Le Syndrome Messianique

L’impossible retour d’un Messie inventé !

Et donc jamais venu !

L’internet d’aujourd’hui est la presse Gutenberg 2.0 !

Préambule de Résistance71 blog ami et traducteur de l’article du Dr. A. Ezzat :

Les empires passés et présents sont des constructions COLONIALES et donc par essence fondée sur le vol, le mensonge, la supercherie, la trahison, le génocide etc, etc…
Tout comme pour l’empire anglo-américain, l’empire sioniste doit être attaqué à sa base, à son talon d’Achille : l’histoire !

Il faut, avec patience, scientifiquement, posément, argumentairement parlant, leur retirer le tapis « historique », leur faux narratif de connivence, de dessous les pieds.
Une fois prouvé que les textes « saints, sacrés », ne sont que des mythes, de la mythologie écrite pour faire avancer un agenda spécifique, alors l’ensemble s’effondre comme un château de carte. Il n’y a aucun fondement historique à toutes ces fables, tous ces dogmes religieux ne sont que des embrouilles pour le contrôle des masses. Le temps, à terme, joue TOUJOURS pour la vérité, mais les enfoirés profitant du mensonge institutionnalisé ont eu bien trop de temps pour façonner leur monde mortifère de l’exploitation et du meurtre généralisé.

Nous l’avons dit et le répèterons sans cesse : la clef de toute cette affaire de rapport factice, créé de toute pièce entre dominant/dominé, maître/esclave, patron/employé, prêtre de secte/croyant, réside dans l’exposition historique de la falsification et du mensonge organisé.

Avec l’invention de la presse, Gutenberg a brisé le monopole de l’église sur le stockage des connaissances (les archives du Vatican doivent être une mine d’or de pépites de la vérité à cet égard…), l’internet est la presse Gutenberg 2.0, il fait exploser le monopole du contrôle de l’information par l’oligarchie obscurantiste, exploiteuse et assassine.
Nous vivons une seconde époque de libération de l’information et de l’historiographie dans l’histoire humaine… A cet égard, il est impossible pour l’oligarchie de contrôler son narratif plus avant, celui-ci s’effrite, se fissure, et la digue de la censure et du contrôle va céder ; c’est pour cela que toutes les ordures du pouvoir, partout, veulent museler l’internet coût que coûte. Clinton une fois élue, pondra les pires lois liberticides de contrôle d’internet pour ses maîtres de Wall Street et la maison mère de la City de Londres.

Ce sera peine perdue. L’oligarchie est en train de perdre la bataille de l’information, la bataille du conservatisme historique, c’est désormais irrémédiable.

Nos vivons une époque extraordinaire, à nous de continuer notre boulot de fourmi, inlassablement, irrévocablement, nous ne travaillons pas pour aujourd’hui, mais pour les générations futures.

Sur ce blog, dont le but est de FAIRE TOMBER L’EMPIRE vous pouvez lire l’introduction au livre de Dr. A. Ezzat « L’Égypte antique n’a jamais connu ni Pharaons, ni israélites » dans ce billet de blog = Choisir entre la Peste et le Choléra ? et dans celui-ci « Ni Terre Promise, ni Peuple Élu » la partie sur les racines juives de la culture takfirie.

En incise, vous pouvez prendre connaissance de ce complément d’information publié par Résistance71 intitulé : Textes bibliques… De la mythologie à la réalité archéologique

Suite à nos traductions des articles d’Ashraf Ezzat sur la réalité géographico-historique des faits bibliques, nous avons reçu un nombre substantiel de remarques, les traductions ci-dessous citent des sources autres qui mènent à la même conclusion générale, sources en provenance de chercheurs, historiens et archéologues israéliens qu’on ne pourra bien entendu pas accuser d’ « antisémitisme « , quoi que, bien des gens ne sont pas à çà près…

https://resistance71.wordpress.com/2016/10/17/textes-bibliques-de-la-mythologie-a-la-realite-archeologique/

Pour preuve que l’Histoire est bien le Talon d’Achille de l’empire sioniste qui couine de douleur depuis peu sous les coups de butoir de l’UNESCO :

Revue de Presse de Michel Danthe du 19/10/2016 Source : Le Temps

Avec Jérusalem, l’Unesco «révise-t-elle l’histoire» ou «Israël fait-il son Calimero»? 

La presse est divisée sur la dernière résolution de l’Unesco concernant la toponymie de Jérusalem-Est et particulièrement de l’esplanade des Mosquées. […]

Nier un lien historique

On ne lui donnera pas tort en lisant ce jour les réactions qu’a suscitées la résolution, portée par l’Algérie, l’Égypte, le Liban, le Maroc, Oman, le Qatar et le Soudan auprès du Conseil exécutif de l’organisation pour la paix et la culture de l’ONU, l’Unesco, et qui a été finalement adoptée. Un texte qui, selon Israël, «nie le lien historique entre le peuple juif et le mont du Temple», un site sacré de Jérusalem, en privilégiant notamment les termes arabes (esplanade des Mosquées) pour désigner le site.» «Dire qu’Israël n’a pas de lien avec le mont du Temple et le Kotel (mur des Lamentations), c’est comme dire que les Chinois n’ont pas de lien avec la muraille de Chine ou les Égyptiens avec les pyramides», avait déclaré le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou. […]

Lire l’article intégral : https://www.letemps.ch/opinions/2016/10/19/jerusalem-lunesco-revisetelle-lhistoire-israel-faitil-calimero

Il est temps de mettre fin à cette ère mensongère :

Bibi va avoir bien du mal à perpétuer le mensonge après ça. Parce que précisément, le Dr. Ashraf Ezzat a publié un article « The Arabian Messiah » traduit par Résistance71 et qui explose le mythe du Messie révélant au grand jour le mensonge universel sur lequel se sont construits le Nouveau Monde et le Peuple Élu de la Terre Promise, entre autres…

Comme quoi l’apocalypse (qui veut dire révélation) aura peut-être bien lieu finalement !

Au cœur du mensonge historique (suite)… L’origine arabe du « syndrome messianique »…

https://resistance71.wordpress.com/2016/10/21/au-coeur-du-mensonge-historique-lorigine-arabe-du-syndrome-messianique/

“Dans un monde de mensonge universel, dire la vérité est un acte révolutionnaire”
~ George Orwell ~

“Être ignorant de l’histoire, c’est être né hier.”
~ Howard Zinn ~

“La conclusion acceptée par la majorité des archéologues et des érudits de la bible fut qu’il n’y eut jamais de grande monarchie et que le roi Salomon n’a jamais eu de grand palais dans lequel il hébergeait ses 700 épouses et 300 concubines. Ce furent des écrivains postérieurs qui inventèrent et glorifièrent un puissant royaume uni, établi par la grâce d’une seule déité. Leur riche et distinctive imagination a aussi produit les histoires de la création du monde, du terrible déluge, de l’errance des anciens, de la lutte de Jacob avec l’ange, l’exode d’Égypte et le passage de la Mer Rouge, la conquête des Cananéens et l’arrêt miraculeux du soleil à Gibeon.
Les mythes centraux au sujet de l’origine pure de cette merveilleuse nation qui émergea du désert, conquît une grande terre et construisit un glorieux royaume furent un bonus pour la montée du nationalisme juif et la colonisation sioniste.”
~ Professeur Schlomo Sand
, universités de Tel-Aviv, Berkeley Californie et à l’École des Hautes Études de Sciences Sociales, EHESS, Paris, de son livre “The Invention of the Jewish People”, 2009 ~

Le messie arabe

 Dr Ashraf Ezzat |  19 Octobre 2015 |  Url de l’article original : https://ashraf62.wordpress.com/2015/10/19/the-arabian-messiah/

“Au centre de toute cette culture messianique se trouve une très ancienne tradition tribale arabe intimement entremêlée de mythes païens.”

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi le soi-disant “Moyen-Orient” est l’endroit le plus volatile au monde ? De plus, comment se fait-il que le monde arabe soit le nid de l’extrémisme et de la violence ?

Pourquoi le Moyen-Orient avec ses communautés musulmanes, chrétiennes et juives a toujours été dévasté dans un état de “conflit perpétuel” qui est décidément insolvable et je ne me réfère pas seulement à ces 50-70 dernières années (depuis que l’état juif d’Israël fut fourbement établi), mais à une ère qui remonte à bien longtemps.

Mon évaluation de ces troubles permanents remonte aux temps des croisades, à la montée de l’Islam et son conflit subséquent entre le sunnisme et le chi’isme, suivi par des décennies de raids sans merci à l’Est et à l’Ouest de l’Arabie, l’émergence (et la politisation) de l’histoire de Jésus Christ et son martyr et le schisme entre l’église orientale (orthodoxe) et occidentale (romaine) et même plus loin jusque la soi-disant “captivité babylonienne” et le conte fameux de l’exode.

Pourquoi cette zone est-elle, et a toujours été, dans un tel désarroi ?

En fait, le monde arabe identifié sur une carte moderne comme étant le Moyen-Orient et dans les livres d’histoire comme l’ancien Proche-Orient, a toujours été dans un tel tumulte à cause du syndrome du “messie”.

Ne vous y trompez pas sur ses origine, car c’est un pur produit judéo-arabe. Ce qui commença comme une tradition arabe tribale est devenu au fil des siècles une religion talmudique dont l’idéologie (fondée sur le concept messianique) a réussi à infiltrer et à pervertir la plupart des systèmes mondiaux de croyance et de culture avec son extrémisme tribal.

Certains pourront argumenter que les troubles du monde arabe sont justes les mêmes que dans d’autres parties du monde où la violence et les conflits à répétition ainsi que les guerres font juste partie intégrante de la vie. Mais je pense différemment parce que partout ailleurs les conflits éclatent pour différentes raisons, mais au Moyen-Orient (le monde arabe), les conflits et guerres à répétition sont toujours dû à la même raison : le “syndrome messianique”. Peut-être est-ce pourquoi le scenario de la fin du monde est supposé se dérouler sur ce bout de terre aride, comme prophétisé par la littérature messianique noire (apocalyptique).

Même lorsque quelque périodes de paix relative et de prospérité interrompent le cycle de troubles moyen-orientaux, l’idéologie tribale responsable du trouble et de la violence continue de bouillir sous la surface jusqu’à ce que les choses surchauffent et atteignent un autre niveau d’éruption de ce volcan invisible du messie.

Même lorsque les choses semblent être entièrement une conquête impérialiste et une exploitation internationale de la zone. Cela est souvent fait explicitement (comme les croisades médiévales) ou implicitement (comme dans le cas de la dernière invasion américaine en Irak) à cause de l’idéologie morbide messianique.

Tandis que la machine de guerre de George W. Bush démolissait littéralement la nation irakienne et son héritage historique (mésopotamien), l’ancien président américain était euphorique (on pouvait le voir à son rictus idiot) et sa conscience semblait apaisée car il croyait que la destruction qui s’ensuivait et engouffrait tout le Moyen-Orient (jusque maintenant) était le prélude nécessaire et inévitable de la seconde venue du messie. Voilà à quel point est dangereuse, chaotique et annihilante, cette culture messianique.

Le messie : la véritable nativité

Contrairement à ce qu’ont cru pendant très longtemps les orientalistes et les érudits occidentaux, le messie n’a absolument rien à voir avec Jesus Christ ou quelque spiritualité occidentale que ce soit. Cela n’a non plus rien à voir avec le commencement et la fin de notre temps.

Au centre de toute cette culture messianique réside une ancienne tradition tribale arabe entrelacée de mythes païens. Pendant les siècles menant à la naissance du christianisme, des cultes variés connus sous le nom de “religions du mystère” se sont répandus au travers du monde païen.

Au centre de ces cultes du mystère se tenait une histoire au sujet d’un homme-dieu mourant et ressuscitant et qui était connu sous différents noms dans des cultures différentes.

En Égypte, d’où émergèrent ces mystères, il était connu sous le nom d’Osiris, en Grèce: Dionysos, en Syrie: Adonis, en Italie: Bacchus et en Perse : Mithrée. Ces mythes païens furent réécrits et mêlés du thème du messie arabe comme l’évangile de Jésus Christ. Sans ce mélange subtil, la culture messianique arabe n’aurait pas pu infiltrer et prendre racine dans la psyché occidentale et sa spiritualité. Mais pourtant le thème principal était arabe.

Pourquoi croyez-vous que l’apôtre Paul se rendit en Arabie et y séjourna pendant trois longues années afin qu’il puisse oser s’embarquer pour son voyage missionnaire vers le monde occidental / romain?

“Mais quand le dieu qui me sépara de l’utérus de ma mère et m’appela sous sa grâce fut ravi de révéler son fils en moi-même, ainsi que je sois son héraut parmi les nations, je ne me suis pas fait de chair et de sang, ni ne me suis rendu à Jérusalem vers ceux qui étaient des apôtres avant moi, mais je m’en allai en Arabie et retournai encore à Damas (Gal.1:15-17)

Paul n’a pas voyagé en Arabie dans un safari tour ni pour aller y méditer. L’homme bien éduqué et multilingue savait que l’Arabie était la terre culturelle et géographique (native) non seulement du judaïsme mais aussi, incroyable mais vrai, de la doctrine totale de “Nazarenes” ou “Yeshua Natzri” or “Eissa Al Nasrani” en arabe, plus tard latinisé en… Jésus Christ.

D’après sa propre enquête, Paul savait très bien que l’homme qui avait traversé la rivière du Jourdain (depuis sa partie Est) puis se réclama être le roi des juifs à Jérusalem (avant qu’il ne fut tué) était venu d’Arabie et non pas de Palestine.

Paul savait que la vérité au sujet du vrai Jésus ou Eissa en arabe, devait être trouvée en Arabie et non pas en se réunissant avec une équipe de pêcheurs illétrés qui s’auto-étiquettaient “apôtres”.

Et de fait ce fut dans l’ancienne Arabie que Paul collecta les morceaux du puzzle de son évangile (les historiens classiques arabes on mentionné un vieil évangile de Nazarenes bien avant l’émergence de l’histoire du Christ dans la province romaine de la Palestine, un thème qui est aussi réitéré dans le Coran).

Le mot “messie” est en fait une translittération du mot hébreu / arabe “Mashiach/Mashaiakh/sheikh qui remonte aux temps très anciens de l’Arabie.

En fait, le mot ‘Messiah/Mashiach’ a plus à faire avec le judaïsme et l’Islam (en tant que deux religions des anciens Arabie et Yémen médiévaux) qu’avec le christianisme (en tant que religion composite et hybride qui fut taillée sur mesure d’après le vieux thème juif de Mashiach, mais avec une tournure païenne gréco-romaine).

L’histoire biblique : origine falsifiée

Dans mon récent livre “Egypt knew no Pharaohs nor Israelites” j’ai élaboré sur les bases culturelles et géographiques communes que partagent à la fois le judaïsme et l’islam.

En retraçant les anciennes racines (arabes) du Judaïsme et de l’Islam, nous sommes arrivés à la conclusion effective (soutenue par des preuves issues de la recherche) que l’Hébreu et les langues arabes sont deux dialectes de la même langue arabe ancienne commune et que le Judaïsme et l’Islam sont le produit de la même culture et géographie arabe (mais à des époques différentes).

Ceci est une base argumentaire cruciale (presque révolutionnaire même pour tout universitaire ou érudit occidental de l’histoire biblique) qui va nous aider à comprendre la complexité de ce syndrome messianique. Ceci est un point clef parce qu’il met en lumière une question qui fut longtemps éludée : d’où provient le Judaïsme en première instance ?

En d’autres termes, quelle est la culture qui a produit cette foi célébrée de Moïse et de ses tablettes des 10 commandements ? Où aboutirions-nous si nous remontions aux racines de la foi judéo-chrétienne ? La plupart, si pas tous les croyants aussi bien que les érudits et les prêtres de cette soi-disant foi judéo-chrétienne répondraient instantanément et sans y réfléchir à deux fois : de Palestine.

Et bien ils ont tout faux. Ils n’ont pas seulement tort sur la Palestine patrie du judaïsme, mais aussi à relier le Judaïsme et le christianisme dans le même sac religieux.

Le Judaïsme n’est pas et ne devrait pas être relié thématiquement et philosophiquement parlant au christianisme (occidentale). Le long lien entre les deux religions n’est que de nature politique, grâce aux Romains et leur tentative maligne de soulager la militarisation et la violence des juifs tribaux arabes dont beaucoup avaient déjà migré du Yémen vers la Palestine quelques siècles avant le conte du Christ.

La seule façon qui paraissait possible pour contrôler cette ancienne marée militante du judaïsme (quelque chose ressemblant à l’actuel activisme islamiste, elles partagent toutes deux la même culture tribale arabe) était de la dissoudre dans une nouvelle foi (pacifiste et tolérante) en utilisant et en actualisant le “syndrome messianique” judéo-arabe. Pourquoi croyez-vous que les évangiles furent écrites en grec et non pas en araméen, la langue utilisée par Jésus et ses disciples ? Gardez présent à l’esprit que l’araméen n’est rien d’autre qu’un dialecte de la langue arabe (ne tombez pas dans le panneau de la classification sioniste de ces langages dits “sémites”)

De cette façon, les juifs eurent leur prophétie réalisée, mais cette fois-ci leur nouveau Machiach/Messiah fut latinisé (c’est pour cela que les juifs ont un problème à croire en Jésus Christ). Le nouveau messie, contrairement à un long et ancien héritage de l’activisme militant tribal ancien et à l’intolérance, fut contre toute attente pacifique et acceptait tous ses suiveurs (et pas seulement les choisis) dans son royaume. Mais il y avait un truc à ce niveau là, le changement de paradigme ne s’est pas produit de lui-même.

La bible arabe

Si vous réfléchissiez aux similarités phonétiques entre les deux langues, sous seriez surpris du comment l’hébreu est la langue la plus proche de l’arabe. Dans la prononciation arabe, Hébreu est appelé “Abri” tandis qu’Arabe se prononce “Arabi”, de la même manière “Eloh” et “Allah” sont l’hébreu et l’arabe pour “dieu”.

Donc, au sein de cette toute petite échelle et presque négligeable différence entre “Abri” et “Arabi” et “Eloh” et “Allah”, la toile de fond culturelle commune ARABE d’à la fois le judaïsme et l’islam pourrait et en fait devrait être notre guide pour examiner l’historicité des histoires bibliques/israélites (incluant celle de Jesus Christ), car par essence, c’est là que l’école occidentale de l’histoire biblique a emprunté le mauvais chemin.

Voilà pourquoi primordialement les orientalistes et historiens occidentaux ont jusqu’ici échoué à faire corroborer archéologiquement leurs histoires bibliques là où leur bible falsifiée leur a dit qu’elles s’étaient produites : en Palestine. Leur cinglant échec est dû à leur fausse hypothèse de départ et donc à leur quête déroutée qui s’en suivit.

L’idéologie chrétienne est fondée sur le narratif déformé que le Pharaon était le roi de l’Égypte ancienne et que Moïse fut élevé dans une famille de rang royal égyptien et que l’exode épique partit du royaume païen d’Égypte vers la nouvelle terre promise que dieu avait choisi pour eux, son peuple élu et juste, en terre de Palestine/Canaan. Ceci est basé sur la fausse croyance que Moïse a reçu les tablettes de la Loi sur le Mont Sinaï égyptien ; mais au temps où l’histoire du Christ se développa, il a semblé que Paul l’apôtre fut le seul qui savait vraiment la vérité (après s’être immergé dans le monde de l’ancienne Arabie).

La vérité est que Moïse était un berger arabe et il travaillait comme esclave dans un petit village au sud de l’ancienne Arabie appelé “Mizraïm”. Il partageait le sort de quelques centaines de personnes de sa tribu et non pas les milliers et les milliers qu’on vous donne à voir dans les films hollywoodiens sionistes. L’homme qui régnait sur ce petit village de “Mizraïm” était appelé ‘Faraon/فرعون ’.

Lorsque Moïse tua un des gardes de Faraon, lui et ses gens s’enfuirent de Mizraïm et retournèrent dans leur terre tribale du nord Yémen, une bande de terre aride connue sous le nom d”Asir. C’est pourquoi cette tribu d’esclaves arabes était appelée Asir-alites ou plus connue sous le nom d’Israélites. Une fois de plus, arrêtons-nous ici pour remarquer de nouveaux points de changement de paradigme.

Premièrement, le fait est que le judaïsme est un réel culte tribal arabe qui a pour origine (comme je le détaille plus avant dans mon livre) le nord de ce qui est aujourd’hui le Yémen et donc la croyance centrale du christianisme est bâtie sur une ancienne culture tribale arabe ; la même qui a plus tard produit l’Islam et aussi sur la même culture et tradition littéraire qui a aidé à façonner les groupes islamistes radicaux comme Al Qaïda et également l’EIIL ou État Islamique en Irak et au Levant.

Deuxièmement, l’histoire et l’archéologie bibliques sont littéralement en charpie pour la bonne raison que les histoires bibliques sont introduites dans une fausse géographie des évènements. Falsifier les noms des endroits des histoires bibliques originales fit partie d’une forfaiture à grande échelle, menée par 70 scribes juifs au IIIème siècle av JC à la légendaire bibliothèque d’Alexandrie, dans ce qui devint connu sous le nom de “bible des septantes” ou “bible septante”. Si nous gardons à l’esprit que la bible septante en grec ancien est la “seule source” de toutes les traductions de la sainte bible dans le monde entier (oui, oui même celle qui est sur votre table de chevet ou sous votre oreiller…), nous pourrions en venir à réaliser l’échelle de grandeur de la tromperie (juive) que ces 70 scribes ont répandu sur le monde sous le règne du roi Ptolémée II.

Si nous devions revisiter l’ancien Proche-Orient et réexaminer ses histoires au travers d’un objectif non-juif, nous découvririons avec surprise (comme ce fut le cas au cours de nos recherches) que l’Égypte ne fut jamais la terre de départ de l’exode des Israélites, ni la Palestine/Canaan, leur terre promise.

La Palestine était occupée par une débauche politique occidentale flagrante qui n’aurait pas pu être rendue possible sans la déformation juive de l’histoire de l’ancien Proche-orient.

Ce qui rend ce conflit insolvable, comme mentionné plus tôt, c’est que génération après génération (pas seulement celles des juifs, mais aussi celles des chrétiens et des musulmans), nous avons continué à accepter cette fausse histoire de la Palestine comme “terre promise” et ce pendant les deux mille dernières années. On pourrait avoir une 3ème Intifada et on pourrait en avoir 30 de plus ; on aura un autre accord d’Oslo, et même une autre centaine de pourparlers de paix, mais ne vous voilez pas la face, le problème palestinien ne sera pas résolu à moins que nous n’exposions cette forfaiture et corrigions l’histoire ancienne de cette région.

La véritable histoire ancienne est que l’Égypte n’a connu ni Pharaon, ni Moïse et pour corriger le narratif historique ancien, nous devons vous choquer avec une autre révélation, celle que la Palestine n’a jamais été le témoin de quelque histoire biblique que ce soit. Toutes les histoires relatant les aventures des Israélites (quelles soient fictives ou non), se sont déroulées dans l’ancienne Arabie et l’ancien nord-Yémen, toutes, du déluge et l’arche de Noé et la vente de Joseph comme esclave, jusqu’à l’Exode de Moïse et le soi-disant royaume de David-Salomon.

Ces contes que l’occident connait depuis longtemps sous le nom d’ »histoires des patriarches » ne sont que des contes populaires issus de l’ancienne Arabie.

Une autre trouvaille étonnante est que la zone à laquelle tous les érudits et universitaires spécialistes de la bible se réfèrent comme étant Canaan à quelque moment que ce soit dans l’histoire ancienne, cette désignation n’est qu’une déformation, un travesti de la géographie actuelle du Levant et spécifiquement de l’ancienne Palestine. Canaan, dont le nom est répété sans fin dans la bible hébraïque est en fait le territoire de la tribu arabe de Banu Canaan et Banu Kinanah (comme je le montre dans mon livre, cartes à l’appui)

La racine culturelle du messie

D’après l’ancienne tradition tribale arabe, Moïse était un Machiach. Mais la définition arabe de Machiach est tellement différente de la romaine que cela en est venu à déterminer comment nous (principalement les occidentaux) voyons et définissons le mot “messie” aujourd’hui.

Le titre arabe, juif de Mashiash ne veut rien dire de plus qu’un chef de guerre tribal.

Il n’y a pas de connotation spirituelle attachée à ce terme, pas de choix, de nomination, pas de divinité, pas de temple ni de salut. L’addition de ces requis ne prit place seulement qu’après l’hellénisation de l’ancien culte arabo-juif.

Comme l’ancienne communauté arabe était tribale de manière prédominante (et l’est toujours en ce moment même), ainsi la culture tribale de raids et de conquête (comme perpétrée aujourd’hui par Daesh), était la stratégie principale pour obtenir la domination politique. Ceci explique pourquoi la bible hébraïque est remplie de contes de guerres, de raids et ceci explique aussi l’héritage historique et culturel qui motive un groupe militant comme l’EIIL.

Donc, à chaque fois qu’une tribu arabe, et pas seulement les Asir-alites, était subjuguée par une autre plus puissante, le peuple de la tribu rêvait d’un nouveau leader, un Mashiash qui les délivrerait de leur misère et de leur subjugation.

En ce sens, David fut un Meshaiash, un leader tribal, un homme qui mènerait ses guerriers dans un de ces raids sans merci de l’ancienne Arabie, durant lesquels il n’y avait aucune règle morale à l’exception de la survie et de la domination de la tribu à tout prix, même si cela signifiait l’extermination de l’autre tribu et la mise en esclavage de ses femmes et de ses enfants (ce que le monde moderne appelle maintenant un génocide).

Tandis que la sensibilité du monde occidental avancé est maintenant profondément offensé par les raids sauvages menés par l’EIIL/Daesh et leur nouveau Calife/Mashaiash/Sheikh, d’un autre côté, la sensibilité chrétienne occidentale n’a aucun problème avec bien des raids tribaux juifs dont leur bible est remplie. Tous ces raids sanglants étaient menés par les Mashiachs/Messies juifs.

Pouvez-vous percevoir la contradiction ici ? Mais encore plus important, pouvez-vous dire comment et quand commença ce paradoxe qui aliéna le monde occidental de ses propres valeurs culturelles ?

Ceci s’est produit lorsque nous avons renoncé en occident à notre propre ancienne sagesse et connaissance et avons au lieu de cela, souscrit à la culture du messie, un pur produit de l’ancienne Arabie. Et comme la culture ancienne de l’Arabie a toujours été tribale, intolérante et extrêmement violente, Paul l’apôtre, termina son long séjour là-bas après qu’il ait apparemment atteint deux conclusions décisives ; c’est le truc mentionné plus tôt.

D’abord, Paul a tourné le dos (éternellement) à l’ancienne Arabie, car il savait que s’il ne le faisait pas, il deviendrait encore le zélé violent et intolérant qu’il fut avant d’être captivé, hypnotisé par l’histoire du fils de dieu. Ensuite, Paul ne pouvait pas voir le Mashiach/Messie au travers de l’objectif hermétique tribal de l’Arabie ; au lieu de cela il garda l’histoire originale arabe et le thème du messie, mais la moula dans la culture greco-romaine de la diversité et de la tolérance (ce qui ne dura pas bien longtemps par la suite…)

Ce faisant, Paul arriva à retourner ce qui semblait être un culte arabo-juif non mitigé de violence sans fin en un message universel de foi qui pouvait satisfaire tous les enfants de dieu et non pas seulement ceux qui étaient circoncis.

Mais de fait, le message de Paul reposait principalement sur le concept arabe du Meshiach/Messie.

Le côté dangereux de cette doctrine du messie est qu’elle est fondée sur le sens tribal arabe de l’insécurité et de la vulnérabilité (dû à une culture militante de raids constants). Cette insécurité a toujours mené les juifs arabes à chaque fois qu’ils étaient subjugués par des raids internes arabes ou même des forces externes comme les Égyptiens ou les Babyloniens à rationaliser leur subjugation comme une punition divine pour leur foi et pratiques imparfaites, comme dans le cas de la “captivité babylonienne”.

Ainsi, les croyants dans la foi messianique se retrouvent toujours dans un état perpétuel d’incertitude quant à leur foi. Chaque mauvaise fortune dans leurs affaires courantes est traduite en une foi imparfaite, corrompue, un sens profond du pêché, qui se manifeste souvent dans la méthode fondamentaliste et dogmatique comme pour les chrétiens sionistes, les chrétiens évangélistes, les musulmans salafistes, la secte de la confrérie des Frères Musulmans, la secte takfiriste, les juifs Harédi et bien sûr les sectes islamiques chi’ite et Wahabite.

C’est lorsque le concept de mashiach/messie/sheikh vient toujours à jouer un rôle. Dans un temps de défi et de controverse, les croyants messianiques (spécifiquement les orthodoxes), inondés de l’incertitude de la rectitude de leur foi courante et de leur conduite, commencent à rêver d’un autre messie, sheikh, qui pourrait les mener sur la voie du juste (le plus souvent sa propre voie…)

Et dans le processus de retourner dans le soi-disant droit chemin de dieu, toujours plus de messies/sheikhs, que ce soit Joseph Smith des Mormons ou le “Calife” Abou Bakhar Al-Baghdadi de l’EIIL/Daesh, émergent et le cycle du dogmatisme, de la violence et de l’extrémisme se perpétue à l’infini.

=*=

N’était-il pas temps de poser des questions, et d’obtenir des réponses, concernant l’opération « Tapis Volant » : « Avec une toute dernière rotation, et l’arrivée en Israël des 19 derniers juifs yéménites souhaitant quitter le Yémen, l’opération «Tapis volant» se termine. De 1949 à aujourd’hui, près de 51.000 juifs ont ainsi quitté le Yémen et ont été évacués vers Israël. » Source francetvinfo du 21/03/2016.

Ce qui tend à prouver que la Terre originelle du mythique peuple élu n’a jamais été la Palestine, mais le Sud-Yémen comme le démontre notamment le Dr. Ashraf Ezzat.

Et n’était-il pas temps d’exiger du Pape François qu’il déclare NULLES les Bulles papales Romanus Pontifex (1455) et Inter Caetera (1493) qui affirmèrent ceci ;

Nous, [pape Alexandre VI], de notre plein accord, pas à votre requête ni la requête de quiconque d’autre à votre égard, mais de par notre seule largesse et certaine connaissance et de par la plénitude de notre pouvoir apostolique, par l’autorité de Dieu tout puissant qui nous est transmise par Pierre et le vicaire de Jésus Christ, que nous détenons sur terre, déclarons par la présente, que toutes îles trouvées par vos envoyés et vos capitaines, vous soient attribuées à vous vos héritiers et successeurs, rois de Castille et de Léon, pour toujours, avec l’ensemble des dominions/colonies, villes, camps, places et villages et tous droits, juridictions et appartenances de toutes îles et territoires trouvés ou à trouver, découverts ou à découvrir vers l’Ouest et le Sud, en traçant et en établissant une ligne allant du pôle arctique, ci-après nommé le Nord au pôle sud ci-après nommé le Sud, sans se soucier si les terres ou les îles découvertes ou à découvrir se situent en direction de l’Inde ou vers quelque autre quartier ; la ligne se situant à cent lieues à l’Ouest et au sud des îles des Açores et du Cap Vert. Avec cette précaution néanmoins qu’aucune de ces îles et de ces terres trouvées ou à trouver, découvertes ou à découvrir, au-delà de cette ligne vers l’Ouest et le Sud, ne soient déjà en possession d’un roi ou d’un prince chrétien au jour de la naissance du Christ notre seigneur de l’an précédent cette années de grâce 1493……

De plus, quiconque de quelque rang que ce soit, même royal ou impérial, contreviendrait à l’interdiction de se rendre sur ces terres trouvées ou à trouver, découvertes ou à découvrir, sans permission spéciale de votre part ou de vos héritiers et successeurs, pour y faire commerce ou pour toute autre raison que ce soit, se verrait excommunié late sententie ipso facto… »

Lire cet article = Les bulles de la discorde

Parce que cela implique que le Dieu tout puissant auquel se réfère le Pape Alexandre « Borgia » VI exigeant la conquête du Nouveau Monde en octobre 1492 par le crucifix et les échafauds. Que le Nouveau Monde continue à commémorer en ces termes chaque 2ème lundi d’octobre tous les ans, comme cela fut le cas ce lundi 10 octobre 2016.

Comment dire ; N’est bien qu’un mythe, une légende, un conte, un mensonge sur lequel se tiennent aujourd’hui, en ces territoires volés, encore rougies du sang des Natifs et des Nations primordiales, les colons complices.

Car ceux qui ne sont pas aux côtés des Natifs sont complices de l’Empire faussaire.

Comme nous le rappelle Kahentinetha de Mohawk Nation News : Le génocide américain de notre peuple n’est pas terminé tant que Kaia’nere:kowa (La Grande Loi de la Paix) n’a pas gagné ! Nous ne battrons pas en retraite, nous ne nous rendrons pas. Les colons qui ne se tiennent pas à nos côtés sont complices.

L’intégralité de l’article ici = Ni vérité, ni réconciliation, ni reddition…

Pour toutes ses raisons, nous avons compris que les Zélites mondiales avaient tout intérêt à provoquer une guerre la plus meurtrière possible pour nous les peuples.

Les Zélites mondiale remettant ainsi leur compteur à zéro !

Et nous ne sommes pas d’accord !

Pas du tout !

Et donc on vous le dit…

C’est à suivre, et on vous lâchera pas !

JBL1960

 

 

 

 

13 réflexions sur « Le Syndrome Messianique »

  1. Le gnosticisme fut finalement éradiqué de la chrétienté, hormis des mouvements clandestins occasionnels, quelques parentés dans le mysticisme médiéval et un faible écho épisodique resté dans la limite des convenances, dans le romantisme anglais par exemple :

    Notre naissance n’est que sommeil et oubli :
    L’Âme qui s’élève avec nous, notre Étoile de vie,
    Venait d’autre part
    D’un lointain théâtre.

    Le monde est avec nous, trop bien
    Recevant et dépensant, nous dévastons nos pouvoirs.

    Ce gnosticisme fut aussi capable de perdurer au delà des frontières de l’empire romain devenu la chrétienté. Il existe toujours à l’heure actuelle dans la région de l’Iraq et l’Iran déchirée par la guerre, sous la forme d’une petite secte, les Mandéens, mot qu’ils emploient pour désigner les « connaisseurs », c’est-à-dire les gnostiques.

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    1. C’est très intéressant, car dans le même temps, ça nous oblige à considérer les agnostiques = https://fr.wikipedia.org/wiki/Agnosticisme
      Qui est tout de même différent de l’athéisme. Et perso, libre à chacun d’avoir une spiritualité, mais je pense sincèrement qu’il n’est pas possible de laisser le sentiment religieux prendre le pas sur tout nouveau paradigme. Depuis près de 2000 ans on voit où ça nous mène non ? Ezzat nous donne vraiment de quoi argumenter dans cette voie, à mon sens ! Non ?

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      1. « connais toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les dieux  »

        et puis : « il y a beaucoup plus entre la terre et le ciel que n’en peut rêver toute ta philosophie »

        spiritualité ne veux pas dire religieux – et éventuellement il faut remonter à plus de 2000 ans – et ne pas polariser sur le christianisme

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  2. Ezzat dit : »Pourquoi croyez-vous que les évangiles furent écrites en grec et non pas en araméen ? ».

    En fait, on peut fortement douter que les Evangiles aient été écrits en grec, et l’on doit plutôt penser qu’ils l’ont été en hébreu.
    Cf « Le christ Hébreu » de Claude Tresmontant (1983) qui est l’aboutissement d’un courant de pensée initié par l’évêque anglican Mgr John A.T. Robinson via « Redating the New Testament » (1976), et l’abbé Jean Carmignac via « La Naissance des Évangiles synoptiques », 1984.

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    1. Ezzat a aussi posé la question de savoir en quelle langue Dieu avait écrit les 10 Commandements et également pourquoi les égyptiens ne se convertirent pas en masse après les 10 plaies bibliques.

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    2.  » Les Dix Commandements auraient dû être écrits en langue égyptienne ancienne, mais ce ne fut pas le cas. Alors, où est le chaînon manquant ?  »
      Tenez, je me permets de vous proposer la lecture de cette publication du Dr. A. Ezzat, qui ne dit jamais que la Bible est une invention, je le redis, mais que la location géographique de cette histoire n’est pas la bonne ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2017/09/02/dans-quelle-langue-dieu-a-t-il-ecrit-les-10-commandements-dr-a-ezzat-traduit-complete-par-jbl1960/

      Voici ce qu’il précise en préambule : Le dieu des Israélites a-t-il délivré les soi-disant Dix Commandements à Moïse par voie orale ou sous forme écrite ? La Bible dit clairement dans plusieurs endroits qu’il a effectivement écrit les Dix Commandements lui-même (avec son propre doigt). Le verset le plus clair à cet égard se trouve dans (Ex 31:18).

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    3. Pourquoi les Égyptiens ne se convertirent pas en masse après les 10 plaies bibliques ?

      Tout ce dont on a besoin est un miracle, une plaie, pour que l’Homme, ancien ou moderne, croit en un dieu qui a révélé sa puissance et sa divinité au travers de ce miracle.

      Les scribes bibliques argumentent que l’histoire de l’Exode s’est déroulée dans l’Égypte antique. Si cet argument est valide, alors tout le peuple de l’Égypte ancienne se serait instantanément converti au judaïsme (ou plus exactement au culte des Israélites) après que leur dieu ait révélé au sus de tous toute sa puissance en détruisant “miraculeusement” la terre d’Égypte et son roi (appelé par erreur pharaon).

      Pourquoi donc les Égyptiens ne se convertirent pas en masse après les 10 plaies bibliques ? Dr. EZZAT + MàJ du PDF

      Si je me permets de vous renvoyer aux travaux de recherche du Dr. A. Ezzat, que j’ai publié dernièrement, c’est qu’à mon sens, parce qu’il va le plus loin dans l’argumentation et l’exposé des faits.

      Merci pour votre commentaire en tous cas.

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