Si Riyad n’est pas de taille à isoler le Hezbollah…

Rappelons-nous quand même que l’Arabie Saoudite possède la bombe ;

Vidéo de G. Chiesa pour IlFattoQuotidiano.Fr qui explique comment l’Arabie Saoudite a SA bombe et argue qu’elle peut s’en servir, quand elle veut…

LES PARIS RESTENT OUVERTS ;

Faites vos jeux…

PILE = On perd ! Et FACE = Y gagnent !

ALORS QUE LA SOLUTION = C’est toujours NOUS ► MANIFESTE POUR LA SOCIÉTÉ DES SOCIÉTÉS PAR RÉSISTANCE71

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Guerre en préparation au Moyen-Orient : La secte sioniste wahhabite contre l’Iran et ses alliés…

« Quiconque adopte le slogan de libérer les régimes arabes comme pré-requis de la libération de la Palestine est sur une fausse voie et ne fait que compliquer la tâche de la libération. La cause la plus haute est celle de la libération de la Palestine, sur cette base les régimes arabes et leurs peuples devraient se libérer de ce cauchemar qui assombrit et mine toutes les politiques adoptées dans notre région. »
~ Naïm Qassem, SG adjoint Hezbollah, 2005 ~

Riyad n’est pas de taille à isoler le Hezbollah

Press TV | 15 novembre 2017 | Source ► http://www.presstv.com/DetailFr/2017/11/16/542393/Que-peut-faire-lArabie–propos-du-Hezbollah

Bloomberg étudie dans un article les moyens dont dispose Riyad pour faire pression sur le Hezbollah. 

Dona Abu-Nasr, journaliste de Bloomberg, fait allusion dans son analyse datée de mercredi 15 novembre, à l’animosité latente et patente de Riyad contre le mouvement de la Résistance libanaise et écrit :

« L’Arabie saoudite tente un nouveau coup politique pour changer l’équilibre des forces dans la région et son dévolu est tombé sur le Liban. Pourtant, même en travaillant avec les États-Unis et Israël pour tenter d’isoler le mouvement libanais, les Saoudiens ont peu de chance pour isoler le Hezbollah. La Résistance libanaise est aujourd’hui une force régionale qui a ses éléments au Yémen, en Irak et en Syrie ».

L’article cite par la suite Denis Sullivan, co-directeur du Middle East Center de la Northeastern University de Boston. L’expert évoque un défi major lancé au Hezbollah et affirme : « Si le Hezbollah parvient à surmonter la crise que vient de provoquer Riyad, ce sera le Hezbollah qui en sortira gagnant. Il est trop tard pour l’Arabie saoudite de contrer le Hezbollah qui est désormais partout présent ».

L’analyste de Bloomberg faisant allusion à la démission surprise du premier ministre libanais, Saad Hariri à Riyad et à ses incidences sur les évolutions régionales, avant de poursuivre:

« Nasrallah a parlé à deux reprises de cette démission et dans ses deux discours, il s’est exprimé d’un ton calme, conciliant et dissipant les craintes d’un conflit total avec les sunnites et se joignant aux appels pour le retour de Hariri de sa « détention » saoudienne et ce, malgré les différentes politiques qui existent à l’intérieur du Liban. À vrai dire, la tactique de Nasrallah est très subtile. Il a dénoncé Riyad pour avoir monté le coup, ce qui lui a permis de présenter la crise comme une atteinte au droit international. Dans cette perspective, personne n’irait remettre en cause  la participation du mouvement libanais dans des conflits régionaux ».

D’après l’auteur de l’article, « le Hezbollah fait partie du gouvernement libanais et a besoin de la couverture politique que Hariri a fournie à une époque où les sanctions américaines contre le groupe, sans oublier entre temps le rôle de la rhétorique israélienne sur le bombardement du Liban pour remonter ce pays à l’âge de pierre ».

Plus loin le texte reprend les propos de Sanam Vakil, professeur adjoint d’études sur le Moyen-Orient à l’École des hautes études internationales de l’Université Johns Hopkins qui explique la stratégie de Riyad qui consiste  » à infliger des souffrances au Liban – économique, diplomatique et politique – et à provoquer par ricochet, plus de sympathie et de popularité en faveur du Hezbollah ». Pour l’expert, cette stratégie est datée et ne répond plus au contexte actuel dans la région : « C’est une stratégie qui date de 2005, lorsque les protestations ont chassé les Syriens du Liban à la suite du meurtre de Hariri. Les Saoudiens espèrent pouvoir reproduire un élan semblable et dans la foulée, la pression de rue. Or c’est le contraire qui se produit. Car le Hezbollah n’est plus ce qu’il était en 2005. « C’est une force créé en 1980 et qui n’a cessé d’évoluer depuis cette date, étendant ses racines dans le tissu politique et social du Liban. Nasrallah est une peau dure qui saura comment se tirer de cette affaire ». Et  l’article se termine ainsi : « Les Saoudiens n’ont que peu de moyens pour atteindre le Hezbollah. À Vrai dire, la crise suscitée autour de Hariri n’est qu’un simple mal de tête pour un Hezbollah qui a connu des maux beaucoup plus sérieux ».

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Le Royaume des Saoud n’en fini pas de hoqueter ► Nouvelle donne au Moyen-Orient ?

Et à tel point que l’EIIL a été vaincu sur le terrain en Syrak et qu’aussi bien le narratif impérialiste que les Merdias aux ordres regardent ailleurs ► L’EIIL vaincu en Syrak et tout le monde s’en fout !

L’entrée en scène de notre Zident Zupiter est donc totalement calculée ;

Source Wikipédia

N’oubliez jamais de qui Macron est le N.O.M. et comme par hasard, le Liban est une ancienne possession de l’empire colonial français (1534 – 1980).

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Le Premier ministre libanais démissionnaire Saad Hariri s’est entretenu samedi à Paris avec le président Emmanuel Macron, pour tenter de trouver une issue à la crise libanaise qui reste entière, avant de rentrer à Beyrouth au plus tard mercredi.

A l’issue d’un déjeuner à l’Élysée avec le président français et sa femme Brigitte, en compagnie de son épouse et de leur fils aîné, M. Hariri a confirmé qu’il rentrerait au Liban au cours des «prochains jours» et au plus tard mercredi, pour participer aux célébrations de la Fête nationale, et que c’est là-bas qu’il s’exprimerait à propos de sa démission, qu’il a annoncée depuis Riyad le 4 novembre. Il a remercié «pour son soutien» la France et son président. «La France a montré encore une fois la grandeur de son rôle dans le monde et la région. Elle prouve son attachement au Liban et à sa stabilité», a-t-il dit.

Source Libérationhttp://www.liberation.fr/planete/2017/11/18/saad-hariri-et-emmanuel-macron-tentent-a-paris-de-desamorcer-la-crise-libanaise_1610984

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L’Iran a accusé vendredi la France de « partialité » et affirmé que son approche aggravait les crises au Moyen-Orient. Inquiétant pour la normalisation des relations entre les deux pays ?  La prise de position française au cœur de la crise entre l’Iran et l’Arabie Saoudite fait grincer des dents. Jeudi à Riyad, Jean-Yves Le Drian a dénoncé les « tentations hégémoniques » de Téhéran au Moyen-Orient et ses « interventions (…) dans les crises régionales ». S’exprimant lors d’une conférence de presse à Riyad avec son homologue saoudien Adel al-Jubeir, le ministre français a indiqué avoir évoqué « le rôle de l’Iran et les différents domaines dans lesquels les actions de ce pays nous inquiètent ». Une sortie qui n’a pas été appréciée de son homologue iranien, qui l’a accusé vendredi de « partialité ». « Il semble que la France a un regard partial et partisan sur les crises de la région et cette approche, volontairement ou involontairement, aide même à transformer des crises potentielles en crises réelles », a déclaré le porte-parole de la diplomatie iranienne Bahram Ghassemi.

Source Le Jddhttp://www.lejdd.fr/international/moyen-orient/crises-au-moyen-orient-la-position-francaise-provoque-la-colere-de-liran-3495380

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Les 4 cavaliers de l’Apocalypse galopent ventres à terre à la conquête de l’or noir…

Macron et Dame Kékel dans le même temps et l’air de rien organisent la réduction de la population mondiale, pour sauver la Planète et le genre humain…

Je n’ai pas l’intention de monter dans le train à destination de la Camarde, et vous ?

SANS ARMES ni haine ni violence organisons la GRÈVE GÉNÉRALE, ILLIMITÉE & EXPROPRIATRICE !

Remplaçons l’antagonisme à l’œuvre depuis des millénaires qui, appliqué à différents niveaux de la société empêche l’humanité d’embrasser sa tendance naturelle à la complémentarité, facteur d’unification de la diversité dans un grand Tout socio-politique organique : La société des sociétés.

JBL1960

Source de l’illustration du billet ► Pinterest

12 réflexions sur « Si Riyad n’est pas de taille à isoler le Hezbollah… »

  1. Israël-Arabie Saoudite : Une alliance solide par Stefano Mauro, source investigation.net


    Il n’y a pas de hasard ! JAMAIS ;
    Encore moins de coïncidence…

    Posons nous la question : La guerre actuelle au Yémen, guerre qui implique Israël aux côtés de l’Arabie Saoudite, est elle une coïncidence ?
    Et à lumière des écrits, publications et livre du Dr. Ashraf Ezzat, qui ne dit jamais que l’histoire de la bible est une invention. Mais prouve juste que la location GÉOGRAPHIQUE de cette histoire n’est pas la bonne. Et qu’il ne faut pas chercher en Égypte ou en Palestine des traces de l’ »Exode » ou du « Palais de Salomon » mais dans le Sud de l’Arabie Saoudite et au Yémen. On comprend bien que non. À lire ou à télécharger la version PDF {3} de 39 pages des travaux de recherche, publications du Dr. Ezzat ; Traduction de la Bible et Escroquerie Historique ; Ezzat y traite de plus la question des « Racines juives de la culture takfirie » et j’ai pour ma part, rajouté le dossier sur l’Opération « Tapis Volant » qui a consisté à rapatrier, de 1949 à 2016, tous les juifs du Sud Yémen, en Israël…

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  2. http://www.20minutes.fr/monde/2171835-20171119-algerie-bouteflika-pourtant-tres-affaibli-depuis-avc-compte-briguer-5e-mandat-2019
    Il détient le record de longévité à la tête du pays, et il compte bien y rester… Le président algérien Abdelaziz Bouteflika, dont l’état de santé fait l’objet de nombreuses spéculations et dont les apparitions publiques sont extrêmement rares, veut se représenter à l’élection présidentielle algérienne en 2019.
    =*=
    Manipuler un cadavre quand tout est verrouillé de l’intérieur…

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