Mark Zuckerberg est d’humeur très Mossad finalement !

Lui qui se voyait déjà Potus à la place du Potus ;

 

Le fondateur de Facebook a engagé un groupe de conseillers politiques et suggère à l’Amérique de construire le socialisme aux frais des milliardaires.

Les médias soupçonnent que Mark Zuckerberg souhaite avancer sa candidature à l’élection présidentielle et lui prédisent de bonnes chances de réussite. Mais son élection serait une catastrophe pour le dollar et l’idée d’État-nation. Source Sputnik News du 30/11/2017 ► https://fr.sputniknews.com/presse/201711301034108469-mark-zuckerberg-president-usa/

Alors entendons-nous bien, Zuckerberg qui parle de construire le socialisme (zunien) aux frais des milliardaires, c’est croire que Killary est de gauche et Trump un président contre le système… Je ne peux que vous conseiller la lecture de « L’Appel au socialisme » version PDF N° 9 de 53 pages par Gustav Landauer pour comprendre l’esprit (Geist) du « socialisme » tel que le voyait Landauer, car il est au plus près de l’anarcho-indigénisme de la Constitution Iroquoise tel que l’enseigne actuellement le Pr. T. ALFRED à l’Université de Victoria en Colombie Britannique au Canada !

Mais Zuckerberg à l’habitude de franchir allégrement LA LIGNE ROUGE

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Manipulation électorale yankee : Affaire Cambridge Analytica… Facebook, Mossad et Zuckerberg en eau trouble…

Affaire de l’élection de Trump : Ce n’était pas les Russes, Veterans Today avait raison depuis le départ alors que le Mossadnik Zuckerberg doit rendre des comptes

Une intervention “étonnante” de Facebook aurait pu compromettre la preuve Cambridge Analytika, dit le Royaume-Uni. Des consultants envoyés par le réseau social ont été virés des bureaux de Cambridge Analytika de Londres lundi dernier alors que les autorités américaines et britanniques craignent que des preuves aient pu être détruites.

Jamie Ross (Daily Beast) ► plus d’info: https://www.thedailybeast.com/facebook-in-hot-water-over-handling-of-massive-data-breach?ref=author

Veterans Today | 20 mars 2018 |URL de l’article en anglais ► https://www.veteranstoday.com/2018/03/20/it-wasnt-the-russians-vt-right-all-along-as-mossadnik-zuckerberg-faces-the-axe/

Traduit de l’anglais par Résistance 71 ► https://resistance71.wordpress.com/2018/03/22/manipulation-electorale-yankee-affaire-cambridge-analytica-facebook-mossad-et-zuckerberg-en-eau-trouble/

Note de R71 : cet article de VT inclut une photo du fondateur CEO de Facebook Mark Zuckerberg en compagnie de Shimon Peres avec en légende ce commentaire édifiant : “Zuckerberg, ou plutôt le général Zuckerberg du Shin Bet, avec des amis”

L’entreprise Facebook vient d’être plongée dans une profonde crise après les accusations affirmant que Cambridge Analytica(*) ait mal utilisé les données de plus de 50 millions de personnes afin d’aider à faire élire Donald Trump. Près de 40 milliards de dollars furent gommés de la valeur marchande de Facebook lundi, une réunion de crise est planifiée ce mardi matin et le CEO Mark Zuckerberg a été critiqué pour son silence durant ce que certains analystes décrivent comme une menace à l’existence même de l’entreprise.

Zuckerberg a été ordonné de paraître devant le parlement britannique pour donner les preuves du comment il gère les données personnelles des gens. Le directeur d’un comité d’enquête britannique sur les “fake news”, Damian Collins, a accusé auparavant Facebook de “tromper” le comité parlementaire ajoutant : “Il est maintenant temps d’entendre un directeur exécutif de Facebook, quelqu’un qui aurait suffisamment d’autorité pour donner un compte-rendu précis et fiable de cet échec catastrophique de procédure.”

Alors que la colère montait contre Cambridge Analytica lundi après que la chaîne 4 britannique ait diffusé un reportage montrant des cadres de l’entreprise faisant les malins au sujet de leurs stratégies de propagande extrêmes, incluant le filmage clandestin d’opposants dans des situations compromettantes avec des prostituées ukrainiennes, les autorités britanniques et américaines se sont aussi demandées si Facebook a mal géré la faute imputée et l’entreprise est maintenant devant une procédure d’enquête qui va ternir plus avant sa réputation et son nom.

(*) Cambridge Analytica est une entreprise de conseil et gestion informatique spécialisée dans l’aide aux campagnes électorales. Elle est l’émanation américaine de sa maison mère britannique du SCL Group et fut créée en 2013 aux États-Unis. Cambridge Analytica géra la campagne du candidat à la présidentielle Ted Cruz et géra celle de Donald Trump après le retrait de Cruz de la course à la présidence.
L’affaire réside dans le fait révélée le 17 mars courant par le New York Times et l’Observer britannique, que la firme a utilisé des données fournies par Facebook sans autorisation et a aussi utilisé le chantage aux activités sexuelles pour museler des opposants politiques. (source, compilation depuis Wikipedia, traduction R71)

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Scandale Cambridge Analytica : Mark Zuckerberg présente ses excuses… mais c’est trop tard

Désormais, les applications seront davantage limitées dans l’accès aux données personnelles de leurs utilisateurs. Malheureusement, les abus du passé ne pourront pas être effacés.  Source 01Net.com du 22/03/2018 à 9H19MN

Ah bah ! Tu m’étonnes !

Même les concepteurs des algorithmes pour votre bien affirment que Fesse de Bouc c’est de la M*rde ► http://bfmbusiness.bfmtv.com/hightech/un-ex-dirigeant-de-facebook-interdit-a-ses-enfants-d-utiliser-cette-merde-1325956.html

Chamath Palihapitiya dit ainsi ressentir « une énorme culpabilité » pour avoir aidé à créer cette société. « Je pense que nous avons créé des outils qui détruisent le tissu social de notre société », regrette-t-il.

Et bim, MZ déclare vouloir notre « bien-être » et notre bonheur à toutes et à tous finalement ► https://www.20minutes.fr/high-tech/2201175-20180112-modifiant-algorithme-facebook-mark-zuckerberg-veut-vraiment-bien-etre

Ben voyons !

Juste pour info, dernièrement on a pu lire ceci ; https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/art-culture-edition/facebook-censure-une-venus-paleolithique-une-statuette-representant-une-figure-feminine-nue_2633388.html

Et les excuses de Facebook du 1er mars pour avoir censuré ► http://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/03/01/une-venus-paleolithique-censuree-sur-facebook_5264174_4408996.html

Et c’est pas fini ► Une nouvelle fois, Facebook censure une peinture montrant un corps nu ► Après la « Vénus de Willendorf » et « L’Origine du monde », le réseau social a censuré « La Liberté guidant le peuple ». « Par erreur », encore, plaide-t-il ► http://www.lepoint.fr/culture/une-nouvelle-fois-facebook-censure-une-peinture-montrant-un-corps-nu-19-03-2018-2203860_3.php

Alors, y’a bien une solution toute simple pour éviter tout ce bazar ;

Au lieu d’éteindre, n’allumez plus…

Fermez vos comptes FB déjà, et au lieu de faire gazouiller l’oiseau bleu, sortez dehors écouter le chant des vrais oiseaux, le chant de la nature, et si vous voulez parler à un ami, au lieu d’allumer votre smartphone, sortez dehors, et parlez à votre voisin ou à votre voisine…

À une vraie personne quoi !

JBL1960

24 réflexions sur « Mark Zuckerberg est d’humeur très Mossad finalement ! »

  1. Comme c’était à prévoir et une fois de plus… des comptes Facebook ça se manipule aussi… La preuve !

    Si on arrêtait de se préoccuper de choses auxquelles on ne peut rien et se concentrer sur les SOLUTIONS ?

    Un début de réflexion ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2018/03/11/pour-une-societe-des-societes-hors-etat-et-ses-institutions-contre-le-travail-et-sans-argent/

    Y fait un grand soleil dehors, je vais aller regarder l’herbe pousser, et enlever la mauvaise herbe avec de l’huile de coude !

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  2. Et ça risque pas de s’améliorer, son humeur à Mossadnik ;

    Facebook confronté à une campagne de désabonnements et des « class action » « Quittez Facebook » (#deletefacebook »): mis en cause dans les révélations sur l’utilisation des données de millions d’usagers à leur insu, le réseau social Facebook fait face à une campagne de désabonnements et à la chute de son titre en Bourse.

    Son patron-fondateur Mark Zuckerberg a fini par sortir mercredi de son silence pour reconnaître des « erreurs » et promettre des améliorations quant à la protection des données personnelles, en particulier pour les applications tierces auxquelles on se connecte via son compte Facebook.

    C’est à travers une application de ce type que des données confidentielles de dizaines de millions de personnes ont fini aux mains de la firme britannique Cambridge Analytica à leur insu.

    « Il y a encore à faire, nous devons aller plus vite et le faire », a écrit M. Zuckerberg, sur sa page personnelle, aux plus de 2 milliards d’utilisateurs du réseau social mais aussi aux actionnaires qui encaissent de lourdes pertes depuis plusieurs jours. Il s’est dit « responsable de ce qui se passe » sur le réseau.

    Un peu plus tard, sa numéro deux, Sheryl Sandberg, a exprimé des regrets: « Nous savons que cela a constitué une violation très importante de la confiance des gens et je regrette profondément que nous n’ayons pas fait assez pour nous occuper de cela ».

    Vendredi, le titre s’échangeait à 185 dollars mais à moins de 170 mercredi, soit une baisse d’environ 8% même si la chute s’est interrompue mercredi. Un recul qui se traduit par des milliards de dollars en moins en termes de valorisation boursière.

    La colère contre Facebook restait toutefois manifeste.

    Brian Acton, cofondateur de l’application de messagerie WhatsApp rachetée à prix d’or en 2014 par Facebook, a joint sa voix à celle de nombreux internautes et appelé à quitter le réseau social.

    « Il est temps. #deletefacebook », a écrit sur son compte Twitter M. Acton, qui travaille désormais pour Signal, une application de messagerie rivale de WhatsApp. « Effacer et oublier. Il est temps de se soucier de la vie privée », a-t-il ajouté.

    Plusieurs sites internet proposent des astuces pour se désabonner, avertissant toutefois que le processus de désabonnement est beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît.

    Facebook propose aux utilisateurs une option « désactiver » son compte, qui permet de suspendre temporairement ce dernier. Le journal de l’utilisateur ne sera plus disponible mais certaines informations comme les messages envoyés resteront visibles.

    Quant aux utilisateurs qui optent pour « supprimer », ils ne pourront plus réactiver leur compte. Les messages envoyés à des amis resteront accessibles. Les copies de certains éléments tels les historiques de connexion restent également dans la base de données de Facebook.

    La suppression définitive du compte peut prendre jusqu’à 90 jours mais, durant cet intervalle, les informations ne sont plus accessibles. Si l’utilisateur se reconnecte, la demande de suppression est annulée, prévient Facebook.

    – Pluie de class-action –

    Les candidats au désabonnement se servant de Facebook pour se connecter sur d’autres applications ou d’autres sites peuvent par ailleurs connaître des problèmes au moment de s’identifier. Ils devront également penser à leur présence sur d’autres applications rattachées au réseau social comme Instagram, WhatsApp et Messenger.

    Mercredi, il était difficile de savoir si les appels aux désabonnements étaient suivis et le nombre de personnes ayant effectivement quitté le réseau.

    Pour Roger McNamee, un des investisseurs les plus réputés de la Silicon Valley et un des premiers actionnaires de Facebook, la crise actuelle a fait une victime importante: la confiance placée dans le réseau social par ses utilisateurs. Or, celle-ci est la clé du succès de la société.

    « Le problème c’est le mépris insensé pour les droits des utilisateurs à la vie privée et une indifférence vis-à-vis du respect des données qu’ils ont confiées à Facebook », a déploré M. McNamee sur la radio américaine NPR.

    « Je ne sais pas exactement ce qui se passe, mais j’ai bien peur qu’il y ait un problème systémique avec les algorithmes et que le modèle économique de Facebook permette à de mauvais acteurs de nuire à des utilisateurs innocents de Facebook », a regretté l’investisseur.

    Des utilisateurs et des petits porteurs n’ont pas attendu et ont décidé de porter l’affaire devant des tribunaux pour demander à être dédommagés.

    Des cabinets d’avocats américains ont annoncé mercredi avoir déposé des plaintes et recours en nom collectif (« class action ») au nom de citoyens et d’actionnaires. Celles-ci doivent toutefois encore être acceptées par un juge pour être instruites.

    Toujours sur le plan juridique, plusieurs enquêtes ont été ouvertes aux Etats-Unis par les régulateurs, dont la Commission fédérale du commerce (FTC) et les procureurs de New York et du Massachusetts.

    Source https://www.romandie.com/news//901558.rom
    Via Alter Info du jour ► http://www.alterinfo.net/notes/Facebook-confronte-a-une-campagne-de-desabonnements-et-des-class-action_b21035730.html

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  3. La mort de Facebook est quasiment actée avec le #deletefacebook d’Elon Musk et Julian Assange.

    Sous quel nom va renaître ce Phénix dont les parents sont la CIA et la NSA ?

    Vont-ils également nous faire un toilettage de l’autre saloperie winordure en le repackageant pour un modèle encore plus pervers et destructeur ?

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    1. Oui, sont capables de tout, surtout du pire d’ailleurs…
      Bon, j’ai une connexion hybride en ce moment, car problème technique kimondit…
      J’espère que ça va pas durer 2 mois, comme en 2016…

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  4. Le problème technique est souvent un problème humain caché…

    Tu as quoi comme connexion hybride ?

    Pour ma part, j’ai viré la solution box depuis 5 ans, et ne suis qu’en 4G… largement suffisant lorsqu’on ne passe pas sa vie sur de la vidéo.

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    1. Orange m’a refilé une clé « Air Box » car la Boxe était HS et impossible de booté la neuve = pb technique sur la ligne France Telecom. Cela avait duré plus de 2 mois lorsque j’ai emménagé ici, au cul des poules et des coin-coins ! Zont prévu la réparation de la ligne au plus tard le 27/03… Mais je flippe quand même… Car comme tu le dis, va savoir si c’est pas à cause de mon blog… Car je suis la seule du lieu dit mais bon, je veux pas psychotter…

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      1. Par le passé, lorque j’étais à mon compte, Orange m’avait fait poireauter 6 semaines, car rien n’avait été fait correctement au niveau de raccordement de la copro pourtant en agglomération urbaine de plus de 100 000 hab.

        Et sinon, lorsque tu es au milieu de nulle part, y compris encore en idf mais limite Normandie, Orange, SFR, Bouygues et Free, sont une bande de j’en foutre… faut les comprendre, cela ne rapporte même pas un kopeck…

        Tu vas devoir passer aux signaux de fumées !

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  5. Proverbe Japonais : Sourions au problème !

    D’autant qu’au sein des Enfers élyséens, ils ont branché leurs ordinateurs quantiques afin de trouver urgemment la solution idoïne pour tuer dans l’oeuf les grèves, qui pourtant ne sont pas la solution pour faire tomber le système ; puisque à la fois cela éveille quelques personnes, mais aussi cela permet de fliquer ceux qui sortent, et de les bastonner si nécessaire pour faire un exemple…

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  6. Cambridge Analytica annonce son sabordage
    La société britannique Cambridge Analytica (CA), au coeur d’un scandale sur les données d’utilisateurs de Facebook, a annoncé mercredi avoir entamé une procédure d’insolvabilité et cessé « immédiatement toutes ses opérations ».

    Cambridge Analytica et sa société mère SCL ont entamé mercredi « une procédure d’insolvabilité au Royaume-Uni », selon un communiqué de l’entreprise publié sur son site internet.

    « La compagnie cesse immédiatement toutes ses opérations », a-t-elle ajouté. Un administrateur indépendant a été désigné.

    « Il a été établi qu’il n’est plus viable de continuer à opérer cette activité », a-t-elle indiqué.

    « Une procédure de faillite sera bientôt ouverte » aux Etats-Unis également, selon la même source.

    CA est accusée d’avoir collecté et exploité sans leur consentement les données personnelles de 90 millions d’utilisateurs de Facebook. La société britannique avait ensuite travaillé pour la campagne du candidat républicain à la présidentielle américaine de 2016, Donald Trump.

    « Au cours des derniers mois, Cambridge Analytica a fait l’objet de nombreuses accusations infondées et, malgré les efforts de l’entreprise pour rectifier les faits, elle a été calomniée pour des activités qui non seulement sont légales, mais aussi largement acceptées comme faisant partie intégrante de la publicité en ligne ».

    « Le siège mené par la couverture médiatique a éloigné presque tous les clients et fournisseurs » de CA, a-t-elle également déploré.

    https://www.notretemps.com/high-tech/actualites/cambridge-analytica-annonce-son-afp-201805,i168106

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  7. Bruxelles : Verhofstadt demande un contrôle public de Facebook, Zuckerberg pâlit

    Mark Zuckerberg va-t-il à nouveau s’excuser de ne pas répondre à toutes les questions importantes qui lui sont posées par les institutions ? C’est ce que laisse présager l’audition à laquelle il s’est rendu devant les parlementaires à Bruxelles.

    La pression s’intensifie sur Facebook et son patron, Mark Zuckerberg, pressé de toutes parts d’apporter des garanties de sécurité à ses utilisateurs, notamment par les parlementaires aux États-Unis et en Europe. Le 22 mai, Mark Zuckerberg était auditionné par la Сommission européenne après avoir été entendu par le Congrès américain les 10 et 11 avril. Les députés européens voulaient obtenir des réponses à leurs questions et des engagements de la part du géant numérique. Ils ne se sont pas privés de le faire savoir, avec force.

    La prestation de l’ancien Premier ministre Guy Verhofstadt a particulièrement été remarquée : «Vous me rappelez le personnage d’un livre, Monsieur Zuckerberg, celui d’un livre de Dave Eggers, Le Cercle. Ce livre parle de grosses sociétés qui gèrent des données et qui deviennent hors de contrôle, et même leurs patrons n’ont plus le contrôle. Ces données sont ensuite utilisées dans des élections et ça me rappelle grandement la réalité…», à en croire le HuffPost, Mark Zuckerberg a commencé à pâlir après avoir reçu cette salve de la part chef du groupe ADLE (les libéraux-démocrates du Parlement européen).

    « Vous vous êtes excusé au moins 15 ou 16 fois ces 10 dernières années »

    Mais la correction du parlementaire n’était pas terminée, loin s’en faut. Guy Verhofstadt a ensuite fait remarquer à Mark Zuckerberg qu’il s’excusait trop souvent à son goût : «Et puis il y a le fait que vous ayez moins, voire pas du tout, de contrôle sur votre entreprise. Cela se voit parce que vous ne cessez de vous excuser, vous ne cessez de vous excuser, vous vous êtes excusé au moins 15 ou 16 fois ces 10 dernières années… […] Cette année ça fait déjà deux, non trois fois même, que vous vous excusez, et nous ne sommes qu’au mois de mai.»

    « Je pense qu’il n’y a qu’une solution : un contrôle public »

    Puis l’eurodéputé a demandé au patron du réseau social si son entreprise allait vraiment remédier aux fragilités démontrées en matière de protection des données depuis l’affaire Cambridge Analytica, tout en sous-entendant que ce n’était guère probable…

    Enfin, il a proposé une solution radicale : «Moi, qui suis pourtant un libéral, un soutien du marché libre, je pense qu’il n’y a qu’une solution, et c’est un contrôle public.» Et de brandir une pétition «signée par plus d’un million de citoyens européens» allant en ce sens. Guy Verhofstadt réclame également un dédommagement financier pour tous les utilisateurs lésés par les failles de sécurité de Facebook et dont les données personnelles ont été exposées à ces défaillances.

    « Il s’agit d’une dérive très inquiétante, de nature totalitaire »

    L’eurodéputé français et bras droit de Marine Le Pen, Nicolas Bay, a également porté quelques coups de griffe à la façade stoïque du patron de Facebook et a principalement évoqué la question des pages supprimées par le réseau social sans raison apparente, notamment celle de Génération identitaire le 2 mai. Pour le vice-président du FN, «il s’agit là d’une dérive très inquiétante, de nature totalitaire» contrevenant à l’idée «d’un accès libre à la pluralité des opinions».

    Enfin, à l’instar de Guy Verhofstadt, les parlementaires européens ont déploré la forme retenue par le président du Parlement Antonio Tajani pour procéder à l’audition : d’abord le réquisitoire des représentants du peuple de l’UE, et ensuite, les réponses de Mark Zuckerberg qui a «tourné autour du pot», selon le secrétaire d’État à la Protection de la vie privée, Philippe De Backer, qui a ajouté : «Nous n’avons reçu aucune réponse à la question de savoir ce qui se passe avec toutes ces données reçues par Facebook sans autorisation. On ne sait pas clairement si Cambridge Analytica est le seul cas du genre qui s’est produit. Et on ne sait pas clairement non plus ce que fait Facebook pour empêcher ça.»
    Mark Zuckerberg a promis de répondre par écrit aux questions qu’il a laissées en suspens. Philippe Lamberts, chef des groupe des Verts-ALE ne semble pas convaincu : «J’y croirai quand je le verrai, mais j’avais déjà fourni mes questions précises aux services de Mark Zuckerberg, et ce dernier a choisi de les ignorer superbement. Nous sommes nombreux à avoir été traités de manière cavalière, ce qui ne nous rend pas monsieur Zuckerberg plus sympathique.»

    Source RT France via Alter Info
    =*=
    MZ a promis !
    Les promesses n’engagent que ceux qui y croient…

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  8. Technologie et Nouvel Ordre Mondial : Le temps est venu de démanteler Facebook

    Notre dossier Facebook et réseaux sociaux

    Nous tenons à préciser que Résistance 71 n’est pas sur Facebook, ni sur twitter. Aucun de nous ni nos enfants, ni nos familles immédiates n’utilisent ces saloperies. Comme pour tout, cela demeure un choix. C’est assez simple, il suffit de dire NON ! Il suffit de boycotter, il y a pas mal de choses à boycotter. C’est TOUJOURS une affaire de choix, de décision d’abord personnelle puis dans un élan de bon sens commun, collective ► Résistance 71

    « Quand on pense qu’il suffirait que les gens n’achètent pas pour que ça ne se vendent pas… » (Coluche)

    Il est temps de démanteler Facebook | Al Manar repris de Strategica | 23 mai 2018

    Les mises en garde concernant le réseau social connu sous le nom de « Facebook » n’ont jamais été prises au sérieux.

    Certains de nos lecteurs croyaient, en toute bonne foi, que ces avertissements concernant ce danger existentiel à l’espèce humaine, émanaient d’une prise de position subjective, ou pire, un parti pris clairement opposé à la mainmise de ce réseau social dont l’origine réelle demeure inconnue du grand public.

    La première mise en garde contre l’utilisation de cet « outil » nous a été adressée et exposée de façon brutale par des spécialistes dont l’existence même est officiellement niée par leur propres employeurs.

    Quoique qu’il soit encore à un stade très primitif, le réseau social n’en constitue pas moins un danger réel aussi bien pour les individus que pour toute société organisée. Son évolution à moyen terme posera un danger existentiel à l’humanité.

    Les récentes acquisitions de Facebook ont un objectif monopolistique. Sa sous-traitance pour des organismes opaques, poursuivant des agendas hautement politiques, idéologiques et sécuritaires, ne sont pas de nature à rassurer.

    L’exploitation des mécanismes de l’addiction chez les humains, l’altération de leurs perceptions et la création d’une façade de relations publiques mensongères (car passant sous silence la véritable genèse et les vrais fondateurs du réseau) confèrent à Facebook un pouvoir réel de nuisance.

    Sur un plan purement politique, certaines faction de ce que l’on appelle l’Etat profond et des lobbies chargés de la promotion des politiques néoconservatrices ou pour sortir du politiquement correct, pro-sionistes, tentent de propulser Marc Zuckerberg, le PDG par désignation de Facebook, le réseau social aux couleurs inamovibles du drapeau israélien, sur le devant de la scène politique mondiale en préparation de sa candidature éventuelle à la présidence américaine.

    Les auditions médiatisées de cet individu par des commissions du Congrès US et du parlement européen sous des prétextes de protection des données suite à l’émergence contrôlée et organisée du scandale de Cambridge Analytica dans le cadre d’une lutte politique sans merci entre différentes factions du système de gouvernance transnational, ne visent pas autre chose que de le lancer sur l’arène internationale en tant que futur jeune candidat-dirigeant.

    Facebook est un outil d’espionnage à plusieurs échelles, allant de la sphère privée des individus à celle publique des organisations et des corporations internationales. Il n’en est qu’à ses balbutiements pour le moment mais il peut par exemple déjà suivre vos mouvements à la trace grâce à vos smartphones même si vous n’êtes en possession d’aucun profil sur ce réseau.

    Pire, Facebook dispose désormais d’un programme secret s’intéressant au plus haut point aux discussions banales et anodines de personnes ordinaires pouvant tourner autour de la météo, d’états d’âme, de salutations, de bavardages sans objet précis, de débilités, des jurons, d’onomatopées, de certaines tournures idiomatiques et même des échanges d’émoticons. A première vue, cet intérêt peut paraître banal. En réalité, ces dizaines de milliards d’inputs sémantiques alimentent des algorithmes auto-cognitifs et il a été établi que certaines inférences issues de l’observation et l’exploitation des chats privés en Syrie ou en Iran par exemple déterminent la réussite d’une révolution de type hybride ou une ingénierie sociale visant une déstructuration des rapports sociopolitiques au bénéfice d’une intervention exogène. Ces mêmes outils sont en usage avancés dans la plupart des pays européens et sont à l’état de prototype dans des pays arabes dit modérés. À quelles fins ? Génération spontanée des dissensions, élargissement des clivages existants, création de nouveaux moteurs de motivation autour de thématiques sociétales (exemple de la campagne pas si spontanée #metoo axée autour du harcèlement avec un décalage vers la guerre des sexes).

    Facebook veut à court terme lutter et supprimer tous les comptes qu’il qualifie de faux. C’est à dire avec pseudonymes. Cette volonté de se substituer aux états-civils et des bases de données biométriques des États-Nations contemporains est l’un des objectifs prioritaires de Facebook.

    Encore que tout ceci n’est rien par rapport à ce qui se prépare. Après avoir commencé à vous baratiner sur la promotion de l’amitié (cela rappelle trop un des pilier de la franc-maçonnerie toutes proportions gardées), Facebook a failli vous demander si vous voulez être ami (e) avec Israël. C’est du passé. Facebook ambitionne maintenant de savoir le fond de vos pensées et s’apprête à investir l’espace pour y placer en orbite des satellites rendant impossible une déconnexion du réseau quand ce dernier l’exige.

    Beaucoup de personnes ne prennent pas trop au sérieux ces menaces. Jusqu’au jour prochain où un drone d’attaque armés de missiles Hellfire utilisera les banques de données de Facebook et se trompera d’objectif en mettant à mort des personnes pour leur pensées secrètes. Ce sera peut-être vous ou moi ou toute autre personne anonyme.

    C’est pour cela qu’il faut démanteler sinon réduire l’influence de ce réseau social dont l’alliance avec Google et les autres majors de l’internet nous conduira tout droit et avec le sourire vers un totalitarisme plus terrifiant que tous ceux que nous (nous l’ensemble des humains) avons connu tout au long de notre histoire mouvementée.

    Si j’ai un conseil à vous donner maintenant, c’est de quitter Facebook immédiatement. Aucun profil crée sur ce réseau ne peut être supprimé. Par contre on peut refuser que nos données ne servent de monnaie virtuelle à des corporations aux motivations peu claires et aux intentions pas du tout pacifiques.

    Il est grand temps de démanteler ce réseau sous peine de condamner nos enfants à vivre dans un esclavage plus abject que celui que nous croyons concevoir.

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