Rouler exclusivement en tout électrique ?

NON MERCI !

Transition énergétique de mes 2 tiquesPompe à fric climatiqueÀ Paris en vélo, trottinette, bus, voiture, électriques on explose TOUT !

Bah ! Oui mais c’est l’un des ProjeeEeets du Transhu1er, voire sa « mission » quasi divine, pour laquelle il a été choisie, tel le Highlander puisqu’il ne devait en rester qu’Un…

L’obligation du tout électrique entraine, de facto, le déploiement des bornes de recharge (qui explose aussi bien entendu) des batteries lithium-ion et même à domicile !…

NOTA BENE : Le groupe français Bolloré, dont la « Blue Car » (voitures électriques et bus électrique) sera utilisée par la ville de Paris pour « Autolib » et qui va ouvrir une usine de production de batterie au lithium. ICI ; Or le lithium des voitures électriques n’est pas une ressource renouvelable, ; Mieux, ou pire, c’est selon : Paris veut que 100% de ses bus soient électriques pour 2025 et contiennent des batteries en lithium qui peuvent exploser et causer des incendies (et ils le savent, puisqu’ils ont demandé à l’entreprise polonaise qui les fabrique de mettre un détecteur d’incendie et de limiter les places à 50 personnes pour tenter de rendre l’évacuation plus rapide) HERE… Preuve qu’ils le savent La RATP se penche sur les causes de plusieurs incendies de bus.

Question subsidiaire (qui tue) ; Quid du recyclage des batteries, dont l’obsolescence a été programmé à 2 ans, quand elles n’exploseront pas, avant ?

Résultat de recherche d'images pour

Loi mobilités : des députés {2 en fait} veulent faire interdire la publicité pour les voitures (thermiques)

Virginie Garin édité par Claire Gaveau le 10 juin 2019 – URL de l’article ► https://www.rtl.fr/actu/politique/loi-mobilite-des-deputes-veulent-faire-interdire-la-publicite-pour-les-voitures-7797809170

À l’image de la loi Évin concernant le tabac et l’alcool, des députés veulent déposer un amendement à la loi mobilités afin de faire interdire la publicité pour les voitures.

Interdire dès janvier prochain les publicités à la télévision, au cinéma ou encore dans la presse pour les voitures qui émettent plus de 60 grammes de CO2 par kilomètre… À l’image de la loi Évin qui interdit la publicité pour l’alcool et le tabac, des députés veulent faire interdire la publicité pour les voitures afin de lutter contre le réchauffement climatique.

En gros, ce sont toutes les voitures qui seraient concernées, sauf les électriques et les hybrides rechargeables.* Matthieu Orphelin, le député qui a déposé cet amendement, explique notamment que les émissions de gaz à effet de serre des voitures ont augmenté ces deux dernières années en France, alors qu’elles baissaient depuis 20 ans.

En première ligne de ces mauvais résultats ? Les SUV, ces gros véhicules qui représentent un tiers des ventes. Des voitures qui finiront dans tous les cas par être interdits, selon une autre député, Delphine Batho, qui défendra aussi un amendement à la loi mobilités.

Plus de deux milliards d’euros de publicités

Dix pays en Europe ont déjà décidé d’interdire les moteurs thermiques, diesel et essence. Ce sera le cas dès 2025 en Norvège, 2040 en France. Pour les députés, il est important de ne pas inciter les ménages à acheter ces modèles qui contribuent au dérèglement du climat et à polluer les villes.

« La loi Évin a eu un impact positif sur la consommation d’alcool et de tabac, faisons pareil pour les voitures », lancent ces députés, qui savent que leurs amendements ont assez peu de chance d’être votés. Il faut dire que l’enjeu économique est énorme. Le montant de publicités investies par les constructeurs a dépassé 2 milliards d’euros l’an dernier.

*Les voitures électriques, plus dangereuses que les voitures à essence/diesel, compte tenu des risques d’explosions et d’incendies : ICI et

Image associée

Unissons-nos forces pour résister à cet agenda oligarchique que le Président Macron a pour « mission » de parachever ;

Contre l’Agenda oligarchique de dépopulation ;

NON à TOUS les compteurs communicants à la 5G au tout électrique pour in fine regrouper des survivants zombifiés, pucés dans des SMART-CITIES composées d’Appartements du futur

Et ne croyez pas que Notre-Dame-de-Paris échappera à ce projeeEeet fou, car tout avait été prévu, au cas où un évènement imprévu le permettrait…

On peut ainsi répondre à cette interrogation : pourquoi Notre Dame de Paris a-t-elle brûlée ?

Sinon pour pouvoir mettre en branle : Un projet de La Marchandise En Marche !..

Zattendaient juste l’étincelle… Qui a eu lieu le 15 avril 2019 à 18 H 54 MN

D’autant plus, qu’un autre projet était déjà dans les tuyaux (des pompiers ?) :

Paris : une partie de l’Hôtel-Dieu cédée pour 80 ans contre 144 millions d’euros

La partie de l’hôpital Hôtel-Dieu donnant sur le parvis de Notre-Dame de Paris va être cédée pour un montant de 144 millions d’euros à un promoteur immobilier.

La partie de l’hôpital Hôtel-Dieu donnant sur le parvis de Notre-Dame de Paris, soit un tiers de sa surface, sera cédée au promoteur immobilier Novaxia pour 144 millions d’euros via un bail de 80 ans, a annoncé vendredi l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP).

Les équipes hospitalières seront réinstallées : « Le groupement coordonné par Novaxia » a remporté jeudi soir l’appel à projets urbains innovants lancé fin 2017 selon un plan de transformation de l’Hôtel-Dieu, a annoncé dans un communiqué l’institution francilienne qui reste propriétaire de l’ensemble du site, situé au cœur de la capitale.

Quelque 20.000 m2 seront ainsi mis à la disposition de Novaxia d’ici à « quelques années », le temps de réinstaller les équipes hospitalières dans les locaux qui leur seront dédiés sur les deux tiers restants du site, où sont prévus des travaux, a expliqué la direction de l’AP-HP.

Deux pôles « santé » et « habitat solidaire » : Le projet sélectionné par le jury, composé de représentants de l’AP-HP et de la mairie de Paris, comporte un « pôle santé » sur la moitié de la surface cédée, avec notamment l’implantation d’un incubateur de biotechnologies et d’intelligence artificielle permettant l’accueil d’une cinquantaine d’entreprises innovantes, d’une salle polyvalente ou encore d’une maison des associations de patients.

Un « pôle habitat solidaire » regroupera lui une résidence sociale étudiante, une maison du handicap et une crèche associative. Enfin, un tiers de la surface sera consacrée à une « offre variée de restauration et de commerces, dont les enseignes seront sélectionnées en lien avec l’AP-HP et la ville de Paris, et qui comprendra notamment un restaurant gastronomique ». Source ► https://www.europe1.fr/societe/paris-une-partie-de-lhotel-dieu-cedee-pour-80-ans-contre-144-millions-deuros-3899217

Résultat de recherche d'images pour

Petit à petit, Enedis & Cie fait son nid…

L’objectif étant de déplacer les populations des zones rurales vers des « Smart Cities »/Villes Communicantes selon l’Agenda21 ou Agenda oligarchique de dépopulation, comme le Zbig avait prévenu en 1995 ; « On ne peut imposer une mondialisation directe, de façon totale, on doit le faire progressivement et cela se fait grâce à la régionalisation » et le David Rockefeller de rajouter « Nous arrivons vers l’émergence d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la crise majeure et le peuple acceptera le Nouvel Ordre Mondial ».

En restreignant l’utilisation des voitures thermiques pour conduire vers l’obligation de rouler en tout électrique couplé à l’abandon du réseau cuivré pour aller vers la 5G et le Smartphone obligatoire pour TOUS/TOUT + L’obligation d’accepter les Compteurs communicants = En route vers la Smart-City ou Ville connectée

Si on laisse faire…

C’est entre nos mains donc… Alors, on (se)débranche quand ?

JBL1960

 

33 réflexions sur « Rouler exclusivement en tout électrique ? »

  1. https://www.paris.fr/actualites/1000-bornes-pour-recharger-votre-vehicule-electrique-6297

    Dès le 3 décembre, 1000 bornes de recharge électrique sont accessibles sur les anciens emplacements des stations Autolib’. Mode d’emploi du nouveau service.

    C’est une renaissance pour les bornes de recharge. Dès le 3 décembre, 1000 emplacements, utilisés jusqu’à l’été dernier par l’ancien service Autolib’, sont accessibles aux particuliers et aux professionnels pour la recharge de leur véhicule électrique.

    Ces 1000 bornes sont réparties sur 200 stations, sur tout le territoire parisien.

    Quels sont les tarifs ?

    Ce nouveau service est disponible sur abonnement annuel, avec deux formules possibles : l’une à 120 euros pour les particuliers, l’autre à 600 euros pour les professionnels qui utilisent le véhicule pour une exploitation commerciale (taxi, VTC, free-floating…). Les professionnels qui ne font pas une utilisation commerciale de leur voiture bénéficient également du tarif annuel de 120 euros.

    J’aime

    1. Ainsi qu’à Balou qui nous tire l’œil sur : À voir également sous la vidéo, le commentaire Jean-Baptiste Labelle (il y a 1 an) :

      « La malhonnêteté (ou bêtise, ce qui est plus grave pour un journaliste d’un journal tel que l’Obs) est choquante. Alors, plutôt que dire qu’une VE pollue (oh, c’est vrai ?), parlons avec des chiffres sur les différents points : Tout d’abord, il faut expliquer au monsieur que le CO² n’est pas un polluant mais un gaz à effet de serre. – Pollution : parlons-en. La pollution en roulant d’un véhicule thermique (VT), c’est des particules, des Nox, du CO, de l’O3… Selon l’OMS (donc pas Greenpeace), les particules (dont la moitié vienne de l’automobile avec les moteurs et les freins) tuent prématurément TOUS LES ANS, 430 000 personnes en Europe. Les NOx (80% venant du diesel) tuent 80 000 personnes. Donc ½ millions par an dus au VT. Le VE, lui, c’est ZERO. Mais le monsieur va pas en parler parce que 500 000 morts d’éviter, c’est pas super important ? Et non, les VT modernes sont pires : les FAP augmentent les particules fines MP2,5 et PM0,5, les plus dangereuses qui ne sont pas arrêtées par les bronches mais vont directement au fond des alvéoles et dans le sang, par 10. Et les petites moteurs essences turbos sont tous désormais à injection directe donc avec pleins de particules. Enfin, 96% des voitures testées Euro 6 rejettent entre 3 et 12 fois plus que la norme (pour une 308 ou Scénic par exemple). – Gaz à effet de serre : parlons du CO². Prenons le cas de l’Allemagne, le 3 pire pays en Europe (après la Pologne et la Lettonie), c’est440g CO²/kWh soit (avec la perte de charge et du transport de l’électricité) 0,15kWh (pour une Leaf / Ioniq / Zoé) * 440g/kWh = 66g CO²/km. Même une Clio 1,5 DCI est autour de 100g (si on considère 4l/100) soit 50% de plus. Si on prend la France, on est à 9g soit 10 fois moins !!!43 Allons plus loin, si on ajoute la production d’électricité, ajoutons le raffinage du diesel qui requiert ~1,5kWh d’électricité (et oui) soit pour 6,5l/100 * 1.5kWh * 440g CO²/kWh = 43g CO² en plus pour l’Allemagne. Du coup, en Allemagne, nous sommes à 143g CO² pour la Clio vs 66g pour la Leaf. Mais alors le coup hilarant, c’est le coup des terres rares . Une Zoé ou Leaf, ce sont des batteries Manganese, une Zoé Nickel, Manganese Cobalt à part égale, une Tesla Nickel (80%) Cobalt (15%) Aluminium (5%). Le Lithium représente environ 2% des batteries. Le Manganèse, le Cobalt, le Nickel ou l’Aluminium ne sont PAS des terres rares. Et le Lithium ne porte de « rare » que le nom. C’est le 8e élément le plus présent sur terre. De plus, il se pompe dans les mines de sel en Bolivie, Chili ou Argentine et pas dans des mines par des enfants en Mongolie !!! Le journaliste a vraiment besoin de revoir sa géographie et à partir de quoi sont les les batteries. Enfin, le commentaire sur la Chine, est idiot. Si tout le monde veut sa voiture (électrique ou pas), même en Chine, vaut mieux qu’elle soit électrique que thermique !!! Et oui, c’est sûr que Peugeot et les allemands auraient dû se sortir les doigts du c… mais c’est notre faute, pas celle du VE.

      Du grand n’importe quoi d’un ridicule risible si ce n’était pas de la désinformation organisée. »

      J’aime

    2. https://www.usinenouvelle.com/article/eramet-et-bollore-guignent-le-lithium-argentin.N126375

      Eramet et Bolloré guignent le lithium argentin

      Le groupe diversifié français Bolloré et le groupe minier, spécialisé dans le nickel, Eramet, viennent de signer un contrat d’exploration assorti d’une option d’achat portant sur des gisements de lithium avec la société argentine Minera Santa Rita. Cette option pourra être levée dans les 24 mois suivant la signature.

      Les deux associés ont ainsi obtenu un accès à des concessions sur plusieurs salars (lacs salés) riches en lithium situés au nord de l’Argentine. Ils vont pouvoir commencer rapidement l’exploration nécessaire à l’évaluation des ressources. Ils vont également étudier un projet d’unité de production de carbonate de lithium, la matière première des sels de lithium et du lithium métal composants des accumulateurs rechargeables.

      Associés depuis plus d’un an, rappelle un communiqué d’Eramet, les deux groupes ont l’intention de devenir un « acteur significatif » sur le marché en forte expansion du lithium. Ce métal très léger, déjà utilisé dans les batteries destinées aux téléphones et aux ordinateurs portables, pourrait profiter de la vague attendu de véhicules électriques ou hybrides. Le groupe Bolloré a déjà développé « une batterie particulièrement performante (lithium-métal-polymère) qui sera utilisée pour alimenter sa voiture électrique, la Blue Car ».

      Toujours associé à Eramet, Bolloré négocie intensivement avec le gouvernement bolivien la possibilité de développer une filière industrielle basée sur les vastes ressources du pays. Mais les concurrents sont nombreux. Le mineur apporte au projet ses « compétences minières et hydrométallurgiques, ainsi que la capacité de son centre de recherche à développer de nouveaux procédés d’extraction et de transformation du lithium adaptés à chaque gisement ».

      Quatrième pays producteur en 2009 (2 200 tonnes, contre 3 170 en 2008), selon l’USGS, l’Argentine détient les troisièmes réserves identifiées (2,5 millions de tonnes), à égalité avec la Chine et les Etats-Unis, mais loin derrière la Bolivie et le Chili.

      Daniel Krajka

      J’aime

  2. Forte de son succès, la bataille contre Linky pourrait s’étendre à toute la « société connectée »…

    Le déploiement du compteur électronique et connecté Linky par la société Enedis (ex-ERDF) suscite une résistance populaire dont l’ampleur surprend jusqu’aux militants eux-mêmes. Alors que les collectifs engagés contre son installation enregistrent leurs premières victoires, certains pensent déjà au coup d’après : étendre cette lutte à celle, plus globale, contre la société du tout-connecté. Un article de notre partenaire L’âge de faire.

    Cet article est tiré du numéro d’avril 2019 du magazine L’âge de faire, partenaire de Basta !. Son dossier est consacré aux résistances face à l’oppression numérique.

    C’était il y a un an, à Sausset-les-Pins. Le lundi 16 avril 2018, la salle municipale de cette petite commune des Bouches-du-Rhône était à peine assez grande pour accueillir les 300 personnes venues assister à la réunion publique organisée sur Linky. Enedis (l’ex-ERDF) avait pour l’occasion dépêché six de ses cadres pour diffuser la bonne parole sur les bienfaits du compteur. Mais à leur arrivée, surprise : ils apprennent qu’ils ne seront pas les seuls à parler, une place ayant été réservée en tribune à Magalie, pour représenter le collectif anti-Linky du département. Ingénieur en environnement, celle-ci a déjà animé une petite quarantaine de conférences sur le sujet. « Quand ils ont su que le collectif aurait la parole, ils ont menacé de partir, se souvient-elle. Il a fallu que le maire insiste pour que je sois finalement « tolérée », avec pour consigne de laisser parler Enedis sans polémiquer ! » Non seulement Magalie s’imposera dans le débat, mais les spectateurs contrediront aussi les arguments avancés par les communicants d’Enedis. Ce soir-là, le gestionnaire du réseau aura suscité l’énervement du public, reparti plus convaincu que jamais de la nécessité de s’opposer au compteur. Le maire, au départ pas très chaud pour s’opposer au mastodonte Enedis, prendra finalement un arrêté « prescrivant qu’aucune installation de compteur Linky à partir de la voie publique ne soit faite sans l’accord explicite de l’abonné ».
    Des millions d’euros en com’

    Depuis trois ans, des centaines de réunions de ce type ont eu lieu, partout sur le territoire – même si elles s’organisent désormais sans Enedis, qui a renoncé à y participer. Près de 900 communes ont pris des arrêtés ou rendu des délibérations pour s’opposer à la pose forcée des compteurs [1]. On ne compte plus les centaines de collectifs anti-Linky constitués en quelques mois, certains se regroupant désormais à l’échelle de leur département. Dans le même temps, les actions en justice se multiplient. En mars, pour la première fois, les opposants ont même obtenu une importante victoire devant le tribunal administratif de Toulouse, qui a interdit l’installation du compteur chez treize plaignants électro-hypersensibles. D’autres actions de groupe – menées sur le modèle états-unien des class-actions – seront jugées prochainement.

    Enedis, qui sent bien que la dynamique n’est pas de son côté, essaie de réagir. L’entreprise a par exemple dépensé plusieurs millions d’euros en communication pour redorer son blason et celui de son compteur. Cet été, l’opérateur, qui ne lésine pas sur les moyens, a notamment sponsorisé… le Tour de France ! Et pour tenter de poursuivre son programme en enjambant les citoyens, il organise désormais ses propres réunions, en y conviant uniquement des élus. Pourtant, là encore, l’entreprise se retrouve finalement face à des opposants, qui ont des yeux et des oreilles partout : « On a récemment participé à une réunion organisée par Enedis auprès des élus du coin, témoigne par exemple Sylvie. Un maire – que nous avions rencontré quelque temps auparavant pour lui parler de Linky – nous a proposé de l’accompagner. » Enedis n’a pas dû être déçu du voyage : Sylvie et René (son mari) luttent depuis des mois contre le compteur jaune, notamment en organisant des réunions dans toutes les Alpes-de-Haute-Provence où ils sont installés. Quand la destination est un peu loin et que la réunion risque de finir tard, ils s’y rendent en camping-car, pour pouvoir dormir sur place. Mais rien ne les arrête. Alors, face à Enedis, ces élus-là ont entendu un autre son de cloche que celui de l’opérateur.
    L’opinion majoritairement opposée au compteur

    Quant aux millions d’euros dépensés en communication, ils ne font visiblement pas le poids face aux milliers de « petites mains » qui leur font face. Ainsi, le 13 novembre 2018, selon des chiffres du Médiateur de l’énergie, « seule la moitié des foyers [étaient] favorable à l’installation des compteurs communicants », alors qu’ils étaient encore près de 60% en 2017. Et la dégringolade continue : selon un sondage publié en mars par le magazine Capital, plus des deux tiers (71%) des usagers veulent désormais pouvoir refuser Linky. « Au départ, les gens sont sidérés, ils ne pensent pas pouvoir s’opposer, observe Michelle, du collectif Stop Linky du Val d’Issole (83). Pendant nos conférences, on leur donne les arguments et les moyens d’action. On brise la tendance au « c’est comme ça, on ne peut rien y faire ». » Pour le groupe Marcuse, l’opposition au Linky « illustre ce que l’on sait déjà : c’est le plus souvent dans et par un conflit que les aspirations et les comportements individuels changent, que la critique se diffuse soudainement, que des refus et des actes inconcevables peu de temps avant (désobéissance à l’institution, résistance physique, sabotage…) s’imposent à certaines personnes » [2].

    C’est le gros problème d’Enedis : Linky est une véritable usine à militants. Ce qui n’était pas forcément prévisible. « L’opposition est partie d’une intuition, de quelque chose qui relevait du bon sens paysan, analyse Isabelle, à l’origine du collectif anti-Linky de Marseille puis de celui des Bouches-du-Rhône. Les gens ont bien senti qu’on tentait encore de leur imposer un truc pour faire du fric sur leur dos, en dépit de risques pour leur santé et d’atteintes à leur intimité. Linky a été la goutte d’eau : « pas chez moi ! Stop ! Ça suffit ! » L’argumentation s’est construite au fur et à mesure de la lutte. »

    Or, les arguments ne manquent pas : risque sanitaire, intrusion dans la vie privée, privatisation de l’énergie, coûts écologique et financier de l’opération, destruction d’emplois, pose forcée des boîtiers… Comme l’a noté la sociologue Aude Danieli, « c’est l’articulation et le renforcement mutuel de ces différents registres qui font que, aujourd’hui, ces mobilisations se maintiennent et perdurent dans le temps, voire s’étendent » [3].

    https://www.bastamag.net/compteur-Linky-Enedis-electrosensible-objet-connecte-smart-city

    Via https://lesmoutonsenrages.fr/2019/06/12/forte-de-son-succes-la-bataille-contre-linky-pourrait-setendre-a-toute-la-societe-connectee/

    J’aime

  3. Pour les locations de véhicules, il faut faire la différence entre la location auprès des loueurs tels que AVIS, HERTZ, EUROPCAR…et la location dite LLD qui est faite auprès d’un concessionnaire auto via un organisme de location avec lequel il travaille.

    Il y a également les assureurs qui proposent cela, Matmut avec Arval, qui a été créée par la Société Générale en 2000 ou 2001, et depuis quelques années rachetée par la BNP.

    Pour la LLD je peux t’assurer que la limite des 70 ans n’existe pas pour avoir parmi mes connaissances plusieurs couples ayant des contrats LLD et + de 70 ans.

    Avec Arval, à vérifier, car n’ayant pas d’information à leur sujet pour ce point.

    Il nous reste plus qu’à apprendre à léviter…comme les abeilles…

    J’aime

    1. Alors, et pour avoir travaillé pour des Stés de LLD, elles proposent de la location longue durée de véhicules, leasing, LOA comme les constructeurs à voir auprès des concessionnaires, qui sont capables de beaucoup plus de souplesse effectivement.

      Alors, seul AVIS précise que la LLD se fait entre 30/70 ans… Mais c’est écrit noir/blanc…

      Faut savoir également que les locations de voitures courtes durées type Leclerc, etc, à 3/4 € par jour, faut avoir 2 ans de permis, et surtout 1200 € sur ton compte et une Carte Bleue pour la caution (ce n’est pas débité, mais si tu les as pas, woualou, sauf si tu as une CB à débit différé).
      Bon sont là pour faire de la tune, en même temps…

      J’aime

      1. Le type de débit : immédiat ou différé n’a pas d’incidence, dans la mesure où cette somme est provisionnée et bloquée, puisque considérée par la banque comme un achat, et ensuite si non débitée par le loueur, l’achat est annulé.

        Ca c’est pour la partie technique qui se passe dans la compta de la banque.

        Chaque fois qu’un commerçant te dit qu’il teste ta carte au cas où (loueurs de véhicules, hôteliers…), il s’agit pour la banque d’un achat…. qui sera plus tard annulé…bien que l’on ne voit pas de trace de l’opération sur le relevé bancaire, il y a 2 écritures comptables dans le « Grand Livre » de la banque…. « Grand Livre » étant le terme comptable pour désigner cet outil qu’il soit papier ou maintenant sur un logiciel spécifique.

        J’aime

      2. Alors pour avoir utilisé ce service (déménagement et voiture en panne pour mon fils qui travaillait) voilà ce que m’a expliquée ma banquière puisque par 2 fois j’ai dû faire une caution de 1200 €.

        Cette « empreinte CB » effectivement n’est pas débité, c’est une simple interrogation à ta banque, et avec une simple mastercard en débit immédiat, tu dois avoir l’argent. Sinon tu vas chez plumeau.

        Ma banquière m’a dit qu’avec une carte à débit différé (paiement en fin de mois) tu n’as pas besoin d’avoir l’argent sur ton compte car ça passe direct en crédit. Magique hein ?

        Chui restée avec ma simple mastercard et surtout ben j’ai plus un rond piske j’ai déménagé…

        J’aime

      3. Ta banquière t’a menti, comme ils le font quasi tous lorsqu’on n’insiste pas pour savoir…

        Pour ma part, ayant été prestataire pour l’informatique de gestion dans le milieu financier, je sais ce qu’il se passe derrière.

        D’ailleurs, quiconque réfléchirait plus d’1 minute, comprendrait qu’une simple interrogation ne peut suffire, sachant qu’un banquier comme un assureur se surprotège du gueux !

        Une goutte d’eau, et il t’affirme mordicus que c’est une tempête tropicale jamais vue depuis des millinéaires !!!

        J’aime

      4. Plutôt, aux vrais faux riches comme Drahi… énorme dette, mais tellement grosse que ce n’est plus son problème, mais UNIQUEMENT celui de son banquier !

        J’aime

  4. Pour les loueurs non professionnels comme Leclerc ou U, je ne sais pas car je n’ai jamais testé !

    Pour les loueurs pros, tu as 2 possibilités, soit tu prends l’assurance de base incluse d’office dans le contrat, et tu as effectivement une caution assez importante qui est bloquée sur ton compte jusqu’au retour en bon état du véhicule, à la moindre rayure tu peux voir partir 300 €…, soit tu prends l’assurance complémentaire tous risques qui est facturée jusqu’à 40 € par jour de location selon l’agence de location (varie par agence au sein d’une même enseigne), et tu ne paieras rien de plus y compris si tu leur rends un tas de ferraille.

    J’aime

  5. L’Assemblée nationale vote la fin de la vente des véhicules à carburants fossiles pour 2040

    L’Assemblée nationale s’est prononcée pour la fin de la vente des véhicules à carburants fossiles d’ici à 2040.

    L’Assemblée nationale a voté ce mardi l’objectif de la fin de la vente des véhicules à carburants fossiles (essence, diesel et gaz naturel) d’ici à 2040, délai que des députés d’opposition ont tenté en vain de raccourcir.

    L’article du projet de loi d’orientation des mobilités (LOM), qui inscrit aussi l’objectif d’atteindre la neutralité carbone des transports terrestres d’ici 2050, a été adopté par 62 voix contre 6 et 17 abstentions.

    « La France est au rendez-vous de l’urgence du défi climatique, et notre majorité marque sa détermination à engager de manière ambitieuse et crédible nos transports sur la voie de la mobilité propre », s’est félicitée la ministre des Transports Elisabeth Borne dans un communiqué.
    2025 ou 2030 laisserait « trop peu de temps »

    Dans la nuit de vendredi à samedi, le co-rapporteur Jean-Luc Fugit (LREM), qui avait introduit dans le texte ces objectifs en commission, a défendu une trajectoire « réaliste » et « ambitieuse », estimant que fixer une échéance « en 2025 ou 2030 » laisserait « trop peu de temps aux acteurs » pour s’adapter.

    Une interdiction en 2030 engendrerait des « difficultés financières » pour des Français qui auraient acquis des véhicules neufs auparavant, a-t-il argumenté. « Cela signifie que si l’un de nos concitoyens achetait en 2025 un véhicule diesel ou essence, même hybride, à partir de 2030 il n’aurait plus le droit de le vendre d’occasion », a-il ajouté, s’adressant notamment à Delphine Batho (non inscrite).
    « La responsabilité de casser une filière automobile »

    L’ex-ministre de l’Ecologie a porté plusieurs amendements pour ramener l’échéance d’interdiction à 2030, estimant que la date de 2040, retenue par le gouvernement dans son plan climat, « n’est pas compatible avec les conclusions du rapport publié par le GIEC », sur le réchauffement climatique, rendu en octobre 2018.

    Le socialiste Dominique Potier, qui a défendu une proposition similaire, a appelé en vain gouvernement et majorité « à être plus radicaux » tout en plaidant pour « la création d’un fonds pour le financement de la mutation » de ce secteur.

    A la reprise des débats mardi, Jean-Marie Sermier (LR) a critiqué une politique d’« affichage », estimant que la France ne pouvait pas « porte(r) seule la responsabilité de casser une filière automobile existante sans projet pour cette filière ».
    « Le tout électrique » pas « tenable »

    L’Insoumis Loïc Prud’homme a précisé que son groupe voterait « pour » mais avec des réserves, soulignant notamment que « le tout électrique ne semble pas être un horizon tenable ».

    Hubert Wulfranc (PCF) a lui jugé « indécent » qu’il n’y ait « pas de garanties données aux salariés » de l’industrie automobile.

    Dans la foulée, des amendements portés notamment par Mme Batho et l’ex-« marcheur » Matthieu Orphelin, pour interdire progressivement la publicité pour les véhicules polluants ont été rejetés.

    Le rapporteur a jugé la mesure « excessive », rappelant que les députés avaient déjà prévu un message dans les publicités incitant à des mobilités plus propres. La ministre a aussi jugé « mieux » que les publicités soient l’occasion d’inciter « les citoyens à des mobilités actives ou partagées ».

    Pour M. Orphelin, se contenter de tels messages est « une vraie erreur, ça ne suffira pas même si ça va dans le bon sens ».

    https://www.ouest-france.fr/politique/institutions/assemblee-nationale/l-assemblee-nationale-vote-la-fin-de-la-vente-des-vehicules-carburants-fossiles-pour-2040-6392772?

    Voyez que l’objectif reste le déplacement des populations rurales vers les SMART-CITIES ou les Villes Connectées…

    En 2040 j’aurais l’âge de Kahentinetha Horn = 80 ans !
    Ou pas…
    Aussi, je préfère dès maintenant appeler à la RÉSISTANCE afin que ceci n’arrive tout simplement JAMAIS !
    JBL

    J’aime

  6. En attendant, ils brûlent les garages des réparateurs de voitures d’occasion ou vendeurs de voitures d’occasion pour empêcher la vente de voitures non électriques.https://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/lamballe/lamballe-incendie-dans-une-societe-pres-de-la-cooperl-25-06-2018-12007469.php

    « Cinquante-trois voitures ont été incendiées, dans la nuit de jeudi à vendredi, dans un garage de Vigneux-de-Bretagne, spécialisé dans la vente de véhicules d’occasion. Le feu, d’origine criminelle selon la gendarmerie, se serait rapidement propagé aux voitures grâce à à la multiplication des départs de flammes (sept au total) et à l’utilisation d’essence »https://www.20minutes.fr/nantes/56607-20050704-nantes-un-garage-incendie-a-vigneux

    On voit qu’à chaque fois que des garages de vendeurs de voitures d’occasion prennent feu, la police refuse de chercher les coupables et ne fait aucune enquête policière approfondie.https://www.dna.fr/actualite/2019/01/01/obernai-13-voitures-detruites-par-le-feu-pres-du-garage-peugeot
    https://actu.fr/pays-de-la-loire/saint-nazaire_44184/saint-nazaire-incendie-criminel-dans-garage-peugeot_16528890.html
    sources https://www.lavoixdelain.fr/actualite-34643-civrieux-un-garage-de-vehicules-d-occasion-totalement-incendie
    https://www.ladepeche.fr/article/2017/11/13/2683566-feu-de-voitures-d-occasion.html

    Et quand ils ne brûlent pas les garages de vendeurs de voitures d’occasion, ils embarquent à la fourrière les voitures non électriques dans les parkings des immeubles sous prétexte que les voitures sont mal garées, et réclament une amende au propriétaire
    pour récupérer la voiture
    .http://assets02.nicematin.com/vie-locale/operation-nettoyage-a-nice-plusieurs-dizaines-de-vehicules-embarques-par-la-fourriere-au-petit-matin-386514
    Au total, ce sont 300 000 voitures qui sont passées par la fourrière en 2015.
    https://www.insurancespeaker-wavestone.com/2016/11/voiture-mal-garee-voiture-embarquee-a-fourriere-assurance-exigee/

    Depuis 2016, il est devenu encore plus difficile de récupérer sa voiture à la fourrière.https://www.insurancespeaker-wavestone.com/2016/11/voiture-mal-garee-voiture-embarquee-a-fourriere-assurance-exigee/

    Un homme se bat pour récupérer sa voiture non électrique contre un fourriériste, il s’est précipité dans sa voiture qui était en train d’être embarqué dans le camion, et après un scandale avec les passants qui prenaient des photos, il a fini par réussi à récupérer sa voiture avec le soutien des passants.
    Un commerçant a commenté que l’abus des fouriéristes qui aiment à embarquer toutes les voitures qu’ils voient garés est phénoménal
    https://www.20minutes.fr/insolite/1609475-20150516-paris-fourriere-embarque-voiture-precipite-bord-refuse-descendre

    Le but est évidemment que les gens perdent définitivement leurs voitures non électriques, et ne puissent pas racheter de voitures non électriques auprès de vendeurs d’occasion, d’où cette multiplication d’incendies criminels dans les garages de voitures non électriques, et la mafia qui menace les vendeurs de voiture d’occasion de se tuer lui-même au lieu de leur famille comme c’est le cas ici:
    suicide d’un vendeur de voiture d’occasion qui met le feu à son garage en même temps qu’il se tue lui-même. On se demande s’il n’y a pas du contrôle mentale là-dedans…

    Le MEDDTL reconnaît que les voitures électriques peuvent causer facilement des incendies et c’est pour cela qu’aucun parking n’est spécifiquement dédié aux voitures électriques, et mélangent voitures électriques et voitures normales dans le même parking :

    « Face au danger supplémentaire présenté par l’incendie simultané de plusieurs véhicules électriques, le MEDDTL préconise de ne pas créer de zones dédiées à ces véhicules électriques dans les parkings et d’interdire leur accès à certains parcs de stationnement. »
    https://www.actu-environnement.com/ae/news/vehicules-electriques-securite-risques-12844.php4

    Les voitures électriques prennent feu dans les parkings quand elles sont rechargés dans les bornes électriques intelligentes :

    2016 :Quatre véhicules électriques branchés à leurs bornes de recharge électrique prennent feu dans un parking
    https://www.tvanouvelles.ca/2016/05/07/quatre-vehicules-electriques-branches-a-leurs-bornes-prennent-feu

    « Quant à la recharge des véhicules électriques deux risques ont été identifiés : l’emballement thermique des batteries entraînant un incendie et des émissions de fumées toxiques, et une installation électrique non adaptée source également d’incendie.

    Face au danger supplémentaire présenté par l’incendie simultané de plusieurs véhicules électriques, le MEDDTL préconise de ne pas créer de zones dédiées à ces véhicules dans les parkings et d’interdire leur accès à certains parcs de stationnement. »
    https://www.actu-environnement.com/ae/news/vehicules-electriques-securite-risques-12844.php4

    « En ce qui concerne la recharge des véhicules et pour la même raison que ci-dessus, quatre options ont été identifiées, laissées au libre choix du gestionnaire du parking : limiter le nombre de prises de charge à une par niveau, disposer de plusieurs prises sur un même niveau mais en les espaçant d’une distance minimale de 15 mètres, disposer de plusieurs prises en un même endroit mais dans un lieu semi-confiné, séparer les véhicules en charge par des parois « coupe-feu ».
    La charge, et plus particulièrement la charge rapide, constitue en effet un motif supplémentaire de départ d’incendie. »
    https://www.actu-environnement.com/ae/news/vehicules-electriques-securite-risques-12844.php4

    « Une voiture électrique Tesla Model S garée sur un parking d’Anvers et connecté à une borne de recharge électrique intelligente a pris feu :
    Une voiture électriqueTesla Model S prend feu sur une borne de recharge électrique Supercharger à Anvers. « 

    https://www.phonandroid.com/une-tesla-model-s-prend-feu-borne-recharge-supercharger.html

    Ils font exprès de mettre les voitures électriques et les bornes de recharges dans les parkings où il y a des voitures non électriques, car ils savent que les voitures électriques prennent feu facilement, et donc cela leur permet d’éliminer les voitures non électriques des gens en masse en même temps à obliger sans cesse les gens d’acheter des voitures électriques s’ils en avaient déjà une avant, c’est ce qu’on appelle de l’obsolescence programmée

    La guerre contre les voitures non électriques a déjà commencé.
    Ils veulent des voitures électriques qui contiennent tous une batterie en lithium pouvant exploser

    Un homme sauve sa fille de la voiture électrique qui a soudain explosé et pris feu à cause de la batterie en lithium

    https://money.cnn.com/2018/05/17/news/companies/electric-car-fire-risk/index.html

    Les voitures électriques tombent en panne facilement en hiver car leurs batteries sont fragiles en hiver car elles sont plus sollicités donc elles vieillissent plus vite (chauffage de la voiture+ faire rouler la voiture en même temps+ les appareils électriques de la voiture frein vitesse tableau de bord, etc..), et donc les voitures électriques perdent de 25% de leur autonomie et doivent aller aux bornes de recharge plus souvent,https://eu.detroitnews.com/story/business/autos/mobility/2019/02/07/electric-cars-cold-weather/39020225/
    https://phys.org/news/2015-09-efficient-electric-cars.html
    Les batteries des voitures électriques perdent encore plus vite leur chargement en hiver et obligent à s’arrêter aux bornes de recharge plus souvent
    https://www.thoughtco.com/why-batteries-discharge-quickly-cold-weather-607889

    les bornes de recharge peuvent provoquer des explosions aux batteries électriques des voitures électriques et donc créer des incendies aux voitures électriques:
    Une Tesla Model S garée sur un parking d’Anvers a pris feu :
    Une voiture électriqueTesla Model S prend feu sur une borne de recharge électrique Supercharger à Anvers.

    https://www.phonandroid.com/une-tesla-model-s-prend-feu-borne-recharge-supercharger.html

    La charge, et plus particulièrement la charge rapide des voitures électriques , constitue en effet un motif supplémentaire de départ d’incendie. »
    https://www.actu-environnement.com/ae/news/vehicules-electriques-securite-risques-12844.php4

    2016 :Quatre véhicules électriques branchés à leurs bornes de recharge électrique prennent feu dans un parking
    https://www.tvanouvelles.ca/2016/05/07/quatre-vehicules-electriques-branches-a-leurs-bornes-prennent-feu

    « 3 voitures électriques prennent feu
    l’Ere de la voiture électrique menace les pompiers sur de nouvelle route de risques jamais rencontrées avant »
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2018-05-15/electric-car-era-threatens-firefighters-with-new-roadside-risks

    La borne de recharge fait exploser la batterie de la voiture électrique en branchement pour la recharge de la batterie et cause l’incendie de la voiture électrique
    https://www.telegraph.co.uk/news/2017/07/10/electric-car-gutted-flames-set-fire-charging/

    Les pompiers de France sont opposés aux voitures électriques :
    « la prise de position des pompiers contre la vente de voitures électriques.
    Ils craignaient une multiplication des incendies, débouchant sur des interventions à haut risque »
    https://www.automobile-propre.com/dossiers/voiture-electrique-risques-incendies/

    Il faut des semaines pour éteindre une voiture électrique qui prend feu à cause de sa batterie en lithium qui explose!
    4 juin 2019 : Une voiture électrique de la marque Tesla a pris feu hier soir à Anvers. Un incident qui a nécessité l’intervention des pompiers. Ce matin, la voiture électrique trempe dans un bac d’eau afin de s’assurer que les batteries soient bien refroidies.
    Carbonisée, la voiture a déjà passé plus de 24 heures dans un conteneur rempli d’eau, sur un parking du zoning d’Anvers. Un bain de refroidissement qui pour l’instant ne suffit pas à éteindre le feu. A 2 reprises hier, la voiture a été sortie des eaux et à 2 reprises, elle a pris feu.
    Une situation particulière pour les pompiers, comme le détaille Mattias Detobel, instructeur national des pompiers pour les véhicules électriques : « Il s’agit en fait de stopper la réaction chimique qui a commencé à cause du feu. Et ça, c’est le grand défi, parce que trouver l’emplacement exact où la réaction chimique a lieu, c’est la grande difficulté pour nous et c’est la raison pour laquelle mettre le véhicule dans de l’eau est la meilleure technique. »
    Des agents de Tesla se relaient jour et nuit pour surveiller le site. Combien de temps faudra-t-il pour neutraliser la réaction en chaîne qui s’est manifestée lors du rechargement de la batterie ? Sans doute plusieurs jours, voire plusieurs semaines.
     
    Interventions de ce type en hausse
    Qu’il s’agit d’un feu ou d’une désincarcération, les incidents sur les voitures électriques nécessitent une intervention particulière de la part des pompiers.
    « On remarque de plus en plus d’interventions des pompiers liées à des ventes en croissance des voitures électriques évidemment. Et on remarque en Belgique, au jour d’aujourd’hui, que cela arrive désormais quelques fois par mois, et qu’il y a des accidents graves, constate Mattias Detobel.
    Depuis 2012, les hommes du feu sont formés aux interventions sur véhicules électriques, mais toutes les casernes du pays ne disposent pas de conteneurs pour les refroidissements
    https://www.msn.com/fr-be/news/other/anvers-voici-ce-quil-reste-dune-tesla-dont-lincendie-a-c3-a9t-c3-a9-difficilement-ma-c3-aetris-c3-a9-c3-a0-cause-dune-r-c3-a9action-chimique/ar-AACkgLx

    Une directive européenne a fixé à 21.000 le nombre de points de recharge pour véhicules électriques en Belgique, et ce d’ici 2020
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2019/04/09/ou-trouve-ton-le-plus-de-bornes-de-recharge-pour-vehicules-elect/

    Les pauvres pompiers belges qui ne sont même pas équipés (Depuis 2012, les hommes du feu sont formés aux interventions sur véhicules électriques, mais toutes les casernes du pays ne disposent pas de conteneurs pour les refroidissements
    https://www.msn.com/fr-be/news/other/anvers-voici-ce-quil-reste-dune-tesla-dont-lincendie-a-c3-a9t-c3-a9-difficilement-ma-c3-aetris-c3-a9-c3-a0-cause-dune-r-c3-a9action-chimique/ar-AACkgLx
    ) ne pourront pas éteindre l’incendie causé par les batteries des voitures électriques qui mettent 1 semaine à s’éteindre car il faut des piscines pour éteindre le feu partant des voitures électriques.

    Une Tesla Model S garée sur un parking d’Anvers a pris feu :
    Une voiture électriqueTesla Model S prend feu sur une borne de recharge électrique Supercharger à Anvers.

    https://www.phonandroid.com/une-tesla-model-s-prend-feu-borne-recharge-supercharger.html

    mort dans une voiture incendiée dans un parking à Anvers (la cause de l’incendie n’est pas indiqué dans l’article ainsi que le type de voiture) mais on sait que Anvers contient des bornes de recharge électriques dans ses parkings sourcehttps://news.evbox.com/fr-FR/172390-mercedes-benz-collabore-avec-engie-pour-les-bornes-de-recharge-electrique-d-evbox-au-benelux , la presse refuse de dire de quel type de voiture il s’agit. Donc il s’agit probablement d’une voiture électrique.
    Or on sait que les voitures électriques peuvent prendre feu que Anvers contient des bornes de recharge électriques dans ses parkings donc des voitures électriques sourcehttps://news.evbox.com/fr-FR/172390-mercedes-benz-collabore-avec-engie-pour-les-bornes-de-recharge-electrique-d-evbox-au-benelux
    http://www.lepharedunkerquois.fr/3713/article/2018-10-07/le-corps-d-un-dunkerquois-decouvert-dans-une-voiture-incendiee-anvers

    Incendie causée par un chargeur de batterie de voiture électrique
    https://www.argusdelassurance.com/social/l-incendie-cause-par-un-chargeur-de-batterie-n-est-pas-un-accident-de-la-circulation.6014

    les constructeurs ont reconnu que les voitures électriques prennent feu, mais ils s’en foutent et à la place, ils disent « oui nos voitures électriques prennent feu, mais regardez, on a un pliant pour expliquer comment éteindre le feu selon le modèle de notre voiture électrique »:
    « Désormais, les constructeurs automobile qui produisent des véhicules électriques et/ou hybrides, rechargeables ou non, doivent fournir aux soldats du feu une documentation appropriée à chaque modèle afin de les aider à intervenir sur des véhicules électriques accidentés ou en proie aux flammes »
    https://www.automobile-propre.com/dossiers/voiture-electrique-risques-incendies/

    « Quand une voiture électrique prend feu, il faut une piscine pour l’éteindre

    Les batteries lithium ion peuvent parfois présenter un phénomène d’emballement thermique en cas de court-circuit notamment lors de la recharge de la batterie de la voiture électrique. La température de la batterie peut dépasser une centaine de degrés, ce qui conduit à un embrasement spontané du véhicule. Même si le feu est maîtrisé, des reprises spontanées d’incendie peuvent se produire tant que la température du véhicule n’a pas intégralement baissé.
    Un phénomène qui n’existe pas avec un véhicule thermique qui donc plus sécurisé que la voiture électrique .

    La solution la plus efficace pour éteindre une voiture électrique incendiée à cause de sa batterie en lithium ? Plonger le véhicule électrique dans un grand bassin d’eau pendant plusieurs heures. « Si la batterie haute tension prend feu, qu’elle est exposée à une chaleur élevée, pliée, tordue, fissurée ou brisée de quelque façon que ce soit, utilisez de grandes quantités d’eau pour la refroidir », précise une notice de Tesla à l’attention des pompiers, à la suite de l’incendie d’une de ses voitures en Belgique cette semaine. Par ailleurs, le constructeur conseille de vérifier durant une période de 48 heures qu’aucun « point chaud » ne persiste au niveau des batteries en utilisant une caméra thermique.

    L’autre précaution en cas d’incendie des voitures électriques concerne les vapeurs toxiques que dégage le feu de batteries en lithium des voitures électriques.

    L’intervention de pompiers ne peut se faire que sous protection respiratoire.

    Ci-dessous, la vidéo d’une Tesla électrique en feu »

    «Un court-circuit et la voiture prend feu»
    De nombreux véhicules s’enflamment sur les routes romandes. En cause notamment, l’électronique embarquée
    Des problèmes liés à l’électronique, un simple court-circuit suffit et le tableau de bord prend feu »
    https://www.lematin.ch/faits-divers/Un-courtcircuit-et-la-voiture-prend-feu/story/29857546
    Si la partie électronique d’une voiture moderne prend feu facilement, alors il est encore plus grave d’imaginer ce qui peut se passer, avec une voiture ultra moderne électrique à 100% avec en plus une batterie pouvant causer une explosion et incendie et étant quasi impossible à éteindre (à moins d’avoir une piscine d’eau à disposition…)

    Vélo électrique : incendie d’un magasin lié à l’explosion d’une batterie
    Une batterie de vélo électrique a explosé chez un revendeur de cycles, en Allemagne. Bilan : une boutique et un bâtiment partis en fumée
    Dans une boutique de vélos à assistance électrique, une batterie a explosé sans raison connue. Le magasin était heureusement fermé et son propriétaire se trouvait non loin de là. Il raconte avoir entendu une explosion, suivi d’un embrasement progressif de la boutique, le feu s’est ensuite propagé dans le bâtiment et le parking attenant. L’incendie a été maîtrisé après l’intervention de 70 pompiers
    https://www.breezcar.com/actualites/article/incendie-magasin-velos-electriques-explosion-batterie-0317

    J’aime

  7. ah non la vidéo n’est pas censurée. Pourtant, elle n’apparait pas dans le commentaire de @anti batterie c’est marqué affiché erreur de lecture, bizarre

    J’aime

  8. Les bornes de recharge électrique sont dangereuses, car elles peuvent être piratés à distance, tout comme tout objet connecté intelligent. Car oui, on oublie souvent de le dire, mais les bornes de recharge électrique sont bien connectés à internet tout comme les compteurs linky sourcehttps://www.automobile-propre.com/bornes-recharge-voitures-electriques-vulnerables-hackers/ .

    Engie soutient le linky, car il veut installer des bornes de recharge connectés dans les parkings des immeubles
    https://monimmeuble.com/actualite/borne-recharge-service-et-engie-s-associent-pour-proposer-une-offre-packagee-d-electricite

    « Les bornes de recharge connectés des véhicules électriques sont vulnérables au piratage

    Kaspersky Lab a découvert une faille dans les chargeurs de véhicules électrique permettant d’accéder aisément au réseau domestique sur lequel il est connecté.

    Possibilité pour les pirates de créer un incendie à distance

    Les spécialistes en sécurité de Kaspersky Lab insistent aussi sur le fait qu’un tel piratage permettrait aux hackers de régler au maximum le courant de charge du véhicule électrique et de créer une surcharge pouvant mener à un incendie ou une explosion de la batterie de la voiture. »
    https://www.presse-citron.net/les-chargeurs-de-vehicules-electriques-sont-vulnerables-au-piratage/

    J’aime

  9. Boulogne sur mer introduit son premier bus électrique sans chauffeur en 2017
    http://www.agglo-boulonnais.fr/actualites/lire/article/la-navette-autonome-morinea-a-boulogne-sur-mer-2610/
    https://fr.chargemap.com/cities/boulogne-sur-mer-FR

    Boulogne sur mer un bus électrique prend feu face à la gare en juin 2019Les pompiers de Boulogne-sur-Mer et de Marquise ont été déclenchés lundi 10 juin aux alentours de 15 h devant la gare de Boulogne-sur-Mer en raison d’un bus, destiné à se rendre à Saint-Pol-sur-Ternoise, qui s’est littéralement enflammé. L’origine serait probablement électrique.
    https://www.lasemainedansleboulonnais.fr/18754/article/2019-06-10/boulogne-un-bus-prend-feu-face-la-gare

    Au début de l’automne 2013, une première Tesla Model S s’enflammait aux Etats-Unis, après un choc violent avec une barre métallique. Recourbée et tombée d’un camion, elle devait perforer le blindage protégeant le dessous de la voiture, endommageant le module avant de la batterie où l’incendie s’est déclaré.
    Les cellules lithium-ion et lithium-ion polymère demandent en revanche des précautions d’utilisation. Leur comportement peut devenir particulièrement dangereux lorsqu’elles sont soumises à des surcharges et/ou contiennent des impuretés dans l’électrolyte. En cas d’emballement thermique, l’incendie, qui s’accompagne d’un dégagement très nocif de fumées, est difficile à maîtriser avec des moyens classiques.
    Parmi les gaz libérés lors de l’incendie d’une batterie lithium : du dihydrogène, un produit facilement inflammable au contact de l’eau qui peut conduire à une explosion. C’est la raison pour laquelle on déconseille le plus souvent l’emploi d’eau pour noyer une batterie au lithium en feu.
    Et pourtant ! A la suite de l’accident de la Model S de Seattle, en 2013, Elon Musk avait précisé qu’avec la technologie lithium-ion embarquée dans cette voiture, « l’usage de l’eau est correct, de préférence à un extincteur à produit chimique sec »… à condition de ne pas percer la plaque métallique protectrice supérieure de la batterie pour y déverser l’eau. C’est cette action, alors inscrite dans la procédure standard d’intervention des pompiers américains, qui avait malheureusement conduit les flammes à se dégager vers le haut, par les perforations réalisées.
    https://www.automobile-propre.com/dossiers/voiture-electrique-risques-incendies/

    Incendie au parking place de la comédie à Montpellier en 2017
    https://actu.fr/faits-divers/incendie-a-montpellier-le-parking-du-triangle-ferme_22465341.html

    bornes de recharge à la place de la comédie à Montpellier
    https://fr.mappy.com/poi/5c5316690351d12e9299476b#/1/M2/TGeoentity/F5c5316690351d12e9299476b/N151.12061,6.11309,3.9248,43.60352/Z15/

    en cas d’incendie d’une batterie en lithium d’une voiture électrique, les vapeurs toxiques et mortelles du lithium se combinent avec celles de la fumée de l’incendie et donc il faut avoir un masque respiratoire en plus d’une piscine pour éteindre l’incendie d’une voiture électrique en restant vivant
    les batteries ont une durée de vie limité, ce qui oblige l’extraction continue du lithium et l’extraction du lithium cause des pollutions à l’environnement et des cancers à la population locale
    https://www.bluewin.ch/fr/techno/comment-les-batteries-sont-elles-recyclees-dans-les-autos-electriques-146910.html

    le NVO peut empêcher la circulation des voitures électriques à tout moment, il lui suffit de hacker le réseau des bornes de recharge et les rendre indisponibles pour tout le monde comme c’est le cas ici
    https://www.clubic.com/transport-electrique/actualite-859843-voiture-electrique-panne-geante-charge-traine-reseau-francais.html

    Les québécois refusent d’acheter les voitures électriques
    « Hydro-Québec (qui impose des compteurs intelligents électriques aux québécois et les retire précipitamment quand les compteurs intelligents causent des incendies pour effacer les preuves avant l’arrivée des enquêteurs « C’est d’ailleurs le FM93 qui a rapporté que des employés d’Hydro-Québec ont récupéré le compteur intelligent en question sans en aviser les pompiers. Or, le SPCIQ doit avoir en sa possession le compteur intelligent afin de compléter son enquête sur les causes de l’incendie.https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/709937/incendie-chauveau-compteur« …)reconnaît que le réseau actuel de bornes de son Circuit électrique, qui a coûté près de 25 millions $ en fonds publics, demeure sous-utilisé, malgré la hausse de 80 % du nombre de véhicules électriques l’an dernier (près de 40 000). »https://www.journaldequebec.com/2019/02/28/des-bornes-de-recharge-au-cout-de-25m-en-panne-de-clients

    le froid fragilise les voitures électriques et les mette en panne sur les routes
    https://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/aux-etats-unis-le-froid-polaire-fragilise-les-voitures-electriques-961766

    Leur autonomie limitée et les temps de recharge des batteries rendent les voitures électriques non utilisables. En effet, cette motorisation est clairement incompatible avec les pics de trafic autoroutier observés pendant les périodes de vacances. Donc, nous devrions, même dans un lointain avenir, avoir deux voitures : une « électrique » pour les petites ou moyennes distances, une « autre » non électrique pour les longues distances, pour les vacances

    la fabrication des batteries des voitures électriques cause une grosse pollution. Elle implique l’extraction et la purification du lithium au moyen de techniques rejetant dans la nature d’énormes quantités d’eau polluée par des acides, des métaux lourds et même des éléments radioactifs tels que l’uranium et le thorium. Dans les pays concernés, cette production fait appel, le plus souvent, à une main-d’œuvre locale peu qualifiée, travaillant dans des conditions que l’on n’accepte plus aujourd’hui. et les batteries ne peuvent pas être recyclés, ce qui oblige à une pollution infinie via l’extraction infinie du lithium toxique qui pollue l’environnement j
    https://www.lalibre.be/debats/opinions/la-voiture-electrique-n-a-pas-d-avenir-5cd99d409978e2534727d72b

    (pannes fréquentes, risque d’explosion sur les routes ou lors du branchement à la borne de charge, fragilité de la batterie vulnérable au froid, risque de court circuit et d’incendie tant à cause de la batterie que tous les composants électriques de la voiture électrique, et dépendance des bornes de recharge qui peuvent être en panne à tout moment, la voiture électrique ne peut rouler que 50 kilomètres, si une borne de recharge tombe en panne, la voiture ne peut plus avancer)

    J’aime

  10. Prime à la casse : un durcissement des règles d’attribution envisagé par Bercy

    Ce dispositif d’aide à l’achat d’un véhicule moins polluant est un tel succès qu’il finit par coûter cher à l’État. Bercy veut revoir ses conditions d’attribution à la baisse.

    Selon France Info, mardi 2 juillet, le gouvernement songe à revoir les critères d’attribution de la prime à la conversion (ou prime à la casse) pour l’achat d’un véhicule neuf ou d’occasion, moins polluants que celui qu’il remplace. Explications.

    Qu’est-ce que la prime à la conversion ?

    Une aide financière créée en 2018 pour inciter à changer de voiture pour un modèle plus propre. Il faut pour cela se débarrasser d’une essence mise en circulation avant 1997 ou d’un diesel d’avant 2001 (d’avant 2006 si vous êtes non-imposable).

    Pour répondre au mouvement des Gilets jaunes, le gouvernement a décidé d’augmenter son montant le 1er janvier dernier. Selon vos revenus et le type de voiture acheté, cela peut aller de 1 000 € à 5 000 € pour l’achat d’une voiture neuve ou d’occasion. Pour savoir si vous y avez droit, un simulateur a été mis en ligne : primealaconversion.gouv.fr.
    Victime de son succès

    Le coup de pouce est tel que les automobilistes se jettent dessus. La prime, qui devait bénéficier à 500 000 personnes sur la durée du quinquennat, devrait finalement profiter à 2 millions de personnes d’ici à 2022, selon Bercy.

    Résultat, les vendeurs de voiture se frottent les mains et les casses auto tournent à plein régime. Du côté des traitements des dossiers, c’est même l’embouteillage.

    L’État, lui, doit sortir le chéquier. Près de 600 millions d’euros ont été provisionnés pour l’année 2019, contre 500 millions en 2018. Si rien ne change, la facture totale avoisinerait donc les 3 milliards.

    Sollicité par Ouest France, le ministère de la Transition écologique et solidaire explique que l’objectif « n’est pas dimensionné en terme de dépense mais en terme de nombre de primes : 1 million de primes sur l’ensemble du quinquennat ».
    Marche arrière

    Bercy veut réduire la facture et durcir les règles. « On va resserrer le dispositif », a confié un ministre à France Info. Parmi les pistes envisagées : réduire le montant de la prime pour les plus aisés, voire les exclure.

    Autre possibilité, réduire la liste des véhicules éligibles, pour ne garder que les plus propres. 95 % des primes accordées ont servi à acheter des voitures non électriques : 48 % de diesel et 47 % d’essence ► https://www.ouest-france.fr/economie/automobile/prime-la-casse-un-durcissement-des-regles-d-attribution-envisage-par-bercy-6428507

    J’aime

  11. Les voitures électriques sont-elles invendables ?
    Posted on 3 juillet 2019 by Vincent Desmonts

    “Il n’y a pas de demande de la clientèle pour des voitures électriques !” : cette petite phrase prononcée l’un des cadres dirigeants de BMW a fait grand bruit ! Mais est-elle le reflet des réticences de “l’ancien monde” face à la transition écologique ou de la réalité du terrain ?

    L’homme qui a lancé cette affirmation n’est pas n’importe qui : c’est Klaus Fröhlich, le patron de la recherche et développement chez BMW. Il l’a fait lors d’un colloque tenu fin juin à Munich, en réponse à un communiqué de l’ONG Transport & Environment affirmant que la récente hausse des émissions de CO2 du secteur était liée à la volonté des constructeurs de privilégier les ventes de SUV – très profitables – au détriment des voitures électriques. Pour le dirigeant, c’est nettement plus compliqué : “Si nous avions une offre large et d’importantes primes à l’achat, nous pourrions inonder l’Europe [de voitures électriques] et vendre un million de véhicules, mais les Européens n’en veulent pas”, a ajouté Klaus Fröhlich. “Le client européen n’est pas prêt à prendre de risque avec un véhicule électrique parce que l’infrastructure n’est pas en place, et à cause des incertitudes liées à la revente. […] Nous avons poussé ces voitures sur le marché, mais personne n’en veut.”

    Il est vrai que BMW fut l’un des premiers constructeurs à se lancer dans l’aventure de l’électrique en série : en commercialisant l’i3 en 2013, il a fait partie des pionniers avec Renault (Zoe), Nissan (Leaf) et Tesla (Model S). Mais la citadine électrique chic de Munich se vend au compte-gouttes ! Environ 135 000 unités ont été immatriculées depuis le lancement dans le monde entier en six ans. À titre de comparaison, le groupe BMW a vendu un total de 210 000 véhicules rien qu’au mois de mai dernier ! Il faut dire que l’i3 est chère (à partir de 39 950 € hors bonus écologique), notamment du fait de sa conception mêlant aluminium et fibre de carbone, des matériaux coûteux à industrialiser.

    Mais le manque d’intérêt du grand public pour les modèles électriques ne touche pas que BMW et son i3 : il est global. La Chine, où la volonté étatique de basculer vers du 100 % électrique est très forte, est le premier marché mondial du véhicule électrique, avec plus d’un million d’unités vendues en 2018. Mais ce million ne représente encore que 4 % du marché ! En Europe, les voitures électriques n’ont pesé que pour… 2 % des immatriculations l’an dernier. Quant au marché du VE américain, il est porté par le succès de Tesla, mais n’a représenté en moyenne que 1,9 % du marché global au cours des quatre premiers mois de 2019.

    Mais alors, pourquoi les acheteurs boudent-ils les véhicules électriques ? D’abord, on l’a vu, du fait de leur coût d’achat. Même en déduisant le généreux bonus écologique français (6 000 € tout de même !), il faut encore débourser au moins 26 100 € pour s’offrir la toute nouvelle Peugeot e-208. Idem pour une Renault Zoe, sauf à accepter de payer un loyer à vie pour la batterie (soit au minimum 69 €/mois). Même la vieillissante Peugeot iOn s’affiche à 20 900 € bonus déduit. Et ne parlons pas des Tesla, Audi e-tron et autres Jaguar I-Pace, véhicules premium qui s’adressent à une clientèle restreinte. La voiture électrique pour tous n’est pas encore au catalogue des constructeurs.

    Avec le progrès des batteries (la quarantaine de kWh de capacité étant désormais la norme), l’angoisse de la panne sèche s’estompe. Mais les infrastructures de recharge publiques encore clairsemées et leur caractère hétéroclite (variété des connecteurs, nombreux opérateurs) rebute le client potentiel. Sans parler de ceux qui vivent en habitat collectif, où faire poser une wallbox pour recharger son auto la nuit peut prendre des allures de parcours du combattant.

    Enfin, il faudra lever les incertitudes quant à la durabilité de la batterie, qui pèsent – avec le manque d’appétence des clients en neuf – sur la valeur résiduelle des voitures électriques. Les premiers retours de Nissan en la matière sont cependant encourageants : le constructeur estime ainsi que les batteries de sa Leaf auront une durée de vie de… 22 ans ! De quoi rassurer l’acheteur sur le point de mettre 30 000 € dans une voiture électrique neuve ?

    Pour être totalement honnête, Klaus Fröhlich a aussi ajouté que la demande pour des véhicules électriques émanait avant tout des autorités régulatrices. Sur ce point, difficile de lui donner tort : que ce soit l’Union Européenne, les états membres, les grandes capitales ou les différents lobbys écolos, tout ce que le continent compte de dirigeants et de personnes influentes pousse vers la voiture électrique. Et que ça saute ! Paris entend ainsi bannir les véhicules thermiques dès 2030, et la France dans son ensemble dès 2040. Il faut dire que où que l’on soit en Europe, il y a toujours une échéance électorale en approche, accompagnée des postures écologiques politiciennes qui vont avec. Or le temps politique n’est pas le temps de l’industrie. Et encore moins celui des automobilistes : rappelons que l’âge moyen du parc automobile français flirte aujourd’hui avec les 9 ans. Basculer vers du tout électrique prendra beaucoup de temps…

    Source ► https://blog.motorlegend.com/motorshift/2019/07/les-voitures-electriques-sont-elles-invendables/

    Grâce à Raimanet ► https://raimanet.wordpress.com/2019/07/07/les-voitures-electriques-sont-elles-invendables-motorshift/

    On peut poser la question autrement = Les vhs électriques sont-ils vendables ?

    Car, dans le même temps ► https://www.atlantico.fr/pepite/3574449/vehicules-propres–la-chine-abandonne-l-electrique-pour-miser-sur-la-voiture-a-hydrogene

    J’aime

    1. Il s’agit probablement d’une inflammation spontanée, selon le porte-parole des pompiers bruxellois, Walter Derieuw.
      =*=
      Ah bah !

      Alors je connaissais la combustion spontanée humaine, et c’est déjà considéré comme un phénomène extraordinaire…

      Rappelez-vous les 7 mégots (7 pas 5 ou 6, 7) qui seraient responsable de la forêt de Notre Drame De Paris ?

      C’est un peu comme la balle magique qui a tué JFK…

      J’aime

Laisser un commentaire