L’homme n’est pas un loup pour l’homme…

Non, c’est pas inscrit dans nos gènes.

Et non l’Homme n’a pas toujours fait la guerre…

Et non, cette idée n’arrange pas les zélites mondiales principalement zuniennes et passablement eugénistes par nature, elles…

Dans la rubrique Déconstruction d’un mythe : Non les Hommes n’ont pas toujours fait la guerre !

Je reproduis l’étude qu’a publié en premier lieu Sott.net ici : http://fr.sott.net/article/27248-Non-les-hommes-n-ont-pas-toujours-fait-la-guerre-Deconstruction-d-un-mythe

Et reprise par Résistance 71, ici ; https://resistance71.wordpress.com/2015/12/31/demythification-une-gifle-de-plus-a-la-theorie-oligarchique-de-lhomme-belliqueux-de-la-nature-intrinsequement-violente-de-lhumain/

La Professeure/chercheuse Patou-Mathis reconfirme ce que Pierre Kropotkine, considéré par beaucoup aujourd’hui comme le « père » de la socio-biologie, avait démontré dès la fin du XIXème siècle, mais voilà… Cela n’arrange pas du tout les affaires de l’oligarchie pour qui l’invention de la théorie de « l’homme est un loup pour l’homme » justifiait et justifie toujours les pratiques prédatrices et criminelles du petit nombre au pouvoir… — Résistance 71 —

Dans Le Monde diplomatique de juillet 2015 (N°62), un article de Marylène Patou-Mathis intitulé « Non, les hommes n’ont pas toujours fait la guerre » a pour but de « déconstruire le mythe d’une préhistoire sauvage et belliqueuse ». C’est un article qui s’inscrit donc, selon moi, directement dans la nébuleuse d’Olivier Maurel, pour qui « la nature humaine est bonne ».

On apprend dans cet article que l’image de l’homme préhistorique violent et assoiffé de guerre n’est qu’une invention tardive… qui remonte au XIXè siècle. Anthropologues et préhistoriens partent du postulat que l’humanité évolue progressivement et unilinéairement pour arriver à cette construction. Au fur et à mesure du temps des fictions ont figé dans nos société une espèce d’archétype de l’homme préhistorique de base: un homme viril vêtu de peau de bête, armé, qui combat des animaux bien plus grands que lui, pour qui les conflits sont omniprésents…etc… Cela me rappelle personnellement mes livres d’histoire (préhistoire…) de l’école primaire. Comme quoi il faut du temps pour construire un mythe et aussi pour le déconstruire.

Au XXè siècle les préhistoriens annoncent que l’homme préhistorique est agressif par nature. Pourtant, dans cet article, solide d’une bibliographie francophone et anglophone abondante, l’auteure tient à démontrer que « Plusieurs études en neurosciences affirment que le comportement violent n’est pas génétiquement déterminé. Même s’il est conditionné par certaines structures cognitives, le milieu familial et le contexte socio-culturel jouent un rôle important dans sa genèse. En outre, de nombeux travaux, tant en sociologie ou en neurosciences qu’en préhistoire, mettent en evidence le fait que l’être humain serait naturellement empathique. C’est l’empathie voire l’altruisme, qui aurait été le catalyseur de l’humanité. »

Marylène Patou-Mathis appuie sa démonstration sur l’exemple des handicapés physiques et mentaux qui n’étaient pas tués. C’est l’archéologie qui vient corroborer tout cela en montrant que les hommes de la préhistoire prenaient soin de leurs infirmes et blessés. Toutefois, ici l’auteure ne ferme pas les yeux et tente de trouver une explication (ou plusieurs) au fait que des squelettes portant des signes de violences ont été retrouvés. Après tout, pourquoi conclure forcément à des règlements de compte belliqueux ? Dans cet article, la question est posée : mais alors quand apparaît vraiment la violence ???  La réponse de l’auteure est simple : c’est la sédentarisation qui est à mettre en cause avec la naissance de l’économie de production ainsi que le bouleversement des structures sociales. On est donc en pleine période du néolithique, il y a 10 000 ans.

Pour résumé je vous note ici le dernier paragraphe :

« Ainsi, la « sauvagerie » des préhistoriques ne serait qu’un mythe forgé au cours de la seconde moitié du XIXè siècle pour renforcer le concept de « civilisation » et le discours sur les progrès accomplis depuis les origines. A la vision misérabiliste des « aubes cruelles » succède aujourd’hui – en particulier avec le développement du relativisme culturel – celle, tout aussi mythique, d’un « âge d’or ». La réalité de la vie de nos ancêtres se situe probablement quelque part entre les deux. Comme les montrent les données archéologiques, la compassion et l’entraide, plus que la compétition et l’agressivité, ont probablement été des facteurs-clés dans la réussité évolutive de notre espèce. »

Non, c’est pas dans nos gènes.

Et puis surtout, si une révolution est nécessaire pour retirer notre consentement, en masse, à cette oligarchie qui nous écrase, qui nous latte, qui nous larde et qui nous détruit ce n’est surement pas en nous entretuant, non !

ENTRE DEUX MONDES

Je prétends que si Le changement de paradigme : C’est maintenant !

C’est assurément « sans arme, ni haine, ni violence » autant que possible !

JBL1960

Et pour être honnête si j’adore De Palmas, à chaque fois que j’entends cette chanson, le « c’est dans nos gènes » me navre au plus haut point aussi je me remémore cet article pour me rappeler que « Non, finalement c’est pas dans nos gènes. » Et que tout est possible, autrement…

 

NIMPORTENAWAK !

Grand Nimportenawak !

Et par la Bush même du Premier Sinistre Valls !

Fr.sott.net publie l’article de l’express de ce 09/02/2016 dont voici l’url de l’article original http://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/etat-d-urgence-le-senat-se-prononce-mardi-sur-une-prolongation-de-trois-mois_1761748.html

Extrait choisi ; « Séquence incroyable au Sénat. Et inacceptable pour le juriste démocrate, voire pour le démocrate tout court. Très calmement, alors que les sénateurs discutaient ce vendredi après-midi du projet de loi prorogeant l’état d’urgence, le Premier ministre a demandé aux parlementaires de ne pas saisir le Conseil constitutionnel. Il craint que la loi ne soit pas conforme au texte fondamental de la Cinquième République.
« Je suis dubitatif sur l’idée de saisir le Conseil constitutionnel, a expliqué Manuel Valls lors de sa dernière intervention en séance. Car il y a toujours un risque. Si le Conseil répondait que la loi révisée est inconstitutionnelle sur un certain nombre de points, cela peut faire tomber 786 perquisitions et 150 assignations à résidence déjà faites ». » Source Numerama.

Vous avez bien lu : sur les 2000 perquisitions menées, 786 sont, du propre aveu de notre Premier ministre, anticonstitutionnelles. Ajoutez à cela la tendance actuelle des CRS à sortir les matraques plus rapidement qu’à l’accoutumée et vous commencez à peine à entrapercevoir l’avenir. Ce n’est qu’un début.

Paris – Le Sénat doit se prononcer mardi sur le projet de loi prolongeant de trois mois l’état d’urgence instauré après les attentats du 13 novembre, avant l’Assemblée nationale où il sera examiné le 16 février.

Le texte signé par le Premier ministre Manuel Valls et celui de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, est très court. Il « proroge pour une durée de trois mois, à compter du 26 février 2016 et selon les modalités prévues aux articles 2 et 3 de la loi du 20 novembre 2015 (…) l’état d’urgence ».

François Hollande avait annoncé le 21 janvier cette prolongation après avoir reçu les uns après les autres les responsables des partis représentés au Parlement pour évoquer la question de la révision constitutionnelle. Celle-ci, qui comprend à la fois l’état d’urgence et la très controversée déchéance de nationalité, est actuellement examinée à l’Assemblée.

Une semaine après les attentats du 13 novembre, le Parlement avait donné son feu vert à la prolongation pour trois mois de l’état d’urgence et au renforcement de ce régime d’exception. Le Sénat avait adopté le projet de loi par 336 pour et 12 abstentions (11 communistes et 1 écologiste). L’Assemblée avait aussi donné massivement son imprimatur jeudi, par 551 voix pour, 6 contre (3 PS, 3 écologistes) et une abstention (PS).

Cette loi « a renforcé l’efficacité des mesures prévues dans le cadre de l’état d’urgence », souligne le gouvernement dans son exposé des motifs. Mais « ce travail long et minutieux n’est pas achevé, alors que la menace terroriste caractérisant le péril imminent qui a justifié la déclaration initiale et la prorogation de l’état d’urgence demeure à un niveau très élevé ».

Vers un état d’urgence prolongé puis permanent :

« Les renseignements recueillis depuis les derniers mois établissent (..) les contours de structures, constituées au sein de l’organisation Daesh, dont la mission première est de projeter des individus ou des groupes opérationnels en Europe et particulièrement en France », poursuit le gouvernement.

« La volonté de l’organisation terroriste de répondre aux coups qui lui sont portés par la coalition internationale au Levant, la permanence de ses messages belliqueux au gré de ses différentes publications comme l’instabilité qui prévaut en Lybie, où elle s’enracine à proximité du continent européen, constituent les éléments d’une menace objective et de haute intensité ».

La prolongation demandée par le gouvernement jusqu’à fin mai est plus controversée, des partis de gauche et des associations de défense des droits de l’homme et des libertés publiques s’inquiétant d’un risque de pérennisation de ce régime d’exception. Le Conseil de l’Europe s’est montré préoccupé des « risques » de dérives.

Les sénateurs du groupe communiste, républicain et citoyen (CRC) ont annoncé qu’ils voteront contre. Pour eux, avec l’adoption de ce texte ainsi que celle du projet de réforme de la procédure pénale, on va « vers un état d’urgence prolongé puis permanent » et « Daesh fait reculer les libertés publiques en France ».

La secrétaire nationale d’Europe Écologie-Les Verts Emmanuelle Cosse s’y est aussi opposée, tandis que le numéro deux du FN Florian Philippot s’est montré hostile à une nouvelle prolongation, car « c’est une mesure ponctuelle par définition », « sinon c’est de la com' ».

A l’inverse, le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a jugé que les nouvelles menaces de l’organisation État islamique incitaient « à l’évidence » à la prolongation de l’état d’urgence souhaitée par François Hollande.

Le Conseil d’État a refusé de le suspendre, comme le lui demandait la Ligue des droits de l’Homme (LDH), estimant que « le péril imminent justifiant l’état d’urgence n’a pas disparu, compte tenu du maintien de la menace terroriste et du risque d’attentats ».

De son côté, la commission des lois du Sénat, présidée par Philippe Bas (Les Républicains, LR), a approuvé le principe du projet de loi.

Source Sott.net : http://fr.sott.net/article/27617-L-Etat-d-urgence-est-inefficace-Il-faut-donc-le-prolonger

Dans quel état j’erre ?

Ben, je crois avoir ma réponse, non ?

Bon alors qu’est-ce qu’on fait ?

Vu que c’est le grand nimportenawak à tous les étages depuis que Charlie va au Bataclan pour moi c’est très clair.

Dans État d’urgence : Mode d’emploi nous avons le déroulé de ce que sera notre vie sous peu et que nous le voulions ou pas.

Entre deux mondes hier encore ; Essayons, car il est temps !

Mieux vaut trop tôt, que trop tard !

JBL1960

 

 

DICTATURE 2.0 !

Avis à la population française ;

À la schlag !

Ciotti enfonce le clou dans le cercueil de nos libertés déjà moribondes…

En une de 20 minutes de ce jour, lien vers l’article original : http://www.20minutes.fr/nice/1782791-20160209-cote-azur-cas-deux-refus-offres-emploi-ciotti-lr-veut-suspendre-rsa

Côte d’Azur: En cas de deux refus d’offres d’emploi, Ciotti (LR) veut suspendre le RSA

SOCIAL Le président du département des Alpes-Maritimes veut accroître le suivi des bénéficiaires…

« Faute de la démonstration d’une vraie volonté à retrouver le chemin de l’emploi », un bénéficiaire pourrait voir « ses allocations suspendues », a annoncé Eric Ciotti lundi. Le président (LR) du département des Alpes-Maritimes veut suspendre automatiquement le RSA aux allocataires qui refusent deux offres « raisonnables » d’emploi.

Le député souhaite aussi « conditionner le RSA à une inscription obligatoire à Pôle emploi », ce qui « ouvre la possibilité à la fois de bénéficier d’un accompagnement spécifique et d’une formation professionnelle, le cas échéant ».

« Sauf motif sérieux faisant obstacle à cette inscription, les allocataires du RSA seront désormais orientés vers Pôle Emploi », a-t-il indiqué.

Une brigade de contrôle des bénéficiaires du RSA

L’État a confié la gestion et la charge du revenu de solidarité active (RSA) aux départements par la loi du 1er décembre 2008. Et « aujourd’hui, le département des Alpes-Maritimes compte 25.000 allocataires du RSA, dont 9.000 ne sont pas inscrits à Pôle emploi », selon Eric Ciotti.

Depuis 2011, une brigade de lutte contre la fraude au RSA est active dans les Alpes-Maritimes. En plus, une section de contrôle et d’accompagnement, composée de cinq agents, a été lancée en octobre dernier.

Jusqu’en janvier, sur 900 personnes convoquées, 330 ont engagé une démarche active de recherche d’emploi. Et 297 autres ont été suspendues du RSA.

Après le « pas de bras pour bénévoler 7H – Pas de RSA » dans le Haut-Rhin du fait que ;  Ubu est Strasbourgeois

Et malgré la Police ; Partout ! si chère à Ciotti, qui parle d’instaurer une brigade de contrôle des bénéficiaires du RSA, on a bien lu !

En plus petit, dans le coin à droite, sur le même 20 minutes on peut lire ça ; http://www.20minutes.fr/politique/1782779-20160209-etat-urgence-absence-448-deputes-moment-vote-choque-toile

État d’urgence: l’absence de 448 députés au moment du vote choque la toile

REFORME CONSTITUTIONNELLE Le projet de loi adopté lundi soir vise à inscrire l’état d’urgence dans la Constitution…

Pas un jour ne s’est écoulé depuis l’intervention de François Hollande à Versailles, trois jours après les pires attentats que la France ait connue, sans que le débat ne se focalise sur l’Etat d’urgence, sa prorogation puis sur son inscription dans la Constitution. Pourtant, lundi soir, lorsqu’il a été question de voter l’article 1 de la réforme constitutionnelle, seuls 136 députés étaient présents sur les 577 élus à l’Assemblée Nationale.

Alors, non, c’est pas que la toile qui est choquée, non !

TOUT LE MONDE EST CHOQUÉ !

Surtout si l’on croise ce genre d’information !

D’autant que de nombreux Merdias se sont cassés le tronc à organiser des tribunes libres que nombres de personnes ont utilisé pour demander gentiment aux 925 parlementaires de bien vouloir faire état de leur sentiment concernant la déchéance de la nationalité et la constitutionnalisation de l’état d’urgence et sa justice d’exception de type Section Spéciale.

Ces élus qui ont prêté Le serment des hypocrites, donnant lieu à des comptes d’hypocrites 26+13=39 le 29 décembre et le 31 décembre à seulement ; 50 sur 925 = Reste 875 !

Pour ce résultat d’hier soit 103 pour 26 contre !

Je brame assez depuis le 12 décembre dernier Réveillez-vous les gens !

RAPPEL DE L’HISTOIRE :
Le 10/07/1940, 80 parlementaires sur 649 ont voté CONTRE les pleins pouvoirs à Pétain !
Le 05/05/2015, 86 députés sur 524 ont dit NON à la surveillance généralisée des français !
Le 19/11/2015, 6 députés, 1 abstention, sur 551 ont voté contre la prolongation de l’état d’urgence de 3 mois… 551 députés ont voté POUR…

1 Twittos propose la déchéance de la nationalité pour les 441 députés absents lors du vote de l’état d’urgence dans la Constitution.

Source wikistrike : http://www.wikistrike.com/2016/02/liste-des-441-deputes-absents-pour-le-vote-sur-l-etat-d-urgence.html

LISEZ BIEN :

URVOAS : NON VOTANT

BARTHOLONE : NON VOTANT

HABIB : NON VOTANT

Tout ça pour ça !

Et le gonze qui matériellement ne pourra effectuer 7 heures de STO dans le Haut Rhin = Pas de RSA ! Allez Ouste !

Et le gonze qui refusera 2 propositions d’emploi bidon à Nice, pas de RSA non plus ! Allez Ouste ! Ah mais vous z’allez voir comment qu’on va faire des économies nous Les Ripoublicains sous dictature 2.0…. Mhhheuuu !!! Alors !

Voilà comment ceux qui ont voté on voté !

Alors quand on vous dit qu’il faut arrêter de Demander le programme ! et qu’on vous explique Qui vote quoi ?

Parce qu’ils sont tous Copains comme cochons !

Et alors qu’on vous donne des exemples ou ça marche autrement ; comme sous L’angle Saillans et alors qu’on vous explique que Demain se plante aujourd’hui…

Les grandes manoeuvres ont commencés et nous y sommes.

Arrêtons de consentir en masse parce que :

Le changement de paradigme : C’est maintenant !

Pour moi ; C’est le moment !

JBL1960