POUR un Réseau de Résistance et de Rébellion International ou 3RI…

…CONTRE la Société marchande = le système capitaliste

Avec l’émergence du Mouvement des Gilets Jaunes le 17 novembre 2018, c’est une prise de conscience politique collective qui a surgie des entrailles des Territoires oubliés, voire méprisés de France et de Navarre en s’agrégeant sur pratiquement tous les Ronds-Points.

Près de 5 mois plus tard, a émergé le principe de l’Assemblée des assemblées, pour une Commune des communes soit la Société des sociétés. Inspirons-nous du modèle zapatiste qui est celui d’un peuple qui dirige et du (bon) gouvernement qui obéit et non pas à l’inverse comme le pouvoir oppresseur, un chouïa déboussolé quand même et ses affidés nous pressent de le faire ! Car en se structurant selon le schéma, vertical, actuel et donc en élisant des leaders, fussent-ils Gilets Jaunes, et en les chargeant de nous représenter tout en restant dans ce système étatico-capitaliste et en ce plaçant sous l’autorité du chef de l’État même (surtout) si c’est François Asselineau couplé avec Étienne Chouard ;

C’est NON !

Car la solution est hors ÉTAT et ses institutions

Et comme nous le comprenons bien ;

Il n’y a pas de solutions au sein de ce système, il n’y en a jamais eu et il n’y en aura jamais. Quiconque votant pour le système a voté et vote pour que celui-ci continue.

« Le pouvoir réside dans le peuple ! »

Prise de conscience individuelleprise de conscience collectiveboycott et organisation parallèledésobéissance civileréorganisation politico-socialechangement de paradigme

IGNORONS L’ÉTAT ET SES INSTITUTIONS

IGNORONS MACRON & TOUT SON ORCHESTRE ET ;

Créons les bases solidaires de la Société des sociétés organique ► Réfléchissons et agissons en une praxis commune ► Adaptons le meilleur de l’ANCIEN au monde d’aujourd’hui

Enfilons un Gilet Jaune pourquoi pas ?

Mais surtout, qui que nous soyons et ou que nous vivions ;

Retirons-leur notre consentement, en toute matière, et débutons une Grève Générale Illimitée Expropriatrice et Autogestionnaire sans arme ni haine ni violence, juste en disant NON et en ne consommant que le strict nécessaire et en privilégiant les circuits-courts !

Image associée

Rappel d’un message du fin fond du Chiapas,

Depuis les montagnes du sud-est mexicain ;

Au nom des femmes, hommes, enfants et anciens de l’EZLN

Sous-commandant insurgé Moisés

Mexique, janvier 2017

Image associée

ARMÉE ZAPATISTE DE LIBÉRATION NATIONALE

MEXIQUE

PREMIER JANVIER 2017

Sœurs et frères du Congrès National Indigène :

Compañeras, compañeros et compañeroas de la SEXTA nationale et internationale :

Peuples du Mexique et du monde :

Il y a 23 ans, nous nous sommes soulevés en armes contre l’oubli.

L’indignation et le désespoir nous obligèrent à nous préparer à mourir pour vivre,

Pour vivre de l’unique forme qui vaille la peine de vivre, avec liberté, avec justice, avec démocratie.

Le peuple du Mexique nous a regardé et nous a parlé, il nous a dit que notre lutte et nos demandes sont justes, mais qu’il n’est pas d’accord avec la violence.

Lorsque furent peu à peu connues les conditions inhumaines de notre vie et de notre mort, on fut partout d’accord sur le fait que les causes de notre soulèvement ne pouvaient pas être remises en question, bien que pouvait l’être la forme prise pour manifester notre inconformité.

Aujourd’hui les conditions des peuples du Mexique à la campagne et à la ville sont pires qu’il y a 23 ans.

La pauvreté, le désespoir, la mort, la destruction, ne sont plus seulement pour ceux qui ont originellement peuplé ces terres.

Maintenant le malheur atteint toutes et tous.

La crise affecte aussi ceux qui se croyaient saufs et pensaient que le cauchemar était seulement pour ceux qui vivent et meurent en bas.

Les gouvernements vont et viennent, de différentes couleurs et avec différents drapeaux, et la seule chose qu’ils font, c’est d’empirer les choses.

Avec leurs politiques, les seules choses qu’ils font c’est que la misère, la destruction et la mort atteignent de plus en plus de gens.

Maintenant nos sœurs et frères des organisations, quartiers, nations, tribus et peuples originaires organisés au sein du Congrès National Indigène ont décidé de crier leur YA BASTA.

Ils ont décidé qu’ils n’allaient pas permettre qu’on continue de détruire notre pays.

Ils ont décidé qu’ils n’allaient pas laisser que le peuple et son histoire meurent de cette maladie qu’est le système capitaliste.

Un système qui, dans le monde entier, exploite, spolie, réprime et méprise les êtres humains et la nature.

Le Congrès National Indigène a décidé de lutter pour rendre sains nos sols et nos cieux.

Et ils ont décidé de le faire par des chemins civils et pacifiques.

Leurs causes sont justes, et indéniables.

Qui mettra aujourd’hui en question le chemin qu’ils ont choisi et auquel ils nous appellent toutes, tous et toutES ?

Si on ne respecte pas, si on ne salue pas, si on ne soutient pas leur lutte et le chemin qu’ils prennent, alors quel message donnez-vous comme société ? Quels chemins laissez-vous à l’indignation ?

Il y a 23 ans nous avons commencé notre soulèvement, mais notre chemin était excluant, toutes et tous ne pouvaient pas participer.

Aujourd’hui, le Congrès National Indigène nous appelle à une lutte à laquelle nous pouvons participer tous et toutes ; qu’importe l’âge, la couleur, la taille, la race, la religion, la langue, la paie, la connaissance, la force physique, la culture, la préférence sexuelle.

Ceux qui vivent, qui luttent et meurent à la campagne et à la ville ont aujourd’hui un chemin de lutte où s’unir avec d’autres femmes, avec d’autres hommes.

La lutte à laquelle nous appelle et nous invite le Congrès National Indigène est une lutte pour la vie avec liberté, avec justice, avec démocratie, avec dignité.

Qui oserait dire que c’est une mauvaise lutte ?

Il est temps que tout le peuple travailleur, aux côtés des peuples originaires, sous le drapeau du Congrès National Indigène, qui est le drapeau des originaires, s’unissent dans cette lutte qui est pour ceux qui n’ont rien, rien d’autre que la douleur, la rage et le désespoir.

C’est l’heure des peuples, de tous, de la campagne et de la ville.

C’est cela, ce que nous dit le Congrès National Indigène.

Il nous dit que ça suffit d’attendre que d’autres veulent nous dire que faire et comment, qu’ils veulent nous commander, qu’ils veulent nous diriger, qu’ils veulent nous tromper avec des promesses et des mensonges éhontés.

Il nous dit que chacun dans son lieu, à sa manière, à son rythme, se commande soi-même, lui, elle ; que ce soit les peuples eux-mêmes qui se dirigent eux-mêmes, qu’on en finisse avec les mensonges, les tromperies, les politiciens qui ne voient leur travail de gouvernement que comme une richesse à voler, à trahir, à se vendre.

Il nous dit qu’il faut lutter pour la vérité et la justice.

Il nous dit qu’il faut lutter pour la démocratie, qui veut dire que c’est le peuple même qui commande.

Il nous dit qu’il faut lutter pour la liberté.

Ils sont savantes et savants, ceux qui sont dans le Congrès National Indigène.

Cela fait des siècles qu’ils résistent et luttent pour la vie.

Ils en savent long sur la résistance, ils en savent long sur la rébellion, ils en savent long sur la lutte, ils en savent long sur la vie.

Ils savent qui est responsable des douleurs qui s’abattent sur toutes, partout et tout le temps.

Le Congrès National Indigène, pour cette lutte qu’il démarre aujourd’hui, ils vont l’attaquer, ils vont le calomnier, ils vont vouloir le diviser, ils vont vouloir l’acheter.

Ils vont chercher par tous les moyens à ce qu’ils se rendent, qu’ils se vendent, qu’ils renoncent.

Mais ils ne vont pas y arriver.

Cela fait plus de 20 ans que nous nous connaissons personnellement, et plus de 500 ans que nous nous connaissons dans la destruction, la mort, le mépris, le vol, l’exploitation, dans l’histoire.

Sa force, sa décision, son engagement ne vient pas d’eux ni d’elles-mêmes.

Elle vient des organisations, des quartiers, des nations, des tribus et des peuples originaires dans lesquels ils sont nés et se sont formés.

Nous, femmes et hommes zapatistes, nous nous sommes préparés pendant 10 ans pour débuter notre lutte un premier janvier, il y a 23 ans.

Le Congrès National Indigène s’est préparé 20 ans pour arriver à ce jour et nous montrer le bon chemin.

Si nous le suivons ou pas, ce sera la décision de chacun.

Le Congrès National Indigène va parler avec vérité, va écouter avec attention.

Ce n’est pas un jeu, la lutte du Congrès National Indigène.

Elles et eux nous ont dit qu’ils vont lutter pour tout, pour toutes et pour tous.

Et cela veut dire que :

Ils vont lutter pour le respect des droits humains.

Ils vont lutter pour la libération de toutes et tous les prisonnier.e.s politiques.

Ils vont lutter pour la présentation en vie des disparues et disparus.

Ils vont lutter pour la justice pour ceux qui ont été assassinés.

Ils vont lutter pour la vérité et la justice pour les 46 absents d’Ayotzinapa

Ils vont lutter pour le soutien aux paysans et le respect de la terre-mère.

Ils vont lutter pour un logement digne pour tous ceux d’en-bas.

Ils vont lutter pour une alimentation suffisante pour tous les indigents.

Ils vont lutter pour un travail digne et un salaire juste pour tous les travailleurs de la campagne et de la ville.

Ils vont lutter pour une santé totale et gratuite pour tous les travailleurs.

Ils vont lutter pour une éducation libre, gratuite, laïque et scientifique.

Ils vont lutter pour la terre à ceux qui la travaillent.

Ils vont lutter pour le respect du commerce informel, et du petit et moyen commerce.

Ils vont lutter pour le transport public et commercial de ceux qui conduisent les véhicules.

Ils vont lutter pour la campagne aux paysans.

Ils vont lutter pour la ville aux citadins.

Ils vont lutter pour le territoire aux peuples originaires.

Ils vont lutter pour l’autonomie.

Ils vont lutter pour l’autogestion.

Ils vont lutter pour le respect de toute forme de vie.

Ils vont lutter pour les arts et les sciences.

Ils vont lutter pour la liberté de pensée, de parole, de création.

Ils vont lutter pour la liberté, la justice et la démocratie pour le Mexique d’en-bas.

C’est à ça qu’ils nous appellent.

Chacun pourra décider si cette lutte est bonne, si l’idée est bonne, si elle répond ou non à cet appel qu’ils font.

Nous, femmes et hommes, comme zapatistes que nous sommes, nous répondons : oui nous allons avec vous, oui nous allons avec le Congrès National Indigène.

Nous verrons les manières de les soutenir de toute notre force.

Nous vous soutiendrons parce que la lutte que vous proposez, sœurs et frères du Congrès National Indigène, est peut-être la dernière opportunité que ces sols et ces cieux ne disparaissent pas au milieu de la destruction et de la mort.

C’est pour cela que nous voulons seulement vous dire ceci :

Écoutez le cœur, la douleur et la rage qu’il y a dans tous les recoins de ce pays.

Marchez et qu’à vos pas la terre tremble jusque dans ses entrailles.

 Que s’obscurcissent ces sols mexicains.

Que les cieux vous regardent avec surprise et admiration.

Que les peuples du monde, dans la décision et la détermination qui est la vôtre, apprennent et se motivent.

Et par-dessus tout, qu’importe ce qu’il se passe, ni tout ce qu’il y a en face, qu’importe qu’ils vous attaquent de toutes les formes, quoi qu’il arrive ne vous rendez pas, ne vous vendez pas, ne lâchez rien.

LIBERTÉ !

JUSTICE !

DÉMOCRATIE !

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 Jo Busta Lally en soutien au 3RI d’où je suis…

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Lecture complémentaire sur ce blog ;

Un exemple de charte confédérale véritable alternative pour nous gérer sans État ni institutions coercitives obsolètes ;

“Le congrès réuni à St Imier déclare que :

  1. La destruction de tout pouvoir politique est le premier devoir du prolétariat.
    2) Toute organisation d’un pouvoir politique soi-disant provisoire et révolutionnaire pour amener cette destruction ne peut être qu’une tromperie de plus et serait aussi dangereuse pour le prolétariat, que tous les gouvernements existant aujourd’hui.”

~ Congrès de l’Internationale anti-autoritaire de St Imier, 1872 ~

Exemple de charte confédérale ;

En 13 points  dans une version PDF N° 30 de 7 pages

Michel Bakounine

 “Fédéralisme, socialisme et antithéologisme”

Ligue de la Paix, Genève, 1895

Ailleurs ;

Le moment d’une coalescence politique est venu pour les Gilets-Jaunes par Jean-Yves Jézéquel sur Mondialisation-ca du 25 mars 2019

8 réflexions sur « POUR un Réseau de Résistance et de Rébellion International ou 3RI… »

    1. Textes choisis Anarchistes de Ricardo Flores Magon

      Journaliste, anarchiste et révolutionnaire mexicain (1874-1922) dans une nouvelle version PDF de ma création N° 77 de 40 pages. (Textes choisis, traduits et publiés en 6 parties par R71) et présenté comme suit ;

      Présentation de l’auteur Page 4
      Première Partie Page 5
      Deuxième Partie Page 13
      Troisième Partie Page 15
      Quatrième Partie Page 20
      Cinquième Partie Page 27
      Sixième et Dernière Partie Page 34
      Lectures complémentaires Page 40

      Cliquer pour accéder à textes-choisis-anarchistes-de-ricardo-flores-magon-1874-1922.pdf

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  1. Le Conseil constitutionnel a censuré ce 4 avril l’article phare de la loi anticasseurs qui donnait à l’autorité administrative le pouvoir d’interdire de manifester toute personne présentant une «menace d’une particulière gravité pour l’ordre public».

    «Les dispositions contestées laissent à l’autorité administrative une latitude excessive dans l’appréciation des motifs susceptibles de justifier l’interdiction», écrivent les Sages du Conseil constitutionnel dans la décision qu’ils ont rendue ce 4 avril au sujet de la loi anticasseurs.

    Ils ont en revanche validé les autres dispositions de ce texte voté le 12 mars en réaction aux débordements lors des rassemblements de Gilets jaunes, notamment la possibilité de fouilles aux abords des manifestations et la création d’un délit de dissimulation du visage.

    L’article 3 de ce texte, présenté par le gouvernement comme une loi de protection dénuée de «tout arbitraire», permettait aux préfets de prononcer des interdictions administratives de manifester sanctionnées de six mois d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende. Aux termes de l’article, cette interdiction ne pouvait frapper que les personnes ayant commis des «atteintes graves à l’intégrité physique des personnes ainsi que des dommages importants aux biens» ou encore «un acte violent» lors de manifestations précédentes.

    https://francais.rt.com/france/60693-loi-anticasseur-conseil-constitutionnel-censure-interdiction-administrative-manifester?utm_source=browser&utm_medium=push_notifications&utm_campaign=push_notifications

    Ah merde !
    Cha va être compliqué…

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    1. Et en même temps…

      Le Conseil d’Etat donne raison à France 2, qui pourra inviter qui elle souhaite à ses débats politiques

      La chaîne publique avait été obligée d’inviter Hamon, Asselineau et Philippot à « L’Emission politique » jeudi. Elle dit au « Monde » qu’ils seront quand même présents.
      RooOoor… Quel saigneur !

      Source l’ImMonde du 04/04/2019 et de partout…

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  2. Gilets Jaunes, Chiapas, Oaxaca, Acapatzingo, Rojava, luttes anticoloniales… en marche vers la société des sociétés ! (1ère partie)

    Acapatzingo, Mexique, communauté autonome urbaine

    Un monde nouveau au cœur de l’ancien

    mardi 2 avril 2019, par Raúl Zibechi

    Source : https://www.lavoiedujaguar.net/Acapatzingo-communaute-autonome-urbaine-Un-monde-nouveau-au-coeur-de-l-ancien

    1ère partie

    À partir de cette brève description, d’où se détachent deux idées centrales, celle de communauté et celle de culture, j’aimerais revenir sur certains aspects qui me semblent décisifs au moment de créer cet espace communautaire, autonome et en résistance : la transformation des subjectivités, l’organisation interne et les accords qui rendent possible la vie collective, c’est-à-dire les règlements approuvés par toutes les familles qui décident de vivre ensemble. Ces trois aspects sont intimement liés et, si je les isole, c’est uniquement pour examiner chacun d’eux plus en profondeur. Ce que j’essaie de comprendre, c’est comment ils ont pu produire une communauté à partir de la somme des individus.

    Les subjectivités se modifient en un long processus d’interactions internes et externes, vers l’intérieur et vers l’extérieur, au cours duquel on voit combien sont importants les moments critiques (répression) et de crise (divisions) qui permettent de déterminer qui nous sommes, ce nous ne voulons pas être, et avec qui nous pouvons et voulons agir. Un beau document semi-interne décrit en détail les parties de ce processus, en mettant l’accent sur « les mandats d’arrêt prononcés contre nos dirigeants, la rupture avec ceux qui étaient nos camarades puis ont trahi les principes de l’organisation pour devenir députés, et les gens qui ont choisi de les suivre parce que, là-bas, ils n’allaient plus avoir à travailler [1] ».

    Pour lire l’article en entier ► https://resistance71.wordpress.com/2019/04/04/gilets-jaunes-chiapas-oaxaca-acapatzingo-rojava-en-marche-vers-la-societe-des-societes-1ere-partie/

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  3. Rencontre avec un jeune français qui a pris les armes avec les Kurdes contre Daesh pour défendre la révolution au Rojava.

    Dans cette région autonome de l’ouest de de la Syrie, les Kurdes ont mis en place, au milieu du chaos syrien, un système politique basé sur les principes du confédéralisme démocratique qui prône la démocratie directe, le partage des richesses et du pouvoir politique entre les minorités ethniques et religieuses, en plus d’un féminisme radical.

    Pendant 15 mois, André s’est battu dans diverses unités du YPG (Unité de Défense du Peuple), la branche armée du Parti Démocratique Syrien. D’abord au sein du Bataillon International, qui regroupe des militants anarchistes et communistes du monde entier, puis dans une unité de Sabotage (génie militaire), et enfin dans une unité Arabe pendant la bataille de Raqqa, où il a participé à la libération de la capitale de l’Etat Islamique.

    https://www.franceinter.fr/emissions/comme-un-bruit-qui-court/comme-un-bruit-qui-court-06-avril-2019

    Bon, l’info est traitée par France Inter, mais c’est toujours intéressant, malgré tout d’avoir une info de la situation de l’intérieur…

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