(Crise d’Oka, 1990) – Conseil d’une femme Mohawk aux Canadiens et Québecois de Papier ;

Regardez-bien ce qu’il se passe ici (territoire Mohawk, crise d’Oka, 1990) car lorsqu’ils en auront fini avec nous (les Natifs), ce sera votre tour !

Le plus grand génocide de l’histoire de l’humanité n’a pas eu lieu dans l’Allemagne nazie, mais sur le sol américain (tout le continent « américain » – territoire des Natifs ou île de la Grande Tortue).

100 millions d’Amérindiens ont été massacrés et ont perdu leur Terre-Mère.

Fait historique : la plupart des personnes qui les ont massacrés étaient des chrétiens. Désolé si vous ne pouvez pas supporter la vérité.

Et notre tour est venu avec le PLAN qui a muté en PLANdémie au virus à couronne !

CORONAVIRUS = VIRUS À COURONNE

Expérience d’Ingénierie sociale planétaire au coronavirus en cours (PDF)

Haine systémique – Mohawk Nation News du 21 juin 2020 – Traduit & Complété par JBL1960

Qu’est-ce qu’une frontière ?
C’est une ligne artificielle dans le sol.
C’est une fausse construction conçue (par les hommes, ici les premiers colons) pour nous séparer et nous contrôler.

Covid19 : à Montréal et Québec le gouvernement interdit de recevoir des visiteurs à domicile et la police pourra entrer chez les habitants pour vérifier :  À partir de ce jeudi et pour au moins 28 jours, les habitants des zones classées rouges – dont font partie les régions de Montréal et Québec – ne peuvent plus recevoir d’invités à leur domicile. La police pourra entrer chez eux pour vérifier qu’ils respectent bien cette consigne – Source Exoportail du 1er octobre 2020

Indifférence des bons - Martin Luther King Jr | Citation, Citation humour,  Martin luther king

La pire expression du racisme : la mort sous les insultes d’une femme autochtone à l’hôpital ébranle le Canada – Au Canada, le décès d’une femme amérindienne dans un hôpital du Québec suscite colère et indignation, en raison de propos racistes tenus à son encontre lors de son agonie. Le racisme contre les Autochtones se retrouve à nouveau au banc des accusés. Une autre tragédie qui aurait pu être évitée ? Sputnik fait le point.

Ça là, c’est mieux mort. C’est l’une des dernières phrases qu’aura entendues une femme autochtone de 37 ans dans un hôpital de Joliette, au Québec. Quelques heures avant son décès, des membres du personnel infirmier, pourtant chargé de veiller sur elle, émettent des commentaires d’une rare violence à son endroit. Joyce Echaquan est aussi qualifiée d’épaisse, un adjectif signifiant idiote en français québécois.

Tu as fait de mauvais choix, ma belle. Qu’est-ce qu’ils penseraient, tes enfants, de te voir comme ça ? Pense à eux autres un peu, ajoute l’un des membres du personnel sur ce ton méprisant.

Dans les heures précédant son décès, Joyce Echaquan a diffusé sur Facebook une vidéo pour demander à ce qu’on «vienne la chercher» à l’hôpital. Dans la langue de son peuple –la nation atikamekw[NdJBL : les atikamekw parlent également le français, leur « religion » est le catholicisme], elle affirme entre autres avoir été «droguée» par le personnel.

Cette mère de sept enfants s’était rendue à l’hôpital pour des douleurs à l’estomac, et se savait également sujette à des problèmes cardiaques. La diffusion de la vidéo et l’annonce de la mort de Joyce Echaquan ont rapidement suscité une vague d’indignation comme en avait encore rarement connu le pays. La santé étant un domaine de compétence provincial, le Premier ministre du Québec, François Legault, a rapidement été sommé de commenter l’affaire : Il y a du racisme au Québec, il faut combattre ce racisme. L’infirmière, ce qu’elle a dit, c’est totalement inacceptable, et elle a été congédiée. Maintenant, de penser que toutes les infirmières ou tout le système de la santé auraient eu cette réaction, tout le monde va dire : bien non, a déclaré François Legault à Québec.

Dans un échange avec Sputnik, le Bureau de Marc Miller, le ministre fédéral des Services aux Autochtones, a condamné les gestes du personnel hospitalier et précisé qu’une «enquête transparente» sera chargée de déterminer «si seulement les paroles ont été racistes ou également les soins prodigués». François Legault a déjà confirmé que le Bureau du coroner du Québec allait enquêter. Cet événement traumatisant est la pire expression du racisme. C’est le portrait déchirant d’une personne dans son état le plus vulnérable et qui, alors qu’elle était en train de mourir, a entendu des propos racistes à son égard, affirme à Sputnik le ministre Marc Miller.

Dans la foulée de la mort de George Floyd aux États-Unis, des leaders autochtones canadiens avaient déploré que presque toute l’attention soit accordée aux personnes noires alors que, selon eux, les Autochtones demeurent les premières victimes du racisme systémique*. En juin dernier, le Premier ministre fédéral, Justin Trudeau, avait posé un genou à terre à l’occasion d’une manifestation à Ottawa, en signe d’appui aux communautés noires des États-Unis et du Canada. Michèle Audette, l’ex-commissaire de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées, s’était même dite «peinée» et «choquée» de constater que les Premières Nations n’avaient pas encore eu droit au «même traitement» et à la même «mobilisation».

Joyce Echaquan, la George Floyd canadienne ?

En juin 2019, le très attendu rapport de cette enquête a conclu à un génocide des femmes autochtones, auquel aurait participé Ottawa.

Selon certains observateurs, les pratiques «coloniales» de l’État fédéral et des provinces contribuent à maintenir les peuples autochtones dans un état d’infériorité symbolique et socioéconomique. Le rapport des policiers aux Autochtones et la prise en charge de ceux-ci par le système de santé sont régulièrement pointés du doigt pour illustrer la persistance du racisme.

Il ne s’agit malheureusement pas d’un événement isolé et nous devons reconnaître l’impact que ce type d’événement peut avoir sur les communautés autochtones. Une grande partie des écarts socioéconomiques qui existent aujourd’hui entre les autochtones et les non-autochtones est attribuable aux déterminants sociaux de la santé, poursuit le ministre Marc Miller dans son échange avec Sputnik.

Cette tragédie survient dans un contexte où les communautés amérindiennes du Canada sont plus touchées en proportion par le Covid-19 que les autres Canadiens. Les nations autochtones sont notamment aux prises avec de graves problèmes de diabète et d’obésité, ce qui peut démultiplier les risques de complications dues au coronavirus. Une étude menée par un pneumologue canadien montre que les enfants amérindiens ont jusqu’à 16 fois plus de risques de développer une maladie respiratoire que leurs compatriotes du même âge. Rappelons que le Covid-19 s’attaque souvent aux poumons. «Avant tout, les communautés autochtones souhaitent bénéficier de soins de santé de qualité, ce qui est leur droit. Cependant, même lorsqu’ils y ont accès, il existe un scepticisme à l’égard du système de santé, et encore plus suite à des événements comme celui que nous venons de voir. Ce cycle a de graves conséquences et doit être éliminé», conclut le Bureau du ministre fédéral des Services aux Autochtones.

*racisme systémique ► Haine Systémique – Mohawk Nation News du 27 juin 2020 que j’ai traduit et complété.

AMERINDIENBLACKLIFEMATTERS

Nommez le pays qui s’est construit sur le génocide d’une race et la mise en esclavage d’une autre ► Les États-Unis d’Amérique !

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Tout le continent américain en fait, car je vous rappelle que tous les Natifs (peuples originels/peuples premiers) sont confinés depuis 528 ans prisonniers en leurs propres terres, jamais cédées, et la Nation atikamekw n’y fait pas exception.

Extrait de l’article ; Selon certains observateurs, les pratiques «coloniales» de l’État fédéral et des provinces contribuent à maintenir les peuples autochtones dans un état d’infériorité symbolique et socioéconomique.

Mais ces pratiques coloniales sont le fondement, ce sur quoi le Canada Inc. Since 1348 s’est construit, de l’empire anglo-américano-christo-sioniste ! À chaque fois, c’est le même ressort utilisé pour cibler une population donnée et la nier, en l’exterminant par tous moyens à sa convenance, y compris en l’utilisant comme esclave domestique.  Et comme c’est encore le cas aujourd’hui, en Palestine, dans les territoires occupés par les colons « juifs » !

C’est ce qu’ordonnait les bulles pontificales de 1455 et 1493, à Colomb et ses sbires «…pour envahir, traquer, capturer, vaincre et subjuguer tous les Sarrasins, païens et autres ennemis du Christ où qu’ils soient et de réduire leur personnes en esclavage perpétuel…»

Mais également avec la Magna Carta côté britannique :

L’organisation, la planification du MEURTRE PAR DÉCRET (PDF) furent décidées pour exterminer les Indigènes/autochtones dans les Pensionnats et Hôpitaux pour Indiens de 1840 à 1996 au Canada ; 

Et dans les Pensionnats pour Indiens de 1820 à 1980 aux USA ;

Ce génocide continu est toujours à l’œuvre, lorsque ce n’est pas dans les faits, avec notamment la stérilisation forcée des femmes autochtones ou la disparition d’enfants, de femmes (souvent dignitaires de haute lignée, comme les femmes Mohawks) voire de familles entières et dans l’indifférence quasi générale, excepté sur ce blog et pour mon lectorat, car c’est un sujet phare depuis décembre 2015 !

Mes lecteurs ont lu bien pire que ces insultes faites à cette femme au moment de sa mort, car tout est consigné dans le Contre-rapport à la Commission Vérité & Réconciliation – Meurtre par Décret – Le crime de génocide dans les Pensionnats/Hôpitaux pour Indiens de 1840 à 1996 que j’ai mis au format PDF et vous trouverez quelques extraits ci-dessous, de la page 14  ;

“Après que mon frère eut retrouvé une meilleure santé, il ne retourna pas au ‘Mush Hole’ [pensionnat pour Mohawk de Brantford en Ontario] et il me disait : ‘tu sais ce qui est arrivé à tous ces gamins qui s’y trouvaient ? Tu sais ce qui leur est arrivé ?’ Et je lui ai dit que non alors il m’a dit : ‘Ils ont appelé l’armée et ils les ont emmené sur le camp militaire et ils les ont abattu. Ils les ont alignés devant ce grand trou et ils les ont abattus. Quand les balles les touchaient, ils tombaient dans le trou.” ► Lorna McNaughton, survivante du pensionnat anglican pour les Mohawks de Brantford, Ontario

“C’était terrifiant de trouver ces petits crânes là-dedans. Qu’étaient-ils ces petits crânes, d’où venaient ils? Ils étaient là dans cette chaudière. Ils étaient petits… Deux petits crânes. Je ressens encore cette terreur ruisselant de là.” ►~ Lilian Shirt, survivante du pensionnat catholique de Bluequills, Edmonton, Alberta

“Lorsque vous passiez par ces portes, vous étiez comme un enfant mort-vivant, un condamné à mort en attente, Vous n’étiez pas humain. Votre histoire ne signifiait rien, votre enfance ne signifiait rien… Il n’y avait aucune raison pour l’existence de ces endroits si ce n’est une chose : le génocide.” ►Peter ~Yellowquill, survivant de deux pensionnats de l’Église Unifiée du Canada à Brandon et à Portage la Prairie, Manitoba

Et pour prouver que les plus hautes autorités de l’État, le GRC et les Églises du Canada n’ont jamais rien ignorés, bien au contraire ;

“Le génocide ne veut pas nécessairement dire la destruction immédiate d’une nation entière… c’est plutôt un plan coordonné de différentes actions visant à la destruction des fondations essentielles à la vie des groupes nationaux ayant pour but l’annihilation de ces groupes eux-mêmes.” ► Michael Lemkin, 1944

Je crois que les conditions sont délibérément créées dans nos pensionnats pour Indiens pour que se propagent les maladies infectieuses. Le taux de mortalité est souvent au-delà de 50%. Ceci est un crime national.” ► Dr Peter Bryce s’adressant au Superintendant des Affaires Indiennes canadiennes Duncan Campbell Scott le 12 Avril 1907, avant d’être renvoyé par Scott (Comprenez que rien a changé, lorsqu’on connait les conditions de vies dans les REZ : Réserves Indiennes encore aujourd’hui. Renseignez-vous !)

“Si je devais choisir de tuer la moitié des enfants indiens sous notre responsabilité, il n’y a pas de meilleur instrument à utiliser à cet effet que le typique pensionnat.” ► Neil Parker, Superintendant aux Affaires Indiennes 1949

PREUVES de la planification du lent génocide, page 11 du PDF :

Novembre 1910  : Le gouvernement signe un contrat formel avec les Églises catholique, anglicane, méthodiste, et presbytérienne leur donnant le contrôle total des opérations dans les pensionnats.

Janvier 1911 : Le gouvernement arrête de publier tout rapport de suivi et de compte-rendu sur la santé et le taux de mortalité des enfants après avoir quitté l’école, mettant en application une recommandation datant de 1903.

1914-1918 : Les pouvoirs extraordinaires du temps de guerre donnent aux directeurs/proviseurs des pensionnats le pouvoir d’imposer à tout enfant indien quel que soit son âge, sa participation dans des “bataillons de travail” et d’être envoyé n’importe où au Canada pour travailler sans salaire dans des travaux très pénibles.

11 mars 1919 : malgré l’augmentation dramatique du taux de mortalité dans les pensionnats, un ordre du conseil abolit toute inspection médicale.

L'assimilation des AutochtonesCliquez pour accéder à la source de l’image

Comme j’ai coutume de le dire, moi qui suis blanche, qui est été baptisée et qui ai reniée mon baptême, et descendante des premiers colons espagnols, je ne suis aucunement responsable des exactions commises par mes ancêtres et des hommes de peu de foi en des temps reculés.

Mais je serais complice de leurs crimes, si sachant tout cela, je ne faisais rien et ne tentais même pas de changer le cours de l’Histoire humaine…

Or, vous pouvez agir de même, tout de suite, dans cet ICI et ce MAINTENANT, sans arme ni haine, ni violence, et rompre le cycle mortifère du racisme et de la haine systémique !

Comment ? Tout simplement en ne commémorant plus chaque année et à date fixe les traditions séculaires des ;

  • Columbus Day/ Jour de la Découverte le 12 Octobre prochain
  • Thanksgiving/ Jour de l’Action de Grâce 26 novembre prochain
  • Australia Day/ Jour de l’Invasion 26 janvier
  • Día de la Raza/ Jour de la Race le 12 octobre prochain
  • Jour de l’extinction 1erjuillet Canada

Pour le moins et comme point de départ à tout nouveau paradigme.

Vous pouvez également, comme je l’ai fait moi-même, renier votre baptême, puisque l’Église catholique romaine, refuse de rayer nos noms des registres de baptême. Tout est consigné dans ce PDF que je viens de mettre à jour ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/09/effondrer-les-empires-coloniaux-par-jo-busta-lally.pdf et ainsi effondrer/abolir/abattre tous les empires coloniaux !

Sinon ?

jeidei masqué que la force soit avec nous

Très clairement, comme nous avait prévenus cette femme Mohawk en 1990, c’est fin de partie pour l’Humanité, telle que nous l’avons toujours connue, à laisser faire les apprentis sorciers transhumanistes qui veulent nous tracker, nous isoler, nous piquouzer et donc nous transformer en Humain2.0 et nous faire disparaitre en anéantissant  cette civilisation puis l’Humanité entière…

C’est entre nos mains…

JBL1960