Bernard de Grande-Bretagne manœuvre au Moyen-Orient…

Nan chui pas devenue folle !

Quoique…

Avec R71 qui préambule, plus bas le dernier article de Thierry Meyssan. Nous avions utilisé l’image du Bernard-L’Hermite qui lorsqu’il change de coquille pour une plus grande, est le plus vulnérable, car nu comme un ver !

Le Bernard L’Hermite représentant la City de Londres {et le Vatican} ;

La nouvelle coquille le nouveau N.O.M. Sino-russe, ou Russo-chinois, ou ce qu’on appelle l’Empire actuellement 100% anglo-américano-christo-sioniste…

Le moment où le Bernard change de coquille constituant la fenêtre de tir, ou l’angle d’attaque, pour nous les peuples, afin de choper le Bernard et de ne plus le lâcher, jusqu’à ce que la mort de la Bête/Système s’en suive…

Guerre impérialiste : La City de Londres à la manœuvre au Moyen-Orient

Analyse intéressante de Thierry Meyssan ci-dessous.

Question : Le Qatar est une de facto propriété d’Exxon-Mobil (dont le ministre des AE actuel yankee fut CEO) et il est difficile d’imaginer que XMO laisse le Qatar, donc quel est le véritable (en)jeu derrière le rideau entre les véritables acteurs que sont donc XMO (Rockefeller), Royal Dutch Shell (Rothschild), ARAMCO (Saoud + Rockefeller + Rothschild), la compagnie iranienne du pétrole et du gaz, Gazprom et Rosneft les russes ? C’est là que se situe le nœud gordien de l’affaire aussi en rapport avec la Chine et les nouvelles routes de la soie… Tout ceci, quelqu’en soit les détails secrets, ressemble à s’y méprendre à un ajustement structurel non pas du Moyen-Orient, qui n’est qu’un pion, mais de l’empire. Bernard accélère le processus de son changement de coquille, le temps presse parce qu’au vu des dernières élections un peu partout, les peuples commencent à avoir une sérieuse puce à l’oreille…

~ Résistance 71 ~

URL de l’article ► https://resistance71.wordpress.com/2017/06/21/guerre-imperialiste-la-city-de-londres-a-la-manoeuvre-au-moyen-orient/

Ajustement au Moyen-Orient

Thierry Meyssan | 20 juin 2017 | URL de l’article original : http://www.voltairenet.org/article196878.html

Alors que les États du Moyen-Orient élargi se divisent entre partisans et adversaires du cléricalisme, Washington, Moscou et Pékin négocient une nouvelle donne. Thierry Meyssan évalue l’impact de ce tremblement de terre sur les conflits palestinien, irako-syrien et yéménite.

La crise diplomatique autour du Qatar a gelé divers conflits régionaux et a masqué des tentatives de règlements de quelques autres. Nul ne sait quand aura lieu le lever de rideau, mais il devrait faire apparaître une région profondément transformée.

1— Le conflit palestinien

Depuis l’expulsion de la majorité des Palestiniens hors de chez eux (la Nakhba, le 15 mai 1948) et le refus par les peuples arabes de ce nettoyage ethnique, seules la paix séparée israélo-égyptienne des accords de Camp David (1978) et la promesse d’une solution à deux États des accords d’Oslo (1993) ont partiellement modifié la donne.

Cependant lorsque l’on révéla les négociations secrètes entre l’Iran et les États-Unis, l’Arabie saoudite et Israël décidèrent à leur tour de discuter. À l’issue de 17 mois de rencontres secrètes, un accord fut conclu entre le Gardien des deux mosquées et l’État juif [1]. Celui-ci se concrétisa à travers la participation de Tsahal à la guerre du Yémen [2] et le transfert de bombes atomiques tactiques [3].

Rappelons que cet accord prévoyait également de faire évoluer l’Arabie saoudite de sorte que sa société reste salafiste et que ses institutions deviennent laïques. Il prévoyait aussi l’indépendance du Kurdistan irakien (qui tiendra un référendum en septembre) et l’exploitation à la fois des champs gaziers du « quart vide » (qui sont à cheval sur l’Arabie et le Yémen, d’où la guerre actuelle) et de ceux de l’Ogaden (d’où le retrait cette semaine des troupes qataries de la frontière djiboutienne).

En définitive, l’Égypte a décidé de céder les îles de Tiran et de Sanafir à l’Arabie saoudite, comme elle s’y était engagée il y a un an. Ce faisant, Riyad a reconnu de facto les accords de Camp David qui gèrent notamment le statut de ces territoires. Israël a confirmé avoir obtenu des garanties saoudiennes.

Observons que la décision égyptienne n’a pas été prise sous la pression saoudienne (Riyad avait vainement bloqué ses livraisons de pétroles, puis un prêt de 12 milliards de dollars), mais en raison de la crise du Golfe. Les Séoud ont officialisé leur rupture avec les Frères musulmans qui couvait depuis la transmission par le président al-Sissi de documents attestant d’un projet de coup d’État de certains membres de la Confrérie contre eux. Dans un premier temps, l’Arabie avait cru pouvoir discerner entre de bons et de mauvais Frères musulmans. Elle avait déjà accusé le Qatar de soutenir les putschistes, mais les choses avaient évolué pacifiquement cette fois. Désormais Riyad entend combattre toute la Confrérie ce qui le conduit à revoir sa position à propos de la Syrie.

La cession de ces îles, égyptiennes depuis la Convention de Londres de 1840, n’a d’autre sens que de permettre à l’Arabie saoudite de reconnaître implicitement, 39 ans plus tard, les accords de paix égypto-israéliens de Camp David.

De son côté, Téhéran a accueilli la direction politique du Hamas (laquelle est principalement composée de Frères musulmans) à la fois au nom de la solidarité avec la cause palestinienne et parce qu’il partage la même conception de l’islam politique.

La prochaine étape sera l’établissement de relations commerciales publiques entre Riyad et Tel-Aviv ainsi que l’expose The Times du 17 juin (des sociétés israéliennes seraient autorisées en Arabie et la compagnie d’aviation El-Al pourrait utiliser l’espace aérien saoudien) [4], puis la reconnaissance de l’initiative de paix du prince Abdallah (Ligue arabe, 2002) et l’établissement de relations diplomatiques (le prince Walid ben Talal deviendrait ambassadeur) [5].

Ce projet pourrait amener à la paix en Palestine (reconnaissance d’un État palestinien et indemnisation des réfugiés), au Liban (retrait des fermes de Shebaa) et en Syrie (arrêt du soutien aux jihadistes et retrait du Golan).

La question du Golan sera particulièrement difficile car l’administration Netanyahu a affirmé —non sans provocation— son annexion tandis que les États-Unis et la Russie ont violemment réagi à l’expulsion de la Force des Nations unies chargée d’observer le dégagement (FNUOD) et à sa substitution par al-Qaïda [6]. Il n’est cependant pas impossible qu’au cours de la guerre de Syrie, Washington ou Moscou ait pris l’engagement auprès de Tel-Aviv de ne pas modifier le statu quo du Golan.

Ce projet de règlement général reflète la méthode des hommes d’affaire Donald Trump et Jared Kushner : créer une situation économique qui impose un changement politique. Il se heurtera nécessairement à l’opposition des Frères musulmans (Hamas), et du triangle de l’islam politique : l’Iran, le Qatar et la Turquie.

2— Le conflit irako-syrien

La totalité des acteurs de la région s’accordent à considérer qu’aujourd’hui l’Irak et la Syrie forment un unique champ de bataille. Toutefois les Occidentaux, qui s’accrochent aux mensonges de l’administration Bush Jr. (même s’ils admettent l’inanité des armes de destruction massives imputées à Saddam Hussein) et à la narration romantique des « printemps arabes » (même s’ils reconnaissent que ce mouvement n’a jamais tenté d’apporter de liberté mais au contraire d’imposer l’islam politique), s’entêtent à les considérer comme distincts.

Nous renvoyons nos lecteurs à mon livre Sous nos yeux pour ce qui concerne la manière dont la guerre a débuté [7]. Toujours est-il que depuis le début de la crise autour du Qatar, la guerre se limite en Irak et en Syrie à

(1) la lutte contre Daesh (Mossoul et Rakka) et à

(2) celle contre la Turquie (Baachiqa et Al-Bab) [8].

Ce qui est évident pour tous dans la région, c’est que depuis l’accession au pouvoir à Pékin du président Xi Jinping porteur du projet des deux routes de la soie, Washington a poussé à la création d’un « Sunnistan » à cheval sur l’Irak et la Syrie. Pour ce faire, il a financé, armé et encadré Daesh afin de couper l’axe de communication Beyrouth-Damas-Bagdad-Téhéran-Pékin.

Depuis quatre mois, l’administration Trump étudie et négocie la manière dont elle pourrait modifier cette politique et conclure un partenariat avec Pékin au lieu de la confrontation actuelle [9].

Alors que sur le terrain, s’enchaînent des événements contradictoires, les armées irakienne et syrienne ont subitement avancé depuis le début de la crise autour du Qatar. Elles ont libéré de Daesh leurs territoires frontaliers et sont aujourd’hui sur le point d’établir leur jonction (c’est-à-dire de rétablir la route de la soie). Les deux armées ne sont plus séparées que par deux cent mètres de terrain contrôlés illégalement par l’armée US [10].

Quant aux combats au Sud de la Syrie, ils ont miraculeusement cessé. Un cessez-le-feu a été proclamé unilatéralement par Damas à Deraa. En réalité, Moscou et Washington ont donné l’assurance à Tel-Aviv que la Syrie ne laisserait se déployer à sa frontière que des troupes russes et non pas iraniennes, pas plus que celles du Hezbollah libanais.

Bref, si le Pentagone suit les ordres de la Maison-Blanche, le conflit devrait largement cesser. Il ne resterait que l’occupation turque de l’Irak et de la Syrie, sur le modèle de l’occupation turque de Chypre dont l’Union européenne s’est lâchement accommodée. Les États-Unis et l’Arabie saoudite qui étaient des ennemis de l’Irak et de la Syrie redeviendraient à nouveau leurs alliés.

3— Le conflit yéménite

Les Yéménites pourraient faire les frais de l’évolution actuelle. S’il est clair que l’Arabie saoudite est entrée en guerre pour installer un gouvernement favorable à l’exploitation jointe des champs pétroliers du « Quart vide » et pour la gloire personnelle du prince Mohamed Ben Salman, il semble que l’aide apportée par l’Iran aux Houthis et à l’ancien président Saleh détourne les yeux des pays arabes et de la « communauté internationale » des crimes qui s’y commettent.

Il faut en effet choisir son camp et presque tous ont opté pour l’Arabie saoudite contre le Qatar et ses alliés turc et iranien. Ce qui était positif en Palestine, en Irak et en Syrie, s’avère négatif au Yémen.

Conclusion

Depuis le 5 juin et la rupture des relations diplomatiques entre Riyad et Doha, les chancelleries se préparent toutes à une possible guerre, même si seule l’Allemagne l’a évoquée publiquement. Cette situation est d’autant plus surprenante que c’est le Qatar et non l’Arabie saoudite qui est observateur à l’Otan [11].

Des démissions s’enchaînent à Doha, de l’ambassadrice des États-Unis Dana Shell Smith, au sélectionneur de l’équipe nationale de football Jorge Fossati. Non seulement les États alignés sur Riyad ont coupé leurs relations commerciales avec l’émirat, mais de nombreuses sociétés sans liens particulier avec le Golfe en ont fait de même au vu du risque de guerre. C’est le cas par exemple de COSCO, la plus grande compagnie maritime chinoise.

Quoi qu’il en soit, malgré ses revendications historiques justifiées, il semble impossible que l’Arabie saoudite annexe le Qatar alors qu’elle s’était opposée à l’annexion du Koweït par l’Irak pour les mêmes raisons. Une règle s’est imposée dans le monde depuis la décolonisation britannique : nul n’a le droit de toucher à des frontières conçues par Londres, dans le seul et unique but de maintenir des problèmes insolubles pour les nouveaux États indépendants. De cette manière Londres maintient de facto leur dépendance perpétuelle à son égard. Au demeurant l’arrivée prochaine de 43 000 soldats pakistanais et turcs venus défendre le Qatar devrait renforcer sa position.

[1] « Exclusif : Les projets secrets d’Israël et de l’Arabie saoudite », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 22 juin 2015.

[2] « La Force « arabe » de Défense commune », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 20 avril 2015.

[3] « Le Proche-Orient nucléarisé ! », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 7 mars 2016.

[4] “Saudi trade talks with Israel are historic first”, Michael Binyon & Gregg Carlstrom, The Times, June 17th, 2017.

[5] « Exclusif : L’Arabie saoudite construit une ambassade en Israël », Réseau Voltaire, 29 mai 2016.

[6] « Le Conseil de sécurité s’apprête à enjoindre à Israël de rompre avec al-Qaïda », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 2 juillet 2016.

[7] Sous nos Yeux. Du 11-Septembre à Donald Trump, éditions Demi-Lune, 2017.

[8] « Invasion militaire turque de l’Irak », par Ibrahim Al-Jaafari, Réseau Voltaire, 19 octobre 2016.

[9] « Trump : le business contre la guerre », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 14 février 2017.

[10] « Les USA empêcheront-ils la réouverture de la route de la soie ? », Réseau Voltaire, 17 juin 2017.

[11] « Israël et des émirs dans l’Otan », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie) , Réseau Voltaire, 13 mai 2016.

Je complète cette analyse ;

Sur la guerre au Yémen ;

Les écrits, publications et livre du Dr. Ashraf Ezzat, qui ne dit jamais que l’histoire de la bible est une invention. Mais prouve juste que la location GÉOGRAPHIQUE de cette histoire n’est pas la bonne. Et qu’il ne faut pas chercher en Égypte ou en Palestine des traces de  » l’ Exode  » ou du « Palais de Salomon » mais dans le Sud de l’Arabie Saoudite et au Yémen.  À lire ou à télécharger la version PDF {3} de 39 pages des travaux de recherche, publications du Dr. Ezzat ; Traduction de la Bible et Escroquerie Historique  ; Ezzat y traite de plus la question des « Racines juives de la culture takfirie » et j’ai pour ma part, rajouté le dossier sur l’Opération « Tapis Volant » qui a consisté à rapatrier, de 1949 à 2016, tous les juifs du Sud Yémen, en Israël… ICI & .

Je rajoute la transcription complète de sa dernière vidéo dans laquelle il explique que l’esclavage n’était pas une pratique fréquente en Égypte antique ce qui remet en cause nombre de récits ICI.

Sur le changement de coquille en cours ;

En zig et en zag, quand même ;

Washington déclare la guerre aux Gardiens de la Révolution Iranienne – Source Almanar + Analyses

Le néonazisme en Europe est OTAN par Manlio Dinucci via R71 source Comité Valmy

La danse du sabre de Trump a déclenché la guerre des Wahhabites par Pepe Escobar – Traduction R71

10 mythes sur Israël par l’historien israélien Ilan Pappé – Traduction R71

Israël-Arabie Saoudite : Une alliance solide par Stefano Mauro, source investigation.net

Affutons nos idées donc et pour nous permettre de mordre le cul du Bernard…

Et de ne plus le lâcher !

JBL1960

L’illustration est de Romain Lardanchet ► Cité Bernard L’Hermite

13 réflexions sur « Bernard de Grande-Bretagne manœuvre au Moyen-Orient… »

  1. En complément de lecture, côté Vatican allié et acteur du N.O.M. ;

    Cet article s’appuie, en partie, sur le livre du docteur Alberto Rivera, qui avait été prêtre jésuite et évêque de l’église catholique romaine. Il avait des responsabilités à l’intérieur de l’église et il avait effectué des recherches intensives sur l’église catholique romaine. Dans le cadre de ses responsabilités, il avait été exposé à des situations et informations graves concernant l’église et qu’il a voulu ensuite dénoncer : atrocités de l’église catholique romaine dénoncés dans son livre « les crimes du Vatican ». Le Dr Alberto Rivera est mort le 20 juin 1997.
    Le Dr Rivera avait pour principal objectif de dénoncer le rôle de l’église catholique romaine dans les différents courants politiques et économiques mondiaux. Cet article n’est pas une affirmation : il est d’abord une question. Il s’appuie sur des facteurs objectifs et il a pour but d’être un outil afin d’attiser les discussions et les débats. Cet article existe aussi pour poser des questions sur le rôle de l’église catholique romaine dans la lutte de classe à travers toutes les périodes de l’histoire. Nous pourrons constater que dans différentes périodes de l’histoire, l’église a toujours joué un rôle fondamental dans les différents courants politiques : qu’il s’agisse des monarchies ou des républiques.
    1ère partie ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/06/19/confessions-intimes/

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  2. 2ème partie ;
    https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/06/21/confessions-intimes-suite-et-fin/

    Vatican impérialisme et nouvelle inquisition… Les confessions d’un évêque jésuite : Alberto Rivera… Suite et fin

    Daesh ne serait il pas une nouvelle forme d’inquisition du Vatican ?

    Le plan

    Dans ce plan ont été classés deux groupes de personnes :

    1-Les croyants : protestants, orthodoxes, musulmans, bouddhistes, mormons, églises occultes, religions orientales, méditation transcendantale, témoins de Jéhovah, juifs.

    2-Les non croyants : communistes, loges maçonniques, société secrètes, socialistes, athées, anarchistes, etc.

    De là une question se pose :

    Le plan d’un nouvel ordre mondial se dessine-t-il, dans lequel l’église catholique romaine voudrait jouer un rôle essentiel ?

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  3. http://reseauinternational.net/le-complot-secret-pour-chasser-theresa-may/

    Et sur ce blog, depuis le départ, j’explique que c’est aussi ça Le Plan ;

    L’oligarchie européiste de ce N.O.M. ne laissera partir la Grande Bretagne de l’UE. Déjà les psychopathes aux manettes l’avaient pas vu arriver tellement certains de leur main mise sur les peuples donc il n’y a aucune chance que la Grande Bretagne sorte de l’UE.

    Déjà on apprend qu’il faudra passer par un vote au parlement qui est pro-européen à donf. Que la procédure de sortie de l’UE prendrait entre 2 et 10 ans et donc qu’entre temps les politicards de tous poils gèleront le projet.
    Ce qui est sûr c’est qu’ils vont tout tenter pour faire oublier tout ça, c’est les champions du monde du camouflage et pour faire sortir ce Grand Bazar des feux de la rampe merdiatique, allez au hasard ;

    Un attentat bien sanglant ?

    C’était l’an dernier, en appui de Greg Tabibian, d’une analyse de Meyssan sur le Brexit et pas mal d’autres choses ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/06/26/et-vlog/

    Et 1 an après, il y a eu Londres, Manchester, Londres…
    Gladio ou Djihad 3.0…

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  4. Alors en France, aujourd’hui le Ministre de l’intérieur de MacDeRoth lui nous sort ça ; http://www.lopinion.fr/edition/politique/antiterrorisme-gerard-collomb-devoile-projet-loi-129366

    Gérard Collomb, c’est celui qui chialait lors du sacre du MacronLeon ; http://www.huffingtonpost.fr/2017/05/14/lors-de-la-passation-de-pouvoir-gerard-collomb-emu-aux-larmes-d_a_22085701/

    =*=

    Tu m’étonnes, y savait déjà combien il allait nous péter les gencives pour éviter de se faire mordre le cul, le Gérard !!!

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