UN DIVIN MENSONGE DE PLUS

OU DE TROP !

LA NOUVELLE ET FAUSSE JÉRUSALEM NOUS EST CONTÉE

Dans mon billet d’hier j’expliquais que le mythe du Détroit de Béring était un mensonge que Vine Deloria Jr (Décédé le 13 novembre 2005) avait appelé lui-même « La théorie de la connerie » ; Ici. Cette théorie dit que le Nouveau Monde n’était pas aussi vieux que l’ancien monde : ses peuples n’y avaient aucune présence ancienne.

Et ici aussi, on est dans la « Théorie de la connerie » est elle dure depuis plus de 2300 ans !

Et on est en mesure, aujourd’hui d’y mettre un terme !

Sur ce blog le début de l’histoire commence ici et , et encore ou ici. Mais ici aussi…

Cette fois, il est question de Jérusalem qui n’est pas celle qu’on croit, ni même celle qu’on voudrait vous faire croire et encore moins celle à laquelle beaucoup voudraient que l’on croit, encore et toujours…

Grâce à Résistance71 qui continue de traduire le Dr Ashraf Ezzat ça va devenir compliqué pour Benjamin Netanyahou l’État d’Israël et sa capitale Jérusalem de faire durer le mensonge, prétendument d’origine biblique voire divine…

Mythologie et falsification biblique… Si Jérusalem m’était contée (Ashraf Ezzat)

“Après 70 ans d’excavations et de fouilles extensives sur la terre d’Israël, les archéologues ont trouvé que les actions du patriarche sont des histoires de légende ; nous n’avons pas séjourné en Égypte, ni fait un exode, nous n’avons pas conquis la terre. Il n’y a pas non plus de mention de l’empire de David et de Salomon. Ceux qui s’y intéressent savent tout cela depuis des années, mais Israël est un peuple têtu et ne veut pas en entendre parler.”


~ Professeur Ze’ev Herzog :
chef du département d’archéologie et d’études de l’ancien Proche-Orient à l’université de Tel-Aviv, dans un entretien avec le magazine Ha’aretz le 29 octobre 1999 ~

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“Être ignorant de l’histoire, c’est être né hier.”
~ Howard Zinn ~

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« Par la tromperie tu feras la guerre. »
~ Devise du Mossad rapporté par Victor Ostrovsky ~

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Jérusalem, rien de saint à propos de la ville sainte

C’est au cœur même de l’histoire de Jérusalem qu’on trouve le plus sombre des secrets du sionisme : la tromperie…

Dr Ashraf Ezzat |  24 août 2015 |  Url de l’article original : https://ashraf62.wordpress.com/2015/08/24/jerusalem-nothing-holy-about-the-holy-city/

Le dimanche 26 juillet (2015), la ville de Jérusalem a été témoin d’un autre clash mortel entre Palestiniens et Israéliens. Cette fois-ci, l’émeute se tint dans la mosquée Al Aqsa.

Tout a commencé à cause de la colère des Palestiniens à l’encontre de l’accès des juifs au complexe durant une journée annuelle de deuil juif. Des Palestiniens lancèrent des pierres et des pétards tandis que la police tiraient des grenades à effet de choc. Ceci se produisit après que les forces de sécurité forcèrent le passage dans le complexe d’Al Aqsa avant que d’entrer brièvement dans la mosquée elle-même.

Des protestations éclatèrent dans les allées et ruelles de la vieille ville autour de la mosquée, les manifestants affrontant la police en chantant “Allahu Akbar” (Dieu est grand). Quelques fondamentalistes religieux juifs entrèrent dans le complexe tandis que la police répondait en tirant des grenades à effet de choc et bloquait l’entrée du site.

Le complexe Al Aqsa de la vieille ville de Jérusalem, un des points les plus chauds du Moyen-Orient, est dit être le site le plus sacré du judaïsme et le 3ème de l’Islam après La Mecque et Médine. Les musulmans appellent le site Al Haram Al-Sharif (noble sanctuaire) et se réfère à la mosquée comme celle la plus lointaine, ou Al Aqsa et “Bayt al-Muqaddas” en arabe, tandis que les juifs se réfèrent à l’endroit comme étant le Mont du Temple ou Har Hamoriya, la montagne Moriya.

Il y a deux raisons principales pourquoi Al Aqsa est considérée sainte pour les musulmans : en premier lieu, parce que les musulmans croient que la mosquée fut la première Qibla (direction vers laquelle les musulmans se dirigent pour faire leur prière) dans l’histoire de l’Islam et deuxièmement, elle est pensée être l’endroit duquel le prophète Mohamed fit son voyage nocturne miraculeux (Isra et Miraj) au paradis… Les narrations évoquent le voyage de Mohamed sur un coursier ailé vers la “mosquée la plus lointaine” où il mena d’autres prophètes comme Moïse, Abraham et Jésus dans une prière de style islamique (une indication claire de la proéminence de Mohamed sur les autres prophètes abrahamiques…). Puis Mohamed fit une ascension au paradis où il eut une brève rencontre avec Dieu qui lui donna des instructions à ramener aux musulmans fidèles.

En ce qui concerne les juifs, les narrations et aussi la bible hébraïque disent que le complexe Al Aqsa est identifié avec trois montagnes bibliques de location incertaine mais de la plus grande importance:

Le Mont Moriah où est supposé s’être produite l’histoire d’Isaac, le Mont Sion lieu de la forteresse des Jébusites originaux et le village qui fut celui de David et le Mont du Temple où le 3ème temple est supposé être réétabli au même endroit où Salomon construisit le premier. Quoi qu’il en soit, les trois interprétations sont controversives et controversées si pas carrément fausses.

Avant toute chose et avant même de commencer à patauger dans la dispute boueuse au sujet de la sainteté et de l’historicité des trois montagnes bibliques, ne commettons pas le pêché perpétuel qui consiste à prendre le narratif hébraïque pour argent comptant. En d’autres termes, employons ici un peu de pensée critique et arrêtons de prendre pour une fois tant le narratif hébreu que musulman pour vérités. Nous devrions enquêter sur tout ce qui rend cette ville sainte pour les juifs et les musulmans, même les détails les plus acceptés de tous comme pourquoi Jérusalem est appelée Yerushalayim en hébreu et “Qods/Qadas” en arabe.

Aliyah

Toute l’idéologie sioniste est fondée sur un simple mot hébreu qui porte une vieille connotation historique: Aliyah. Le mot veut dire “aller” (mieux même “migrer”) vers le haut, là où la nouvelle terre d’Israël est supposée se trouver. Aliyah fut et est toujours un des tenets le plus essentiel du sionisme qui appelle la diaspora juive de migrer (retourner) sur la terre d’Israël (Eretz Yisrael).

La question ici n’est pas de savoir si la diaspora juive devrait ou pas migrer vers Israël (bien évidemment qu’elle ne le devrait pas) ; mais plutôt nous devrions nous demander pourquoi le mot hébreu, Aliyah, spécifie t’il de manière univoque que la direction de la migration devrait se faire vers le haut.

Après réflexion, nous devrions facilement en venir à la conclusion que les hébreux originaux, avant de migrer vers la moderne Jérusalem, devaient venir d’une terre située au sud de la Palestine.

Et comme le livre hébraïque et la langue sont très anciens, alors Aliyah (en tant qu’ancien mot d’un monde ancien) voulait dire que les migrants juifs devaient avoir erré (avant de migrer) non pas en Europe ni en Amérique, mais dans le sud du Levant, là où se situent l’Arabie et le Yémen. C’est dans ce sens qu’ils allèrent plus haut (vers le nord) ou Aliyah, vers la Palestine (à partir du 4ème siècle AEC d’après nos recherches).

Comme je l’ai expliqué dans mon livre “Egypt knew no Pharaohs nor Israelites”, la totalité du livre israélite (incluant ses histoires de patriarches) est un cas de géographie perdue. Une bible hébraïque falsifiée (à sa traduction en grec) a gavé le monde d’une histoire falsifiée et d’une fausse géographie et ce depuis maintenant 2300 ans. Malheureusement, cette déception, cette falsification de masse a toujours effet en ce moment même.

Mon investigation de trois ans sur l’histoire de l’Égypte ancienne et sur les Israélites, combinée avec la recherche d’une communauté des plus sérieuse d’universitaires renommés (incluant la recherche pionnière du professeur Kamal Salibi “La bible s’en vint d’Arabie”), ont donné la même conclusion fondée sur les preuves disponibles: la bible hébraïque et ses histoires eurent lieu dans le sud de l’ancienne Arabie et au Yémen, comme ceci fut méticuleusement décrit par des historiens arabes classiques et qui offre de manière le théâtre réel des histoires israélites, des ses montagnes (monts), vallées, tribus (comme écrit et décrit dans la bible).

L’endroit actuel d’à la fois le Mont du Temple et la totalité de l’état d’Israël est fondé sur une idéologie, foncièrement fausse et mensongère. Toute l’affaire de la soi-disant terre sainte est tellement fausse et impie que même la vision musulmane d’Al Aqsa et Qods/Qadas est également fondée sur des narratifs déformés et faux.

Qades, comme mentionné dans la bible hébraïque est une montagne yéménite située à 80km au sud de la ville moderne de Taa’iz et elle n’a rien à voir avec Jérusalem. D’après le Hadith musulman (tradition), la première direction pour la prière (Qibla) se trouvait vers Bayt al-Muqaddas (de manière supposée le temple de Salomon), seulement pour réaliser que cela fut construit dans le Nord-Yémen et non pas la Jérusalem de Palestine comme tout le monde le croit (plus de détails la-dessus dans le livre).

Au IIIème siècle AEC, la bible hébraïque fut traduite en grec à la bibliothèque légendaire d’Alexandrie. Soixante-dix scribes juifs furent assignés la tâche par le roi Ptolémée II (le monarque grec de l’Égypte à l’époque). Dans la traduction grecque, les scribes juifs changèrent de manière frauduleuse le théâtre des histoires bibliques du nord-Yémen et sud de l’Arabie en Égypte et en Palestine.

Dans la version grecque déformée qui devint connue sous le nom de “bible septante” ou “bible des septantes”, l’Égypte a été faussement établie comme la terre de la détention et de la mise en esclavage des Israélites et son roi le Pharaon de Moïse. Rien dans la bible hébraïque n’a en fait fonctionné de la façon dont vous pensez, rien du tout. Les croyances des masses naïves durant 23 siècles jusqu’à aujourd’hui sont entièrement fondées sur une forgerie et un mensonge perpétré par des scribes juifs.

Ainsi, les histoires originales (et en fait humbles et tribales) des Israélites se sont actuellement passées dans l’Arabie et le Yémen anciens. Tous les contes hébreux n’ont absolument rien à voir avec la culture occidentale et jamais ils ne furent présentés de la sorte. Tout le livre est très local et reflète une culture tribale (arabe) locale extrêmement intolérante et violente. Le problème n’a pas seulement résidé dans la traduction déformée et manipulée de la bible hébraïque en grec, mais dans cette opportunité en or offerte aux contes tribaux et au dogme israélite, par cette traduction, de se disséminer dans la culture occidentale.

Retournons à la terre sainte et Al Aqsa en Palestine qui, à travers toute l’antiquité et le Moyen-Age fut considérée comme partie du Levant par les Romains et les Byzantins. Quant aux Arabes, ils ont toujours vu la Palestine comme une partie de Bilad El-Sham, la terre de Sham.

Seule Jérusalem fut nommée (Aelia) par les Arabes. Ceci fut vérifié par les termes de la rédition de la ville au calife musulman Oumar bin Al-Khattab, en 637 de notre ère et dans lesquels le calife Oumar se référait aux gens de Jérusalem comme les habitants d’Aelia (aucune mention de Jérusalem ni de Qades/Qods).

Les narratifs mentionnent que le calife Oumar durant une entrevue avec le patriarche orthodoxe Sophronius (patriarche de Jérusalem à l’époque), accepta la rédition de son peuple et se référait à lui sous le nom de peuple d’Aelia. Au contraire de l’histoire manipulée par les juifs, Jérusalem ainsi que la vaste majorité du Levant à l’époque étaient chrétien de manière prédominante en cette époque de la conquête musulmane. Ainsi parler d’une révolte juive et d’une très brève autonomie juive en Palestine en 614 suivant une très courte invasion perse les années précédentes est historiquement invalide.

Je ne veux pas dire que le christianisme fut plus tolérant que le judaïsme à cette époque ; au contraire, la nouvelle foi était profondément engoncée dans l’extrémisme et divisée au sujet de disputes christologiques hautement insignifiantes. Peut-être que cela aida à la diffusion de l’Islam, bien que par l’épée, dans ce qui fut contrôlé auparavant par l’empire byzantin: le Levant et l’Afrique du Nord.

Pour capitaliser sur sa victoire rapide sur tout le Levant, le calife Oumar décida de construire la première mosquée à Aelia (appelée Jérusalem dans les livres d’histoire). Oumar étant complètement étranger à cette ville nouvellement conquise et à son environnement, demanda à son conseiller principal de l’aider à choisir le bon endroit pour ériger la mosquée. Devinez qui s’en vint à l’aide du calife ? Oui, un autre scribe rabbin. Comme attendu, le rabbin d’Oumar s’ensuivit sur les traces des 70 rabbins et leur œuvre mensongère connue sous le nom de bible septante.

Le conseiller principal d’Oumar était Ka’ab al-Ahbaar, un rabbin juif de devinez où ? Et oui, encore du Yémen. Ka’ab est crédité pour avoir infiltré la littérature islamique avec une litanie d’histoires déformées et de narratifs, qui disent que l’endroit commença à être appelé “Al Aqsa” et “Bayt al-Muqaddas” à partir de ce moment.

Le rabbin d’Oumar provenait de la patrie des premiers Israélites: le Yémen, là où toutes les histoires et les guerres des Israélites se passèrent. Et oui, les histoires de Joseph, David et Salomon, et Moïse, toutes ces histoires se passèrent au Yémen. Les contes si dramatiques de captivité et d’esclavage qui commencèrent avec Joseph jusqu’à l’Exode de Moïse et ses suiveurs, tout cela ne se produisit pas en Égypte, mais dans un obscur village tribal yéménite du nom de “Mizraïm” (faussement traduit et vendu depuis longtemps, y compris de nos jours sur internet, par des scribes juifs comme étant l’Égypte).

L’histoire d’Abraham et la promesse d’Isaac/Ismaël (dans la version musulmane) est l’exception, car cette histoire particulière (d’après un bon nombre d’anciennes archives arabes sans mentionner le narratif islamique) se passa à Hijaz, près de ce qui est aujourd’hui la Mecque en Arabie Saoudite. Bien qu’ils ont besoin de toujours plus de travail archéologique, les narratifs islamiques nous disent que le père des Israélites est parti d’Hijaz (près de La Mecque donc) et a traversé la ligne de montagnes de l’Asir du Nord-Yémen.

Dans l’ancienne tradition et langue arabe, celui qui entreprend l’acte de traverser une barrière naturelle est appelé Aber et ceci constitue l’origine linguistique du comment “Abraham” et les juifs furent appelés Aberos/hebreux (l’histoire d’UR la mésopotamienne, patrie d’Abraham et Hebron en Palestine le lieu de sa sépulture ne sont que mythes et un mensonge éhonté des orientalistes)

En fait l’histoire inhabituelle du sacrifice de l’enfant d’Abraham (un rite païen de l’ancienne Arabie soit dit en passant..) est supposée, d’après les narratifs islamiques et la tradition orale arabe, s’être passée sur le mont Moriah, cela vous rappelle t’il quelque chose ? De fait, cette montagne existe toujours à La Mecque que des millions de pèlerins musulmans visitent chaque année comme faisant partie de leur pèlerinage (Hajj) : le Mont Moriah ou Marwah en arabe. Donc si nous devons garder la définition de la bible hébraïque du Mont Moriah, alors nous devons considérer la (probable) véracité du narratif islamique de l’histoire d’Abraham.

Une fois de plus, cela nous ramène à Al Aqsa et le soi-disant Mont du Temple ou le Mont Moriah en hébreu. Dans mon livre, j’explique clairement que les deux langues de l’hébreu et de l’arabe sont deux dialectes très proches de la même langue commune qu’était l’arabe ancien. Beaucoup de mots, de noms sonnent phonétiquement de la même manière et sont assez similaires à la fois en hébreu et en arabe, comme c’est le cas des noms des patriarches Abraham/Ibrahim, Joseph/Youssef, Moïse/Mossa, etc…

Maintenant que nous savons que le mont Moriah est l’endroit où se produisit l’histoire d’Isaac, mais quand on cherche un tel mont dans ou autour de la ville de Jérusalem, on ne trouve rien, même en cherchant bien et longtemps. Il n’y a pas de Mont Moriah à Jérusalem, mieux… Il n’y a pas de mont Moriah dans toute la Palestine.

Le Mont du Temple est en fait une forteresse romaine

Largement embarrassés par une telle bavure narrative, les sionistes essayèrent de trouver une manière de contourner l’affaire en affirmant que le Mont Moriah et le Mont du Temple étaient en fait la même chose (bien que tout à fait ironiquement, le site n’a jamais été appelé de la sorte avant l’occupation israélienne). Pas même avant la conquête musulmane de l’endroit d’Al Aqsa, ne fut l’endroit appelé Mont du Temple, ni même Al Aqsa du reste.

Il est factuellement établi que ce même endroit que tout le monde pense être celui où le Temple fut érigé est le moins probable des endroits, car c’est au cœur même de l’histoire de Jérusalem, que l’on trouve les secrets les plus sombres du sionisme : la tromperie

Au temps du nouveau testament, cet endroit, maintenant occupé par Al Aqsa et le Mont du Temple, était une forteresse romaine et un camp fortifié militaire romain appelé Fort Antonia (le temple d’Hérode était quelques kilomètres au sud). Après le siège de Jérusalem en 70 EC, l’empereur Titus a complètement fait détruire la ville et ses murs, la plupart des murs du temple d’Hérode. Donc les fidèles de la religion judaïque qui se lamentent sur le mur Ouest du soi-disant Mont du Temple (le mur des lamentations), offrent en fait des prières au mur d’un empereur romain païen. [NdJBL : Dans ce billet : Au pied du mur]

La pierre centrale élevée est dite avoir été utilisée comme une plateforme pour des fonctions publiques par les gouverneurs et les préfets romains comme Pontius Pilate, qui l’aurait utilisé durant son procès de Jésus. C’est pourquoi les chrétiens bâtirent une église dessus au temps de l’empereur Constantin.

Le fait que les murs de ce fort ont toujours quelques 10 000 pierres prouve que ceci ne fut pas le mur qui entourait le temple. Comme attesté par l’historien juif romain du 1er siècle Titus Flavius Josephus, les Romains démolirent tous les murs, ils enlevèrent toutes les pierres, non seulement du temple, mais aussi de ses murs. Ceci n’est en aucun cas une hypothèse, c’est un robuste fait historique vérifié au moyen d’excavations archéologiques et de trouvailles (trois inscriptions honorant les leaders romains Vespasien et Titus furent trouvées en dessous du mur de la forteresse). Beaucoup d’universitaires et érudits spécialistes de la bible et d’archéologues sont parfaitement au courant de ce fait, comme l’archéologue britannique Kathleen Kenyon et l’historien israélien Benjamin Mazar.

Pour en revenir à notre rabbin juif yéménite, Ka’ab, répondant à la question du calife Oumar au sujet du meilleur endroit en Palestine (Aelia) pour construire une nouvelle mosquée, le rabbin malin montra du doigt la pierre (maintenant sanctifiée dans le dôme doré comme la relique de la pierre dans le complexe d’Al Aqsa).

Honorable calife, cette pierre, parmi les ruines de ce temple, est le bon endroit pour que soit construite une nouvelle mosquée, car c’est de là que Mohamed partit pour son voyage miraculeux dans les cieux.” répondit le rabbin Ka’ab.

C’est ainsi que les musulmans ont appris à connaître et à honorer cette pierre comme relique islamique depuis 637 EC et ceci au travers du seul témoignage non vérifié d’un rabbin juif yéménite (qui se convertît à l’Islam plus tard). Beaucoup de théologiens musulmans disputent ce témoignage de Ka’ab et la secte chi’te de l’Islam le dénonce carrément.

Le témoignage habile du rabbin a en fait fait d’une pierre deux coups (si on ose dire…): maintenir vivant la tromperie de la bible septante en solidifiant le concept de la Palestine comme étant la terre promise aux juifs et la terre sacrée. La deuxième chose fut de parvenir à ce que les musulmans honorent aussi l’endroit (les musulmans avaient le vent en poupe à cette époque).

Visitez la véritable Jérusalem

Si nous voulons vraiment trouver l’endroit réel de Jérusalem, alors réexaminons ce que la bible hébraïque nous dit au sujet de la conquête de la ville par David.

“Le roi et ses hommes marchèrent sur Jérusalem pour attaquer les Jébusites qui y vivaient. Les Jébusites dirent à David, “tu n’entreras pas ici ; même les aveugles et les infirmes peuvent vous repousser.” Ils pensèrent “David ne peut pas entrer ici.” Quoi qu’il en soit, David captura la forteresse de Sion, qui est la ville de David” 2 Samuel 5:6-7

Dans le verset, le scribe juif clarifie que pour capturer “Jérusalem”, David doit d’abord prendre la forteresse montagneuse appelée “Sion”, habitée par les Jébusites. En d’autres termes, la véritable Jérusalem (israélite) se trouvait très proche d’une montagne appelée “Zion/Sion” où une communauté locale païenne du nom de “Jébusites” vivaient dans cette forteresse montagneuse, depuis des siècles.

Mais là encore tout le paysage de la Palestine n’a jamais connu de quelconques Jébusites (malgré ce qui fut écrit dans les livres d’histoire déformés) ni non plus aucune montagne Sion, que les archéologues sionistes ont identifié jusqu’ici dans trois endroit différent (ce qui est typique d’un narratif concocté). De fait, toute la topographie de l’actuelle Jérusalem montre qu’il n’y a là aucunes montagnes.

C’est juste, la ville de Jérusalem, là où le temple est supposé être érigé pour la troisième fois, n’a aucune montagne sur laquelle le construire. Il est connu que Jérusalem est construite sur deux collines, mais pas de montagne environnante. Ce qui a été appelé par les indigènes palestiniens de l‘endroit, montagnes, comme Zaïtoun, n’est qu’un écart de langage (regardez des vues aériennes de Jérusalem pour vous en convaincre)

Revenons au Yémen et spécifiquement à sept kilomètres au sud de la capitale, Sanaa, là nous trouvons facilement la cité historique de “David”, où les anciens Jébusites / Jebus / Yabosites / Yebus (en arabe) ont vécu pendant des siècles dans leur forteresse montagneuse connue aujourd’hui sous le nom de Beit-Bos (patrie de Jabus). Aussi pas loin sommes-nous face à face avec la montagne Zion/Sion (partie du massif montagneux de Sarawat qui s’étend le long de la côte ouest de la péninsule arabique.

Jérusalem (Deir Salem en arabe) veut dire la ville de la paix ou ville pacifique. Comme les Jébusites/Yebusites étaient bien protégés des raids des Arabes par la force de leur forteresse montagneuse très isolée, ils avaient le plaisir de vivre dans une ville de paix ou Deir/Dar Salem. Un autre narratif fait remonter le nom de Salem/Shalom à un des patriarches juifs. Quoi qu’il en soit, j’espère sincèrement que Beit-Bos/Deir Dalem, la Jérusalem yéménite, pourra survivre les bombardements qui se produisent actuellement au Yémen. Bombarder, attaquer et détruire les sites archéologiques anciens semble être une des cibles (secrètes) de ce qu’il se passe actuellement au Moyen-Orient.

Il y a un dicton yéménite très commun qui dit ceci : “Tout Yabosi/Yabosite est juif et tout juif est Yabosi.” Beit-Bos a toujours été le point d’attention pour les juifs au Yémen durant des centaines d’années, voire des milliers. Les ruines de la forteresse des Yabosi/Yabosite, aujourd’hui un site archéologique yéménite, étaient très riches en inscriptions yéménites qui documentaient la conquête de l’époque de David (essentiellement détruites ou volées par quiconque a pour intérêt de cacher la véritable origine des Israélites et de leurs contes bibliques.)

La forteresse Yabosite/Beit Bos fut une très active communauté juive ainsi que bien d’autres villes du Yémen et ce jusqu’en 1949 lorsque plus de 49 000 juifs furent secrètement transportés en Israël par une flotte aérienne américano-britannique dans une des plus grandes opérations de ce type sous le nom de code “Tapis Volant” (“Magic Carpet” en anglais)

Plus de 250 000 juifs de par le monde furent transférés en Israël cette même année*. Toutes ces opérations de transfert de masse faisaient parties du plan international sioniste d’inventer une nouvelle terre juive au moyen d’une histoire fabriquée (celle qu’on nous enseigne dans les écoles). Il va sans dire que pour que ce nouveau plan sioniste fonctionne, il devait aussi y avoir une nouvelle et fausse Jérusalem, celle qu’aujourd’hui nous regardons à la télé en suivant les infos comme celle du début de cet article.

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*Opération Tapis Volant : http://www.lefigaro.fr/international/2016/03/21/01003-20160321ARTFIG00134-israel-mene-une-operation-secrete-pour-exfiltrer-les-juifs-du-yemen.php

Autre source sur l’opération Tapis Volant : http://geopolis.francetvinfo.fr/israel-sort-19-juifs-du-yemen-et-met-fin-a-l-operation-tapis-volant-101125

Pour Jacques Attali Jérusalem devait devenir la « Capitale » du prochain gouvernement mondial voire « La capitale planétaire du futur Nouvel Ordre Mondial »… Vidéo YT.

Bon, c’est pas la seule connerie qu’il ait dite le Attali et vraisemblablement ce ne sera pas la dernière…

Mais il n’est pas le seul, rappelez-vous qu’un Député israélien en visite au Vatican (sic) le 26 octobre dernier jour de séisme en Italie avait affirmé que c’était une punition divine pour le vote de l’Italie de la résolution sur Jérusalem à l’UNESCO (Ici).

Alors Israël a dû s’excuser : Ayoub Kara avait affirmé que « le tremblement de terre s’est produit à cause de la décision de l’Unesco ». Israël s’est excusé samedi après les déclarations d’un vice-ministre qui avait attribué le séisme de mercredi en Italie a une punition divine infligée après l’adoption par l’Unesco d’une résolution controversée sur Jérusalem dénoncée par l’État hébreu. Lire l’article en intégralité : http://www.i24news.tv/fr/actu/israel/128840-161029-israel-s-excuse-pour-des-propos-d-un-vice-ministre-sur-un-seisme-en-italie

Un peu plus tard, c’est un prêtre italien qui affirme que les tremblements de terre en Italie sont une punition divine en raison du Mariage pour tous… Ici. Le Vatican ne s’est pas excusé mais ses explications sont à lire car en substance il dit que la notion d’un « Dieu vengeur » est une notion païenne et pré-chrétienne… Ben voyons.

Par un vote de 24 pour, 6 contre et 26 abstentions, l’UNESCO passait une résolution affirmant que le lieu le plus sacré du judaïsme ne serait pas Juif du tout. Soutenue par les Palestiniens, cette résolution fait référence au Mont du Temple et au Mur Occidental exclusivement par leurs appellations musulmanes. Ceux qui lisent la Bible savent pourtant que le Mont du Temple est un lieu central de l’histoire Juive et Chrétienne depuis des millénaires. C’est à cet endroit qu’Abraham voulut offrir Isaac en sacrifice et c’est également le lieu où Salomon bâtit un temple sur ordre divin. Extrait d’infochretienne.com.

Les mythes ont la vie dure et pourtant nous pouvons les faire tomber !

Et pas besoin de Trumpettes

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Sur ce blog, on essaie de faire tomber les empires faussaires en dénonçant les mensonges d’États faussaires et afin d’initier un nouveau paradigme en lien avec les Natifs qui nous invitent très souvent à mordre l’Hydre et à se tenir debout et à faire front !

L’indivisible JBL1960

 

 

 

10 réflexions sur « UN DIVIN MENSONGE DE PLUS »

  1. Parfaitement ad hoc, cette info sur la résolution Onusienne adoptée, malgré l’abstention Zunienne ► http://www.20minutes.fr/monde/1985799-20161223-colonisation-israelienne-resolution-onu-adoptee-etats-unis-abstiennent
    Une résolution réclamant l’arrêt de la colonisation israélienne a été adoptée vendredi par le Conseil de sécurité de l’ONU après la décision des Etats-Unis de ne pas utiliser leur droit de veto. Dans un renversement de leur position habituelle sur ce dossier, les Etats-Unis se sont abstenus. Les 14 autres membres du Conseil de sécurité ont eux voté en faveur du texte. Israël a tout de suite indiqué que le pays ne se conformera pas à la résolution de l’ONU sur la colonisation. « Israël rejette cette résolution anti-israélienne honteuse des Nations unies et ne s’y conformera pas », indique un communiqué des services de Benjamin Netanyahou.

    « Un grand camouflet » pour Israël

    Il s’agit d’« un grand camouflet » pour Israël, a immédiatement réagi Nabil Abou Roudeina, porte-parole de la présidence palestinienne. « Il s’agit d’une condamnation internationale unanime de la colonisation et d’un fort soutien à une solution à deux Etats », a-t-il ajouté Le vote, qui a été accueilli par des applaudissements, avait été réclamé par la Nouvelle-Zélande, la Malaisie, le Sénégal et le Venezuela.

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