MàJ de dernières minutes du Dernier conte du dernier jour de l’An 2021 par RIEN et sa RIENne de ♥

Dernier conte pour vivre et mourir debout & dire ► NON aux COVIDélires des Guignols de l’Intox !

Dernier conte de RIEN 31 12 21

Dernier conte du dernier jour de l’An 2021, Le petit TROU BLANC, par le Presque Dr. T’Ché-RIEN & sa petite RIENne de https://jbl1960blog.wordpress.com/wp-content/uploads/2021/12/le-petit-trou-blanc-dernier-conte-du-dernier-jour-de-lan-2021-par-rien-et-une-rienne.pdf

Cliquer pour accéder à le-petit-trou-blanc-dernier-conte-du-dernier-jour-de-lan-2021-par-rien-et-une-rienne.pdf

Pourtant et plus que jamais ;

Coluche-Citations5

AUX RIENS & RIENNES D’ICI & D’AILLEURS

ENSEMBLE ; TOUS les petits RIENS et RIENNES peuvent TOUT !

COEURDENUAGE

12 CHAPITRES DU LIVRE DE RFK Junior en français PDF 19 12 21

Pour ma part ; je vous prépare le PDF complet des traductions de l’anglais au français et par de larges extraits de Résistance 71 (Chapitre 2) du livre dynamite de Robert F. Kennedy Jr « The Real Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma and the Global War on Democracy and Public Health » / “Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique”  – Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages, que de manière inédite je compile au fur et à mesure de leur traduction tant l’heure est grave en COVIDLAND et particulièrement en FRANKISTAN ces derniers jours avec la mise en place du paSSe vaXXXinal envers et contre toustes !…

VOTRE OBÉISSANCE PROLONGE CE CAUCHEMAR 22 12 21

AUSSI LEVONS-NOUS & DONNONS-VOUS RDV ICIIMMÉDIATEMENTD’OÙ-NOUS SOMMES pour tisser ensemble le fil du reste de notre vie…

VENDETTAvsGOUVERNEMENTQUIMENT

+ dans CHRONIQUES DU PRESQUE Dr. T’CHÉ-RIEN

+ dans mon DOSSIER SPÉCIAL CORONAVIRUS

+ dans ma BIBLIOTHÈQUE PDF

+ dans LES CHRONIQUES DE ZÉNON

+ tout le reste avec tout mon

JBL1960

Des bonis pour la nuit de la Saint-Sylvestre !

Tic-TacTic-Tac… BOUM https://jbl1960blog.wordpress.com/wp-content/uploads/2021/12/boum.pdf ► C’est RIEN qu’un peu plus de RIEN…

TIC TAC BOUM DE RIEN 31 12 21

Pour se faire du bien…

Et dire NEIN au paSSe vaXXXinal ► https://jbl1960blog.wordpress.com/wp-content/uploads/2021/12/ss.pdf

NEIN au paSSe vaXXXinal RIEN 31 12 21

SiSi !…

Omékilsonkon, auSSi !

VARIANT OMÉKISONKON RIEN 31 12 21

Conseil Scientifique de Crise…

RÉUNION DE CRISE DU CONSEIL SCIENTIFIQUE RIEN 31 12 21

…de rire ???

Et n’oubliez pas ce soir, qu’il y a un bouton ON/OFF sur votre téloche !

TROP DE GLANDS CHANGER DE CHÊNE CONSEIL DE L'ÉCUREUIL ROSEAU 15 12 21

Meilleurs Vieux 2022 ! Hi hi hi !…

36 réflexions sur « MàJ de dernières minutes du Dernier conte du dernier jour de l’An 2021 par RIEN et sa RIENne de ♥ »

  1. Sanofi veut mettre en place des cabines automatiques de vaccination !
    L‘être humain est désormais considéré comme du bétail. Il est assez consternant de voir à quel point le corps médical est stupide en France car il ne voit pas venir la destruction de son propre métier. Attiré par le gain facile, des rémunérations extraordinairement élevées pour vacciner par milliers, ils sont tous tombés dans le piège de l’argent et du veau d’or. On peut entendre dans la vidéo ci-dessous ce vaurien de VRP de Sanofi dire « On n’a plus besoin d’infirmières » ni de médecins d’ailleurs ! N’est-ce pas merveilleux.  Sauf que la corne d’abondance de la sécurité sociale sera bientôt […]

    https://www.lelibrepenseur.org/sanofi-veut-mettre-en-place-des-cabines-automatiques-de-vaccination/

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  2. François-Xavier Bellamy : « Le passe vaccinal ou la poursuite du délitement de l’État de droit »
    Le professeur agrégé de philosophie François-Xavier Bellamy, essayiste et homme politique français, vient de publier une tribune dans le Figaro du 29 décembre 2021 extrêmement violente envers le Conseil d’État comme vous pouvez le constater dans l’extrait ci-dessous ; il relève une contradiction phénoménale concernant la validation du pass vaccinal. Il revient également sur les nombreux mensonges et contradictions de l’exécutif qui affirmait hier ne jamais rendre la vaccination obligatoire et qui aujourd’hui fait pire. Malheureusement, cet intellectuel garde encore un vocabulaire absurde […

    https://www.lelibrepenseur.org/francois-xavier-bellamy-le-passe-vaccinal-ou-la-poursuite-du-delitement-de-letat-de-droit/

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  3. Plus de 800 médicaments courants contiennent du dioxyde de titane (E171), interdit dans l’alimentaire !
    Que fait l’ANSM, à quoi peut bien servir la HAS ? Comment est-il possible d’interdire l’utilisation de ce produit ultra toxique que nous dénonçons depuis 15 ans maintenant et qui a été interdit en France dans l’alimentation mais qui est toujours utilisé dans les médicaments par l’industrie criminelle de Big Pharma ? De très nombreux médicaments contiennent du dioxyde de titane qui est utilisé comme un colorant blanc ; vous serez d’ailleurs surpris d’apprendre que certains médicaments contiennent 3 à 4 colorants totalement différents ! Sur 5000 Médicaments vendus en France dans les pharmacies, […]

    https://www.lelibrepenseur.org/plus-de-800-medicaments-courants-contiennent-du-dioxyde-de-titane-e171-interdit-dans-lalimentaire/

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  4. Injection satanique : 64.000 enfants déjà sacrifiés (France)
    Sur l’autel de la Peur, de la Bêtise, de la Soumission. Pour un bénéfice sanitaire nul. Pire, les effets en seront désastreux, potentiellement mortels comme on le découvrira assez vite. Quant à l’objet réel de ces faux vaccins, les parents de ces pauvres enfants qu’on mène à l’abattoir semblent n’en avoir aucune idée. OD ► https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/12/31/injection-satanique-64-000-enfants-deja-sacrifies-france/

    Selon le secrétaire d’État chargé de la protection de l’enfance, Adrien Taquet, auprès du Huffington Post, « la vaccination permettra de diminuer les fermetures de classes, les fermetures d’écoles, les ruptures dans la scolarité » (sic).

    Face à l’accélération de l’épidémie de Covid-19, la France a démarré mercredi 22 décembre la vaccination des enfants de 5 à 11 ans. Et selon le secrétaire d’État chargé de la protection de l’enfance, Adrien Taquet, « en tout, 64.000 enfants ont été vaccinés depuis le début de la campagne, ça inclut des enfants fragiles et qui étaient éligibles avant le 22 décembre », a-t-il fait savoir dans une interview accordée au Huffington Post publiée ce jeudi 30 décembre.

    Puis d’encourager les parents à faire vacciner leurs petits : « Avec Omicron encore plus que précédemment, le bénéfice de la vaccination est un bénéfice individuel direct pour les enfants : cela amoindrit leurs chances d’attraper ce virus et d’en contracter une forme grave. »

    Cette mère de deux enfants, originaire du Lincolnshire, avait suscité la colère de nombreuses personnes sur les réseaux sociaux lorsqu’elle s’était vantée d’avoir fait vacciner son fils de cinq ans avec le vaccin Covid-19 Jab. La mère avait posté des photos de son fils recevant le vaccin, avec le garçon clairement en détresse. La photo avait suscité la colère des opposants au programme de vaccination, car Mme Blythe semble rire derrière son masque alors que son fils reçoit le médicament expérimental. Mme Blythe, qui dirige Blythe Consultancy, avait auparavant pris la parole sur Twitter pour attaquer les « anti-vaxxers » pour leur position sur le vaccin Covid, provoquant la colère de ceux qui l’avaient suppliée de ne pas soumettre son fils au vaccin expérimental à ARN. Dans un dénouement tragique, Mme Blythe, qui a maintenant verrouillé son compte Twitter, a annoncé que son fils, Benedict, était mort subitement à l’école : C’est mon fils, Benedict. Il est mort hier, soudainement, à l’âge de 5 ans. Je veux juste que tout le monde sache qu’il a existé, et qu’il voit son beau sourire et sache à quel point il était merveilleux. Il était une étincelle si brillante, le plus gentil des garçons. Le temps qu’il a passé avec nous a été le plus beau des cadeaux 💔 – Benedict Blythe est décédé soudainement, alors qu’il se trouvait à l’école, dans les jours qui ont suivi l’administration du vaccin Covid-19, bien que la cause du décès ne soit pas mentionnée dans les médias…

    Toutes mes pensées, aujourd’hui vont à Benedict, non à sa décérébrée de FuckerMother ! Et pensez qu’elle a encore une petite fille…

    Les preuves sont là, pour les rageux qui vont encore dire qu’on délire :
    https://www.peterboroughtoday.co.uk/news/people/peterborough-mum-speaks-about-reaction-following-tragic-sudden-death-of-son-5-3487958

    L’autre info a été supprimée, je n’y suis pour rien, mais comme un bon samaritain a relayé l’info = voilà le résultat ! On delate !

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  5. Traité par RFK Jr. dans son livre dynamite en cours de traduction par R71 que je compile au format PDF pour vous !

    Mais aussi, par le Presque Dr. T’Ché-RIEN via ses chroniques !

    Big Pharma achète pour 40 millions de dollars le silence du Dr Hill afin d’enterrer l’ivermectine ► https://lemediaen442.fr/big-pharma-achete-pour-40-millions-de-dollars-le-silence-du-dr-hill-afin-denterrer-livermectine/

    Le 18 janvier 2021, lors d’une conversation avec le Dr Tess Lawrie, le Dr Andrew Hill, qui a étudié et promu les propriétés de l’ivermectine pour le traitement du covid, a reconnu avoir préféré les dollars aux vies humaines. L’université de Liverpool, dont il est chercheur principal au département de pharmacologie et de thérapeutique, a reçu 40 millions de dollars d’UNITAID.

    L’UNITAID est soutenue par le lobby des vaccins, dont la Fondation Bill et Melinda Gates. Andrew Hill a admis que ses sponsors ont fait pression pour modifier ses conclusions. En effet, l’article est optimiste : « L’ivermectine a permis de réduire significativement la durée d’hospitalisation, significativement plus courte que celle du groupe témoin ». En revanche la conclusion est totalement inverse : « De nombreuses études incluses n’avaient pas encore été publiées ou revues par des pairs. Les méta-analyses sont sujettes à des problèmes de confusion. En outre, les normes de soins variaient considérablement d’un essai à l’autre, et la dose d’ivermectine et la durée du traitement étaient hétérogènes. L’ivermectine doit être validée dans des essais randomisés de plus grande envergure, randomisés et contrôlés. » Le rédacteur de la conclusion n’est de toute évidence pas le même que celui du corps du texte.

    Les effets de la lâcheté du Dr Andrew Hill et de l’avidité de Big Pharma

    Depuis la décision fatidique d’Andrew Hill d’autoriser son sponsor à « modifier » la conclusion de son article, 2,475 millions de personnes [11 mois x 30 jours par mois x 7500 décès par jour] sont mortes, dont 80% auraient pu être sauvées si l’ivermectine avait été approuvée. Donc, précisément 1,98 million de vies ont été perdues à cause de son revirement. Quarante millions de dollars, c’est la valeur de la donation faite à l’Université de Liverpool par UNITAID. Cette somme équivaut à 20 dollars et 20 cents par vie. C’est ce que nous valons tous dans le calcul du lobby des vaccins. (Le fait que le Dr Andrew Hill ait permis à une autre personne de modifier la conclusion de son article est connu et a été publié dans le livre Ivermectin for the World, de Justus Hope.)

    https://odysee.com/@corona_research:6/Ivermectine–l'affaire-Andrew-Hill.-Qui-a-fait-pression-sur-ce-chercheur-pour-qu'il-change-ses-conclusions–(d%C3%A9cembre-2021):0

    Transcription du dialogue entre le Dr Hill et le Dr Lawrie sur l’ivermectine.

    Dr Andrew Hill – Je pense que je suis dans une position très sensible ici.
    Dr Tess Lawrie – Beaucoup de gens sont dans des positions sensibles ; ils sont à l’hôpital, dans des unités de soins intensifs en train de mourir, et ils ont besoin de ce médicament. C’est ce que je ne comprends pas, vous savez, parce que vous n’êtes pas un clinicien. Vous ne voyez pas des gens mourir tous les jours. Et ce médicament prévient les décès de 80%. Donc 80 % des personnes qui meurent aujourd’hui ne devraient pas mourir puisqu’il y a l’ivermectine.
    Dr Hill – Le NIH [Instituts américains de la santé] n’accepterait pas de recommander l’ivermectine.
    Dr Lawrie – Oui, parce que le NIH appartient au lobby des vaccins… C’est une mauvaise recherche. Donc, à ce stade, je suis vraiment, vraiment inquiète pour vous.
    Dr Hill – Oui. Je veux dire, c’est une situation difficile.
    Dr Lawrie – Non, vous pourriez être dans une situation difficile. Je ne le suis pas parce que je n’ai pas de financeur. Je peux dire la vérité… Comment pouvez-vous délibérément essayer de foutre le bordel… vous savez ? Alors, combien de temps allez-vous laisser les gens mourir inutilement — ça dépend de vous ? Quel délai avez-vous prévu pour cela, sinon ?
    Dr Hill – Eh bien, je pense… je pense que cela relève de l’OMS et des NIH, de la FDA [Food & Drug administration] et de l’EMEA [Agence européenne pour l’évaluation des médicaments]. Et ils décideront quand ils jugeront que trop c’est trop.
    Dr Lawrie – Vous préférez… risquer la vie de nombreuses personnes. Vous savez que si vous et moi étions ensemble sur ce sujet, nous pourrions présenter un front uni et nous pourrions obtenir cela. Nous pourrions faire en sorte que ça arrive. Nous pourrions sauver des vies ; nous pourrions empêcher les gens d’être infectés. Nous pourrions empêcher les personnes âgées de mourir…
    Je suis médecin, et je vais sauver autant de vies que je peux. Et je vais le faire en faisant passer le message sur l’Ivermectine… D’accord. Malheureusement, votre travail va nuire à cela, et vous semblez être capable de supporter le fardeau de beaucoup, beaucoup de morts, ce que je ne peux pas faire.
    Dr Lawrie (à propos de la modification des conclusions) – Alors, qui est-ce, à UNITAID ? Qui vous donne des avis sur vos preuves ?
    Dr Hill – Eh bien, ce sont les gens qui sont là-bas. Je ne…
    Dr Lawrie – Pourriez-vous me donner le nom de quelqu’un à UNITAID à qui je pourrais parler, afin que je puisse partager mes preuves et espérer les convaincre de les comprendre ?
    Dr Hill – Oh, je vais devoir réfléchir à quel nom vous communiquer… Mais je veux dire que c’est très difficile parce que je suis, vous savez, j’ai ce rôle où je suis censé produire ce document et nous sommes dans un équilibre très difficile, délicat… Oui, c’est un lobby très fort…
    Dr Lawrie – Alors, combien de temps pensez-vous que l’impasse va durer ?
    Dr Hill – De mon côté. D’accord… Je pense que fin février, nous y serons dans six semaines.
    Dr Lawrie – Combien de personnes meurent chaque jour ?
    Dr Hill – Oh, bien sûr. Je veux dire, vous savez, quinze mille personnes personnes par jour.
    Dr Lawrie – Quinze mille personnes par jour fois six semaines… Parce qu’à ce rythme, tous les autres pays reçoivent de l’ivermectine, sauf le Royaume-Uni et les États-Unis, parce que le Royaume-Uni, les États-Unis et l’Europe sont détenus par le lobby des vaccins.
    Dr Hill – Mon objectif est de faire approuver le médicament et de faire tout ce que je peux pour qu’il atteigne le maximum…
    Dr Lawrie – Vous ne faites pas tout ce que vous pouvez, parce que tout ce que vous pouvez impliquerait de dire aux personnes qui vous paient : « Je peux voir que cela empêche les décès. Je ne vais donc plus soutenir cette conclusion, et je vais dire la vérité. » Eh bien, vous ne serez pas approuvé de la manière dont vous avez rédigé cette conclusion. Vous vous êtes, en fait, tiré une balle dans le pied, et vous nous avez tous tiré une balle dans le pied. Tous… tous ceux qui essayent de faire quelque chose de bien. Vous l’avez en fait complètement détruit… Je ne sais pas comment vous arrivez à dormir la nuit, honnêtement.
    La censure des publications scientifiques

    À lire cette note éditoriale, l’article du Dr Hill sur l’ivermectine a été carrément enterré : « Le 6 juillet 2021, Open Forum Infectious Diseases a publié une version de ce préprint. Les auteurs ont appris par la suite que l’une des études sur lesquelles cette analyse était basée avait été retirée en raison de données frauduleuses. Une déclaration de préoccupation a été publiée le 9 août 2021. Les auteurs ont soumis une version révisée excluant l’étude problématique, et l’article publié initialement a été rétracté. La version révisée est désormais disponible sur le site du journal. »
    Le rouleau compresseur des médias grand public

    Le 13 octobre 2021, le Guardian (financé par la Fondation Bill & Melinda Gates) a offert une page de publicité pour les vaccins et, bien entendu, contre l’ivermectine. Elle est signée Andrew Hill ! Disons que le rédacteur n’a eu aucun scrupule à utiliser la signature du chercheur (lequel a déjà accepté que Big Pharma réécrive la conclusion de son étude sur l’ivermectine). Voici l’article : « Nous avons […] trouvé plusieurs exemples de fraude médicale dans les essais cliniques de l’ivermectine : certaines bases de données avaient été tout simplement inventées par des médecins peu scrupuleux. Lorsque nous avons éliminé tous les essais cliniques de mauvaise qualité, l’ivermectine ne présentait plus aucun avantage clinique. […] Après notre reportage sur la fraude médicale en juillet 2021, les abus ont empiré. On m’a envoyé des images de criminels de guerre nazis pendus à des lampadaires, des images vaudoues de cercueils qui se balancent, des menaces vives selon lesquelles ma famille n’était pas en sécurité, que nous allions tous brûler en enfer. […] Ma réputation scientifique a également été menacée par courrier électronique. Je connais de nombreux autres scientifiques qui ont été menacés et maltraités de la même manière après avoir encouragé la vaccination ou remis en question les avantages de traitements non éprouvés comme l’ivermectine. Si les scientifiques ne peuvent pas communiquer par peur des menaces et des abus, comment peut-on contrôler toute la désinformation ? Si nous laissons cette désinformation se répandre sans contrôle, il y a un réel danger que les gens ne se fassent pas vacciner — ils croiront qu’ils peuvent prendre un traitement alternatif et être protégés, même s’il n’y a aucune preuve réelle. Ces personnes pourraient alors être infectées, hospitalisées et même mourir du Covid. Il y a tellement de patients non vaccinés qui sont hospitalisés au Royaume-Uni, alors qu’ils auraient pu faire un choix différent avec les bonnes informations. »

    Big Pharma fait feu de tout bois : des articles scientifiques réécrits aux ragots de la presse poubelle, tout est bon pour éviter qu’un traitement puisse guérir du covid et empêcher la vente de vaccins. À l’ivermectine, l’université de Liverpool donnait la préférence au molnupiravir plus rentable (710 $ la dose aux États-Unis). Un traitement tellement prometteur (de dividendes) que Oliver Véran a annoncé le 26 octobre en avoir commandé 50 000 doses pour 30 millions d’euros. Mais patatras ! la Haute Autorité de Santé a refusé de l’autoriser. Deux fonctionnaires du ministère de la Santé de l’île Maurice en ont commandé. Résultat : ils se retrouvent en prison. Olivier Véran est toujours en liberté. Tout cela pour vendre (très cher) des médicaments ou de pseudo vaccins, quand des molécules d’un prix ridicule peuvent soigner. Rappelons que la boîte de 4 comprimés d’ivermectine ne coûte que 8,53 €.

    Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.

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  6. Elie Domota arrêté par la gendarmerie et libéré sous la pression du peuple guadeloupéen ► https://lemediaen442.fr/elie-domota-arrete-par-la-gendarmerie-et-libere-sous-la-pression-du-peuple-guadeloupeen/

    S’il fallait une autre preuve de résistance qui fonctionne, qui fait fléchir le pouvoir de la dictature sanitaire, regardez les vidéos ci-dessous pour vous en convaincre. Le syndicaliste Elie Domota participait à la manifestation du 30 décembre contre les mesures sanitaires la veille de la date butoir du 31 décembre pour la mise en œuvre effective de l’obligation vaccinale des soignants et des pompiers.

    Lors de cette manifestation à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe, la gendarmerie décide de lancer des gaz lacrymogènes sur la manifestation, alors que celle-ci se passait pacifiquement. Loin d’être impressionnés, les Guadeloupéens décident de passer le barrage, les mains levées, afin d’exprimer leur non-violence. C’est à ce moment-là que les forces de l’ordre gazent en plein visage et décident d’arrêter une personne. Ce sera Élie Domota. Au rond-point de Petit Pérou aux Abymes, il est mis à terre, menotté. Les yeux brûlés par les gaz, le syndicaliste sera emmené en détention. Le responsable du collectif LKP est accusé de violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique, bien que les images prises par la chaîne de télévision Canal 10 montrent le contraire.

    Le Communiqué de presse de l’UGTG par la voix de sa secrétaire générale Maïté Hubert M’Toumo dénonce : « Ce jeudi 30 décembre 2021, notre dirigeant Élie Domota — ancien secrétaire général de I’UGTG, porte-parole du LKP — a été agressé par la gendarmerie, à Petit- Pérou. Les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène, tiré en plein visage, alors qu’il était dans une manifestation pacifique, sur la voie publique. II s’agit là d’une atteinte grave à une liberté fondamentale qu’est le droit de faire grève. L’UGTG considère que L’arrestation d’ÉIie Domota est une provocation. L’UGTG demande à tous les adhérents et militants de renforcer les piquets de grève ! »

    L’arrestation du leader LKP aura pour conséquence de nouveaux barrages érigés, comme ici à Pointe-à-Pitre. Les manifestants déterminés à faire libérer leur camarade décident de se rendre au commissariat. Face à l’attroupement et à la pression, le parquet de Pointe-à-Pitre, par son procureur, communique sur Twitter : « La garde à vue de M. Élie Domota a été levée. L’intéressé est convoqué devant le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre le 7 avril 2022. » Explosion de joie devant le commissariat de Pointe-à-Pitre à la sortie de prison d’Élie Domota. Une foule à perte de vue chante la victoire d’une libération qui a des airs de bataille gagnée haut les mains.

    Le peuple guadeloupéen réussit un coup de force en faisant plier les autorités françaises. Une déculottée qui démontre, à la veille de l’obligation vaccinale sur l’île, que la lutte gagne encore des points et pas des moindres.

    Marcel D. pour Le Média en 4-4-2

    https://rumble.com/vrp4b9-domota-lirr-.html

    UN POING C’EST TOUT !

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  7. EXCELLENTE LETTRE DE MONSIEUR CHARLÉLIE COUTURE À MACRON , NOUS SOMMES EN GUERRE …… AÀLIRE À PARTAGEZ SVP ► https://ns2017.wordpress.com/2021/12/27/excellente-lettre-de-monsieur-charlelie-couture-a-macron-nous-sommes-en-guerre-a-lire-a-partagez-svp/

    Lettre à E.Macron par Charlelie Couture…

    « NOUS sommes en guerre, oui !NOUS sommes en guerre, oui ! NOUS, les non-essentiels, NOUS, les inutiles, NOUS, les riens, NOUS, les Lumières plongées dans l’ombre, NOUS, les Gens de l’Esprit et de la Culture,NOUS, les restaurateurs, ceux des plaisirs de la bouche et du plaisir tout court,

    Oui, NOUS sommes en guerre,

    NOUS, les personnels et techniciens du spectacle, ceux des théâtres et des cinémas, NOUS, les Acteurs et les Comédiens mis aux arrêts forcés, NOUS, les Musiciens,

    NOUS tous que vous considérez comme des paresseux mais ne rêvons que de travailler

    ,Et tous ceux de la nuit, ce monde qui vit la nuit, cette nuit NOIRE que vous associez au Mal, cette peur médiévale qui accompagne la nuit quand le Diable revient, ce Mal qui grandit quand le soleil s’est couché, -désormais après 20 h-, ce Mal viral dont la définition change au gré de vos humeurs, cette menace invisible d’abord définie comme létale, mais dont la dangerosité s’estime désormais en termes de « cas », (d’où la suggestion de recourir à des tests massifs afin d’obtenir des grands nombres impressionnants), dans l’intention de soumettre à se faire faire inoculer dans l’urgence, une opinion publique de plus en plus sceptique, malgré la pression permanente des médias, elles-mêmes sous surveillance.NOUS, que vous traitez avec un détachement scandaleux,

    Oui, NOUS sommes en guerre contre VOUS ! Contre le Janus qui répète qu’il « assume », lui qui se croit doué d’un super pouvoir de séduction absolu, qui lui permet d’envoûter et de berner comme un camelot tous ceux qu’il rencontre, lui le Petit Prince tellement condescendant vis-à-vis du Peuple et de la classe moyenne, Oui.

    Nous sommes en guerre contre VOUS cet orphéon de sous-fifres opportunistes qui improvisent au jour le jour une chorale cacophonique, cette ribambelle de technocrates cyniques feignant d’ignorer froidement les drames dans lesquels plongent ceux qui sont concernés par ces décisions ciniques,

    VOUS, dont les discours lénifiants et versatiles conjuguent à la fois l’ignorance et l’absurde, Contre VOUS, dont les incohérences nous inondent comme des pluies acides sur notre forêt de rêves,

    Contre vos fausses promesses et vos effets d’annonce comme un coup de bluff permanent, affirmant des choses un jour, et le contraire le lendemain avec le même aplomb!

    Contre vos fanfaronnades ineptes et vos décisions inopinées, Contre vos lois votées en catimini, Nous sommes en guerre oui !

    Contre les mafias milliardaires et autres géants de Big Pharma, Contre votre déni effectif des menaces climatiques au profit d’une consommation capricieuse et sa pollution d’objets inutiles distribués par les géants de la distribution ,

    En guerre contre une économie de cavalerie et de course en avant qui « invente » des milliards virtuels, et nous entraîne à court terme vers le grand délire d’une économie irréelle, comme une plongée dans un puits sans fond.

    La France n’est pas sereine, noyée dans une sorte de chaos et d’écœurement causés entre autres par la surprotection d’une police répressive et les disputes intestines entre spécialistes illuminés aussi malsaines que des bagarres de rues entre bandes de supporteurs alcoolisés.

    La France n’est pas en paix avec elle-même, quand les mêmes qui dénonçaient les lois du califat imposant le silence et le voile, oui, les mêmes interdisent de la même manière depuis des mois à la fois le théâtre, la musique, les musées, les rencontres populaires (sportives ou artistiques), et puis les restaurants, les rassemblements de fêtes joyeuses et conviviales, et maintenant Noël en famille et la Saint Sylvestre…

    Conscients que les enfants dans les écoles apprennent à devenir fous, oui, nous sommes en guerre, une guerre secrète, une guerre interne, pour l’heure encore en implosion, mais dont les conséquences seront graves. On devine la colère qui gronde et les gens désespérés sont prêts à exploser, prêt à se faire exploser, suicidaires.

    Un pouvoir si puissant soit-il ne tient que par l’acceptation ou le refus du Peuple d’obéir. Désormais NOUS sommes en guerre, oui, Pour défendre notre droit à continuer de vivre dignement, Pour défendre notre Liberté légitime et notre droit de penser autrement !
    Charlélie COUTURE

    CHARLELIE COUTURE REND HOMMAGE A JACQUES HIGELIN AU TRIANON 12 04 19

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      1. Ouais…
        Y’en a plein !

        Adèle exige aussi un paSSe-nazitaire VALIDE pour avoir l’honneur de l’entendre chanter…

        Bon, j’menbatslec, mais d’une force !
        J’en n’ai pas ? Pas grave…

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  8. A propos de l’échec de la campagne de vaccination ► https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/12/30/a-propos-de-lechec-de-la-campagne-de-vaccination/

    Voici un texte qui m’a été communiqué via un canal privé et dont je dois respecter l’anonymat souhaité par l’auteur, un médecin spécialiste à la retraite. Bonne lecture !­
    1/ Il n’était pas réaliste de penser que le « vaccin » puisse être efficace à 95% longuement. On pouvait tabler en se référant à ce que nous savons concernant la grippe sur 50%, ce qui a été le cas en particulier chez les personnes les plus concernées âgées et immunodéprimées, et dans ce cas parfois 0%. Les expertises effectuées chez des sujets jeunes et en bonne santé ne pouvaient qu’ aboutir à une surévaluation. La mauvaise surprise a été la durée, constatée très faible de la protection, quelques mois tout au plus rendant vaine toute tentative d `éradiquer le virus par une campagne massive de vaccination.
    2/ L’administration d’ARN a pour résultat de faire produire de façon massive une protéine unique et la production d’anticorps qui s’ensuit n’est pas adaptée aux variants. De ce fait la personne vaccinée est moins protégée contre le variant suivant qu’une qui aurait produit des anticorps à spectre plus large suite à une contamination. La vaccination de masse fait que face à chaque variant tout se passe comme si toute la population était naïve.
    3/ La vaccination de masse est en elle-même un facteur favorisant l’apparition des variants ( cf Delfraissy et co. .). Les points 2 et 3 amènent à penser que même si le « vaccin » est susceptible, comme il est dit, de protéger des formes « graves » il pourrait être, d’une part en conférant une protection trop ciblée aux personne injectées, d’autre part en favorisant l’apparition de nouveaux variants à l’origine d’une prolongation de la période épidémique et provoquer ainsi l’effet inverse à celui recherché.
    4/ Il est possible, non démontré, qu’après la vaccination survienne la production d’anticorps dits « facilitants ».
    5/ Dernier point, non le moindre, les effets indésirables. Pour Véran tout va bien mais pendant ce temps les bases de données de la pharmacovigilance se remplissent sans que personne parmi les autorités ne fasse mine de s’en soucier. Une commission parlementaire dédiée à ce problème pourrait être la première approche, non la seule, les citoyens devront s’en mêler. Et ceci signifie qu’il faut de toute façon épargner les enfants. Qui pourrait se remettre de la mort d’un seul enfant par exemple par myocardite ? Et corollaire, l’approche vaccinale par ARN messager n’est pas la bonne.
    P.S. Je ne suis qu’un médecin retraité, néanmoins possesseur de quelques neurones et de quelques titres hospitalo-universitaires. Si les conclusions de mes propos sont personnelles, les bases de réflexion sont issues de l’examen de faits reconnus (source John Hopkins) et de publications référencées (Delfraissy, Lina, Lascola, Gayet…). A partir de là, ceux qui aiment réfléchir réfléchiront.

    1) Inefficacité de la vaccination de masse
    – IMPORTANT : Intervention du virologue belge Geert Vanden Bossche
    – Rappel : exposé de Christian Vélot sur les technologies vaccinales (cet entretien date d’octobre-novembre 2020)
    – On ne vaccine pas massivement durant une pandémie avec un vaccin qui ne protège pas de l’infection : c’est ce qu’on apprend en début de première année de médecine, mais visiblement ni Fischer ni Delfraissy ne s’en souviennent.
    – La pression vaccinale massive privilégie les variants qui échappe aux anticorps vaccinaux ; pire, ces anticorps peuvent ensuite devenir « facilitants » , comme cela a été le cas pour le vaccin Dengvaxia de Sanofi : des centaines d’enfants philippins sont morts, mais naturellement ce n’est pas grave : dans les années 70, cinquante morts suffisaient pour qu’une AMM soit retirée ; mais Dengvaxia est toujours commercialisé, au nom du soi-disant rapport « bénéfices-risques » naturellement.
    – S’obstiner à vouloir immuniser contre un virus qui manifestement ne répond pas à l’immunité acquise, qu’elle soit naturelle ou vaccinale, relève d’une attitude irresponsable. Un des ces irresponsables déclarait récemment : à force de faire des doses de rappel, on finira par développer l’immunité cellulaire. Cela reste à prouver mais en revanche, cela déclenchera des maladies auto-immunes (rappelons ici que la protéine spike est ancrée à une cellule, et le système immunitaire doit alors détruire la cellule en question).

    – Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, interpellé par la mise en évidence d’une proportion anormalement élevée de personnes vaccinées contre le sars cov 2 présentant des formes plus graves dans le covid 19 que lors d’une infection virale de personnes non vaccinées, estimait en août 2021 qu’il serait peut-être nécessaire de modifier les vaccins actuels qui présentent un certain nombre d’inconvénients. Toutes les modifications nécessaires seraient trop longues à expliquer ici, mais il pensait notamment qu’il faudrait produire une protéine spike modifiée de sorte qu’elle ne soit pas capable de se fixer sur le récepteur ACE2 des cellules cibles. Cette modification lui semblait techniquement possible mais il pensait que si les laboratoires ne l’ont pas fait, c’est parce qu’ils sont allés au plus simple, les choses étant déjà assez compliquées comme cela. Voici sa conclusion , incluant les malades présentant des comorbidités : » Si le phénomène ADE (voire ERD ) existe dans le cas de la vaccination actuelle, il est probable que les rappels vaccinaux (3ème et 4ème dose) augmentent la proportion d’ anticorps facilitants ce qui conduirait à un effet potentiellement opposé à celui que l’on recherche : le remède serait pire que le mal. «

    2) Effets secondaires et toxicité de la protéine spike
    – La maladie covid n’est pas une maladie pulmonaire : c’est une maladie de l’inflammation et une maladie du sang ; et sa gravité est liée à la protéine spike qui est cytotoxique. Les vaccins sont donc eux aussi toxiques parce que la protéine spike est toxique. A cet égard, ils ne sont pas vraiment des vaccins au sens classique. Ils procèdent plutôt par mithridatisation : on injecte un poison (ou plutôt on fait produire par les cellules un poison) ; l’immunité associée ne peut être alors que de courte durée
    – Les vaccins ARN et ceux à adénovirus amènent les cellules à produire cette protéine toxique en quantité non contrôlée : en effet, la quantité de protéines spike va beaucoup dépendre du métabolisme des personnes injectées : plus les personnes sont jeunes, plus les cellules sont dynamiques et vont en produire : les personnes âgées souffrent moins d’effets secondaires à court terme ; les myocardites et les autres conséquences graves concernent des personnes jeunes. Mais la quantité de spike dépend aussi énormément du fonctionnement cellulaire de chaque individu. La plupart effets secondaires graves sont très probablement liés à un taux considérablement plus élevé de protéine spike (un rapport cent voire davantage entre deux personnes est tout à fait plausible).
    Les défenseurs du vaccin soutiennent que le taux de protéine Spike dans le sang est très faible : naturellement, puisqu’elle se lie rapidement à un récepteur cellulaire ACE2 qu’elle rencontre. Les protéines spike peuvent provoquer des inflammations et des micro-caillots dans tous les vaisseaux sanguins, car les récepteurs ACE2 sont présents dans toutes les cellules de l’endothelium des artères et des veines. Les rares autopsies réalisées post-mortem montre une présence de spike dans tous les organes (dont notamment les ovaires, le coeur, le foie et les poumons). On rencontre naturellementi aussi une invasion pour le coup massive de spike dans les formes les plus graves de Covid, mais pas dans les formes légères, où les virus sont neutralisés en amont dans la sphère ORL..
    – La covid n’est pas une maladie mortelle pour des personnes dont l’immunité n’est pas dégradée : sur les 130000 morts en Italie avec la covid, seuls 3500 sont décédés de la covid sans comorbidité majeure connue. Néanmoins, il ne s’agit en rien d’une maladie anodine, car il faut s’efforcer par tous les moyens possibles d’éviter d’avoir des quantités importantes de protéines spike dans le sang ; en cas de maladie covid symptomatique, de nombreux traitements précoces sont possibles.
    – La toxicité de spike conduit notamment à un dérèglement du système immunitaire : non seulement le taux de lymphocytes baisse, mais la proportion des lymphocytes tueurs T CD8 baisse davantage que les lymphocytes CD4 : ce déséquilibre pose problème ; c’est d’ailleurs un des marqueurs du vieillissement cellulaire.
    – Une étude de laboratoire suédoise publiée à la mi-octobre révèle que la protéine spike peut pénétrer dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages subis par l’ADN, compromettant ainsi l’immunité adaptative d’une personne et favorisant peut-être la formation de cellules cancéreuses : « Sur le plan mécaniste, nous avons constaté que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des dommages subis par l’ADN », écrivent-ils. « Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vaccins à base de spike entière ».
    Ces effets ne concernent pas la protéine spike seule : ils sont communs à des milliers de substances comme les pesticides, les perturbateurs endocriniens, et de nombreux médicaments. Mais ici, l’injection répétée directement dans le corps d’un telle substance est littéralement un empoisonnement à petit feu.
    – Les injections, dose après dose, booster après booster, vonr éroder peu à peu mais inexorablement le système immunitaire.
    a) Effets secondaires à court terme : le nombre et la gravité sont inédits dans l’histoire de la vaccination
    – Peu de personnes pourraient citer le nom d’une connaissance mort de la covid sans comorbidité majeure ; mais la plupart des personnes peuvent témoigner pour eux ou pour leurs proches d’effets secondaires (maux de tête intenses, fièvre) certes légers, mais inhabituels par leur fréquence pour des vaccins ; beaucoup se sont rassurés en se disant que c’est la preuve que ce sont des vaccins puissants et efficaces ; pour l’efficacité, chacun peut désormais en juger.

    – Les témoignages doivent être pris avec précaution, puisque le vaccin n’en est pas nécessairement la cause. Mais il y a une grande partie d’entre eux qui concerne des problèmes liés à des problèmes de coagulation. Par ailleurs, il est avéré la protéine spike est toxique et empoisonne le sang. Faire produire en quantité incontrôlée la protéine spike par nos cellules est une folie.

    – Témoignages (avertissement important : les enfants et les personnes sensibles ne doivent pas regarder)

    Témoignages twitter ; Effets secondaires (*) ; Projet témoignage (lancé par des israéliens victimes du produit Pfizer).
    Ces témoignages ne sont pas inventés ; on n’est pas sur BFM-TV où des mauvais acteurs de la LREM comme Francis Palombi jouent les malades non-vaccinés repentis. Dans le document (*), on voit aussi une infirmière à qui on a demandé de réciter (en direct sur une chaîne TV) un tissu de mensonges (pour effrayer la population et inciter à vacciner les enfants) et qui ne peut terminer sa phrase et s’effondre en murmurant : » Je ne peux pas « .
    – Il y a officiellement 30 enfants morts et des centaines d’handicapés à vie sur les 7 millions d’enfants injectés aux USA.
    Mais comme en France, il y a moult témoignages de victimes non enregistrées dans le VAERS, car il faut qu’un médecin s’implique dans le dossier, et Dieu sait qu’il est bien difficile aujourd’hui pour eux (et même risqué) de s’opposer à la doxa : « Les vaccins ARNm sont sûrs et efficaces ». En France, les ANSM régionaux reçoivent depuis la campagne vaccinale tant de signalements qu’ils n’ont pas les effectifs suffisants pour les traiter. Et quand on voit les deux directrices de l’ANSM (interrogées ici par des sénateurs), on comprend qu’elles minimisent (sans doute par auto-persuasion : les idiots utiles sont partout). Il y a tant de cas de problèmes menstruels signalés par des jeunes femmes que le déni de l’ANSM lui ôte toute crédibilité. De la même façon on pourrait dire qu’il n’y a aucune corrélation entre l’administration des “vaccins” et la protection contre la covid, tout du moins aucune certitude, puisque c’est ce qu’on répond systématiquement aux victimes d’effets secondaires et aux familles de patients.
    Castex n’a aucun scrupule. Devant micros et caméras, il accuse sa pauvre fille de onze ans de l’avoir contaminé. Les enfants ne sont pas fortement contaminants pour la bonne et simple raison qu’is ne sont pas malades. Sinon, d’innombrables clusters seraient apparus dans les écoles : il n’y en a jamais eu. Sa fille n’était pas malade. Elle avait été positive à l’un des délirants tests PCR : dans 9 cas sur 10, les tests positifs correspondent à la présence d’un résidu de virus complètement inoffensifs captés par le nez dans un courant d’air. Si on appliquait la même méthode aux pollens au printemps, 100% des personnes seraient déclarés allergiques.
    Castex et Véran, en vaccinant les enfants, vont causer la mort des dizaines d’enfants en pleine santé et des dizaines d’autres resteront handicapés à vie.
    Et une multitude d’enfants vaccinés subiront un affaiblissement inexorable et irréparable de leur système immunitaire.
    – Affirmer au début qu’AstraZeneca était à l’origine de thromboses cérébrales était un propos « complotiste », maintenant ce vaccin n’est plus recommandé en raison de ces mêmes effets secondaires de même pour le vaccin Janssen. Quant à Moderna, il est interdit ou d’usage limité dans plusieurs pays scandinaves ; il le sera sans doute en France une fois les stocks écoulés (il en reste entre 5 et 10 millions : les volontaires sont priés de tendre le bras). Les vaccins Pfizer et Moderna sont désormais accompagnés de la mention « Effets secondaires graves » au Japon.
    – Véran prétend qu’il n’y a aucun mort lié au vaccin ; l’OMS recense officiellement 40000 morts suspectes post-vaccinales dans le monde (les 3/4 en Europe et aux USA) : on peut interpréter comme on veut ce nombre de décès, mais la répartition très inégale géographiquement devrait à elle seule interpeller. Véran parle de « myocardite réversible » : Une myocardite grave laisse des cicatrices cardiaques qui diminueront l’espérance de vie. Selon la doxa officielle (cf par exemple Steve Pascolo), la protéine spike resterait principalement dans le muscle de l’épaule. Néanmoins, après une période de déni, il est désormais reconnu officiellement que des cas de myocardites sont causés par le vaccin : en réalité, la protéine se retrouve partout dans le corps.

    b) Effets secondaires à moyen et long terme

    – Tout le monde a entendu parler des « rares » cas de myocardites chez les jeunes hommes notamment. Contrairement à ce que Véran prétend, il n’y a pas de myocardite grave « réversible » et leur nombre doit être comparé à ceux des années précédentes. De plus, ces problèmes cardiaques ne concerneront pas que quelques personnes isolées. Une étude de l’AHA qui suit des patients présentant des risques cardiaques a pu comparé les marqueurs de risques cardio-vasculaires avant et après la vaccination par ARNm. Sur la population de l’étude certes à la fois de santé fragile et limitée en nombre , ils ont noté une augmentation de 20% des marqueurs d’un risque d’infarctus de myocarde dans les cinq prochaines années.
    – Il y a l’appel de Robert Malone, (pionnier dans la technique de l’ARNm à la fin des années 80) le 12 décembre dernier,
    pour supplier les parents de ne pas vacciner leurs enfants, ainsi que la Déclaration de Rome du collectif de 15000 médecins.
    La réponse des « fast-checkers » : ils évoquent l’Agence Européenne du Médicament : il suffit de savoir comment la VRP de Pfizer Ursula Van der Layen a forcé la main de l’EMA pour l’autorisation de mise sur le marché du Comirnaty et comment l’EMA a facilement cédé, pour n’accorder aucun crédit à cette agence.
    La protéine spike inoffensive ? Les études récentes contredident complètement cette hypothèse ; non seulement, la protéine pourrait pénétrer dans le noyau cellulaire et perturber les fonctions réparatrices de l’ADN mais elle pourrait aussi conduire à une reprogrammation de l’immunité innée. Ce problème concerne aussi les formes graves de covid : le point essentiel est d’éviter au maximum la présence de la protéine spike. Un système immunitaire solide pourra peut-être rétablir son équilibre, mais une succession d’injections conduirait à une destruction inexorable du système immunitaire, sans parler du développement de maladies auto-immunes notamment chez les enfants.
    Robert Malone, par son appel, a d’ores et déjà sauvé des dizaines de vies d’enfants aux USA et en Israel, et sans doute des centaines pour les futures années ; aujourd’hui, la moitié de la population israélienne (à confirmer) a refusé la troisième dose (et celles qui vont suivre) et préfèrent se priver du fameux passeport vert plutôt que de risquer leur santé.
    – Les anticorps vaccinaux ne protègent de la protéine Spike que sur une durée limitée; en effet, les vaccins induisent un taux très élevé d’anticorps, mais des anticorps très spécialisés. Le système immunitaire est un équilibre subtil qui lui permet de combattre les agents extérieurs (le non-soi) sans détruire les propres cellules de l’organisme (le soi). Les anticorps induits par les vaccins Pfizer-Moderna ont pour fonction de détruire les cellules présentant à leur surface une protéine Spike ; le niveau de ces anticorps n’est pas viable à long terme et le système immunitaire va créer une seconde génération d’anticorps (dits anti-idiotypes) qui vont neutraliser les anticorps initiaux : c’est pourquoi ce taux s’effondre rapidement ; le problème (cf article mentionné) vient du fait que ces anticorps anti-idiotypes vont avoir des propriétés communes avec la protéine Spike (un anticorps doit présenter une configuration géométrique complémentaire de l’antigène ; un anticorps anti-idiotype va donc avoir une configuration géométrique proche de la configuration de l’antigène, comme l’image miroir d’une image miroir) ; il est possible que ces anticorps anti-idiotypes héritent de certaines des propriétés des protéines Spike, et ainsi prolongent leurs effets délétères de nombreux mois après l’injection. Ce qui pourrait en tout cas être une hypothèse pour expliquer certains covids longs d’une part et des effets secondaires post-vaccinaux tardifs d’autre part.

    – Pour nous convaincre des prouesses de l’innovation, on nous a présenté à l’automne 2020 des petits schémas simplets diffusés largement pour expliquer le principe de l’ARNm. Mais le système cellulaire est bien plus complexe qu’un simple programme informatique qu’on fait éxecuter à un ordinateur.
    Une injection Pfizer apporte dans un muscle de l’épaule plusieurs milliers de milliards de brins ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques. Une partie seulement environ va rester dans le muscle de l’épaule et le reste est collecté par le système lymphatique. Seule une infime fraction de ces brins va arriver au ribosome d’une cellule qui va alors produire quelques centaines de protéines spike (pour comparaison, un vaccin à virus inactivé comme Sinopharm contient seulement quelques millions de virus inactivés, chacun de ces virus ayant à sa surface une centaine de protéines spike). Dans le cas du vaccin Pfizer, la fraction de ces brins qui va arriver au ribosome d’une cellule va beaucoup varier d’une personne à une autre, et donc il en de même de la quantité de protéines spike produite : c’est un vrai problème de cette technologie (dans le cas des vaccins à virus inactivés, la quantité est fixe). Reste à espérer (c’est ce qu’assure Pfizer …) que dans la plupart des cas, la quantité de protéines spike produite reste relativement faible.

    3) Risque d’ADE

    – Les protéines spike des précédentes injections restent en partie présentes dans le corps, diminuant d’autant l’efficacité du système immunitaire.
    Si vous ajoutez une nouvelle injection, les quantités de spike vont se cumuler.
    – Les anticorps que produira le corps suite à l’injection correspondront à nouveau évidemment à la spike du vaccin, qui correspond à la spike de la souche initiale du virus (Wuhan), mais pas à celle des nouveaux virus : les coronavirus auront toujours une longueur d’avance.
    Un vaccin contre un coronavirus ne peut être efficace que quelques mois, et vacciner avec un vaccin démodé est à la fois inutile et dangereux.
    – En effet, le variant delta était apparu en octobre 2020 en Inde avant les campagnes massives de vaccination ; mais le variant omicron est le premier varian échappant à la pression vaccinale, et il en sera de même de même de tous ceux qui vont suivre. Dans ce cas, la vaccination n’a au mieux aucun effet, puisque les anticorps de la spike de l’injection ne peuvent plus neutraliser le nouveau virus. Ils ne sont plus neutralisants.
    Mais il y a un léger risque d’ADE, c’est-à-dire que les anticorps produits lors des précédentes injections facilitent l’infection par le nouveau variant.
    Autrement dit, les anticorps de spike vaccinale non seulement ne sont plus neutralisants, mais ils peuvent s’avérer facilitants.
    Les anticorps induits par le vaccin vont quand même pouvoir s’arrimer à une partie de la spike du nouveau virus ; mais ils ne recouvriront pas suffisamment la spike du virus et celui-ci disposera encore d’une clé libre permettant d’infecter les cellules.Sauf virus particulièrement virulents, les anticorps naturels qui sont très variés peuvent effectivement facilement bloquer les différentes clés du nouveau virus ;mais ici, la présence des anticorps vaccinaux arrimés aux spike du virus peut les empêcher de s’approcher du virus. Alors une infection qui aurait été bénigne peut être aggravée, comme si on avait perdu une partie de ses défenses immunitaires. Et si un nouveau virus émerge qui est nettement plus virulent qu’omicron, ce peut être un vrai problème. Le risque d’ADE ne semble pas un risque majeur pour les coronavirus. Mais il convient sans doute d’être très prudent.
    En termes de vaccin, il faudrait soit utiliser une vaccination à virus entiers inactivés (les anticorps créés sont beaucoup plus variés, notamment, certains ciblent la protéine N du virus, qui mute beaucoup moins vite que la spike S), soit un vaccin ARNm, mais à deux conditions essentielles : d’une part, il doit correspondre au code ARN de la spike des nouveaux virus ; d’autre part, il doit faire produire une spike modifiée de sorte qu’elle ne soit plus capable de se fixer sur le récepteur ACE2 des cellules cibles, comme l’explique Jean-Marc Sabatier (cf paragraphe 1) afin d’éviter les effets délétères de la spike. En fait, le principe même des vaccins ARNm pose problème, de par la quantité incontrôlée de protéines fabriquées.
    Comme le risque d’un ADE délétère ne peut pas être négligé (tout en étant semble-t-il limité), il est absurde de continuer la vaccination de masse pour la troisiéme dose (et les suivantes) tant que le vaccin proposé est celui construit sur la souche initiale du virus.

    4) Vaccin

    La folie vaccinale en cours n’est finalement que le stade ultime de l’empoisonnement du monde qu’on subit depuis les années soixante.
    Quel vaccin choisir demain ?
    Eviter absolument toute nouvelle injection de Pfizer ou Moderna qui ne sont plus efficaces en terme d’immunité mais surtout empoisonnent le sang (micro-caillots) et de nombreux organes vitaux (à des niveaux très différents selon les individus).
    De plus, après la vaccination, le niveau d’anticorps N concernant la protéine de l’enveloppe du virus est trop faible par rapport à celui de des anticorps S associée à la spike : cf UK Health Security Agency page 23, ce qui peut engendrer de graves problèmes dans la réponse immunitaire car la protéine S est beaucoup plus susceptible de muter que la protéine N.
    De façon générale, il vaut mieux avoir une protection équilibrée N et S ; c’est pourquoi le vaccin Valneva convient tout à fait (mise sur le marché prévue en avril 2022), qui est basé sur le principe classique des vaccins à virus inactivés qui ne présente aucun risque (sauf le petit risque lié à l’adjuvant). Dans le cas d’une vaccination par le vaccin Valneva comme dans celui d’une infection naturelle, les taux d’anticorps N et S sont équilibrés, et comme la protéine N mute beaucoup moins que la S, la durée d’efficacité du vaccin sera nettement augmentée.
    5) Mise en garde sur les grands risques en cours
    Je sais bien que beaucoup ne seront pas encore convaincus, peut-être par principe. Je veux bien débattre avec ceux qui voudraient sur le seul sujet dont il question ici : le vaccin Comirnaty de Pfizer est-t-il dangereux ? L’Agence Européenne du Médicament a été forcée par Mme Van der Layen à abréger l’étude du dossier. Est-ce raisonnable pour un médicament de façon générale, et a fortiori pour un vaccin qui sera administré à des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants en bonne santé ?

    Il s’agit alors de répondre aux questions suivantes :
    1) La protéine spike est-elle intrinsèquement toxique ? je parle de la protéine en géométrie ouverte codée par l’ARNm ; c’est d’ailleurs cette configuration ouverte qui lui permet de se fixer sur un récepteur ACE2 (dans le cas de la spike virale, la configuration n’est ouverte que lorsque la protéine se trouve à la surface d’un virus). Des études récentes sur le sujet vont toutes dans le sens d’une grande cytotoxicité. Peu à peu, la protéine altère le système immunitaire : qui demain, pour une douleur au foie, pour une pneumonie, pour un AVC, pour une crise cardiaque fera le lien avec l’empoisonnement qu’il aura conscienceusement reçu à coup de doses successives de ce « vaccin » qui auront fini par détruire son système immunitaire ?
    2) La quantité de spike produite est-elle contrôlée ? Potentiellement, avec les mille milliards de brins d’ARNm injectés, on pourrait créer plus de protéines spike que de cellules … ; en fait, seule une partie infime de ces brins d’ARNm rejoindront le ribosome d’une cellule ; cette quantité va dépendre du fonctionnement cellulaire de chaque individu, et il convient de bien comprendre que ce n’est pas absolument pas ce qui se passe lorsqu’un virus se reproduit dans une cellule : fruit de millions d’années d’évolution, les ARNm sont produits en nombre limité et sont guidés par des enzymes spécialisées vers le ribosome ; dans le cas du vaccin Pfizer, il y a un véritable bombardement général de brins d’ARNm qui se déploient partout : il est évident que le nombre de brins arrivant à destination peut varier considérablement d’un individu à l’autre ; et quid des autres ? Ugur Sahin (de BioNtech) raconte qu’il a conçu le principe du vaccin en un week-end : il convient de réfléchir un peu plus quand on s’apprête à diffuser son produit en milliards de doses.
    3) Les conditions de fabrication industrielle posent aussi question : l’UE impose qu’il y ait au moins 50% de brins conformes. Même si ce taux est vérifié, qui accepterait d’acheter un panier de pommes dont la moitié sont anormales ?
    4) Un argument recevable serait de dire : entre la protéine du vaccin et celle du virus, je préfère celle du vaccin, puisque le virus peut se reproduire à l’infini ; c’est vrai, mais il y a une différence : la protéine spike du vaccin est directement versée dans le sang ; le virus lui commence à infecter les muqueuses de la sphère ORL : cette sphère ORL constitue une barrière dont il faut absolument profiter (car on évite ainsi le passage de la protéine spike dans la circulation sanguine) en renforçant son système immunitaire de différentes façons. Les vaccinés par Pfizer sont amenés à développer uniquement des anticorps S (spike) en nombre très élevé, mais cela est en réalité problématique, car cela se fait au détriment des anticorps N qui sont essentiels lorsque la protéine S mutera (et elle mute beaucoup plus facilement que la protéine N) ; et au détriment aussi des anticorps présents dans les muqueuses qui constituent une première barrière essentielle pour maîtriser l’infection. Je ne sais pas si vous avez bien entendu ce que dit le virologue belge Geert Vanden Bossche : omicron est « la dernière chance des vaccinés » ; encore faudrait-il immédiatement
    – stopper les campagnes de vaccination
    – supprimer les gestes barrières pour que les personnes vaccinées saisissent cette chance de pouvoir consolider leur immunité naturelle par cette infection bénigne par l’omicron (mais même avec omicron, on voit des infections assez sérieuses témoignant de systèmes immunitaires affaiblis) : les anticorps associés à la vaccination n’ont plus d’effet sur les nouveaux variants comme omicron ; c’est pouquoi il est contre-productif de vacciner aujourd’hui avec la souche initiale car les anticorps produits ne servent à rien contre ces variants ; bien au contraire, ils induisent un affaiblissement des autres anticorps qui seront utiles demain pour affronter un nouveau virus agressif : vacciner et ne pas favoriser l’infection par omicron qui induirait une réponse de l’immunité naturelle est totalement absurde.
    – faire étudier aux biologistes des centres antipoison et de toxicovigilance et de l’ANSM cette protéine spike afin qu’ils en vérifient la nocivité et qui, si la cytoxicité se confirmait, proposent à toutes les personnes vaccinées et notamment aux plus jeunes des cures de désintoxication.

    Au lieu de profiter de la toxicité moindre de la spike d’omicron (lors des infections naturelles), les millions de doses de vaccin injectées jour après jour empoisonnent le sang par la protéine spike correspondant à la souche originelle de Wuhan.

    Mais nous avons au pouvoir des fous criminels, qui nous annoncent que désormais on ne pourra pas manger de chips au cinéma …

    Je ne sais pas si vous saisissez bien la gravité de la situation politique et sanitaire.

    Le problème, c’est que nous ne sommes plus dans la science, nous sommes dans le fanatisme et l’idéologie et la corruption, permettant de présenter comme « innovant, sûr et efficace » un produit bâclé fruit d’une technologie jamais testée à grande échelle et ainsi d’inoculer à des centaines de millions de personnes des doses répétées d’une substance toxique dont les effets sont en grande partie inconnus. Il faut donc rapidement évaluer les quantités de spike restant dans le corps des personnes vaccinées et le degré de toxicité de cette protéine.

    A propos de l’échec de la campagne de vaccination

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  13. https://twitter.com/disclosetv/status/1476583826344267777?s=20

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  16. Omicron plus fort que Pfizer ► https://www.covid-factuel.fr/2021/12/31/omicron-plus-fort-que-pfizer/

    Les chiffres d’omicron commencent à tomber, et “on peut discuter de tout, sauf des chiffres ». Les chiffres ne mentent pas et ne sont pas tendres avec la stratégie du tout vaccin. Certains propos de scientifiques complotistes concernant le cumul des doses avec baisse des défenses, semblent se confirmer (également confirmé par les autorités britanniques). Quant au « vaccin », si on peut appeler cela un vaccin, avec une injection tous les 3 mois, ce n’est plus un vaccin, mais cela devient une thérapeutique génique, qui ressemble trop à ces chimiothérapies que l’on répète aux cancers stades terminaux, en attendant la fin. En espérant qu’ici quand on parle de fin, c’est celle de l’épidémie, qui arrivera en 2022, l’histoire de ces grandes épidémies depuis des siècles étant toujours la même, avec ou sans traitement. De plus on continue de « vacciner » avec un produit dépassé, fabriqué à partir d’une souche qui a plus de 2 ans, avec nombre de modifications depuis. Les responsables savent très bien qu’ils obligent à vacciner avec un produit qui ne marche pas sur le dernier variant.

    LA VAGUE OMICRON EST PLUS FORTE DANS LES PAYS LES PLUS VACCINÉS

    France, Danemark, Islande, Royaume Uni font partie des pays les plus vaccinés, l’Afrique du Sud des moins vaccinés

    Chez nous on aura peut-être du mal à décrocher si on continue de booster, d’autant plus que :

    OMICRON SEMBLE PRÉFERER LES VACCINÉS

    Voici ce que donne le site officiel d’Islande. Plus on a reçu de doses, plus omicron s’intéresse à nous, ce qui n’était pas le cas avec les variants précédents.

    Cette courbe sur 6 mois, montre qu’avec delta, les adultes non vaccinés étaient plus sensibles que les vaccinés l’incidence passant de 500/100 000 chez les vaccinés à 800 chez les non vaccinés. Avec omicron, c’est l’inverse, l’incidence est deux fois plus importante chez les vaccinés : 2 800/ 100 000 contre 1 500 pour les non-vaccinés. De 2 fois moins, on passe à 2 fois plus, soit un rapport de 1 à 4.

    Source : https://www.covid.is/data

    Autre courbe qui concerne plus omicron, montrant que depuis mi-décembre, plus on a de doses, plus l’incidence est élevée : les triple doses sont 3 fois plus sensibles, les doubles dose 2 fois plus, que ce soit chez les adultes ou les enfants.

    Ces constatations se confirment dans nombre de pays où commence à se développer omicron, et ce selon les sources les plus officielles. Ainsi l’agence Reuter signale qu’aux Etats Unis on retrouve la même chose avec les premiers cas. Il y a 15 jours, le Centre américain de Contrôle et de prévention des maladies (CDC), signalait que sur les 43 premiers cas signalés, 34 personnes étaient entièrement vaccinées. Dans la population générale, les vaccinés représentent 61%, mais 75% chez les personnes touchées par omicron, dès les premiers cas.

    Soixante-dix-neuf pour cent des Danois qui avaient contracté Omicron au 15 décembre étaient entièrement vaccinés. C’est ce qui ressort d’un rapport publié mardi par le Statens Serum Institut (SSI), ministère danois de la santé qui suit les variantes suspectes du COVID-19. Sur les 17 767 infections par Omicron enregistrées au 15 décembre, depuis la déclaration du premier cas le 22 novembre, plus de 14 000 concernaient des personnes ayant reçu une double vaccination.

    C’est repris par la presse étrangère, pas par la France, où paradoxalement 90% des contaminés par omicron ne sont pas vaccinés, à entendre les pro-vaccins qui ne s’informent pas.

    Dans l’Ontario, pour les nouveaux cas depuis mi-décembre, 4 vaccinés pour 1 non-vacciné.

    En Belgique, c’est une fête de soignants, 33 participants doubles et triples vaccinés, 21 contaminations ! Contrairement à la France, la presse se pose des questions sur le sens du pass sanitaire en voyant de tels résultats chez les porteurs du pass ! Chez nous, rappelez-vous ce discours officiel bien relayé par ceux qui accusent les autres de colporter des fake news : un non-vacciné a 12 fois plus de chance qu’un vacciné d’être contaminé !

    En Allemagne, l’Institut Robert Koch, dans son dernier rapport hebdomadaire, daté du 30 décembre, rapporte à propos des cas omicron : 95,58% de complètement vaccinés (avec 28% de rappels !), soit 4,42% de pas vaccinés (taux de vaccination dans la population : 71,1%). En France, on ne publie pas ces chiffres, mais on met les déboires de la gestion de la crise sur ces seuls moins de 5% de non vaccinés qui vont autant encombrer les hôpitaux que quand ils étaient 100% (l’an dernier), et ce avec un virus beaucoup, beaucoup moins virulent ! Bêtes ou menteurs ?

    En France, il y a pourtant de très nombreux témoignages, tous les jours, dans toute la presse. Ainsi dans Ouest France, qui le lendemain va suggérer le contraire avec des infos en contradiction avec ce que l’on constate dans le monde entier.

    OMICRON, UN VIRUS TRÈS FAIBLEMENT LÉTAL

    Une fois établi cet échec du vaccin contre omicron, avec en plus une certaine affinité pour les doubles et triples vaccinés, la faible létalité d’omicron se précise dans les premiers pays touchés. À tel point que plusieurs pays, comme Israël ou l’Islande, commencent à se poser des questions sur la possibilité d’une immunité collective qui pourrait être obtenue grâce à omicron, alors que cela a été un échec avec ces campagnes vaccinales. En France, nous allons dans l’autre sens, en faisant tout pour vacciner, quitte à diminuer les défenses immunitaires avec le risque de créer d’autre variants ou des formes plus graves. Même l’OMS, qui a poussé aux vaccins au début, n’est pas favorable à cette multiplication de doses.

    S’il est difficile de comparer un pays à l’autre du fait de nombre de biais possible, il est plus facile de comparer l’Afrique du Sud à l’Afrique du Sud, pour montrer cette faible létalité.

    L’Afrique du Sud a connu 4 vagues très marquées, avec beta, epsilon, delta, et omicron. C’est un pays pas ou très peu vacciné, ce qui ne vient pas perturber les résultats de chaque variant. Les variants sont de plus en plus contagieux.

    Je vous avais écrit ce qui allait se passer dès le 30 novembre (Je veux de l’omicron), et le 5 décembre (Actualisation) que les décès allaient doubler, cela a été le cas, doublement par rapport au plus bas sur 2 ans. A part beta ces variants baissent en létalité. Beta l’a été 30% de moins qu’epsilon, omicron l’est 7 fois moins que delta, et 10 fois moins qu’epsilon (ceci au pic, encore plus en volume quand on voit la cloche).

    Comme on peut le voir sur cette courbe qui réunit les cas et les décès : il y a eu 4 vagues de virus, mais pas de quatrième vague de décès ! (Nous sommes à 15 jours duc pic de cas, nous devrions être à peu près au pic de décès.

    Omicron plus fort que le vaccin, dont il n’a que faire.

    Omicron plus fort que le vaccin pour obtenir une immunité collective, plus forte et plus durable.

    Omicron plus fort que le vaccin pour diminuer les formes graves : 7 à 10 fois moins.

    Quant à Omicron + Ivermectine qui réduit encore plus hospitalisations et décès (de 75% selon le rapport d’Andrew Hill pour l’OMS), c’est le Nirvana, on va avoir des naissances au lieu de décès.

    Dans ces conditions, Omicron est le mieux placé non seulement pour vous souhaiter une bonne année 2022, mais contrairement aux autres souhaits hypocrites que vous recevrez, il est, lui, capable de le réaliser.

    Enfin, pour démarrer2022 avec le sourire, il vous envoie quelques nouvelles de ses cousins (envoyé par un cadre SS).

    – Le variant Travolta donne toujours de la fièvre, mais seulement le samedi soir.
    – Le variant Suisse reste neutre, quel que soit le test PCR, antigénique ou sérologique.
    – Pour le variant Bordelais, pas de souci on a les Médoc.
    – Le variant Normand est difficile à prévoir : “P’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non”.
    – Le variant Belge serait redoutable, ça finit généralement par une mise en bière.
    – Ne craignez plus le variant Chinois, il est cantonné.
    – Par contre, le variant SNCF arrivera plus tard que prévu.
    – Contrairement aux apparences, le variant du Bénin serait grave voire dangereux.
    – En ce qui concerne le variant Italien, vous en prenez pour Milan.
    – De son côté, le variant Ecossais se tient à carreau.
    – Apparemment, avec le variant Japonais, il y a du sushi à se faire.
    – On parle de l’émergence d’un variant Colombien, mais il semblerait que ce soit de la poudre aux yeux.
    – S’agissant du variant Moscovite, c’est un méchant virusse.
    – Pour sa part, le variant Corse s’attaque au bouleau puisqu’il est transmis par l’écorce.
    – Le premier symptôme du variant Breton, c’est quand on commence à entendre le loup, le renard et la belette chanter.
    – Le variant Français du Covid existe déjà, mais il est en grève !

    RAPPEL de circonstance ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2021/05/flocons.pdf

    Cliquer pour accéder à flocons.pdf

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  17. Proposé par R71 ►https://resistance71.wordpress.com/2022/01/01/voeux-2022-solidarite-union-resistance-emancipation-la-vie-et-rien-dautre/

    CCXCIX

    L’anarchisme n’est pas un courant politique, ni une idéologie, car c’est d’abord un regard avisé sur la nature humaine : une conscience anthropologique – sur laquelle un nom a été apposé puisqu’il fallait bien déclarer l’entrave actuelle de l’autorité ou du pouvoir dont elle nous soulage. On ne pourrait qualifier ce mode de vie dans et par les règles du jeu auquel il ne joue pas ; l’anarchisme est, à notre ère, une façon différente de faire, de penser et d’exister qui s’en remet toujours à l’ordre de l’intelligence libre et vertueuse plutôt qu’au chaos des tyrannies injonctives et intéressées. L’anarchisme est simplement du bon sens pour tout individu souverain de lui-même et il n’est pas exclut qu’il fût et qu’il soit un jour une norme aussi évidente qu’anonyme ► https://aakhu108.wordpress.com/2021/12/25/ccxcix/

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  18. Une bien belle année à chacune, chacun, une faim d’années à-venir, une vaste liberté d’être pour une VIE vivante, vivifiante, vibrionnante et l’EN-VIE pas consumée d’en finir avec les totalitarismes…

    VIE…Tant de choses dans ce si petit mot !
    je ne suis pas un danger, je suis mouvement permanent…

    Jamais figée
    Parfois surprenante
    Tantôt étonnante surprenante.
    Quelquefois dérangeante
    Si souvent comblante…

    C’est à moi seul
    de me responsabiliser
    Il m’appartient à moi seul
    de ne pas maltraiter
    violenter la vie
    mais de lui faire honneur
    de l’encourager
    de l’aider à éclore
    de l’aimer.

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  19. « Vous, les Européens, êtes dans une éclipse de l’intelligence. Vous allez souffrir. Le gouffre est profond. Vous êtes malades. Vous avez la maladie du vide. Toutes vos élites ont perdu le sens des valeurs supérieures.»

    Alexandre Soljenitsyne (1918-2008)

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