THE LAST WAVE/LA DERNIÈRE VAGUE… OU PAS !

Et sur quelle étude se fonde Martin Blachier pour annoncer une 4ème vague ?

covid 3ème vague

Nan, cherchez pas… Comme Macron et son monde, Castex et son orchestre, Véran et sa bande, c’est à la louche, au doigt mouillé ET à vol d’oiseaux…

À RELIER À ► VIDÉOS et PDFs INDISPENSABLES pour COMPRENDRE POURQUOI IL EST URGENT DE REFUSER LA VACCINATION DE MASSE CONTRE LE COVID !

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Le Covid, c’est fini ? Non, « il est en pause pour l’été », prévient Martin Blachier sur LCI

Qu’est-ce qu’il est sympa ce virus quand même… Qui reste sagement à la porte quand on le lui demande… Pour rappel, la taille d’un coronavirus c’est 0.1µ !

ANON

NON ! L’injection génique expérimentale n’est pas LA seule solution… finale !

IVERMECTINE

Que nous a appris l’Inde sur le traitement du Covid ?

Par le Dr. Gérard Delépine – 21 juin 2021 – URL source ► https://nouveau-monde.ca/que-nous-a-appris-linde-sur-le-traitement-du-covid/

+ COVID-19 : « L’hécatombe post-vaccinatoire » a commencé… (PDF) N° 286 de 11 pages par le Dr. Gérard Delépine ► https://jbl1960blog.wordpress.com/wp-content/uploads/2021/05/covid_hecatombe_post-vaccinatoire.pdf

Complétée & Enrichie par Jo Busta Lally

Depuis près de deux mois, les médias se moquent de la politique sanitaire de l’Inde, et décrivent cet immense pays comme celui où on entasse les morts dans les rues pour les brûler, et le creuset de naissance de variants qui vont nous anéantir lors de la quatrième vague. Cette présentation dramatique est contraire à la vérité.

Mais revenons aux faits, aux faits authentifiés et publiés par l’OMS et les agences sanitaires officielles.

L’Inde a affronté le covid avec au total six fois moins de victimes que nous

Au 16/6/21 la France recensait 1678 décès attribués au covid par million d’habitants contre 290 en Inde.

La comparaison de ces deux chiffres devrait interpeller des médias objectifs.

Compte tenu de l’insuffisance de l’appareil sanitaire indien, l’obtention de ce résultat étonnement favorable justifie l’analyse de la recette indienne du succès anti covid19 qui réside dans la jeunesse de sa population, mais surtout dans les traitements préventifs (avant toute contamination) et les traitements précoces (dès les premiers signes).

Le traitement préventif par hydroxychloroquine a contrôlé la première vague

Lors de la première vague le 22/3/2020, le conseil indien pour le covid a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet, et retirée depuis qu’a été dévoilé son caractère totalement fallacieux.

Rappelons que le ministre français s’est précipité pour interdire l’HCQ à la sortie de cet article mensonger et faire stopper les essais où l’HCQ était testée, mais n’a toujours pas pris le temps de rétablir la vérité et de libérer les médecins de l’angoisse de prescrire ce médicament pas cher et sûr, honni par le pouvoir, par crainte de poursuites par le Conseil de l’Ordre, comme d’autres collègues auxquels on reproche d’avoir guéri leurs patients avec des médicaments refusés par le ministre !

[NdJBL : pas par crainte, les radiations pleuvent, comme à Gravelotte ► https://www.apmnews.com/depeche/1/365028/covid-19-la-generaliste-figure-des-anti-masques-radiee-de-l-ordre-des-medecins-%28actualisation%29 celle-ci est la plus emblématique, mais il y en a eu d’autres, sans sommation ! Rapportez-vous au début de la crise, où les personnels en EHPAD n’avait aucun équipement de protection comme on a pu le voir dans le documentaire choc diffusé en novembre 2020 sur FRANCE3 – CASH INVESTIGATION – EHPAD, les familles en colère ! (la vidéo n’est plus disponible sur France Télévision, hein ? Faut pas déconner non plus, vont pas nous laisser les preuves…)]

L’Indian covid19 Task force a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant[1] et des membres des familles âgés de plus de 15 ans[2] au contact de malades covid19.

Ce traitement a considérablement amoindri la diffusion de la maladie dans la population avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072 (quatorze fois plus).

Au total, au 30 janvier 2021 (avant le début de la vaccination) l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants (10 757 710) alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542) soit six fois plus. Elle était un modèle !

Cette forte réduction du risque de contamination ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Elle est d’autant plus remarquable que l’Inde se singularise par la grande promiscuité de sa population dans les nombreuses mégapoles, Bombay

(12 478 447 d’habitants), Delhi (11 007 835), Bangalore (8 425 970), Hyderabad (6 809 970), Ahmedabad (5 570 585), Madras (4 681 087) Calcutta (4 486 679).

Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde ne comptait que 118 morts/M (154 147 morts) contre 1156/M (75466 morts) en France, soit dix fois plus.

La catastrophe post vaccinale de la deuxième vague stoppée par l’Ivermectine

En février 2021, en Inde, l’épidémie paraissait contrôlée avec une moyenne quotidienne de 7,7 nouveaux cas/million (10000 nouveaux cas) et avec le début de la vaccination le 16 janvier 2021, les traitements préventifs ont été délaissés.

Pourquoi les Indiens ont-ils cédé à la propagande de la vaccination ?

Un mois et demi après le début de la campagne de vaccination, une deuxième vague a déferlé sur l’Inde avec une augmentation exponentielle des nouveaux cas pendant 6 semaines et un pic de contaminations journalières atteignant 418 cas/Million (cependant deux fois et demie moindre que le pic français de novembre 2020).

Cette augmentation post vaccinale brutale des cas, cohérente avec les prédictions du Dr Tenpenny et du Professeur Cahill, avait été déjà observée dans de nombreux pays.[3][4] 

[NdJBL : VOIR/REVOIR la vidéo du Pr. Dolores Cahill généticienne et immunologue à l’Université de Dublin, Collectif ACU 2020.org dans laquelle le Pr Cahill explique que les effets des “vaccins” à ARNm se manifesteront des mois plus tard, (càd maintenant) et que nous ne voulons pas que les personnes soient étiquetées comme décès Covid, alors qu’en réalité elles ont été victimes des effets des (vaccins) INOCULATION à ARNm https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1/trim.06026EA6-C979-4FBE-87FE-CA1E722A43F5:f]

Elle a été suivie d’une augmentation de la mortalité qui a été très médiatisée en Occident afin de relancer la panique du covid qui commençait à s’estomper.

LE BON SENS REVIENT AVEC LE TRAITEMENT PRÉCOCE

Les autorités ont réagi en rassurant la population. Le président de Medanta,[5] le Dr Trehan, a déclaré : « 90 % des patients atteints de COVID peuvent récupérer à la maison s’ils reçoivent les médicaments appropriés à temps. Dès que votre test RT-PCR est positif, mon conseil serait de consulter votre médecin local avec qui vous êtes en contact. Tous les médecins connaissent le protocole et commenceront votre traitement en conséquence ».

Ce protocole a été publié le 22 avril 2021 en une série de recommandations officielles comportant, pour les formes modérées de covid, de l’hydroxychloroquine ou de l’Ivermectine per os sous la surveillance des médecins traitants, complétées, si besoin, par de la Budésonide inhalée.

Et dix jours plus tard, le nombre de nouvelles contaminations s’est effondré passant de 319 cas/Million (414 188 cas) le 7 mai à 47/Million (61 471 cas) le 14 juin. Si nos dirigeants souhaitaient vraiment éviter une éventuelle quatrième vague, il suffirait qu’ils suivent la méthode indienne, ou marseillaise préconisée dès mars 2020. Que cherchent-ils vraiment ?

La vague post vaccinale a été vaincue par les traitements précoces, mais au prix d’une augmentation de la mortalité globale passée à 295/Million le 20 juin 2021 (contre 1681/M en France avec 109743 morts depuis le début de l’épidémie). Que de vies perdues par ce fameux pseudovaccin !

Quelles leçons peut-on tirer de l’évolution de l’épidémie en Inde ?

1°) Un pays pauvre peut faire nettement mieux que les pays occidentaux

2°) Les traitements préventifs par hydroxychloroquine, ciblés sur les personnes à risque, ont fortement réduit les contaminations lors de la première vague

3°) La campagne de vaccination a été suivie d’une forte augmentation de la maladie et donc qu’il faut abandonner en urgence ces substances géniques en essai thérapeutique.

L’accumulation des effets secondaires graves et des décès post vaccinaux reconnue par les agences officielles tant aux USA[6][7] qu’en UE[8] et en Grande-Bretagne, combinée à l’absence d’efficacité démontrée par les vagues de contamination dans tous les pays vaccinés, devrait faire renoncer le monde à cette escroquerie contre une maladie peu mortelle et curable, si tant est qu’on accepte de la traiter.

4°) Les traitements précoces par HCQ et Ivermectine peuvent stopper l’épidémie, ce que confirment de nombreux articles accumulés en 18 mois dont une nouvelle méta-analyse sur l’ivermectine parue récemment et commentée ce jour dans France soir.[9]

[NdJBL : Sur les traitements précoces qui fonctionnent cités par Christian Velot dans sa dernière vidéo et alors qu’en France on nous en refuse toujours l’accès, lire : Ivermectine, Inde et démystification par le Dr. Gérard Maudrux le 17 juin 2021 ► https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/06/17/ivermectine-inde-et-demystification/ + L’Étude fournie par le Presque Dr. T’Ché-RIEN : L’hydroxychloroquine est protectrice pour le cœur, et non nuisible : une revue systématique ► https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32839670/]

Conclusion

Espérons que les médias et nos gouvernants soient finalement capables de l’entendre et libèrent les prescriptions médicales, devant la révolte populaire encore silencieuse, mais dont l’attitude électorale rejetant tous ceux qui ont soutenu la dictature sanitaire imposée par le gouvernement est un signal fort de la conscience du peuple et de l’absence de résignation.

Il n’est jamais trop tard.

  1. [1] HCQ 400 mg le premier jour suivi de la même dose chaque semaine durant 7 semaines[↩]
  2. [2] HCQ 400 mg le premier jour suivi de la même dose chaque semaine pendant 3 semaines[↩]
  3. [3] G Delépine L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde 2021-05-24[↩]
  4. [4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/[↩]
  5. [5] Medanta est une chaîne indienne d’hôpitaux basée dans la région de la capitale nationale de l’Inde[↩]
  6. [6] https://www.fda.gov/media/150054/download… Les effets indésirables systémiques (fatigue, céphalées, fièvre…) peuvent être qualifiés de fréquents à très fréquents chez les 16-25 ans (fatigue 30-40 %, céphalées 25-30 %) pour le vaccin Pfizer[↩]
  7. [7] USA WARNING : 7 décès chez les 12-17 ans selon VAERS ! Réfléchissez bien avant de faire vacciner vos enfants… (businessbourse.com) [↩]
  8. [8] #EudraVigilance : 13 867 morts et 1 354 336 blessés dans la base de données européenne des effets indésirables des médicaments pour #COVID -19 coups | Kathy Vittetoe 12/06/21[↩]
  9. [9] Ivermectine : une nouvelle méta-analyse conclut à son efficacité (francesoir.fr) [↩]

ANONROUGE

Il n’est jamais trop tard… Pour bien faire ! Preuve qu’ils ne sont pas là pour bien faire, et encore moins pour nous faire du bien !

PREUVE SUPPLÉMENTAIRE ► https://fr.sputniknews.com/france/202106221045766900-hopital-plus-de-1800-lits-fermes-ou-supprimes-en-3-mois-sinsurge-fo/

+ de preuves dans mon DOSSIER SPÉCIAL CORONAVIRUS & dans ma BIBLIOTHÈQUE PDF – Les mises à jour sont faites en temps réel !

mouton.vote

Et ils ont cru qu’on allait veauter pour eux comme d’hab ?

aujourd'hui mouton masque demain mouton noir

JBL1960

72 réflexions sur « THE LAST WAVE/LA DERNIÈRE VAGUE… OU PAS ! »

  1. INFO CU12 ► https://lesmoutonsenrages.fr/2021/06/22/vos-infos-et-news-du-22-juin-2021/comment-page-1/#comment-819936

    Déjà 7 morts chez les 12-17 ans aux États Unis selon VAERS.
    974 chocs anaphylactiques
    109 cas de myocardites
    24 cas de thromboses
    NE LES LAISSEZ PAS INJECTER VOS ENFANTS !

    https://www.businessbourse.com/2021/06/19/usa-warning-7-deces-chez-les-12-17-ans-selon-vaers-reflechissez-bien-avant-de-faire-vacciner-vos-enfants/

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  2. Argentine : Une infirmière de 34 ans qui avait reçues les deux doses du vaccin contre le coronavirus est décédée

    María Castelló avait 34 ans et travaillait comme infirmière à l’hôpital Santojanni

    Le décès par COVID-19 d’une infirmière de 34 ans qui avait reçu deux doses du vaccin contre le coronavirus émeut tous les professionnels de santé de l’hôpital de Santojanni, où travaillait la jeune femme

    https://autonomes.blogspot.com/2021/06/argentine-une-infirmiere-de-34-ans-qui.html

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  3. CEUX QUI VEULENT SE FAIRE VACCINER

    Dans cette vidéo de la Chaîne Radio Vérité, bien des informations utiles

    Partager cette vidéo un maximum à ceux qui se posent des questions, ensuite ils auront leurs libres arbitres pour décider si oui ou non, ils s’injectent cette expérimentation chimique dans le corps…

    https://odysee.com/@Radio-V%C3%A9rit%C3%A92:3/CEUX-QUI-VEULENT-SE-FAIRE-VACCINER-(21-juin-2021)-Radio-V%C3%A9rit%C3%A9:5?

    CEUX-QUI-VEULENT-SE-FAIRE-VACCINER-(21-juin-2021)-Radio-Vérité

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  4. https://www.laminutedericardo.com/LMDR/delphine-volange-la-flamme/

    Delphine Volange, texte de La Flamme

    La Flamme

    Je suis Delphine Volange et j’appartiens à la société du beau sexe.

    N’étant la mère de personne j’escomptais que celles qui le sont iraient enragées par les rues de France défendre en lionnes la vitalité et le visage outragés de leurs petits qui vivent depuis des mois sous la chiffe.

    Comme j’avais cru que celles proclamées féministes iraient ensemble gonfler une vague irrépressible contre l’affront sans nom fait à leurs sœurs en couche tenues jusqu’à l’automne dernier de donner la vie sous un masque.

    Mais je vis hier encore une jeune mère indigne gourmander son petit garçon déjà emmuselé qui risquait de rendre des gens fort malades en portant trop négligemment sa chiffe.

    J’ai dû rêver enfant d’un Armageddon où nous serions unis d’évidence contre l’épouvante, où le roi mon père saluerait mes bravoures, où nous serions les héros flamboyants et solidaires dans le roman.

    Je croyais que les ailes de l’amour tiendraient tous les gentils blottis ensemble contre l’adversité par-delà les abîmes.

    Je n’avais pas imaginé que ce cauchemar où nous sommes serait doublé d’un autre mauvais rêve, non moins insidieux.

    Car nos frères, nos sœurs et nos parents cachent encore je ne sais quelle honte sous un chiffon chimique et envisagent le sérum salvateur comme une heureuse fatalité.

    Au sein de nos liens chéris, spéciaux et uniques ces désaccords caricaturaux, communs s’insinuent effrontément, avec pour nous leur dure leçon d’humilité.

    Mais tout cela trahit bien pire qu’un différend sous le ciel de la matrice.

    Si nos érudits bien-aimés et civilisés peinent à comprendre ce que des grands-mères roumaines ou inuit sentent d’instinct dans les plaines de l’Arctique c’est parce qu’elles savent les choses de la Nature, les hauts secrets de la Vie et qu’aucuns poisons artificiels aucuns sortilèges malfaisants de l’Apocalypse ne sauraient jamais se soustraire à leur éminence.

    Pour moi, à défaut d’herbes folles et de Carpates j’ai grandi au jardin des Tuileries quelque part dans la Voie lactée où la lune fait luire dans le noir le marbre des statues. Mais dans ces tragédies d’amour qui vous dérobent le monde et le goût des fleurs, les fils de mes bas ont fini par se prendre à ces voiles qui dit-on recouvrent la conscience, me laissant entrevoir un peu ce qui est caché et que je ne saurais raconter sans mystère ni précautions infinies de délicatesse envers mes frères humains.

    Faut-il donc s’être éveillé souventes fois d’un lieu crépusculaire de l’intelligence et d’une sorte d’hypnose pour n’être plus dupe du pervers ou grossier cours des choses…sous le ciel de la matrice où la fausse lumière, les mensonges et le ridicule tuent ?

    Nous la Légion des Doux qui avons surmonté en secret de vertigineux scandales, la profanation de notre tendresse, nos allégeances insensées et de cruels vaudevilles, nous n’avons plus peur de voir en face : la Ténèbre.

    Et nous brillons dans le noir.

    Mais nous tremblons aussi pour ceux que nous aimons.

    En plus de saigner chaque jour face à l’humiliation consentie et à l’héroïsme châtré de beaucoup.

    Nous craignons pour eux, quand bien même ils s’agacent de nous ou nous mésestiment.

    Nous brûlons d’amour.

    Serait-ce parce que l’ange d’amour est sans pitié ?

    Parce qu’il nous veut toujours plus grands et sages et bienveillants et pleins de courage ?

    Et nous fait passer ici l’épreuve de la plus haute flamme.

    Pour qu’une fois conquise elle embrase tous ceux que nous chérissons et les protègent surnaturellement des dangers encourus, des bêtes cornues, des enfers et de tous les venins.

    Et qu’elle éclaire notre passage à tous depuis les caves de l’Empire vers la lumière du jour.

    Bien que la nuit fasse peser sur nous son lourd manteau, l’aube viendra.
    Posté le 22/06/2021

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  5. Ah ? Zont soulevé une paupière ?

    Bac 2021 : Nous, professeurs de philosophie, « nous nous abstiendrons de participer à la mascarade de cette édition » Blanquer vise à se passer des enseignants ! La privatisation de l’éducation nationale est en marche et les start-up dans les starting blocks !

    La réforme imposée par Jean-Michel Blanquer vise à se passer des enseignants et à détruire la relation pédagogique pour lui substituer des procédures « neutres » dénoncent, dans une tribune au « Monde », 350 professeurs de philosophie ► Article réservé aux Zabonné-e-s-absent-e-s…

    Tribune. Depuis son entrée en fonction, le ministre de l’éducation nationale entend réformer le baccalauréat, un examen depuis longtemps dégradé, mais dont il demeurait une façade. Avec ce vestige du temps jadis : la composition inaugurale de philosophie. Place désormais à l’évaluation en contrôle continu.

    Concession magnanime, la philosophie demeure en fin d’année, ainsi qu’une épreuve de grand oral, déjà considérée par plusieurs enseignants réfractaires comme un pur numéro de spectacle. Une façon pour l’élève de mettre une première fois en scène son employabilité.
    Lire aussi la tribune : « Rien ne justifie le maintien des épreuves terminales des examens dans les lycées »

    La pandémie de Covid-19 a mis à mal l’organisation du bac. Elle a surtout révélé la logique de cette réforme : se passer des enseignants, de leur présence incarnée devant les élèves. Détruire la relation pédagogique pour lui substituer des procédures « neutres » d’évaluation. A la façon d’une machine. Les propos du ministre lors des Assises de l’intelligence artificielle pour l’école, tenues en décembre 2018, appelant à assister toujours plus le travail de correction des enseignants par les calculateurs artificiels, étaient limpides.
    Logiciel mouchard

    M. Blanquer ne fait sans doute que poursuivre une transformation entrepreneuriale de l’école bien entamée avant lui. Mais il s’y livre avec zèle. Les startupers et financiers de la « EdTech », promoteurs de la numérisation de l’école, furent tout heureux d’apprendre que dans le monde « difficile à comprendre », « opaque » et « peu facilitant » de l’éducation nationale, il restait des « portes d’entrée » (le ministre lui-même) permettant d’établir des « règles du jeu qui fassent levier pour [leur] action » (voir sur le site du ministère, le « lancement du fonds Educapital avec Jean-Michel Blanquer et Mounir Mahjoubi »).
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi Antoine Prost : « Nous passons trop de temps à évaluer les étudiants »

    Trois ans après, avec ce bac de philosophie 2021, nous y sommes. Le jeu se dérègle. L’institution est démantelée, méthodiquement. Disparités entre établissements dans la gestion de la situation sanitaire, entre des classes réduites de moitié et d’autres ayant travaillé en effectif complet ; choix de la meilleure des notes entre celle du contrôle continu et celle de l’épreuve, autre manière de lui ôter son bon sens…

    =*=
    Depuis le temps qu’on vous le dit !

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  6. BLOG 39 de Tal SCHALLER ► https://www.santeglobale.world/article-1/blog-39-de-tal-schaller/

    MACRON VOUS MANIPULE

    Il ne s’agit pas d’un vaccin mais d’une arme génétique, démographique, policière, militaire, financière et comportementale car

    – elle modifie le génome ( idéologie transhumaniste ) de ses victimes ;

    – elle est toxique selon les normes actuelles de l’O.M.S. ;

    – elle génère des variants du coronavirus covid19 ;

    – elle provoque l’effondrement du système immunitaire de ses victimes ;

    – donne aux États la capacité de savoir si une personne donnée a été soit disant vaccinée contre le Covid mais, en validité actuelle, victime de cette arme ;

    – donne aux États la capacité de connaître tous les médicaments pris entre deux instants donnés par une personne victime de cette arme donc toutes les maladies dont elle souffre entre ces deux instants ;

    – donne aux États la capacité de connaître la position géographique, avec un domaine de confiance de l’ordre du mètre en latitude, en longitude et en altitude, de toutes les victimes de cette arme et de la 5G ;

    – donne aux États et aux Banques la capacité d’identifier l’auteur d’une transaction financière ou d’une démarche administrative ou juridique s’il a été victime de cette arme ;

    – donne aux États la capacité de modifier le comportement des victimes de cette arme et de la 5G ;

    selon des ingénieurs en informatique, des ingénieurs en intelligence artificielle, des biochimistes, des généticiens, des professeurs de médecine…

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  7. https://www.profession-gendarme.com/le-variant-delta-est-six-fois-plus-mortel-parmi-les-vaccines-anti-covid-selon-le-rapport-de-sante-publique-britannique/

    Le taux de mortalité du variant Delta du COVID est six fois plus élevé parmi ceux qui ont été complètement vaccinés que parmi ceux qui n’ont jamais reçu de vaccin anti-Covid, selon les données publiées par Public Santé Angleterre vendredi.

    Vingt-six personnes sont décédées parmi les 4 087 qui ont été complètement vaccinées 14 jours ou plus avant d’être testées positives au variant Delta du COVID. Cela équivaut à un taux de mortalité de 0,00636%, ce qui est 6,6 fois plus élevé que le taux de 0,000957 décès – ou 34 décès parmi 35 521 cas Delta positifs parmi les non vaccinés, selon les données publiées dans un rapport du 18 juin intitulé «SARS-CoV-2 variants préoccupants et variants faisant l’objet d’une enquête en Angleterre, Briefing technique 16».

    Les taux de mortalité parmi les non vaccinés et vaccinés sont extrêmement faibles (moins d’un pour cent de tous les tests positifs) pour une variante que Public Health England décrit comme la “variante dominante” au Royaume-Uni, comprenant “91 pour cent des cas séquencés”.

    Une évaluation des risques du variant Delta du coronavirus pandémique publiée vendredi la décrit comme se propageant plus facilement entre les personnes, mais elle est également décrite comme un variant à «faible gravité de l’infection».

    Les médias grand public se sont penchés sur la possibilité que le variant Delta produise des taux d’hospitalisation plus élevés dans certaines parties de l’ Écosse et de l’Angleterre que la “première vague” du variant Alpha, mais selon le rapport de santé publique britannique, ces données sont basées sur des “premières preuves » et « une compréhension limitée de l’évolution clinique de la maladie ».

    Hospitalisation plus élevée chez les vaccinés

    Étant donné que les hospitalisations sont préoccupantes, les personnes entièrement vaccinées sont hospitalisées au Royaume-Uni à un taux plus élevé que les personnes non vaccinées. Selon le rapport d’information technique le plus récent, les données de santé publique montrent que 2,0% des personnes vaccinées (84 sur 4 087) qui ont été testées positives pour le variant Delta ont été admises à l’hôpital (y compris celles testées à leur entrée à l’hôpital pour toute autre raison) contre 1,48. pour cent des personnes non vaccinées (527 sur 35 521).

    Les données actuelles sont conformes aux données publiées la semaine dernière par l’agence de santé publique d’Angleterre qui ont également montré un taux de mortalité six fois plus élevé chez les personnes entièrement vaccinées que chez les non vaccinés et un taux d’admission à l’hôpital de 2,3% chez les personnes complètement vaccinées au moins deux semaines plus tôt. contre seulement 1,2 pour cent chez les non vaccinés.

    Amélioration dépendante des anticorps ?

    « Cela rappelle le phénomène ADE (amélioration dépendante des anticorps) qui a été observé pour d’autres vaccins et qui a été exprimé comme un sujet de préoccupation parmi de nombreux scientifiques pour les vaccins COVID », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology’s, laboratoire d’informatique et d’intelligence artificielle.

    L’ADE a gâché les tentatives précédentes de vaccins contre les coronavirus et a souvent entraîné une augmentation des maladies pulmonaires chez les animaux de laboratoire vaccinés . Cela a conduit les chercheurs en 2012 à conseiller aux scientifiques de procéder avec « la prudence » pour tout vaccin contre le coronavirus humain qui pourrait entraîner une maladie pulmonaire accrue.

    Stephanie Seneff a déclaré que des recherches ont montré que les vaccins contre les coronavirus modifient la façon dont le système immunitaire répond à l’infection et peuvent activer d’autres infections en sommeil chez la personne vaccinée, telles que le virus de l’herpès, créant des symptômes de paralysie de Bell ou de zona.

    “Il est concevable pour moi que la spécificité du faisceau laser des anticorps induits soit compensée par un affaiblissement général de l’immunité innée”, a déclaré la chercheuse Stephanie Seneff.

    “Je soupçonne également que des campagnes de vaccination massives peuvent accélérer la vitesse à laquelle les souches mutantes résistantes au vaccin deviennent dominantes parmi toutes les souches du SRAS-Co-V2 [coronavirus]”.
    – Source : MPI

    Source : ZE Journal

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  8. The Great Reset is walking …

    Encore un lien économique , le grand Reset va arriver. Préparez vous, à vivre comme nous, dans les bois en mode survivaliste. En petit comité, pour éviter les conflits.

    https://nouveau-monde.ca/alerte-jean-pierre-chevallier-docteur-en-economie-les-capitaux-propres-des-banques-sont-negatifs-elles-nont-plus-dargent/

    Bienvenue dans le nouveau monde.
    Euro numérique : « Vous n’aurez plus un euro sans que la BCE ne sache d’où il vient et l’usage que vous en faites »

    http://www.zejournal.mobi/index.php/news/show_detail/23415

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    1. Julien Pain mériterait bien d’en prendre un pain…

      P’tain, le gars qui sérieux te dit que y’a pas 1 seul mort après vaccination… Et il se prétend journaliste ?

      Bon, je suis pas d’accord à 100% avec Boutry loin s’en faut, mais franchement, franchement, j’espère que le gadin de dimanche prochain confirmera le pain reçu le 20 juin…

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  9. États-Unis : la majorité des médecins refusent l’injection antiCovid ► https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/06/22/etats-unis-la-majorite-des-medecins-refusent-linjection-anticovid/

    TUCSON, Arizona, 16 juin 2021 /PRNewswire/

    Sur les 700 médecins ayant répondu à un sondage Internet de l’Association of American Physicians and Surgeons (AAPS), près de 60 % ont déclaré ne pas être “vaccinés” contre le COVID.

    Cela tranche avec la déclaration de l’American Medical Association selon laquelle 96 % des médecins en exercice sont totalement vaccinés. Cette enquête était basée sur un échantillon de 300 participants.

    Aucune des deux enquêtes ne représente un échantillon représentatif de l’ensemble des médecins américains, mais l’enquête de l’AAPS montre que les médecins sont loin d’être unanimes pour soutenir la campagne de vaccination de masse.

    Le directeur exécutif de l’AAPS, Jane Orient, dit qu’il est faux de prétendre qu’une personne qui refuse une injection est « anti-vaxx ». « Pratiquement aucun médecin n’est »anti-antibiotique« ou »anti-chirurgie« , alors que tous s’opposent aux traitements qu’ils jugent inutiles, et nuisibles au patient, ou insuffisamment testés. »

    L’enquête de l’AAPS a également démontré que 54 % des médecins interrogés avaient connaissance de patients souffrant d’une « réaction indésirable importante ». Parmi les médecins non vaccinés, 80 % ont déclaré : « Je pense que le risque des vaccins est supérieur au risque de la maladie », et 30 % ont déclaré : « J’ai déjà eu le COVID. »

    Parmi les autres raisons de refuser la vaccination, citons les effets à long terme non répertoriés, l’utilisation de tissus de fœtus avortés, « le côté expérimental », la présence de traitements précoces efficaces, les décès et les caillots sanguins.

    Sur 560 médecins en exercice, 56 % ont déclaré préférer proposer un traitement précoce du COVID.

    Le personnel (en dehors des médecins) a été invité à participer à l’enquête. Sur un total de 5300 participants, 2548 se sont portés volontaires pour commenter les effets indésirables des vaccins dont ils avaient connaissance. Il s’agissait de décès, d’amputation, de paralysie, de morts nés, de troubles menstruels, de cécité, de crises d’épilepsie et de problèmes cardiaques.

    « Le lien de causalité n’est pas prouvé. Cependant, bon nombre de ces incidents auraient pu donner lieu à une énorme indemnisation si la responsabilité des produits ou la faute professionnelle étaient apparus après la commercialisation d’un nouveau médicament », a déclaré le Dr Orient. « Les fournisseurs de ces produits COVID sont protégés contre les poursuites judiciaires ».

    http://www.aapsonline.org

    prnewswire.com

    Geopolintel, le 19 juin 2021

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  10. https://www.francesoir.fr/societe-sante/ivermectine-une-nouvelle-meta-analyse-conclue-son-efficacite

    La campagne vaccinale n’en finit pas d’avancer avec des messages publicitaires et politiques de plus en plus coercitifs. Le ministre de la Santé a même envisagé, contre l’avis de la commission européenne, de rendre la vaccination obligatoire. Le tout vaccin trouve quand même des opposants quand il s’agit de la vaccination pour les enfants, et les données britanniques montrent que les patients vaccinés sont les plus hospitalisés. Raison de plus pour se tourner vers des traitements précoces, comme préconisés depuis plus d’un an par l’IHU du professeur Raoult. Dans sa dernière étude, il a montré l’efficacité de la bithérapie à base d’azithromycine et d’hydroxychloroquine. En Inde, le gouvernement a décidé depuis avril 2021 de promouvoir les traitements précoces à base d’ivermectine et d’hydroxychloroquine, qui s’est soldé par une baisse spectaculaire du nombre de cas et de décès. Et malgré cela, pas un mot dans les médias « mainstream » français, ni de mention au ministère de la Santé ou à l’OMS. Silence radio pour les traitements précoces. Pourtant, l’ANSM a donné une recommandation temporaire d’utilisation pour moins que cela.

    Une nouvelle méta analyse sur les bénéfices de l’ivermectine vient d’être publiée dans un journal à comité de lecture qui conclue que « des réductions importantes des décès dus au COVID-19 sont possibles en utilisant l’ivermectine. L’utilisation d’ivermectine au début de l’évolution clinique peut réduire le nombre de patients évoluant vers une maladie grave. La sécurité apparente et le faible coût suggèrent que l’ivermectine est susceptible d’avoir un impact significatif sur la pandémie de SRAS-CoV-2 dans le monde. » Tout en déclarant que les preuves sont de certitudes modérées, ce qui ne manquera pas d’entrainer des questions des observateurs des traitements précoces sur le pourquoi de ce dernier commentaires et sa réalité de terrain.

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  11. Chier BLABLABLA, je serais très étonné que tu sois bien lucide sur ce qui se passe et à quoi tu COLLABORES ! Tu ne possèdes pas un physique intelligent. Tu as celui du crétin type si bien décrit par Cipolla dans “Les lois fondamentales de la stupidité humaine” !

    C’est l’été, les virus HIVERNAUX ont changé d’hémisphère. Donc on sera assez peinard cet été, comme tous les étés, côté virus, celui-ci et les autres.

    Tu nous annonces la énième vague comme une diseuse de bonne aventure ! Suffit de faire des tests PCR à + de 35 cycles pour créer n’importe quelle pseudo-épidémie !

    Ok ! A vrai dire je me fous complètement de combien de pognon tu as et vas continuer de toucher, pour diviser les générations, entretenir la peur, culpabiliser les non-injectés. Le scénario écrit à l’avance par ceux qui te payent on le connait.

    Se pourrait-il que cette injection à laquelle on veut nous contraindre ait un lien quelconque avec la FERRITINE ? Comme vient de le publier la revue Nature, https://www.nature.com/articles/s41586-021-03594-0 , la surface de cette nanoparticule magnétique d’origine biologique peut être fonctionnalisée avec un morceau d’ARN viral !

    S’il y a encore des naïfs pour croire que nanotechnologie et vaccins sont des domaines de recherche qui ne se côtoient pas !

    La vaccination est le moyen idéal pour tester à grande échelle toute bio-nanotechnologie. En se passant bien sûr, pour cause de soi-disant urgence sanitaire, l
    des comités d’éthique et des longs et couteux tests cliniques !

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  12. “les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant.” O Véran Ministre Mars 2021 – Mémoire Conseil d’état.

    https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911

    Le vaccin n’empêche pas d’attraper la maladie ni de la transmettre et le ministre rajoute qu’il aggrave les cas face à un variant.

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  13. pourquoi un livre de 100 pages
    COVID-19 Faites-en la dernière pandémie
    COVID-19 Make-it-the-Last-Pandemic-final

    le lien pour le PDF https://theindependentpanel.org/mainreport/
    il existe en plusieurs langues
    COVID-19 “Faites-en la dernière pandémie” PDF, 5,1 Mo
    Arabe – PDF, 3 Mo
    Chinois – PDF, 3 Mo
    Français – PDF, 3 Mo
    Russe – PDF, 3 Mo
    Espagnol – PDF, 3 Mo

    notes de Guy Bouliane
    un nouveau rapport, publié par les Nations Unies, affirme que la « pandémie » de covid-19 aurait été évitée si l’ONU et en particulier l’Organisation mondiale de la santé avait reçu une plus grande autorité mondiale. Le rapport qui s’intitule
    “Covid-19: Faites-en la dernière pandémie” (COVID-19: Make it the Last Pandemic) réunit les conclusions publiées du Groupe indépendant sur la préparation et la réponse aux pandémies, qui se concentre sur la façon dont le monde peut envisager de prévenir les « pandémies » à l’avenir.

    Ce panel « indépendant » est présidé par l’ex-Premier ministre néo-zélandais Helen Clark, l’ex-présidente du Libéria Ellen Johnson Sirleaf et d’autres personnalités politiques (y compris le mondialiste renommé David Miliband), et a été créé en mai dernier par le Directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.
    (Comment un rapport commandé par l’OMS, appelant à donner plus d’argent et de pouvoir à l’OMS peut être qualifié d’« indépendant », je ne sais pas.)

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    1. Vaccination : une catastrophe mondiale sans égal…

      Visiblement cette tribune fait peur sinon ils ne se donneraient pas autant de mal pour l’étouffer. Mais l’évidence est là, Vanden Bossche a parfaitement raison, la vaccination est en train de produire de plus en plus de variants et au Chili où la population a été massivement vaccinée, faisant de ce pays le N°1 mondial devant Israël et le Royaume Uni, un reconfinement total vient d’être décrété face à la propagation massive de nouveaux variants. Ceci confirme ce que Geert Vanden Bossche affirme dans cette tribune : les vaccinés sont les pires contaminants.

      TRIBUNE : Geert Vanden Bossche Ph.D est virologue indépendant et expert vaccinal, ancien employé chez GAVI et la Fondation Bill & Melinda Gates.

      Ndlr : cette tribune est probablement le document le plus important à lire de ces derniers jours, c’est la raison pour laquelle nous le publions après avoir publié un extrait dans l’un de nos précédents articles. Elle appelle l’attention de la population générale, des autorités de santé et des scientifiques. Nous avons décidé de la republier car elle liste certains points qui sont essentiels à évoquer, encore plus après la campagne de vaccination massive en Israël et la suspension provisoire du vaccin AstraZeneca par précaution.

      Tout est fait pour limiter la diffusion de cette tribune de Geert Vanden Bossche. Tout est mis en oeuvre pour tenter de la décrédibiliser et semer le doute dans l’esprit des gens. Dans les médias mainstream c’est le black out complet, sur les réseaux sociaux, cette publication fait l’objet de « fact-checking » par l’AFP Europe, l’organe officiel de la propagande mondialiste.

      Visiblement cette tribune fait peur sinon ils ne se donneraient pas autant de mal pour l’étouffer. Mais l’évidence est là, Vanden Bossche a parfaitement raison, la vaccination est en train de produire de plus en plus de variants et au Chili où la population a été massivement vaccinée, faisant de ce pays le N°1 mondial devant Israël et le Royaume Uni, un reconfinement total vient d’être décrété face à la propagation massive de nouveaux variants. Ceci confirme ce que Geert Vanden Bossche affirme dans cette tribune : les vaccinés sont les pires contaminants car la vaccination va provoquer la véritable pandémie.

      Lisez…

      A toutes les autorités, scientifiques et experts de la planète, ainsi qu’à la population mondiale.

      Je suis tout sauf un antivaccin. En tant que scientifique je n’utilise habituellement pas de plateformes de ce type pour prendre positions sur un sujet lié aux vaccins. En tant que virologue et expert des vaccins je fais une exception uniquement lorsque les autorités de santé approuvent l’administration de vaccins d’une façon qui menace la santé publique, plus précisément lorsque les données scientifiques sont ignorées.

      La situation actuelle, extrêmement critique, me pousse à diffuser cet appel d’urgence. Etant donné l’ampleur sans précèdent des interventions humaines dans la pandémie de Covid 19 qui risquent d’entrainer une catastrophe mondiale sans égal cet appel ne pourra donc pas être assez fort.

      Comme je l’ai dit, je ne suis pas contre la vaccination. Au contraire, je peux vous assurer que chacun des vaccins actuels a été conçu, développé et fabriqué par des scientifiques brillants et compétents.

      Cependant, ce type de vaccins prophylactiques sont complètement inappropriés, et même très dangereux, lorsqu’ils sont utilisés dans des campagnes de vaccination de masse pendant une pandémie virale.

      Les vaccinologues, les scientifiques et les cliniciens sont aveuglés par les effets positifs à court terme des brevets individuels, mais ne semblent pas s’inquiéter des conséquences désastreuses pour la santé mondiale.

      À moins que je ne me trompe scientifiquement, il est difficile de comprendre comment les interventions humaines actuelles empêcheront les variants circulants de se transformer en monstre sauvage.

      Dans une course contre la montre, je termine mon manuscrit scientifique, dont la publication est malheureusement susceptible de venir trop tard étant donnée la menace sans cesse croissante de propagation rapide des variants hautement infectieux. C’est pourquoi j’ai décidé de poster un résumé de mes conclusions ainsi que mon discours d’ouverture lors du récent Sommet sur les vaccins dans l’Ohio sur LinkedIn.

      Lundi dernier, j’ai fourni aux organisations internationales de santé, y compris l’OMS, mon analyse de la pandémie actuelle sur la base d’informations scientifiquement documentées sur la biologie immunitaire du Covid-19. Compte tenu du niveau d’urgence, je les ai exhortés à prendre en considération mes préoccupations et à lancer un débat sur les conséquences néfastes d’une nouvelle « évasion immunitaire virale ».

      Pour ceux qui ne sont pas des experts dans ce domaine j’attache une version plus accessible et compréhensible des faits scientifiques derrière ce phénomène insidieux.

      Bien qu’il n’y ait pas de temps à perdre, je n’ai pas eu de retour jusqu’à présent. Les experts et les politiciens sont restés silencieux tout en étant manifestement toujours désireux de parler de l’assouplissement des règles de prévention des infections et des liberté printanière.

      Mes déclarations ne sont basées que sur la science. Elles ne seront contredites que par la science.

      Alors que l’on peut à peine faire des déclarations scientifiques incorrectes sans être critiqué par ses pairs, il semble que l’élite des scientifiques qui conseillent actuellement nos dirigeants mondiaux préfèrent garder le silence.

      Des preuves scientifiques suffisantes ont été mises sur la table. Malheureusement, elles restent ignorées par ceux qui ont le pouvoir d’agir.

      Combien de temps peut-on ignorer le problème alors qu’il existe actuellement des preuves massives que l’évasion immunitaire virale menace maintenant l’humanité ? Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas – ou n’avions pas été avertis.

      Dans cette lettre angoissante, j’ai mis en jeu toute ma réputation et ma crédibilité. J’attends de vous, gardiens de l’humanité, du moins la même chose. C’est de la plus haute urgence. Ouvrez le débat.

      Il faut inverser la tendance par tous les moyens !

      URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE D’INTÉRÊT INTERNATIONAL

      Pourquoi la vaccination de masse au milieu d’une pandémie crée un monstre irrépressible

      La question clé est la suivante : pourquoi personne ne semble s’inquiéter de l’évasion immunitaire virale ?

      Permettez-moi d’essayer d’expliquer cela au moyen d’un phénomène plus facile à comprendre: la résistance aux antimicrobiens. On peut facilement extrapoler ce fléau à la résistance à nos « antibiotiques antiviraux » self-made. En effet, les anticorps (ANTICORPS) produits par notre propre système immunitaire peuvent être considérés comme des antibiotiques antiviraux auto-fabriqués, qu’ils font partie de notre système immunitaire inné (ANTICORPS dits « naturels ») ou obtenus en réponse à des agents pathogènes spécifiques (entraînant ce qu’on appelle ANTICORPS « acquis »).

      Les anticorps naturels ne sont pas spécifiques aux germes alors que les ANTICORPS acquis sont spécifiquement dirigés vers l’agent pathogène envahisseur. À la naissance, notre système immunitaire inné est « inexpérimenté » mais bien établi. Il nous protège d’une multitude d’agents pathogènes, empêchant ainsi ces agents pathogènes de causer des maladies.

      Comme le système immunitaire inné ne se souvient pas des agents pathogènes qu’il a rencontrés (l’immunité innée n’a pas de soi-disant « mémoire immunologique »), nous ne pouvons continuer à compter sur elle à condition que nous le gardons « formé » assez bien. La formation est obtenue par une exposition régulière à une myriade d’agents environnementaux, y compris des agents pathogènes.

      Cependant, à mesure que nous vieillissons, nous serons de plus en plus confrontés à des situations où notre immunité innée (souvent appelée « première ligne de défense immunitaire ») n’est pas assez forte pour arrêter l’agent pathogène au portail d’entrée (principalement des barrières muqueales comme l’épithélie respiratoire ou intestinale).

      Lorsque cela se produit, le système immunitaire doit compter sur des molécules effectrices plus spécialisés de notre système immunitaire pour combattre l’agent pathogène. Ainsi, à mesure que nous grandissons, nous montons de plus en plus l’immunité spécifique aux pathogènes, y compris les ANTICORPS très spécifiques. Comme ceux-ci ont une affinité plus forte pour l’agent pathogène (par exemple, le virus) et peuvent atteindre des concentrations élevées, ils peuvent très facilement surpasser nos anticorps naturels pour se lier à l’agent pathogène/virus.

      C’est précisément ce type d’Anticorps hautement spécifique et de haute affinité que les vaccins Covid-19 actuels induisent. Bien sûr, le noble but de ces Anticorps est de nous protéger contre Covid-19. Alors, pourquoi devrait-il y avoir une préoccupation majeure en utilisant ces vaccins pour lutter contre Covid-19 ?

      Et bien, à l’image des règles applicables aux antibiotiques antimicrobiens classiques, il est primordial que nos « antibiotiques antiviraux » auto-fabriqués soient disponibles en concentration suffisante et soient adaptés aux caractéristiques spécifiques de notre ennemi.

      C’est pourquoi, en cas de maladie bactérienne, il est essentiel non seulement de choisir le bon type d’antibiotique (basé sur les résultats d’un antibiogramme), mais aussi de prendre l’antibiotique assez longtemps (selon la prescription).

      Le non-respect des exigences risque d’accorder aux microbes une chance de survivre et, par conséquent, peut provoquer la reprise de la maladie !

      Un mécanisme très similaire peut également s’appliquer aux virus, en particulier aux virus qui peuvent facilement et rapidement muter (ce qui est, par exemple, le cas des coronavirus); lorsque la pression exercée par l’armée de défense immunitaire (lire : la population) commence à menacer la réplication et la transmission virales, le virus prendra une autre apparence afin qu’il ne puisse plus être facilement reconnu et, par conséquent, attaqué par le système immunitaire hôte.

      Le virus est maintenant en mesure d’échapper à l’immunité (soi-disant: « évasion immunitaire »). Cependant, le virus ne peut compter sur cette stratégie qu’à condition d’avoir assez de place pour se répliquer. Les virus, contrairement à la majorité des bactéries, doivent compter sur les cellules hôtes vivantes pour se répliquer. C’est pourquoi l’apparition de « mutants d’évasion » n’est pas trop inquiétant tant que la probabilité pour ces variantes de trouver rapidement un autre hôte est assez éloignée.

      Cependant, ce n’est pas particulièrement le cas lors d’une pandémie virale !

      Au cours d’une pandémie, le virus se propage partout dans le monde avec de nombreux sujets excrétant et transmettant le virus (y compris les « porteurs » asymptomatiques). Plus la charge virale est élevée, plus la probabilité que le virus rencontre des sujets qui n’ont pas encore été infectés ou qui ont été infectés mais qui n’ont pas développé de symptômes est élevée.

      À moins qu’ils ne soient suffisamment protégés par leur défense immunitaire innée (par ANTICORPS naturels), ils attraperont la maladie Covid-19 car ils ne peuvent pas compter sur les ANTICORPS acquis.

      Il a été largement rapporté, en effet, que l’augmentation de S (spike) spécifiques ANTICORPS chez les personnes infectées asymptomatiquement est plutôt limitée et seulement de courte durée. En outre, ces ANTICORPS n’ont pas atteint la pleine maturité. La combinaison de l’infection virale sur fond de maturité et de concentration sous-optimales d’anticorps permet au virus de sélectionner des mutations lui permettant d’échapper à la pression immunitaire. La sélection de ces mutations se produit de préférence dans la protéine S car il s’agit de la protéine virale responsable de l’infectiosité virale.

      Au fur et à mesure que les mutations sélectionnées confèrent au virus une capacité infectieuse accrue, il devient maintenant beaucoup plus facile pour le virus de causer des maladies graves chez les sujets infectés. Plus les gens développent une maladie symptomatique, plus le virus peut sécuriser sa propagation et se répliquer (les personnes qui développent une maladie grave va répliquer plus de virus et pour une plus longue période de temps que les sujets infectés mais asymptomatiques).

      Malheureusement, l’augmentation de courte durée de ANTICORPS S-specifique ne suffit pas à contourner les gens ayant des anticorps naturels et innés . C’est-à-dire qu’avec un taux croissant d’infection dans la population, le nombre de sujets qui sont infectés tout en éprouvant une augmentation momentanée des S-ANTICORPS spécifiques augmentera régulièrement.

      Par conséquent, le nombre de sujets qui sont infectés tout en éprouvant une diminution momentané de leur immunité innée augmentera. Par conséquent, un nombre sans cesse croissant de sujets deviendront plus susceptibles de contracter une maladie grave au lieu de ne présenter que des symptômes bénins (c.-à-d. limités aux voies respiratoires supérieures) ou aucun symptôme.

      Au cours d’une pandémie, en particulier les jeunes seront touchés par cette évolution que leurs anticorps naturels ne sont pas encore largement supprimés par une panoplie d’ « acquis ». Les ANTICORPS naturels, et l’immunité naturelle en général, jouent un rôle essentiel dans la protection contre les agents pathogènes car ils constituent notre première ligne de défense immunitaire.

      Contrairement à l’immunité acquise, les réponses immunitaires innées protègent contre un large spectre d’agents pathogènes (alors ne compromettez pas ou ne sacrifiez pas votre défense immunitaire innée!). Étant donné que les anticorps naturels et les cellules immunitaires innées reconnaissent un spectre diversifié d’agents étrangers (c.-à-d. non autonomes) (dont seulement certains ont un potentiel pathogène), il est important, en effet, de le maintenir suffisamment exposé aux défis environnementaux.

      En gardant le système immunitaire inné (qui, malheureusement, n’a pas de mémoire!) ENTRAINES, nous pouvons résister beaucoup plus facilement aux germes qui ont un réel potentiel pathogène. Il a, par exemple, été rapporté et scientifiquement prouvé que l’exposition à d’autres coronavirus tout à fait inoffensifs causant un « rhume » peut fournir une protection, bien que de courte durée, contre Covid-19 et ses fidèles sbires (c.-à-d. les variantes les plus infectieuses).

      La suppression de l’immunité naturelle, en particulier dans les groupes d’âge plus jeunes, peut donc devenir très problématique.

      Il ne fait aucun doute que le manque d’exposition dû à des mesures de confinement rigoureuses mises en œuvre dès le début de la pandémie n’a pas été bénéfique pour maintenir le système immunitaire inné des gens bien formé.

      Comme si cela ne compromettait pas déjà fortement la défense immunitaire innée dans ce segment de population, il y a une autre force en jeu qui améliorera considérablement les taux de morbidité et de mortalité dans les groupes d’âge plus jeunes : LA VACCINATION DE MASSE des PERSONNES ÂGÉES.

      Plus le groupe d’âge ultérieur sera vacciné et, par conséquent, protégé, plus le virus est forcé de continuer à causer des maladies dans les groupes d’âge plus jeunes ! Cela ne sera possible que s’il s’échappe vers les ANTICORPS spécifiques à S qui sont momentanément élevés chez des sujets précédemment asymptomatiquement infectés.

      Si le virus parvient à le faire, il peut bénéficier de l’immunité innée (momentanément) supprimée, causant ainsi la maladie chez un nombre croissant de ces sujets et assurant sa propre propagation.

      Choisir des mutations ciblées dans la protéine S est donc la voie à suivre pour que le virus améliore son infectiosité chez les candidats qui sont enclins à obtenir la maladie en raison d’une faiblesse transitoire de leur défense immunitaire innée.

      Mais en attendant, nous sommes également confrontés à un énorme problème chez les personnes vaccinées car elles sont de plus en plus confrontées à des variantes infectieuses affichant un type de protéine S de plus en plus différent de l’édition S du vaccin (l’édition ultérieure provient de la souche originale, beaucoup moins infectieuse au début de la pandémie).

      Plus les variantes deviennent infectieuses (c.-à-d. en raison du blocage de l’accès du virus au segment vacciné de la population), moins le vaccin protégera !

      Déjà aujourd’hui, le manque de protection conduit à l’excrétion virale et à la transmission chez les receveurs de vaccins qui sont exposés à ces souches plus infectieuses (qui, soit dit en passant, dominent de plus en plus le domaine). C’est ainsi que nous transformons actuellement les vaccins en porteurs asymptomatiques qui excrètent des variantes infectieuses.

      À un moment donné, dans un avenir probablement très proche, il va devenir plus rentable (en termes de « retour sur investissement de sélection ») pour le virus d’ajouter quelques autres mutations (peut-être juste une ou deux) à la protéine S de variantes virales (déjà doté de mutations multiples améliorant l’infectiosité) dans une tentative de renforcer encore sa liaison au récepteur (ACE-2) exprimée à la surface des cellules épithéliales permissives.

      Cela permettra maintenant à la nouvelle variante de surpasser les ANTICORPS vaccinaux pour se lier au récepteur ACE. C’est-à-dire qu’à ce stade, il ne faudrait que très peu de mutations ciblées supplémentaires dans le domaine de la liaison des récepteurs viraux pour résister pleinement aux anticorps spécifique Covid-19, que ce soit obtenu par le vaccin ou par une infection naturelle.

      À ce stade, le virus aura, en effet, réussi à accéder à un énorme réservoir de sujets qui sont maintenant devenus très sensibles à la maladie que leurs ANTICORPS spécifiques sont maintenant devenus inutiles en termes de protection, mais parviennent encore à assurer la suppression à long terme de leur immunité innée (c’est-à-dire, infection naturelle, et surtout la vaccination).

      Le réservoir sensible comprend à la fois les personnes vaccinées et celles qui se sont laissées avec suffisamment d’ANTICORPS spécifiques à S en raison de la maladie Covid-19 précédente). Ainsi, MISSION ACCOMPLIE pour Covid-19, mais une SITUATION DÉSASTREUSE pour tous les sujets vaccinés et covid-19 personnes séropositives comme ils ont maintenant perdu à la fois, leur défense immunitaire acquise et innée contre Covid-19 (tandis que les souches hautement infectieuses circulent !).

      C’est « un petit pas pour le virus, une catastrophe géante pour l’humanité », c’est-à-dire que nous aurons fouetté le virus dans la population plus jeune jusqu’à un niveau qu’il faut maintenant peu d’efforts pour Covid-19 pour se transformer en un virus hautement infectieux qui ignore complètement à la fois le bras inné de notre système immunitaire ainsi que l’adaptatif / acquis.

      L’effort pour le virus devient maintenant encore plus négligeable étant donné que de nombreux receveurs de vaccins sont maintenant exposés à des variantes virales hautement infectieuses tout en n’ayant reçu qu’un seul vaccin.

      Par conséquent, ils sont dotés d’ANTICORPS qui n’ont pas encore acquis des fonctionnalités optimales. Il n’est pas nécessaire d’expliquer que cela va juste améliorer encore l’évasion immunitaire. Fondamentalement, nous serons très bientôt confrontés à un virus super-infectieux qui résiste complètement à notre mécanisme de défense le plus précieux: le système immunitaire humain.

      De tout ce qui précède, il devient de plus en plus difficile d’imaginer comment les conséquences de l’intervention humaine étendue et erronée dans cette pandémie ne vont pas anéantir une grande partie de notre population humaine. On ne pouvait penser qu’à très peu d’autres stratégies pour atteindre le même niveau d’efficacité en transformant un virus relativement inoffensif en une arme biologique de destruction massive.

      Il est certainement également intéressant de mentionner que les mutations de la protéine S (c’est-à-dire exactement la même protéine qui est sujette à la sélection des mutations d’évasion) sont connues pour permettre aux coronavirus de franchir les barrières des espèces. C’est-à-dire que le risque d’évasion immunitaire médicamenteuse pourrait permettre au virus de passer à d’autres espèces animales, en particulier le bétail industriel (p. ex., élevages porcins et avicoles), n’est pas négligeable. Ces espèces sont déjà connues pour accueillir plusieurs coronavirus différents et sont généralement logées dans des fermes à forte densité de stockage semblable à la situation du virus de la grippe, ces espèces pourraient servir de réservoir supplémentaire pour le virus du COVID-19.

      En raison de l’intervention humaine, le cours de cette pandémie a été complètement perturbé dès le début. Des mesures de prévention des infections généralisées et rigoureuses, combinées à des campagnes de vaccination de masse utilisant des vaccins inadéquats, mèneront sans aucun doute à une situation où la pandémie devient de plus en plus « hors de contrôle ».

      Paradoxalement, la seule intervention qui pourrait offrir une perspective pour mettre fin à cette pandémie (autre que de la laisser courir son cours désastreux) est … la vaccination.

      Bien sûr, le type de vaccins à utiliser serait complètement différent des vaccins conventionnels en ce sens qu’ils n’induisent pas les suspects habituels, c’est-à-dire les cellules B et T, mais les cellules NK.

      Il existe, en effet, des preuves scientifiques convaincantes que ces cellules jouent un rôle clé dans la facilitation de l’élimination complète de Covid-19 à un stade précoce de l’infection chez les sujets asymptomatiquement infectés.

      Les cellules NK font partie du bras cellulaire de notre système immunitaire inné et, à l’état d’ANTICORPS naturel, elles sont capables de reconnaître et d’attaquer un large éventail diversifié d’agents pathogènes. Il existe une solide justification scientifique pour supposer qu’il est possible d’ « éduquer » les cellules NK de manière à reconnaître et à tuer les coronavirus en général (y compris toutes leurs variantes) à un stade précoce de l’infection. Les cellules NK ont de plus en plus été décrites comme étant dotées de la capacité d’acquérir la mémoire immunologique.

      En éduquant ces cellules de manière à leur permettre de reconnaître et de cibler durablement les cellules, notre système immunitaire pourrait être parfaitement armé pour une attaque ciblée dans l’univers des coronavirus avant l’exposition. Comme la défense immunitaire à base de cellules NK fournit l’immunité stérilisante et permet une protection à large spectre et rapide, il est raisonnable de supposer que l’exploitation de nos cellules immunitaires innées va être le seul type d’intervention humaine restante pour arrêter la propagation dangereuse des variantes covid-19 hautement infectieuses.

      Si nous, les êtres humains, nous engageons à perpétuer notre espèce, nous n’avons plus d’autre choix que d’éradiquer ces variantes virales hautement infectieuses. Cela nécessitera en effet de grandes campagnes de vaccination.

      Toutefois, les vaccins à base de cellules NK permettront principalement à notre immunité naturelle d’être mieux préparées (mémoire !) et d’induire l’immunité du corps (ce qui est exactement le contraire de ce que font actuellement les vaccins Covid-19, car ceux qui transforment de plus en plus les receveurs de vaccins en porteurs asymptomatiques qui excrètent le virus).

      Il ne reste donc pas une seconde pour que les engrenages soient modifiés et pour remplacer les vaccins tueurs actuels par des vaccins vitaux.

      J’appelle l’OMS et toutes les parties prenantes concernées, quelle que soit leur conviction, à déclarer immédiatement des mesures telles que L’URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE LA PLUS IMPORTANTE DANS L’INTÉRÊT INTERNATIONAL.

      Source : FranceSoir

      L’appel pressant de Geert Vanden Bossche à l’OMS

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    1. Bah oui mais Macron n’a rien à lui envier hein ?

      Frankistan ? Non Afghanistan… Parce que là-bas c’est kif kif !

      C’est loin le Boukistan ? Tais-toi et rames !

      Avant c’était = Pass ton Bac d’abord, maintenant c’est Prends ta piquouze et tire-toi !

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  14. Encore une innovation des cinglés de la vaccination…

    Kieny dans le lot…famille du Haut-Rhin originaire de Hongrie…et un passé…

    Voilà ce qu’il vous attend, copier coller, de 20minutes.fr.
    Vaccination : C’est quoi la stratégie réactive, prôné par la Haute Autorité de Santé ?
    Ce lundi, la Haute Autorité de Santé (HAS) a recommandé de mettre en place une stratégie de vaccination « réactive » face aux variants les plus dangereux du coronavirus, comme le variant Delta, estimé 60 % plus contagieux que le variant Alpha, lui-même 50 à 74 % plus transmissibles que la souche originelle de Covid-19.

    La vaccination réactive consiste à vacciner « très rapidement » tout l’entourage de chaque cas positif à un variant préoccupant dès que ce dernier est identifié. Par entourage, la HAS évoque « l’ensemble des individus du foyer du cas détecté, des personnes à son lieu de travail et/ou à l’école/université ».

    Réagir, n’est ce pas déjà trop tard ?

    La stratégie peut laisser sceptique en première impression. Quel intérêt de vacciner les proches lorsque la personne est déjà positive, et que le vaccin nécessite deux doses (hors Jansen) avec plusieurs semaines d’intervalle suivi encore de deux semaines pour offrir son immunité maximale ? En réalité, même si elle n’est pas parfaite, la première dose offre un début de protection immunitaire au bout de douze jours. Une protection très partielle, loin d’être suffisante pour que vous cessiez d’appliquer les mesures barrières après votre première dose, mais qui – dans le cas qui nous intéresse – est toujours mieux que rien. Ainsi, si une double dose de vaccin à ARN messager (Pfizer-BioNtech/Moderna) protège à 90 % contre les risques d’une hospitalisation, la première dose protège quand même à 30 %, et diminue également de 30 % les risques d’attraper le variant Delta. Si une première dose n’est pas suffisante (on se permet d’insister), elle n’est pas inutile pour autant.

    Très bien, mais si cette première dose n’est efficace qu’au bout de douze jours, quel est l’intérêt pour l’entourage d’un cas positif ? Pour rappel, un individu est généralement contagieux entre cinq et quinze jours après sa contagion. Et encore, cela signifie qu’il se sera fait tester positif dès le moment où il aurait attrapé le virus. Dans l’hypothèse plus probable où il s’est fait tester après avoir contracté des symptômes, son pic de contagion est déjà passé (il intervient généralement deux jours avant les premiers symptômes, et l’individu n’est plus contagieux entre sept et dix jours après leur apparition). Autant dire que si l’individu contaminé a contracté le virus, il l’aura transmis avant que l’effet de la primo-vaccination n’intervienne chez ses proches.

    Casser les chaînes de transmission

    C’est notamment en raison de ces délais d’incubation du coronavirus que la HAS ne préconise pas une stratégie par anneau, qui consiste à vacciner les cas contacts et leurs propres cas contacts. En raison de la durée d’incubation du virus (cinq jours environ) comparé à la durée de l’apparition du début de la protection vaccinale (douze jours environ après la première dose), le temps que la protection commence, c’est déjà trop tard pour les cas contacts des cas contacts, déjà contaminés.

    Aucun bénéfice alors ? Et bien, si, car il ne faut pas oublier les contaminations par rebond. « La stratégie vise surtout à éviter une deuxième génération de cas de contamination puisque en effet on ne pourra sans doute pas éviter que ceux parmi les « contacts » qui sont déjà infectés ne développent une infection », note Marie-Paule Kieny, virologue, vaccinologiste et experte en santé publique française.

    Prenons un exemple. Martin, Laurie, Stéphanie et Julien travaillent dans la même entreprise. Martin se fait tester positif au variant Delta, après l’apparition des premiers symptômes. En conséquence, Laurie, Stéphanie et Julien se font vacciner. A J + 12, ils ont donc un début d’immunité. C’est hélas trop tard pour Laurie, qui ne le savait pas mais qui a été contaminé par Martin la veille de son test. Trop tard également pour Stéphanie, qui s’est fait contaminer par Laurie à son tour. Pour cette chaîne de transmission là, effectivement, la vaccination a été inutile. Mais voilà, à J + 13, Stéphanie, qui ignore encore qu’elle est positive, prend une pause-café avec Julien. Alors que sans primo-injection, Julien aurait été contaminé à son tour, la première dose le protège suffisamment pour éviter l’infection. Grâce à la stratégie réactive, la chaîne de contamination s’arrête à Stéphanie, alors que sans la primo-vaccination de tous, Julien aurait été contaminé et aurait pu à son tour contaminer d’autres personnes. Ce sont ces rebonds-là que la stratégie réactive compte éviter.

    A la recherche du temps perdu

    Une stratégie efficace ? Les avis divergent. Pour Marie-Paule Kieny, « à partir du moment où on intervint très vite, c’est une stratégie très efficace. Elle interrompt les chaînes de transmission de personne à personne ». Eric Billy, chercheur en immuno-oncologie, se montre plus sceptique : « Il ne faut pas perdre de vue que la vaccination c’est avant tout de la prévention, et non de la thérapie. Une fois qu’un cluster est détecté, il est bien souvent trop tard pour son entourage. Et la primo-vaccination n’offre, même douze jours après, qu’une protection très partielle. La vaccination n’est pas une “réaction”, c’est une anticipation ».

    Pour le chercheur, il faut donc pousser avant tout vers plus de primo-vaccination avant même qu’un cas positif ne soit détecté. « Les gens doivent se vacciner, et les autorités sanitaires doivent réfléchir à comment lutter contre la baisse des primo-vaccinations », pointe Eric Billy. Même message pour le médecin et vaccinateur Christian Lehmann : « On a fait croire aux gens que la vaccination pouvait attendre les vacances ou même la rentrée, mais c’est maintenant qu’il faut se vacciner au maximum. Le variant Delta est déjà présent sur tout le territoire. Il faut donc vacciner, vacciner, vacciner. » Plus que la vaccination réactive, l’heure est donc à la vaccination très active.

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  15. M.A.F.I.A = Mazzini Autorizza Furti Incendi, Avvelenamenti” (1860)
    soit : “Mazzini autorise les vols, les incendies et l’empoisonnement”.
    Mazzini, grand ami d’Albert Pike, deux grands copains satanistes.

    L’empoisonnement : oui, il est urgent d’agir, et les vols, attentats et autres incendies doivent s’arrêter, il en va de notre vie à tous.

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  16. https://en.wikipedia.org/wiki/The_Last_Wave / https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=41420.html

    J’ai vu ce film au cinéma à Paris en 1980, j’avais 20 ans, je ne l’ai jamais oublié…

    C’est Peter Weir qui a réalisé Truman Show, entre autres…

    Je n’ai pas retrouvé la précision mais je crois me souvenir que Chamberlain/Burton est la représentation du dieu « blanc » Mulkurul annonciateur de la fin des temps = la dernière vague…

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  17. Fait vraiment trop frisquet ce soir… La lune est presque pleine… Espérons qu’elle amène des changements pour nous toustes car ces derniers temps sont particulièrement éprouvants pour ceux qui luttent, qui résistent.

    Heureusement, la nature nous offre un spectacle puissant et empreint de magie dans chacune des secondes qui s’égrainent si on se donne la peine de voir, de regarder, sans rien avoir à faire, juste les yeux grands ouverts, immobiles…

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    1. Ca rester frisquet au moins pour 2 semaines…sauf vendredi, samedi 23-25 degrés !

      Chaque soir, ça tournicote dans le ciel…quels engins ?

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    1. Oh Purge ! quand on en est là ! Marcher sur la tête, c’est quand même plus fort que marcher sur l’eau ! Respect amis chrétiens…

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      1. Zucky a encore frappé !

        Zucky Mark Zucky / Sucré Mark Sucré… Zuckerberg / montagne de sucre…

        J’invente RIEN… Preuve qu’il a finalement choisi son KLAN le gars sucré…

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  18. J’avais vu passer cette info hier sur SputnikNewsFrance, et au moment de l’intégrer dans mon billet, impossible de la retrouver !

    Coronavirus – Un docteur luxembougeois au tribunal pour avoir visité ET pour avoir soigné ses patients covid (vidéos) source conjointe Do et RB ► https://les7duquebec.net/archives/264955

    Le Dr Benoît OCHS, Luxembourgeois, est passé au Tribunal le 16 juin 2021 pour avoir soigné à l’HCQ + Azytromycine, et pour avoir visité ses patients. « On » réclame 1 an de suspension contre lui.

    LEVONS-NOUS & STOPPONS LES en disant NON et en ne se faisant pas VAXXASSASSINER et en REFUSANT d’obéir ! C’est tout !

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    1. + Laurent Gbagbo acquitté retourne en Côte d’ivoire

      Après dix ans d’absence, #LaurentGbagbo a à nouveau foulé le sol ivoirien ce jeudi 17 juin 2021. L’ancien président âgé de 76 ans a été acquitté par la Cour pénale internationale. Mais son retour suscite de nombreuses questions : a-t-il un agenda politique ? Et surtout va-t-il être gracié par le président Ouattara ? En effet, l’ex-président est toujours sous le coup d’une condamnation à Abidjan pour détournement de fonds. Reportage de notre envoyée spéciale sur place.

      http://mai68.org/spip2

      Note de do : Laurent Gbagbo avait vraiment gagné les élections en 2010 ; et, c’est l’impérialisme français qui, avec Sarkozy, l’avait chassé du pouvoir pour y installer au prix de nombreux massacres son ami Alassane Ouattara, dont il avait célébré à Neuilly le mariage avec la très sioniste Dominique Nouvian. Gbagbo était un anti-impérialiste, anticolonialiste, ce que ne pouvait supporter le sarkonazi.
      =*=
      Pour ma part, la seule solution pour l’Afrique = c’est l’Afrique par et pour les Africains !

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  19. https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/06/22/vaccins-et-consentement-eclaire/

    En droit de la santé, le consentement libre et éclairé impose au médecin de présenter clairement au patient tous les risques d’une conduite thérapeutique. Le consentement doit être libre, c’est-à-dire en l’absence de contrainte, et éclairé, c’est-à-dire précédé par une information.

    Nous venons de voir que, pour la vaccination des enfants pour le Sars-Cov-2, il faut trois consentements : les deux parents, et l’enfant qui doit s’exprimer librement. Que cache cette insistance ? C’est très simple, mais bien peu de gens sont capables de le comprendre vu le peu de culture juridique, de jugement, de bon sens et d’anticipation de l’avenir enseignés à nos concitoyens.

    Le message est très clair : « Si demain il y a problème, c’est vous le responsable. Vous avez été informés, vous avez signé, nous n’y sommes pour rien. Vous avez pris vos responsabilités ». Si le consentement éclairé est sans objet quand c’est obligatoire, est-ce qu’on demande un consentement éclairé pour vous vacciner contre le tétanos ? Tout autre traitement ? Est-ce qu’on exige de signer un consentement éclairé pour toute prescription hors AMM (20% des prescriptions) ? Non.

    Le consentement éclairé, s’est développé surtout dans deux domaines : les expérimentations, et la chirurgie, c’est à dire les domaines à risques avérés, non prévisibles et pouvant être graves, voire mortels. En chirurgie c’est devenu une obligation depuis 20 ans, suite à de nombreuses condamnations de praticiens, le patient (ou la famille) disant « je n’avais pas été prévenu du risque, si j’aurais su j’aurais pas venu », le praticien devant apporter la preuve du contraire.

    Notre Ministre de la Santé, dans une lettre au président du CNOM, décharge les médecins de bien informer les patients des risques de la vaccination. Je le cite : « La responsabilité des médecins ne pourra être engagée au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination ».Que penser de la connaissance des médecins sur le sujet, quand ils n’ont droit qu’à une seule source d’information, l’officielle, toute autre étant méchamment vilipendée ou censurée. L’information officielle ? Celle des seuls laboratoires déjà multi condamnés pour avoir caché leurs effets secondaires dans d’autres affaires. De plus, l’information est édulcorée par les autorités. Un exemple : l’ARN messager reste dans le muscle deltoïde, dixit l’Inserm et les autorités. Qu’ont écrit Pfizer et Moderna dans leurs études que les autorités ont occultés ? « Nous avons retrouvé nos billes dans tous les organes, y compris reproducteurs ». Alors, bien « éclairé » le consentement ? Quand un vaccinateur dit aux patients que les vaccins sont sans risques, fabriqués comme les autres à partir de virus atténués, le responsable qui doit éclairer les autres est-il lui-même bien éclairé ?

    Notre Ministre, le même, vient de menacer les soignants dans les ehpads de rendre leur vaccination obligatoire s’ils ne se vaccinaient pas plus. Dans le « consentement éclairé », il y a le mot « consentement ». Qu’est-ce qu’un consentement sous la menace, sous un chantage ? Est-ce un consentement ? De plus quelle justification scientifique et médicale à ce chantage quand 90% des pensionnaires sont vaccinés, donc protégés ? (Rappelons que le vaccin est efficace à 98%… )

    Sommes-nous dans l’esprit du code de Nuremberg ? Il précise dans son premier article que : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition «.

    Toujours dans sa lettre évoquée plus haut, le Ministre parle de l’indemnisation des victimes du vaccin anti-covid. Habituellement, c’est le laboratoire qui est responsable des conséquences de ce qu’il commercialise, il fait donc attention avant de lancer son produit sur le marché. Ici, l’État a passé contrat avec les laboratoires, en « prenant à sa charge » la responsabilité et l’indemnisation des éventuelles conséquences. Les laboratoires ont donc moins de précautions à respecter, leur portefeuille n’en souffrira pas en cas d’insuffisances. Ils ont déjà été condamnés à des milliards d’euros d’amendes ces dernières années, pour avoir caché des informations et des défauts, ce qui n’empêche pas nos autorités, non seulement de leur faire confiance les yeux fermés, mais en plus de les décharger de leurs responsabilités.

    On se décharge donc du pénal avec le consentement éclairé, mais pour l’indemnisation, qui prend en charge et comment, si ce n’est pas les laboratoires ? Est-ce l’État ? Comme l’écrit le Ministre, c’est l’ONIAM, Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales. C’est un établissement public créé par la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, qui a pour mission d’organiser le dispositif d’indemnisation « amiable, rapide et gratuit » (selon le site) des victimes d’accidents médicaux.

    Les victimes de la campagne de vaccination du H1N1, ont pu toucher du doigt les qualités de cet organisme. En effet, ce vaccin a été à l’origine de plus de 2 000 narcolepsies en Europe. 12 ans après, une bonne partie des victimes, porteur d’une maladie invalidante et incurable, sont toujours au tribunal pour obtenir gain de cause, et ceux qui ont été indemnisés l’ont été à des tarifs dérisoires comparés aux indemnités habituellement attribués par les tribunaux.

    Cerise sur le gâteau, savez-vous qui finance cet ONIAM ? Le financement de l’organisme est assuré par les cotisations sociales, c’est à dire par les victimes. C’est beau non ? L’État s’arrange avec les labos pour faire supporter leur responsabilité par les victimes potentielles. Dans cette affaire, ni les labos, ni l’État ne prennent aucune responsabilité. Coupables, mais pas responsables.
    =*=
    Je l’intègre en lien dans ma publication du jour avec la Capsule#55 !

    Ne lâchons RIEN qui sera en lien partout !

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  20. 2ème jour où mon couple de voisins vax restent claquemure chez eux… même pas sortis dans leur jardin alors que ce matin c’est beau temps.

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