Réponse de Macron à Denise H : « Je m’en tamponne le coquillard de votre avis, Denise ! »…

On n’a pas le cul sorti des ronces, hein Denise ?

Pour rappel : France, une mère de clan de 88 ans à Macron :

Votre avis, comme disait mon cher Robert, “ je m’en tamponne le coquillard ” !

La lettre coup de gueule, de Denise, 88 ans, à Macron ► https://numidia-liberum.blogspot.com/2020/10/la-lettre-coup-de-gueule-de-denise-88.html

Complété & Enrichi par Mézigue !

“ Bonjour Monsieur le Président,
Je m’appelle Denise, j’ai 88 ans.
Ce n’est pas moi qui tape cette lettre, je ne sais pas trop comment faire.
C’est donc mon arrière petite fille de 19 ans, qui écrit sous ma dictée.
Je vous écris aujourd’hui pour vous dire toute ma colère contre vous, vos ministres, et vos conseillers « scientifiques ».
Qui êtes-vous, jeune godelureau, pour penser et décider à ma place, de ce qu’est ma vie, de ce que sera ma mort ?
J’ai 88 ans, j’ai eu une belle vie, avec ses hauts et ses bas, ses joies et ses blessures, comme tout le monde, je présume.
Dans les hauts, j’ai eu 5 enfants, tous mariés, qui ont eu à eux tous, 15 petits-enfants. La plupart de mes petits-enfants (12) sont aussi mariés, et ont maintenant à eux tous, 27 enfants. J’ai donc 27 arrières-petits enfants.
Si vous savez compter, ma famille, issue de mon mariage avec mon regretté Robert, se monte à 54 personnes. Sans parler de la famille de mes frères et sœurs, que je vois encore régulièrement. À nous tous, nous sommes plus de 250, qui nous réunissons tous les 15 août… enfin, sauf en 2020, grâce à vous.
Et encore, 2 de mes arrière-petites-filles viennent de se marier. SANS MOI !!!
Grâce à vous et vos sbires, elles ont toutes les deux été privées de leur famille au complet, et amis, car vous avez interdit les rassemblements familiaux de plus de 30 personnes pour ME PROTÉGER, MOI !
Et accessoirement, mes enfants, qui ont 60 ans et plus.
Mais je ne vous ai rien demandé !
QUI ÊTES-VOUS POUR DÉCIDER DE MA VIE ET DE MA MORT ?
Moi, je veux VIVRE auprès des miens, les voir, les embrasser, rire et pleurer avec eux, SANS RESTRICTIONS.
Et si j’en meurs, et bien, c’est que ce sera mon heure. Je mourrais heureuse d’avoir profité de leur présence, de leur joie et de leur amour jusqu’à la fin de ma vie.
Je refuse que vous m’obligiez à vivre seule, loin de toutes et tous, sans aucun contact physique, sans câlins de mes amours, sans leur rire devant mes gâteaux… Et encore, j’ai la chance de vivre chez moi.
Mais je pense à mes amis, qui vivent en EPHAD (PDF), emprisonnés dans leur chambre, sans voir personne, qui ont dû supporter la chaleur cet été, car on leur a interdit le ventilateur dans leur chambre. Ils sont en train d’en mourir ! De tristesse et de solitude. Vous êtes en train de les tuer bien plus sûrement que le COVID.
Et en plus, vous les priverez de la présence de leur famille lors des obsèques, limitées elles aussi en nombre de personnes présentes.
Pourtant, vous, vous vivez bien avec une femme de plus de 65 ans. Elle n’est pas à risques ? Pourquoi ne pas l’isoler de tous contacts, elle aussi ?
En fait, selon les critères que vous nous appliquez, vous la mettez en danger, elle aussi….
Encore une incohérence de votre part.
Ma petite-fille n’a pas pu se marier avec ses amis, mais ses frères et sœurs sont venus en trains bondés, avec parfois plus de 5 heures de trajet… Logique, selon vous ?
Vous autorisez 700 personnes à se réunir sous un chapiteau, mais vous interdisez 100 personnes sous une tente de mariage ?

Vous nous interdisez de vivre car vous avez sabré les lits d’hôpitaux, sous Hollande, puis vous, directement. Vous parlez de saturation, car 1500 personnes sont en réanimation. 1500 personnes sur 66 millions de français ? De qui vous moquez-vous ? D’autant que toutes ne le sont pas pour des raisons de COVID.

Il y a environ 50 morts par jour, ATTRIBUÉS au COVID. Est-ce une raison pour moi, mes amis, nous les « vieux », de nous priver de vivre ?
Sans compter tous les français, condamnés à la peur, au désespoir et au chômage à cause de vous… Vous ne voulez pas que nous, les vieux, nous mourrions, mais vous vous servez de nous pour faire mourir toute la France !
Monsieur le Président, laissez les français tranquilles,
LIBRES DE DÉCIDER DE LEUR VIE ET DE LEUR MORT !
Sachez qu’à partir d’aujourd’hui, 12 octobre 2020, je vais vivre comme je l’entends, en recevant qui je veux, et j’embrasserai tous ceux qui viendront me voir.
Votre avis, comme disait mon cher Robert ; «  je m’en  tamponne  le coquillard  ».
Bien à vous, Denise H. ”

LOIS MARTIALES MÉDICALES + ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE =

DICTATURE TECHNOTRONIQUE EN MARCHE !

DICTATURE SANITAIRE DATAGOULE !

Comme l’avait analysé Christoph Hörstel en 2015, suite aux attentats de Paris, sur Russia Today DEUTSCH dans cette vidéo en VOSTFR : tous les gouvernements de l’OTAN, France comprise, mentent et pratiquent le management par la terreur depuis des années. Hörstel expliquait également dans cette vidéo que les attentats de Charlie Hebdo et de Novembre 2015 étaient bien des « attentats terroristes MANIPULÉS » afin de sidérer la population et d’éviter qu’elle ne se rebelle contre son propre gouvernement-qui-ment !

La nouvelle stratégie du choc du coronavirusAussi, pour maintenir le trouillomètre à zéro, en plus du vilain virus Bébert l’Corona, à cause duquel Macron et son monde, après avoir mis 2 français sur 3 sous couvre-feu, rêvent de nous reconfiner totalement.

Preuve pourtant  que tous les gestes barrières, le port du masque-qui-ne-sert-à-rien obligatoire PARTOUT PARTOUSTES et un confinement strict du 17 mars au 11 mai n’auront  servi absolument à rien, pas plus que les vaccins contre le CoV19 en préparation et précommandés par un certains nombres de pays, dont la France.

Vl’à t’y pas que Momo-le-barbu remet ça !

Comme   le   suggère, fort   opportunément  Résistance71 ce 28/10/20 : Boubou et Bébert s’unissent dans la terreur artificielle et pour que la mascarade s’amplifie !

Et ça marche ! Car c’est le même process à l’œuvre, hier, comme aujourd’hui et comme à chaque fois, en fait ;

Comme  le  PLAN(démie) de  la  2nde vague a quand même du mal à se mettre ordre de marche et que la grogne monte aussi vite que les cas COVID+ on nous ressort les barbus du placard pour faire diversion et remettre une pièce dans la fente, et c’est reparti pour un tour !

Si les victimes sont bien réelles, elles, d’un côté comme de l’autre. À chaque fois on nous refait le coup du barbu radicalisé en 2/2 par AL-CIA&Co et par la BUSH du Chef des Tas en fonction VIA les Merdias Mainstream, on vous fait croire que tout sera sous contrôle si et uniquement si vous restez planqué chez vous !

Bébert-Corona & Momo-le-Barbu = Même combat !

Alors que nous savons depuis longtemps que ce sont tous les gouvernements français successifs qui créent, fabriquent et manipulent  les faits et la réalité pour nous manager par la terreur avec tout l’arsenal technotronique de la répression qui va avec, bien sûr, afin de prendre le contrôle total des populations et d’éteindre toutes rébellions dans l’œuf.

Et au train où vont les choses, Noël et le Nouvel An se feront pour le moins sous la LOI MARTIALE MÉDICALE et sous une DICTATURE SANITAIRE qui est sortie du bois, puisque l’état d’urgence sanitaire a été prolongé par quelques député(e)s à l’A.N. jusqu’au 16 février 2021.

Ne pensez-vous pas que le moment est venu de sérieusement penser à ce que VOUS allez faire pour que ça change vraiment, plutôt que d’attendre, d’attendre et d’attendre… pour voir… Quoi ? Le savez-vous seulement ? Parce que c’est tout vu ! En fait, on a déjà tout vu ;

Page 11 du PDF sur L’esprit critique est source de progrès – La guerre psychologique pour la connaissance – La dissonance cognitive est-elle une étape nécessaire de la libération intellectuelle ?

Cliquer pour accéder à dissonance-cognitive-de-r71-en-juillet-2011-version-pdf-octobre-2020.pdf

Après les attentats (manipulés) du 11 septembre 2001, à la question : pensez-vous que les attentats du 11 septembre 2001 aient pu être perpétrés par une faction du gouvernement américain ? Beaucoup répondent : NON ! Lorsqu’on demande, POURQUOI ? La réponse la plus commune est : parce qu’aucun gouvernement ne pourrait faire une chose pareille à son peuple !

En êtes-vous bien sûr ? N’êtes-vous pas guidé en cela par la croyance que les gouvernements démocratiques étant les représentants des peuples, ceux-ci n’ont que les intérêts des peuples et l’intérêt général en tête ?

À retrouver dans ma BIBLIOTHÈQUE PDF

Mais alors, pourquoi nous maintenir dans la terreur d’un virus et comme si ça ne suffisait pas, d’attentats forcément “islamistes” et surtout dans quels intérêts ? Par ailleurs, Macron représentant du peuple, qui pour le croire encore, si vous l’avez jamais cru ?

Tout en nous faisant croire que seul l’État est à même de nous protéger, alors que nous avons la preuve, pour l’avoir tous vu, vécu, que le premier confinement n’ont seulement a été un remède pire que le mal, mais surtout que le gouvernement n’a rien modifié dans sa manière de manager l’Hôpital public et le personnel soignant, en supprimant des lits encore aujourd’hui, décrétant des interdictions de soins, ordonnant des restrictions d’accès au soins  et à nouveau autorisant instamment l’euthanasie par RIVOTRIL...

Car enfin, vous le voyez bien, qui pour prétendre, à part Macron-et-son-Monde, le gouvernement-qui-ment, les institutions, la médecine vendue à BIG-PHARMA, les Ripoulitiques & les Merdias subventionnés par le gouvernement-qui-ment que l’intérêt des peuples est dans un reconfinement total ?

Certainement pas lOMS qui convient que le confinement/verrouillage total est plus meurtrier que le virus lui-même et en déconseille fortement sa réutilisation par les États ?

La réponse de Macron à l’OMS = Votre avis, je m’en tamponne le coquillard !

À nous de jouer, car, sans arme ni haine ni violence, nous avons absolument le choix de nous suicider collectivement au coronavirus. Et personnellement, je ne me déteste pas assez pour choisir cette solution !

Ou nous pouvons nous lever, en nombre invincible, et il a été déterminé que 10 à 15% de la population mondiale est tout ce dont nous avons besoin et c’est fin de partie pour l’oligarchie !

Sinon ?

Et c’est fin de partie pour l’Humanité !

JBL1960

149 réflexions sur « Réponse de Macron à Denise H : « Je m’en tamponne le coquillard de votre avis, Denise ! »… »

  1. N’ayant pas écouté l’autre cron hier soir, j’apprends que le gonze a osé balancer qu’il y aura 400 000 morts, si ON ne fait rien ?

    Nanméo ? Et personne moufte ?

    Covid-19 : discours d’Emmanuel Macron. Un chiffre 400 000 !

    TRIBUNE : Monsieur Macron, Monsieur le Président,

    Si nous devions retenir un chiffre de votre discours ce serait celui de « 400 000 morts supplémentaires si l’on ne fait rien ». Vous utilisez ce chiffre comme étant la base d’une analyse pour en tirer des conséquences pour la Nation. Le confinement, version deux de la restriction des libertés, est donc suspendu à un chiffre.

    En tant que président, le pouvoir vous est conféré par le suffrage universel (66% des Français vous ont élu démocratiquement) sous contrôle des deux chambres. La loi d’urgence a suspendu ce contrôle, vous conférant ainsi une position quasiment unique sous la 5ème république.

    En mars 2020, nos libertés avaient été suspendues à une estimation de « 300 000 à 500 000 morts. A ce jour 35 785 de nos concitoyens ont perdu la vie avec la Covid. En mars, ayant écouté vos mots, et malgré la sidération des mesures, les Français se sont pliés avec discipline à ce premier confinement dont l’efficacité reste à démontrer. A ce jour les décès représentent moins de 10% des estimations. Ce « résultat » pourrait être imputé aux mesures sanitaires prises cependant la France ne se trouve pas parmi les meilleurs élèves dans la gestion de la crise, et certains pays ont eu des taux de mortalité bien plus faibles avec des mesures moins liberticides.

    Hier, vous avez annoncé un second chiffre : « 400 000 morts si l’on ne fait rien ». D’où sort cette estimation de 400 000 décès ? Serait-ce comme celle de mars, une estimation issue de l’analyse de Big Data au service de Big Pharma ? Ce chiffre fondé est fondé sur des calculs théoriques dont on ne connaît pas la source et qui n’ont pas l’objet d’un débat contradictoire. Devons-nous vous remettre notre liberté comme un blanc-seing sans explication ?

    La prolongation de l’état d’urgence et la suspension des libertés publiques que vous promulguez doit s’accompagner d’une explication plus approfondie et être mise en perspective avec l’intérêt de la Nation française.

    En droit quand un magistrat prononce une sanction de privation de liberté celle-ci est assujettie à une ou plusieurs causes normalement bien étayée(s) factuellement avec charge de la preuve à la partie qui porte l’accusation. L’inversion de la charge de la preuve est souvent une cause de nullité. 400 000 cela peut paraitre à la fois peu et beaucoup à la fois

    Monsieur le Président, le principe de précaution prévaut dans les deux sens. Vous demandez à vos compatriotes qu’ils remettent entre vos mains leur liberté de manière temporaire, la charge de la preuve de ce chiffre hypothétique de 400 000 décès ne peut pas leur incomber en plus. Celle-ci vous incombe, c’est une obligation légale prévue à l’article L3131-13 du code de la Santé publique, aussi il ne pourra être opposé le secret défense même si vous considérez que nous sommes en guerre.

    BonSens.org ► http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-discours-demmanuel-macron-un-chiffre-400-000

    Bon correction, Macron n’a pas été élu par 66% des français au suffrage universel. En données corrigées c’est à peine 12% des votants !

    Pas étonnant finalement, hein ?

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      1. Ouais, ouais, c’est partout, à la vue de tous, et ça roupille à poings fermés !

        Bon, heureusement qu’on a bien suivi le Legrand Roland, si tu vois ce que je veux dire, parce que ça prend forme, hein ?

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      2. Grande levée de brouillard à 20h sans réelle raison, des aéronefs qui ont tournés pendant près de 2 h.

        Drones ou autres ???

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      3. Levée de lune, pas encore tout à fait pleine, ce soir magnifique. J’ai admiré un bon moment en écoutant de la musique dehors… Magique !

        En attendant de mettre notre 31 !

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      4. Au coucher de soleil, le ciel était très particulier… Jamais vu auparavant.

        Vais regarder plus tard les photos sur l’ordi.

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    1. Si après cela, vous ne comprenez toujours pas que le but n’est pas notre guérison = on ne peut vraiment plus rien pour vous…

      Perso je ne fournie ni chien, ni canne blanche !

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  2. Coronavirus : un fiasco sanitaire, politique et juridique !

    Me Brusa – 26/10/2020

    Voilà pourquoi je vous mets cette vidéo, à 18:41 CB fait un focus sur l’article 15 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, or il y a déjà eu un précédent, jamais refermé, suite aux attentats du 13 novembre 2015, que j’ai entièrement détaillé dans ce billet du 18/12/2015 ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2015/12/18/cherchons-la-faille/

    Le Maréchal Hollandouille a décidé, tout seul de suspendre temporairement l’application de la Convention Européenne des Droits de l’Homme ;

    Mais aucun article de la Constitution ne lui confère ce pouvoir et il s’agit bien d’une violation caractérisée de la Constitution et donc nous sommes face à un coup d’État.

    Hollandouille a prévenu tout de suite qu’il dérogerait à la Convention Européennes des Droits de l’Homme.

    Ce traité international qui garanti notamment selon ;

    Art. 10 – La Liberté d’Expression.

    Art. 8 – Le Droit au respect de la vie privée et familiale.

    Art. 6 – Le Droit à un procès équitable

    Et en application de l’Article 53 de la Constitution de la Vème République

    Donc, le parlement a voté la prolongation de l’état d’urgence, décrété par Hollandouille dans la nuit du 13 au 14 novembre 2015. Mais la loi autorisant l’état d’urgence, n’a jamais été votée.

    Quid de l’Article 15 de la Convention ?

    Oui, je sais, ça devient un peu compliqué. Mais, utilisons leurs armes pour nous sortir de là, après on agira, librement.

    Bon pour faire court et pour bien comprendre pourquoi Hollandouille à utiliser la même rhétorique que Bush en annonçant que « Nous étions en guerre » voici ce que dit l’Article 15 de la Convention :

    « 1. En cas de guerre ou en cas d’autre danger public menaçant la vie de la nation, toute Haute Partie contractante peut prendre des mesures dérogeant aux obligations prévues par la présente Convention, dans la stricte mesures où la situation l’exige et à la condition que ces mesures ne soient pas en contradiction avec les autres obligations découlant du droit international. […]. »

    Donc, pour la 1ère fois dans toute l’histoire mondiale récente, un homme seul, François Hollande, a suspendu l’application de cette Convention Internationale et nous a privé de toutes les libertés qui en découlent.

    Alors que cette prérogative appartient au Parlement, par son vote.

    Même Vlad n’a jamais agit de même. Et imaginez, un instant, que n’aurait on dit, entendu, s’il avait tenté de faire de même ?

    On est a égalité de traitement avec la Chine, la Corée du Nord…
    =*=
    18/12/2015 ! Trotta, Di Vizio, Brusa zétaient où ?

    Je mets la suite de mon analyse dans ce billet, parce que 5 ans après, rien, absolument RIEN n’a changé ;

    À partir du moment ou le Maréchal Hollandouille déroge au principe du procès équitable, s’installe la mise en place de procès irréguliers, truqués. C’est une justice de type Section Spéciale et la dernière fois que ce type de procès a eu lieu c’était en 1941, sous un autre Maréchal et sous la responsabilités de 4 personnes seulement ;

    Pierre LAVAL ; Après Philippe Pétain, il est la personnalité la plus importante de la période du régime de Vichy et le principal maître d’œuvre de la politique de collaboration d’État avec l’Allemagne nazie. Ayant puissamment aidé à la fondation de « l’État français » en juillet 1940, il est vice-président du Conseil et dauphin désigné du maréchal Pétain jusqu’à son éviction soudaine, le 13 décembre 1940. Il revient au pouvoir avec le titre de chef du gouvernement, du 18 avril 1942 au 19 août 1944.

    Joseph BARTHÉLÉMY ; En août 1941, Joseph Barthélemy cosigne la loi créant les sections spéciales des cours martiales et la section spéciale de la cour d’appel de Paris, juridictions d’exception devant lesquelles aucun recours n’est possible. Peu favorable à une telle mesure, il l’applique pourtant en toute connaissance de cause.

    Pierre PUCHEU ; Il est successivement secrétaire d’État à la Production industrielle dans le gouvernement de Vichy (25 février 1941–18 juillet 1941), secrétaire d’État à l’Intérieur (18 juillet 1941), puis ministre de l’Intérieur le 11 août. Il crée les Sections spéciales pour juger en urgence les « terroristes », ainsi que les Groupes mobiles de réserve (GMR), ancêtres des CRS actuels. Plusieurs militants communistes internés par le gouvernement sont guillotinés6 comme otages dans le cadre de cette procédure après l’exécution d’un militaire allemand dans le métro parisien, le 21 août 1941. Et Pucheu, dans un discours aux préfets des zones occupées, déclare : « Il n’y a qu’un homme habilité à prendre contact avec les autorités d’occupation, c’est moi ! ». Il va jusqu’à proposer que l’armée française stationnée en Tunisie combatte aux côtés de Rommel.

    et Jean-Pierre INGRAND ; Ce dernier ayant fui en Argentine (les autres ont été fusillés je vous le rappelle) a donné à la fin de sa vie un interview à un journal français et explique combien il regrettait d’avoir participé à cette justice de type Section Spéciale. http://www.lexpress.fr/actualite/politique/les-regrets-d-un-serviteur-de-vichy_494874.html

    Le Maréchal Hollandouille n’a pas mesuré (mais peut-être que si c’est à voir) ce qu’il a fait, ce qu’il a décidé illégalement, d’entrer dans une justice de type Section Spéciale.

    Car des gens vont être condamné lourdement mais ce ne seront pas des terroristes (on a vu qui était perquisitionné, hein ?).

    Non.

    Mais des dissidents, toute personne qui n’est pas d’accord avec le Système, avec son Président, son Premier Ministre, son Ministre de l’Intérieur…

    N’importe quel contestataire, quoi… Vous, moi. Et nous serons pourchassés comme en 1941, 42, 43 et 44 ! Non c’est pas les numéro du Loto.

    Notons qu’en 1941, ils avaient eu le cran de produire une loi justifiant la justice de type de Section Spéciale. On était dans un État d’Exception et les lois étaient ad hoc même si elles étaient infâmes.

    Mais elle est où cette loi M. le Maréchal Hollandouille ?

    Nan, elle existe pas et donc on est entré de plein-pied dans l’État d’Exception puisque l’on ne peut bénéficier d’un procès équitable.

    Depuis le 25 novembre 2015 s’est institutionnalisé sous nos yeux un Apartheid ;

    Un monde d’hommes,
    Un monde de sous-hommes.

    Bon, je sais dans quel monde je vis, selon leurs cerveaux malades. Mais c’est nouveau cette façon de faire, car même le Sarkoléon, il avait pas osé. Il a pas eu l’occase peut-être.

    Souvent je dis que leurs rêves vont devenir nos cauchemars…

    Ben, on y est.

    Dans quel autre pays, au monde, le Président ou son Ministre des Affaires Étrangères, appellent en direct à la télé au meurtre d’un Président d’un autre pays ?

    Alors certes, il va nous falloir un peu de courage ;

    Arrêtez de fêter Noël comme des gros nazes, c’est pas mon cas depuis des lustres, donc pour moi c’est facile.

    Arrêtez le consumérisme à tout crin.

    Arrêtez de mettre la tête dans le sable, comme une autruche. Car ainsi, on a le cul à l’air, et ces cons en profitent pour nous le botter le cul…

    Commençons à nous unir ;

    À réfléchir et peut-être que l’irréversibilité de cette justice de type Section Spéciale volera en éclats.

    Surtout, parlons-nous ;

    Communiquons ;

    Entendons-nous.

    =*=
    JBL 29/10/20

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    1. Le cyborg est un ADMIRATEUR de Pétain.

      Une seule solution, les loger ET les neutraliser…au sens militaire des 2 termes.

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    1. «Les soignants sont mobilisés depuis mars dans cette crise du coronavirus. Nous ne tolérons aucune agression. Nous nous devons de protéger nos soignants pour le bien de tous».
      =*=
      Mais pas les malades… Nan eux peuvent crever, de toutes façons seront classés COVID alors ?

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    1. Pour mémoire, voici les propos haineux tenus par Finkielkraut, il y a plus de 15 ans :

      « Je suis né à Paris mais je suis le fils d’immigrants polonais. Mon père a été déporté de France. Ses parents ont été déportés et ont été assassinés à Auschwitz. Mon père est rentré d’Auschwitz en France. Ce pays mérite notre haine : ce qu’il a fait à mes parents fut bien plus violent que ce qu’il a fait aux Africains. » Source E&R VIA OD dans ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2019/02/19/apres-3-mois-de-resistance-et-de-rebellion-devenons-s-u-p-r-a-gilets-jaunes-tracts-en-pdf/

      On sait lire, et surtout, on n’oubliera RIEN…

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      1. Mais bien sûr !
        Si même les vieilles de 70 balais foutent des pins aux infirmières maintenant à cause du masque = sont démasqués, les Crons !

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    1. Alors ? Vous croyez toujours que ce reconfinement comme l’assure l’autre cron c’est pour éviter 400 000 morts ?

      RAPPEL = Nbre de décès TOUTES CAUSES CONFONDUES en 2019 = 612000 = 1677Dc/J en moyenne !
      2018 = 609 648 = 1670Dc/J
      2017 = 606 274 = 1661Dc/J
      2016 = 593 865 = 1627Dc/J

      On sait lire, et compter = Temps de dire non, non ? Si !

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    1. «C’est pourquoi nous demandons aux États membres d’envoyer leurs plans nationaux de vaccination, afin de s’assurer qu’ils sont tous adaptés à l’objectif».
      =*=
      Envoyons les valser, plutôt !

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  3. Confinement : « un remède pire que le mal » d’après une tribune collective ► https://www.alternativesante.fr/coronavirus/confinement-un-remede-pire-que-le-mal-d-apres-une-tribune-collective

    C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à le faire accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias mainstream lui ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de cette communication. Et, force est hélas de constater qu’ils jouent très bien le rôle qui leur a été assigné. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, cette communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants, en les changeant au fil du temps si celui qu’on utilisait ne permet plus d’envoyer le message espéré. Et si un indicateur a une évolution en dents de scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent. Il n’y a qu’un seul message possible.

    LIRE AUSSI SUR REGARDS.FR
    >> Chronique du Covid (partie IV) : face à la seconde vague, changer de politique

    Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a encore opéré. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts : « Du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital le 27 octobre, contre 257 la veille (le 26) et 244 (en baisse donc) le 28. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours en les cumulant. Prétendre compter les morts quotidien ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement les chiffres. Et c’est étonnamment ce qui s’est passé la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à son compte ce chiffre faux. Est-ce un détail ? Non, ce n’est hélas qu’un exemple parmi beaucoup d’autres.
    Une deuxième vague prétendue « plus terrible encore que la première »

    C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le disait il y a quelques jours : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Ce genre de prédiction catastrophiste constitue une manipulation d’un Conseil qui n’est pas scientifique mais politique. Rien ne permet non plus d’affirmer que, sauf confinement, « d’ici quelques mois, c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer », comme l’a pourtant prétendu hier soir le président de la République. Enfin, il est également faux de dire que nous ferions simplement comme tous nos voisins européens. À ce jour, seuls l’Irlande et le Pays de Galles ont reconfiné la totalité de leur population.

    Il serait urgent de revenir à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93% sont négatifs. Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85% ont moins de 60 ans ; il s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme grave de la maladie. Au final, moins de 1% de la population est donc « à risque » et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.

    Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 1er septembre et le 20 octobre, jour où nous avons fait ce calcul), 7.621.098 personnes ont été testées. Sur cette même période, 38.100 individus ont été hospitalisés (0,5%) et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09%) avec un test positif au Covid. En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%. Justifier le reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appelle un délire.

    Hier, le 28 octobre, 3045 personnes étaient en réanimation. Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?

    On dit alors : « Oui, mais l’hôpital est submergé par le Covid ». Manipulation encore, pour trois raisons. D’abord, les tests ayant été généralisés depuis juillet, toute personne entrant à l’hôpital porteuse d’une trace du Covid est comptée comme un « hospitalisé Covid » même si elle vient en réalité pour son cancer ou son hypertension. Et c’est la même chose si elle entre en réanimation ou si elle décède. Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation et de la réanimation augmentent bel et bien, cela n’a rien d’exceptionnel : c’est au contraire ce qui se produit chaque année à la même époque (automne-hiver) mais que l’on fait semblant d’avoir oublié. Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé de nos politiques et des journalistes ? Faut-il rappeler qu’en janvier 2020, à la veille de la crise du Covid, 1000 médecins dont 600 chefs de service des hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer « un hôpital public qui se meurt » ? Enfin, il y avait hier, le 28 octobre, 3045 personnes en réanimation. Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?

    La vérité est que les gouvernements ne veulent pas investir dans l’hôpital public où l’on maltraite les professionnels et où l’on a perdu près de 70.000 lits en 15 ans lors même que la médecine de ville est saturée et que les services d’urgence voient leur fréquentation augmenter d’année en année. Oui, l’hôpital est en tension mais ce n’est pas fondamentalement à cause du Covid ! C’est essentiellement à cause de la maltraitance politique dont ce service public est l’objet de manière générale depuis plus de 20 ans, et tout particulièrement depuis que les politiques y ont introduit comme partout une politique du chiffre et de la rentabilité inspirée du management des grandes entreprises.
    La vie sociale amputée, la démocratie en péril

    La vérité est que le confinement (qui sera peut-être prolongé au-delà du 1er décembre) crée bien plus de problèmes qu’il n’en résout. Son bilan mondial n’est associé à aucune réduction mesurable de la mortalité tandis que son principal résultat observable est d’abord de mettre au chômage des centaines de milliers et peut-être demain des millions de personnes, surtout évidemment parmi les plus fragiles (emplois précaires, CDD, intérim, personnes payées à la prestation, saisonniers, etc.), et de menacer de disparition la plupart des petites entreprises, souvent familiales, autres que les commerces de bouche, dont l’activité quotidienne est la seule source de revenu. Gageons que les très grands groupes s’en satisferont car ils les rachèteront sans doute demain.

    Ces mesures de confinement ont ensuite pour effet d’amputer la vie sociale de la plupart des liens sociaux autres que familiaux. Un certain style de vie et de pensée embourgeoisé s’en satisfaisait certes au printemps dernier, chaque enfant ayant sa chambre pour vivre son intimité, son ordinateur pour rester en contact avec l’école et son smartphone avec forfait illimité pour échanger en permanence avec ses amis, les parents faisant du télétravail, sortant chaque jour faire leur footing dans des rues et des espaces verts « où on entendait de nouveau les oiseaux », et se faisant livrer des repas à domicile s’ils avaient la flemme de faire à manger ou la peur d’aller se mêler à la populace dans un supermarché. Mais de quelle proportion de la population cette vie est-elle le quotidien en confinement ? Qui ne voit que le confinement fait exploser les inégalités sociales, les échecs scolaires, les violences intra-familiales, les troubles psychologiques et les renoncements au soin ? Qui ne sait qu’il entraîne déjà dans d’autres pays des soulèvements et des émeutes de la faim ? Et qui comprend que les oiseaux ont bon dos et que ces petits moments de répit procurés par la panique des humains ne sont rien au regard de leur lente extinction ?

    Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche par l’état d’urgence permanent et le confinement. Qu’est-ce qu’une démocratie sans liberté d’aller et venir, de se réunir et de manifester ? Qu’est-ce qu’une démocratie où il n’y a quasiment plus personne dans les hémicycles des assemblées parlementaires ? Qu’est-ce qu’une démocratie où la justice est paralysée faute de pouvoir audiencer ? Qu’est-ce qu’une démocratie où, finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ? Qu’est-ce qu’une démocratie où tout ceci s’impose par la peur et la culpabilisation, voire la censure et la mise en accusation de quiconque refuse d’y céder ?

    Chacun, en conscience, tirera les conséquences qu’il veut de tous ces dramatiques constats. Nous n’appelons pas à la révolution et nous ne faisons pas de politique partisane. Mais nous voulons dire que nous en avons plus qu’assez qu’on nous demande de nous comporter comme les moutons de Panurge au nom d’un principe de précaution totalement dénaturé et d’interprétations statistiques relevant de la manipulation. Nous réclamons qu’on en finisse avec cette panique sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leurs missions de santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique sanitaire consensuelle.

    Signataires :

    Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
    Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
    Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
    Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1
    Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois
    Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France
    Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention
    Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
    Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales (DRASS) honoraire
    Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à l’Université de Paris
    Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement
    Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
    Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
    Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur
    Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
    Fabrice Bonnet, professeur d’Endocrinologie au CHU de Rennes/université Rennes 1
    Jolanta-Eva Amouyal, psychologue clinicienne et du travail, Expert de la Commission Européenne
    Alexandra Henrion Caude, Chercheur, généticienne, Directrice de l’Institut de recherche Simplissima
    Andréa Soubelet, enseignant-chercheur à l’Université Côte d’azur
    Édith Galy, professeure en ergonomie à l’Université Côte d’azur
    Bruno Péquignot, professeur émérite de sociologie des Universités de Paris
    Jean-Loup Mouysset, Oncologue médical, Hôpital Privé de Provence
    Bernadette Meignan, médecin généraliste
    Sébastien Lagorce, médecin généraliste
    André Quaderi, Professeur de Psychologie, Université Côte d’Azur
    Olivier Soulier, Médecin
    Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Directeur du Centre de Droit public comparé
    Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord
    Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille
    Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
    Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des Barreaux
    Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
    Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
    Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS
    Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
    Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux
    Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes
    Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation
    Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée
    Malick Abubakr Hamid Diallo, journaliste
    Virginie Bauer, journaliste-enseignante
    Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université
    Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université
    Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
    Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie
    Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours
    Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de Bourgogne
    Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse
    Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
    Dominique Domergue Anguis, gynécologue
    Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux
    David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre
    Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes
    Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux
    Rose-Marie Castello, médecin du Travail
    Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)
    Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris 8 Vincennes à Saint-Denis
    Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
    Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
    Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
    Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)
    Florence Lair, radiologue libérale, Blois
    Nassim Moussi, Architecte
    Jean-Christophe Besset, Réalisateur
    Luc Petitnicolas, Responsable R&D – Chargé de cours
    Murielle Dellemotte, Médecin du Travail
    Monique Lamizet, médecin
    Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
    Monique Romagny-Vial, professeur des universités
    Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux
    Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
    Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)
    Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
    Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
    Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS
    Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques
    Pierre Grenet, écrivain
    André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne Sorbonne
    Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie
    Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire
    Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur
    Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
    Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS
    Pierre Duchesne, Psychanalyste
    Michel Angles, médecin généraliste (12)
    Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)
    Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste
    Christian Perronne, médecin infectiologue
    Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)
    Eugenia Lamas, chercheuse en éthique, INSERM
    Hervé Joly, directeur de recherche CNRS, Lyon
    Sylvie Laval, psychiatre
    Daniel Chollet, médecin pneumologue
    Brigitte Agostini, infirmière libérale, Propriano
    David Esfandi, psychiatre-addictologue, Bordeaux
    Thiou Sandrine, médecin généraliste à Besançon
    Ariane Bourgeois, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
    Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste, Villenave d’Ornon
    Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste Bourges
    Frédéric Monier, Professeur d’histoire contemporaine, Avignon Université
    Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
    Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
    Brigitte Weiss, Médecin généraliste
    Laura Giusti, Médecin psychiatre
    Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS
    Eric Bouvier, pharmacien
    Bernard Cornut, polytechnicien
    Sophie Tasker, Traducteur et Expert Judiciaire
    Mohamed Zelmat, biologiste médical
    Dominique Jaulmes, médecin retraitée, ancien PHTP AP-HP
    Anne Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des Universités en sciences humaines, ancien médecin et expert honoraire près des Tribunaux
    Tanguy Martinelli, médecin généraliste à Issigeac (Dordogne)
    Frédéric Hasselmann, professeur de musique, chef d’entreprise, responsable d’association
    Jean-Pierre Grouzard, retraité des Industries Electriques et Gazières
    Caroline Mecary, Avocate aux barreaux de Paris et du Québec, Ancien Membre du Conseil de l’Ordre
    Bernard Banoun, Professeur de littérature allemande, Sorbonne Université, Faculté des Lettres
    Hugues Debotte, Conseiller en droit
    Sendegul Aras, avocat au barreau de Strasbourg, Membre du Conseil de l’Ordre
    Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier
    Lisbeth Girard Claudon, Médecin généraliste
    Benoît Rousseau, juge des libertés et de la détention (Cayenne)
    Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, Cadre Hospitalier
    Delphine Rive, médecin généraliste (Rezé)
    Claude Gautier, professeur de philosophie, École Normale Supérieure de Lyon
    Nathalie Caradot, médecin généraliste
    Michel Soussaline, chirurgien AIHP- ACCAHP
    Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
    Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de Strasbourg
    Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire de l’université d’Artois
    Lucie Jouvet Legrand, Maîtresse de Conférences en Socio-Anthropologie
    Caroline Petit, chercheuse au CNRS, USR 3608
    Pascal Lardellier, Professeur de sciences de la communication à l’Université de Bourgogne
    Aurélia Vessière, Chercheur en maladies infectieuses
    Nathalie Bauer, écrivain, traductrice littéraire
    Marie-José Minassian, philosophe
    Fausto Lanzeroti, Ostéopathe D.O.
    Jean-Marc Le Gars, Avocat au Barreau de Nice
    Michel Deshaies, Professeur de Géographie, Université de Lorraine
    Thierry Orsiere, Ph D HDR, Ingénieur de Recherche en Toxicologie Génétique à Aix Marseille Université
    Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
    Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale
    Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste (Besançon)
    Patrick Bellier, Pneumologue
    Isabell Erhardt, médecin généraliste
    Franklin Joulie, Chirurgie Gynéco-Obst (Nantes)
    Pascal Sacré, Anesthésiste-réanimateur
    Pierre-Olivier Weiss, Attache temporaire d’enseignement et de recherche à l’Université des Antilles
    Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, formateur
    Pascal Pannetier, Chef d’entreprise
    Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
    Jeanine Jemet, médecin généraliste
    Rosa Gutierrez Silva-Lenud, infirmière, diplômée en Santé publique
    Claude Amzallag, musicien
    Bénédicte Helfer, Expert Science de Régulation
    Nicole Foulquier, Avocat (Beziers)
    Claude Murtaza, médecin généraliste
    François Gastaud, Chirurgien orthopédiste
    Amélie Castellanet, historienne de l’art
    Sara Melki, Ouvrière agricole
    Léna Barbancey, infirmière
    Vincent Pavan, maître de conférences en mathématiques, Aix-Marseille Université
    Eve Martin, psychologue de l’Education nationale
    Nicolas Védrines, kinésithérapeute diplômé en ingénierie
    Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne, Psychothérapeute
    Michel Boudet, Médecin généraliste
    Anne-Elisabeth Migeon, Diététicienne/Nutritionniste
    félix giloux, critique d’art
    Béatrice Adam, Kinésithérapeute
    Maylis Ferry, post-doctorante en science politique au Centre Émile Durkheim
    Justine Schaal, infirmière diplômée d’Etat
    Idriss Abiola, infirmier anesthésiste, Paris
    Pierre Sonigo, directeur de recherche et développement
    Rik Verhellen, médecin généraliste
    Paul Rocchietta, directeur financier
    Pierre Concialdi, chercheur en science sociales
    Laurent Lederer, comédien
    Alain Le Hyaric, Médecin de Santé publique, Paris
    Koryna Socha médecin, PH, docteur en sciences médicales
    Jean Baptiste Mouzet, praticien hospitalier gériatre, Maine-et-Loire
    Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité
    Jean Jacques Gandini, Avocat honoraire, Montpellier
    Marie Monguet, psychologue clinicienne
    Jean-Marc Rehby, médecin généraliste (Lille)
    François de Chabalier, psychiatre, épidémiologiste
    Cynthia Galand, infirmière diplômée d’état
    Christine Pavon, professeure des écoles
    Sophie Helayel, Accompagnante d’élève en situation de handicap (AESH)
    Jérôme Reynier, Docteur en psychologie sociale
    Arthur Roncetto, bibliothécaire
    André-Pierre Bouillet, médecin généraliste (Talant)
    Jean-Dominique Michel, socio-anthropologue
    Maryse Pechevis, Avocat à la Cour (Montpellier)
    Nadège Pandraud, enseignant-chercheur à Aix-Marseille Université
    Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
    Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice
    Heike Freire, philosophe et psychologue, spécialiste de la Pédagogie Verte
    Christian Castellanet, Agro-écologue
    Dominique Leiber, médecin généraliste
    Margot Mottet-Caisson, étudiante à l’Université
    Pascal Roman, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse à l’Université de Lausanne
    Gaël Raimond, étudiant infirmier
    Joo Zimmermann, Ingénieur Agronome, chargée d’accompagnement
    Maxime Langevin, doctorant en mathématiques appliquées
    Hélène Chollet, Docteur en médecine
    Béatrice Petit, médecin généraliste
    Raphaël Sendrez, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe
    Nicole Chaudiere, pharmacienne
    Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille
    Vincent Manns, médecin généraliste acupuncteur
    Martine Mérour, pneumologue
    Myriam Balsat, médecin généraliste
    Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
    Anne Atlan, Directrice de Recherches au CNRS, Généticienne des populations et Sociologue
    Caroline Mouzet-Heaulme, Médecin généraliste
    Christophe Sgro, avocat, barreau de Nancy
    Eliana Carrasco-Rahal, traductrice, autrice
    Gilles Moulard, chauffeur-livreur
    Adèle André, Juriste
    Dominique Bouvier, pharmacienne
    Marie-Louise Chaix, micro-entrepreneur
    Ralph Lévy, Étiopathe
    Nicole Roattino, pharmacienne Praticien Hospitalier
    Chantal Hecq, retraitée
    Evelyne Jaumary-Lapeyre, avocat, docteur en Science Politique
    Sybille Burtin-Philibert, Médecin spécialiste de Santé Publique
    Laurent Durinck, médecin anesthésiste
    Véronique Ahari, édecin nutritionniste
    Nathalie George, médecin du travail et épidémiologiste
    Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en Ehpad
    Dominique Crozat, professeur de géographie à l’Université Paul Valéry Montpellier 3
    Thierry Medynski, médecin généraliste
    Teddy Francisot, Avocat à Montpellier
    Blanche Magarinos-Rey, avocate au Barreau de Paris
    André Bonnet, avocat au barreau de Marseille
    Hélène Palma, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille
    Jean Luc Wabant, avocat
    Guy Chapouillié, Professeur Emérite à l’ENSAV de Toulouse
    Évelyne Gandais, Dermatologue
    Nicole Karsenti, Médecin généraliste
    Fabien Giboudot, médecin généraliste (39)
    Gwennola Nouet Berthelot, docteur en médecine (49)
    Édith Delbreil, avocate au barreau d’Avignon
    Serge Rader, Pharmacien, Paris
    Valérie Giraud, Sage-femme sexologue
    Emmanuel Sarrazin, médecin généraliste
    Frédéric Barbe, maître de conférences associé à l’Ecole d’Architecture de Nantes
    Jean Louis Pasquier, formateur pour adultes et praticien en cohérence cardio-respiratoire
    Christine Pasquier, formatrice, coach et praticienne en cohérence cardio-respiratoire
    Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue
    Anne Catherine Martin, médecin généraliste
    Paul-André Bellot, chirurgien dentiste
    Francine Barouch, médecin Homéopathe (Nice)
    Catherine Delmas, médecin généraliste, Toulouse
    Jean Emsallem, médecin angéiologue
    Morgane Miègeville, cadre de santé
    Jean-Philippe Golly, informaticien
    Patricia Melot, médecin généraliste
    Christophe Lemardelé, docteur en histoire des religions, chercheur associé au CNRS
    François Le Gall, musicien
    Sylvie Huitorel, infirmière libérale (56)
    Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)
    Philippe Bos, anesthésiste-réanimateur retraité
    Aline Hubert, hydrogéologue
    James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université Rennes 2
    Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire, université de Caen-Normandie
    Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste
    Lidia Wacheux, aide-soignante
    Laurent Toussaint, Conseiller en Investissements Financiers, Professeur à Montpellier Business School
    Bénédicte Dassonville, médecin généraliste
    Sylvie Imbert, informaticienne
    Elsa Ronchi, Cheffe de projet Développement Social Urbain
    Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
    Tamara Baron, psychologue
    Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)
    Pierre Maugeais, médecin généraliste (30)
    Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste, CHU Marseille
    Manuel Zacklad, professeur en Sciences de l’Information et de la Communication au CNAM
    Paul Report, retraité, ancien magistrat des tribunaux administratifs et cours administratives d’appel
    Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université
    Catherine Raulin, médecin ostéopathe
    Natacha Galet, psychologue Clinicienne, Psychanalyste
    Gérard Delépine, chirurgien cancérologue statisticien
    Nicole Delépine, pédiatre cancérologue
    Jutta Schicht, éducatrice spécialisée
    Eve Villemur, homéopathe , nutritionniste et praticienne en TCC
    Béa Arruabarrena, maître de conférences Conservatoire National d’Arts et Métiers (CNAM) – Laboratoire DICEN
    Sylvie Cagnin, médecin anesthésiste-réanimateur
    Claire Neirinck, professeur de droit émérite, Université de Toulouse 1 Capitole
    Thierry Loloum, médecin, psychiatre (16)
    Véronique Le Gall, psychologue
    Alain Tortosa, thérapeute
    Colette Nordmann, médecin du Sport-Santé, Bures-sur-Yvette
    Aude Meesemaecker, infirmière libérale, naturopathe, Montpellier

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    1. Autopsie du précédent confinement – Dr Nicole et Gérard Delépine ► https://www.alternativesante.fr/coronavirus/autopsie-du-precedent-confinement

      Alors que s’initie un nouveau confinement total, Nicole et Gérard Delépine reviennent sur le bilan du dernier confinement (17 mars – 11 mai 2020) et contestent vivement l’idée répandue selon laquelle cette décision politique liberticide aurait globalement « limité la mortalité ».

      Il est temps d’évaluer objectivement les résultats du précédent confinement forcé à domicile en se basant sur les faits observés. L’étude de la progression initiale de l’épidémie ne montre aucune preuve de discontinuité dans le taux de croissance, le temps de doublement et les tendances des nombres de contaminations avant et après instauration du confinement (1). Une comparaison montre que les pays voisins ayant appliqué des mesures de distanciation sociale moins restrictives ont connu une évolution temporelle en termes de contamination très similaire. Ce confinement aveugle n’a pas non plus raccourci la durée de l’épidémie, avec des courbes similaires de décroissance dans les tous les pays européens proches de la France, sans aucun avantage, ni en précocité, ni en rapidité.

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  4. Le reconfinement en France était prévu dès mars 2020..

    D’ailleurs Macron a bien dit serrer la vis???

    En Allemagne, et c’est Le Point, journal mainstream qui parle de confinement light…ni d’Ausweiss comme en France, ni de muselière en extérieur.

    Merkel est pourtant une Nazie…fille biologique de Hitler, lui-même fils batard de Salomon de Rothschild ( Vienne – Autriche )

    https://www.lepoint.fr/europe/covid-en-allemagne-un-confinement-tres-souple-29-10-2020-2398674_2626.php

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    1. Ne suivez pas en direct le PLAN de reconfinement du M. Déconfinement devenu en remerciement Premier Sinistre de Macron !

      STOPPONS MACRON et son MONDE = NON AU RECONFINEMENT GÉNÉRAL !

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      1. Et magnifique lever de soleil ce matin…

        Avec sur certaines photos des êtres ethétiques !

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  5. Youpi, près de chez moi, un abruti a cédé aux sirènes de la fibre…

    Aucun, ne veut comprendre ce qu’elle est réellement.

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