Bibi qui pleure ou Bibi qui rit…

Et inversement…

Bah on ne sait plus !

Le Congrès Américain vient de dénoncer la résolution Onusienne qui avait mis Bibi dans un état de führer incroyable que même le rampant Estrosi n’avait pu calmer malgré la promesse de don de 50 000 € à une organisation qui soutient la colonisation : ici et .

États-Unis, Congrès américain : Républicains et démocrates dénoncent la résolution de l’ONU sur Israël

La Chambre des représentants des États-Unis a condamné jeudi à une large majorité la résolution votée en décembre au Conseil de sécurité de l’ONU sur les implantations israéliennes.

La résolution parlementaire, à forte valeur symbolique mais qui ne fait pas force de loi, a été adoptée par 342 voix contre 80. La majorité républicaine a été quasiment unanime, et une majorité du groupe démocrate a également voté pour.

Elle appelle au retrait de la résolution 2334 du Conseil de sécurité qui réclame l’arrêt de la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens.

La résolution onusienne, adoptée le 23 décembre, avait pu être adoptée grâce à l’abstention des États-Unis, sur ordre de Barack Obama.

« Ce gouvernement a abandonné notre allié Israël, quand il avait le plus besoin de nous », a lancé à la tribune Paul Ryan, président de la Chambre.

Les parlementaires américains se désolidarisent complètement du président démocrate sortant et demandent par leur résolution le retrait de la résolution onusienne ou sa modification « afin qu’elle ne soit plus unilatérale et anti-Israël » et permette une solution au conflit par « des négociations bilatérales directes entre les deux parties ».

Le Congrès prend régulièrement la défense d’Israël, notamment en votant des aides militaires et financières généreuses. Le Premier ministre Benyamin Netanyahou a été invité au Capitole pour un discours en 2015 par la majorité républicaine.

« Le gouvernement américain doit s’opposer et mettre son veto à toute résolution future du Conseil de sécurité des Nations unies qui chercherait à imposer des solutions aux questions de statut final, ou qui serait unilatérale et anti-Israël », insiste le texte parlementaire.

Le Sénat doit adopter une résolution similaire, là encore avec le soutien d’élus républicains et démocrates.

Source et URL de l’article ► http://www.europe-israel.org/2017/01/etats-uniscongres-americain-republicains-et-democrates-denoncent-la-resolution-de-lonu-sur-israel/

◄►

Voilà comment Républicains et Démocrates travaillent ensembles depuis toujours et voici la preuve que ça continuera !

Nous avons donc un début de réponse à la question que se posait Jonas Alexis le 23 décembre dernier dans Veterans Today

De plus, si le nouveau président élu Donald Trump veut vraiment mettre en application son plan de “L’Amérique avant toute chose”, alors il a vraiment besoin de couper la tête du serpent, que nous savons tous être le régime israélien. Ce serpent a enroulé ses anneaux autour des politiciens occidentaux depuis des années et des années et il est grand temps que nous arrêtions cette alliance inconditionnelle avec ce serpent.

Trump peut parler de “L’Amérique avant toute chose” jusqu’au bout de la nuit, mais tant que nous ne nous attaquons pas à la véritable racine du problème, nous retournerons sans cesse au schéma de guerre perpétuelle parce que “L’Amérique avant toute chose” et un soutien inconditionnel à Israël sont deux choses antithétiques. Non seulement çà, mais elles sont en guerre l’une avec l’autre. Ces quatre prochaines années, l’une va prévaloir sur l’autre et nous ne pouvons qu’espérer que ce ne soit pas le serpent qui prévale…

Et j’avais déjà expliqué que ça ne risquait d’arriver dans ce billet du gui l’An neuf là ► Le dernier jour du Nouveau Monde

Ah bah ça n’a pas trainé…

Trump le sioniste ou Trump l’antisémite ?…

Et inversement, ça marche aussi ! Et on ne sait plus non plus…

Et grâce à Résistance71 qui traduit voici l’avis de Uri Avnery & Gush Shalom sur cette affaire Onusienne qui n’a pas fini de faire couler de l’encre, de la bile et du fiel…

Résistance au colonialisme : Janus, Trump, Israël et conseil de sécurité de l’ONU…

Janus, dans la mythologie romaine, dieu aux deux visages, dieu des commencements et des fins, un visage vers le passé, l’autre vers l’avenir…

~Résistance 71 ~

Sionistes antisémites

Uri Avnery & Gush Shalom* | 31 décembre 2016 | URL de l’article original : http://www.veteranstoday.com/2017/01/01/avnery-the-unsc-resolution/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

(*) Uri Avnery est écrivain, journaliste israélien et le fondateur du mouvement pour la paix “Gush Shalom”, 94 ans, juif allemand émigré en Palestine en 1933, ancien de l’Irgoun, ancien député de la gauche israélienne à la Knesset, anti-sioniste.

Ce qui m’a particulièrement touché fut les applaudissements. Ils étaient là, assis autour de la table (du Conseil de Sécurité de l’ONU), les représentants du monde entier, applaudissant leur propre boulot, la résolution qu’ils venaient juste d’adopter unanimement.

Le CS de l’ONU, comme la Knesset, n’est pas habitué aux applaudissements ou à toute autre manifestation spontanée et pourtant ils frappèrent dans leurs mains comme des enfants qui venaient de recevoir leurs cadeaux de Noël. C’était en fait la veille de Noël et le 1er jour d’Hanoukah, une coïncidence qui se produit une fois par décennies dans la mesure où les chrétiens utilisent un calendrier solaire et les juifs un calendrier lunaire modifié.

Les délégués étaient joyeux au point du délire. Ils venaient juste de faire quelque chose qui leur échappait depuis bien des années: condamner la violation ouverte de la loi internationale par le gouvernement d’Israël.

Des présidents consécutifs des États-Unis ont utilisé leur pouvoir anachronique de veto pour empêcher l’ONU de faire son devoir. Maintenant, le président Barack Obama, à la toute fin de sa présidence, osa défier le gouvernement de Benjamin Netanyahou, une personne qu’il déteste du plus profond de son cœur.

Ainsi donc, après des années de frustration, le corps le plus élevé de la réglementation internationale a pu adopter une résolution sur Israël en accord avec ses convictions profondes. Pas étonnant qu’ils se comportèrent comme des gamins quittant l’école pour les grandes vacances. Des vacances qui hélas pourraient bien être de très courte durée.

A l’analyse, cette joie était sans doute exagérée. La résolution n’avait pratiquement aucune signification. Elle n’avait pas de pouvoir puisque non contraignante. Netanyahou aurait pu utiliser le vieil adage oriental et dire: “les chiens aboient et la caravane passe” ; mais la réaction immédiate de Netanyahou fut bien différente. Il a agi comme un animal blessé: pétant les plombs, gesticulant, mordant tout ce qui passait à sa portée.

Certaines de ses réactions frisèrent le ridicule. Il aurait pu minimiser la résolution, la moquer, comme tant de leaders israéliens l’ont fait auparavant. Au lieu de cela, il a rappelé ses ambassadeurs du Sénégal et de Nouvelle-Zélande (traditionnellement des nations amies dociles), annula des visites de personnalités étrangères, appela les ambassadeurs étrangers pour un remontage de bretelles le jour de Noël, insulta et calomnia le président Obama.

C’était bien évidement une chose stupide à faire. Le président américain a toujours 21 jours de mandat à effectuer, 21 longs jours qui pourraient faire bien du mal à Netanyahou. Il pourrait par exemple, permettre le vote d’une résolution irrévocable de l’ONU reconnaissant l’état de Palestine comme membre de plein droit de l’ONU. En ce moment, tous les hauts-fonctionnaires israéliens sont en panique totale en anticipation d’une telle chose.

Si Netanyahou avait lu Machiavel, il saurait qu’on ne défie pas un lion, à moins d’être capable de le tuer. Spécifiquement pourrais-je ajouter, un lion que vous avez insulté et blessé plusieurs fois auparavant. Même les lions parfois se fâchent. Mais l’attitude de Netanyahou n’est peut-être pas si stupide qu’il y paraît. En fait, elle pourrait même être maligne, tout dépend de son objectif.

Comme stratégie diplomatique, c’est absolument désastreux. Mais comme stratégie électorale, c’est intéressant. Voilà le grand héro, le nouveau roi David, combattant pour son peuple, faisant face à la terre entière. Y a t’il quelqu’un en Israël qui pourrait se comparer à lui ?

Dans les vieux mauvais jours de l’ère Golda Meir, un des orchestres militaires israéliens chanta une chanson joyeuse qui commençait avec ces mots: “Le monde entier est contre nous/Mais on en a rien à foutre…” l’orchestre dansait aussi sur la musique.

Pour une raison inconnue, les juifs sont satisfaits de la condamnation du monde entier. Cela ne fait qu’affirmer ce que nous savons depuis bien longtemps: que les nations du monde nous détestent. Cela montre à quel point nous sommes spéciaux et supérieurs. Cela n’a bien entendu rien à voir avec notre attitude, non, non, ce n’est juste que pur anti-sémitisme.

Netanyahou est parti pour faire plus fort que Golda (Meir). La vieille bonne femme maintenant le contemple du ciel (ou de l’enfer ?) avec envie.

Le Sionisme était supposé libérer Israël de ces vieux complexes juifs. Nous étions supposés devenir une nation normale, des Israéliens au lieu de juifs “exilés”, admirés par les autres nations. Il semblerait qu’on n’ait pas réussi la manip’.

Mais il y a un grand espoir, un espoir géant en fait qui s’appelle Donald Trump.

Il a déjà twitté qu’après son intronisation au pouvoir, tout allait changer en ce qui concerne l’ONU. Vraiment ? Y a t’il quelqu’un, lui inclus, qui sait vraiment ce qu’il a en tête ? Netanyahou peut-il en être si certain ?

C’est vrai, il a envoyé un juif américain enragé ultra-méga sioniste comme ambassadeur à Tel Aviv (ou à Jérusalem on verra) ; un type tellement à droite qu’il fait passer Netanyahou pour un gauchiste.

Mais dans le même temps Trump a nommé comme son assistant le plus proche un suprémaciste blanc radical possédant tout le pedigree antisémite. Peut-être, comme le croient certains, cela dépendra de l’humeur de Trump. Qui sait de quelle humeur sera t’il le jour du premier vote important à l’ONU sur Israël ? Sera-ce Trump le sioniste ou Trump l’antisémite ?…

En fait, çà pourrait bien être les deux, pas de problème vraiment. Le but avoué du sionisme est de rassembler tous les juifs du monde dans un état juif. Le but avoué de tous les antisémites est de virer tous les juifs de leurs pays. Les deux côtés veulent la même chose !! Pas de conflit là-dessus.

Theodor Hertzl, le père fondateur du sionisme (moderne), a reconnu cela depuis le départ. Il alla en Russie tsariste, dont le gouvernement était profondément antisémite et offrit un accord: on vous retire les juifs de chez vous, mais vous nous aider à les convaincre de partir. C’était au bon vieux temps des pogroms meurtriers. Mais les juifs qui s’enfuirent de Russie allèrent en masse aux États-Unis, très peu d’entre eux s’en allèrent en Palestine sous contrôle ottoman (turc).

Ceci ne fut pas un chapitre unique de cette histoire. Au travers de l’histoire sioniste, bien des tentatives ont été faites pour enliser les antisémites afin d’aider à la mise en place du projet sioniste.

Avant même que le mouvement sioniste ne naisse. Les évangélistes américains et britanniques prêchèrent le rassemblement des juifs exilés sur la terre sainte. Ils furent peut-être une inspiration pour Hertzl. Mais quoi qu’il en soit, ce message de rédemption pour les juifs avait une clause secrète.

Le retour des juifs en Palestine permettrait la seconde venue du christ. Mais alors, les juifs se convertiraient au christianisme. Ceux qui refuseraient seraient annihilés.

En 1939, lorsque le danger nazi devint évident, le leader extrémiste sioniste Vladimir (Ze’ev) Jabotinski appela pour une réunion de ses suiveurs en Pologne. Les leaders de l’armée secrète de l’Irgoun en Palestine furent de cette réunion. L’un d’entre eux était Abraham Stern, de son nom de guerre Ya’ir.

La réunion déboucha sur la décision d’approcher les commandants antisémites de l’armée polonaise et de leur offrir un accord: vous armez et entrainez la jeunesse juive polonaise et nous libérerons la Palestine et y transporterons les juifs polonais. Les officiers acquiescèrent et des camps d’entrainement furent établis en Pologne. La seconde guerre mondiale mit un terme à ce plan.

Avec la guerre, Jabotinski, ardent anglophile malgré tout, ordonna à l’Irgoun d’arrêter toutes actions et de coopérer avec les britanniques. Stern proposa une approche inverse. Son credo était: notre ennemi est la Grande-Bretagne. La guerre nous donne une grande opportunité de les mettre dehors. L’ennemi de notre ennemi est notre ami. Adolf Hitler est un antisémite, mais maintenant il est notre allié potentiel.

L’approche de Stern causa une scission de l’Irgoun. Un débat envenimé éclata dans toutes les cellules secrètes. J’y pris part alors que j’avais juste 16 ans. Étant un réfugié de l’Allemagne nazie, je rejetais la thèse de Stern.

Stern créa alors son propre groupe, plus tard appelé Lehi, initiales hébreux de Combattants pour la Liberté d’Israël, aussi connu sous le vocable de “Gang de Stern”. Il envoya un émissaire à la Turquie neutre, où il fit délivrer une lettre adressée à “Mr. Hitler” à l’ambassadeur allemand en place, y offrant sa coopération. Hitler n’y répondit pas. C’était bien sûr avant l’holocauste.

Stern fut attrapé par les Britanniques et abattu “en tentant de s’échapper”. A la fin de la guerre et lorsque l’URSS devint l’ennemi de la GB et de l’occident, les héritiers de Stern approchèrent Staline et leui offrirent leur coopération. Staline, dont l’antisémitisme grandissait à cette époque, ignora l’offre.

Pendant la guerre, un des architectes de l’holocauste fut Adolf Eichmann, l’officier SS qui fut en charge de l’organisation du transport des juifs hongrois vers Auschwitz. A Budapest, il établit le contact avec un groupe de sionistes emmené par Israël Kastner, avec qui il passa un accord. Comme geste de bonne volonté, il lui permit d’envoyer plusieurs centaines de juifs en Suisse neutre.

Eichmann envoya un membre du groupe, Yoel Brand, à Istanboul, porteur d’une offre paraissant démente au leadership sioniste à Jérusalem: si les alliés fournissaient aux nazis 1000 camions, la déportation des juifs hongrois seraient arrêtée.

Contrairement aux instructions qu’il avait reçues, Brand passa la frontière en Syrie occupée par les Britanniques et y fut arrêté. La déportation des juifs hongrois, dix mille par jour, continua.

Quel était le but des nazis dans cette affaire bizarre ? Ma propre théorie est que Heinrich Himmler était déjà déterminé à détrôner Hitler et à faire la paix avec les alliés occidentaux. Eichmann servait son plan d’établir le contact avec les alliés. En tant qu’antisémite convaincu, Himmler était convaincu que les juifs contrôlent le monde.

Quelque temps après la guerre, en captivité en Israël, Eichmann écrivit ses mémoires. Il déclara qu’il croyait que les sionistes étaient l’élément “biologiquement positif” de la race juive. Mahmoud Abbas, soit dit en passant, a écrit sa thèse de doctorat à l’université de Moscou sur la coopération entre les nazis et les sionistes.

Les assistants de Trump peuvent-ils inclure dans le même temps des sionistes enragés et des antisémites tout aussi enragés ? Bien sûr que cela est possible !

Cette semaine, notre ministre de la défense de l’extrême droite Avigdor Lieberman, a condamné le plan français de réunir à Paris dans quelques jours, une conférence sur la paix israélo-palestinienne.

Le gouvernement israélien a peur que là, le ministre des AE américain John Kerry, n’y soumette son plan pratique détaillé pour un accord de paix, incluant l’établissement de l’état de Palestine. Ce plan serait adopté à la conférence, puis par le CS de l’ONU.

Ceci constituerait le coup de départ du président Obama. Pas de veto. Au fait, le plan de Kerry est presque identique à celui qu’un de mes amis et moi-même avions publié en 1957, il y a 59 ans et appelé “Le Manifeste Hébreu”.

En fureur totale, Lieberman a comparé cela avec l’affaire Dreyfus. Il y a quelques 120 ans, un capitaine juif de l’armée française fut condamné à tort pour espionnage au profit de l’Allemagne et fut envoyé au bagne de Cayenne sur l’île du diable. Il fut plus tard acquitté. La mythologie sioniste veut que Theodor Herzl, alors correspondant à Paris pour un journal autrichien, fut si secoué par cette affaire que cela lui inspira son idée sioniste.

La conférence de Paris à venir, a supputé Lieberman très colère, est une nouvelle affaire Dreyfus, simplement cette fois-ci, il s’agit du peuple juif entier. Mais pas d’inquiétude à avoir : Donald Trump et ses sionistes antisémites vont tout remettre en ordre.

URL de l’article R71 ► https://resistance71.wordpress.com/2017/01/06/resistance-au-colonialisme-janus-trump-israel-et-conseil-de-securite-de-lonu/

◄|►

Alors c’est les grandes manœuvres pour contrer le sommet de Paris qui doit débuter le 15 janvier :

http://www.i24news.tv/fr/actu/israel/diplomatie-defense/134338-170105-israel-mene-une-offensive-diplomatique-visant-a-contrecarrer-le-sommet-de-paris

On leur rappellerait pas les travaux de recherches du Dr Ashraf Ezzat pour mettre tout le monde d’accord ?

https://jbl1960blog.wordpress.com/wp-content/uploads/2016/12/draezzatdec2016.pdf

Ou pas..

On n’a pas le cul sorti des ronces hein ?

Allez OUVRONS L’ŒIL !  et le bon parce que le François le Pieu veille lui et c’est pas sur nous, non ► Gaulliste et de surcroît chrétien, je suis ?

Pour la société des sociétés !

Un grain de sel, ou de poivre ; On ne sait plus…

JBL1960

10 réflexions sur « Bibi qui pleure ou Bibi qui rit… »

      1. C’est la meilleure qui soit, ceci dit… Si je vous la pique dois-je vous verser des droits d’auteur ? Hi hi hi ! Je m’amuse d’un rien, et comme je peux, voyez ! Jo

        J’aime

    1. Merci vous êtes bien bon ! En même tant je suis fauchée comme les blés… Toujours autant invisible, peut-être même plus encore… Mais debout, bon bossue, et tordue… Des dents en moins, mais la rage au cœur, alors ! Jo

      J’aime

Laisser un commentaire