Avoir « foi » dans la Nouvelle Église de Climatologie, le Saint-GIEC ?

AU N.O.M. DU FRIC, DU FLOUZE & DE LA SAINTE OSEILLE ?

Non merci, car nous sommes à même de comprendre que le Réchauffement Climatique Anthropique n’est qu’une ESCROQUERIE & UNE POMPE À FRIC CLIMATIQUES…

Nous avons pu le constater cet été, tous les merdias aux ordres et leurs adeptes/apôtres chargés de délivrer la bonne parole du Saint-GIEC (ou Saintes Écritures) on fait la catéchèse, affirmant que nous devions nous habituer à avoir chaud, très chaud… l’été !

Je vous rappelle juste qu’on s’est pelés le cul jusqu’à fin juin, qu’on a eu effectivement très chaud 3 semaines en juillet. Mais qu’on s’est limite regelés les miches début août, pour avoir à nouveau du grand soleil au mois d’août, vous rendez-vous compte. Et qu’on se les gèlent grave en ce début du mois de septembre ! Voilà, voilà, voilà…

Donc, effectivement, tout est une question de « foi » dans les prédictions du RCA !

Jo Busta Lally

Le composant de foi dans les prédictions du réchauffement climatique anthropique

Dr. Roy Spencer | 8 septembre 2019 | URL de l’article en anglais ► http://www.drroyspencer.com/2019/09/the-faith-component-of-global-warming-predictions/

Traduit de l’anglais par Résistance 71 dans ► Escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique : La part de foi dans les prédictions des modèles… (Dr Roy Spencer)

Il y a déjà 10 ans que j’ai abordé ce problème dans un billet de blog spécifique (NdT : voir le lien sous l’article), j’ai donc pensé que cela en valait la peine de le revisiter. Je le mentionne de temps en temps, mais ce qu’il dit est si important, qu’il faut toujours le répéter, encore et toujours.

Je continue d’appliquer simplement ces concepts, nouvelle tentative donc.

Ce qui suit est le plus concis que je puisse faire.

  1. Le changement de température en tout, y compris le système climatique, est le résultat d’un déséquilibre entre le taux de gain et de perte en énergie. Ce raisonnement provient de la 1ère loi de la thermodynamique. Un truc de base.
  2. Le réchauffement global est supposé être dû à un petit déséquilibre (de l’ordre de 1%) entre la lumière solaire absorbée et l’énergie infrarouge perdue dans l’espace, ce en moyenne sur la Terre, causé par une augmentation du CO2 atmosphérique résultant de la combustion de sources d’énergie, de carburant fossile.
  3. Mais nous ne savons pas si le système climatique, sans l’influence humaine, est dans un état de déséquilibre naturel quoi qu’il en soit. Nous ne connaissons pas la quantité moyenne de lumière solaire absorbée ni l’énergie infrarouge émise au travers de la planète, que ce soit par observation ou par des principes physiques premiers, nous ne le savons pas de manière si précise afin de blâmer le plus récent réchauffement sur les humains plutôt que sur la nature elle-même. Les meilleures estimations actuelles, fondées sur une variété de données, est d’environ 239-240 Watts par m2 pour ce flot d’énergie. Mais nous n’en savons en fait vraiment rien.

Lorsque les premiers modèles climatiques informatiques sont construits, ce flot d’énergie globale moyenne entrant et sortant du système climatique ne s’équilibre pas. Donc, les modeleurs ajustent tout chiffre des processus incertains dans les modèles (par exemple, la paramétisation des nuages) jusqu’à équilibre. Ils déroulent le modèle pour disons, 100 ans et s’assurent qu’il n’y a pas ou peu de variation de température sur la longue durée pour vérifier qu’il y a équilibre.

Puis, ils ajoutent l’effet de radiation des infrarouges de l’augmentation du CO2, qui crée un déséquilibre énergétique. Le réchauffement se produit. Puis ils disent quelque chose comme: “Vous voyez ? Le modèle prouve que le CO2 est responsable du réchauffement que nous avons depuis les années 1950.

Mais ils n’ont fait que démontrer ce qu’ils assument depuis le départ. C’est un raisonnement circulaire. Une tautologie. La preuve est abondante que la nature crée également un déséquilibre dans l’énergie totale, par exemple le grand réchauffement avant les années 1940 ; le petit âge de glace ; la période chaude médiévale. C’est pourquoi beaucoup de climatologues essaient de purger ces évènements des archives historiques, pour faire croire que seuls les humains causent un changement climatique.

Je ne dit pas que l’augmentation du CO2 ne provoque pas de réchauffement, je dis que nous n’avons aucune idée de la quantité de réchauffement qu’il provoque parce que nous n’avons aucune idée des déséquilibres énergétiques naturels existant dans le système climatique pour disons, les derniers 50 ans. On assume simplement que ces déséquilibres n’existent pas.

(Et non, il n’y a aucune empreinte humaine sur le réchauffement. Tout réchauffement global, qu’il soit naturel ou causé par l’Homme, se ressemble. Si un déclin naturel des nuages marins était responsable, ou un déclin de renversement océanique, tous deux possibles dans un système chaotique, le réchauffement serait toujours plus grand au dessus de la terre qu’au dessus des océans, plus important dans les couches d’eau moins profondes que dans les couches d’eau profondes et plus important dans les grandes latitudes nord et moindre dans les grandes latitudes sud).

Ainsi, les projections faites concernant le réchauffement climatique comportent un grand élément de croyance, de foi programmée en elles.

Article mentionné par Spencer dans le 1er paragraphe : http://www.drroyspencer.com/2010/01/a-demonstration-that-global-warming-predictions-are-based-more-on-faith-than-on-science/

En 2010, Anarchix, le Gaulois Déchainé, publiait une analyse reprise par Le Monde (qui a depuis supprimé l’article, vous pensez bien) et rejoint le blog Résistance 71 tout juste formé en Collectif ► Sommet de Cancun : On remplace la fraude du RCA par le mythe de la surpopulation que vous pouvez retrouver en analyse dans ce billet en complément du Résumé SOTT de janvier 2018 « COUP DE FROID sur le RCA » ;

Car la finalité est, et depuis toujours, la réduction de la population et par tous les moyens possibles ► Qui est derrière la réduction programmée de l’humanité ? Dean Henderson (07/09/19)

En lectures complémentaires, je puis vous conseiller de lire ;

Théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique profonde du pétrole : Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le pétrole (abiotique). Biotique ou abiotique : La vraie-fausse crise pétrolière ou la pseudoscience au service du contrôle énergétique par scarcité induite (Version PDF N° 30 de 68 pages)

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Le manuel du sceptique de JoAnn Nova, journaliste scientifique australienne qui démonte le dogme pour nous dans ses deux versions complémentaires :

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L’Organisme international indépendant et compétent en la matière : le NIPCC (par opposition au IPCC=GIEC)

  • Rapport PDF de 24 pages en français : Le NIPCC contre l’IPCC (le GIEC) – Analyse des désaccords entre les modèles du climats et les observations : test des hypothèses du réchauffement climatique anthropique (RCA) et pour permettre à chacun de se faire sa propre opinion. Source fp4earth

En analyse dans ce billet ► Dernier résumé SOTT de l’année 2018 + un petit bilan de l’escroquerie du RCA et de l’arnaque de la Transition Écologique à la française…

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Interview de Marcel Leroux, professeur émérite de climatologie, dans Agriculture et environnement, 2004 – Source Le réchauffement climatique est-il un mythe ? Bernard Gensane du 16/08/2019 (porté à la connaissance des lecteurs du site Les Moutons Enragés par alaseb) que j’ai placé par extraits sous ce billet ad hoc ► Réchauffement Climatique Anthropique de mes 2 tiques !

Extrait : Pourquoi parle-t-on alors de réchauffement climatique ?

Parce ce que tout le monde accorde foi à la courbe de température globale publiée tous les ans par l’OMM (Organisation MétéorologiqueMondiale) et le GIEC (Groupe intergouvernemental sur le changement climatique).

Extrait : Qu’observe-t-on alors à l’échelle globale ? 

On n’observe rien, car il n’y a pas de « climat global ». En revanche, on connaît parfaitement l’évolution des climats régionaux qui suivent des évolutions fort dissemblables. D’ailleurs, il est très révélateur de constater que, de l’aveu même du GIEC, leurs modèles sont incapables de restituer ces variations régionales !

Extrait : Les modèles utilisés pour la prédiction climatique sont fondés sur les mêmes principes que ceux utilisés pour la prévision météorologique. Or, ces derniers se trompent constamment : ils n’ont pas été capables de prévoir les tempêtes de 1999, les inondations de Nîmes ou Vaison la Romaine, la canicule de 2003 et l’été pourri de 2004. Comment pourraient-ils être fiables à l’horizon de 2100* ? D’ailleurs, comme le rappelle l’océanographe Robert Stevenson, ces modèles prévoyaient une augmentation de la température de 1,5° pour l’an 2000 ; or, c’est six fois plus que ce que l’on a observé.

[*L’illustration de l’article du Dr. Spencer de 2010 auquel il fait référence dénonce exactement ce non-sens !]

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L’alarmisme climatique se transforme en religion ► Réchauffement climatique : l’hystérie.. Par J.P. Bardinet.. Pour CONTREPOINT VIA LES MOUTONS ENRAGÉS

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Contre le grain, une histoire profonde des premiers États, James C. Scott (Version PDF N° 76 de 76 pages)

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Sans doute suis-je promise aux flammes de l’enfer, puisque je n’ai « foi » ni dans cette nouvelle religion et cette Nouvelle Église, ni dans aucune autre…

Mais je ne crois pas plus à l’enfer et/ou au paradis !

JBL1960

9 réflexions sur « Avoir « foi » dans la Nouvelle Église de Climatologie, le Saint-GIEC ? »

  1. https://informationnationaliste.wordpress.com/2019/10/01/retractation-dun-article-de-nature-sur-le-rechauffement-des-oceans/

    Quand la science climatique hoquette
    Le 31 octobre 2018, la prestigieuse revue scientifique Nature publiait un important article sur le réchauffement des océans. Cet article était signé d’une demi douzaine de chercheurs d’institutions réputées (Université Princeton, Université Fudan de Shanghai, Centre de recherche sur les océans de Kiel), y compris un Français cumulard, qui se déclare affilié à la fois à l’Ecole Normale Supérieure, à l’Ecole Polytechnique, à l’Université Sorbonne, et au CNRS.
    Répétons-le : il ne s’agissait pas d’un article publié par un débutant dans une revue de deuxième ordre, à prendre avec prudence, mais de ce qui se fait de plus solide en matière de science climatique. Cet article démontrait que les océans se réchauffent bien plus rapidement qu’on ne le pensait jusqu’alors, et donc que la « sensibilité climatique » – l’augmentation de la température moyenne du globe causée par un doublement de la teneur en CO2 de l’atmosphère – est bien plus élevée que ce que l’on croyait, en bref que nous allons griller encore plus tôt que prévu. Le doute n’était pas permis, la science climatique avait parlé. En réalité, elle avait hoqueté. L’article était bidon. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est la science elle-même qui le reconnaît.

    Nature a demandé aux auteurs de retirer leur article, ils se sont exécutés et ils ont, la queue entre les jambes, publié en septembre 2019 dans Nature une « rétractation ».
    Ce trébuchement de la science donne à penser.

    Il ne dit rien ou pas grand chose sur l’avenir de la planète, mais il éclaire trois ou quatre points.
    Le premier concerne la complexité de la science climatique.
    Les auteurs sont des océanographes réputés, dont la démonstration repose sur des analyses statistiques.
    On peut être bon océanographe et mauvais économètre.
    Le chercheur amateur qui a débusqué le lièvre est peut-être un mauvais océanographe, mais il est un statisticien sérieux, et il trouvé une erreur (au demeurant assez grossière) dans les calculs effectués.
    Le second se rapporte à la faillibilité du système de publication sur lequel repose la science.
    La pluralité des auteurs assure en principe la correction des erreurs que tout un chacun peut commettre.
    Surtout, la relecture à l’aveugle par au moins deux experts indépendants du manuscrit envoyé à la revue, ce qu’on appelle la révision par les pairs, est supposée empêcher la publication des articles indignes. La qualité, la crédibilité, d’une revue dépend de l’efficacité de ce processus.
    En l’occurrence, il n’a évidemment pas bien fonctionné. Le peer-reviewing a été un pire-reviewing.
    Si cela arrive avec Nature, cela doit arriver plus souvent encore avec des revues moins prestigieuses. Il ne s’agit pas de jeter le bébé avec l‘eau du bain et de condamner ce procédé. Mais il convient d’être critique, et de pratiquer le doute cartésien : on a besoin de climato-sceptiques.
    Le fait que les conséquences de l’article allaient dans le sens du réchauffisme (ou de l’écologisme comme dit Bruno Durieux) dominant explique sans doute en partie ce fiasco. Ce fait a pu émousser l’esprit critique des réviseurs.
    Il explique certainement l’ampleur et la chaleur de l’accueil médiatique de l’article.
    Des dizaines de « grands journaux » ont titré en première page : « la science prouve que le réchauffement s’accélère ».
    Gageons qu’ils ne donneront pas la même ampleur à la rétractation intervenue.
    On notera enfin que le système scientifique a en l’espèce plutôt bien fonctionné. Le David amateur qui a refait les calculs et lancé l’alerte a finalement triomphé des Goliaths patentés qui s’étaient trompés.
    Nature a eu l’honnêteté de le reconnaître. La science ne s’en sort pas si mal. Comme on voudrait que les médias et les politiques fassent sur ce sujet la moitié du même chemin !
    source
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/retractation-dun-article-de-nature-sur.html#more

    Merci à Thierry65 sur le site http://www.lesmoutonsenrages.fr

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