France : STOPPONS les délires transhumanistes VIA les Lois Martiales Médicales

À retrouver dans mon DOSSIER SPÉCIAL CORONAVIRUS

Et pour refuser le ;

Tant il devient très clair, maintenant, que l’objectif final de cette expérience d’ingénierie sociale planétaire au « Coronavirus-COVID19-CoV19 » ou SRAS-CoV-2 est notre puçage, un eugénisme à tous les étages totalement assumé et une dictature technotronique mondiale ! À relier, sur ce dernier point, à mon billet d’hier ► FRANCE : ARSENAL TECHNOTRONIQUE EN PHASE FINALE D’ACHÈVEMENT…

Je vous recommande de visionner les vidéos que j’ai intégrées en analyse dans mon blog, du Pr. Alexandra Henrion-Caude qui traite, au fond, du virus à couronne, des masques, du confinement, du vaccin, de la bioéthique, pour vous faire votre propre opinion sur l’hystérie collective au COVID19, qui en France, prend un tour de plus en plus répressif, comme prévu par Macron le cyborg et son monde depuis le premier jour, puisqu’il nous a déclaré la guerre, à nous, le peuple, et selon ce revirement de process ;

masque obligatoire partout par tous, dehors, dedans ►  vaccin obligatoire, priorité au personnel soignant et aux personnes âgées ► passeport vaccinal ► puçage électronique

France – ConVide19 : Hé ? Les Zélateurs-Délateurs ? C’est quoi la prochaine étape de la Masque-à-rade ?Aussi, est-il temps d’appeler le corps médical et personnel soignant à nous rejoindre, au lieu de suivre le délire transhumaniste d’apprentis sorciers qui n’ont jamais été aussi loin dans l’Histoire de l’Homme et sont donc à la veille de réussir l’anéantissement de l’Humanité telle que nous l’avons connue, au N.O.M. du Fric, du Flouze et de la Sainte-Oseille !

Après vous avoir démontré pourquoi il fallait refuser le port de la muselière car elle ne protège de rien, et surtout pas du coronavirus : Le Haut Conseil français de la santé publique (HCSP) prône le port « systématique » d’un masque, « de préférence en tissu réutilisable », dans « tous les lieux clos publics et privés collectifs » pour lutter contre le Covid-19 ► Source AFP/ORANGE du 15 août 2020 VIA Oliver Demeulenaere.

Et vous avoir donné toutes les preuves dans ces 3 PDFs, par date de publication ;

3 ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/08/non-au-port-dune-muselic3a8re-par-tous-partout-par-jbl1960-aoc3bbt-2020.pdf

2 ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/07/non-au-muselage-sanitaire-insoumission-facteur-devolution-20-juillet-20-par-jbl.pdf

1 ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/07/non-au-muselage-sanitaire-les-preuves-que-les-masques-ne-protegent-pas-du-coronavirus-16-juillet-2020.pdf

POUR STOPPER LA MASCARADE !

Car ils en ont là déjà avec les masques ► https://aphadolie.com/2020/08/16/coronavirus-a-quoi-sert-la-puce-rfid-de-certains-masques/

Et la breaking news du jour : Coronavirus : Masques, télétravail, distanciation… Le gouvernement doit annoncer de nouvelles règles en entreprise d’ici la fin août – SANTÉ La ministre du Travail indique au JDD que le masque devrait être obligatoire dans les salles de réunion mais pas forcément dans les bureaux individuels – Source ► https://www.20minutes.fr/economie/2840667-20200816-coronavirus-masques-teletravail-distanciation-gouvernement-doit-annoncer-nouvelles-regles-entreprise-fin-aout

Car la suite des hostilités, c’est le dépistage à tous les étages… pour un reconfinement paskon n’aura pas été sages, alors que le dépistage fait des ravages… LES PREUVES ;

POURQUOI C’EST NON, mais surtout pourquoi il est temps de mettre les médecins-traitant au pied du mur : Nous n’avons plus le temps ;

Source NéoSantéYves Rasir

4 raisons (au moins) de détester le test PCR à écouvillon ;

Tester, tester et encore tester. Depuis des mois, c’est le mantra qu’on nous matraque dans les tympans du matin au soir. Pour contrôler la pseudo-pandémie et son soi-disant rebond, il faudrait absolument opérer un dépistage massif de la population. En Belgique comme ailleurs, les autorités mettent le turbo et espèrent arriver prochainement à tester 70.000 personnes par jour, en recrutant à la hâte 300 « testeurs » prestement formés au maniement de l’écouvillon. Car c’est bien évidemment la technique PCR (Polymerase Chain Reaction) qui est mise en avant, au détriment du test sérologique consistant à prélever une goutte de sang. Certes, ce n’est pas moi qui vais critiquer ce choix. La détection d’anticorps dans le liquide sanguin n’a aucune espèce d’intérêt puisqu’elle indique seulement qu’un individu a rencontré UN coronavirus, dont on sait que la famille est nombreuse et dont quatre membres au moins, dixit l’infectiologue Didier Raoult, provoquent chaque année des rhumes et des syndromes grippaux. De plus, le test sérologique ne permet pas de dater la rencontre avec le système immunitaire, lequel peut continuer à réagir à l’antigène viral pendant des plombes. Pour mesurer la circulation actuelle du virus couronné, ce n’est donc pas la bonne méthode. Enfin, faut-il rappeler que certains tests de ce type suscitent énormément de fausses réponses positives ? Celui du SIDA peut réagir à des dizaines d’autres maladies, comme la tuberculose et le paludisme, et même à l’état de grossesse. C‘est ainsi qu’a été construit le mythe complet du sida en Afrique. Pour autant, ce n’est pas moi non plus qui vais vanter le dépistage par PCR.

Voici les 4 raisons majeures pour lesquelles il me paraît sage de s’en méfier et s’en défier.

1) La PCR, c’est du pipeau

Au risque de me répéter (mais il faut bien le faire puisqu’aucun autre média n’ose le dire), cette méthode de biologie moléculaire « révolutionnaire » a été décriée par son inventeur lui-même, le Prix Nobel 1993 de chimie Kary Mullis. Décédé il y a tout juste un an, ce dernier contestait que la réaction en chaîne par polymérase puisse servir à détecter une infection virale et à en mesurer la gravité. Basée sur l’amplification de séquences génétiques, ce test peut faussement réagir à la présence d’impuretés et de débris protéiques. Quand bien même serait-elle fiable, cette technique sophistiquée ne permet nullement d’établir un lien de causalité entre une particule virale et la maladie qu’on lui impute. C’est pourquoi Kary Mullis avait adhéré au groupe scientifique des « repenseurs du sida » et préfacé le livre du rétrovirologue Peter Duesberg (« L’invention du virus du sida »). Membre et président de cette association savante, le canadien David Crowe a étudié l’épidémie de SRAS en 2003 et il analysait depuis janvier celle de COVID-19. Pour lui, il était clair qu’on était face à une mystification – le « nouveau » coronavirus n’a même pas été isolé et purifié dans les règles de l’art – fondée sur l’illusion que la PCR est un outil diagnostique valable. C’était l’objet de son long article que nous avons traduit et publié dans la revue Néosanté du mois de juin. Je parle de lui à l’imparfait car je dois malheureusement vous faire part d’une triste nouvelle : David Crowe est décédé début juillet d’un cancer fulgurant. Son projet de livre sur le « mythe infectieux » restera donc inachevé et ne lui survivront que les textes, vidéos et documents audio rassemblés sur son blog éponyme. Malgré la maladie qui progressait, il avait encore mis à jour le 6 juin son analyse des failles dans la théorie pandémique. Si vous maitrisez l’anglais, prenez la peine d’en lire les 50 pages car elles sont démystifiantes à souhait. Bien qu’elle nous peine énormément, la disparition brutale de David Crowe est contrebalancée par une nouvelle réjouissante : le livre « Virus Mania » vient d’être réédité aux États-Unis et sera bientôt disponible en Europe. Écrit en 2007 par un journaliste et un médecin interniste allemands, cet ouvrage explique lumineusement comment l’industrie pharmaceutique invente continuellement de nouvelles épidémies infectieuses (vache folle, grippe aviaire, cancer utérin, hépatite C…) qui n’en sont pas. La nouvelle édition est augmentée d’un volumineux chapitre consacré au COVID dans lequel Torsten Engelbrecht, le journaliste médical, dézingue à son tour la grande arnaque de la PCR. Pour vous faire une idée du bouquin, allez lire l’article (en anglais) où son co-auteur résume ses griefs envers le testing génomique. Traduction d’un passage édifiant: « Ainsi, les auteurs de quatre des principaux articles du début 2020 affirmant la découverte d’un nouveau coronavirus admettent qu’ils n’avaient aucune preuve que l’origine du génome du virus était des particules de type viral ou des débris cellulaires, purs ou impurs, ou des particules de toute nature. En d’autres termes, l’existence de l’ARN du SRAS-Cov-2 est basée sur la foi et non sur les faits. (…)“Les méthodes modernes de détection de virus comme la réaction en chaîne par polymérase ne disent pas grand-chose ou rien sur la façon dont un virus se multiplie, quels animaux le portent, ou comment il rend les gens malades. C’est comme essayer de dire si quelqu’un a mauvaise haleine en regardant son empreinte digitale.” L’usage de la PCR, estime Torsten Engelbrecht, est « scientifiquement dénué de sens ». C’est pourtant avec ce sable qu’a été bâti le gigantesque mensonge pandémique !

2) Tout dépistage fait des ravages

Même en admettant que la PCR mesure la présence d’un virus entier et spécifique – ce qui n’est pas prouvé –, sa fiabilité est loin d’être acquise. On nous dit généralement qu’elle est « très bonne » ou « excellente » mais rien n’est moins sûr. Il suffit que les réactifs soient de mauvaise qualité, que la procédure ne soit pas suivie à la lettre ou qu’il survienne une infime contamination extérieure durant le prélèvement ou l’analyse pour fausser le résultat et générer des « faux positifs ». Capitale, cette falsification involontaire ! En période estivale, il y a en effet beaucoup plus de chance de tester une population vierge de tout visiteur viral. Avec seulement 1% de faux positifs – estimation très basse -, on obtient ainsi 1% de contaminés alors qu’il y en a en réalité 0%. Si vous testez 1.000 personnes qui n’ont rien, vous aurez déjà 10 individus faussement infectés. Si vous testez un pays de 10 millions d’habitants indemnes, celui-ci comptera quand même 100.000 « cas confirmés » considérés comme des victimes en puissance. Voilà comment on fabrique une épidémie fantôme ! Si ce n’était qu’une illusion sans conséquence, on se contenterait d’en rire jaune. Or ce tour de magie est potentiellement dramatique car le dépistage de masse aboutit toujours à du « surtraitement » iatrogénique. Dans la revue Néosanté, nous avons maintes fois dénoncé ce phénomène à propos du cancer. En dépistant très largement avec un appareillage de plus en plus performant, la médecine détecte des tas de minuscules tumeurs qui n’auraient pas fait parler d’elles ou qui auraient disparu spontanément. Chaque année, dans le monde, on irradie, empoisonne par chimio ou mutile inutilement des millions de personnes. Des millions de poitrines, de prostates ou de thyroïdes sont réséquées par scalpel sans que l’espérance de vie globale des cancéreux ne soit améliorée. Rien à voir avec le COVID ? Bien au contraire : dans le contexte narratif d’une pandémie terrifiante, une multitude de gens vaguement grippés a été hospitalisée sans être « filtrée » par le médecin traitant. Et dans les hôpitaux, par psychose du virus, on a usé et abusé de l’intubation. Hier, on m’a transmis les chiffres d’un hôpital bruxellois où 80% des patients mis sur respirateur artificiel sont décédés. Il n’y a pas de deuxième vague de cet ordre mais le dépistage massif apporte inéluctablement son lot d’issues fatales. C’est un scandale en soi.

3) Les cas confirmés, on s’en bat les C… (et les ovaires !)

Sorry pour la vulgarité, mais j’en ai vraiment ma claque que les experts et les médias qui en sont les perroquets nous assènent quotidiennement le chiffre des « cas » comme s’il s’agissait de malades ou de moribonds en sursis. Le test est positif, et alors ? De toute évidence, les courbes de l’évolution pathologique (admissions à l’hôpital occupations de lits en soins intensifs, décès) ne suivent plus du tout celle de l’infection. Elles s’en écartent même de plus en plus, avec un taux d’asymptomatiques qui flirte avec le maximum. Comment se fait-il que cette réalité aveuglante ne pousse pas à alléger les mesures sanitaires liberticides au lieu de mener à leur renforcement ? Il y a trois semaines, alors qu’il alarmait sur un frémissement de rebond, le journal Le Suaire (alias Le Soir) a écrit textuellement que « Les contaminés d’aujourd’hui sont les hospitalisés de demain et les morts d’après-demain (ou plutôt les morts trois semaines plus tard) ». Nous y sommes, trois semaines plus tard, et ils sont où, les monceaux de cadavres ? Vendredi dernier, la porte-parole du comité de crise a annoncé aux Belges que la situation actuelle n’avait rien de comparable avec celle du pic épidémique mais a averti que « le virus restait aussi dangereux qu’en mars ». Ah bon, alors comment se fait-il que cette particule féroce circule toujours autant sans faire de dégâts ? Ils vont bien sûr nous dire – non sans se contredire magistralement – que l’ennemi a probablement perdu en agressivité avec l’arrivée de l’été. Il faudrait toutefois aller expliquer ça aux quelques gars qui sont quand même en train d’agoniser dans les hostos. On va également nous répondre que c’est normal car les testés positifs sont principalement des jeunes. Mais justement, bande de myopes, il crève les yeux que les personnes en bonne santé ont très peu à craindre de l’agent infectieux. Dans certains clubs sportifs professionnels, on teste à rythme bihebdomadaire et les « cas confirmés » sont de plus en plus nombreux, notamment dans les équipes de foot. Or tous ces footballeurs demeurent en pleine forme et ne manifestent aucun signe clinique. À propos, des nouvelles de Novak Djokovic ? Si le champion de tennis avait eu, ne fût-ce qu’un pet de fièvre, les journaleux qui l’ont lynché se seraient fait une joie de ressortir la corde. Cet avant-dernier numéro du Corona Circus, avant l’apothéose vaccinale, je le trouve évidemment lamentable. Mais d’un autre côté, je suis très content que la disproportion entre la montagne de contaminations et la souris des somatisations soit désormais éclatante. Avec une telle majorité de « porteurs sains », la théorie du germe ne tient plus debout et tout le monde peut voir que l’empereur Pasteur est totalement à poil : sans terrain défaillant, aucun microbe ne fait le poids ! Finalement, c’est la seule raison pour laquelle j’irais bien me faire tester, avec l’espoir secret d’être déclaré positif et de creuser encore l’écart chiffré entre malades et présumés infectés. Mais comme ce gouffre abyssal n’a pas besoin de moi pour apparaître au grand jour, je vais m’abstenir de participer à la campagne de dépistage. Pour peu que le thermomètre portatif me gratifie d’un soupçon de température en cette période caniculaire, les testeurs fous seraient fichus de me comptabiliser parmi les malades. Je vous invite également à ne pas contribuer à cette bouffonnerie. L’augmentation des cas, pour le dire plus poliment, on s’en tamponne !

4) L’écouvillon mérite la suspicion (tu m’étonnes !)

En parlant de tampon, savez-vous qu’il suffirait de glisser un bout d’ouate ou un petit coton-tige dans les narines pour prélever l’ADN viral ? C’était comme ça qu’on faisait pour dépister la grippe il y a à peine dix ans. Le long bâton appelé écouvillon n’est apparu que dans la foulée – tiens, tiens, comme c’est curieux – de la pseudo-pandémie de grippe A/H1N1 en 2009. C’est seulement depuis que les modélisateurs zinzins agitent l’épouvantail d’un cataclysme coronaviral que l’enfoncement du Q-Tip (c’est le nom barbare de l’instrument) dans les fosses nasales a été recommandé. Admettons qu’il faille aller au fond du nez pour augmenter la sensibilité de la PCR, mais ce geste intrusif est-il vraiment anodin ? Selon les témoignages de mon entourage soumis au dépistage, c’est très désagréable, souvent douloureux et parfois suivi de saignements. Sur internet, je lis aussi que la douleur peut persister plusieurs jours et s’accompagner de maux de tête, voire – tiens, tiens, comme c’est à nouveau bizarre – de perte d’odorat. Mais s’il y avait pire encore ? Sur la toile, une vidéo a beaucoup circulé qui évoque des dommages possible à la barrière hémato-encéphalique (BHE), cette cloison faite de nerfs et d’os qui sépare le cerveau du reste du corps. Quand je l’ai visionnée, j’ai haussé les épaules : il est très excessif d’insinuer que l’écouvillon puisse transpercer une digue aussi solide. Néanmoins, je ne suis pas vraiment rassuré par les articles de « fact cheking » qui ont fleuri pour torpiller la « fake-news ». Certes, la BHE est un tissu rigide peu susceptible d’être perforé. Cependant, ce n’est pas du tout une barrière hermétique bloquant tout passage. Elle protège tant bien que mal l’encéphale contre des molécules toxiques telles que les pesticides et les métaux lourds mais elle s’ouvre pour laisser passer l’oxygène et les nutriments essentiels au cerveau. Depuis quelques années, on sait aussi qu’elle autorise l’entrée de virus et de bactéries. Sa porosité à géométrie variable relève d’un mécanisme complexe encore très mal compris par la science. Et si la BHE, à défaut d’être percée, était fragilisée par l’écouvillonnage ? Et si ce frottis tournoyant et insistant permettait à des particules indésirables d’entrer par effraction dans le cerveau ? Et si la rudesse de ce protocole transmettait un message électrique délétère via les nerfs ? À mon sens, on ne peut pas exclure que cette technique non dénuée de brutalité soit d’une réelle nocivité. L’histoire de la médecine est pleine d’inventions abandonnées pour leurs dangers après avoir été banalisées. Perso, je soupçonne que l’écouvillon a été adopté pour faire croire que les « nouveaux virus émergents » nécessitaient une procédure de détection spéciale et relativement traumatisante. Je me demande également si certains départs de COVID ne découlent pas de ce traumatisme lorsqu’il est accompagné d’angoisse. Bref, je me pose des questions et il n’est pas question que le bidule pénètre profondément mon intimité nasale. C’est déjà de la médicalisation à outrance et je déteste ça.

Yves Rasir

APPEL AUX MÉDECINS RÉSISTANTS À RÉSISTER !

Et il y en a, la preuve ; par cette lettre d’une femme médecin de Paris, ayant la générosité de partager avec Jean-Dominique Michel sa révolte -et ses actes de résistance- de praticienne et l’autorisation de publicationhttps://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/08/14/les-medecins-resistants-308195.html qui vaut également son pesant de cacahuètes !

Comme le précise Jean-Dominique Michel : Qu’elle en soit chaleureusement remerciée et que son exemple encourage toutes celles et tous ceux qui continuent à trouver que nos valeurs sont mises à mal -durablement- dans cette crise et que nous avons à vivre mieux que ce délire de spécialistes qui a capturé notre vivre-ensemble.

[Je complète cette lettre avec mes propres infos-liens dans les mots-clés, JBL]

Très cher monsieur

Je vous lis avec délice et reconnaissance

Comme j’ai pu le dire directement à Christian Perronne récemment : « tous vos propos et interviews m’ont aidée à me tenir debout et à me relégitimer dans mon rôle de médecin »

Un vrai GRAND MERCI !

J’ai été au front pendant la crise

Et j’ai désobéi Tout de suite

J’ai reçu 90 appels par jour traitant tous ceux qui en avaient besoin et ce, sans attendre l’aggravation des symptômes

Pas un comprimé de Doliprane

Pas un décès dans ma clientèle

J’ai été contaminée pour avoir empêché l’euthanasie d’une de mes patientes (85 ans ; 3 comorbidités)

J’ai passé plus de 4 h près d’elle pour convaincre la chef de services des urgences de la prendre en charge

La puissance de mes arguments comparant la priorisation à l’arrivée des trains à Dachau a fini par la convaincre !

 » Êtes-vous fière de faire votre métier ainsi ?!  »

Ma patiente a été sauvée et va très bien maintenant, faisant la joie de ses enfants et petits-enfants

Et pourtant elle était condamnée par son âge et son état comme tant d’autres hélas l’ont été en EHPAD en particulier

J’ai entendu votre émotion sur le sujet…

J’ai évoqué le mot de génocide des personnes âgées… une pure honte !

Vous décrivez très bien la peur des médecins

Je suis néanmoins hallucinée par tant de soumission

Ma posture d ‘« emmerdeuse publique » que je peaufine depuis ma naissance 🙂 me donne sans doute une force inhabituelle

Mais m’interroge lourdement sur ce qui tient mes consœurs et confrères debout

Comment en est on arrivé là ?! Week-end de conférences "Sortons de la marmite!" les 28, 29 & 30 ...

L’histoire de la grenouille qui ne quitte pas l’eau tiède du chaudron…..?

J’ai sans doute une forte acuité de perception parce que comme le rappelle Didier Raoult, sur les pas de Claude Bernard, « tous les examens sophistiqués ne remplaceront jamais l’observation et la clinique »

Et ces deux piliers font mon quotidien de médecin, réanimatrice de formation, ayant co-dirigé médicalement un hôpital en province, pratiqué la médecine de campagne, la médecine humanitaire et enfin psycho-somaticienne

Merci infiniment

Dans ce brouillard épais qui nous entoure, vous êtes comme un phare qui permet de garder la route éclairée pour ne pas « quitter le décor »

Je ne savais pas que je suivais les magnifiques propos de Michel Maffesoli sur l’humanisme intégral

Merci aussi pour cette si belle parole

Soyez en très vivement remercié

Et je rajoute cette intervention du Pr. Toussaint, qui non seulement explique pourquoi il n’y a pas de deuxième vague en approche, mais pourquoi le port du masque, comme le reconfinement ne servira à rien, puisque la létalité de l’épidémie est terminée…

Par contre, une seconde vague de faillites et de soumissions va déferler, ça oui !

Pourquoi, ce qui se trame est encore pire ?

La loi de Santé publique du Québec prévoit que tous les membres de la population puissent être testés, mis en quarantaine fermée et vaccinés de force ► https://reseauinternational.net/la-loi-de-sante-publique-du-quebec-prevoit-que-tous-les-membres-de-la-population-puissent-etre-testes-mis-en-quarantaine-fermee-et-vaccines-de-force/

https://exoportail.com/dystopie-du-jour-version-covid19-en-thailande-les-enfants-sont-isoles-dans-des-boites-en-plastique-a-lecole/

En Angleterre, en Allemagne, en Nouvelle-Zélande  : Quarantaine Corona – les autorités sanitaires ont menacé de «séparer» les enfants dans les maisons. Même si le coronavirus est suspectée, les enfants doivent être «isolés» au sein de la famille. En cas de non-respect, le bureau a même menacé de retirer les enfants de moins de 11 ans de la famille ► https://autonomes.blogspot.com/2020/08/quarantaine-corona-les-autorites.html ;

En France ; dès la rentrée scolaire de septembre, les Directeurs et Directrices d’Écoles (pour les 3-11ans) sont informés qu’en cas de suspicion de COVID19 (fièvre à 38) si les parents ne gardent pas leurs enfants chez eux, des Brigades de Contrôle Sanitaire sont habilitées à venir chercher les enfants pour les placer à l’isolement dans des centres de quarantaine, sans le consentement des parents. Le but est donc de séparer les enfants des parents, pour le bien de tous ! (Vidéos ICI et ).

Vous êtes prévenus, donc, vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas, ou pire, que vous ne pouviez pas savoir !

Avant de vous laisser pour conclure quelques PDFs indispensables à lire, à mon sens, pour comprendre combien l’heure est grave et qu’il n’est plus temps de chercher à convaincre ni alerter, mais à nous mutualiser, dans le réel, et nous lever, en nombre invincible, pour STOPPER & DÉBRANCHER Macron, le cyborg, et son monde, afin de ne pas disparaitre, définitivement, de la surface de la Terre, et construire, un autre FUTUR ;

Ce récit fictionnel et d’anticipation, qui peut-être, ouvrira les yeux de quelques indécis : Le jour de Judas – Un texte publié par Elizabeth, rédactrice du blog Survivre au Chaos.

Avertissement : ce récit est une œuvre de pure fiction. Par conséquent toute ressemblance avec des situations réelles ou avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite ► Publié par Pierre Templar ► http://survivreauchaos.blogspot.com/2020/08/le-jour-de-judas.html#more et qui m’a particulièrement touchée.

LECTURES COMPLÉMENTAIRES POUR UN AUTRE FUTUR ;

https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2019/10/nouvelle-version-maj-pour-dire-non-a-la-dictature-technotronique-enmarche-en-france-30-octobre-2019.pdf

https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/05/dossier-coronavirus-cov19-jbl1960-maj-de-mai-2020.pdf ;

https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/07/bill-la-piquouze-gates-et-son-empire-mondial-de-la-santc3a9-the-grayzone-juillet-2020.pdf ;

https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/05/le-dossier-rockefeller-the-rockefellers-files-par-gary-allen-en-1976-traduction-r71-en-2011-pdf-mai-2020.pdf ;

https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/05/laffaire-cov19-ogm.pdf ;

PDFs supplémentaires ad hoc et connexes, preuves que tous les chiffres sont FAUX ;

Stats officielles du gouvernement italien du 24/03/2020 ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/03/italy_report-covid-2019_24_marzo_eng.pdf ;

https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/04/sars-cov_ucn.pdf ;

+ PDF de l’Institut de Recherche Médicale de la Marine Nationale des États-Unis – Collecte de littérature scientifique sur les effets de l’exposition aux micro-ondes (PDF en anglais de 106 pages ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2019/09/naval-medical-research-institute-1972-full-bibliography.pdf ;

Sinon à fermer sa goule, à tout jamais, ce qui pour ma part, est juste IMPOSSIBLE !

JBL1960

110 réflexions sur « France : STOPPONS les délires transhumanistes VIA les Lois Martiales Médicales »

    1. Note : port du masque dans les espaces collectifs, pas dans les bureaux individuels…

      Il y aurait double circuit d’air dans les bâtiments ???

      Dans les espaces de bureaux, ce n’est jamais le cas.

      J’aime

    1. Les ménages avec des chiens sont alors identifiés et obligés d’abandonner leurs compagnons “ou alors les animaux sont confisqués de force et abattus” rajoute le journal.
      =*=
      Covidiot Impérial !!!

      J’aime

Laisser un commentaire