La police de la pensée de la couronne (City de Londres) appelée “Alphabet” par Dean Henderson (traduction R71) et je rajoute mon grain de sel…

Et de poivre !

Dean Henderson décoche un nouveau bourre-pif à l’oligarchie

Comme il le fait, chaque semaine, depuis 2011, jugez par vous-même, en relisant ses 30 meilleurs articles, en français et au format PDF (N° 81 de 136 pages), sur ce sujet précis à la page 132 ► CROCHET GAUCHE HEBDOMADAIRE À L’OLIGARCHIE

Et encore le 25 mars dernier ici-même ► Dean Henderson décoche un nouvel uppercut à l’Oligarchie…

Dean Henderson décoche un nouvel uppercut à l’Oligarchie…

La police de la pensée de la couronne (City de Londres) appelée “Alphabet”

Dean Henderson | 2 avril 2019 | URL de l’article source en anglais ► https://hendersonlefthook.wordpress.com/2019/04/02/the-crowns-alphabet-thought-police/

Traduction de Résistance 71 sous le titre : Technologie, censure et dictature : Quand Google pervertit l’ Alphabet  pour une censure tout azimut… (Dean Henderson)

Ces dernières semaines, il y a eu une massive purge de l’information sur YouTube et Amazon. Des vidéos sur les chemtrails (NdT : épandages chimiques par avion dans les cieux des pays “civilisés”) sur l’anti-vaccination et certains livres ont été spécifiquement ciblés pour être brûlés. (NdT : rappelons-nous l’excellent film de François Truffaut “Fahrenheit 451[NdJBL : ce film est sorti le 11 septembre 1966] d’après le roman de SciFi de Ray Bradbury).

Alors que des millions de personnes continuent de se réveiller du complot diabolique ourdi par les banquiers de la couronne de la City de Londres pour éliminer une grande partie de la population mondiale, leur gendarme de la Silicon Valley financé depuis la City se désespère de détruire toute information qui met à jour cette cabale, qui récemment s’est occupée à rapidement mettre en place une sorte de sorcellerie électronique wikipedia franc-maçonne, créée spécifiquement pour écraser ce grand éveil en marche. L’outil principal de ce plan est justement appelé “Alphabet”, un des stocks les plus chers au monde et propriétaire à la fois de Youtube et de Google.

Le timing de la mise en place de cette purge n’est pas du tout une coïncidence. Le 16 février dernier, à Munich, se tint une conférence sur la sécurité,  Google y délivra un rapport détaillé de 30 pages expliquant leur stratégie pour combattre les fausses infos, les “fake news” sur les plateformes internet variées, incluant YouTube. (NdT : pour ceux qui ne le savent pas Youtube est la propriété de Google depuis un bon moment…)

Leurs propositions orwelliennes incluaient “donner aux gens un contexte au sujet de l’information qu’ils visionnent”, “rendre les sources fiables immédiatement disponibles” et empêcher YouTube de mettre en ligne des “théories conspirationnistes bizarres”.

Les associés de Google dans cette entreprise incluent la First Draft Coalition, le Trust Project et le réseau International Fact-Checking Network. Tous sont des groupes vitrines d’organisation des médias de masse et d’ONG gérées par l’élite transnationale.

Un des participants principaux de cette censure de l’internet est Haymarket Media, un groupe basé à Londres, lancé cette année et dirigé par un ancien membre de cabinet de Margaret Thatcher, Michael Heseltine.

Le QG de Haymarket Media se situe à Bridge House, maison mère de Bridge House Estates, un fond trust de “charité” fondé sur charte royale en 1282 par la City of London Corporation. Bridge House fait ses donations au moyen du City Bridge Fund, qui avec City’s Cash et City Fund, sont les trois fonds gérés par la City of London Corporation.

De manière intéressante, United States Federal Bridge Certification Authority (FBCA) est la base des communications sécurisées intergouvernementales américaine. Beaucoup de ces communications sont administrées par contrat de sous-traitance par SERCO. La FBCA est-elle contrôlée par le City Bridge Fund ou Bridge House Estates ?…

Haymarket est le partenaire médiatique majeur du Trust Project, qui va placer une marque du Trust sur ces sites internet jugés fiables. Le Trust Project a été fondé par Haymarket Media, the Globe & Mail (NdT : un quotidien britannique), Hearst Television, le Washington Post (NdT : maintenant propriété du milliardaire d’Amazon Jeff Bezos) et le magazine britannique The Economist entre autres. The Economist est à 21% propriété des Rothschild. D’autres proprios du magazine incluent Cadbury, la famille Shroder qui servit comme banquier d’Adolf Hitler*, la famille Agnelli, la famille Lazard et le baron Layton.

La First Draft Coalition est aussi basée à Londres. Ses associés incluent CNN, la BBC, ABC News, Facebook, les journaux The Telegraph et le Washington Post.

Le financement provient de Google News Initiative, du lieutenant des Rothschild: l’Open Society Foundation de George Soros, de la Ford Foundation,  des frères milliardaires Koch et de la Bill & Melinda Gates Foundation.

First Draft (NdT : qui veut incidemment dire “premier brouillon”…) cible plus spécifiquement les “communautés conspirationnistes”. Leur site internet parle du besoin “d’inoculer” contre “les théories de la conspiration au sujet du pouvoir des réseaux mondiaux”, disant que “réfuter ou expliquer ces conspirations… ne leur donne pas seulement une légitimité mais aussi tout un ensemble de mots clef pour votre audience afin de rechercher plus d’information… Avant l’internet, de telles communautés marginales avaient beaucoup de mal à connecter avec les gens parce qu’il était difficile de le dire face à face [en volume suffisant]. Maintenant ce genre de communautés peut croître en ligne.

Le troisième associé dans la censure de Google est l’International Fact-Checking Coalition, qui est gérée par le Poynter Institute. Des financiers majeurs de cet institut sont la fondation Andrew W. Mellon, la fondation Charles Koch, la National Endowment for Democracy (NdT : ou NED, vitrine de la CIA) et la fondation de l’Open Society de George Soros.

L’élite mondialiste est très nerveuse. L’hypnose produite par leur langage franc-maçon Alphabet en ligne se dissipe. Ils savent que les gens se réveillent toujours plus nombreux au fait que tout ce qui leur a été dit est un mensonge créé pour servir un agenda maléfique des banquiers de la City de Londres. Ce dernier ressort de censure oligarchique via le projet Alphabet, bien que certes alarmant, devrait finalement être vu comme une victoire tactique du grand réveil qui s’opère dans le monde.

*Wall Street et la montée en puissance d’Hitler par le  Pr. Antony C. Sutton, PDF N° 28 de 56 pages

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« Nous n’aurions jamais dû inventer internet… »
~ Senateur Jay Rockefeller, 2009 ~

Résistance 71

Quand Zénon l’Enchanteur explosait l’Ordre Alphabétique…

Et nos zygomatiques…

Et mettait le feu à tout l’Empire !

Avec cet Abécédaire, Zénon l’Ailé, renversait l’ordre alphabétique et faisait voler en éclats les dogmes, les doctrines, les mirages, les faux dieux et les faux culs…

Et par ce savoureux désordre, savamment dosé, nous proposait de goûter la formule magique pour accélérer le Temps qui n’a pourtant aucune importance puisque seul compte le moment présent ; Hier, froissé ; Demain en devenir ;

Agissons maintenant au lieu de regretter le temps de n’avoir pas agit alors qu’il était encore temps et alors que peut-être il serait déjà trop tard ?

Quoique ; Il ne soit jamais vraiment trop tard, si nous le décidons, puisque nous sommes les maitres de notre temps, si peu que nous le comprenions enfin…

Abécédaire

L’abracadabrante appartenance d’énarques autistes et analphabètes à l’alliance atlantiste aurait attaqué l’occidental à la racine de son âme humaniste.

Bon… L’abominable barbu en babouches à la base du bordel débordant les barbouzes et autres bidasses abâtardies semble le bon coupable de l’ignoble kabbale babylonienne.

Commune est l’inaccessible compréhension des causes et des conséquences. C’est pour cela qu’ici, nous ciblons celles et ceux conscients de la succession de calamités en cascades qui nous occupe.

Dans l’idéal décadent et condamné de dictacratie qui domine, l’ordre doit sa demeure à sa détermination à détruire d’emblée toute obédience défavorable au délire.

Et en effet, l’éminent expert enrégimenté par l’empire à défaire l’émergence du rêve à l’éveil ne peut énumérer les nœuds d’énergie qui l’enserrent.

De festins en feux de joie, de festivals en foutoirs, les firmes en flottaison, faisant fi des fables affirmant l’infini à la fin du film, s’affublent des fripes d’enfants affamés dans l’effort d’effacer l’effluve de leurs forfaits.

Elles s’égosillent à dégobiller l’ingérable gabegie des guerres d’egos qui se gargarisent, des gérontophiles, des ogres de gare au gigantisme agissant sur l’agglomérat des groupuscules et de sa grenade dégoupillée.

Heureuse heure où l’humble et honorable Humain arrachera ses harnais pour se hisser au perchoir des chacals endimanchés, et les acheminer à leur chute.

Irrésistible est l’ire de l’esprit libre : il distille depuis cimes aux abîmes un venin de fruits acides aux élites. Cette clique d’illuminés parasites, sa tripotée d’hypocrites et de tristes sbires imaginent éliminer l’hérésie pour se prémunir de la ruine de l’empire.

Mais déjà la joie juvénile éjacule de la jugulaire des jouvencelles en jaquette. Jamais leurs jurons, jérémiades et jugements ne justifieront le joker de la junte au jeu de jacadi des enjeux d’aujourd’hui.

La Kommandantur khazare des racketteurs en képi qui ont karcherisé les souks de l’Irak à Nagasaki a hacké les stocks, et écoule au black ses kilos de coke de New-York à Vladivostok.

Élus et oligarques s’allient à globaliser l’illusion légale en laquelle enliser la plèbe aliénée. Malgré la litanie de paroles en l’air, le peuple en colère cumule galères, inégalités, malheurs et violences folles. Il est à la limite de la révolte. L’actuel soulèvement des éléments lucides illustre l’hallali des leaders et des collabos en col blanc.

L’imminente immolation du système n’est un mal que dans la mesure où l’homme se complait au royaume des ombres. Mais la mort programmée de la matrice lui permettra demain d’enjamber l’abîme. D’admettre finalement l’amour comme dénominateur commun au monde.

Ni la nomination ni les boniments des prétendants au trône ne nous concernent. L’unique et nécessaire manière dont anéantir la domination des nuisibles est d’ignorer leur énorme arnaque et de renaître en pleine Nature.

Oublions les obligations et les donneurs d’ordres. L’horreur est concomitante à l’obéissance aux dogmes et aux normes. La voie organique oppose un veto catégorique à l’oppression sous toutes ses formes : c’est pourquoi les clones et robots œuvrent à désorganiser nos forces.

Pour autant, le principal si ce n’est le pire des appâts dont disposent les puissants pour empêcher l’émancipation populaire est la Peur. Puisque l’appréhension de perdre leurs possessions pousse la plupart des personnes à persévérer dans l’impasse, apportons l’espoir en la providence en réponse à l’inepte paradigme capitaliste.

Quant au quotidien que l’on qualifie d’inique et qu’aucun n’indique acquérir sans quête d’un quelconque équivalent égotique, qu’on lui évoque le quotient du qualitatif au quantitatif, et qu’il esquive systématiquement la question.

Alors que l’air pur se raréfie, l’erreur est la ruée vers l’or et le rêve de réussir. L’art du guerrier est au contraire de taire sa douleur et rire à la mort en son for intérieur. Le reste ne regarde rien que l’orgueil, et ne saurait nuire à l’irrépressible attrait de l’être pour autrui.

Si puissant soit l’ascendant du seigneur sur ses serfs, sans la somme de mensonges assurant le sursis de sa position, il subirait soudain l’assaut assassin d’esclaves désabusés et de masses hostiles. Il suffit que cent singes s’associent à scier les structures qui les asservissent, et nous serons assez pour susciter la suite.

tifs à toute tentative de nous attendrir ou de nous éteindre, le but de notre attitude a toujours été de détruire l’autorité totalitaire de l’État.

L’humain s’use au bureau ou à l’usine pour les plus-values d’usurpateurs qui abusent, grugent et nous bouffent les globules. Mutualisons les outils et les aptitudes ; habituons-nous à l’usage au lieu de l’usure en vue d’exclure de nos heures l’absurde labeur qui nous tue.

Voici venir la vague vengeresse et les vents violents de la révolte du vivant. Vautours et vampires verront le revers d’avoir vanté le vice, vilipendé la vertu, inversé les valeurs et violé sans vergogne la vérité. La ferveur des vauriens et mauvais élèves enverra la vermine au vert et ouvrira la voie d’un nouvel avenir.

Wall-Street et les Windsor ont switché le swastika sur les wagons. Les WASP, work-addicts et clowns du showbiz auront Waterloo et non Walpurgis.

L’axe anglo-saxon excelle dans l’exaction. Son exemple exonère d’examiner les extrêmes : le luxe qu’il exige exploite un maximum d’existences en exil et dans un exquis paradoxe, s’excuse de l’expédient en excitant la xénophobie. L’hexagone exsangue devra s’extraire des axiomes et de la doxa ; exproprier les exploitants pour s’extrader du vortex.

Effrayé que l’analyse du citoyen anonyme décrypte ses mythes et que l’asphyxie enraye son hymne, l’hydre Élyséenne, myope à la mystérieuse odyssée des cycles, bégaye au paroxysme de l’hystérie. De joyeux types s’égayent à nettoyer l’Olympe. Que leurs dynamiques se synchronisent et dynamitent la synarchie tyrannique.

Zouaves, zoulous, zadistes, zonards ou tziganes, azimutons l’azote et l’ozone. Bizutons les zélotes et gazons les zombies nazis au zyklon. Bazar et zizanie zèbrent l’horizon de Byzance : zigzaguons au zoo et dézinguons le bouzin en zigouillant les vizirs. Que le zéphyr diffuse le zen azur au zénith.

Zénon

C’est pourquoi grâce à ces mots purs et toutes ces lectures combinées, nous sommes capables de faire voler en éclats tous les schémas savamment mis au point pour nous conduire à se choisir notre prochain maitre qui nous enchainera les uns les autres avec nos propres chaines qu’ainsi nous nous serons mis nous-mêmes en votant pour lui et de surcroit en lui donnant les clés de nos vies !

Même si, en France, Macron semble se faire lâcher par l’Oligarchie, qui a un N.O.M. et des visages ; Gageons que son/sa remplaçant(e) est déjà dans les starting-blocks, attendant le signal, le front marqué de l’estampille royale, semblable au symbole de la Kabbale, pour finir d’écraser de sa botte lustrée les derniers visages effarés des derniers mougeons enfin pucés

Jo Busta Lally

8 réflexions sur « La police de la pensée de la couronne (City de Londres) appelée “Alphabet” par Dean Henderson (traduction R71) et je rajoute mon grain de sel… »

  1. Une campagne du ministère de l’Intérieur incitant à voter aux élections européennes a été refusée par Twitter, qui avance le risque d’enfreindre la nouvelle loi française contre les fausses nouvelles («fake news»), a-t-on appris mardi auprès du gouvernement.

    Source le coupeur de cheveux en 4 du 2 avril 2019…

    Je mets pas le lien, vous allez le trouver partout, pis je voudrais pas être taxée de propager des Fake News !

    Comme quoi, même l’oiseau bleu en gazouille de travers !


    Enfin, pas tous, pis certains sont drôles !!!
    JBL

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  2. https://www.neosante.eu/

    Tentative d’assassinat
    Bonjour à tous,

    Cette fois, le doute n’est plus permis : « on » veut me faire taire et « on » veut assassiner les éditions Néosanté. Ce n’est pas une divagation complotiste, ce n’est pas non plus une astuce marketing de mauvais goût, c’est une incontestable réalité.

    L’année dernière, nous avons enregistré une légère hausse des abonnés à notre mensuel. Mais depuis quelques mois, leur nombre est curieusement reparti à la baisse. Non parce que les lecteurs fidèles nous quittent massivement – au contraire, nous avons un taux de réabonnement exceptionnel qui témoigne de leur satisfaction – , mais parce que le nombre de nouveaux abonnés s’est littéralement effondré au cours de ce premier trimestre.

    Aucun journal ne peut survivre s’il n’accueille pas régulièrement de nouveaux lecteurs découvrant son existence. Le nôtre renouvelle son lectorat grâce au bouche-à-oreilles, au système de parrainage, aux abonnements offerts en cadeau, mais aussi grâce à notre newsletter, à des campagnes d’e-mailings, à notre site internet et à notre page Facebook. Or nous avons constaté que ces quatre sources ne nous amenaient quasiment plus de nouveaux abonnements. Bizarre, vous avez dit bizarre ?

    Sur Facebook, nous avons constaté que les commentaires et les partages de nos publications se raréfiaient. Certaines personnes nous ont même signalé qu’elles ne parvenaient plus à partager nos « posts ». Le réseau social de Mark Zuckerberg a visiblement modifié ses algorithmes pour réduire notre visibilité à néant. Pourquoi ? Parce que sous l’injonction de l’Europe et de certains États (dont la France et la Belgique), Facebook s’est engagé « dans la lutte contre les fake-news ». Début mars, la direction de la plateforme a confirmé par communiqué qu’elle allait empêcher la diffusion de ce que les autorités considèrent comme de « fausses informations », à commencer par les textes hostiles à la vaccination. Dans cet article du Figaro, la multinationale explique en détail comment elle s’arrange pour éliminer les idées qui dérangent. Vu que nous sommes catalogués comme radicalement « antivaccins », il va de soi que nous figurons parmi les premières cibles de cette opération d’épuration médiatique.

    Notre site internet nous apporte des abonnés dans la mesure où il est fréquenté par des visiteurs. Or cette fréquentation dépend étroitement de son référencement par le moteur de recherche Google. A priori, notre coin de toile réunit toutes les conditions pour être très bien référencé et enregistrer un trafic croissant puisqu’il contient beaucoup d’informations sur nos sujets de prédilection, avec la mise en ligne régulière de nouveaux articles. Seulement voilà : notre référencement naturel (c’est-à-dire le classement objectif, sans influence publicitaire) s’est complètement évaporé! Qu’on en juge : il y a quelques années, nous étions en première page de Google, voire en première place de la page, lorsque l’internaute tapait des mots-clés comme « médecine nouvelle », « Docteur Hamer » ou « biologie totale ». Aujourd’hui, nous ne sommes même plus dans les dix premières pages ! Le surfeur curieux ne trouvera plus que des articles émanant de la presse conventionnelle ou d’officines « luttant contre les dérives sectaires », ce qui revient au même. Idem quand on tape le mot « vaccin » : il n’y a plus que deux occurrences sur cent (2 % !) qui renvoient à des sites ou des articles vaguement critiques envers la vaccination. Et notre site n’est même pas dans les deux rescapés, malgré tous les dossiers que nous avons publiés sur ce thème. Il est très clair que Google a obtempéré aux ordres et que ses ingénieurs se sont ingéniés à nous désindexer pour nous asphyxier.

    Quant à nos courriels du mercredi et à nos e-mailings commerciaux, ils subissent depuis quelques semaines d’étranges avaries. Vous êtres nombreux à nous signaler que vous ne les recevez plus, ou alors aléatoirement, bien que vous ne vous soyez pas désinscrits. C’est évidemment une pointe d’iceberg et le nombre de destinataires qui ne reçoivent plus nos mails et infolettres doit être beaucoup plus important. Cela se voit dans les chiffres d’ouverture qui ont fortement diminué alors que la liste d’envoi, elle, s’est allongée. Comme par hasard, vos alertes de non-réception se sont multipliées depuis le 13 mars, date d’expédition de la newsletter intitulée « Autisme, rougeole et propagande ». Son contenu a manifestement été jugé trop subversif par ceux qui exercent discrètement une police de la pensée. Il est peu probable que le sabotage s’opère au sein de la firme américaine chargée d’envoyer notre courrier numérique. Plus probablement, la censure s’exerce chez les fournisseurs européens d’accès à internet, lesquels dépendent beaucoup des autorités pour leur business. Quand on demande à ces « providers » (Free, Orange, Proximus, etc…) pourquoi nos envois posent problème, ils répondent systématiquement que les blocages viennent des filtres anti-pourriel ou qu’ils sont consécutifs à des plaintes pour spaming. Étonnant, car notre « mailing list » ne contient que des adresses de personnes inscrites de leur plein gré et sollicitant nos informations ! Il y a même des « couacs » dans l’envoi des liens de téléchargement destinés à nos abonnés numériques, qui ne sont certainement pas importunés et qui attendent impatiemment leur périodique payant. Pour vous dire l’absurdité de l’argument, il m’arrive de ne pas recevoir Néosanté dans ma boîte mail privée ! Les censeurs essaient de me protéger de mon propre travail, ce qui n’est pas très malin !

    Sur base de ces différentes « anomalies » accumulées, j’ai acquis la certitude que notre maison d’édition est entrée dans l’œil du cyclone. En faisant pression sur les géants du Web et en agissant dans l’ombre auprès des fournisseurs d’accès, le pouvoir politique en place en France et en Belgique tente de me couler en me coupant les vivres ! Ce n’est pas du délire parano mais un sentiment fondé sur des faits et des intentions proclamées urbi et orbi. Comme je l’ai déjà écrit il y a deux ans, notre société occidentale est entrée dans le scénario annoncé par Georges Orwell dans son roman 1984 : désormais, l’internet n’est plus libre et la Vérité se décide dans les ministères ! La voie est maintenant dégagée pour la propagande officielle dictée par les lobbies de l’industrie et par les organismes que celle-ci finance, comme l’Organisation Mondiale de la Santé dépendant des « dons » du multimilliardaire Bill Gates. C’est vraiment grave car, bien au-delà de notre petite entreprise, c’est à la démocratie que l’establishment s’attaque, à ses trois piliers consubstantiels que sont la liberté d’opinion, la liberté d’expression et la liberté de la presse. Devrai-je bientôt demander l’asile en Russie pour exercer librement mon métier ?

    Avant d’en arriver-là, je ne compte pas me laisser abattre sans réagir. À partir de ce jour, j’entre publiquement en résistance contre les instances répressives qui cherchent à me faire disparaître. Sur les réseaux sociaux, je compte sur vous pour déjouer la censure en « likant » et partageant au maximum nos publications. Si notre infolettre hebdomadaire ne vous parvient plus régulièrement , je vous rappelle qu’elle est mise en ligne sur notre site chaque mercredi. Vous pouvez consulter les archives en cliquant ici. Mais je vous lance en ce 2 avril un avertissement solennel : ne faites plus trop confiance à votre ordinateur, votre tablette ou votre smartphone pour vous tenir informés dans le domaine de la santé ! La toile étant de plus en plus surveillée et contrôlée, il n’y aura bientôt plus que les journaux imprimés qui pourront faire échec à la dictature de la pensée unique. C’est seulement dans les bonnes vieilles boîtes aux lettres que les éditeurs libres et indépendants pourront continuer à vous faire parvenir leurs publications alternatives. Autrement dit, je vous suggère vivement de vous abonner à la formule papier de notre mensuel car il n’est pas dit que sa version digitale et la lettre électronique gratuite pourront longtemps échapper au despotisme en marche. Comme nos audiences numériques sont en berne, il nous sera d’ailleurs bientôt impossible de joindre les deux bouts si le nombre de nouveaux abonnementsne repart pas à la hausse. Le soutien que je sollicite de votre part n’est pas nécessairement sonnant et trébuchant. Ci-dessous, je vous rappelle toutes les façons possibles de « fortifier Néosanté » et d’assure notre pérennité, sans forcément bourse délier. Bien sûr, les gestes financiers de solidarité seront les bienvenus et je remercie d’avance celles et ceux qui vont – une nouvelle fois – nous permettre de vaincre l’adversité. Les assassins n’arriveront pas à leurs fins !

    Combativement vôtre
    Yves RASIR
    PS : Ce serait bien que vous fassiez parvenir ce message à tous vos contacts. Si vous connaissez des politiciens ou des journalistes, n’hésitez pas à leur faire suivre. Ma stratégie de résistance implique de faire du tapage, de dénoncer haut et fort la scandaleuse censure qui s’installe silencieusement sur le net.
    =*=
    C’est fait…
    JBL1960

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    1. Quand ils viendront me, nous, vous ou les chercher

      Y’aura-t-il encore quelqu’un pour protester ?…

      « Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes,
      je n’ai rien dit,
      je n’étais pas communiste.

      Lorsqu’ils ont enfermé les sociaux-démocrates,
      je n’ai rien dit,
      je n’étais pas social-démocrate.

      Lorsqu’ils sont venus chercher les syndicalistes,
      je n’ai rien dit,
      je n’étais pas syndicaliste.

      Lorsqu’ils sont venus chercher les juifs,
      je n’ai rien dit,
      je n’étais pas juif.

      Lorsqu’ils sont venus me chercher,
      il ne restait plus personne
      pour protester. »

      Poème de Martin Niemöller écrit en 1942

      ▼▼
      Ce même poème revu par Bertold Brecht ;

      […]

      Quand ils sont venus chercher les catholiques,
      je n’ai rien dit.
      je n’étais pas catholique
      Et, puis ils sont venus me chercher.
      Et il ne restait plus personne pour protester.


      Revu et corrigé par Jo le 6 mars 2019 ;

      […]

      Lorsqu’ils sont venus chercher les Foulards Rouges,

      Je n’ai rien dit,

      Je n’étais pas Foulard Rouge.

      Puis ils sont venus me chercher.

      Et il ne restait absolument plus personne pour protester…

      Personne pour protester quand on passe en censure automatique à la demande, bien souvent anonyme, de notre propre FAI Orange, à l’époque, pour ma pomme ICI et sur ordre de qui vous savez ; Ou par la faute du système de sécurité robotisé de la firme Automattic qui gère WordPress pour Résistance 71, ; Ou encore assumé par WP dans le cas d’Alex Jones dans le détail ICI

      Pourtant, soyez-en sûrs ;

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  3. je suis en train de lire « crepuscule » par Juan Branco – récupéré dans la boite à livre du jardin des plantes !! tu connais ?

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