Non M. Trump ; Jérusalem n’est pas la capitale de l’Israël biblique, par le Dr. Ashraf Ezzat

Dès le départ, on avait prévenu qu’un Donald ça (se) Trump énormément…

Dr Ashraf Ezzat : Entité sioniste et colonisation de la Palestine… Pour que Trump et la ligue mafieuse comprennent que…

Jérusalem n’est pas la capitale de l’Israël biblique

Dr. Ashraf Ezzat | 8 décembre 2017 | Source de l’article original en anglais ► https://ashraf62.wordpress.com/2017/12/08/mr-trump-jerusalem-is-not-the-capital-of-biblical-israel/

Traduit de l’anglais par Résistance 71 ► https://resistance71.wordpress.com/2017/12/10/ashraf-ezzat-entite-sioniste-et-colonisation-de-la-palestine-pour-que-trump-et-la-ligue-mafieuse-comprennent-que/

Si historiquement Jérusalem était bien la ville du roi David, la décision idiote de Trump d’y faire transférer l’ambassade des États-Unis ne m’aurait pas irrité outre mesure et je n’aurais pas écrit l’article que vous êtes en train de lire. Mais la vérité est que la Jérusalem moderne n’a jamais été la capitale du royaume de David.

Bien des gens ont pensé que l’idée de construire un mur à la frontière américano-mexicaine fut la promesse électorale la plus stupide de Trump. Mais en fait ça ne l’était pas, transférer l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem le fut. La décision de Trump a ravivé l’idéologie sioniste de l’occupation illégale et d’apartheid et quelques sionistes fanatiques ont perçu l’affaire comme étant “plus grosse que Balfour” et tant pis pour ces analystes qui ont soutenu Trump en le voyant comme le candidat qui allait devenir le président anti-establishment. Ils ne semblaient pas vouloir comprendre que le seul establishment auquel Trump est attaché, c’est le sien.

Bouger l’ambassade vient-il vraiment comme une surprise ? En fait non, car contrairement à ses prédécesseurs, Trump veut être le premier président des États-Unis à remplir ses promesses électorales (aussi stupides furent-elles…). Peut-être veut-il que cela soit mémorisé comme son héritage présidentiel.

Mais ceci ne peut pas être le seul but de cette action si mal avisée, car relocaliser l’ambassade des États-Unis de Tel Aviv à Jérusalem va sûrement accordé à Trump le soutien (si nécessaire) du lobby juif et de ses organisations pleines de fric ainsi que le droit religieux sionistes et des évangélistes chrétiens (NdT : les plus sionistes de tous les chrétiens…)

Sans mentionner que cette pitrerie d’ambassade servira de diversion car un paquet de scandales sont en train de menacer la présidence de Trump et de transformer la Maison Blanche en un cirque.

Il semble que rien ne peut sauver Trump sauf de rendre Israël “encore plus grand”…

L’action de Trump, bien que stupide, va sans doute soulever de séreuses répercussions politiques et possiblement de la violence (et toujours plus d’extrémisme et de terrorisme) au Moyen-Orient et au-delà. Dans le même temps, peut-être pas, considérant que l’UE et le monde arabo-islamique s’opposent à cette décision scandaleuse.

Mais ce que ne réalise pas vraiment Trump, c’est que sa décision est extraordinairement ignorante du point de vue historique et c’est pourquoi je pense qu’elle est en même temps dangereuse. Ignorante parce que ni lui ni sont entourage de conseillers n’ont été éduqués, informés par des érudits et/ou universitaires impartiaux sur l’histoire ancienne du Proche Orient pour comprendre que Jérusalem n’est pas la ville historique de l’ancien Israël biblique. Décision dangereuse parce que cette décision inconsidérée va aider à consolider ce concept totalement falsifié au sujet de Jérusalem dans l’inconscient collectif des masses non informées dans le monde.

Le narratif/prétexte classique et déformé pour la justification de l’occupation de la ville palestinienne de Jérusalem (ainsi que du reste de la Palestine…) est qu’elle fut la capitale de ce magnifique royaume du roi David et de son fils Salomon.

Ce prétexte apparemment indiscutable parmi les pères du mouvement sioniste est que la Palestine est leur terre historique, terre sur laquelle eut lieu les histoires des patriarches. Ils voient aussi Jérusalem de manière non équivoque comme la ville établie par le roi David au 10ème siècle avant notre ère.

La construction de ce faux prétexte par le mouvement sioniste (aidé en cela par la Grande-Bretagne et les États-Unis dans la première moitié du XXème siècle) ont encouragé les Européens convertis au judaïsme de voir la terre arabe de Palestine comme leur ancienne terre perdue qui fut promise à Abraham et ses descendants israélites. Le plus marrant qui a échappé à des milliers de juifs européens qui se sont ensuite installés en Palestine est qu’ils ne sont en rien les descendants d’Abraham ou de sa tribu israélite, mais qu’ils sont les descendants du royaume Khazar.

Si les musulmans de Chine et des Philippines ne peuvent affirmer aucun droit historique sur la ville de La Mecque comme étant leur ancienne capitale, il en va ainsi de même pour les juifs européens et la ville de Jérusalem. La même logique s’applique.

La ville sainte de Jérusalem apparaît d’abord dans les descriptions de la bible pendant l’époque d’Abraham (vers 1850 avant notre ère). Ce fut dans cette ville qu’Abraham fut reçu par un mystérieux prêtre/prophète de dieu nominé comme le plus haut gradé Melchisédech (roi honnête dans l’ancienne langue arabe/hébraïque) et qui fut aussi le roi d’Ur-Salem. Salem en arabe veut dire paix et Ur-Salem / Jérusalem signifie la cité de la paix. Voyez-vous, tout le vocabulaire des histoires du patriarche israélite est véritablement arabe.

Un autre détail édifiant que nous donne la bible est qu’avant que David ne conquît la ville biblique de Jérusalem, celle-ci était habitée par une tribu appelée les Jébusites (2 Samuel 5:6-7) et que Jérusalem était sécurisée, placée au sommet d’une montagne, comme une forteresse.

Mais ce qui laisse perplexe, est que durant à la fois le temps d’Abraham (19ème siècle AEC) jusqu’au temps de la conquête de la ville par David (10ème siècle AEC), Jérusalem n’a pas existé comme une entité territoriale sur la carte de l’ancien Proche Orient et spécifiquement du Levant. Simplement la ville n’y existait pas encore.

Il n’y a pas eu de Jérusalem pouvant accommoder l’histoire d’Abraham datant du 19ème siècle AEC ni de David et de son fils Salomon aux 10ème – 9ème siècles avant notre ère.

Sans même mentionner que l’histoire antique de la Palestine n’a jamais été témoin d’un peuple ou d’une tribu répondant au nom des Jébusites et desquels on ne peut trouver de trace historique que dans l’Arabie et le Yémen antiques avec leurs terrains montagneux et leurs villages cadrant parfaitement avec le narratif géographique biblique.

La montée des états territoriaux au Levant fut le résultat de l’expansion vers l’ouest de l’empire assyrien vers le 9ème siècle avant notre ère. De plus, ni les archives assyriennes, ni les archives égyptiennes ne font une quelconque référence au soi-disant royaume de David et Salomon. En fait, des sources extrabibliques laissent peu de doute sur le fait que tous les états majeurs de la région comme par exemple Damas, Moab et bien sûr Jérusalem, émergèrent après le 9ème siècle AEC. Il est très difficile de concevoir un royaume unifié israélite qui aurait gouverné depuis Jérusalem plus d’un siècle avant ce processus. Le plus ennuyeux de tout après un siècle de recherches et d’excavations à Jérusalem, la (supposée) capitale de la monarchie unifiée d’Israël si glamour, c’est que celles-ci ont échoué à montrer des preuves de toute construction notoire sur place au 10ème siècle. Il n’y a aucune trace de palais magnifiques ou de grands états, rien ne fut archéologiquement trouvé sur place concernant cette période. Bref, Jérusalem au 10ème siècle AEC, période de David et Salomon n’était rien de plus qu’un village perché et non pas cette capitale exquise et décorée d’un grand empire”, a écrit le Professeur Israël Finkelstein, l’archéologue israélien de l’université de Tel Aviv et de l’académie des sciences israélienne dans son livre “The Bible Unearthed” (2001).

Quant à l’endroit de la Jérusalem biblique, d’autres universitaires de l’antiquité nous donnent certaines indications sur là où nous devrions regarder pour la trouver : sur la carte ancienne/antique de l’Arabie et du Yémen. La ville de Jérusalem d’après la Torah est située sur une montagne, c’est pour cela que le site le plus saint du judaïsme est nommé “Le Mont du Temple”. Mais lorsque nous regardons la carte de la Jérusalem actuelle, nous sommes surpris de découvrir qu’elle n’est pas située sur une montagne mais plutôt entre deux collines. N’est-ce pas un peu étrange ?

La mosquée Al-Aqsa et le dôme de la pierre (Le Mont du Temple pour les juifs) sont situés au point le plus bas de la topographie de Jérusalem. La question est : où est la montagne qui est mentionnée dans la bible ? Va t’elle venir avec l’ambassade de Trump ? Aucune intention de sarcasme ici.

Jérusalem pourrait être l’endroit où le temple d’Hérode (37 AEC ~ 70 EC) se situa mais elle n’est définitivement pas la terre du premier temple ou de la ville qui aurait été témoin des histoires des patriarches israélites.

Jérusalem n’est pas la ville historique du roi David ni la capitale de l’Israël biblique. Voilà pourquoi elle ne devrait jamais être reconnue ou acceptée comme la capitale de l’Israël moderne.

L’endroit réel du Mont du Temple et de la totalité de “l’État d’Israël” est basé sur une idéologie, à la fois fausse, mensongère et trompeuse. La décision fondée sur une ignorance crasse de Donald Trump, de transférer l’ambassade des états-Unis à Jérusalem ne fait que rendre l’affaire encore plus trompeuse.

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Les États de la Ligue arabe demandent à Donald Trump d’annuler sa décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël dans un communiqué publié tôt dimanche matin à l’issue d’une réunion au Caire.  La Ligue arabe ont appelé Washington à annuler sa décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, dans une résolution publiée dimanche matin après une réunion au Caire. Dans la résolution, les ministres des affaires étrangères arabes affirment que les États-Unis se sont « retirés comme parrains et intermédiaires du processus de paix«  au Proche-Orient. Et ils demandent « que les États-Unis annulent leur décision sur Jérusalem ».

Source Les Échos.be de ce dimanche 10 décembre 2017 ► https://www.lecho.be/economie-politique/international-moyen-orient/La-Ligue-arabe-demande-a-Trump-d-annuler-sa-decision-sur-Jerusalem/9961548

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Hier on en était là ;

Palestine et colonialisme : Qods, l’étau se resserre sur Israël

Qods… Le piège se referme sur Israël

D’une évolution à l’autre, pas un jour ne passe sans qu’un nouveau fait ne se produise au Moyen-Orient avec son cortège de surprises et d’inattendus. Or, ce tourbillon stratégique renvoie à une crainte profonde : les plans concoctés depuis plusieurs décennies au Moyen-Orient n’ont pas abouti ; pis, ce sont des effets inverses qui se sont produits à tous les coups.

On veut piéger la Résistance, on tombe dans le piège. Mais pourquoi cette panique généralisée dans le camp américain ? Primo, l’axe de la Résistance a repris le contrôle de régions entières en Syrie et en Irak, régions que contrôlaient auparavant Daech et d’autres groupes terroristes. Et par malheur pour les adversaires de la Résistance, ces régions englobent les zones frontalières syro-irakiennes. Ce sont là des corridors géostratégiques qui offrent une vaste liberté d’action aux combattants de la Résistance au moment voulu. Source PressTV/French ► Qods… Le piège se referme sur Israël

Et effectivement, pas un jour ne se passe plus sans qu’un nouveau fait ne se produise suite à cette décision de l’Impossible M. Trump…

En France, Macron reçoit Netanyahou ; Netanyahou à Paris ce dimanche pour «un déjeuner de travail» avec Macron POLITIQUE Cette visite intervient dans la foulée de la reconnaissance de Jérusalem comme capitale officielle de l’État hébreu par Donald Trump. Source 20 minutes ► http://www.20minutes.fr/monde/2184995-20171210-netanyahou-paris-dimanche-dejeuner-travail-macron

Gageons que Bibi fera comme si de rien n’était…

Pourtant sur ce blog, grâce aux travaux de recherche du Dr. A. Ezzat, mais aussi de l’Universitaire, Écrivain et Juriste Indigène Steven Newcomb comme des Natifs, à l’instar de la Nation Mohawk, nous pouvons affirmer qu’il n’y a pas plus de Nouveau peuple élu d’un Nouveau-Monde, que Jérusalem n’est la capitale de l’Israël Biblique…

Voici le PDF N° 3 consacré à toutes les publications, extraits du livre, transcription de vidéos, articles du Pr. Ashraf EzzatTraduction de la Bible & Falsification historique avec cette toute dernière publication.

JBL1960

37 réflexions sur « Non M. Trump ; Jérusalem n’est pas la capitale de l’Israël biblique, par le Dr. Ashraf Ezzat »

  1. “La (folle) idée d’amener les juifs du monde entier à quitter leurs patries, pour s’établir sur une terre (palestinienne) occupée en “s’inventant un peuple juif” est le véritable théâtre de l’absurde.”

    La résolution de l’UNESCO sur Jérusalem : La vérité cachée

    Au pied du Mur…

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  2. Jérusalem : la décision de Trump «va faire avancer» le processus de paix L’ambassadrice américaine auprès des Nations unies a estimé dimanche que la décision du président Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël et d’y transférer l’ambassade des États-Unis allait «aider le processus de paix» au Proche-Orient.

    «Je pense fermement que cela va faire avancer les choses pour le processus de paix», a affirmé Nikki Haley sur la chaine CNN, sans étayer cette affirmation malgré les questions insistantes du journaliste.

    M. Trump «a accompli la volonté du peuple» américain, a-t-elle relevé, faisant référence à une loi adoptée par le Congrès en 1995 dont l’application a systématiquement été repoussée par les présidents successifs. Ce texte appelle à déménager l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, «capitale de l’État d’Israël».

    Des dizaines de milliers de manifestants sont à nouveau descendus dans la rue dimanche au Moyen-Orient et ailleurs dans le monde pour protester contre la décision de M. Trump, annoncée mercredi.

    «En ce qui concerne les mécontents, nous savions que cela allait se produire. Mais le courage en est l’origine. Lorsque vous prenez une décision, vous voyez certains la considérer négativement et certains la considérer positivement», a défendu Mme Haley.

    Après 22 ans de reports, le président a considéré qu’il était temps «désormais d’essayer de faire avancer les choses».

    «Maintenant, ils (Israéliens et Palestiniens, NDLR) peuvent se réunir pour décider ce que seront les frontières, c’est à eux de décider les limites et il leur appartient de discuter de ce qu’ils veulent que Jérusalem devienne», a poursuivi l’ambassadrice onusienne.

    «Nous n’avons pas parlé des limites ni des frontières pour une raison. C’est parce que peu importe ce qu’est Jérusalem-Est, ou une quelconque autre région, c’est entre les Palestiniens et les Israéliens», a-t-elle commenté.
    http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201712/10/01-5146574-jerusalem-la-decision-de-trump-va-faire-avancer-le-processus-de-paix.php
    =*=
    Ainsi soit-il… Ou pas !

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  3. http://www.alterinfo.net/notes/Trump-celebre-la-decision-sur-Jerusalem-lors-de-la-soiree-de-Hanoukka-a-la-Maison-Blanche_b18777763.html

    « Je sais qu’il y a beaucoup de gens heureux dans cette salle », a déclaré le président américain

    WASHINGTON – Ce jeudi soir, à l’occasion de la soirée annuelle de Hanoukka organisée à la Maison Blanche, le président américain Donald Trump a pris la parole avec une certaine confiance. « Je sais qu’il y a beaucoup de gens heureux dans cette salle », a-t-il déclaré face à la foule.

    Après une courte pause pour les applaudissements, il a évoqué ce que tout le monde avait en tête : « Jérusalem. »

    La réception a été organisée au lendemain de la déclaration de Trump, qui a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël et chargé le Département d’Etat de formuler un plan pour le transfert de l’ambassade américaine – promesse de campagne faite par plusieurs anciens présidents, mais qui n’avait jamais été mise en pratique.

    Pourtant, il n’est pas revenu sur son annonce autant que ce à quoi on aurait pu s’attendre. Il savait peut-être qu’il n’en avait pas besoin. Ou alors, il ne voulait peut-être pas risquer de dire quoi que ce soit de plus qui pourrait aggraver la situation, alors qu’une vague de protestations a balayé le Moyen-Orient et que les Palestiniens ont déclaré qu’ils ne le voyaient plus comme un partenaire fiable dans le cadre du processus de paix – pourtant une priorité absolue de sa présidence.

    Au lieu de ça, le président s’en est tenu principalement aux éléments de langage conventionnels : il a parlé du « miracle des Maccabées » et expliqué qu’ils avaient trouvé au départ « juste assez d’huile pour allumer la lampe pendant seulement une nuit. »

    « Ils ont pourtant été stupéfaits de constater que, pendant huit jours, la lampe a continué à brûler – un signe de la présence de Dieu dans leur demeure et un symbole de la foi et de la résilience du peuple juif. Vous avez foi et vous avez de la résilience », a déclaré Trump.

    Aux côtés de Trump se trouvaient sa femme Melania, sa fille Ivanka, son beau-fils et haut conseiller Jared Kushner, et ses petits-enfants – qui, a-t-il noté, sont juifs.

    « Je suis fier que mes jolis petits-enfants – Arabella, Joseph et Theodore – se soient joints à nous ce soir, alors que nous célébrons tous ensemble les traditions sacrées qu’ils observent chaque année à la maison. »
    =*=
    Voilà qui devrait achever de convaincre tout ceux qui pensaient que Trump allait :
    1) drainer le marais,
    2) couper la tête du serpent que tous savaient être le régime israélien…

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  4. http://www.alterinfo.net/notes/Le-Mufti-de-Moscou-appelle-au-transfert-du-siege-de-l-ONU-a-Jerusalem_b18782293.html
    Le Mufti de la capitale russe Moscou, Albert Karganov, a appelé, samedi, au transfert du siège des Nations Unies de la ville américaine de New York à Jérusalem, en réponse à la décision du président américain, Donald Trump, sur la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’ »sraël ».

    Dans une déclaration rapportée par la chaîne « Russia Today », Karganov a souligné que « Jérusalem est la capitale des trois religions monothéistes, et que le transfert du siège des Nations Unies à la ville est logique ».
    Il a ajouté que « l’ONU devrait œuvrer à unifier tous les Etats, les peuples et les cultures, et que Jérusalem est le dôme de toutes les religions ».
    Dans le même contexte, Karganov a appelé les Etats-Unis à « assumer la responsabilité de proposer des idées qui unifient les nations et rapprochent leurs cultures et les différentes religions», selon la même source.
    Le président américain Donald Trump avait officiellement annoncé, mercredi dernier, la reconnaissance par son pays de Jérusalem comme capitale d’ »Israël » et le transfert de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à la ville sainte occupée.
    Les Palestiniens tiennent, pour leur part, à Jérusalem-est comme capitale de leur Etat, se basant sur les résolutions de la communauté internationale.

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  5. http://www.alterinfo.net/notes/Ligue-arabe-aucune-mesure-coercitive-contre-Washington_b18782185.html
    Les ministres des affaires étrangères de la ligue des Etats arabes réunis au Caire, ont appelé, dans une résolution publiée dimanche 10 décembre au matin, les Etats-Unis à annuler sa décision de reconnaitre Al Quds(Jérusalem) comme capitale d’Israël. Ils ont affirmé que les Etats-Unis se sont « retirés comme parrains et intermédiaires du processus de paix » au Proche Orient.

    Ils ont condamné cette initiative dont le maintien va plonger la région dans « davantage de violence et de chaos ».

    L’initiative du président américain est une « violation dangereuse » du droit international; elle est « nulle et non avenue », a fait valoir la Ligue arabe qui compte déposer auprès du Conseil de sécurité de l’ONU un projet de résolution rejetant la décision américaine.

    Dans leur texte, ils appellent également la communauté internationale à reconnaître un Etat palestinien « avec Al Quds-Est comme capitale », la partie orientale de la ville annexée depuis 1967 par Israël.

    A l’ouverture de cette séance, émaillée par la suite de longs discours passionnés des ministres arabes le secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul Gheit avait déjà souligné que la décision du président américain soulevait des questions quant au rôle de médiateur des Etats-Unis. Et ce, non seulement au Proche-Orient mais dans le monde entier.

    Il a été appuyé par le ministre palestinien des Affaires étrangères. « Nous allons rechercher un nouveau médiateur parmi nos frères arabes et la communauté internationale, un médiateur qui puisse aider à parvenir à une solution à deux Etats », a complété Ryad al Maliki.

    Son homologue libanais Gebran Bassil a quant à lui invité les Etats membres à envisager d’imposer des sanctions aux Etats-Unis. « Des mesures (doivent être) prises contre cette décision (…), d’abord des mesures diplomatiques, puis économiques et financières », a-t-il déclaré. Dans sa résolution finale, la Ligue arabe ne fait pas mention de sanction économique.

    https://www.espacemanager.com/ligue-arabe-aucune-mesure-coercitive-contre-washington.html
    =*=
    Ouais, le bal des faux-culs a bien commencé…

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  6. http://www.alterinfo.net/notes/La-Bible-selon-Bibi-comment-Netanyahou-justifie-la-politique-israelienne-par-l-Ancien-testament_b18845570.html

    Benyamin Netanyahou est un habitué des sorties musclées mais également un fervent lecteur de la Bible, citant régulièrement le Livre pour justifier la politique israélienne… Mais ne commettrait-il pas parfois des erreurs d’interprétation ?

    Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou aime à citer la Bible : elle lui permet d’appuyer la politique qu’il mène au Moyen-Orient. Lorsque Donald Trump a décidé de déplacer l’ambassade des Etats-Unis de Tel Aviv à Jérusalem, celui que l’on surnomme affectueusement Bibi en Israël n’a pas pu s’en empêcher… il a de nouveau évoqué l’Ancien testament. «Il y a un livre de très bonne qualité que vous pouvez lire. Il s’agit de la Bible», a-t-il expliqué le 10 décembre à Emmanuel Macron en affichant son soutien à la décision de Donald Trump.

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  7. Devant le Crif, Edouard Philippe souligne «le lien historique de Jérusalem avec le peuple juif»
    Dans une actualité internationale marquée par la reconnaissance par Donald Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël, qualifiée de «regrettable» par Emmanuel Macron, le Premier ministre français s’est exprimé à la convention annuelle du Crif.

    Le 10 décembre 2017, alors que le Premier ministre Benjamin Netanyahou était reçu à l’Elysée par Emmanuel Macron, Edouard Philippe était convié à s’exprimer lors de la 8ème convention annuelle du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif).

    Tempérant la déclaration d’Emmanuel Macron, qui avait jugé «regrettable» la reconnaissance de Donald Trump de Jérusalem comme capitale de l’Etat hébreu, le Premier ministre a martelé : «Ceux qui nient le lien historique de Jérusalem avec le peuple juif ne connaissent pas l’Histoire.»

    Devant quelque 700 participants et des invités de marque tels que le maire de Paris Anne Hidalgo, Edouard Philippe a rappelé l’engagement de son gouvernement dans la lutte pour la «sécurité d’Israël», ajoutant : «Sans les Juifs de France, la France ne serait pas la France.»

    Edouard Philippe est en outre revenu sur le plan pluriannuel de lutte contre l’antisémitisme annoncé le 2 octobre 2017 à la synagogue de la rue Buffault à Paris. «On ne peut concevoir qu’en trois clics, on puisse accéder à des contenus haineux, racistes et antisémites», a-t-il déploré, alors que le plan du gouvernement vise particulièrement internet.

    Affirmant avoir reçu des milliers de signalements de tels contenus via Pharos, plateforme mise en place par le gouvernement pour signaler les contenus et comportements illicites de l’internet, il a ajouté : «Nous faisons appel à la mobilisation citoyenne.»

    Estimant que l’antisémitisme se dissimule «derrière de nouveaux masques», Edouard Philippe a conclu son intervention : «Vive les Juifs de France, Vive la République et Vive la France !»

    Le maire de Paris, Anne Hidalgo, a pour sa part déclaré pendant son discours à la Convention du Crif que «l’antisémitisme, qui se cache derrière l’anti-sionisme, ne devrait jamais être autorisé à gagner».

    Elle a rappelé que sa ville s’opposait au mouvement BDS contre Israël, le boycott étant illégal en France et considéré comme une incitation à la discrimination et à la haine raciale.

    Dans un communiqué de presse publié le 7 décembre après la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, le Crif avait appelé Emmanuel Macron à faire de même. Le président se serait dit «surpris» de cette demande selon le JDD.
    Source RT via Alter Info ► http://www.alterinfo.net/notes/Devant-le-Crif-Edouard-Philippe-souligne-le-lien-historique-de-Jerusalem-avec-le-peuple-juif_b18834990.html

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    1. Participants français au Bilderberg 2016, Dresde 10-12 juin 2016 :

      Henri de Castries, Chairman Bilderberg Group, PDG groupe AXA
      Patricia Barbizet, PDG Artémis
      Nicolas Baverez, associé, Gibson, Dunn & Crutcher
      Olivier Blanchard, du Peterson Institute
      Emmanuelle Charpentier, Directrice Max Planck Institute for Infection Biology
      Laurent Fabius, président du Conseil Constitutionnel
      Etienne Gernell, directeur d’édition, Le Point
      Edouard Philippe, Maire du Havre (LR)
      Christine Lagarde, directrice du FMI

      Bilderberger 2016


      =*=
      Y’a pas de hasard…

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  8. Israël: Des archéologues font une découverte biblique majeure ;
    Une découverte qui pourrait être l’une des plus marquantes de l’histoire des études bibliques a été faite en Israël. Les archéologues pensent avoir retrouvé le sceau du prophète Isaïe…

    Un tout petit morceau d’argile mesurant seulement 1 cm pourrait constituer l’une des découvertes majeures de l’histoire des études bibliques. Il recelait en effet un sceau cacheté qui aurait pu être créé par la légendaire figure biblique Isaïe, ainsi que le relate le Live Science.

    L’artefact avait été trouvé lors de fouilles en 2009 à Jérusalem-Est, peu après la découverte d’une impression de sceau du roi Ézéchias, qui fut le roi de Juda vers la fin du VIII siècle av. J.-C., donc approximativement à l’époque où vivait le prophète.

    Dans un rapport de recherche publié mardi, le Dr Eilat Mazar, chef de l’équipe d’archéologues, précise que le nom d’Isaïe peut être vu sur l’empreinte du sceau même si les archéologues ne savent pas si cela se réfère au prophète biblique Isaïe ou à quelqu’un d’autre portant ce nom qui vivait aussi il y a 2.700 ans. Mais si le sceau appartenait bien au prophète Isaïe, ce «serait la première référence archéologique extrabiblique au prophète Isaïe jamais découverte, et la plus ancienne», a déclaré Robert Cargill, archéologue et professeur de lettres classiques et d’études religieuses à l’université de l’Iowa, cité par le site.

    Le nom Isaïe signifie «YHWH sauve» ou «Yahu sauve», mais il y a d’autres individus dans la Bible hébraïque qui ont un nom avec une partie identique. Malheureusement, l’empreinte du sceau est endommagée, ce qui rend difficile de déterminer si le nom Isaïe est celui du prophète ou non. Source Sputnik News France via Alter Info ► https://www.alterinfo.net/notes/Israel-Des-archeologues-font-une-decouverte-biblique-majeure_b20391902.html

    NB = Les archéologues « pensent »…

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    1. Selon des responsables de l’administration Trump cités par Reuters et AFP, Washington compte ouvrir son ambassade à Jérusalem en mai prochain pour coïncider avec le 70e anniversaire de la fondation d’Israël.

      Le président américain Donald Trump joint le geste à la parole. Après avoir reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël en décembre dernier, des responsables de son administration ont fait savoir le 23 février que les Etats-Unis allaient ouvrir leur ambassade dans la ville sainte dès le mois de mai prochain, selon les agences de presse Reuters et AFP.

      C’est une surprise car le calendrier donné par le vice-président Mike Pence en janvier était bien plus étendu, l’ouverture devant, selon lui, avoir lieu fin 2019. Or, selon le responsable cité anonymement par Reuters, l’administration Trump souhaite faire coïncider cette ouverture hautement symbolique avec le 70e anniversaire de la fondation d’Israël. L’indépendance de l’Etat hébreu avait été proclamée le 14 mai 1948, à l’expiration du mandat que détenait le gouvernement britannique sur la Palestine depuis 1920.

      Cette révélation a été accueillie avec un plaisir non dissimulé par les responsables Israéliens. Le ministre du renseignement Israel Katz a chaleureusement félicité sur Twitter le président Donald Trump : «Il n’y a pas de plus beau cadeau que ça ! La décision la plus juste et la plus correcte. Merci l’ami !»

      La décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël a engendré une vague de contestation dans les mondes arabe et musulman. Des mouvements de protestations se sont tenus en Egypte, en Turquie, en Jordanie ou encore au Liban. Dans les territoires palestiniens et sur l’esplanade des mosquées à Jérusalem, de violents heurts avaient éclaté entre manifestants et policiers. Sur la scène internationale, 14 des 15 membres du Conseil de sécurité des Nations unies avaient voté une résolution condamnant la décision du président américain, obligeant les Etats-Unis à y opposer leur veto.
      Source RT France via Alter Info ► https://www.alterinfo.net/notes/L-ambassade-des-Etats-Unis-a-Jerusalem-ouvrira-des-le-mois-de-mai_b20403249.html

      Mais bien sûr, il n’y a aucun rapport avec le fait que les archéologues pensent avoir trouve le sceau d’Isaïe… Nan, pensez-donc !

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  9. Trump veut reconnaître la souveraineté d’Israël sur le plateau du Golan

    Le président des Etats-Unis Donald Trump s’est prononcé jeudi en faveur de la reconnaissance de la souveraineté d’Israël sur le plateau du Golan, une décision en rupture avec la position américaine depuis des décennies.

    A l’approche d’élections législatives à l’issue incertaine, cette annonce est un vrai coup de pouce pour le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui la réclamait haut et fort.

    Israël a conquis une grande partie du Golan, soit 1.200 km2, lors de la guerre des Six Jours en 1967 et l’a annexée en 1981, mais la communauté internationale n’a jamais reconnu cette annexion.

    « Après 52 ans, il est temps pour les Etats-Unis de reconnaître pleinement la souveraineté d’Israël sur le plateau du Golan, qui a une importance stratégique pour l’Etat d’Israël et la stabilité régionale », a tweeté le président américain au moment même où le chef de diplomatie Mike Pompeo se trouvait à Jérusalem.

    Quelque 23.000 druzes apatrides vivent sur ce territoire dans des villes et villages qui sont entourées de colonies comptant environ 20.000 Israéliens.
    « Merci président Trump ! »

    « Merci président Trump ! », a immédiatement tweeté M. Netanyahu après l’annonce de l’ancien homme d’affaires new-yorkais, dont il a loué le « courage ».

    Au pouvoir depuis une décennie, M. Netanyahu, qui sera à la Maison Blanche en début de semaine prochaine, met inlassablement en avant sa proximité avec M. Trump et s’en sert d’argument dans la campagne, présentant les gains israéliens comme des succès personnels dont ses concurrents seraient incapables.

    « Le président Trump vient d’écrire une page d’histoire (…) Il l’a fait de nouveau », a insisté le Premier ministre israélien lors d’un dîner avec M. Pompeo.

    Fin 2017, Donald Trump a unilatéralement reconnu Jérusalem comme capitale de ce proche allié, allant à l’encontre du consensus international, au grand dam notamment des dirigeants palestiniens.

    Dans son rapport annuel sur les droits humains dans le monde, publié il y a dix jours, Washington avait pris soin de ne plus parler du Golan syrien comme d’un territoire « occupé par Israël », signe interprété par nombre d’observateurs comme l’annonce d’un changement de pied à venir.

    La présidence palestinienne, qui refuse de parler à l’administration Trump qu’elle accuse de parti pris outrancier pro-israélien, avait aussitôt dénoncé un nouvel acte hostile s’inscrivant dans la logique de l’administration Trump visant à « liquider la cause palestinienne ».
    « Mépris du droit international »

    L’annonce de M. Trump a suscité de vives réactions aux Etats-Unis.

    Leon Panetta, ancien chef du Pentagone, a déploré que M. Trump « tweete une annonce qui n’a pas été débattue avec nos partenaires internationaux et à l’ONU ».

    Robert Malley, président du Crisis Group et ancien conseiller de Barack Obama, a critiqué pour sa part une décision « éminemment politique », prise « au mépris du droit international » et dont le timing vise clairement à « aider Netanyahu sur le plan électoral ».

    Dans son tweet de remerciement à M. Trump, le Premier ministre israélien souligne que sa décision est d’autant plus importante qu’elle intervient au moment où « l’Iran cherche à utiliser la Syrie comme une plateforme pour détruire Israël ».

    Israël a récemment accusé le Hezbollah, l’un de ses ennemis, d’établir secrètement dans le Golan syrien, près du territoire sous son contrôle, un réseau militaire commandé par une figure du mouvement chiite libanais.

    L’objectif de ce réseau, qui serait commandé par le Libanais Ali Moussa Daqdouq, est de disposer à terme de forces prêtes à attaquer Israël, selon l’armée israélienne.

    Le Hezbollah et l’Iran sont intervenus aux côtés du régime de Bachar al-Assad, également soutenu par Moscou, dans la guerre civile en Syrie. Israël fait campagne sans relâche contre cette présence du Hezbollah et de l’Iran chez son voisin syrien.

    Source Le Point du 21/03/2019 ► https://www.lepoint.fr/monde/trump-plaide-pour-la-reconnaissance-de-la-souverainete-d-israel-sur-le-golan-21-03-2019-2303075_24.php

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  10. Jérusalem est la Capitale de Palestine 🇵🇸, isisrahell c’est des parasites no kosher issue d’une vipère qui a commis l’adultère avec lucifer.
    « La jooplicity «  est sans aucune limite

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