastes et de morts qu’ils n’en préviennent.

    […]

    Dans les années 1980, Big Pharma déplaça ses essais cliniques dans les pays du tiers monde où les cobayes humains sont bon marché et où les blessures les plus graves ne ralentissent que très rarement les études. La complicité des gouvernements locaux et les lois anémiques de responsabilité entrepreneuriale permettent aux fabricants de vaccins d’Inscrire ls effets néfastes comme dégâts collatéraux avec pour ainsi dire aucune conséquence ni même de sentiment de responsabilité. […] Bill Gates a joué un rôle clef dans la légitimisation de cet arrangement tout en collaborant avec des fonctionnaires captifs ou corrompus de l’OMS afin d’escroquer les nations occidentales pour leur faire payer l’addition et de garantir les positions sur les stocks disponibles. Gates, “le plus gros financier des vaccins au monde”, a très lourdement investi dans des partenariats lucratifs avec la plupart des gros fabricants de vaccins. Bill et Melinda Gates ont continué la tradition de l’expérimentation humaine en Afrique avec l’OMS prenant nettement le rôle d’un vassal colonial permettant le forfait.

    […]

    Pendant les années 70, les politiques d’austérité du FMI ont mis en banqueroute la plupart des programmes de santé publique africains et ont laissé les nations africaines complètement dépendantes du financement par l’OMS de leurs ministères de la santé publique et des programmes vitaux anti-VIH. Utilisant son contrôle du flot de l’assistance internationale, l’OMS exerce une discipline de fer, récompense l’obéissance et punit la désobéissance à Big Pharma ainsi que la résistance africaine aux ambitions de l’industrie. L’OMS utilise ses budgets et financements pour forcer les gouvernements africains qui résistent à la prise de vaccins. Le contrôle de Gates sur l’OMS a fait de l’Afrique son domaine. Les populations du continent des cobayes humains. Les vaccins pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui nourrit ses nombreuses affaires liées aux vaccins et lui donnent un contrôle dictatorial sur les politiques de santé publique globale affectant des centaines de millions de vies humaines.

    Le vaccin DTC : un génocide africain

    Une sévère vague de blessures cérébrales et de morts a suivi l’introduction des vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) aux Etats-Unis et en Europe dans les années 1970. Dès 1977, une étude publiée par des chercheurs et médecins britanniques dans The Lancet avait établi que les risques de l’injection de cellule complète de la coqueluche (utilisée dans les vaccins DTC) excédaient de loin les risques associés avec la maladie contractée naturellement.

    Six ans plus tard, en 1983, une étude de l’UCLA financée par le NIH, trouva que le vaccin DTC de Wyeth tuait ou causait de sévères dégâts cérébraux, incluant crises d’épilepsie et mort, chez un enfant vacciné sur 300. Les poursuites en justice qui s’en suivirent causèrent l’effondrement des marchés d’assurance pour les vaccins et menacèrent de mettre l’industrie en banqueroute. Wyeth, aujourd’hui connu sous le nom de Pfizer, affirma perdre 20 US$ en paiement de préjudice pour chaque dollar gagné des ventes de son vaccin, ce qui poussa le congrès des Etats-Unis de passer la loi nationale de la vaccination enfantine de 1986 qui protégeait complètement les fabricants de vaccins de toute responsabilité civile et pénale.

    […]

    Une étude de 2017 par Mogensen et al., montre que, suivant leur vaccination DTC à trois mois, les petites filles avaient une mortalité dix fois supérieure que les enfants non vaccinés. Les petites filles mouraient d’une grande variété de maladies allant de la pneumonie à la dyssentrie en passant par l’anémie et le paludisme et pendant deux décennies, personne ne remarqua que les enfants qui décédaient étaient, de manière prédominante, ceux qui avaient été vaccinés. Le vaccin DTC, en les “protégeant” contre les maladies de la diphtérie, du tétanos et de la coqueluche, avait en même temps ruiné leurs systèmes immunitaires, les rendant vulnérables à une grande variété de maladies infectieuses non ciblées. L’équipe de Mogensen arriva à la même conclusion que celle du Lancet 40 ans plus tôt : “Les vaccins DTC peuvent tuer plus d’enfants d’autres causes que ce dont ils les sauvent à savoir la diphtérie, le tétanos ou la coqueluche.”

    En d’autres termes, e vaccin DTC de Bates, au lieu de sauver 10 millions de vies comme il l’affirme, a peut être tué inutilement des millions de petites filles africaines.. Au moins sept autres études ont confirmé l’association du vaccin DTC avec un haut taux de mortalité chez les filles vaccinées comparé à celui des non vaccinées. Les Américains idéalistes qui ont donné au projet de vaccination africain de Gates, croyant sauver des bébés africains, ont en fait financé un génocide féminin à l’échelle d’un continent.

    […]

    Montée de mercure

    Beaucoup de vaccins envoyés dans des pays sous-développés, incluant les vaccins contre l’Hépatite B, haemophilus influenza de type B et les inoculations DTC, contiennent de bonnes doses d’un adjuvant, agent conservateur à base de mercure, le thimérosal. Suite à la loi sur les vaccins de 1986 donnant l’immunité légale et carte blanche aux labos pharmaceutiques, ceux-ci promouvant les vaccins les plus mal testés sans conséquence aucune. Big Pharma embraya avec une véritable ruée vers l’or et ajouta de nouveaux vaccins au programme et en 1991, l’exposition des enfants américains à l’adjuvant des vaccins thimérosal avait plus que doublée. Les médecins, les parents et des chercheurs blâmèrent sur le thimérosal l’explosion qui s’ensuivit de maladies auto-immunitaires et neurologiques.

    […]

    Une équipe de recherche spécialement assemblée par le CDC et menée par le grand épidémiologiste belge, le Dr Thomas Verstraeten, a comparé les résultats de santé de centaines de milliers d’enfants vaccinés contre les non-vaccinés. Les données brutes de l’étude de Verstraeten / CDC de 1999 ont montré que les enfants qui furent injectés du vaccin contre l’hépatite B contenant du thimerosal dans leurs premiers 30 jours de vie, souffraient d’un taux d’autisme incroyable étant 1135% plus élevé que les enfants qui ne furent pas injectés. Verstraeten a aussi démontré un grand inventaire de maladie neurologique incluant les déficiences d’attention et autres troubles psychologiques, ainsi que des troubles du sommeil et des retards cognitifs d’apprentissage de la langue, chez les enfants exposés au thimerosal.

    […]

    Plus de 450 études scientifiques ont attesté de la toxicité dévastatrice du thimerosal. Parce que la testostérone amplifie la neuro-toxicité de la molécule de mercure, les garçons ont souffert de manière disproportionnée de baisse de QI et de toute une série de troubles du développement, comme la déficience d’attention, des retards dans les domaines cognitifs et du langage, tics, syndrome de Tourette, narcolepsie et autisme suivant une exposition à l’éthyle de mercure du thimerosal. De nombreuses études lient le thimerosal aux fausses-couches et au phénomène de mort soudaine du nourrisson. Il n’y a simplement aucune étude scientifique peered reviewed publiée, démontrant que le thimerosal soit un produit sain et sans danger.

    En 2017, l’acteur Robert De Niro et moi-même avons tenu une conférence de presse bondée à la conférence du National Press Club à Washington D.C. Nous avons conjointement offert une récompense de 100 000 US$ à quiconque nous montrerait qu’une telle étude scientifique ait été publiée. Un groupe de prestigieux scientifiques incluant le professeur émérite en épidémiologie de l’UCLA, le Dr Sander Greenland, le toxicologue et ancien directeur de l’Environmental Toxicology Program du National Institute of Environmental Health Sciences, le Dr George Lucier et le Dr Bruce Lanphear de l’université Simon Fraser et de l’hôpital pédiatrique de Colombie Britannique, donnèrent leur accord pour être juge de l’étude. Personne n’a relevé le défi.

    ]…]

    Le Japon et certains gouvernements européens avaient déjà dramatiquement réduit les niveaux de mercure dans leurs vaccins dès 1993.

    […]

    Bill Gates vola au secours de Big Pharma et de ses stocks non-écoulés valant des centaines de millions de dollars. Il aida les labos pharmaceutiques à larguer leurs stocks de thimerosal dans les pays en voie de développement. Le laboratoire Merck, avec l’aide de Gates et de GAVI, fit un marché de donner (larguer) 1 million de doses de leur vaccin contenant du thimerosal : Recombivax HB contre l’hépatite B à la Millenium Vaccine Initiative dans les pays africains. La Maison Blanche félicita cette initiative généreuse entrepreneuriale comme étant un “niveau sans précédent de soutien entrepreneurial”, dans un communiqué de presse du 3 mars 2000.

    […]

    De fortes preuves suggèrent que les garçons africains ayant un niveau de testostérone plus élevé et une carence chronique en vitamine D sont bien plus vulnérables aux effets néfastes du thimerosal des vaccins que les blancs. Lorsqu’il s’agit des bénéfices de Big Pharma, la mort et les dégâts cérébraux causés aux enfants africains ne sont que des dégâts collatéraux.

    […]

    Des expériences létales du vaccin contre le paludisme

    Le paludisme tue 655 000 personnes par an, essentiellement des enfants africains de moins de 5 ans. En 2010, la FBMG a financé de 300 millions de dollars un essai Phase III du vaccin expérimental de GSK contre le paludisme, Mosquirix, dans sept pays africains, “ciblant les jeunes enfants parce que leur système immunitaire est toujours en développement”. GSK contribua de 500 millions de dollars, le NIAID de quelques dizaines de millions. […] Apparemment suspectant que le vaccin puisse être létal, l’équipe de Gates a choisi de ne pas faire le test contre un groupe placebo. Ils utilisèrent en lieu et place d’un placebo (NdT : qui doit être une substance absolument physiologiquement neutre…), des vaccins hautement réactifs comme celui de la méningite ou de la rage, qui eux-mêmes ne furent pas testés contre un groupe placebo.. L’injection contre la méningite était particulièrement connue pour provoquer de graves réactions voire des décès. L’utilisation d’un “placebo réactif” aussi appelé “fauxcebo”, est un truc délibérément frauduleux que des labos peu scrupuleux déploient pour masquer les effets secondaires et blessures dans les groupes testés en induisant volontairement des blessures parmi la cohorte dite “placebo”. Les essais cliniques qui omettent les véritables groupes placebo physiologiquement inertes ne sont que mascarades de science. 151 enfants moururent durant le test et 1048 des 5049 bébés souffrirent de sérieux effets secondaires, à la fois dans le groupe de contrôle et dans le groupe d’étude, effets incluant des paralysies, des crises d’épilepsie et des convulsions fébriles (fièvre).

    […]

    Gates déploya le Mosquirix en 2019 comme le premier vaccin anti-paludisme dans les pays sub-sahariens. Ceci devint un autre projet de “génocide des filles”. D’après le magazine Science : “L’efficacité dans la durée du Mosquirix est médiocre. Quatre doses n’offrent que 30% de protection contre un sévère paludisme et ce pour pas plus de quatre ans… Les plus grosses préoccupations néanmoins sont au sujet de la sécurité du vaccin.” L’associate editor du BMJ, le Dr Peter Doshi, fait remarquer “Il y a eu un taux de méningites chez ceux qui ont reçu le Mosquirix 10 fois celui de ceux qui ne le reçurent pas, il y a eu une augmentation des cas de paludisme cérébral et le risque de mortalité a doublé quelque soit la cause chez les filles en particulier.” Le Dr Doshi dit que le vaccin anti-paludéen de l’OMS représente “un bafouage grave des standards d’éthique internationaux”.

    […]

    Des virologues et universitaires du monde entier se turent au sujet des morts engendrées par le vaccin Mosquirix de Gates. Sa bourse bien remplie, ses impeccables connexions, son pouvoir sur le cartel des virologues et la faiblesse et les besoins des gouvernements africains l’isolèrent une fois de plus des conséquences de toutes ces morts d’enfants, à l’exception du Dr Doshi.

    […]

    L’Amérique du début du XXème siècle a vu l’augmentation de la popularité de l’eugénisme, une pseudo-science raciste qui aspirait à éliminer les êtres humains qualifiés “d’impropres” en faveur de stéréotypes nordiques. Vingt-sept gouvernements d’état officialisèrent des éléments de cette doctrine comme politique officielle et mettant en place toute une série de lois établissant la stérilisation forcée, la ségrégation de certaines populations et des restrictions sur les mariages. En 1909, la Californie devint le troisième état adoptant des lois demandant la stérilisation d’Américains mentalement handicapés. Les praticiens de l’eugénisme ont coercitivement stérilisé quelques 60 000 Américains.

    John D. Rockefeller Jr a manifesté un grand intérêt pour l’eugénisme, ce qui colora sa passion avérée pour le contrôle de la population. L’héritier de la baronnie du pétrole rejoignit l’American Eugenics Society et servit au bureau de l’hygiène sociale. La Fondation Rockefeller envoya de arges donations dans les années 1920-30 à des chercheurs allemands, incluant ceux qui conduisaient les notoires “études sur les jumeaux” du Kaiser Wilhem Institute for Anthropology, Human Heredity and Eugenics à Berlin.

    […]

    La volonté de Gates de réduire la population est une histoire de famille. Son père, William “Bill” Gates Sr, était un important avocat d’affaire et leader civique de la ville de Seattle et a eu une obsession tout au long de sa vie au sujet du “contrôle de la population”. Gates Sr siégeait au comité directeur de l’organisation Planned Parenthood, une organisation néo-progressiste fondée en 1916 par la raciste et très eugéniste Margaret Sanger afin de faire la promotion de la contraception et de la stérilisation et de purger “la lie de l’humanité” et de “créer une race plus pure”. Sanger disait qu’elle espérait purifier le génome en “éliminant les indésirables”, les personnes handicapées, empêchant ces personnes de se reproduire au moyen de la stérilisation chirurgicale et d’autres moyens.

    En 1939, Sanger créa et dirigea le très raciste “Negro Project”, qui cooptait stratégiquement des pasteurs noirs dans des rôles de leader afin de faire la promotion de la contraception au sein de leur congrégation. Sanger écrivit dans une lettre à son collègue eugéniste Clarence Gamble (de Procter & Gamble) : “On ne veut pas que se sache que nous voulons exterminer la population nègre et le pasteur est l’homme du moment qui pourra faire passer cette idée si cela jamais venait à l’idée de leurs membres les plus rebelles.”

    “Dans mon enfance, mes parents étaient toujours impliqués dans plein de choses bénévoles”, a dit Bill Gates à Bill Moyers en 2003. “Mon père était à la tête de l’association Planned Parenthood et c’était très controversé d’être impliqué avec ça.”

    La surpopulation, a dit le père au magazine Salon en 2015 “a toujours été quelque chose qui m’a intéressé depuis ma jeunesse”. En 1994, Gates Sr fonda la William H. Gates Foundation (la première de la famille), focalisé sur la procréation et la santé enfantine dans le monde en voie de développement. Ainsi, le contrôle de la population fut une préoccupation majeure de la philanthropie de son fils, ce dès le départ. Gates a fait de nombreuses déclarations publiques et de nombreux investissements qui reflètent sa peur-panique profonde de la surpopulation. Il se décrit lui-même comme un grand admirateur et soutien du prophète de l’apocalypse démographique qu’est Paul Ehrlich, l’auteur du libre “La bombe démographique”, que Gates décrit comme “la Cassandre environnementaliste la plus importante au monde”, c’est à dire un prophète qui prédit avec précision malheur et/ou désastre.

    […]

    Le 20 février 2010, moins d’un mois après que Bill Gates ait donné 10 milliards de dollars à l’OMS, il suggéra dans son discours “Innovating to Zero” au TED Talk de Long Beach en Californie, que réduire la population mondiale et sa croissance se fera en partie avec de “nouveaux vaccins” :

    “Le monde aujourd’hui a 6,8 milliards d’habitants. On avance vers les 9 milliards. Maintenant, si nous faisons du bon boulot avec les nouveaux vaccins, la santé, les services de santé de reproduction, nous pourrions diminuer cela de peut-être 10 ou 15%…”

    Les défenseurs de Gates, et les organisations de “Fact Checker” qui émargent aux mannes de Gates, pouffent aux critiques qui interprètent littéralement la déclaration de 2010 de celui-ci, à savoir qu’il espère que l’utilisation des vaccins réduisent la population. Ils expliquent que Gates avait l’intention, par cette déclaration pour le moins scabreuse, de suggérer que les vaccins sauveurs de vie allaient permettre à plus d’enfant de survivre leur enfance et de devenir adultes, par là-même rassurant leurs parents appauvris, qu’ils n’ont pas besoin d’avoir plus d’enfants. Mais cette hypothèse repose sur la supposition elle-même scabreuse que ses vaccins réduisent de fait la mortalité infantile, une proposition que Gates n’a jamais démontrée et que la science actuelle ne soutient en rien. Son choix très bizarre des mots a tout naturellement alimenté la spéculation qu’il s’engageait dans une campagne préméditée de l’utilisation de vaccins pour stériliser les femmes. Sa propension questionnable de promouvoir les médicaments contre la fertilité et l’utilisation au grand large par l’OMS de vaccins rendant stérile de manière cachée alimente de tels sentiments de manière parfaitement crédible.

    Le contrôle de la population a été le centre de la préoccupation de la FBMG depuis sa création…

    En 2017, la Fondation adopta le but d’administrer des contraceptifs à 214 millions de femmes des pays pauvres. Le choix de Gates comme contraceptif est l’agent d’infertilité de long terme Depo-Provera. Les planificateurs démographiques ont distribué le Depo-Provera essentiellement aux pauvres et aux femmes noires aux Etats-Unis depuis son invention en 1967. Dans ce pays, 84% des utilisateurs du Depo-Provera sont afro-américains et 74% sont d’origine sociale défavorisée. Le plus gros promoteur du Depo-Provera, l’organisation Planned Parenthood, cible particulièrement les femmes noires et latinos dans ses campagnes de promotion. Les données de l’ONU montrent que le Depo-Provera est rarement donné aux femmes blanches ou aux femmes des strates sociales plus aisées aux Etats-Unis et en Europe.

    Depo-Provera est un poison puissant ayant une longue liste d’effets secondaires très néfastes. […] Les femmes utilisatrices ont rapporté des troubles de régularité des règles, la formation de caillots sanguins / thromboses dans les jambes, les bras, les poumons et une infertilité permanente. Certaines études ont associé le Depo-Provera avec une augmentation de quelques 200% des risques de cancers du sein. La FDA avertit les femmes de ne pas prendre Depo-Provera sur une période de plus de deux ans, mais le programme de Gates prescrit une durée de prise du produit sur minimum 4 ans, voire indéfiniment pour les femmes africaines et n’avertit en rien les femmes noires des effets néfastes de la mixture.

    […]

    En 2011, une étude par une autre équipe de recherche financée par la FBMG et le NIH publia un article dans The Lancet Infectious Diseases, Heffron et al. (2012), rapportant que les femmes africaines utilisant la forme injectable de Depo-Provera avaient plus de chance d’être contaminée par le VIH / SIDA en comparaison avec les femmes non traitées par la substance. Les injections de Depo-Provera doublent le risque pour les femmes de contracter et de transmettre le VIH. Ce résultat ne fut pas une énorme surprise. Depuis 24 ans, de multiples études ont démontré que le Depo-Provera réduit l’épaisseur de la paroi vaginale, facilitant la transmission du VIH.

    […]

    Sans offrir quelque recherche scientifique que ce soit pour donner une substance à leurs affirmations, les adjoints de Gates, une cabale de promoteurs d’un extrême contrôle de la population, ont travaillé avec des intermédiaires de Pfizer pour vicieusement attaquer les résultats de la recherche de Heffron. Les critiques incluaient la FBMG, Planned Parenthood, l’ONU, Ronald Gray de l’université John Hopkins, financée par Bill Gates, James Shelton du bureau des populations de l’USAID et d’autres.

    Sous ces violentes attaques des mignons de Gates dans le cartel médical, le Dr Heffron et son équipe de recherche ont courageusement maintenu leur position et conservé leur intégrité professionnelle. The Lancet publia la cinglante réponse de Heffron, qui fit remarquer que ses critiques ne citaient aucune étude scientifique convaincante et que les deux études récentes, celle de Heffron et celle de l’équipe du WSPH, résumaient quelques 25 années de recherches publiées documantant une augmentation du risque de contracter le VIH pour les femmes qui prenaient du Depo-Provera.

    […]

    Pour étouffer le tumulte montant, Gates finança une étude de l’OMS pour débunker l’association avec le VIH une bonne fois pour toute. Cette fois-ci il contourna Heffron pour financer un groupe plus “fiable” de chercheurs (les avocats et conseillers juridiques du milieu de l’environnement appellent ces personnes des “biostituées”). Le 21 octobre 2015, l’OMS publia son enquête, qui, sans aucune surprise, concluait “qu’il n’y avait aucune évidence d’une association causale entre entre l’utilisation du Depo-Provera et une quelconque incidence de risque d’acquisition du virus VIH pour les femmes.”

    […]

    La pièce centrale du financement de 4 milliards de dollars de Gates est la seringue d’auto-injection, une bulle de plastique attachée à une aiguille, pour s’auto-administrer le Depo-Provera. Pfizer crée le gadget, mais la base légale de Gates à Seattle, PATH, en fait le marketing sous un nouveau nom de marque “Sayana Press”. L’ex-directeur de PATH, Chris Elias, était alors le président de la FBMG. Au travers de PATH, Gates allait distribuer ces produits, coûtant 1US$ pour une dose de trois mois, à 120 millions de femmes dans 69 pays les plus pauvres du monde. Avec les contributions que Gates entendaient soutirer de ces gouvernements, ces femmes chanceuses ne paierait pas ou peu des coûts.

    Pfizer bien entendu, allait se gorger. D’après la rubrique Market Watch du Wall Street Journal “Pfizer pourrait gagner environ 36 milliards de dollars des ventes de cet investissement sans précédent de la FBMG, 560 millions de dollars de la fondation, pour un total de 4,3 milliards de dollars incluant les contributions gouvernementales, qui font la promotion du Depo-Provera comme le tout meilleur contraceptif pour les femmes de couleur et aux faibles revenus.”

    Levich explique que ceci est une évasion maligne des règlementations américaines qui demande que l’étiquette de Pfizer inclut son avertissement à encadré noir avec les mots inscrits : “FDA”, “black Box”, “avertissement” et “ostéoporose” et que le médecin prescripteur informe le patient que le médicament pose de possibles effets secondaires mettant en danger la vie. Aux Etats-Unis, les pharmaciens ne peuvent pas vendre les seringues d’auto-injection, car la loi demande qu’un personnel médical soit présent pour informer la personne des risques encourus. Ignorer ces mesures de sécurité en Afrique exposerait Pfizer à des poursuites criminelles et à des milliers de plaintes sous la loi Alien Tort Claims Act, qui permet à des femmes africaines victimes d’attaquer en justice les labos négligents américains dans des tribunaux américains si elles venaient à souffrir des résultats négatifs de la non mise en garde. La stratégie apparente de Pfizer pour se protéger d’une telle responsabilité et d’utiliser la FBMG et PATH comme agents pour promouvoir son mode contraceptif.

    […]

    Levich ajoute : “Si Depo-Provera est véritablement un contraceptif sans problème de sécurité, n’ayant que des effets secondaires très minimes, alors pourquoi donc Bill Gates, Hopkins U, l’USAID, Planned Parenthood, Pfizer et autres intermédiaires cachent-ils délibérément l’encadré noir d’avertissements de la FDA dans leur effort de minimiser et de cacher les effets secondaires du Depo-Provera pouvant mettre la vie en danger ?”

    Pour le dire directement et sans gants, Gates et son gang trompent les femmes africaines pour leur faire prendre un contraceptif en leur mentant au sujet de sa sécurité et de son efficacité envers des maladies qui touchent les personnes noires de manière disproportionnée, quelque chose pour ce les exécutifs de Pfizer pourraient bien se retrouver en prison.. Le complice en toute connaissance de cause de Bill Gates en cela est l’USAID.

    Le directeur de cet organisme, le Dr Rajiv Shah, a été un conspirateur en série et de longue date dans les entreprises racistes variées de Gates. Pendant une décennie avant son boulot jackpot à l’USAID, Shah a travaillé comme principal leveur de fonds pour le GAVI de la FBMG de 2001 à 2010 et ses programmes de vaccination mondiaux. Shah a candidement reconnu que le sceau de reconnaissance de la FBMG et de PATH pour le Depo-Provera sert de stratégie fine pour isoler Pfizer de toute poursuite judiciaire civile et criminelle pour violation des réglementations de la FDA.

    […]

    Le Depo-Provera est venu honnêtement à sa notoriété d’outil de choix pour une pratique eugéniste raciste. Israël a banni le Depo-Provera en 2013 suite à un scandale dans lequel des fonctionnaires de la santé cherchant à réduire radicalement le nombre de naissances noires, ciblaient les juifs africains en leur administrant le Depo-Provera.

    […]

    En 2002, l’Inde a banni ce dangereux médicament de tous les programmes de santé familiale après un scandale similaire : des hauts-fonctionnaires du gouvernement ciblaient les Indiens des castes inférieures. Beaucoup d’autres nations incluant Bahrein, Israël, la Jordanie, le Koweït, le Qatar et l’Arabie Saoudite ont interdit l’utilisation de Depo-Provera par leurs citoyens. Les pays européens restreignent son usage et demandent une mise en garde totale des effets potentiels pour les femmes utilisatrices et un formulaire de consentement doit être signé.

    […]

    Les défenseurs de Gates tournent en ridicule comme “théorie conspirationiste” la suggestion que Gates ou de fait, toute autorité de la santé réputée, utiliseraient des “vaccins sauveurs de vie” comme véhicule caché afin de rendre des femmes stériles à leur insu. Mais un des premiers travaux philanthropiques de Gates fut un projet de 2002 pour administrer des vaccins anti-tétanos aux femmes pauvres dans 57 pays. Pour des raisons que nous allons exposer, des critiques suggèrent de manière très crédible que ces vaccins avaient été trafiqués avec une formule chimique que la Fondation Rockefeller avait développée pour stériliser les femmes contre leur gré.

    Le 6 novembre 2014, quatre ans après la promesse de Gates du TED Talk d’utiliser les vaccins pour faire diminuer le taux de natalité, des chercheurs en médecine et des médecins associés avec la Kenya Conference of Catholic Bishops (KCCB) et la Commission de Santé Catholique du Kenya (CSCK) ont accusé l’OMS, l’UNICEF et GAVI d’avoir secrètement entrepris un programme de stérilisation de masse envers les femmes kenyanes, ce, sous le voile de lutter contre le tétanos et d’éradiquer cette maladie.

    Le Washington Post rapporta également de telles accusations par l’Association des Médecins Catholiques du Kenya (AMCK)

    Les médecins catholiques devinrent suspicieux à cause de l’énorme transgression par l’OMS des protocoles usuels de vaccination anti-tétanique. Normalement, une dose de ce vaccin fournit une immunité de 10 ans contre la maladie. Comme les hommes et les femmes sont autant susceptibles à la maladie les uns comme les autres, les deux sexes se font injecter de manière routinière. Mais l’OMS donna des instructions aux médecins de donner le vaccin en cinq doses, tous les six mois et seulement aux jeunes femmes et femmes dans la tranche d’âge de procréation.

    […]

    Les médecins catholiques remarquèrent aussi d’étranges particularités de cette campagne de vaccination. Pour commencer, l’OMS commença sa campagne non pas des hôpitaux ou des centres médicaux des quelques 60 centres de vaccination du pays, mais distribua les injections depuis le très luxueux hôtel New Stanley de Nairobi, une station de loisir hors de portée de bien des médecins et des fonctionnaires publics. A grand coût, une escorte de police amena les doses de vaccin sur les sites de vaccination, où des policiers contrôlaient de manière très stricte et supervisait la manutention des vaccins par les personnels médicaux impliqués et ordonnaient que chaque fiole vidée de son contenu après utilisation, soit réintégrée au personnel de l’OMS à Nairobi dans cet hôtel 5* sous stricte surveillance policière.

    Quatre ans plus tard, en octobre 2019, l’AMCK accusa l’UNICEF, GAVI et l’OMS d’avoir rendu stériles des millions de femmes fertiles. Les médecins avaient à ce moment précis, fait des analyses du contenu des vaccins vérifiant leurs allégations. Trois laboratoires de biochimie indépendants de Nairobi testèrent des échantillon du vaccin anti-tétanique de l’OMS, y trouvant la substance gonadotropine chorionique humaine ou GCh (hCG en anglais), alors que cette substance n’avait absolument rien à faire dans ce vaccin. En octobre 2014, les médecins catholiques obtinrent six fioles supplémentaires et les firent tester dans six laboratoires accrédités, qui y trouvèrent de la GCh dans la moitié d’entre eux.

    […]

    Le personnel médical catholique procéda à de similaires accusations au sujet des projets de vaccination en Tanzanie, au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines. A la suite d’un déni indigné pour de telles accusations et une dénonciation des accusateurs, l’OMS finit par admettre à reculons, qu’elle avait développé des vaccins stérilisateurs depuis des décennies. Mais l’OMS a puni les médecins catholiques kenyans et la communauté du personnel médical qui rapportèrent l’affaire de ces vaccins empoisonnés en faisant annuler des contrats pour de futurs emplois.

    Ce ne fut pas la première fois que les autorités médicales catholiques avaient accusé l’OMS d’une campagne de stérilisation cachée contre les femmes africaines. Dès novembre 1993, des publications catholiques accusèrent l’OMS d’altérer ses vaccins anti-tétaniques pour stériliser les femmes de couleurs dans le monde au moyen de puissantes substances avorteuses. L’OMS nia en bloc ces accusations.

    L’équipe de recherche Shaw montra que des scientifiques de l’OMS et la Fondation Rockefeller avaient commencé des recherches sur des vaccins “contre la fertilité” afin de “contrôler les naissances” et ce depuis 1972, en introduisant de la GCh avec la toxine du tétanos, qui agit ici comme agent de transport de l’hormone.

    […]

    En 1976, les scientifiques de l’OMS avaient réussi à conjuguer un vaccin fonctionnel de “contrôle des naissances”. Les chercheurs de l’OMS rapportèrent triomphalement que leur formule pouvait induire “des avortements chez les femmes déjà enceintes et/ou la stérilité chez les récipiendaires du vaccin et qui n’étaient pas encore enceintes.” Ils observèrent également qu’une exposition répétée au produit par inoculation prolongeait l’infertilité des femmes.

    […]

    La campagne de vaccination anti-tétanique du Kenya se produisit peu de temps après que Bill Gates ait promis 10 milliards de dollars à l’OMS ayant pour but déclaré de réduire la population avec “de nouveaux vaccins”.

    […]

    La BMGF a fourni de nombreux dons au PATH, incluant celui de novembre 2020 “pour soutenir le développement clinique des vaccins anti-COVID19 par des fabricants chinois.”

    […]

    John D. Rockefeller III fonda le Conseil sur la Population (Population Council) en 1952 dans une conférence qu’il avait convoquée pour les grands-prêtres du contrôle de la population, incluant le directeur de la nouvelle association américaine Planned Parenthood Federation of America (PPFA) et plusieurs eugénistes bien connus. Se lamentant que la civilisation moderne avait réduit le processus naturel de sélection en sauvant toujours plus de “faibles” et leur permettant de se reproduire, ceci ayant pour résultat une “baisse de la qualité génétique humaine”, le groupe s’accorda pour créer une organisation dévouée à la “réduction de la fertilité”. Tandis que Rockefeller lançait officiellement le Conseil sur la Population avec un don de 100 000 US$ et servait de premier président, les deux présidents successifs du conseil furent Frederick Osborne et Frank Notestein, tous deux membres actifs de l’American Eugenics Society. Le NIH et l’USAID furent parmi les fondateurs de départ et des gouvernements américain et étrangers devinrent rapidement parmi les plus grands soutiens financiers du conseil.

    Le conseil fait de la recherche faisant la promotion de l’utilisation de méthode contraceptive artificielle et de la recherche sur l’avortement et la bio-médecine afin de développer de nouveaux médicaments et de nouvelles technologies. Le conseil collabora avec la Fondation Ford et l’International Planned Parenthood Foundation (IPPF) pour le développement de programmes contraceptifs intra-utérins sur une grande échelle dans les pays étrangers, alors même que leurs médecins de recherche les avertissaient d’effets secondaires aigus néfastes. Plus tard, le conseil joua un rôle clef dans le développement d’un implant contraceptif hormonal extrêmement dangereux, le Norplant.

    […]

    L’Agence Américaine pour le Développement International (USAID) fut dans un partenariat sur des décennies avec le CP et cultiva une relation d’alliance de longue durée avec la Fondation Rockefeller (FR) et l’OMS dans la recherche sur des moyens de contrôle de la fertilité pour réduire la population mondiale, spécifiquement en Afrique sub-saharienne. A partir de 2014, Gates et Elias avaient un collaborateur fiable au sein de l’USAID, son directeur Rajiv Shah, qui, avant d’être nommé à ce poste, a travaillé une décennie pour la FBMG, gérant le programme d’immunisation du GAVI pour les enfants africains.

    Le Dr Shah rejoignit la FBMG en 2001 et supervisa son alliance avec la FR en lança l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique…

    […]

    A l’USAID, sa fonction principale était de réorganiser l’agence pour une réflexion sur une nouvelle direction sur la biosécurité, ce sous un ordre exécutif d’Obama en 2009. Shah quitta l’USAID pour devenir le président de la FR en 2017. Shah a de très fortes relations avec les agences du renseignement et les cartels pétrolier et chimique. Il siège à la fois à la Commission Trilatérale et au Council on Foreign Relations (CFR), deux organisations globalistes/mondialistes largement définies par l’alliance Rockefeller / Kissinger.

    Shah est membre de l’International Rescue Committee (IRC), association à but non lucratif ayant des liens très étroits et de longue date avec la CIA. Dans son livre de 1991 “Covert Network : Progressives, the International Rescue Committee and the CIA”, le professeur d’économie de l’université du Massachussetts, Eric Thomas Chester expose l’IRC comme vitrine de la CIA. Bill Casey, espion de longue durée, qui fut le directeur de la CIA sous la présidence de Ronald Reagan, aida à gérer l’affaire Iran-Contras des années 1980 et fut le président de l’IRC de 1970 à 1971. L’IRC opère dans 40 pays sous couvert “d’aide humanitaire”. D’après son président actuel, David Miliband, l’ex-ministre des affaires étrangères de la GB, le rôle de Shah au plus haut niveau du conseil est de “surveiller les affaires politiques et non liées à la santé en relation à la prévention et aux impératifs de préparation pour une épidémie potentielle de proportion mondiale.”

    En 1974, l’USAID et l’OMS collaborèrent sur la création du très secret “Kissinger Report”. Henry Kissinger, dont le patron était Nelson Rockefeller et dont la carrière était très très étroitement imbriquée avec la FR, écrivit un “document secret”, qui devint politique officielle sous la présidence de Gerald Ford en 1975. Ce rapport, connu sous le nom de US National Security Study Memorandum 200 ou US NSSM 200, expliquait dans le détail les avantages géopolitiques de réduction de la population dans les “pays moins développés” pour amener la croissance démographique proche de zéro en “réduisant la fertilité” afin de sauvegarder les intérêts économiques des Etats-Unis et autres nations industrialisées dans le domaine des ressources naturelles importées.

    […]

    Shaw et al., ont trouvé 150 publications scientifiques émanant de l’OMS sur les formules variées d’infertilité entre 1976 et 2016 avec des milliers de citations.

    Dans les années 1993 et 1994, l’OMS lança une campagne de vaccination anti-fertilité au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines, puis au Kenya en 1995. Dans chacun de ces pays, l’OMS et les cliniciens des gouvernements locaux injectèrent des femmes en âge de procréer, leur disant que le but de l’OMS et de ses programmes d’immunisation était d’ “éliminer le tétanos maternel et néo-natal.”

    […]

    Les régions du monde ciblées pour les campagnes anti-tétaniques de l’OMS sont essentiellement les mêmes que les nations en voie de développement ciblées dans le rapport de Kissinger.

    […]

    Le calendrier kenyan était identique à celui publié par l’OMS avec le mélange de la toxine du tétanos et la GCh de contrôle des naissances : cinq doses de vaccin espacées de 6 mois, ce qui bien sûr, contraste totalement avec le calendrier publié de la véritable vaccination anti-tétanique.

    […]

    Afin de décourager toute discussion publique de ces abcès purulents sur sa vache sacrée, les HHS en 1984, l’année où le dr Fauci devint directeur du NIAID, poussèrent et firent adopter en catimini une réglementation fédérale représentant parfaitement la culture paranoïaque institutionnelle de l’agence, le secret et l’obligation, mais certainement pas les valeurs de la constitution des Etats-Unis :

    “Tous doutes possibles, réels ou non, au sujet de la sécurité du vaccin ne peuvent pas être permis d’exister en regard du besoin d’assurer que le vaccin sera utilisé de manière continue, dans l’extension maximum consistante avec les objectifs de santé publique de la nation.” (Federal Register Vol. 49 No 107)

    La plupart des Américains sont choqués d’apprendre qu’aujourd’hui, cette règlementation abominable est la loi notre pays.

    […]

    Note de R71 : s’ensuivent ici quelques pages similaires analysant la dangerosité du vaccin oral anti-polio lancé par la FBMG et l’OMS en Inde, en Chine, en Egypte en Haïti et en Malaisie. A lire dans le bouquin. Tout aussi édifiant !

    […]

    Les investissements stratégiques de Gates l’ont immunisé contre la critique des médias et de la communauté scientifique, ainsi donc, malgré ces atrocités commises, la FBMG dirige l’OMS comme un destroyer fou avançant à vitesse maximum dans le chaos et le carnage des enfants morts et ceux paralysés dont les vies détruites dérivent dans son sillage…

    En 2009 et 2012. le FBMG a financé des tests sur des vaccins expérimentaux contre les PVH (papilloma virus humain), développé par les associés de Gates, GSK et Merck, sur 23 000 filles dans la tranche d’âge 11-14 ans, recrutées dans des provinces reculées de l’Inde.

    […]

    Durant les essais cliniques, Merck a été incapable de montrer que le Gardasil était efficace contre le cancer du cervix. Au lieu de cela, l’étude montra que le vaccin augmentait le cancer du l’utérus de 46,3% chez les femmes exposées au PVH avant l’injection, environ 1/3 de toutes les femmes. D’après Merck et ses rapports d’essais cliniques, le vaccin était associé avec des maladies auto-immunitaires chez une femme injectée sur 39. Depuis l’introduction de ce vaccin en 2006, des milliers de filles ont rapporté des maladies auto-immunes affligeantes et le nombre de cancers a percé le plafond chez les jeunes femmes.

    Le très fort patronage de Gates pour les vaccins anti-PVH (Gardasil et Cervarix) ont alourdi les suspicions qu’il faisait en fait de ces vaccins des armes contre la fertilité naturelle humaine. Les essais cliniques de Merck ont montré de très forts signaux de troubles de la reproduction avec le Gardasil. Les sujets de l’étude injectés souffrirent de problème reproducteurs incluant un mauvais fonctionnement ovarien 10 fois supérieur à la normale. La fertilité des femmes a chuté précipitamment à partir de 2006 aux Etats-Unis, ce de manière concomitante avec la prise du Gardasil.

    La conspiration ourdie par GAVI, l’OMS et l’UNICEF pour forcer l’Inde à obliger l’injection contre l’hépatite B est une autre illustration du comment, sous l’hégémonie de Bill Gates, les profits de l’industrie vaccinale l’emportent toujours sur la santé publique. Originellement, l’OMS recommanda la vaccination anti-hépatite B seulement dans les pays ayant une forte incidence de carcinoma (cancer) hépato-cellulaire (CHC), cette spécificité de cancer que le vaccin promet d’éliminer. Comme cette condition est très rare en Inde, le pays ne qualifiait pas pour son administration selon les critères initiaux. Cette politique de l’OMS voulait dire pout Gates et Big Pharma, la perte d’un marché de 1,3 milliards de personnes !…

    GAVI poussa l’OMS à changer sa politique officielle pour devenir une recommandation universelle., faisant des pays non sujet au CHC des cibles pour le vaccin.

    […]

    Le 17 juillet 1999, dans un commentaire publié par le BMJ, le Dr Puliyel fit observer que le moins cher des vaccins anti-hépatite B indien coûtait 360 roupies (5US$) pour 3 doses. Il fit remarquer que “un tiers de la population indienne gagne moins de 57 roupies par personne et par mois ; que les plus grandes causes de mortalité en Inde sont la diarrhée, les infections respiratoires et la malnutrition.” Il ajouta “La vaccination contre l’hépatite B devrait-elle être une priorité sur le fait de pouvoir boire de l’eau potable ?”

    L’étude qui porta sur l’introduction de force par Gates des vaccins anti-hépatite B en Inde, montra que le vaccin n’a réduit en rien l’incidence d’hépatite B. La fréquence de porteurs chroniques était similaire chez les vaccinés et les non-vaccinés. L’étude démontra aussi que l’immunité naturelle développée par la mère se communiquait au bébé au moment où l’enfant est le plus vulnérable au statut de porteur chronique et que le programme de vaccination réduisait cette immunité naturelle. Paradoxalement, il y avait dont une chance substantielle que le vaccin de Gates augmentait l’incidence du facteur CHC dans le pays.

    […]

    Au début de 2021, une journaliste de télévision, Becky Quick, observa que Gates avait dépensé 10 milliards de dollars sur les vaccins sur une période de deux décennies et lui demanda : “Vous avez figuré le retour d’investissement sur tout ça et ceci m’a vraiment surpris, pouvez-vous nous expliquer les chiffres ?” Bill Gates répondit : “Nous voyons un retour phénoménal… il y a eu un retour [d’investissement] de l’ordre de 20 pour 1. Donc si vous regardez juste les bénéfices économiques, c’est bien sûr un gros chiffre.” La journaliste le pressa un peu plus : “Si vous aviez placé cet argent dans un portfolio S&P 500 et réinvestit les dividendes, vous auriez récupéré environ 17 milliards de dollars, mais vous pensez que le retour est de l’ordre de 200 milliards de dollars.” Gates continua : “Hé, oui… aider les jeunes enfants à vivre, à avoir la bonne nutrition, à contribuer à leurs pays, c’est un retour qui va au-delà de tout retour financier… La clef de tout ça, est d’avoir ce gros portfolio.”

    Et la clef de ce gros portfolio est aussi d’avoir Anthony Fauci comme allié vital.
    =*=
    Je vais faire avancer le PDF avec ce 10ème chapitre… Reste plus que 2 chapitres !

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