Rien, rien, ne justifie la mondialisation, la globalisation si l’on ne fait pas partie du 0.01% et je n’ai pas l’intention de faire partie du club, et vous ?
Je me souviens que le Hollandouille avait prononcé, déjà, en 2014 les mêmes mots que son prédécesseur, nous laissant entrevoir son inféodation totale aux psychopathes aux manettes.
Dès que ces mots étaient sortis de sa Bush ;
Les choses étaient claires ;
Hollandouille, qui n’était pas encore maréchal, démontrait que la votation était un leurre qui, une fois encore, avait très bien fonctionné.
Rappelons les faits ;
À l’occasion d’une visite officielle aux États-Unis, le président François Hollande a plaidé pour une accélération des négociations de l’accord de libre-échange entre l’UE et les États-Unis. En France, le partenariat fait débat.
Reçu avec faste à la Maison Blanche pour une visite d’État de trois jours, le président français a fait valoir que les États-Unis et l’Union européenne avaient intérêt à aller vite pour conclure le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (PTCI).
« Nous avons tout à gagner à aller vite. Sinon, nous savons bien qu’il y aura une accumulation de peurs, de menaces, de crispations », a estimé le chef de l’État lors d’une conférence de presse commune avec Barack Obama.
« Si nous sommes de bonne foi, si nous sommes respectueux des positions des uns et des autres, si nous sommes attachés (…) à la croissance, nous pouvons aller vite », a-t-il plaidé.
Les États-Unis et l’UE souhaitent aboutir à un accord avant l’expiration du mandat de l’actuelle Commission européenne, en octobre 2014, même si certains experts s’attendent à ce que les pourparlers se prolongent jusqu’en 2015.
Le plaidoyer du président français en faveur d’un accord rapide intervient alors que des voix s’élèvent dans sa propre majorité contre un accord jugé dangereux pour certains pans de l’économie européenne comme l’agriculture.
« On est en train de négocier des règles qui sont des choix de société », a mis en garde mardi le député écologiste Yannick Jadot sur RFI, évoquant le débat sur les organismes génétiquement modifiés (OGM) ou la menace d’une dérégulation rampante de l’économie.
Le consensus entre Barack Obama et François Hollande sur ce dossier illustre le rapprochement entre Paris et Washington, opposés il y a seulement quelques mois sur ce dossier.
Traditionnelle pomme de discorde entre les deux pays, la notion d’exception culturelle que la France a imposée à la Commission européenne dans ses négociations avec les États-Unis avait suscité des menaces de représailles de Barack Obama lui-même. Depuis, les relations se sont apaisées entre les deux dirigeants.
« Je veux remercier François pour sa coopération », sur ce dossier, a dit Barack Obama à la presse, jugeant l’accord vital pour la croissance de l’économie mondiale.
Source EurActiv du 12/02/2014
Beaucoup d’entre-nous avions compris qu’on allait se faire mettre, doucement, mais surement… Subrepticement, devrais-je dire.
Et donc, fin 2015, on comprend mieux, pourquoi le Maréchal a décrété son état d’exception et sa justice de type Section Spéciale.
C’est juste cousu de fil blanc. Mais, la trame est bien respectée et jusqu’ici tout va bien !
Un rapport américain sur le TTIP est sans appel, les Européens n’ont pas grand-chose à gagner :
L’eurodéputé PS Marc Tarabella a pu consulter le rapport d’évaluation des gains des projets de TTIP sur la table, émis par le ministère de l’agriculture américain. Selon lui, ses « conclusions sont sans appel : d’une part, le secteur agricole Européen serait le grand perdant de cet échange, d’autre part les européens pourraient même subir des effets négatifs en cas d’accord. De l’aveu même des américains, les Européens n’ont pas grand-chose à y gagner. Au vu de ces résultats, je demande l’arrêt pur et simple des négociations avec les États-Unis. Je ne veux pas voir mener à l’abattoir l’agriculture européenne et dans son sillage la subsistance alimentaire européenne », tempête le député européen, en charge de l’agriculture et de la Protection des consommateurs au Parlement européen, dans un communiqué émis ce mardi. Il ajoute que « le volet agricole ne peut être la variable d’ajustement des autres chapitres de la négociation TTIP. Ce serait se moquer des agriculteurs et des consommateurs européens. »
Les gains financiers pour les USA seraient incroyablement plus grands que pour les Européens
Dans ce communiqué, on apprend que plusieurs scenarii sont envisagés par les Américains. Deux leur sont extrêmement favorables. Il s’agit premièrement de l’abolition des droits de douane, qui rapporterait 5,5 milliards de dollars aux États-Unis là où l’Union européenne ne gagnerait que 800 millions. Le second serait cette même abolition à laquelle on ajouterait la suppression des mesures non tarifaires. Là, les USA gagneraient 10 milliards de dollars tandis que l’Union européenne seulement 2 milliards.
Source Les Moutons Enragés du 25/12/2015
TAFTA, TTIP & Tutti quanti… « Nous avons tout à gagner à aller vite. Sinon, nous savons bien qu’il y aura une accumulation de peurs, de menaces, de crispations »
Ah bah, tu m’étonnes…
Le ver était dans le fruit !
Et y nous prennent tous pour des bananes !
NON ! C’est NON ! N O N ou N.O.M. NON & NON
C’est vrai qu’ils ont pris l’habitude de changer les non en oui !
Tout de même, il va falloir apprendre à dire NON ! N.O.M. ?
JBL1960
Vous nous avez pas cru ?
Ben bougez pas et bientôt vous serez cuits !
Pire résultat depuis la guerre: des exportations françaises en négatif
La balance commerciale agroalimentaire française avec d’autres pays du Vieux continent comme dans le reste du monde a été déficitaire l’an dernier, signale l’Institut national de la recherche agronomique (Inra). Il s’agit du pire résultat depuis la guerre, précise-t-il.
Le solde des échanges agroalimentaires de l’Hexagone avec d’autres pays membres de l’Union européenne est passé dans le négatif pour la première fois depuis la guerre, d’après l’Institut national de la recherche agronomique (Inra).
La France a donc exporté pour 38,1 milliards d’euros en Europe (21,7 milliards hors UE) en 2018. En même temps, les importations en provenance des voisins européens ont augmenté de 24%, à savoir un montant de 38,4milliards d’euros.
Parmi les produits exportés figurent les céréales, les produits laitiers, les bovins vivants, le sucre. Seules les boissons se sont avérées «hors de danger». Comme le souligne Les Échos, la France effectuent la moitié -47% exactement- de ses exportations alimentaires dans seulement cinq pays. En ordre décroissant: la Belgique, l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Italie et l’Espagne.
«Il y a dix ans cela aurait été impensable», estime l’économiste de l’Inra Vincent Chatellier, cité par Les Échos.
«Au train où vont les choses, d’ici à cinq ans c’est la balance commerciale agroalimentaire avec le monde entier qui sera en négatif», a souligné Michel Raison, élu LR de Haute-Saône, au même quotidien d’information économique et financière.
Vincent Chatellier explique la situation, entre autres, par le fait que la France «paie le choix du localisme à tous les étages et de son positionnement haut de gamme».
Source ► https://fr.sputniknews.com/france/201907051041602441-pire-resultat-depuis-la-guerre-des-exportations-francaises-en-negatif/
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