Guerre & Paix…

Coloniales !

Sur le site Herote on peut y lire un bonne analyse d’Alban Dignan qui relate dans le détail la colonisation de l’Algérie par la France de 1830 jusqu’à sa déclaration d’indépendance le 19 mars 1962. Cependant n’étant pas d’accord avec sa conclusion, je m’en explique à la fin.

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Guerre d’Algérie

Une décolonisation qui ne passe pas

Url de l’article original : http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=319&ID_dossier=9

 

La France occupe l’Algérie après 1830 sans l’avoir vraiment souhaité. Après la difficile soumission du pays et l’échec du projet de Napoléon III de constituer en Algérie un « royaume arabe » associé à la France, le territoire devient sous la IIIe République le joyau du nouvel empire colonial.

La gauche républicaine, très engagée dans la colonisation, organise dans la colonie un régime franchement discriminatoire. Par le décret Crémieux, elle accorde la citoyenneté française aux habitants israélites cependant que la population musulmane est majoritairement maintenue à l’écart du progrès économique et social.

Les musulmans conservent le droit de demander la citoyenneté française, conformément à une loi du Second Empire. Mais ils doivent pour cela renoncer à titre individuel au statut coranique, jugé incompatible avec la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (inégalité juridique de l’homme et de la femme).

Ceux qui acceptent la citoyenneté se privent de faire appel aux arbitrages du juge coutumier, le « cadi », ainsi que de pratiquer la polygamie, le droit de répudiation… Très peu s’y rallient, à l’exception notable d’une minorité de Kabyles qui non seulement renoncent au statut coranique mais aussi se convertissent à la religion chrétienne. Les autres sont soumis à partir de 1881 au régime de l’indigénat, avec l’obligation d’un permis de circulation. Bien que non-citoyens, ils n’en sont pas moins astreints au paiement de l’impôt et au service militaire.

La IIIe République constitue la même année, en 1881, l’Algérie sous la forme de trois départements : Oran, Alger et Constantine. Elle francise par la même occasion les noms de localités.

En 1898, un statut spécial place les trois départements algériens sous l’autorité d’un gouverneur général dépendant du ministère de l’Intérieur, avec une Assemblée algérienne élue de 69 membres dont 48 Européens et assimilés.

Relance de la colonisation

La IIIe République relance par ailleurs la colonisation européenne. Les premiers bénéficiaires sont 10 000 ressortissants de l’Alsace-Moselle qui ont quitté leur terre natale suite à son annexion en 1871 par l’empire allemand.

Suivent de nombreux immigrants pauvres issus essentiellement d’Espagne, d’Italie et de l’île voisine de Malte. En 1900, pas moins d’un million d’hectares de terres sont cultivées par des Européens, essentiellement en vigne et en blé.

Au milieu du XXe siècle, les habitants d’origine européenne représentent un peu plus de 10% de la population totale, en incluant les citoyens assimilés de culture israélite. Ils forment une communauté soudée, repliée sur elle-même, méfiante à l’égard des musulmans autant que des Français de la métropole.

La plupart vivent modestement, au regard du niveau de vie dans les villes de la métropole. Ils votent en majorité à gauche et se reconnaissent volontiers dans les écrits d’Albert Camus, leur plus illustre représentant.

Une minorité de grands propriétaires terriens dominent la vie publique et leur influence est d’un grand secours aux petits colons quand il s’agit d’enterrer des projets de réforme.

Naissance d’une identité musulmane

Chez les musulmans, des revendications politiques contradictoires se font jour dans les années 1930. Le Parti Populaire Algérien de Messali Hadj demande l’indépendance tandis que la Fédération des élus indigènes réclame une complète assimilation.

Cependant, l’idée d’une nation algérienne est encore étrangère à la plupart des habitants. Le militant Ferhat Abbas dira avoir cherché l’Algérie dans les livres et les cimetières et ne pas l’y avoir trouvée.

En 1936, le président du Conseil Léon Blum et le gouverneur Viollette proposent de conférer à tout juste 21 000 musulmans le droit de vote aux élections législatives. Mais les élus d’Algérie s’y opposent violemment et le projet Blum-Viollette, malgré sa timidité, n’est même pas voté.

Au début de la Seconde Guerre mondiale, les Français d’Algérie se rallient massivement au gouvernement de Vichy conduit par le maréchal Pétain. Mais en 1942, l’Algérie est occupée par les Anglo-Saxons et Robert Murphy, représentant du président Roosevelt, ne se fait pas faute de dénoncer alors le colonialisme.

Les Algériens musulmans découvrent alors l’inanité de leur statut d’indigène et demandent que des droits politiques leur soient enfin reconnus (*). C’est ainsi que Ferhat Abbas publie le Manifeste du peuple algérien avec 28 élus musulmans le 10 février 1943. Il fonde par ailleurs l’Union démocratique du manifeste algérien (UDMA) tandis que Messali Hadj fonde le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD).

Prémices de la révolte

En signe d’ouverture, le 7 mars 1944, le gouvernement provisoire d’Alger octroie la citoyenneté française à 70 000 musulmans (l’Algérie compte à cette date près de 8 millions de musulmans pour moins d’un million de citoyens, ceux-ci étant d’origine européenne ou descendant des juifs d’Algérie naturalisés par le décret Crémieux !).

Jugeant ce geste très insuffisant, Messali Hadj et Ferhat Abbas projettent un congrès clandestin qui proclamerait l’indépendance. L’année suivante, ils se proposent de profiter de la liesse de la victoire pour brandir le drapeau de l’Algérie indépendante. Mais Messali Hadj est arrêté en avril 1945 et les manifestations débouchent sur les dramatiques massacres de Sétif, le 8 mai 1945 (plusieurs milliers de victimes).

Les revendications des indépendantistes algériens sont à peu près unanimement condamnées par la classe politique française, de l’extrême-droite à l’extrême-gauche. Les uns y voient la main de Moscou, les autres (les communistes) celle des nazis ! Tous demeurent déterminés à maintenir la colonie au sein de la République.

La IVe République consent tout de même en 1947 à accorder un statut plus décent à l’Algérie qui devient « un groupe de départements dotés de la personnalité civile, de l’autonomie financière et d’une organisation particulière ».

Mais, cédant aux injonctions des grands propriétaires pieds-noirs, le gouvernement français institue une Assemblée algérienne avec un double collège qui reproduit la division de la société : le premier collège représente les 950 000 Français du pays et quelques 45 000 musulmans ; le second, de même poids politique, représente les 8,5 millions d’autres musulmans, dont le taux de natalité très élevé conduit à penser qu’ils occuperont une place de plus en plus grande dans leur pays.

Comme si ces distorsions ne suffisaient pas, le travail de l’Assemblée algérienne est compromis dès le départ par le trucage du scrutin. Autant d’injustices flagrantes qui portent en germe le conflit futur.

Rancœurs algériennes

Déclenchée par une poignée d’hommes le 1er novembre 1954 (la « Toussaint rouge »), l’insurrection indépendantiste ne reçoit le soutien d’une fraction notable des musulmans qu’après les massacres de Philippeville, l’année suivante.

Elle s’enfonce alors dans l’horreur, avec une « guerre sans nom » tissée d’attentats, de coups de main, de répression aveugle et de torture, doublée d’une autre guerre au moins aussi violente entre factions indépendantistes (FLN contre MNA).

Il faudra en définitive toute la lucidité de De Gaulle pour faire admettre à chacun le caractère inéluctable de l’indépendance. Mais celle-ci sera engagée de la pire des façons, les clés du pays étant confiées le 19 mars 1962 au FLN, soit la faction la plus dure du mouvement indépendantiste.

Les nouveaux dirigeants vont mener le pays à la faillite, tant sociale que politique, économique et culturelle. Soucieux de masquer leur dramatique échec, ils ne vont avoir de cesse, jusqu’à nos jours, d’en reporter la responsabilité sur l’ancien colonisateur.

Leurs accusations seront relayées en France par la gauche socialiste et communiste, soucieuse de faire oublier son engagement en faveur de la colonisation jusqu’à la fin des années 1950.

Depuis l’assassinat de Mohamed Boudiaf (1992), on voit mal quels dirigeants, en Algérie et en France, auront le courage de sortir de ce double mensonge. En sont principalement victimes les enfants de l’immigration algérienne, entretenus dans la haine à l’égard de leur patrie d’adoption, et les Algériens eux-mêmes, maintenus dans la servitude.

Alban Dignat

Notons que la rumination de la guerre d’Algérie, plus d’un demi-siècle après les faits, tant en Algérie qu’en France, est sans équivalent dans l’Histoire et dans le monde. Ainsi, l’Inde, qui sait gré aux Britanniques de lui avoir donné son unité et une langue de communication, semble avoir oublié les aspects cruels de la colonisation. Et le Vietnam, résolument tourné vers l’avenir, se soucie comme d’une guigne de ses guerres passées avec les Français et les Américains !

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Appelant, pour ma part à une décolonisation concertée, et dans le but de faire tomber l’empire, et puisque nous sommes tous colonisés. Je ne soutiens pas l’affirmation de Dignat, comme quoi l’Inde sait gré aux Britanniques de lui avoir donné son unité et une langue de communication ;

Ah non… Je l’invite même à relire un poème Mohawk « Dernier Paper, Dernière Reine », ici

Qu’il a du reste complètement ignoré dans sa conclusion. De même, comment croire que le Vietman d’aujourd’hui se fiche comme d’une guigne de ses guerres passées avec les Français et les Zuniens, surtout à la lumière du dernier article de Pilger, ici, sur la complicité prouvée de l’Australie (qui fait partie de l’empire) dans le génocide au Timor Oriental de 1965…

Enfin, quand il affirme que l’indépendance fut céder aux mains de la faction la plus dure du FLN, je propose de s’intéresser aux déclarations de Jean-Loup Izambert suite à son livre « 56 » dans lequel il explique ceci ;

Les dirigeants français qui se succèdent au pouvoir depuis les années soixante-dix sont tous liés aux cercles atlantistes et sionistes. Leur politique vis-à-vis des pays du Maghreb et d’Israël vise à diviser les premiers entre eux et, si possible, les déstabiliser pour mieux protéger le second qui est leur principale plate-forme politique et militaire sur la Méditerranée, la « mer aux trois continents », et le Moyen-Orient. Une fois encore, le poison du fanatisme religieux va servir les intérêts des colonialistes. Au-delà de leurs discours officiels sur l’union des peuples de la Méditerranée, les actes des dirigeants français sont des actes de guerre larvée ou ouverte. Contre l’Algérie comme contre la Libye de Kadhafi et la Syrie de Bachar Al-Assad, ils recourent à la vieille méthode de propagande nazie : ils inversent la réalité des faits, rendent leurs victimes responsables de leurs crimes et font du mensonge d’État la vérité officielle. Leurs agressions contre les peuples arabes ne sont que la continuité de leur politique économique. Ils ont procédé de même envers l’Algérie, accusant l’armée algérienne des atrocités commises par les individus qu’ils protégeaient avec l’espoir d’installer à Alger un gouvernement à leur solde ou le chaos pour piller un peu plus les richesses de l’Algérie, en faire une nouvelle base sur l’Afrique et neutraliser le mouvement d’émancipation des peuples. La politique de François Hollande comme celle de Nicolas Sarkozy s’inscrivent dans le droit fil de la politique colonialiste de Guy Mollet et François Mitterrand.

Et tout ceci, encore une fois au N.O.M. du Gaz !

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Ici, je me permets d’introduire cet article lu sur Tout Sur l’Algérie qui apporte un contre-poids au fait que le Maréchal Hollandouille a souhaité participer à cette commémoration et je vous conseille vivement de revisionner l’interview de Vincent Nouzille (Ici) venant présenter son livre « Les Tueurs de la République » dans lequel on apprend que notre bon Maréchal est celui qui aura le plus commandé et commandité d’assassinats ciblés au nom de la République…

Commémorations du 19 mars : la mémoire de la guerre d’Algérie divise toujours en France

Mercredi 9 mars 2016 | Pierre Morville | Paris

Url de l’article original ; http://www.tsa-algerie.com/20160309/commemorations-19-mars-memoire-de-guerre-dalgerie-divise-toujours-france/

François Hollande participera aux célébrations du cessez-le-feu le 19 mars, ce qui crée déjà une grande polémique parmi de nombreuses associations, notamment de harkis et de pieds-noirs. Le président français prononcera le 19 mars prochain un discours devant le mémorial national de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie, situé au Quai Branly.

Aucun président français, depuis l’indépendance de l’Algérie, n’avait pris part à ces commémorations, inscrites dans la loi par une proposition socialiste adoptée le 8 novembre 2012. François Mitterrand, qui a toujours été opposé à l’officialisation de cette commémoration, avait déclaré à l’époque : « On peut choisir n’importe quelle date sauf le 19 mars ». Jacques Chirac avait inauguré le monument, mais Nicolas Sarkozy n’a jamais célébré cet événement.

L’Elysée a indiqué que le président Hollande souhaitait commémorer le cessez-le-feu et non les Accords d’Evian, signés le 18 mars 1962. De leur côté, les associations de rapatriés considèrent la date du 19 mars comme une défaite et la fin de l’engagement des autorités françaises dans la défense de leurs ressortissants.

L’ensemble du conflit reste marqué par la violence des affrontements et le nombre des morts, essentiellement du côté algérien.

Un débat sensible

La commémoration du 19 mars 1962, date du cessez-le-feu bilatéral, reste donc un débat sensible en France. La bataille mémorielle et politique divise en deux camps les anciens combattants d’Algérie, mais aussi en partie l’échiquier politique. Les opposants à la commémoration du 19 mars, recrutés surtout dans le camp plutôt des nostalgiques de l’Algérie française, font valoir que le conflit a perduré, notamment à travers les opérations de l’OAS. Il est vrai qu’on estime à 155 000 les nombres des morts post cessez-le-feu, entre mars et juillet 1962.

En 2000, le député Bernard Charles (radical-écologiste) dépose une première proposition de loi « tendant à instituer une journée nationale du souvenir des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de Tunisie. ». Celle-ci, reprise par des personnalités du PS et de la droite, est adoptée en 2002. Depuis une loi française du 6 décembre 2012, le 19 mars, « jour anniversaire du cessez-le-feu en Algérie », est déclaré « journée nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc », reprenant la proposition de Bernard Charles.

En France, le souvenir de cette guerre s’estompe

Mais 54 ans après le cessez-le-feu, la mémoire de la guerre d’Algérie divise toujours : de nombreuses associations de harkis et de pieds-noirs ont réaffirmé leur opposition à la commémoration du 19 mars. Plusieurs maires, notamment dans le Sud de la France, du parti Les Républicains et bien sûr des élus du Front national boycotteront la commémoration. Les associations ont depuis longtemps opté, plutôt que la date du 19 mars, pour celle du 5 décembre, jour de l’inauguration par Jacques Chirac du mémorial consacré aux 24 000 militaires français tués pendant le conflit.

« François Hollande est en train de tourner le dos à une partie de la communauté nationale, il reconnaît qu’une seule souffrance, celle des Algériens, et jette un voile d’ombre sur les drames des harkis et des Français d’Algérie. Il pourrait embrasser toutes les mémoires en se rendant aux commémorations du 5 décembre », commente ainsi Thierry Rolando, du cercle Algérianiste, dans Le Figaro.

À la Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie (FNACA), en revanche, on célèbre le 19 mars 1962 depuis 1983. La décision de François Hollande de s’associer à ces commémorations est accueillie avec « joie ».

Dans les faits, ces polémiques n’affectent plus guère la société française. Les plus jeunes soldats qui ont combattu en Algérie sont septuagénaires et sur une population de 46,5 millions de Français en 1962, les pertes de la guerre ont fait l’effet démographique d’une égratignure, largement compensée par l’arrivée massive des Français d’Algérie à  partir du printemps 1962.

Rien de tel sur le territoire où se sont déroulés les affrontements militaires : « la  population civile algérienne, en particulier, a payé un lourd tribut et l’impact démographique de la guerre sur le pays rappelle la saignée de la guerre de 1914-1918 pour la France, quoique sur une durée plus longue », note l’historienne Raphaëlle Branche.

Celle-ci fait également remarquer que le cessez-le-feu du 19 mars commença à mettre fin à ce long et sanglant conflit, mais depuis « aucun traité d’amitié n’a réussi à dire de manière officielle les liens importants pourtant maintenus entre les deux pays ».

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Hollandouille ne sert que ses propres intérêts, enfin comme c’est le larbin des larbin du 0.01%, il sert les intérêt des psychopathes aux manettes…

Il suffit de lui NON ! Toujours pas en mon N.O.M.

JBL1960

 

 

 

41 réflexions sur « Guerre & Paix… »

  1. http://www.bvoltaire.fr/manuelgomez/19-mars-ne-soyez-pas-complices,244565

    lire : les combattants musulmans de la guerre d’Algérie (des soldats sacrifiés) de Maurice Faivre

    les kabyles n’ont pas été convertis au christianisme, ils étaient chrétiens d’origine

    et des photos des horreurs de la torture, il y en a beaucoup – et plus du côté FLN que du côté français (ce qui ne veut pas dire que c’est inexistant) donc pas vraiment des saints – le communisme n’a pas aidé

    quant à la l’agriculture, les espagnols étaient d’abord venu parce que la terre était fertile – au temps des colons français, l’ Algérie exportait du blé – et les vignes étaient prospères – maintenant ils importent et les vignes sont à l’abandon et le peuple est en train d’en pâtir fortement et tout va mal se terminer je le crains

    j’ai lu Yasmina Kadra – roman bien évidemment – mais quand même –

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  2. Le bordel continue… Consigne qui vient de tomber: restez où vous êtes, ne sortez pas.
    From Brussels… où tout va mal.

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  3. Vs allez être mis au jus par tous les médias. Pr le moment ils parlent de 20 morts à l’aéroport et 15 ds une rame de métro ds le quartier européen de bxl. Et craignent de nvelles attaques à bxl ou ailleurs en europe. Je crains que ça ne rigole pas. Ma sœur doit atterrir demain à ce même aéroport qui est bien sûr fermé comme ttes les gares etc Niveau d’alerte maximal. Déploiement de militaires. Je vous laisse, à plus tard.

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  4. Il n’y a eu aucune maladresse de votre part…
    J’ai pensé un moment que « Un passant » était né à Paris le 13 novembre 2015 et qu’il pouvait disparaître dans le silence étoilé de la nuit à Bruxelles le 22 mars 2016…
    Mais le texte de Zénon sur R71 et la chanson de votre fils lui ont redonné un instant le goût de cliquer sur « LAISSER UN COMMENTAIRE »…
    Bon déménagement!…

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    1. Je serai toujours heureuse de vous lire ! J’espère à bientôt pour des commentaires malicieux et mordants ! Avez-vous lu cette info incroyable sur le Thévenoud qui fait a écrit un livre expliquant sa phobie, va à ONPC, et donc, continue à ne pas payer la cantine de ses filles scolarisés à Paris 5ème… Croyez-bien que mon clavier me démange, mais, pas le temps d’approfondir le truc pour cause de déménagement donc ! Ah on a pas le cul sorti des ronces, hein ?

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  5. « mon clavier me démange, mais, pas le temps d’approfondir le truc pour cause de déménagement »
    oui, c pas la matière qui manque, les sujets de scandales et d’aberrations nous arrivent tous les jours, on sait plus où donner de la tête… et perso, même sans aller sur internet, je vois des militaires qui fouillent les sacs un peu partout à bruxelles et les 3/4 des gens trouvent ça normal car enfin si jamais y’en a un qui a une bombe et patati et patata ( et patate frite tiens, tant qu’on y est… on a pas le cul sorti des ronces ni des cornets… de frites; donc)!
    Tiens, y’avait aussi des camionneurs qui bloquaient les routes et les dépots de carburants depus lundi ici en belgique mais les condés et les militaires et les huissiers etc les ont délogés, ben tiens… les pompes et les magasins commençaient à se vider… bon d’accord c because ils sont asphyxiés par les taxes qu’ils râlent, pas par idéal anarchiste, m’enfin c tous des signes qui montrent quand même qu’il y a une tension et une exaspération qui monte… C’est mieux que rien… y’en a qd m un paquet qui a pigé que ceux au pouvoir se foutent de notre gueule, et pas un peu !!!
    ciaooo…

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    1. Oui, c vraiment ça ; On ne sait + où donner de la tête tant les infos se bousculent de partout. Et pourtant il faut garder la tête froide. Sinon, on devient dingue, non ? D’autant que c leur but, aux psychopathes aux manettes. Ordo Ab Chaos…

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  6. Ben vous avoue que c’est pour ça aussi que je prends parfois des distances avec tout ça car ça finit par me prendre trop la tête et me rendre malade… Alors, respiration, gymnastique et tisane… 😉
    ;p

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    1. Et vous avez bien raison. J’avoue que souvent l’angoisse me noue la gorge devant tant d’atonie générale. Mais, qque chose, tout au fond de moi, me pousse à continuer. Je ne peux lutter contre. J’ai essayé ; J’y arrive pas. C’est plus fort que moi. J’ai l’impression qu’on m’attrape par le collet et qu’on me botte le cul en même temps ; Alors je continue en essayant d’être la plus sincère possible et d’organiser au mieux ma pensée. Pour le moins j’arrive à me regarder dans la glace !

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  7. Sont moins cons que pas mal d’humains ces lémuriens, pour vous donner le fond de ma pensée…!
    Mais vs avez la chance de déménager à la campagne… !!!
    A+

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  8. Ne pas voter pour n’importe lequel de ces blaireaux est pour moi une évidence, une sorte d’illumination qui m’est tombée dessus dès l’adolescence!
    A part ça, ça déménage? Vous aurais bien donné un coup d’main mais j’habite pas la porte à côté 😉

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    1. Bah, chez nous c’est tous les jours que ça déménage ! Comment vous dire, j’suis cassée de partout, mon vieux mari aussi, j’ai un genou dans le sac et je blogue pour me remonter le moral tant il est bas… Heureusement qu’il y a Coluche pour nous faire rire, et réfléchir en même temps. C’est vrai que vous n’avez jamais voté vous ! Et comme vous avez bien fait. M’étant éveillée totalement en 2013 (on ne rit pas…) c’est pas que je regrette non ; C’est juste que je me sens très très conne d’avoir cru que mon vote allait permettre au Maréchal de changer les choses… Queskonékons mais queskonékon aussi parfois…

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      1. oui mais pour ma part ni clinton… ni trump (ni même sanders), 2017 idem: ni umps ni le pen (ni même mélenchon)
        les attrape-voix n’auront jamais la mienne 😉

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  9. ça va? vs avez tjrs le courant en Charente maritime?
    Décidément, l’ambiance est pré-apocalyptique, trouvez pas?
    PS: pr Naze I, que dire de + que chacun d’un tant soit peu éveillé ne sache déjà? Le plus NAVRANT, c qu’il y ait eu 53% de votants pour mettre ce nabot grotesque au Pouvoir, bien aidé il est vrai par (entre autres) TF1-Bouygues qui nous l’imposa TOUS les jours au 20H qd cet égocentrique pervers bourré de tics nerveux et de casseroles les plus magouilleuses qui soient n’était encore que Sinistre de l’Intérieur…

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    1. Vous ne croyez pas si bien dire ; Figurez-vous que j’ai toujours de connexion définitive à Internet… C’est pour ça que je peux encore rien faire ! Je végète avec une airbox limitée en attentant de récupérer une ligne… Y’a un gonze qui pédale qque part, ou pas !

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  10. Merci pr vos liens. Chaque fois que je retombe sur cette page « Guerre et paix » je ne peux m’empêcher de penser au titre d’un album de Dutronc: « Guerre et pets »… hi hi
    V me faire + rare, pdt qqs temps je n’aurai pas souvent internet. Je vous dis déjà A bientôt et courage! (il en faut… ça sent de + en + l’État policier, trouvez pas? Et là ou y’a d’la lacrymogène, y’a pas d’plaisir!)

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    1. Oui, ça pu grave… C’est rock’roll de garder le cap en ce moment… Même l’affaire Luis Trio s’est fait la malle de cette pas chic planète… A bientôt mon ami, passez qd vous voulez et portez-vous bien 😉

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  11. Je pars marcher un peu ds la Nature (ma façon à moi « de garder le cap »), g la chance de pouvoir encore le faire, pê plus pr longtemps alors je fonce tant que c encore possible, autre coïncidence l’année passée j’étais passé pas loin de chez vous en suivant la Voie de Tours (suis pas catho mais je suis les caminos et les GR… au moins comme ça je me perds pas trop), g regardé sur la carte, le plus près c’était à Pons, et pê qu’une année je passerai carrément par Royan, le bac, pointe du grave et avanti la voie du littoral, mais chaque chose en son temps, je vous laisse, que votre blog soit aussi un Chemin, et que votre nouveau logis soit meilleur que l’ancien…
    Un marcheur

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