CoV19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’Humanité (Dr. Pascal Sacré, suite)

À relier avec mon billet d’hier ► NOUS SOMMES LES 99.999% (PDFs, VIDÉOS & ANALYSES) en appui de l’article du Dr. Pascal Sacré : Après le Nazisme… Le Covidisme + mon tout dernier TRACT-PDF pour stopper le muselage et la dictature sanitaires En Marche ► https://jbl1960blog.wordpress.com/wp-content/uploads/2020/10/tract-pdf-stop-au-muselage-sanitaire-et-aux-lois-martiales-medicales.pdf

À voir absolument cette vidéo de 3MN30 qui remonte jusqu’en 2015 et démontre que chaque année les hôpitaux sont en tension à cause de la grippe saisonnière qui occasionne entre 8 et 16 000 décès, avec un pic à 30 000 décès selon les données INSEE qui démontrent de plus, qu’il n’y a pas eu de surmortalité en 2020 ni d’Hôpitaux débordés à cause du CORONAVIRUS ! De plus, on a la confirmation que la coordination et le transfert de malades entre public/privé à toujours existé, comme entre Hopitaux. Sauf cette année donc, où l’appel du privé pour prendre en charge des malades du COVID19 est resté lettres mortes…

Grâce au Dr. Nicole Delépine VIA Profession Gendarme & TheSparKaTus : Petit récapitulatif médiatique du manque de lits et de la saturation du système hospitalier depuis 2015. Cette vidéo donne une vision plus précise sur le mensonge mediatico-politique visant à faire croire que covid19 est responsable de l’engorgement des hôpitaux. Après avoir regardé ce florilège, personne ne pourra soutenir la propagande en disant « je ne savais pas« . Les médias ont la mémoire courte, et l’on peut se demander après quasiment 10 mois d’annonces d’une deuxième vague transformée en vague de tests PCR dont personne à ce jour ne peut assurer la fiabilité.

Consultez, par vous-mêmes, les DONNÉES STATISTIQUES INSEE publiées au 2 octobre 2020 ► https://www.insee.fr/fr/statistiques/4487876?sommaire=4487854

ÉTEIGNEZ LA TÉLÉ & RALLUMEZ LES CERVEAUX !

Le 14/10/20 au soir, pour maintenir le trouillomètre à Zéro, un sondage LCI affirme que 73% des sondé-e-s français approuvent les mesures de couvre-feu annoncées par Macron !

Vous avez toujours le choix entre les cyborgs et les cyborgs si vous ne l’ouvrez pas ICI – MAINTENANT & TOUT DE SUITE !

Mais je vous rappelle juste que dès le moment où l’on nait, on avance vers notre propre mort. Par contre vous avez encore le choix de vivre et donc de mourir debout, libre ou de vivre à genoux en rampant et masqué et surtout seul(e) puisque selon ce gouvernement-qui-vous-ment, quand on aime ses proches on ne s’approche pas trop…

TOUTES LES PREUVES DANS MON DOSSIER SPÉCIAL CORONAVIRUS et POUR NE PAS MOURIR C.O.N.Vidiot(e)s ma BIBLIOTHÈQUE PDF

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COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité

Dr. Pascal Sacré – 14 octobre 2020 pour Mondialisation.ca ► https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite/5650143

VIA Résistance71, dans : Voix de la raison : CoV19 et tests RT-PCR, comprendre le comment de l’enfumage général permettant de maintenir un état de terreur accepté du plus grand nombre et de dire NON ! à la dictature sanitaire… (Dr Pascal Sacré)

Que je complète et enrichie en préambule et en conclusion

Introduction : utilisation d’une technique pour verrouiller la société

Toute la propagande actuelle sur la pandémie COVID-19 repose sur un postulat considéré comme évident, vrai et qui n’est plus remis en question :

Test RT-PCR positif veut dire être malade du COVID. Ce postulat est trompeur.

Très peu de gens, y compris chez les médecins, comprennent comment un test PCR fonctionne.

RT-PCR signifie Real Time-Polymerase Chain Reaction.

En français, cela veut dire : Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel.

En médecine, nous utilisons cet outil principalement pour faire le diagnostic d’une infection virale. 

En partant d’une situation clinique avec présence ou non de symptômes particuliers chez un patient, nous envisageons différents diagnostics en nous basant sur des tests.

Dans le cas de certaines infections, notamment virales, nous utilisons la technique RT-PCR pour confirmer une hypothèse diagnostique suggérée par un tableau clinique. 

Nous ne faisons pas d’office une RT-PCR à tout patient qui chauffe, qui tousse ou qui présente un syndrome inflammatoire ! 

C’est une technique de laboratoire, de biologie moléculaire d’amplification génique car elle recherche des traces géniques (ADN ou ARN) en les amplifiant.

En plus de la médecine, les autres champs d’applications sont la génétique, la recherche, l’industrie et l’expertise judiciaire.

La technique est réalisée dans un laboratoire spécialisé, elle ne peut pas être faite dans n’importe quel laboratoire, même hospitalier. Cela entraîne un certain coût, et un délai parfois de plusieurs jours entre le prélèvement et le résultat.

Aujourd’hui, depuis l’émergence de la nouvelle maladie appelée COVID-19 (COrona VIrus Disease-2019), la technique de diagnostic RT-PCR est utilisée pour définir des cas positifs, confirmés au SRAS-CoV-2 (coronavirus responsable du nouveau syndrome de détresse respiratoire aigu appelé COVID-19).

Ces cas positifs sont assimilés à des cas COVID-19, à des malades dont certains sont hospitalisés, voire admis en réanimation.

Postulat officiel de nos dirigeants : cas RT-PCR positifs = malades COVID-19. [1]

C’est le postulat de départ, la prémisse de toute la propagande officielle qui justifie toutes les mesures gouvernementales contraignantes : isolement, confinement, quarantaine, port du masque obligatoire, codes couleurs par pays et interdictions de voyager, tracking [traçage], distances sociales dans les entreprises, les magasins et même, voire surtout, dans les écoles [2].

Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessives comme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, la destruction de l’économie avec la mise en faillite de pans entiers des secteurs actifs de la société, la dégradation des conditions de vie pour un grand nombre de citoyens ordinaires, sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels.

Aspects techniques : pour mieux comprendre et ne pas se laisser manipuler

La technique PCR a été mise au point par le chimiste Kary B. Mullis, en 1986. Kary Mullis a reçu le prix Nobel de chimie en 1993.

Bien que cela soit contesté [3], Kary Mullis lui-même aurait critiqué l’intérêt de la PCR comme outil de diagnostic pour une infection, notamment virale.

Il a affirmé que si la PCR était un bon outil pour la recherche, c’était un très mauvais outil en médecine, en clinique [4].

Mullis faisait référence au virus du SIDA (rétrovirus VIH ou HIV)[5], avant la pandémie COVID-19, mais cette opinion sur la limite de la technique dans les infections virales [6], par son créateur, ne peut être balayée d’un revers de main ; elle doit être prise en compte !

La PCR a été perfectionnée en 1992.

L’analyse pouvant être réalisée en temps réel, en continu, elle devient la RT (Real-Time) – PCR, encore plus performante.

Elle peut se faire à partir de n’importe quelle molécule, dont celles du vivant, les acides nucléiques qui composent les gènes : 

  • ADN (acide désoxyribonucléique) 
  • ARN (Acide ribonucléique)

Les virus ne sont pas considérés comme des êtres « vivants », ce sont des paquets d’informations (ADN ou ARN) formant un génome.

C’est par une technique d’amplification (multiplication) que la molécule recherchée est mise en évidence et ce point est très important.

La RT-PCR est une technique d’amplification [7].

S’il y a de l’ADN ou de l’ARN de l’élément recherché dans un prélèvement, il n’est pas identifiable comme cela. 

Il faut amplifier (multiplier) cet ADN ou cet ARN un certain nombre de fois, parfois un très grand nombre de fois, avant de le mettre en évidence. On peut, à partir d’une trace infime, obtenir jusqu’à des milliards de copies d’un échantillon spécifique mais cela ne veut pas dire qu’il y a toute cette quantité dans l’organisme testé.

Dans le cas du COVID-19, l’élément recherché par la RT-PCR est le SRAS-CoV-2, un virus ARN [8].

Il y a des virus ADN comme les virus de l’Herpès et de la Varicelle.

Les virus ARN les plus connus, en plus des coronavirus, sont les virus de la Grippe, de la Rougeole, de l’EBOLA, du ZIKA.

Dans le cas du SRAS-CoV-2, virus ARN, il faut une étape supplémentaire spécifique, une transcription de l’ARN en ADN au moyen d’une enzyme, la transcriptase inverse ou Reverse Transcriptase.

Cette étape précède la phase d’amplification.

Ce n’est pas TOUT le virus qui est identifié, mais des séquences de son génome viral. 

Cela ne veut pas dire que cette séquence génique, fragment du virus, n’est pas spécifique du virus recherché, mais c’est une nuance importante quand même :

La RT-PCR ne met pas en évidence de virus, mais seulement des parties, des séquences géniques spécifiques du virus.

En début d’année, le génome du SRAS-CoV-2 a pu être séquencé. 

Il comporte environ 30 000 paires de bases. L’acide nucléique (ADN-ARN), le composant des gènes, est une suite de bases. Par comparaison, le génome humain comporte plus de 3 milliards de paires de bases.

Des équipes suivent en continu l’évolution du génome viral du SRAS-CoV-2 au fur et à mesure de son évolution [9-10-11], au travers des mutations qu’il subit. Aujourd’hui, il existe de nombreux variants [12]. 

En prenant quelques gènes spécifiques du génome du SRAS-CoV-2, il est possible d’amorcer la RT-PCR sur un prélèvement dans les voies respiratoires.

Pour la maladie COVID-19, dont le point d’entrée est nasopharyngé (nez) et oropharyngé (bouche), le prélèvement doit être effectué dans les voies respiratoires supérieures le plus profondément possible afin d’éviter une contamination par la salive notamment. 

Tous les gens testés disent que c’est très douloureux [13].

Le Gold Standard (site de prédilection de prélèvement) est l’abord nasopharyngé (par le nez), la voie d’abord la plus douloureuse.

En cas de contre-indication à l’abord nasal, ou de préférence de l’individu testé, selon les organes officiels, l’abord oropharyngé (par la bouche) est acceptable également. Le test peut déclencher un réflexe de nausée/vomissement chez l’individu testé.

Normalement, pour que le résultat d’un test RT-PCR soit considéré comme fiable, il faut faire l’amplification au départ de 3 gènes différents (amorces) du virus étudié.

« Les amorces sont des séquences d’ADN simple brin spécifiques du virus. Ce sont elles qui garantissent la spécificité de la réaction d’amplification. » [14]

« Le premier test développé à La Charité à Berlin par le Dr Victor Corman et ses associés en janvier 2020 permet de mettre en évidence les séquences d’ARN présentes dans 3 gènes du virus appelés E, RdRp et N. Pour savoir si les séquences de ces gènes sont présentes dans les échantillons d’ARN prélevés, il est nécessaire d’amplifier les séquences de ces 3 gènes afin d’obtenir un signal suffisant à leur détection et à leur quantification. »[15].

La notion essentielle du Cycle Time ou Cycle Threshold ou seuil de positivité Ct [16]

Un test RT-PCR est négatif (pas de traces de l’élément recherché) ou positif (présence de traces de l’élément recherché).

Toutefois, même si l’élément recherché est présent en quantité infime, négligeable, le principe même de la RT-PCR est de pouvoir finalement le mettre en évidence en poursuivant les cycles d’amplification autant que nécessaire. 

La RT-PCR peut pousser jusqu’à 60 cycles d’amplification, voire plus !

Voici comment cela se passe :

Cycle 1 : cible x 2 (2 copies)

Cycle 2 : cible x 4 (4 copies)

Cycle 3 : cible x 8 (8 copies)

Cycle 4 : cible x 16 (16 copies)

Cycle 5 ; cible x 32 (32 copies)

Etc de manière exponentielle jusque 40 à 60 cycles !

Quand on dit que le Ct (Cycle Time ou Cycle Threshold ou seuil de positivité du RT-PCR) est égal à 40, cela veut dire que le laboratoire a utilisé 40 cycles d’amplification, soit obtenu 240 copies.

C’est cela qui sous-tend la sensibilité du test RT-PCR. 

S’il est vrai qu’en médecine, on aime que la spécificité et la sensibilité des tests soient élevées afin d’éviter faux positifs et faux négatifs, dans le cas de la maladie COVID-19, cette hypersensibilité du test RT-PCR causée par le nombre de cycles d’amplifications utilisé se retourne contre nous.

Cette trop grande sensibilité du test RT-PCR est délétère et nous induit en erreur !

Elle nous détache de la réalité médicale qui doit rester basée sur l’état clinique réel de la personne : la personne est-elle malade, a-t-elle des symptômes ?

C’est cela le plus important !

Comme je l’ai précisé en début d’article, en médecine, nous partons toujours de la personne : nous l’examinons, nous collectons ses symptômes (plaintes-anamnèse) et ses signes cliniques objectifs (examen) et sur base d’une réflexion clinique dans laquelle interviennent les connaissances scientifiques et l’expérience, nous posons des hypothèses diagnostiques.

Ce n’est qu’ensuite que nous prescrivons les tests les plus appropriés, en fonction de cette réflexion clinique.

Nous comparons en permanence les résultats des tests à l’état clinique (symptômes et signes) du patient qui prime sur tout le reste quant à nos décisions et nos traitements.

Aujourd’hui, nos gouvernements appuyés par leurs conseils scientifiques de sécurité nous font faire le contraire et mettent le test en premier, suivi d’une réflexion clinique forcément influencée par ce test préalable dont nous venons de voir les faiblesses, notamment son hypersensibilité.

Aucun de mes collègues médecins cliniciens ne peut me contredire. 

En-dehors de cas très particulier comme le dépistage génétique pour certaines catégories de populations (tranches d’âge, sexe) et certains cancers ou maladies génétiques familiales, nous travaillons toujours dans ce sens : de la personne (symptômes, signes) vers les tests appropriés, jamais dans l’autre sens.

C’est la conclusion de l’article de la Revue Médicale Suisse (RMS) paru en 2007, écrit par les docteurs Katia Jaton et Gilbert Greub microbiologistes de l’Université de Lausanne :

PCR en microbiologie : de l’amplification de l’ADN à l’interprétation du résultat :

Pour interpréter le résultat d’une PCR, il est essentiel que les cliniciens et les microbiologistes partagent leurs expériences, afin que les niveaux analytiques et cliniques d’interprétation puissent être combinés.  

Il serait indéfendable de faire un électrocardiogramme à tout le monde pour dépister toutes les personnes qui pourraient faire un infarctus un jour. 

Par contre, dans certains contextes cliniques ou sur la base de symptômes précis évocateurs, là, oui, un électrocardiogramme peut devenir bénéfique.

Revenons à la RT-PCR et au Ct (Cycle Time ou Cycle Threshold).

Dans le cas d’une maladie infectieuse surtout virale, la notion de contagiosité est un autre élément important.

Étant donné que dans certains cercles scientifiques, on considère qu’une personne asymptomatique peut transmettre le virus, il est selon eux important de dépister la présence de virus, même si la personne est asymptomatique, donc d’élargir l’indication de la RT-PCR à tout le monde.

Les tests RT-PCR sont-ils de bons tests de contagiosité ? [17]

Cette question nous ramène à la notion de charge virale et donc de Ct.

La relation entre contagiosité et charge virale est contestée par certaines personnes [18] et aucune preuve formelle, à ce jour, ne permet de trancher.

Toutefois, le bon sens donne un crédit évident à la notion que plus la personne a de virus en lui, surtout dans la partie supérieure de ses voies aériennes (oropharynx et nasopharynx), avec des symptômes tels que toux, éternuements, plus cette personne présente un risque de contagiosité élevé, proportionnel à sa charge virale et à l’importance de ses symptômes.

Cela s’appelle du bon sens et même si la médecine moderne a bénéficié largement de l’apport des sciences au travers des statistiques et de l’Evidence-Based Medicine (EBM-médecine factuelle basée sur les preuves), elle reste avant tout basée sur le bon sens, l’expérience et l’empirisme. 

La médecine est l’art de guérir.

Aucun test ne mesure la quantité de virus dans le prélèvement !

La RT-PCR est qualitative : positif (présence du virus) ou négatif (absence du virus).

Cette notion de quantité, donc de charge virale, peut être estimée indirectement par le nombre de cycles d’amplifications (Ct) utilisés pour mettre en évidence le virus recherché.

Plus le Ct utilisé pour mettre en évidence le fragment de virus est bas, plus la charge virale est considérée comme élevée (haute).

Plus le Ct utilisé pour mettre en évidence le fragment de virus est haut, plus la charge virale est considérée comme faible (basse).

Ainsi, le Centre National de Référence français (CNR), en phase aigüe de la pandémie, a estimé que le pic de l’excrétion virale se produisait au début des symptômes, avec une quantité de virus correspondant à environ 108 (100 millions) copies d’ARN viral du SRAS-CoV-2 en moyenne (donnée cohorte French COVID-19) avec une durée d’excrétion dans les voies aériennes supérieures variable (de 5 jours à plus de 5 semaines) [19].

Ce nombre de 108 (100 millions) de copies/μl correspond à un Ct très bas.

Un Ct de 32 correspond à 10-15 copies/μl.

Un Ct de 35 correspond à environ 1 copie/μl.

Au-dessus de Ct 35, il devient impossible d’isoler une séquence complète du virus et de la mettre en culture !

En France et dans la plupart des pays, on continue d’utiliser, même aujourd’hui, des Ct supérieurs à 35, voire 40 !

La Société Française de Microbiologie (SFM) a émis un avis le 25 septembre 2020 dans lequel elle ne recommande pas de rendre les résultats en quantitatif, et elle recommande de rendre positif jusqu’à un Ct de 37 pour un seul gène [20] !

Avec 1 copie/μl de prélèvement (Ct 35), sans toux, sans symptômes, on peut comprendre pourquoi tous ces médecins et scientifiques disent qu’un test RT-PCR positif ne veut plus rien dire, rien du tout en termes de médecine et de clinique !

Les tests RT-PCR positifs, sans mention du Ct ou de sa relation avec la présence ou non de symptômes, sont utilisés tels quels par nos gouvernements comme l’argument exclusif pour appliquer et justifier leur politique de sévérité, d’austérité, d’isolement et d’agression de nos libertés, avec impossibilités de voyager, de se réunir, de revivre normalement !

Il n’y a aucune justification médicale à ces décisions, à ces choix gouvernementaux !

Dans un article publié sur le site du New York Times (NYT) du samedi 29 août, des experts américains de l’Université de Harvard s’étonnent que les tests RT-PCR tels qu’ils sont pratiqués puissent servir de tests de contagiosité, encore plus comme preuves de progression pandémique, dans le cas de l’infection par le SRAS-CoV-2 [21].

Selon eux, le seuil (Ct) considéré aboutit à des diagnostics positifs chez des personnes qui ne représentent aucun risque de transmettre le virus !

La réponse binaire « oui/non » ne suffit pas, selon cet épidémiologiste de l’école de santé publique de l’Université de Harvard.

« C’est la quantité de virus qui devrait dicter la démarche à suivre pour chaque patient testé. »

La quantité de virus (charge virale) ; mais aussi et surtout l’état clinique, symptomatique ou non de la personne !

Cela remet en question l’utilisation du résultat binaire de ce test RT-PCR pour déterminer si une personne est contagieuse et doit suivre des mesures strictes d’isolement.

Ces remises en question sont posées par de nombreux médecins de par le monde, pas seulement aux États-Unis mais aussi en France, en Belgique (Belgium Health Experts Demand Investigation Of WHO For Faking Coronavirus Pandemic) , en Allemagne, en Espagne…

Selon eux : « Nous allons mettre des dizaines de milliers de personnes en confinement, en isolement, pour rien. » [22]. Et infliger des souffrances, des angoisses, des drames économiques et psychologiques par milliers !

La plupart des tests RT-PCR fixent le Ct à 40, selon le NYT. Certains à 37.

« Des tests avec des seuils (Ct) aussi élevés peuvent ne pas détecter uniquement du virus vivant mais aussi des fragments géniques, restes d’une infection ancienne qui ne représentent aucun danger particulier », précisent les experts interrogés. 

Une virologiste à l’Université de Californie admet qu’un test RT-PCR avec un Ct supérieur à 35 est trop sensible. « Un seuil plus raisonnable serait entre 30 et 35 », ajoute-t-elle.

Presque aucun laboratoire ne précise le Ct (nombre de cycles d’amplification effectués) ou le nombre de copies d’ARN viral par μl de prélèvement.

Voici un exemple de résultat de laboratoire (agréé par Sciensano, centre belge national de référence) chez un patient RT-PCR négatif :

Pas de mention du Ct.

Dans le NYT, les experts ont compilé avec des officiels des états du Massachussetts, de New-York et du Nevada, trois jeux de données qui les mentionnent. 

Conclusion ?

« Jusqu’à 90% des personnes testées positives ne portaient pas de virus. »

Le Centre Wadworth, laboratoire de l’État de New-York, a analysé les résultats de ses tests de juillet à la demande du NYT : 794 tests positifs avec un Ct de 40.

« Avec un seuil Ct de 35, environ la moitié de ces tests PCR ne seraient plus considérés comme positifs », indique le NYT.

« Et environ 70% ne le seraient plus avec un Ct de 30 ! »

Dans le Massachussetts, entre 85 et 90% des personnes testées positives en juillet avec un Ct de 40 auraient été considérées comme négatives avec un Ct de 30, ajoute le NYT. Pourtant, toutes ces personnes ont dû s’isoler, avec toutes les conséquences psychologiques et économiques dramatiques, alors qu’ils n’étaient pas malades et probablement plus du tout contagieux.

En France, Le Centre National de Référence (CNR), la Société Française de Microbiologie (SFM) continuent de pousser les Ct à 37 et ne recommandent aux laboratoires de ne plus utiliser qu’un seul gène du virus comme amorce.

Je rappelle qu’à partir de Ct 32, il devient très difficile de cultiver le virus ou d’en extraire une séquence complète, ce qui témoigne du caractère tout à fait artificiel de cette positivité du test, avec des Ct aussi élevés, au-delà de 30.

Des résultats similaires ont été rapportés par des chercheurs de l’Agence de santé publique anglaise dans un article paru le 13 août dans Eurosurveillance : « La probabilité de cultiver du virus chute à 8 % dans des échantillons pour lesquels le Ct est supérieur à 35. » [23] 

De plus, actuellement, le Centre National de Référence en France n’évalue que la sensibilité des kits réactifs mis sur le marché, non la spécificité : des doutes sérieux persistent sur la possibilité de réactivité croisée avec d’autres virus que le SRAS-CoV-2, comme les autres coronavirus bénins du rhume. [20]

C’est potentiellement la même situation dans d’autres pays, dont la Belgique.

De même, les mutations du virus pourraient avoir invalidé certaines amorces (gènes) utilisées pour repérer le SRAS-CoV-2 : les fabricants ne donnent aucune garantie là-dessus et si les journalistes du fast-checking de l’AFP vous disent le contraire, testez leur bonne foi en demandant ces garanties, ces preuves. 

S’ils n’ont rien à cacher et si ce que je dis est faux, cette garantie vous sera fournie et prouvera leur bonne foi.

  1. Nous devons exiger que les résultats RT-PCR soient rendus en mentionnant le Ct utilisé car au-delà de Ct 30, le test RT-PCR positif ne veut rien dire.
  2. Nous devons écouter les scientifiques et médecins, spécialistes, virologues qui préconisent d’utiliser des Ct adaptés, plus bas, à 30. Une alternative est d’obtenir le nombre de copies d’ARN viral/μl ou /ml de prélèvement. [23]
  3. Nous devons revenir au patient, à la personne, à son état clinique (présence ou non de symptômes) et partir de là pour juger de la pertinence de faire un test et de la meilleure façon d’interpréter son résultat.

Tant qu’on ne raisonne pas mieux le dépistage PCR, avec un seuil Ct connu et adapté, une personne asymptomatique ne devrait en aucune façon se faire tester. 

Même une personne symptomatique ne devrait pas automatiquement se faire tester, pour autant qu’elle puisse se mettre d’elle-même en isolement 7 jours. 

Arrêtons cette débauche de tests RT-PCR aux Ct trop élevés, et revenons à une médecine clinique, de qualité.

Une fois que nous avons compris comment le test RT-PCR fonctionne, il devient impossible de laisser se poursuive la stratégie de dépistage systématique gouvernementale actuelle, pourtant appuyée, de manière inexplicable, par les virologues des conseils de sécurité.

Mon espoir est, qu’enfin correctement informés, de plus en plus de gens exigent l’arrêt de cette stratégie, car c’est nous tous, éclairés, guidés par la bienveillance réelle et le bon sens, qui devons décider de nos destins collectifs et individuels. 

Personne d’autre ne doit le faire à notre place, surtout lorsque nous constatons que ceux qui décident ne sont plus ni raisonnables, ni rationnels.

Synthèse des points importants :

  • Le test RT-PCR est une technique diagnostique de laboratoire peu adaptée à la médecine clinique.
  • C’est une technique diagnostique binaire, qualitative, qui confirme (test positif) ou non (test négatif) la présence d’un élément dans le milieu analysé. Dans le cas du SRAS-CoV-2, l’élément est un fragment du génome viral, pas le virus lui-même.
  • En médecine, même en situation épidémique ou pandémique, il est dangereux de placer les tests, examens, techniques au-dessus de l’évaluation clinique (symptômes, signes). C’est le contraire qui garantit une médecine de qualité.
  • La limite (faiblesse) principale du test RT-PCR, dans la situation pandémique actuelle, est son extrême sensibilité (faux positif) si on ne choisit pas un seuil de positivité (Ct) adapté. Aujourd’hui, des experts préconisent d’utiliser un seuil Ct maximal à 30.
  • Ce seuil Ct doit être renseigné avec le résultat RT-PCR positif afin que le médecin sache comment interpréter ce résultat positif, surtout chez une personne asymptomatique, afin d’éviter des isolements, quarantaines, traumatismes psychologiques inutiles.
  • Outre la mention du Ct utilisé, les laboratoires doivent continuer de garantir la spécificité de leurs kits de détection au SRAS-CoV-2, en tenant compte de ses mutations les plus récentes, et doivent continuer d’utiliser trois gènes du génome viral étudié comme amorces ou, sinon, le mentionner.

Conclusion générale

L’obstination des gouvernants à utiliser la stratégie désastreuse actuelle, dépistage systématique par RT-PCR, est-elle due à l’ignorance ? 

À la stupidité ? 

À une espèce de piège cognitif emprisonnant leur égo ?

Il faudrait en tout cas pouvoir les interpeler et si dans les lecteurs de cet article se trouvent des journalistes encore honnêtes, ou des politiciens naïfs, ou des personnes qui ont la possibilité de questionner nos gouvernants, alors, faites-le, en usant de ces arguments clairs et scientifiques.

C’est d’autant plus incompréhensible que nos gouvernants se sont entourés des personnes parmi les spécialistes les plus chevronnés de ces questions.

Si j’ai pu réunir moi-même ces informations, partagées, je le rappelle, par des personnes compétentes et au-dessus de tout soupçon complotiste telles qu’Hélène Banoun, Pierre Sonigo, Jean-François Toussaint, Christophe De Brouwer, dont l’intelligence, l’honnêteté intellectuelle, la légitimité ne peuvent être mises en doute, alors, les conseillers scientifiques belges, français, québécois, etc, savent tout cela également.

Alors ?

Que se passe-t-il ?

Pourquoi continuer dans cette direction faussée, s’obstiner dans l’erreur ?

Ce n’est quand même pas rien de réimposer des confinements, des couvre-feux, des quarantaines, des bulles sociales réduites, de secouer à nouveau nos économies chancelantes, de plonger des familles entières dans la précarité, de semer autant de peur et d’anxiété génératrices d’un véritable état de stress post-traumatique à l’échelle mondiale, de diminuer l’accès aux soins pour les autres pathologies qui pourtant réduisent l’espérance de vie bien plus que le COVID-19 ! [24]

Y a-t-il une intention de nuire ?

Une intention d’utiliser l’alibi d’une pandémie pour faire évoluer l’humanité vers une issue qu’elle n’aurait jamais accepté autrement ? En tout cas, pas comme cela !

Cette hypothèse, que les censeurs modernes s’empresseront d’étiqueter « complotiste », serait-elle l’explication la plus valable à tout cela ?

En effet, si on trace une droite à partir des événements présents, dans le cas où ils sont maintenus, on pourrait se retrouver à nouveau confinés avec des centaines, des milliers d’êtres humains obligés de rester inactifs, ce qui, pour les métiers de la restauration, du spectacle, de la vente, pour les forains, itinérants, démarcheurs, risque d’être catastrophique avec faillites, chômages, dépressions, suicides par centaines de milliers. [25-26-27-28] 

L’impact sur l’éducation, sur nos enfants, sur l’enseignement, sur la médecine avec des soins, des opérations, des prises en charge prévues de longue date devant être annulées, postposées, sera profond et destructeur.

« Nous risquons une crise alimentaire imminente si des mesures ne sont pas prises rapidement. » [29].

Il serait temps que tout le monde sorte de cette transe négative, cette hystérie collective, car la famine, la pauvreté, le chômage massif vont tuer, faucher bien plus de gens que le SRAS-CoV-2 !

Tout cela a-t-il un sens, face à une maladie qui décroît, qui est surdiagnostiquée et mal interprétée par ce mésusage de tests PCR calibrés de manière trop sensible ?

Le port continu du masque semble devenu, pour beaucoup, une nouvelle normalité.

Même si c’est constamment minimisé par certains professionnels de la santé et les journalistes vérificateurs de faits, d’autres médecins alertent sur les conséquences néfastes, médicales et psychologiques, de cette obsession hygiénique qui, maintenue en permanence, est en réalité une anormalité ! 

Quel frein aux relations sociales, qui sont le véritable socle d’une humanité en bonne santé physique et psychologique !

Certains osent trouver tout cela normal, ou un moindre prix à payer face à la pandémie de tests PCR positifs.

L’isolement, la distanciation, le masquage du visage, l’appauvrissement de la communication émotionnelle, la peur de se toucher, de s’embrasser même au sein de familles, de communautés, entre proches…

Des gestes spontanés de la vie quotidienne entravés et remplacés par des gestes mécaniques et contrôlés…

Des enfants terrorisés, maintenus dans la peur et la culpabilité permanentes…

Tout cela va impacter profondément, durablement et négativement les organismes humains, dans leur physique, leur mental, leurs émotions et leur représentation du monde et de la société.

Ce n’est pas normal !

Nous ne pouvons pas laisser nos gouvernants, quelle qu’en soit la raison, organiser plus longtemps notre suicide collectif.

Dr Pascal Sacré

Professionnels dont les références et commentaires sont à la base de cet article dans son aspect scientifique (notamment et principalement sur la RT-PCR) dans l’article original source ► https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite/5650143

À une époque de supercherie universelle dire la vérité est un acte  révolutionnaire - George Orwell | George orwell, Citation auteur, Citation

Tous ceux qui énoncent les vérités, en vérité, sont immédiatement exécutés et par richochet ceux qui osent les relayer !

JBL1960

58 réflexions sur « CoV19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’Humanité (Dr. Pascal Sacré, suite) »

  1. En France selon les labos et la météo du jour, le test PCR va jusqu’à 45…alors qu’en Allemagne il ne dépasse pas 35.

    Et que Yazdan Yazdanpahna, membre du conseil scientifique, dit que 24 sont suffisants, l’OMS aussi reprend cette valeur depuis quelques temps.

    Les masques et les tests bidon PCR rapportent un pognon de dingue à certaines entreprises, en plus de mettre le moral dans les chaussettes aux personnes les plus teouillardes.

    Cette semaine, j’ai vu un Intermarché, qui proposait juste après le sas d’entrée, des masques pour les petits. HONTEUX.

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    1. Me suis faite alpaguer par le vigile-zélateur-délateur paske je portais mon masque sous le nez, m’a dit que si je le mettais pas correctement je sortais du magasin !

      C’est bô la konnerie d’un convidien hein ?

      Je me tâte d’appeler la direction…

      J’avais un mal de tête à me taper la tête par terre, j’ai vraiment manqué d’à-propos j’aurais dû tourner les talons et me barrer !

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      1. J’ai rappeler le C.C. Leclerc, pour lui dire qu’il pouvait faire de la pédagogie, la gonzesse pour se dédouaner me dit qu’ils suivent les directives du gouvernement !

        Je lui ai fait remarquer que rien ne les obligeait à jouer aux kapos !

        Par ailleurs je lui ai rappelé qu’une caissière nous avait raconté qu’une cliente l’avait prise en photo parce qu’elle portait son masque sur le menton !

        Sont pas près de me revoir, mais cela prouve combien c’est mort, les gens non seulement ne vont pas moufter mais vont nous dénoncer et nous serons les premiers à partir, pour l’exemple !

        😦

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      2. Pour l’instant aucun pb avec un masque sous le nez…

        Et, pour les vigiles qui me coursent pour me pulvériser du gel hydro-alcoolique, z’ont failli pour certains se péter la tronche au sol.

        De plus, je vais régulièrement avec un masque dont un élastique tient plus que par le point de colle haut, personne ne m’a encore obligée a ressortir ou à en acheter un au magasin.

        Y doivent comprendre à mon regard qu’il ne faut pas me faire iech !

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      3. Et lorsque tu vois certaines personnes avec des masques en tissus bien crades…y doivent se coller sur la tronche des mouzombies…

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    1. Le vaccin contre la grippe : un vaccin expérimental chaque année.

      Plus de 200 virus provoquent des symptômes grippaux. Leur transmission se fait par voie aérienne [4] [5] par les gouttes de salive et d’éternuements que diffusent autour d’elles les personnes infectées.

      Le virus grippal se modifie chaque année, et comme l’efficacité du vaccin nécessite la concordance entre les souches vaccinales et celles qui circulent dans la population, la composition du vaccin est modifiée chaque année, selon les recommandations du comité de sélection des souches de la grippe de l’Organisation Mondiale de la Santé. Il inclut presque toujours une souche contre l’A/H1N1, une contre le A/H3N2, et une ou deux souches contre l’influenza B.

      Chaque année, il s’agit donc essentiellement d’un nouveau vaccin, dont ni l’efficacité ni la tolérance ne peuvent être déduites des expériences des années précédentes. Les campagnes de vaccination antigrippale de la population constituent donc plus des essais de phase III d’un vaccin qui « a de bonnes chances d’être efficace » que l’utilisation d’un médicament dont on connait l’efficacité, les effets secondaires et les contre-indications éventuelles.
      =*=

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  2. « Les masques courants, incapables d’empêcher la transmission d’un virus d’un enfant qui ne le transmet pas même sans masque n’a donc aucune justification chez l’enfant.

    Or il gêne les travaux scolaires, empêche la communication non verbale si précieuse pour apprécier le suivi d’un cours et sa compréhension par les élèves. Il retire une grande partie de leur humanité à ses voisins au moment où se nouent l’essentiel des contacts, des amitiés et des amours adolescentes. »

    « Sanitairement inutile chez l’enfant, il est scolairement et socialement très toxique. Les petits-enfants n’infectent pas leurs grands-parents. »
    « Sur près de 25 millions de contaminations comptabilisées par l’OMS le 30.08.2020 et dans plus de 5000 articles étudiant les Covid infantiles référencés par PubMed (publication médicale), aucun cas de contamination de grands-parents par leurs petits-enfants n’a été démontré. »

    « On peut donc rassurer les aînés : le contact avec les petits-enfants (de moins de 19 ans) ne les expose aucunement à la contamination par le coronavirus.

    Les enfants ne transmettent pas la maladie !

    Les enfants ne propagent pas le coronavirus, ni à leurs grands-parents, ni aux autres adultes, ni à leurs camarades. »

    https://docs.google.com/document/d/1g4QJANxzkmyEt4y1j5i1bfLWEmGzOOsMY7lC9Vr15PA/edit#

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    1. En 1991, il déclarait à Gai Pied: » La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du siècle d’en aborder les rivages ».

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  3. Goethe

    La vérité doit être martelée avec constance, parce que le faux continue d’être prêché, non seulement par quelques-uns, mais par une foule de gens. Dans la presse et dans les dictionnaires, dans les écoles et dans les Universités, partout le faux est au pouvoir, parfaitement à l’aise et heureux de savoir qu’il a la majorité pour lui.

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      1. Ca craque de partout, c’est pour cela qu’ils passent la surmutipliee.

        La décapitation de ce soir, en est une des preuves, il faut faire péter le trouillomètre quelque que soit la manière d’y arriver.

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  4. Bien que s’assimill

    ant à une Perquiz où c’est un juge qui en décide, n’importe quel peigne cul OPJ (dont les Maires) peuvent rentrer chez vous vérifier le nombre de personnes au domicile :

    Lorsque le gouvernement limitait à 10 les rassemblements privés, il s’était avéré impossible de contrôler le respect de ces règles. «Il faut une autorisation par un juge pour rentrer dans un lieu privé. Il s’agit d’une perquisition. En cas de délit ou de crime flagrant et sous certaines conditions, un officier de Police Judiciaire peut néanmoins entrer dans le domicile», détaillait ainsi au Figaro Laurent Marrié, avocat.

    Va falloir les dégommer !

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  5. d’accord sur tout sauf ce passage:

    « Pour la maladie COVID-19, dont le point d’entrée est nasopharyngé (nez) et oropharyngé (bouche), le prélèvement doit être effectué dans les voies respiratoires supérieures le plus profondément possible afin d’éviter une contamination par la salive notamment.

    Tous les gens testés disent que c’est très douloureux[13]. »

    le docteur Pascal ne condamne absolument pas les tests PCR, et les qualifie uniquement de douloureux mais pas dangereux

    Il n’y a rien qui justifie cet écouvillonnage profond dont la moindre erreur peut avoir des conséquences désastreuses
    https://www.midilibre.fr/2020/10/02/coronavirus-un-test-covid-perce-la-paroi-de-son-cerveau-operant-la-fuite-de-liquide-cephalo-rachidien-9112659.php

    REFUSONS EN MASSE L’ÉCOUVILLONNAGE PROFOND !

    si les testeurs ont peur de la contamination, lls peuvent laisser la personne seule dans une salle vide et la laisser mettre elle même sa salive dans un bocal et revenir dans la pièce 3 minutes après que la personne a fini de mettre sa salive dans le bocal

    ils n’ont pas besoin de chercher la salive eux mêmes
    veulent tout chercher par eux mêmes, comme si les gens étaient stupides

    et bien sur n’assument pas la responsabilité en cas de mauvaise manipulation de ‘écouivillon en faisant des erreurs de trous dans le nezhttps://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/08/attestationsurlhonneur-testpcr-dac2a9finitif-1.pdf, au lieu d’aller dans le trou vers la gorge, ils font le trou vers le cerveau à la place, abimant les nerfs olfactifs au passage
    https://www.midilibre.fr/2020/10/02/coronavirus-un-test-covid-perce-la-paroi-de-son-cerveau-operant-la-fuite-de-liquide-cephalo-rachidien-9112659.php
    http://stoplinky28.blogg.org/test-covid-moyen-d-infecter-ou-d-inserer-un-implant-a199701306
    http://stoplinky28.blogg.org/confirmation-les-nanoparticules-migrent-vers-le-cerveau-a202369628

    REFUSONS EN MASSE L’ÉCOUVILLONNAGE PROFOND !

    en plus le test vers la gorge n’est pas inoffensible, un type a déjà failli s’étranger à mort

    Dans cet article d’un test covid sur la gorge, un morceau de l’écouvillon s’est cassé et est resté dans la gorge, si c’était tout le morceau, cela pourrait bloquer sa gorge et entrainer sa mort
    maintenant il doit subir les effets secondaires d’avoir avalé un morceau d’écouvillon covid bourré de toxiques plastiques
    https://www.hulldailymail.co.uk/news/hull-east-yorkshire-news/man-swallows-whole-covid-testing-4501515

    toute intrusion dans le corps quelque soit les orifices est dangereux
    – si les tests sont contaminés par une puce RFID ou poussière intelligentehttps://www.technologyreview.com/2013/07/16/177343/how-smart-dust-could-spy-on-your-brain/, cela entrera directement dans les poumons à travers la gorge

    si les testeurs ont peur de la contamination, lls peuvent laisser la personne seule dans une salle vide et la laisser mettre elle même sa salive dans un bocal et revenir dans la pièce 3 minutes après que la personne a fini de mettre sa salive dans le bocal

    ils n’ont pas besoin de chercher la salive eux mêmes
    veulent tout chercher par eux mêmes, comme si les gens étaient stupides

    des gens témoignent que les tests leur causent une douleur au cerveau, qu’ils sentent comme si leur cerveau a été poignardé par l’écouvillon
    https://www.msn.com/en-us/health/medical/like-being-stabbed-in-the-brain-why-coronavirus-testing-inmavolves-a-deep-nasal-swab/ar-BB11n4ud

    Un médecin avoue que les tests peuvent causer une douleur si profonde qu’ils peuvent faire évanouir les gens mais il continue à dire que les tests sont inoffensifs, une patiente témoigne qu’elle a reçu une douleur au cerveau au niveau des tests
    https://www.businessinsider.fr/us/why-the-coronavirus-test-makes-some-people-faint-2020-4?op=1

    la question: Pourquoi un test dans le nez peut causer une douleur au cerveau? Si cela touche le cerveau, donc le test peut causer une hémorragie cérébrale,

    Les milliardaires traffiquants d’organes vont être contents avec la fausse pandémie covid
    s’ils veulent les organes de quelqu’un, ils donnent un pot de vin à un membre de brigade sanitaire et à un hôpital, leur demande de forcer le test sur l’individu et de causer une hémorragie cérébrale à l’individu en forçant l’écouvillon dans le fond et de bidonner le test pour le rendre faux positif, enfermer l’individu dans pièce de l’hôpital pour lui prélever les organes, puis publier sa mort quelques jours plus tard, interdire la famille de voir le corps sous prétexte de covid est contagieux même sur un mort

    après tout avec les transgenres LGBT, volent les organes sexuelles pour le changement de sexe

    Rendue à la morgue de cet hôpital pour retirer la dépouille qu’elle y avait laissé pour conservation, ladite famille découvre à sa grande stupéfaction que l’appareil génital, le cœur, et bien d’autres organes de ce dernier ont été retirés. Comble de l’imposture, la dépouille classée sans autre forme de procès au rang des victimes du Covid-19, avait été emballée dans un plastique noir et placé dans un cercueil. Vraisemblablement cet individu était sur le point d’être inhumé par les soin des services de la mairie, conformément aux prescriptions sur le coronavirus. Heureusement, la famille est arrivée à temps, et a découvert le pot aux roses. On ne sait pas comment elle a procédé pour ouvrir le cercueil et arracher le plastique qui couvrait le mort, mais toujours est-il qu’on a découvert dans le cercueil un corps amputé de plusieurs organes. https://www.237online.com/cameroun-scandale-dans-le-hopitaux-covid-19-rime-avec-trafics-dorganes-humains/

    avril 2020, la Chine continue le prélèvement d’organes
    https://samuelcogolati.be/actualites/2020/04/08/persecution-de-minorites-en-chine-faire-la-lumiere-sur-de-preoccupants-trafics-dorganes/

    Allemagne, des hôpitaux vont voler des organes aux enfants migrants
    « Allemagne : 5000 enfants migrants contraints à la prostitution et victimes de trafic d’organes. »
    https://www.ladepeche.fr/article/2016/02/17/2279048-allemagne-5000-enfants-migrants-contraints-prostitution-victimes-trafic-organes.html

    2020 : Un défunt qui serait soit disant mort du coronavirus dépouillé de ses intestins dans un hôpital
    un homme, qui serait soit disant décédé du Covid-19 a été dépouillé de ses intestins. Après l’acte odieux, le corps a été mis dans un plastique de couleur noire puis scellé dans un cercueil avant d’être remis à la famille pour enterrement immédiat. Curieuse, cette dernière se décide d’ouvrir la caisse surplace à l’hôpital. C’est alors qu’elle constate que l’anus a été soigneusement opéré et les organes enlevés.
    https://afri-pulse.net/article/17032/societe/trafic-deorganes-un-defunt-du-coronavirus-depouille-de-ses-intestins-dans-un-hopital-21.html

    C’est bien la preuve qu’il n’est pas mort du coronavirus vu qu’ils ont touché le cadavre et volé ses organes et les ont vendus à des millions de dollars

    Vraiment la preuve que le covid est bidon, ils isolent les gens pendant leur vivant, mais après leur mort, ils volent les organes des gens soit disant mort du covid pour les donner à tout le monde
    N’est-ce pas contradictoire que le vivant est isolé, mais le mort est distribué dans le monde à travers ses organes ?
    Cela montre que le covid bidon c’est pour promouvoir le traffic d’organes
    Juillet 2020, la Chine fait une loi pour faire augmenter le traffic d’organes (qu’ils appellent dons…)
    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-chine-prepare-une-loi-pour-stimuler-le-don-d-organes-20200704
    les hôpitaux disent faussement que les gens sont morts du coronavirus pour empêcher la famille de voir la dépouille et de voir que les organes ont été prélevés, car les morts du covid sont incinérés automatiquement. Donc des faux positifs, incarcération de gens en bonne santé dans les chambres, empoisonnement dans la nourriture, euthanasie pour achever, dire faussement qu’ils sont morts du covid, voler les organes, et ensuite incinérer le corps restant automatiquement pour empêcher la famille de voir que le corps a été dépouillée de ses organes, et faire croire faussement à la famille que le mec a été incinéré car il avait le coronavirus

    Rendue à la morgue de cet hôpital pour retirer la dépouille qu’elle y avait laissé pour conservation, ladite famille découvre à sa grande stupéfaction que l’appareil génital, le cœur, et bien d’autres organes de ce dernier ont été retirés. Comble de l’imposture, la dépouille classée sans autre forme de procès au rang des victimes du Covid-19, avait été emballée dans un plastique noir et placé dans un cercueil. Vraisemblablement cet individu était sur le point d’être inhumé par les soin des services de la mairie, conformément aux prescriptions sur le coronavirus. Heureusement, la famille est arrivée à temps, et a découvert le pot aux roses. On ne sait pas comment elle a procédé pour ouvrir le cercueil et arracher le plastique qui couvrait le mort, mais toujours est-il qu’on a découvert dans le cercueil un corps amputé de plusieurs organes. https://www.237online.com/cameroun-scandale-dans-le-hopitaux-covid-19-rime-avec-trafics-dorganes-humains/

    la France a voté une loi pour prélever les organes des gens sans demander le consentement de leurs familles après la mort des gens
    https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F183
    https://www.alterinfo.net/Don-d-organes-effrayant-la-mort-cerebrale-n-est-pas-un-fait-scientifique_a155169.html

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    1. Il suffit que les gens arrêtent de se faire tester en masse, et tout s’arrête, c’est aussi simple que cela !

      Mais mon expérience d’hier, avec un kapo de chez Leclerc qui m’a ordonné de mettre mon masque correctement sur le nez où de quitter le magasin montre que l’expérience de Milgram planétaire fonctionne très très bien, surtout en France, où le passé de zélateur-délateur n’a pas mis longtemps à reprendre sa place comme en 40 !

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      1. il y a une policière qui a croisé le fil autour de l’oreille parait qu’on peut mieux respirer
        en tout cas vaut mieux regarder par terre plutôt que regarder droit
        ou tenir un truc volumineux à la main (ex papier cul, pizza, grosse baguette de pain, etc..) pour cacher le visage comme cela le type ne peut pas voir si vous avez le masque sur le nez ou pas

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      2. Je marchais vers les caisses dans l’allée extérieure, car dans le magasin même les employés Leclerc n’ont pas le masque sur le nez.

        Ce kapo a juste fait un excès de zèle sur une personne âgée (j’ai les cheveux blanc) qu’il a estimé faible et une proie facile.

        Ce qui démontre combien c’est mort, car c’est un tout petit Leclerc dans une toute petite ville même pas concernée par les dernières restrictions à Macron, preuves que les gens sont pressés de pouvoir exercés leur petit pouvoir sur la population pour nous soumettre avant de nous exterminer, en masse !

        La France soumise à l’Expérience de Milgram grandeur nature…

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      3. une minute, vous voulez dire que dans votre ville les masques sont obligatoires à l’extérieur?
        Dans notre ville aussi, à 50 mètres de rayons autour des gares et écoles selon le site officiel de ma ville

        ils font même de la propagande pour au delà, puisque j’ai croisé une classe de collège une fois qui marchait à a queue le leu sur trottoir ( et aucun établissement supéreur ou gare n’était dans un rayon de 50 mètres, c’était même rayon de 1kilomètre ), tous masqués et suivant une prof masquée

        ils me regardaient avec curiosité car j’avais le masque sous le nez
        ils devaient sans doute se demander ce que leur prof diirait si elle me verrait, mais elle me tournait le dos, pour laisser les gosses traverser, donc elle n’a rien vu,

        tout le monde sait que le covid est bidon même les flics qui ne respectent pas la distanciation sociale et touche à maiin nu les gens non masqués

        les gens se testent probablement par peur ou menace même s’il n’y a rien qui les oblige, ou par effet de moutons de panurge, s’ils ont une idole qu’ils respectent qui se font tester ils le feront aussi pour avor une bonne image

        quand j’étas gamin, tout le monde me mettait la pression pour que je porte des jeans comme les autres, pour s’habiller à la mode quoi

        les gens sont conditionnés à la pensée unique à copier
        c’est le symptôme de taylorisme ou Gastev
        Le PC(b)R théorise le style de management souhaité sous le slogan de « direction à la poigne de fer » (zhëstkocrukovodstvo)
        https://www.leji.fr/international/70-une-histoire-anti-productiviste-du-stalinisme.html

        maintenant la mode c’est le test

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  6. Coronavirus en Vendée : Le masque obligatoire sur tout le littoral pendant les vacances de la Toussaint

    TOURISME « La fréquentation touristique attendue peut générer un brassage de la population », alerte le préfet de Vendée ► https://www.20minutes.fr/societe/2886867-20201016-coronavirus-vendee-masque-obligatoire-tout-littoral-pendant-vacances-toussaint

    Comment se priver soi-même de rebosster son système immunitaire !…

    Un ConVidiot passe… Et l’Humanité trépasse…

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  7. Couvre-feu dans le Pas-de-Calais : Le Touquet l’instaure lui-même pour anticiper l’afflux de touristes. Alors qu’elle n’est pas concernée par l’obligation d’instaurer un couvre-feu, la station balnéaire du Pas-de-Calais en décrète un tout de même (** Les commerçants doivent dire merci ?**) https://www.20minutes.fr/lille/2886679-20201016-couvre-feu-calais-touquet-instaure-anticiper-afflux-touristes

    Voyez pourquoi c’est totalement FOUPOUDAV ?

    Ah un moment donné, faut être lucide, réaliste et regarder la réalité en face. Ce qui ne veut pas dire qu’il faille laisser tomber, mais juste que si nous attendons le bon moment, alors là c’est mort de chez mort : PARCE QUE NOUS Y SOMMES, c’est tout !

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  8. Coronavirus : Jean-Baptiste Djebbari annonce des tests antigéniques dans les aéroports dès la fin octobre. Ces tests sont un petit peu moins fiables que les RT-PCR naso-pharyngés mais bien plus rapides. (**Les PCR pas fiables et on en prend d’autres encore moins fiables parce que plus rapide ?? Bonjour les courbes à la hausse des « cas » **)

    https://www.20minutes.fr/sante/2886739-20201016-coronavirus-jean-baptiste-djebbari-annonce-tests-antigeniques-aeroports-fin-octobre

    😦

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  9. un homme va à l’hôpital pour un simple mal de tête (sans doute causé par le masque http://stoplinkyvarest.canalblog.com/archives/2020/09/04/38516126.html ou les ondes https://youtu.be/7z4wOznzzSM)
    il entend qu’on va l’assassiner, et appelle sa femme au secours
    trop tard, l’hôpital le maintient de force, l’anesthésie, lui prélève tous ses organes, et dit à son épouse, qu’il est mort du covid et qu’on n’a pas le droit de voir le corps des morts du covid, remarque l’hôpital a admis avoir pris ses organes

    https://www.msn.com/fr-xl/afrique-centre-et-est/cameroun-actualite/cameroun-diaspora-alerte-un-camerounais-victime-de-trafic-dorgane-en-france-sous-pr%C3%A9texte-de-covid-19/ar-BB12D4VL

    les hôpitaux savent que les tests sont bidons, vu que les hospitaliers bossent toujours et ne se mettent jamais en quarantaine même si le test est positif
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/nice-hospitaliers-positifs-covid-travailler_fr_5f650ad3c5b6de79b6749571

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    1. la belgique est doué pour trouver de faux malades
      là bas ils euthanasient des gens après les avoir enfermé de force en hôpitaux psychiatriques

      En Belgique, depuis 2015, ils euthanasient des gens en bonne santé sous prétexte qu’ils sont en dépression
      n’importe qui peut être interné de force en psychiatrie en Belgique, et ensuite, ils font croire que vous avez réclamé l’euthanasie avec de faux papiers imitant votre signature, et ils vous tuent ainsi légalement
      https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/11592-Euthanasie-une-etude-detaille-100-demandes-de-malades-psychiatriques
      https://oip.org/analyse/entre-soin-et-peine-la-defense-sociale-belge/

      On se demande combien de faux dépressifs euthanasiés ont été mis faussement sur la case décès covid pour faire faussement gonfler les statistiques?

      Covid-Arnaque. Pourquoi la Stupide-19 ne tue pas les grands noms de la Société ?
      https://numidia-liberum.blogspot.com/2020/05/covid-arnaque-pourquoi-la-stupide-19-ne.html

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    1. Je le transfère sous ma publication du jour, car j’ai lancé un appel, pour ceux comme moi qui ne peuvent se déplacer, et marcher, en soutien à ces actions, d’allumer nos petites flammes, partout dans la nuit !

      C’est fait, en plus de mes loupiotes solaires, j’ai allumé des bougies dehors !

      J’estime faire ma part avec mon blog et puisque je ne peux ni me déplacer, ni marcher et encore moins courir !

      De plus l’attaque de ce convidiot hier m’a mise à mal, ça m’a retourné l’estomac et ce matin j’avais vraiment du mal à marcher encore plus que d’habitude…

      Tao Te King, le livre de la Voie et de la Vertu, Lao Tseu, traduction de Stanislas Julien, 1842 (Nouvelle version PDF de JBL, 2020)

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  10. http://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccin-recours-en-annulation-contre-le-reglement-europeen-20201043

    Ce recours fait suite au règlement européen n°2020/1043 adopté en urgence le 15 juillet 2020 qui a supprimé toutes les procédures de protection, d’analyse du risque, de contrôle, de suivi, d’étiquetage et d’information du public concernant l’utilisation, le transport, la dissémination dans l’environnement, l’injection aux Être humains d’organismes et de microorganismes génétiquement modifiés dès qu’il s’agit de recherches ou essais cliniques sur un vaccin ou un médicament contre la Covid-19.

    Ainsi aucune mesure spécifique de contrôle du risque lié à la modification génétique du vivant n’est plus appliquée en cette matière.

    L’objectif affiché de cette suppression est de gagner quelques semaines dans l’éventuelle élaboration d’un vaccin. On supprime donc les analyses de risques et mesures de contrôle dans l’unique but d’aller plus vite. La Commission avant de déposer son projet n’a effectué aucune consultation scientifique pour en analyser le risque, notamment lié aux nouvelles techniques de modifications génétiques.

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